Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Le parc et son sous-bois

Un bon coup ? Non une belle plante ! [Akita Celebrindal]

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Sydney Hutchins:
L’étudiante lâcha un gémissement lorsque cette belle plante lui enfonça son organe dans son intimité pourtant bien préparer. Pourtant, Sydney restait Sydney, qu’elle ait 16 ou 32 ans, le cri aigu au fur et à mesure qu’elle recevait les coups de butoir n’avait eux, pas non plus changer. Ce membre, parlons en un peu. Bien mieux monté que la moyenne des hommes non pour autant être comparé à celui d’un cheval. Et pourtant au vue de son CV de Magical Gril, elle en avait vu des verges vertes et pas mûres ! Les bras de cette être était trompeur, tout comme ses vrilles : même si Sydney restait un poids plumes, elle la portait aisément pendant l’acte. Étant plus à l’aise, elle passa ses bras autour de la nuque d’Akita pour l’embrasser, pour confirmer la drôle de sensation qu’elle avait sa langue qu’elle avait pu sentir auparavant. Pour un être fait de végétal, la texture pouvait être confondu très facilement à celui d’une langue de n’importe quel animal. Et ça aussi, son expérience de Magical Gril pouvait le confirmer...

«Han ! On ne le dit pas assez à Sydney, mais Sydney est très partageuse. Ouiii, va-y !»

On ne va pas s’éterniser sur son concept du partage, si jouer en bowling avec une tête de monstre dans les jambes ses consoeurs en leur disant «vous avez une semaine avant que je m’occupe de leur chef», cette forme de partage avait tendance à laisser beaucoup de monde en PLS plus qu’à les mûrir... Au moins, en ce qui concernait le sexe, Sydney était plus modérée.

La plante finit par lâcher son... quoi déjà ? A en juger avec ce que Syd avait pu déguster un peu auparavant, ce n’était pas du sperme et surtout, c’était plus nourrissant. Elle allait devoir se contenter de sa semence à de défaut de savoir ce que c’était exactement. Et de toute façon, sa partenaire pouvait y aller franchement puisque la Magical Girl était ménopausée depuis ses 16 ans... En tout cas, le cri aigu qu’elle lâcha lorsqu’elle se fit remplir le premier orifice était agréable, la texture n’étant pas la même qu’un partenaire classique. Et c’était la bonne description puisqu’à en juger de la réaction de son membre, il ne comptait pas en rester là. Elle lécha quelques instants le cou de sa partenaire avant de vouloir être reposé sur le sol.

«Délicieux... V’la que je raisonne comme ses salopes de succubes.»

Son dos frotta de nouveau l’arbre, l’un de ses doigts trempant dans son vagin pour ressortir cette fameuse semence qu’elle lécha du bout des doigts. Pas de doute, à en juger avec ses iris et cette brève lueur au moment où elle lécha ce liquide, cette fille n’était pas si humaine que le laissait entendre son apparence. Et purée, cette semence, Sydney avait du mal à s’en passer au point qu’elle en deviendrait presque boulimique. A voir si l’action allait davantage exciter sa partenaire car si elle se retourna, pour lui montrer ses fesses, elle comptait se défoncer bien brutalement à en juger la façon dont elle tenait l’arbre face à elle.

«On dirait qu’Akita veut me remplir par tous les trous. Si Akita satisfait Sydney, la petite Sydney lui promet la pipe de sa vie.»

Un peu de provocation ne faisait de mal à personne, potentiellement à celle qui allait recevoir. La réalité ? La curiosité... La curiosité de voir quel goût aurait de la semence et de la cyprine face à un être qui avait les deux appareil. Ironiquement, si elle n’avait jamais essayé de son plein gré sans avoir passé par Akita, comment allait-elle pouvoir réellement jugé vu que rien n’avait le même goût que l’original ? Mais pour résonner ainsi, encore faudrait-il que Sydney puisse raisonner convenablement.

Akita Celebrindal:
Les mains végétales viennent écarter les fesses de l’humaine, dévoilant son orifice étoilé. Le membre végétal, souillé par la semence et la  cyprine, vient s’appuyer contre l’orifice. Les mains migrent et saisissent fermement les hanches de la jeune femme. L’être végétal semble prendre son temps. L’extrémité du membre appuie contre l’orifice, lentement mais fermement et finit par le perforer. Le bassin enfonce alors d’un seul mouvement et de toute sa longueur, le pénis, jusqu’à ce que les hanches d’Akita viennent écraser les fesses de Sydney. Un autre membre, semblable au premier, vient se glisser dans l’intimité brûlante et inondée, s’enfonçant profondément et sans effort jusqu’à l’entrée de son utérus, caressant le vagin puissamment. Alors qu’elle lime avec ardeur les orifices de l’humaine dans des bruits de sucions pervers, lui claquant le postérieur avec ses hanches ou avec ses mains, lui laissant de belles marques sur ses globes fessiers, Akita n’oublie pas la bouche de Sydney et une vrille vient prendre d’assaut les lèvres humaines.

"-Sydney a un corps accueillant. Han !  Han !  Han !  Han ! Akita va remplir  Han !  Han !  Han !  Han ! Sydney  partout !  Han !  Han ! "

Les mains sur les hanches viennent empoigner les seins, les massant et les pressant vigoureusement, forçant même le corps de l’humaine à encore plus se cambrer. Les membres s’allongent légèrement comme si Akita voulait posséder l’intérieur du corps humain bien plus profondément. Des vrilles modifiées viennent aspirer les tétons et une autre vrille modifiée vient sucer le clitoris en le massant. Les mouvements de bassin de la femme-plante deviennent plus brutaux. Ses membres enflent, sous le plaisir des chairs intimes qui les entourent et sous la pression de la montée de semence. Le membre dans les fesses de Sydney enfle et dilate son orifice de plus en plus. Il change de forme, afin de caresser toutes les parois intimes. Les fesses sont si écartées que le pubis d’Akita vient percuter l’entre-fesse de son amante. Le membre s’allonge, appuyant sur la vessie de son amante. La dame-plante finit par jouir, elle plaque l’humaine contre elle et répand son liquide blanc et visqueux dans son postérieur. Elle la retient un long moment, rependant une quantité immense du fruit de sa jouissance, avant de relâcher son étreinte. Le derrière de l’humaine est inondé de sperme végétal. Une main végétale caresse, puis claque une fesse. Son membre, ayant atteint une taille inhumaine, reste plantée dans le derrière de son amante, palpitant encore sous la pression du fluide végétal restant. Elle libère la bouche de Sydney, mais continue de lui caresser et claquer doucement ses fesses.

"-Sydney est toute remplie. Mais Akita peut lui en donner plus, beaucoup plus, tant que Sydney est d’accord."

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