Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

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Kaito Nakajima

Humain(e)

Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

mercredi 23 juin 2021, 21:22:12

La journée s'annonçait maussade et tout les immeubles se ressemblaient dans ce quartier là de Seikusu. Mêmes teintes grisâtres et même architecture sans âmes de ces  quartiers trop populaires pour que la mairie y investisse  sans pertes. C'est dans ces coins là que s'émancipait une faune bien différente que celle que l'étranger se fait du japonais moyen. Ces territoires étaient contrôlés massivement par la mafia japonaise et on y recensait autant de tripots de jeu, les pachinkos, que des établissements de passe ou encore des locaux souterrains où se concoctaient autre chose que des boissons vitaminées.

C'est aussi là qu'étaient établies la plupart des enseignes aux néons flashy et explicites qui indiquaient les boutiques de l'industrie du sexe, du bouge immonde au magasin super moderne d'un grand nom du porno. Et c'est précisément dans ce quartier là que Kaito avait à faire aujourd'hui. Fan de hentai, il avait trouvé une véritable pépite où se vendait les œuvres les plus rares. Le patron le connaissait bien maintenant et quand il recevait un article intéressant, il en informait l'étudiant par sms. C'est donc d'un pas pressé que Kaito se rendait à sa boutique favorite. Il haïssait ce quartier, lui qui était plutôt discret, pas exubérant pour deux sous et bien loin de ce monde là. Ses derniers mois, il avait réussit à économiser un peu sur son salaire de barman de nuit à temps partiel au club, et il comptait dépenser un peu d'argent aujourd'hui en s'achetant quelques revues érotiques.

Il s'était rendu dans ce quartier en métro et s'était habillé de manière à ne pas attirer l'attention. Un jean bleu délavé, ses vieilles sneakers, un sweat à capuche pour cacher sa tignasse blonde et c'est ainsi qu'il arpentait le trottoir, la tête baissée et les mains dans les poches.

La transaction fut rapide. Il ne passa pas plus de 10 minutes dans la boutique et en ressortit avec un paquet anonyme où il serrait trois magazines pornos. La rue lui paraissait agitée, ça arrivait parfois quand un évènement souterrain secouait la communauté criminelle ou marginale de Seikusu. Il ignora l'appel d'une prostituée, camouflée dans l'ombre d'un porche et pressa le pas.

Un cri lui fit lever la tête. Arrivant face à lui, un groupe de jeunes marginaux, occupant tout le trottoir, braillaient, bouteilles d'alcool à la main. La poisse! Kaito ne souhaitait aucune confrontation quelle qu'elle soit. Impossible de traverser la chaussée à cet endroit. Par réflexe, l'étudiant bifurqua dans la première rue à gauche et courut quelques mètres pour se glisser dans le renfoncement d'un hall d'immeuble miteux. Super Kaito! T'as le don de te mettre dans des situations vraiment nulles. Le malaise était palpable. La rue déserte et sale était sordide. Le jeune homme attendit un moment et s'apprêtait à rejoindre la voie principale quand le ronronnement d'un moteur résonna tout proche. Kaito osa jeter un discret coup d'œil. Une Nissan GTR flambante s'était engagée dans l'allée et venait s'arrêter tout proche de son perron. L'étudiant se tassa derrière un vieux placard abandonné là et aperçut entre deux lattes un type sortir de la voiture. Grand, massif, la tête rasée, couvert de tatouages indiquant son appartenance aux yakuzas et un pistolet passé à sa ceinture, il devint instantanément le cauchemar de Kaito. L'étudiant se mit à transpirer et osait à peine respirer. De l'opposé de la rue arriva un autre type, à pied, avec un profil de fouine et portant tous les vices du monde sur son visage. Le grand l'apostropha sèchement et l'autre s'approcha pour lui tendre un sac pesant apparemment un certain poids. Ils étaient trop proches pour que Kaito puisse détaler. Il se liquéfiait sur place.
Et manque de bol, c'est à ce moment-là que le smartphone de l'étudiant hurla sa sonnerie si identifiable, Highway to hell d' AC/DC. Kaito manqua décéder sur le champ.

Les deux types se retournèrent d'un bloc vers le renfoncement.

"Putain mais y'a quelqu'un là."
"T'inquiètes j'vais régler ça." lâcha le colosse.

Kaito fit sa dernière prière. Le grand type avançait, un rictus mauvais aux lèvres. il pouvait voir Kaito à présent, dissimulé dans l'ombre.

"Tiens tiens ... Qui va cracher toutes ses dents?"

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 1 lundi 05 juillet 2021, 15:29:59

"Mais puisque je vous dit que je n'ai rien entendu! Ca a été très bref. Mon téléphone a sonné au moment où ils se rencontraient!"

"Oui on a bien compris mais tu es vraiment sûr ne n'avoir rien entendu?"

C'était un dialogue de sourd. Le grand flic patibulaire qu'il avait en face de lui répétait inlassablement les mêmes questions. Cela faisait maintenant une heure que Kaito répondaient aux policiers qui tous, avaient l'air sous pression. Ils insistaient tellement que le jeune homme se sentait presque coupable d'avoir commis un crime. Il avait vaguement compris qu'il s'était retrouvé au cœur d'une affaire d'importance, déjà parce qu'il avait failli mourir, et ensuite, face au déploiement de la police une fois que le coup de feu avait été tiré.

Un autre inspecteur à l'aspect plus sympathique entra dans le petit bureau où il était auditionné.

"Ca va Tama, laisse le souffler, il a vécu un moment éprouvant, on l'entendra à nouveau plus tard. D'ici là, Rayan va s'en occuper. Le patron l'a déjà briefé pour la suite, elle sait ce qu'elle doit faire.

Puis le type se retourne vers le pas de la porte.

"Oh! Rayan? Tu peux venir! On a fini! Il est tout à toi!"

Kaito leva les yeux au plafond. Enfin, ca se terminait. Il se tourna lui aussi vers la porte. L'agent Rayan était de loin celle du groupe qu'il préférait. Normal ... Elle l'avait sauvé et en plus, elle était canon.



Deux heures plus tôt :

Kaito passait de l'état solide à l'état liquide. Le type tatoué immense l'avait repéré et en quelques pas l'avait rejoint et sorti de sa planque. D'une main, il le soulevait et le plaquait contre le mur, violemment. Kaito en eut le souffle coupé mais ce n'était rien à côté de la peur qui le prit aux tripes quand l'autre exhiba un pistolet.

"POLICE!"

Le cri libérateur ... mais trop tard. Le colosse répond à quelqu'un dans la rue, l'insulte et rit avec mépris. Kaito ne pense même pas à prier. Le trou noir du canon de l'arme est juste devant son front. Le type le lâche et il s'affale comme une loque au moment où la détonation assourdissante claque et que des débris de mur sont projetés dans ses cheveux. Il reste groggy et entend tout juste  une voix féminine parler, toute proche. Puis des mains douces le manipule. Ses oreilles sifflent encore et il peine à ouvrir les yeux. Quand il y arrive, il se retrouve nez à nez avec une énorme paire de seins moulée dans un t-shirt serré, pas du tout l'image qu'il se faisait d'un uniforme. Et au-dessus de cette poitrine, un très charmant visage apparait. C'est la fin du cauchemar, du moins, pour l'instant.

"J'ai ... J'ai un peu mal à la tête."

La suite est un peu confuse. Des sirènes, des gyrophares, des policiers qui courent partout. Une ambulance se fraye un chemin et un médecin l'ausculte pour annoncer qu'il n'a rien mais qu'on va quand même le mettre sous perfusion. A l'arrière du véhicule de secours, il voit la fille aux cheveux clairs discuter avec d'autres policiers en civil. Il lui adresse un petit geste amical qui signifie aussi merci mais ... il s'aperçoit avec horreur qu'elle tient à la main le sac dans lequel il gardait les revues pornos qu'il venait d'acheter. Le rabat était ouvert .... la honte! Il rougit comme jamais.
Les policiers l'avaient ensuite amené au commissariat où il avait refusé qu'on appelle ses parents. Il était majeur et cela ne posa pas de problèmes. On l'avait installé dans un bureau, un docteur lui avait enlevé la perfusion qu'il trimballait et il ne sentait plus aucuns symptômes. Kaito était d'un naturel plutôt tranquille et bien qu'il ait vécu toute la violence de cet évènement, il était en vie et restait moyennement choqué. La police arrêterait les types et tout irait bien. Mais non, tout n'irait pas bien. Quand le flic bourru lui avait demandé si le colosse pourrait le reconnaitre, il avait dit que oui et l'autre avait affiché une mine grave. Quoi? Il était encore en danger? Heureusement, l'agent Rayan était bien plus fine que son collègue et lui avait expliqué qu'on était pas sûr d'arrêter le truand tout de suite.



Retour au présent:

Le deuxième policier interpelle l'agent Rayan qui doit être de l'autre côté de la paroi opaque du bureau.

"T'as prévu quoi pour le petit?"

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 2 mardi 06 juillet 2021, 18:39:06

Kaito a horreur d'être au centre de l'attention et c'est bien ce qui se passe. L'échange entre les policiers est vif et il sent bien que tous sont sur les nerfs. L'enjeu de cette enquête doit être d'importance. les deux inspecteurs quittent le bureau pour laisser la place à l'agent Rayan. Elle s'installe en face de lui et il peut enfin la détailler de près, discrètement bien sûr, quand elle ne le fixe pas. C'est une belle femme aux atouts physiques indéniables. Elle détonne un peu avec ses cheveux et ses prunelles grises mais il trouve que ça lui va parfaitement. Là, elle a tout du flic, le jean, le flingue, le café ... Elle dépose devant lui la pochette contenant les magazines compromettant et a la politesse de faire comme si de rien n'était.

"Euh ... merci."

L'horreur, c'est super gênant! Heureusement elle embraye immédiatement en relatant le fond du problème. Ah oui, vu comme ça, c'est vraiment un gros problème. Dans quoi s'est-il fourré ... Pendant qu'elle parle, il range ses affaires.

"Ma protection? Par vous ?"

Ca allait vite. Ca craignait vraiment, tout se bousculait dans la tête de Kaito. Comment allait-il expliquer ce bordel à ses parents? Et bien, dans un premier temps, il ne dirait rien puis aviserait ensuite. Maintenant il n'allait pas refuser, il n'était ni un héros ni un combattant.

"Oui ... oui oui j'accepte mais ... Enfin, mes parents sont absents pour un mois, ils sont en visite chez mes grands-parents, c'est loin d'ici et, je peux suivre les cours de l'université à distance, il faut juste qu'on passe chez moi récupérer quelques trucs."

Dans une chambre d'hôtel, avec l'agent Rayan, l'idée ne lui déplaisait pas mais si elle continuait à exposer sa poitrine comme elle le faisait, ca poserait un problème pour le jeune étudiant.

La suite fut simple. Un agent les déposa chez lui, le temps qu'il prépare son sac. Ils avaient pris une voiture banalisée aux vitres teintées et le conducteur ressemblait à un voyou. Il invita l'agent Rayan a entré dans sa demeure, une jolie petite maison traditionnelle avec un jardin soigné dans un quartier calme. Le domicile des Nakajima était petit mais confortable. Kaito y avait sa chambre bien rangée au bout d'un couloir. Il trouva un sac et y fourra des affaires de rechange, de toilettes, son ordinateur portable, le chargeur de son téléphone (accessoire vital) et deux ou trois choses qui lui serait peut être utiles. Il hésita et prit aussi son shamisen, son instrument de musique qu'il rangea dans sa boite de transport.

"Je crois que c'est bon agent Rayan, on peut y aller."

La jeune femme attendait patiemment et Kaito se dit que peu de filles étaient entrées dans sa chambre jusqu'à présent. Rayan rendrait jalouse n'importe laquelle d'entre elles.

En sortant dans la rue, il salua madame Ikeda, leur vieille voisine, qui balayait le pas de sa porte.

"Oh! Bonjour Kaito, bonjour mademoiselle! Tu as une charmante petite amie mon garçon, elle est très belle!"

"Euh c'est ... elle ... On doit partir! Bonne journée madame!"

L'agent qui conduisait les mena ensuite à l'hôtel. Kaito fut déçu, il ne savait pas à quoi s'attendre mais espérait quelque chose de plus agréable. Mais non, la vérité était là, la police payait donc ils ne seraient pas logés dans un 4 étoiles. Alors oui l'hôtel était propre mais proposait le service minimum. Un petit hall d'accueil donnait sur un escalier qui menait aux étages, pas d'ascenseurs. Le réceptionniste les avait scruté avec méfiance, se demandant si ce couple ne venait pas juste pour forniquer, comme ça arrivait parfois. En plus, la fille paraissait dirigé, le jeune devait être son casse-croûte. Son observation fut interrompue par le policier en civil qui lui grommela quelque chose assez sèchement. Il récupéra la clé et les accompagna à leur chambre. Il en fit le tour et annonça qu'il en avait terminé et qu'i partait. Il lâcha quand même gratuitement un ...

"Bonne baise Rayan!"

Kaito fit semblant de ne pas avoir entendu. Bonne baise ... fallait pas rêver et ....

"Mais ... y'a qu'un grand lit!"

Le flic l'entendit et du couloir lui cria.

"C'est tout ce qui reste, sinon c'est chacun sa chambre, profite en mon gars!"


C'était mort, il ne pourrait plus jamais regarder Rayan en face. Kaito jeta un coup d'œil par la fenêtre. ils étaient au troisième et dernier étage et n'avaient pas de vis à vis. Juste devant l'hôtel s'étendait un  parc sans âme. Ils logeaient dans les faubourgs de Seikusu. Apparemment, il devait rester disponible  au cas où il devrait être interrogé à nouveau.

La chambre était propre, le lit en occupait une bonne partie mais sans être large non plus. Une salle de toilettes attenante avec une douche représentait les commodités. Les toilettes étaient collectifs, dans le couloir. Pour tout autre meuble, seuls un bureau et une chaise, et deux chevets de part et d'autre du lit complétaient l'ensemble. C'était assez spartiate.

Kaito osa alors regarder la policière.

"On ... on fait comment avec le lit? Et pour manger?"

Leur proximité allait devoir nécessiter quelques calages.


Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 3 samedi 10 juillet 2021, 11:33:07

Les consignes de la policière étaient claires et Kaito ne comptait pas les transgresser. Il ne tenait pas à tomber nez à nez avec le truand de la ruelle qui lui avait promis tout un tas de sévices effrayants. Ensuite, bonne nouvelle, ils allaient changer d'hôtel. Il se voyait difficilement rester ici jusqu'à ce que l'enquête aboutisse. Tout était vieux dans cette chambre et rien n'était fait pour qu'on s'y sente bien. Néanmoins, il refusa tout net quand elle affirma qu'elle allait dormir sur la chaise.

"Ah non, pas question! On ... on fera avec le lit, et puis si en plus dans le prochain hôtel, il n'y en aura qu'un, autant commencer maintenant."

Il rougit fortement.

"Enfin, je veux dire que ça sert à rien. Vous serez juste fatiguée demain donc autant dormir confortablement."

Elle était partie se rafraichir à la salle de bain et Kaito ôta ses chaussures pour s'installer sur le lit. Il alluma le vieux téléviseur qui ne diffusait que les chaines d'état et mit le son en sourdine. Ca allait être long ... Sa colocataire sortit de la salle d'eau et il fit les yeux ronds avant de rapidement détourner le regard. Elle n'avait plus rien de policier et était super sexy dans ses vêtements courts. Décontractée ... ouais c'était bien le terme. La position sans gêne qu'elle prit après sur la chaise ajoutait en plus un rien de vulgarité qui émoustilla le garçon.

"Euh ... oui, je veux bien, merci."

Kaito ne consommait que rarement de l'alcool mais quand une bombe sexuelle vous proposait une canette, c'était difficile de refuser. Il se leva et vint prendre la bière qu'elle lui tendait. Il put ainsi profiter de la vue plongeante dans le décolleté de Rayan et il se dit qu'il aimerait bien s'y  loger un peu. Il adorait les grosses poitrines et là, il était servi. Il ouvrit sa canette et but l'amère boisson. Il grimaça, le houblon, c'était pas son truc. Assis sur le bord du lit, face à elle, il laissa son regard trainer un peu sur les courbes de son corps, passant de ses lèvres, à ses seins et descendant jusqu'à ses cuisses. C'était indécent et après un clignement d'yeux, revint à la réalité.

"Et ... vous ... vous avez un physique de ... Enfin je veux dire, vous avez l'air sportive non? Vous pratiquez une discipline?"


Ils parlèrent un peu puis Kaito se leva pour prendre quelques affaires et passer à la salle de bain. C'est vrai qu'il faisait chaud. Il se débarbouilla à l'eau froide qui lui fit du bien. Il passa ses affaires en s'apercevant qu'il avait oublié son boxer dans son sac. La honte, il n'allait quand même pas demander à Rayan de lui donner. Tant pis, il le passerait plus tard. Il enfila son short et un t-shirt sans forme et revint dans la chambre.

Il s'installa sur le lit sans faire attention que son sexe libre pendait le long de sa cuisse, exposé bien malgré lui. Le sexe de Kaito n'était pas petit. Bien au contraire, et sans exagération, c'était plutôt un gros modèle qui une fois bien tendu, dépassait les lois de la normale. Le jeune homme farfouilla un peu sur son téléphone, jusqu'à l'heure du repas.  Ils décidèrent de commander et un livreur déposa à la réception un assortiment de plats traditionnels. Si il commençait à manger n'importe quoi, sans activité sportive, ça ne le ferait pas!

Ils mangèrent comme ils purent. Kaito avait tiré le petit bureau contre le lit pour qu'ils soient face à face. Rayan n'avait aucune pudeur et elle s'exposait sans imaginer le trouble que ça engendrait chez l'étudiant. Penchée en avant, la poitrine écrasée sur le bureau, elle offrait au jeune homme une vue directe sur ses atouts. C'était tellement sexy qu'il eut une érection quasi immédiate qu'il garda cachée sous le bureau. Mais elle ne passa pas  et quand ils eurent terminé, il se jeta à plat ventre sur le lit en feignant de consulter sa messagerie.

"Je ... je débarrasserai plus tard!"

Et oui, mais dans un endroit si clos, leur proximité était évidente et il bandait comme un taureau. Merde Kaito! Calme toi bon sang! Pense à autre chose! Ce fut même pire quand elle s'installa à côté de lui pour regarder la télévision. Le programme était nul et Kaito bailla à s'en décrocher la mâchoire. A un moment il fallu bien qu'il se lève pour aller se brosser les dents. Ils allaient se coucher et rien n'allait. Dès qu'elle bougeait, elle le touchait et il n'en pouvait plus. Il profita qu'elle aussi passe à la salle de bain pour virer son short et son t-shirt et enfiler un slip, trop petit pour le contenir dans cet état. Il se glissa sous le drap et attendit que la flic sexy décide si oui ou non elle allait se coucher avec lui.

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 4 dimanche 11 juillet 2021, 16:50:33

L'agent Rayan est une exhibition permanente. Il ne se passe pas un instant sans qu'elle est une partie de son corps à montrer, bien qu'elle ne s'en aperçoive pas. Même en fermant les volets, elle est sexy. Son "pyjama" est outrancier. Kaito est bien d'accord pour que la tenue de nuit soit confortable mais là, comme depuis le début, ça va encore plus poser problème. C'est court, très court. Quand elle vient se coucher près de lui, une onde électrique le traverse. Il a son odeur dans le nez, sa peau contre la sienne, sa respiration calme est toute proche ...

Bien évidemment, elle s'endort en deux temps trois mouvements et lui, tout au contraire, n'y arrive pas. Il en a besoin mais dans la pénombre à ses côté, la policière représente un problème à résoudre. Kaito tente bien de trouver une position adaptée mais la qualité du matelas ne l'aide pas. Mou en son centre, leurs corps y glissent pour venir se lover l'un contre l'autre. Et en plus de ça, Rayan est une sangsue qui ne le lâche pas. Elle l'escalade, lui passe dessus, l'enserre, le touche de toutes les manières possibles, tant et si bien qu'à nouveau, il se retrouve avec une érection digne d'un acteur porno. Ce manège dura un moment, elle était hyperactive même dans son sommeil. Kaito s'assit dans le lit, c'était un carnage, le drap en boule à leurs pieds, l'oreiller avait volé, elle prenait toute la place et lui n'en avait pas pour se reposer. Le jeune homme se leva discrètement pour regarder l'objet de sa contrariété mais son énervement s'évapora dès qu'il vit dans quelle position elle était. Un appel à la baise .... C'est ce qu'il se dit. Elle dormait et maintenant qu'il s'était levé, elle prenait vraiment toute la place! Les volets étaient usés, tordus. Ils n'occultaient qu'à moitié les lueurs nocturnes de la rue. Kaito se tenait au pied du lit devant la demie nudité de Rayan. Oui, il voyait bien les lignes étirées de son boxer sur son intimité, oui il lorgnait sur sa poitrine presque échappée de son débardeur. Instinctivement, sa main se posa sur son sexe et il se frotta en la matant. En reculant, il heurta le coin du bureau qui grinça doucement. Elle ne bougea pas d'un iota. Elle avait bu de l'alcool, bien plus que lui qui y avait seulement trempé les lèvres, et après cette journée usante, elle devait être particulièrement fatiguée. Une idée saugrenue passa par l'esprit du jeune homme. Il attrapa son smartphone et en silence prit quelques clichés de la femme endormie. D'ailleurs elle pouvait bien se réveiller, il dirait juste qu'il n'arrivait pas à dormir. En revanche, si elle la voyait, ce serait difficile d'expliquer pourquoi il présentait une érection, quoique .... Kaito fit le tour du lit pour se pencher sur elle, elle sentait l'alcool. Et si ....

Il laissa ses doigts glisser sur le ventre ferme de la policière, remonta jusqu'au débardeur relevé et vint caresser la peau souple de ses seins. De nuit, il paraissaient encore plus gros. Une branlette espagnole entre deux mamelles comme celles-là devait être divine. Il redescendit mais n'osa pas passer ses doigts sous l'élastique du boxer. Bon sang, qu'il avait envie de se la faire! Bien que ce n'eut pas été dans sa nature, tout se compilait pour que l'inévitable arrive. Il eut une idée. Il revint se coucher à sa place en la repoussant doucement. En se tortillant, il baissa son slip sur ses cuisses et tout doucement, il guida la main de Rayan sur sa queue. Il réussit à entourer son sexe des doigts de la jeune femme. Il suintait déjà et fit un effort pour garder le contrôle. Fin prêt, il toucha fermement l'épaule de la policière.

"Agent Rayan? Agent Rayan, réveillez-vous ..."

Il savoura presque la suite.

"Vous me lâcher pas depuis un moment, j'en peux plus là ..."

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 5 dimanche 29 août 2021, 18:03:51

Même s'il s'attendait à une réaction excessive de Kimiko, Kaito fut vraiment surprit par celle qui survint. Kimiko s'enfonça dans un imbroglio d'explications confuses dont il résultait quand même un point important. Elle avait remarqué le sexe du jeune homme et n'y était pas indifférente. Elle s'emmêlait, et dans ses mots et dans ses gestes. C'était une facette d'elle inhabituelle. Jusqu'à présent, elle s'était montrée sûre d'elle et précise dans la gestion de ses émotions. Là, à quatre pattes, à moitié nue, c'était une toute autre femme. Une femme ... avec ses besoins ?

L'esprit de Kaito ne fit qu'un tour quand il aperçut la vulve de la policière qui se débattait  dans les draps. Trop sexy! Par réflexe, il prit son smartphone et prit un cliché de la scène.  Il offrit un sourire contrit en guise d'excuses mais ne comptait pas s'arrêter là.

"Vous êtes super belle agent Rayan."

Il bougea sur le lit et d'un geste vif glissa pour s'asseoir derrière elle, le sexe dressé comme un pic. Elle avait dit ce qu'elle avait à dire et en plus elle l'avait presque masturbé, il n'en fallait pas plus. Le jeune homme enfouit son visage entre les cuisses de la policière et inhala l'odeur de son vagin.

"Et vous sentez bon."


Il glissa sa langue entre les lèvres intimes et lécha pour s'imprégner de son goût. Il adorait, elle était sucrée. Le bout de son nez vint titiller l'anus fermé de Kimiko et il trouva amusant de la voir se trémousser. Il n'écoutait pas ce qu'elle disait mais il lui ceintura les cuisses de ses bras pour l'empêcher de s'échapper. Il lapait le vagin exposé à s'en repaitre. Novice en la matière, il ne savait si elle y prenait du plaisir ou non mais curieusement il se dit qu'il n'y avait pas que de la salive qui humectait ses lèvres. Il avait adoré la voix de Kimiko, horriblement gênée et tellement sexy. Y penser lui donnait plus d'ardeur et rapidement, ses coups de langue laissèrent la place à une avalanche de baisers et de pincements. Il serrait les lèvres de la jeune femme entre les siennes, tirait, titillait, éprouvait, s'en délectait. Le clitoris était un petit bijou qu'il n'oublia pas. Il n'en connaissait pas la fonction exacte mais devina que c'était d'une importance capitale. Il s'y attarda longuement et fut satisfait du résulta. Ensuite, sa langue s'introduisit, timidement d'abord, dans le vagin dégoulinant pour s'apercevoir qu'il était brûlant. Y jouer était un véritable plaisir et il prit soin d'explorer chaque millimètre des muqueuses internes.
Pour bien se caler, il tira Kimiko à lui, ses fesses s'écrasant sur son visage. Son sexe effleurait le ventre de sa protectrice et y laissait des trainées collantes. Il voulait plus, beaucoup plus, il s'imaginait la prendre comme dans les vidéos qu'il matait sur le net. Il voulait tout tester avec elle, il voulait s'essayer à toutes les pratiques, des plus mignonnes au plus cochonnes. Devant lui, il voyait le haut des fesses de Kimiko s'agiter, il voyait la cambrure de son dos et les muscles dessinés de ses dorsaux. Sa crinière blanche éparse, il voulait l'agripper et la maintenir à sa merci.

Mais l'odeur de la jeune femme le retint, il n'arrivait pas à se décoller de sa chatte luisante. La dévorer était son plaisir ... et il espérait en procurer à la jeune femme. Il ne voulait absolument pas la décevoir ni montrer qu'il n'y connaissait rien en matière de plaisirs charnels. Kaito voulait offrir un orgasme à cette femme qui en vérité était presque sa première vraie fois.

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 6 jeudi 24 novembre 2022, 11:11:18

Kaito est fier de lui. Non seulement, il trouve qu'il s'en sort super bien alors qu'il nage un peu dans l'inconnu, et en plus l'agent Rayan semble y trouver autant de plaisir que lui alors qu'elle aurait pu lui coller une baffe  ou le repousser pour le sermonner sévèrement. L'approbation de la policière à ce traitement lui insuffla la volonté de ne plus jamais lâcher prise avec elle. Elle était son aînée de plusieurs années, surement bien plus expérimentée que lui et peut être prête à bien plus que quelques léchouilles. Kaito raffolait de pornos sur le net et avait une idée très précise, bien que théorique, des choses qu'il avait vraiment envie d'essayer. Et puis, Kimiko était un canon et s'il arrivait à se la garder comme petite copine, il ferait la jalousie de bien des mecs, dont ses potes, tous casés, qui se moquaient de lui assez souvent.

Sans trop savoir où allé, il continua de l'explorer de sa langue et une fois bien à l'intérieur, il aspira pour avaler les fluides de sa protectrice. Le goût était ... pas désagréable bien qu'un peu amer et assez fort. Il recommença bruyamment tout en agitant sa langue. Il toucha peut être un truc sensible car elle faillit lui briser le cou quand elle sursauta. C'était marrant en vrai et il essaya à nouveau de la faire réagir, ce qui fonctionna plutôt bien. Il venait de découvrir un point ultra sensible sans pouvoir y mettre un nom qu'il apprendrait bientôt. Des deux mains, il écartait les fesses de Kimiko pour pouvoir accéder à cette vulve délicieuse et encore une fois, sans le vouloir, il eut accès à une nouvelle surprise. Son majeur glissa et s'enfonça jusqu'à la première phalange dans cette si jolie rondelle qu'elle exposait. C'était doux et chaud à l'intérieur et il agita le bout du doigt pour voir ce que cela faisait. L'anneau élastique réagissait bien et semblait animé de sa propre volonté, se contractant et se détendant autour de lui.

Kaito plongea son visage entre les cuisses de Kimiko pour l'ultime assaut et faillit se perdre tant il y était bien. Quand il se retira de quelques centimètres, il se dit qu'il venait de passer dans une essoreuse tant il avait été secoué. Son visage était collant de ... pleins de trucs et il maintenait toujours son doigt en elle.

"Vous avez joui agent Rayan?"

Sa question témoignait de son ignorance des connaissances de base en matière de sexe. Il apprendrait avec le temps. Que devait-il faire maintenant? Le jeune garçon bandait dur et il n'avait qu'une envie: profiter de cette femme splendide jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Elle avait tout pour lui plaire. Elle était belle, forte, confiante, sympa ... une bouche kiffante, un cul divin, une chatte accueillante ... Parfaite en somme!

Mais il ne fallait pas tenter le diable non plus. Enfin, pas trop ... Pour certaines choses, il fallait des autorisations et si leur relation, celle qu'il voulait, devait durer, alors il fallait le consentement de Kimiko. Kaito se hissa sur le dos de sa belle en continuant à bouger le bassin. Sa queue suivait de bas en haut et inversement la ligne sacrée reliant l'anus au vagin de la policière. Il s'y frottait volontairement ne voulant rien perdre du terrain gagné.

"Agent Rayan, je peux pas m'arrêter, vous êtes trop belle. J'ai envie de vous. Est-ce qu'on peut ..."

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 7 vendredi 24 février 2023, 15:52:32

"Si vous ..... GGNNNNNNNNNNNNNNN!!!"

Elle a passé sa main entre ses cuisses pour lui attrapé la queue. Kaito écarquille les yeux au contact de ses doigts un peu froid. Il se raidit mais la sensation est vite effacée par la chaleur qui l'entoure soudainement. C'est un plongeon direct dans un cratère remplit de lave en fusion.

"AAHHHHH ! Agent Rayan!!"

Elle crie, elle approuve, elle en veut! Elle est dans le même état que lui et Kaito n'a plus besoin de se soucier si ce qu'il fait est moralement correct. Il n'est plus un enfant et même si leur relation découle d'une malencontreuse situation et qu'ils devraient strictement se contenter d'être prudents et discrets, il est heureux de la tournure commune des évènements.

ALez! C'est vrai après tout! La policière est la femme de rêve que tout ado aimerait avoir dans son lit et c'est bien ce qui arrive pour Kaito. Une pensée fugace lui traverse l'esprit ... il espère bien que ce ne sera pas la seule et unique fois avec elle et qu'elle ne décide pas de recadrer les choses plus tard. Donc, il doit être performant et donner un maximum de plaisir à la jolie policière.

Kaito n'attend pas plus. Il s'affale sur le dos de Kimiko, les jambes bien solides plantées au sol et indéracinables. Son fessier se lève et s'abaisse alors qu'il l'embrasse entre les épaules, le visage perdu dans la masse de cheveux blancs, tellement beaux. Il vient aussi la peloter, tentant de contenir ses gros seins dans la paume de ses mains. Ce n'est évidemment pas suffisant, Kimiko joue dans la catégorie des vaches laitières et aucun homme n'aurait la main assez large pour jouer avec elle. Aussi Kaito la saisit à la base des seins et serre comme s'il voulait la traire.

Oh qu'il la prend vite et fort! Chaotiquement  en vérité. Il faut qu'il se calme mais il est comme aspiré par ce vagin de folie.

"AAhhhhhAAaahhh ! C'est ... trop ... bon! Vous ..."

"SILENCE!!!! ONVEUT DORMIR ICI!!!"

L'horreur! On les a entendu! Kaito se pétrifie en se logeant au plus profond de Kimiko. Autour de sa queue, c'est un véritable maelström utérin. Elle est bruyante l'agent Rayan!

"Chhhuuuuuuuttttt"

Mais rien n'y fait. Le garçon panique, se redresse, sa queue pressant dans le vagin dégoulinant. Le corps de Kimiko se relève un peu, en tension, suit le mouvement, emmené par cette queue rigide. Kaito parvient à chopper un oreiller et le glisse devant le visage de Kimiko. Un grand coup de rein l'y projette et elle s'y écrase.

"Chhhuuuuuuttttt!"

Maintenant il peut y aller et son ventre claque fermement contre ce cul d'anthologie et dans lequel d'ailleurs il introduit un pouce, comme il l'a vu dans un film.

"HAN HAN HAN!!"

Du coup c'est lui qu'on entend maintenant.

"MAIS C'EST PAS FINI??? JE TELEPHONE A L'ACCUEIL!!!!!"

OH NON!!



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 8 mercredi 08 mars 2023, 21:57:12

La dynamique est lancée et ils ne peuvent plus s'arrêter. Kaito se sert tant qu'il le peut de ce corps exceptionnel et sa policière d'amante impose aussi son rythme que le garçon peine à tenir. L'agent Rayan est ultra sexy mais elle est aussi ultra forte et Kaito s'accroche à elle pour ne pas être renversé. Il la pénètre profondément et elle vient s'empaler sur lui. Il voudrait cesser que ce ne serait pas possible tant elle y met d'ardeur. Le sexe du jeune homme est comme aspiré par une succion brulante et vient s'enfoncer dans des entrailles douces, accueillantes et noyées de plaisir. Il est hypnotisé par son doigt prenant possession des fesses de Kimiko. Le sphincter serré s'écarte à chaque passage de sa phalange pour se refermer derrière. Là aussi, la sensation est particulièrement agréable. Si l'agent Rayan accepte un doigt, alors ...

C'est un vrai fantasme de mec la sodomie, et Kaito n'y échappe pas. Ses actrices pornos favorites excellent toutes dans ce domaine. Mais il est un peu trop tôt pour demander une chose aussi particulière. Là, ce n'est qu'un doigt. Autre chose, elle n'accepterait peut être pas. Et puis il n'a pas à se plaindre de la situation actuelle qui reste merveilleuse. Il fait l'amour à une superbe femme comme il en a rêvé toute sa vie.

Et ils s'emballent! Enfin ... elle surtout. En un mouvement, elle le désarçonne, preuve qu'elle est totalement partante pour faire ce qu'ils font, sinon elle y aurait mis fin sans difficulté. Kaito se retrouve assis par terre, un peu surpris. C'est fini ... ou?

"Que...?"

C'est le coup de l'oreiller qui ne passe pas? Mais non, apparemment pas. La panthère blanche se retourne pour lui faire face, offrant une vue imprenable sur son énorme poitrine qui balance comme un pendule bien équilibré. Des obus pareils, c'est à peine concevable. Comment fait-elle pour les porter sans se casser le dos? Elle ondule au dessus de lui et Kaito lèche au passage les grosses mamelles qui manquent ensevelir son visage. Il est tendu à l'extrême, avide d'encore plus de sexe et elle prend quelques secondes pour le titiller un peu. Elle est cool Kimiko alors elle ne le torture pas trop et revient vite l'embrasser. Kaito lui attrape ses gros seins, les moleste un peu alors qu'elle lui saisit la queue pour ...

"AH!!"

Ca fait mal! C'est ...serré! Pourquoi? Kaito lève les yeux sur le visage de son amante qui pousse un cri. Vite, il lui couvre la bouche de sa main.

"Agent Rayan? Ca...ça va?"

Ca fait mal là! C'est pas une blague!  Kimiko a le visage de celle qui s'emmanche un baobab s'en s'y être préparée. Il baisse les yeux et ... manque crever de bonheur. Kimiko a les cuisses écartées et lui présente une vulve dégoulinante mais vide de toute queue. Celle de Kaito se trouve un niveau derrière, à demie enfoncée dans un rectum étroit et dont l'accès n'est pas aussi ouvert que son alter égo de devant. Le garçon devient aussi rouge qu'une tomate. Il a les yeux exorbités devant cette opportunité d'exception . Il se redresse sur les coudes, apparemment Kimiko s'est trouée sur le bon chemin à prendre, d'où son cri. Mais maintenant qu'il ont commencé et qu'elle ne grimpe pas aux murs de douleur, pas moyen d'arrêter. Il se redresse d'un coup et l'enlace. Les gros seins viennent se poser sur ses épaules et il la tire vers le bas. La douleur est là mais bien moindre que le plaisir qu'il prend. Il abaisse la policière sur lui et l'emmanche complètement. Sa queue fouraille dans des entrailles bien chaudes qui le compriment. La peau de sexe est tirée à l'extrême, vers la base. Il sent que quelque chose est prêt à craquer alors il relâche un peu la pression, ajuste leurs corps emboîtés et reprend son mouvement, gardant les bras de Kimiko serrés contre son corps. Il la baise, il l'encule, maladroitement c'est sûr, chaotiquement c'est certain mais il ne cesse d'investir ce trou du cul divin. le passage s'adapte petit à petit, facilitant dorénavant la pénétration. Le poids de l'agent Rayan fait le reste. Il veut l'embrasser mais n'y arrive pas. La crinière blanche en bataille s'invite aussi dans la danse et il peut en sentir le parfum personnel de Kimiko. Le jeune Kaito commence à tomber amoureux de cette beauté froide qui s'avère être aussi volcanique que l'Etna.

Quand les hanches de Kaito commencent à le brûler, il bascule sur le côté puis réussit à passer sur Kimiko sans quitter l'écrin de ses fesses. L'anal en missionnaire, c'est beau car il peut enfin l'embrasser et lui murmurer des trucs que seul Roméo pourrait dire à Juliette. Il donne du bassin, ayant à présent toute l'amplitude nécessaire pour sodomiser sa belle. Il glisse ses mains dans les siennes, enlace leurs doigts et entame un lente et très profonde pénétration qui n'a pour seules limites que leurs capacités physiques.

"A...Agent rayan, c'est merveilleux!!"

Il est gros en elle, son sexe palpite de bonheur.

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

Réponse 9 vendredi 17 mars 2023, 11:03:19

Ca y est! Kaito avait enfin les profondeurs anales de la policière. Il ne pouvait pas aller plus loin et il menaçait de se répandre en elle à tout instant. Les sensations étaient démentes et il peinait à se retenir. Le moindre mouvement de Kimiko était une atteinte à sa résistance et sa queue vivait un véritable essorage dans ce rectum ultra serré mais glissant et accueillant. Les chairs dans lesquelles son gland s'enfonçaient étaient molles et enveloppantes. Le garçon mit un moment  à se stabiliser et put ensuite s'affairer à combler leur bonheur à eux deux. Il apprit à écouter les appels du corps de Kimiko et y répondit de la manière qu'elle attendait surement. Quand elle frémissait, il prenait soin de s'attarder sur la zone sensible et s'y frottait jusqu'à ce qu'elle se tende. Dire qu'elle était forte était un euphémisme. Sous ses formes délicieuses, l'agent Rayan était musclée et tonique et plus d'une fois elle le souleva. Là, il pressait fort et la plombait pour la ramener au sol, faisant usage de son corps comme d'un poids pour la contraindre sous lui. Par instant, ils semblaient pris de furie et s'emballaient, se maltraitant l'un et l'autre, frappant leurs hanches et déclenchant des successions de cris rauques.

Kaito se noyait de plaisir dans cette sodomie alliant douceur par moments et déchainement dans d'autres. Il l'embrassait avec passion, profitant de l'exceptionnelle opportunité qu'elle lui offrait. Les gros seins de Kimiko valsaient, lourds et massifs et Kaito les prit par les côtés pour les garder en place sous son nez. Ses doigts s'enfonçaient dans ces globes volumineux et il en lécha les tétons, n'ayant plus accès aux lèvres de Kimiko. Ses hanches bougeaient à présent lentement, poussant la pénétration anale à un stade intense de profondeur et de possession. Il devenait dur de se contrôler et Kaito soufflait entre les masses lourdes de l'énorme poitrine qu'il maintenait bien en place.

Qu'importe les protestations du voisin mécontent, il s'adonna sans compter à ce labourage en règle et se vida massivement au fond du rectum de Kimiko quand il ne put plus tenir. Epuisé, il s'affala sur la policière, toujours profondément fiché en elle, secoué de spasmes de plaisirs et marinant dans sa semence. Il mit quelques minutes à se reprendre et se redressa pour contempler le visage de Kimiko, aussi ravagé que le sien. Elle lui avait compressé la queue lorsqu'il avait joui, le déstabilisant presque. Il s'était senti purgé de force comme si elle voulait aspirer tout son jus. L'orgasme avait été très violent, très bruyant.

Ils étaient trempés. Il se recula un peu et sa queue jaillit de l'anus de la policière comme un ressort ne demandant qu'à se détendre. Sans préparation, les résultats d'une sodomie pouvaient laisser quelques surprises pas très propres mais il ne s'en étonna même pas et s'excusa seulement quand il fila à la salle de bain. Il en ressortit tout sourire et propre, nu; il n'avait plus rien à cacher. Ces quelques minutes sous l'eau brûlante lui avait permis de réfléchir un peu et même s'il planait un peu sur son petit nuage rose, il s'était décidé comme un jeune adulte responsable. Leur ... petit moment intime ne pouvait pas rester un coup d'un soir, c'était hors de question.  L'agent Rayan paraissait sérieuse et professionnelle, sans aucun doute, elle l'avait montré et Kaito lui faisait totalement confiance. Si elle s'était livrée ainsi ... c'est que quelque chose avait matché entre eux.

Ils se croisèrent quand elle alla elle aussi se laver et il l'intercepta pour l'embrasser. Cette énorme poitrine posait problème et il l'écrasa pour parvenir à ses fins. Les possibilités pour s'amuser avec devaient d'ailleurs être infinies ...

"Merci agent Rayan! C'était merveilleux! J'espère que vous avez aimé aussi?"

Ce vouvoiement persistait mais il indiquait tout le respect que Kaito avait pour elle.

"Je vous attends au lit!"

Il fonça se tasser sous la couette et l'écouta se doucher. Quand elle revint dans la chambre, il dormait, la bouche ouverte sur un doux ronronnement. Le reste de la nuit se déroula paisiblement et c'est seulement à une heure un peu tardive que Kaito ouvrit les yeux. Kimiko dormait et il se leva sans bruit pour aller aux toilettes. C'est à ce moment là qu'un coup frappa à la porte et comme il passait devant, Kaito eut le réflexe d'ouvrir.

Le gérant de l'hôtel se tenait là, visiblement mécontent.

"Jeune homme, vos voisins se sont plaints de ... des nuisances sonores de vos activités nocturnes, donc je vous demande à vous et votre amie de libérer cette chambre pour midi, c'est bien compris?"

"Euh ... oui ... enfin ..."

Kaito entendit les draps bruisser derrière lui.


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