Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Le parc et son sous-bois

Un bon coup ? Non une belle plante ! [Akita Celebrindal]

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Akita Celebrindal:
Les yeux, ou du moins ce qu’il tient lieu de récepteurs de lumière chez la femme-plante, observent la nouvelle venue sous les effets de son nuage aphrodisiaque. Avec le temps, elle sait discerné les effets des substances qu’elle génère sur les êtres de chair. Ainsi, les être de chairs suent, comme elle, sous l’effet de la chaleur, qu’elle provienne de l’extérieur de leur corps ou de l’intérieur. Et l’excitation que génère la substance présente dans l’air provoque cette sudation. En plus, de part de son expérience douloureuse vécue en laboratoire, l’héritière du Grand Arbre sait que la sueur peut accentuer les effets de ses substances.

Les caresses sur la vrille ne laissent aucun doute possible sur l’état de la nouvelle venue. Conciliante, Akita rend la vrille la plus douce possible. Cette dernière vient caresser les joues et effleurent les lèvres de la jeune femme. Ces mouvements répétés indiquent clairement l’intention de la vrille. Hardie, la femme-plante agit rapidement. Deux vrilles serpentent derrière cette future amante. L’une des vrilles glisse par l’ouverture du col élargie. Passant derrière la nuque, elle descend lentement le long du dos, bien au milieu et atteint le postérieur de la jeune femme. La vrille se glisse entre les fesses, entre les jambes et son extrémité vient caresser le bas de l’intimité. Par ses mouvements, elle caresse l’entre-fesse et l’orifice qu’elle cache. L’autre vrille passe également par le col, mais se glisse devant. Telle une racine, elle se divisent en plusieurs branches. Deux d’entre elles se glissent sous la poitrine, puis remontent sur chacune des seins, venant caresser leurs sommets et massant et caressant, au passage, les seins. Les autres branches poursuivent leur descente, passant le nombril et le pubis, elles atteignent l’intimité. Le clitoris est alors caressé, ainsi que les lèvres intimes, internes et externes. En contact direct avec la peau, la substance aphrodisiaque a des effets beaucoup plus puissants.

Malgré sa hardiesse à agir, Akita reste caché, dans l’ombre et pourtant si visible, des vrilles prêtes à déshabiller la jeune femme. Ce n’est guère la peur qui commande ses mouvements, mais plutôt la curiosité de voir comment va réagir la jeune femme et si la nécessité fait qu’elle doit se dévoiler.

Sydney Hutchins:
Sydney était clairement en chaleur, contrairement aux idées qui ne l’étaient plus. Qui serait assez saint d’esprit pour vouloir faire une fellation à une vrille végétale ? Car Sydney ne se gêna pas à le faire. Et en bonne Magical girl qui se respectait, en tant qu’aimant à tentacule elle vous dira que là, ce n’était pas gélatineux ! Et si elle ne prit cette tige en bouche pour le moment, elle se contenta d’enrouler sa langue et de lécher cette extrémité végétale comme un cornet de glace, tout en le caressant du bout des doigts. C’était plus doux qu’auparavant, peut-être que cette chose arrivait à comprendre ce que voulait exactement Syd au moment où elle avait traversé cette zone boisée. Quant au goût ? Il avait un gout de sève sucré avec un sévère goût de «reviens-y», que Sydney identifia assez facilement comme de l’aphrodisiaque pour la simple et bonne raison qu’elle aura les idées encore moins clairs. Et vu la manière dont la miss s’y prenait avec sa langue et ses yeux amoureux devant l’objet de ses désires, cette dryade venait de tomber sur une humaine que beaucoup d’hommes qualifieraient comme «bonne suceuse». Et dire que les grognasses de Mishima l’insultent de «sale gouine» dès qu’elle avait le dos tourné au lieu de surveiller leurs copains...

Et si la femme-plante s’était montrée particulièrement active avec ses vrilles, la jeune femme s’appuya davantage le dos sur l’arbre au fur et à mesure qu’elle avait descendu dans le dos. Ce n’était pas tous les jours que quelques choses viennent se promener sur cette zone. Elle se pinça les lèvres lorsque cette vrille arriva à destination. Quant à l’autre, même si l’apparition de racine la déstabilisa quelques peu, à cause d’une sensation qu’elle ne connaissait pas, elle en comprit assez vite l’origine puisqu’elle posa son autre main sur l’un de ses seins, le caressant seulement qu’une dizaine de seconde le temps qu’elle comprenne qu’une des racines allaient plus bas. Si elle libéra son sein, se fut seulement pour descendre sa main et déboutonner son jean pour y enfiler sa main. Si sa main s’enfila dans la culotte, se fut au passage pour y élargir un peu plus l’élastique et y mettre facilement son poignet. Ce qu’il y avait de dedans semblait visiblement être des sortes de radicelles tout aussi doux que ce qu’elle léchait actuellement. Si certains doigts caressèrent le clitoris, d’autres en faisait autant sur les branches.

Les quelques gémissements qu’elle lâcha fut les seuls véritables moments où elle abandonnait sa «fellation», mais à voir son comportement, cette fille avait errer dans cette zone  pour prendre son pied si on devait utiliser le jargon typique au terrien. Vicieuse ou non, cette jeune fille avait au moins le mérite d’essayer de partager ses sensations même s'il lui manquait l'information comme quoi cette mystérieuse plante pouvait les ressentir ou non.

Akita Celebrindal:
La nouvelle-venue semble clairement apprécie la façon dont Akita la traite. Cette dernière sait à quel point ses fluides peuvent être efficaces. Mais il n’y en a pas assez sur la jeune femme pour qu’elle réagisse ainsi. Aussi étrange que cela apparaît à la femme-plante, sa prise semble être venue de son plein gré dans cet endroit et pour sciemment assouvir ses désirs, même avec un être dont elle ignore tout. En réponse aux délicates attentions sur la vrille qu’elle savoure, cette dernière lui offre un peu de nectar, semence végétal qu’Akita produit. Pour l’aider dans la quête de plaisir de l’être de chair, l’être végétal fait glisser lentement, à l’aide de ses vrilles. Les vêtements et sous-vêtements qu’elle porte, la femme-plante prend son temps, mais il lui en faut peu pour que la nouvelle venue se retrouve entièrement nue. En même temps, la dame verte sort de sa cachette et se dirige lentement vers son "amante."

Son apparence est l’originelle, mais avec quelques ajustements. Sa poitrine est plus voluptueuse que d’habitude, sa taille légèrement plus grande et un membre masculin turgescent de bonne taille se dresse au-dessus d’un vulve de masquant rien de ses lèvres intimes. Akita se dirige lentement en direction de l’être de chair. Ses mains se glissent doucement sous les bras de cette dernière et plonge ses étranges yeux écarlates sur ceux de l’humaine.

"-Tu fais du bien à Akita, alors Akita va te faire du bien aussi."

Ses lèvres se pose alors dans le cou féminin, la langue se posant sur l’épiderme. Puis les lèvres glissent, lentement, descendant au-dessus, puis entre les seins. Elle glissent alors sur l’un d’eux, caressent l’aréole, puis viennent happer le téton. Elles l’aspirent, la langue le caressent avec gourmandise et lenteur. Il est délaissé alors pour son jumeau, qui subit le même sort. Les lèvres reprennent leur voyage, glissant sur le ventre, caressant le nombril avec la langue, embrassant le pubis, puis s’arrêter au niveau de l’intimité. Les mains ont également glissés, passant de sous les brans sur les côtes, pour se poser sur les hanches, puis sur les fesses. La bouche se soude alors à l’intimité et langue s’immisce entre les lèvres intimes, se fraie un chemin dans les chairs intimes, glissant le long du vagin, s’allongeant pour atteindre l’entrée de l’utérus. La femme-plante se met à remuer sa langue et aspira les fluides intimes, comme un papillon butine une fleur. Ses lèvres prennent la place de la main pour aspirer le clitoris. Ses mains caressent les fesses, les écartent, les rapprochent, les massent, un doigt vient, un instant, titiller l’œillet brun. Akita se régale tout en prenant tout son temps. Une fois rassasiée, elle se redresse et rive, à nouveau, son regard sur celui de la jeune femme. Les mains sont posées sur les fesses, sa poitrine contre la sienne, l’extrémité de son membre appuyé contre le sexe féminin de sa "partenaire". Les petites vrilles n’ont pas cessés de prendre soin des lèvres intimes de l’humaine.

"-Que désire l’humaine désormais ?"

Sydney Hutchins:
S’il y avait encore une once de réflexion avec un intérêt derrière la tête chez Sydney, cette vrille venait de lui offrir la réponse sous forme de nectar. De par sa nature de Magical girl, la jeune fille pouvait convertir tout fluide corporel en mana. Cette nature lui octroyant souvent l’étiquette de «aimant à viol» et avec toutes ses années derrière elle, la brune pouvait juger ce nectar digne d’être un bon millésimé. La légère et brève lueur aux iris de ses yeux venaient de le prouver, et d’une certaine manière, de trahir ses liens au monde magique : le peu de nectar que la miss venait de lécher et d’avaler venait d’emmagasiner plus de mana qu’elle aurait eu pendant les préliminaires avec une personne lambda au point que cela l’avait elle-même surprise. Et telle une drogue qui pouvait provoquer un certain extase, cette situation l’excita davantage au point de confondre cette vrille comme un bâton à sucer, le prenant cette fois-ci de pleine bouche, commençant des mouvements plus brusques avec sa main. Elle ne se rendit compte qu’un peu tard qu’elle était nue, ayant perdu le sens du temps pendant un moment, certainement dû à l’extase du nectar.

Lorsqu’elle rouvrit les yeux pendant qu’elle s’attelait à sa tâche, se fut pour voir une humanoïde verte se diriger vers elle. Une femme lié à la nature qui n’avait que d’humain son apparence. Pas une dryade à proprement parler mais Sydney n’allait pas chipoter sur les détails. La femme-plante, en voyant la réaction de l’humaine en se mordant un peu la lèvre, c’était plutôt «je m’en ferais bien mon quatre-heure».

«Contente que ça te plaise.»

Ce n’était pas dit que Sydney allait rester passive pendant cette nuit torride car si elle avait pu s’extraire de la main de son jean après qu’il ne soit plus sur elle, se fut pour donner une petite caresse à la fesse droite. Pas effrayée, voir même un poil entreprenante, il n’y avait pas à dire que Sydney savait que son comportement devait beaucoup la changer de ses Cro-Magnons qui devaient passer par l’habituelle étapes de la panique devant l’inconnu. Sydney ne pût s’empêcher de lâcher un léger soupir lorsqu’elle s’occupa de son cou et que la femme-plante descendait au fur et à mesure, s’appuyant davantage sur l’arbre derrière elle pour mieux se caler quand elle arriva  au bas du ventre. La suite, Sydney se fit un peu plus maladroite pour ce qui était de s’occuper de son cornet de glace, car il fallait avouer que la femme-plante savait s’occuper de ses invités, et que la rumeur qui vagabondait sur le net n’était pas abuser. Surtout qu’il ne s’agissait que de préliminaire. Sa main libre se promena sur cette étrange chevelure pendant que cet être fait de végétal lui donnait du plaisir. Et surtout, elle ne semblait nullement pressé ! Au moment où elle était rassasier, Sydney ne se limita plus à la caresse, puisque sa main appuya un peu sur sa tête pour que cette être n’en perde pas une goutte. Non pas qu’elle le veuille vraiment, le plaisir avait pris le dessus. Mais vu la façon dont elle butinait l’américaine, utiliser le terme «forcer» serait se moquer du monde.

Lorsqu’Akita cessa pour la regarder dans les yeux, la voir frotter sa poitrine contre la sienne, et commencer à appuyer son membre contre le sexe féminin, la question ne se posa pas : les deux individus en voulait plus. Alors oui, Sydney se serait bien mise à genou pour voir si ce qu’il y avait entre les jambes avaient le même goût que ce qui avait pu sortir de la vrille, mais elle savait que les préliminaires ne faisaient pas tout. Et puis si la question pouvait paraître inutile au premier abord, dans l’esprit de Sydney ça se limitait beaucoup de la façon dont elle voulait se faire prendre. Ses américains et la délicatesse... difficile à croire qu’elle avait passé le plus clair de son enfance au Japon qu’au pays de l’oncle Sam.

«Me faire prendre contre cet arbre.»

Akita lui avait demandé ce qu'elle voulait, pas faire preuve de délicatesse dans sa manière de demander. Mais la miss savait s’adapter. Sa partenaire étant bien plus grande qu’elle, sans demander son avis, la Magical Girl avait mis une main sur son épaule suivi d’un petit appui sur une de ses jambes pour être à bonne hauteur alors que la seconde s’enroula à la taille. Pour approcher davantage le bassin de cette belle plante, et surtout pour se faire pénétrer, la seconde main servant à guider l’objet de ses désirs.  Elle avait donné la bonne position pour Akita, et si il était difficile pour Sydney d’avoir une bonne positon pour dominer quoique ce soit, elle vous dira qu’en revanche, elle avait trouver la parfaite position pour se faire tringler comme il faut.

Akita Celebrindal:
La dame-plante ne se formalise pas lorsque l’humaine vient appuyer sur sa tête, tandis qu’elle se régale de son nectar intime. Elle n’avait nullement l’intention d’en laisser la moindre goutte. Autant par intérêt que pour remercier les délicates attentions portées à sa vrille par l’humaine. Pas plus de formalisme, lorsque l’humaine prend appuie sur elle pour avoir une bonne position. Son guide est la survie, pas la patience ou l’impatience ou bien les règles rigides de la bienséance ou de la bonne tenue en société. l’humaine a donc tout le temps qu’elle veut pour prendre une position confortable et pratique pour elle. L’expression "se faire prendre" n’était pas quelque chose qu’Akita pouvait comprendre aussi ne répondit-elle rien.

Le membre s’enfonce lentement dans le sexe de l’humaine. Étant d’une taille bien supérieure à la moyenne humaine, la femme-plante ne voulait pas blesser son amante et voulait aussi prendre son temps. Aussi, c’est avec délicatesse que le phallus végétale progressa dans les chairs intimes, les écartant et dilatant légèrement et de plus en plus la vulve de la jeune femme. Le membre progresse et touche l’entrée de l’utérus. Les mains vertes saisissent les fesses humaines et les soulèvent. Le dos calé contre l’arbre, l’humaine peut poser ses bras autour de la nuque d’Akita et ses jambes autour de sa taille. Les  lèvres végétales viennent se poser sur celles humaines et le baiser est prolongé un long moment. Elle rompt le baiser.

"Akita va donner beaucoup. Parce que tu es généreuse."

Le bassin commence de lents, profonds et puissants mouvement de va et vient, parcourant les chairs intimes, jusqu’à l’entrée de l’utérus, puis revenir à l’orée de la vulve, avant de reprendre son assaut. Un peu moins lentement à chaque mouvement, mais toujours puissants et appuyés. Les mains d’Akita massent les fesses, elles les écartent et un doigt vient tourner autour de l’orifice étoilé, le titillant, avant de le perforer, de se glisser dans l’obscur passage de toute sa longueur et de s’allonger pour ensuite remuer au rythme des mouvements de bassin. Sa voluptueuse poitrine glisse, caressant celle de son amante humaine. Seins contres seins, tétons contre tétons. La vrille vient de nouveau apprécié les délicates attentions buccales de l’humaine. Les petite vrilles continuent de jouer avec les seins et les lèvres intimes de la gourmande humaine. Malgré l’appui contre l’arbre, des vrilles viennent soutenir la jeune femme afin d’éviter qu’elle ne glisse sous les assauts de plus en plus puissants de son amante végétale.

Les mains caressent le postérieur humain. Les lèvres viennent embrasser leurs semblables entre deux gémissements, soupirs ou couinements de plaisir. Après un long moment de puissants mouvements de bassin, où le membre végétal prendre de nombreuses pour satisfaire la moindre parcelle de chair intime de l’humaine, la femme-plante répand le fruit de sa jouissance dans le corps de son amante. La semence se répand dans son utérus, son vagin, souille sa vulve, provoquant même un petit renflement dans son bas-ventre. Le membre se retire lentement après quelques mouvements supplémentaires. Désormais, il est clairement attiré vers les fesses de l’humaine et son petit orifice obscur.

"Akita a encore beaucoup à donner."

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