Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Les alentours de la ville

Un commerce sorti de nulle part ( Pv Sennefer )

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Sennefer Arsinos:
-Et bien ... je peux vous dire que vous avez tort. Tout ce que vous voyez est à vendre ... et à ce que je sache, je ne suis pas encore invisible.

Je comprenais par la qu’elle était donc effectivement à vendre ! Ou du moins d’une certaine manière. Je doute que je puisse l’acheter et la tirer hors de son petit commerce n’est-ce pas ? Mais elle m’offrait un peu plus de détail concernant la nourriture qu’elle pouvait bien être pour moi. J’écoutais donc attentivement. Il faut dire que ce n’était pas commode.

-Je dois avouer que c'est quand même une première fois que quelqu'un me décrit de ... comestible. Et même si je fais partie des marchandises, je doute pouvoir me "vendre" pour satisfaire une faim ... je n'ai pas vraiment envie de finir sur une brochette ent train de cuire, si vous voyez ce que je veux dire ... à moins que ...

-Ce … Détrom…

-.. à moins que vous ne parliez pas d'un appétit classique ... mais un appétit ... sexuel. Ce serait définitivement plus facile à fournir un tel service, surtout comparé à servir de nourriture. A moins que ce soit quelque chose de particulier chez moi qui pourrait vous nourrir ? Et pas juste ... me dévorer comme si j'étais un morceau de viande ?

Je la regardais mettre sa poitrine en avant. Il semblait y avoir de la marchandise ici aussi quand même. Je m’approchais un peu d’elle afin de plonger mon regarde sur son corps que je scrutais. Je devais bien avouer qu’elle était tout de même attirante. Mais je devais mettre ma faim avant le reste … Ce serait peut-être bien mieux. J’approchais alors ma main que je posais sur l’épaule de la vendeuse et je la glissais lentement jusqu’à son col afin de tirer légèrement le tissu au niveau de son cou pour observer sa peau … Je n’avais aucun geste brusque afin qu’elle ne se retire pas …

-Cet appétit n’est vrai vraiment classique en effet. Mais j’aurai quand même besoin que vous enleviez un peu le tissu de votre peau. J’ai besoin de sang frais … Mais je dois bien vous avouez que le petit côté sexuel que vous venez de me vendre est tout aussi appétissant … Je n’ai aucune intention de vous faire tourner sur le feu comme un poulet rôti ne vous en faite pas … Et si vous êtes délicieuse … Assurez vous que je reviendrai uniquement pour vous.

Je me léchais alors les lèvres devant elle quand je m’assurai qu’elle observait mon visage … Elle n’était pas humaine et donc à mes yeux elle était bien plus délicieuse qu’elle ne pouvait le penser. Mais je gardais cette information pour moi, après tout, elle restait une commerçante et je n’oubliais pas ce détail. J’approchais alors mes lèvres de ses oreilles afin de lui murmurer lentement…

-Je veux bien prendre les deux … On peut négocier du prix rassurez-vous … Et avec quelques petites pièces, je peux éventuellement peut-être ajouter un ingrédient rare à votre stock qui saura certainement ravir tous les faiseurs de potions en tout genre … Si je devais vous proposer ce produit j’aurai quelques conditions bien précises … A moins que cela ne vous intéresse pas ? … Ou avez vous un autre endroit pour en parler plus en détail?

Je me redressais alors afin de chercher le regard de la vendeuse … avais-je titiller sa curiosité assez fortement ? Je lui adressais un sourire. Il était vrai que je n’avais pas préciser la nature du produit que je pouvais lui offrir …

Ayame Usui:
Avec un soupçon de subtilité, tout simplement pour éviter de le dire d'une façon trop directe ou indirecte, Ayame confirmait bien le fait que sa personne était techniquement considéré comme une marchandise dans sa boutique, et de par ce fait, était disponible à l'achat, même si en réalité, on devrait plus parler d'une location que d'un achat ... mais la tanuki ne discuterait pas nécessairement des détails pour le moment.
La jeune femme n'était pas non plus innocente avec le sous-entendu qui était associé avec le fait qu'elle faisait partie des marchandises, la plupart des personnes qui décident de l'acheter l'utilisant actuellement pour toute activité sexuelle, le fait que la jeune femme mette sans la moindre gêne ses attributs en avant n'aidant pas à aller dans un autre sens.

Et c'était clairement ce qu'Ayame faisait avec son client actuel, mettant sa poitrine bien avant alors qu'elle supposait un appétit sexuel de la part de son client, ce qui expliquerait logiquement le fait qu'elle semblait appétissante pour ce dernier.
Cela dit, la tanuki se trompait sur la nature de l'appétit de son client, ce dernier se rapprochant d'elle pour scruter son corps, la jeune femme ne bougeant pas du moindre centimètre pour laisser l'homme observer la marchandise autant qu'il le souhaitait, tant qu'il n'allait pas trop loin dans son observation. Elle devait admettre que la toucher avant d'avoir fait la moindre promesse de paiement ne lui plaisait pas particulièrement, mais cela restait très limité, le client de la jeune femme dévoilant simplement la peau de son cou.
C'est à cet instant qu'Ayame comprenait la faim que ressentait son client, et surtout sur quel genre de client elle était tombé : un vampire, et la faim qu'il ressentait était une faim de sang.

A cet instant, une personne normale aurait sans doute été intimidé, et aurait probablement repoussé, ou du moins tenté de repoussé le vampire, ou bien ce dernier aurait déjà charmé d'une façon ou d'une autre sa proie ... mais dans le cas d'Ayame, cette dernière ne sentait pas vraiment intimidée, et si elle était sous l'emprise d'un charme, rien ne semblait différent à ses yeux.
Même lorsque le vampire décide de se lécher les lèvres, Ayame devant vraiment lui sembler de plus en plus appétissante à mesure qu'il l'observait, la tanuki ne se sentait pas particulièrement menacée. Si elle était vraiment en danger, son client ne tenterait pas de commercer avec elle en ce moment-même, et elle ne serait pas là en premier lieu. En plus de cela, les oreilles de la tanuki se redresse doucement lorsque son client lui propose plus que des espèces sonnantes et trébuchantes, mettant en avant un ingrédient rare qu'il pourrait lui procurer.
Ayame faisait de son mieux pour ne pas montrer l'intérêt que cette proposition lui procurait, gardant un visage relativement sérieux avec son sourire de marchande, mais les oreilles de la jeune femme trahissait un tant soit peu ses pensées malgré elle. Mais elle ne faisait pas vraiment d'effort pour masquer une telle chose, cela ne faisait que justifier son intérêt ...

Et bien ... on peut tout à fait négocier, oui. Mes prix ne sont pas vraiment fixes en général, mais je dois bien admettre ne pas avoir vraiment d'idées de combien je pourrais demander en échange de sang frais. Mais je suppose que je peux vous faire une première offre : 10.000 Yen pour mes services, et mon sang en échange de votre ingrédient rare.

Ayame ne le disait pas directement, mais le vampire pouvait bien entendu discuter du prix, si il trouvait que la tanuki demandait trop pour ses services, ou même si il trouvait qu'elle ne demandait pas assez.

Aussi, concernant les conditions précises dont vous parliez ... si je peux les satisfaire, je ne pense pas avoir de problèmes avec, mais je dois savoir quelles sont ces conditions particulières ... Et en ce qui concerne un autre endroit pour en parler plus en détail ...

Ayame se dirige vers une porte derrière le comptoir, s'arrêtant devant celle-ci en la désignant clairement pour le vampire ...

Vous avez bien dû remarquer que mon échoppe est ... spéciale. Suffisamment spéciale pour que moi-même, je ne sache pas ce qui se trouve derrière cette porte. Mais si vous souhaitez un lieu particulier pour parler, nous devrions pouvoir accès à ce lieu derrière cette porte ...

Et c'est avec un sourire plutôt large, sans la moindre gêne que la tanuki rajoute ...

... bien entendu, cela engendrerait des frais supplémentaire !

Sennefer Arsinos:
J’étais loin d’être aveugle et je pouvais facilement voir les attributs animaliers de cette jeune femme bouger de manière intéressée par la proposition que j’avais fait. Je savais que c’était ce qu’il fallait regarder chez eux. C’était ce qui les rendait plutôt mignon bien que j’imaginais que ce n’était pas si facile de cacher certaines choses. Je préférais donc faire comme si je n’avais rien vu …

-Et bien ... on peut tout à fait négocier, oui. Mes prix ne sont pas vraiment fixes en général, mais je dois bien admettre ne pas avoir vraiment d'idées de combien je pourrais demander en échange de sang frais. Mais je suppose que je peux vous faire une première offre : 10.000 Yen pour mes services, et mon sang en échange de votre ingrédient rare.

-… Marché conclu ! Va pour les 1o ooo yens !

Je pouvais donner l’impression de vite céder à l’offre qu’elle venait de me faire mais en réalité cette somme était misérable contre un tel échange. Il est vrai que de mon côté l’ingrédient que j’offrais valait une fortune … Mais je pouvais faire ce geste … Bien entendu, je ne prévoyais pas de m’arrêter ici et cette technique faisait aussi parti d’un plan qui se mettait gentiment en place … surtout quand je voyais le potentiel de cette échoppe.

-Aussi, concernant les conditions précises dont vous parliez ... si je peux les satisfaire, je ne pense pas avoir de problèmes avec, mais je dois savoir quelles sont ces conditions particulières ... Et en ce qui concerne un autre endroit pour en parler plus en détail ...

Je la regardais alors se diriger vers la porte derrière le comptoir. Je me demandais tout de même ce qu’elle allait y faire.

-Vous avez bien dû remarquer que mon échoppe est ... spéciale. Suffisamment spéciale pour que moi-même, je ne sache pas ce qui se trouve derrière cette porte. Mais si vous souhaitez un lieu particulier pour parler, nous devrions pouvoir accès à ce lieu derrière cette porte ...

Et j’observais le sourire qu’elle abordait en parlant de cette porte … je voyais la chose venir à des kilomètres…

-... bien entendu, cela engendrerait des frais supplémentaires !

-Ca me va … 1o ooo yens de plus vous ira ? Ce qui fera un total de 2o ooo.

Je me dirigeais alors vers elle en passant le comptoir pour regarder la porte en me demandant comment cela marchait. Je pensais qu’il suffisait un peu d’imaginer ce que je voulais ? Et bien je ne prenais pas plus de quelques secondes pour me décider. Alors je regardais la Tanuki en parlant à voix haute …

-Un jacuzzi ?

Quand j’ouvrais la porte, il y avait de la vapeur chaude qui sortaient et … j’entrais alors en prenant devant moi la jeune femme. Soudainement je tombais à l’eau avec elle … je n’avais pas pris la peine d’allumer la lumière et petit bonus, le bassin était pile devant la porte. Nous nous retrouvions donc trempé pour ainsi dire.

-Navré … Ce n’était pas prévu comme ça … enfin je crois …

Je soupirais un peu avant de m’étirer un peu … mais j’étais gêner. Les tissus mouillés collaient contre ma peau et m’empêchaient de finir mes mouvements. Cela devait être la même chose pour la Tanuki. Je m’éloignais un petit peu d’elle avant de reprendre la parole…

-Je me permets … de proposer qu’on se mette à l’aise avant de parler de mes petites conditions ?

Ayame Usui:
Ayame faisait du mieux qu'elle le pouvait pour ne pas montrer l'intérêt grandissant qu'elle avait dans cette affaire, cela étant une tâche bien plus compliqué qu'il ne pouvait y paraître, ses appendices animales trahissant bien trop facilement ce qu'elle pensait. Elle pourrait bien entendu prendre une apparence qui ne montrait pas cette partie d'elle, une apparence totalement humaine ... mais dans la situation actuelle, cela ne changerait rien, et si le vampire ne prenait que deux secondes pour réfléchir, si il la voyait cacher ses oreilles, il n'aurait aucun mal à se douter de son intérêt.

À la grande surprise de la tanuki, le vampire accepter sans marchandage sa première offre de 10.000 Yen, la prenant un peu par surprise en toute honnêteté. Mais elle ne laissait pas paraître ce sentiment, surtout qu'elle remarquait qu'il n'avait à première vu accepté que les Yens, n'ayant pas mentionné son sang dans la transaction.
Ayame n'avait pas perdu de temps pour présenter la porte qui se trouvait derrière elle, expliquant brièvement que, malgré qu'il s'agisse de son échoppe, elle ne saurait dire ce qui se trouvait derrière la porte, et que si il le désirait, le vampire pouvait avoir le lieu qu'il souhaiterait derrière la porte ... la tanuki propose naturellement un tel service en informant de frais supplémentaires. Mais là où Ayame espérait au mieux soutirer 5.000 Yen de plus de la part du vampire, ce dernier ne perd pas son temps en doublant le prix qu'elle de son offre originale. La tanuki reste un bref instant en silence sans rien dire, clignant doucement des paupières ...

Et bien ... cela me semble être un prix raisonnable.

Ayame ne disait rien de plus, se mettant légèrement sur le côté pour laisser le vampire ouvrir la porte sur la pièce qu'il désirerait. Elle n'avait pas expliqué précisément comment cela fonctionnait, et elle ne pourrait pas vraiment le faire. Après tout, dire à voix haute une pièce ne garantit pas que ce sera exactement ce qui se trouverait derrière la porte, même si cela était certainement capable d'influencer le résultat.
Le vampire, après quelques secondes de réflexion, annonce à voix haute un jacuzzi tout en regardant directement la tanuki, et à peine la porte s'ouvre qu'une vague de vapeur chaude frappait autant Ayame que le vampire, rendant au moins la tanuki incapable de voir exactement le contenu de la pièce ... mais il n'était pas nécessaire de "voir" pour se rendre compte que le vampire avait obtenu ce qu'il désirait. Il aurait été bien pratique de pouvoir "voir" malgré tout, le vampire ne se gênant pas pour emmener directement Ayame avec lui dans le jacuzzi ... et comme le bassin se situait basiquement après la porte, autant la tanuki que le vampire finissent à l'eau.

Ayame n'avait même pas eu le temps de faire part de sa surprise qu'elle était déjà trempé jusqu'aux os, se relevant en reprenant son souffle en s'essuyant les yeux. Le manque de luminosité ne la dérangeait pas personnellement, mais même si sa vision dans l'obscurité était meilleure qu'un humain lambda, la tanuki apprécierait de voir les lumières allumées ... et elle ne montre pas la moindre gêne pour faire cela, laissant un soupir s'échapper malgré elle ...

J'ai du mal à croire que ce n'était pas prévu ... surtout en m'emmenant sans prévenir à l'intérieur ... et encore plus en voyant l'état de ma tenue !

Ayame ne commentait pas plus que cela à ce sujet, n'attendant même pas que le vampire fasse sa proposition qu'ils se mettent chacun à l'aise dans ce jacuzzi, la tanuki commençant sans tarder à se dévêtir de ses vêtements. Se baigner toute habillée dans un jacuzzi était loin d'être pratique après tout, et bien que le fait d'être déjà trempée faisait naître une légère flemme de se dévêtir, ne pouvant vraiment être plus mouillée qu'elle ne l'était, la fait d'être toujours vêtue n'apportait rien ... et au vu de ses vêtements blancs, même si elle restait habillée, son haut ne cachait pour ainsi dire rien du tout, le vampire pouvant clairement voir son soutien-gorge au travers.
Déboutonnant un à un les boutons de son haut, la tanuki dépose ce dernier sur le bord du jacuzzi, suffisamment éloigné de ce dernier, se doutant que des éclaboussures allaient arriver tôt ou tard. Le soutien-gorge ne tarde pas à suivre le haut d'Ayame, la tanuki se retrouvant bien vite à moitié dénudée, le dos totalement exposée au vampire, ce dernier pouvant sans la moindre difficulté s'approcher d'elle sans qu'elle ne le remarque.
Quoique le vampire puisse faire, la tanuki ne perd pas plus de temps pour continuer à se débarrasser de ses vêtements trempés, et comme elle ne cherchait pas vraiment à se mettre en spectacle, le reste des vêtements d'Ayame rejoignent rapidement le reste.

Ayame se retourne avant de s'asseoir dans le jacuzzi, laissant le temps au vampire pour constater, même si pour un bref instant, la présence d'un sexe masculin sur le corps de la tanuki. Elle n'était pas dépourvu du sexe féminin, loin de là, mais le vampire avait un moment si bref pour observer le corps de la tanuki, et particulièrement cette partie de son corps, qu'il pourrait bien s'imaginer qu'elle ne disposait que du sexe masculin ...

Bon ... et si on parlait donc de ces conditions particulières ?

N'ayant pas pris le temps depuis l'atterrissage dans le jacuzzi, Ayame s'étend maintenant, étirant ses bras, exposant la poitrine de la tanuki ... acte qu'elle pourrait très bien faire volontairement ...

Sennefer Arsinos:
-Et bien ... cela me semble être un prix raisonnable.

Je souriais en voyant qu’elle acceptait. Finalement, c’était à se demander qui c’est qui dominait ce petit commerce en ce moment même. Le fait qu’elle accepte de cette façon en disait long sur la façon dont elle avait vu les choses. Elle ne s’attendait tout simplement pas à un tel résultat … voir même à un client comme moi. Mais au moins l’effet de surprise me permettrait ensuite d’exiger des petites choses … Ce n’était qu’un plan bien roder depuis longtemps. C’était courant dans les affaires bien plus luxueuses.

Maintenant que nous étions dans l’eau un peu par ma faute, je m’étais écarté un peu d’elle pour lui laisser un peu d’intimité pour ne pas la gêner. Elle était trempée tout comme moi. Je pouvais entendre les mouvements de l’eau de son côté qui indiquaient clairement qu’elle commençait à enlever ses vêtements. Je faisais de même. J’enlevais lentement ce que je portais sur les épaules, comme je pouvais puisque les vêtements collaient facilement et je les jetais presque sur le bord. Je n’allais pas attraper froid personnellement donc ça ne me gênait pas s’ils restaient mouillés.

-J'ai du mal à croire que ce n'était pas prévu ... surtout en m'emmenant sans prévenir à l'intérieur ... et encore plus en voyant l'état de ma tenue !

-Je n’avais vraiment pas vu les choses ainsi … Mais au moins, cela nous force un peu à nous mettre dans l’ambiance qui va suivre.

C’est-à-dire le moment ou elle allait m’offrir son corps sur un plateau en argent. Je me retournais légèrement pour observer le corps de la jeune femme. Je me permettais de la relooker avec la lumière qui entrait de la porte. Puis, je m’occupais aussi de ce qui était dans l’eau. Mon pantalon, ne perdant pas de temps à tout enlever pour me retrouver nu dans ce jacuzzi apparut de manière étrange. Elle devra m’expliquer comment marchait cet endroit pour ne pas reproduire un tel … résultat à l’avenir.

Lorsqu’elle se retournait, un détail me frappait. Elle avait une magnifique poitrine mais … Un sexe masculin. Pourtant, je sentais qu’elle avait tout d’une femme également. Cela me gênait un peu. Mais j’étais presque sûr qu’elle pouvait remédier à ce problème et s’il fallait y mettre de l’argent … Je négocierai cette fois ci.

-Bon ... et si on parlait donc de ces conditions particulières ?

Je m’asseyais alors avant de plonger mon regard vers le sien…

-Et bien je vais en ajouter une nouvelle dès maintenant … Je n’ai pas envie de paraitre impoli mais … Cela m’arrangerait grandement si vous pouviez … faire quelque chose pour ce qu’il y a entre vos jambes. Je m’attendais à avoir … tout d’une femme … Même si j’ai le sentiment que vous avez aussi … les autres organes féminin … J'ose imaginer que vous avez quelque chose dans votre boutique?

Je me frottais un peu la joue gêner … Mais je devais aussi lui donner les vraies conditions pour continuer à allécher la demoiselle.

-Et pour les conditions que j’avais déjà en tête … voici ce que je vous offre. Je peux vous offrir mon sang. Du sang de vampire pure. Je suis né vampire, de vrai vampire. Aucune trace d’humain transformé ne se trouve dans ma génétique. Je suis prêt à vous en fournir à condition que cela ne soit pas vendu pour transformer quelqu’un … mais à quelqu’un qui sait comment utiliser un tel ingrédient … Je suis prêt à parier qu’on ne vous a jamais proposé un tel … ingrédient.

Après tout, les vampires ne donnaient pas leur sang. C’était même impensable. J’avais juste une manière différente de m’approprier des choses qui m’intéressait. Cette jeune femme en faisait parti pour son sang … et ce qu’elle avait à présent à offrir puisqu’elle m’avait ouvert la porte à plus. Pendant qu’elle encaissait un peu tout ce que je lui avais dit et qu’elle réfléchissait, je me permettais d’ajouter une chose …

-Je vous laisse le temps d’y réfléchir … Et si vous me donner une réponse positive sur tout ce que je viens de dire, je vous laisse retourner à votre magasin pour … ce dont je vous ai fait part pour … vous savez quoi. Ensuite, je vous invite à simplement venir à moi … et m’offrir la plus belle de vos réponses. Qu’en dites-vous ?

Bien sur … si elle voulait répondre négativement, les échanges de paroles continueraient jusqu’à ce qu’elle s’active pour venir donner sa réponse. C’était pourquoi j’expliquais simplement en cas d’acceptation.

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