Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

Le retour du pérégrin !

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Setyhs Inoru:
A chaque seconde qui s'écoule, j'essaie de plus en plus de comprendre comment je peux encore porter une seule particule d'intérêt extra-planétaire, à ce type. A ce dégénéré déjanté du cerveau jusqu'à la moelle épinière, en passant par son épiderme aussi mou qu'un flanc, qui a depuis longtemps atteint sa date de péremption. Alors bien sûr, il essaie de se défendre pitoyablement face à mon intellect infaillible, en utilisant des arguments vide de tout contenu. Il n'y avait aucune once de pertinence qui sortait de ce petit esprit pathétique, jusqu'à ce lorsqu'il sorte un miroir... Mais il est vraiment sérieux? Ce con n'allait donc jamais s'arrêter de se donner en spectacle? A croire que le ridicule ne pouvait vraiment pas le tuer un seul instant, celui-là.

- Oh un miroir. Quelle surprise. Me voilà impressionnée par un tel objet. Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie...

Mais alors que je roule des yeux, très agacée et honteuse de continuer à parler à cet animal grossier, le mec se transforme en...

- Hein? Moi?... Qu'est-ce que c'est encore que cette blague de merde?

Pendant que j'écarquille les yeux et qu'un frisson me traverse lentement l'épiderme, il se met à parler exactement avec la même voix que la mienne. Avec ma propre apparence, il parvient en plus à découvrir des secrets sur mes propres origines et peut-être même jusque dans ma vie...
Très choquée de voir ce que ce fou était capable de faire sous mes yeux, je commence à serrer les dents. Un terrible malaise s'empare de moi, en imaginant que ce type était peut-être beaucoup plus puissant et dangereux que ce que je ne pensais. Mais j'étais tellement restée dans l'étonnement, que je me retrouve étranglée sans pouvoir réagir. Un piège! J'étais tombée dans un piège à la con!

Et alors que je pose mes mains sur ma gorge, pendant qu'il continue de se la jouer inlassablement, il claque des doigts. La strangulation magique cesse et c'est mon apparence perfectible qui s'envole, pour le laisser retrouver la sienne. Celle d'un mec complètement tordu, mais qui possède pour de vrai dans son sac, des objets vraiment dangereux et limite dingues!

- En... enculé! Comment tu as fais ça?...

Déboussolée et prise en même temps par une envie de soit lui rendre la monnaie de sa pièce ou bien de fuir d'ici pour appeler la police, il se saisit de mes doigt. Le mec arrogant qui continue de déblatérer et de jouer à son jeu stupide et dangereux par lequel j'étais stupidement entrée, les fait glisser sur son miroir démoniaque. J'avais beau être choquée, ça n'empêche pas le mec totalement imperturbable de me faire une proposition. Il... il m'offrirait avec un sous-entendu plus qu'explicite, la possibilité de pouvoir m'offrir ce fameux miroir en échange de mon bon consentement. Le timbre de sa voix devient beaucoup plus chaud, alors qu'il entraine sans attendre ma main, tout proche de son sexe... Essayant de digérer cette incroyable information, je vois apparaitre une grosse bosse sous son pantalon. Et pendant que je la fixe bêtement, il caresse mes cheveux tout en me pressant la tête, pour la faire aller vers le bas. Juste vers l'endroit qui l'intéressait...

- Je... je...

D'abord immobile. Incapable d'arriver à commander mon propre corps, je devais mobiliser le plus rapidement possible tout mon cerveau, qui se retrouvait en plus à devoir gérer mes ressentis contradictoires. D'un côté, j'avais peur et j'avais envie lui faire la peau. De l'étriper jusqu'à ce qu'il ne lui reste même plus les os. Mais de l'autre, je sentais qu'il avait réussi à m'impressionner totalement. Derrière cette face de con, il y avait un mec ou peut-être plus qu'un simple être humain, qui semblait posséder des pouvoirs et des objets tout simplement hallucinants. Et tout ce qu'il me demandait de faire en échange, pour que je puisse obtenir cet incroyable artefact divin, était que je lui fasse une simple pipe en échange... En échange de mettre aussi entièrement de côté ma fierté, pendant cinq ou dix minutes. De contredire tout ce que je lui ai dis avant. Plus exactement, me mettre à ses pieds et lui faire ce qu'il me demande en retour. Essayant de tout oublier. Jusqu'à même ne plus me rappeler de mon désintérêt pour les hommes à cause de tout ça, je prends donc une décision...

Evitant à ton prix de croiser son regard du mec qui doit déjà se sentir victorieux et fier de lui, je baisse lentement son pantalon. Lorsque je vois sa grosse bite qui attend bien droite et bien fière devant mes yeux, je la prends en main, après avoir encore hésité une seconde. Je tire ensuite dessus, pour décalotter son gland. Puis tout en avalant ma salive et en comprenant que je ne pourrai plus faire marche arrière contre cet homme qui aura piétiné ma fierté transformée en crêpe collée au sol, je la mets dans ma bouche. Lorsque sa bite répugnante entre en moi, je suis envahie par une vague d'humiliation écoeurante. En acceptant de le sucer, j'avais maintenant pactisé avec lui. Je venais de signer définitivement un contrat, qui faisait de moi une simple pute arrogante, prête à sucer ou à donner son cul, pour avoir quelque chose en retour. Mais surtout, je venais en une seconde de reconnaitre sa supériorité vis à vis de moi. Je venais de détruire tous mes arguments d'avant. Toutes mes parades. Bref, toute ma dignité de fond en comble.

Mais plutôt que d'y aller lentement, j'y vais à toute vitesse. Car plus j'irai vite et plus ce moment atroce se terminera rapidement. Peu importe qu'il puisse croire que j'étais tout simplement motivée à lui pomper sa queue dégueulasse, je voulais juste qu'il jouisse le plus vite possible dans ma bouche, pour qu'on en parle plus après. Je commence donc par utiliser ma langue, pour caresser son gland en cercle. Et pendant que j'offre très généreusement ma bouche à son bout sensible et que je déteste, à l'exception de celle de mon frère pour des raisons précises, je fais des vas et viens. Sa queue s'enfonce en profondeur dans ma gorge, avant de revenir et de repartir instantanément. Je répète plusieurs fois le mouvement, avant de le branler frénétiquement. Lorsque je pense en être à plusieurs minutes, je me risque de le regarder, pendant que je me positionne devant lui de façon dégradante. Continuant de tenir sa bite dans ma main, j'étais maintenant à genoux. J'étais vraiment à ses pieds pour de bon.

- On va aller plus vite, parce que je n'ai pas que ça à faire. Tu vas me prendre la tête et te finir. Et après, tu me donnes le miroir et tu te casses. Tu disparais de ma vue à tout jamais. Tu oublies tout! C'est clair ou tu crois qu'il va te falloir un dessin?

Les deux mains sur les genoux, en position pour en finir pour de bon, je remets sa bite dans ma bouche sans aucune élégance, prête à le sentir prendre mon palais et toute ma gorge. Je vivais une humiliation terrible. C'était peut-être encore plus pénible pour moi, que de me faire violer, parce que j'étais consentante de me faire piétiner comme un vulgaire déchet. Consentante de devenir la pute d'un mec qui m'avait à peine donné son nom. Etre tout simplement rabaissée au même au rang que toutes ces connasses qui donnent leur cul, pour qu'on leur fasse des cadeaux en retour...

Grayle le pérégrin:
Grayle poussa un soupir lorsque la jeune fille baissa son pantalon, exposant sa verge aux quatre vents. La sensation de l'air contre sa peau sensible lui arracha de long frissons, et il regardait avec un plaisir évident le visage ennuyé, frustré, colérique de la fille qui s'était mise elle-même dans cette situation. Le contraste entre le membre masculin épais, pulsant et veineux, avec le visage juvénile et pur de la lycéenne était grisant. L'odeur de mâle puissante qui émanait du membre pénétra les narines de la jeune fille, qui pouvait respirer les effluves, pures, primales, de sexe.

- Hum... elle avait commencé par le lécher avant de le prendre en bouche sans hésiter. Bien rapidement, les bruits de succions devinrent parfaitement audible, alors qu'elle s'affairait à le pomper comme si sa vue en dépendant. Le bassin cambré vers elle, ses mains solidement aggripées au crâne de la jeune fille, Grayle se laissait faire, avant de légèrement onduler du bassin. Il n'avait pas couché depuis bien longtemps, et les sensations qui secouaient son corps était un pur délice. Décidément, pour son page, cette petite...

- Ah... t'es sacrément douée tu sais... dit-il en s'amusant de la voir froncer lui sourcil, boudeuse. Apparemment, elle n'aimait pas ses compliments. Il poussa un rire clair, tandis qu'il caressait ses beaux cheveux avec douceur et une affection presque paternelle. I avanca doucement une de ses jambes, soulevant son pied, qui glissa sous la jupe de la lycéenne, caressant doucement sa culotte du bout de la chaussure.

- On va aller plus vite, parce que je n'ai pas que ça à faire. Tu vas me prendre la tête et te finir. Et après, tu me donnes le miroir et tu te casses. Tu disparais de ma vue à tout jamais. Tu oublies tout! C'est clair ou tu crois qu'il va te falloir un dessin?

Il haussa un sourcil et en fronça un autre, alors qu'elle le reprenait en bouche. De ses doigts, il pinça le nez de la jeune fille, alors que, d'un coup de bassin, il s'enfonçait complètement en elle. Elle poussa un hoquet surpris, avant de rouler des yeux, commençant à s'étouffer sur sa bite. Une petite claque, peu douloureuse, juste là pour humilier, rougit un peu la joue de la jeune fille.

- Hey, hey. Tu pense pas que tu te la pète un peu pour une ado qui suce un inconnu dans la rue juste pour un miroir, hm ?

Il sentait les mains de la jeune fille s'enfoncer dans ses genoux, alors qu'elle essayait de se débattre. Il se retira légèrement, pour se ré-enfoncer en elle. Il entendit un gargouillis. Il sentit qu'elle essayait de le mordre. Pas de chance. Non seulement sa verge brûlante était dure comme l'acier, il ne ressentait également pas la douleur. Les efforts de la fille furent sans succès.

- Utilise tes belles lèvres pour me sucer. Il commença à prendre les rênes, ondulant violemment du bassin contre sa bouche, ponctuant chaque mot d'un autre coup de rein. Celui. Qui. Donne. Les. Ordres. C'est. Moi.

Enfin, il arrêta de lui pincer le nez. Elle inspira violemment pour reprendre son souffle, se mettant à gémir alors qu'il avait transformé la fellation en irrumation. L'inspiration la fit gargouiller, et elle se mit expirer, expulsant du pré-sperme de ses narines. Il se retira, continuant de la tenir par les cheveux. En quelques minutes, l'adorable visage de la jeune fille était rougit par les larmes, sa peau fatiguée tant sa bouche avait été écartée à l'extrême sous la circonférence du sexe masculin. Ses lèvres charnues brillaient, recouverte d'un mélange de salive et de pré-sperme, qui dégoulinait sur son menton, et des fils épais reliaient sa bouche au gland parfaitement lisse du jeune homme. Elle avait du mal à reprendre son souffle.

- Ha... tu pompe comme une déesse. T'a appris ca auprès de tes camarades de classe ? dit-il avec entrain. Il la saisit par la nuque, comme un petit chaton, la forçant à se relever. Il se glissa derrière elle, une de ses mains partant sous sa jupe, tandis que l'autre glissait sur sa chemise, caressant sa petite poitrine, avant de forcer l'entre entre ses lèvres. Il souffla d'une voix chaude dans son oreille, sa verge tendue glissant contre les fesses et les reins de la jeune fille, laissant quelques tâches sur sa jupe.

- Allons dans un endroit plus discret... je crois que vous avez des chiottes pas loin, nan ? Allons y ma chérie. Tu y sera à l'abri des regards.

Setyhs Inoru:
C'était vraiment dégueulasse d'en arriver à aller sucer son machin immonde, alors qu'il aurait tout simplement pu me demander un autographe, en échange de son miroir. En plus d'être sacrément volumineux, sa trique puait la mort. Donc je préfère concentrer mes pensées sur ce cadeau le luxe que personne d'autre que moi n'aura à la fin de ce calvaire, qui va se terminer d'ici quelques minutes. Mais l'idiot se moque encore de moi, pendant qu'il garde ses sales pattes sur ma tête, alors que je faisais tout en mon pouvoir pour lui être la plus agréable possible. Lorsque les succions de la décadence s'enchainent, le type met le bout de son espèce de chaussure sale, contre ma culotte. C'est donc là que je décide d'en terminer pour de bon, en demandant à ce toqué de me prendre lui-même, pour qu'on en finisse le plus rapidement possible avec cet affront déshonorant.

Mais au lieu de faire ce que je lui demande, il me pince le nez. M'empêchant de respirer, il enfonce son gourdin jusqu'au fond de ma gorge. Et en plus, cet inconscient qui doit aimer jouer avec la vie, m'envoie une claque sur la joue. Le connard qui ne semble pas comprendre la chance extraordinaire qu'il a de pouvoir se taper la bouche extraordinaire d'une fille hors du commun comme moi, a en plus le culot incroyable de me remettre à ma place. Le monde à l'envers! Comme c'était tout simplement devenu inacceptable pour quelqu'un de mon étique, je décide de réagir en lui enfonçant mes doigts de toutes mes forces, dans ses cuisses de crapule. Le clochard dimensionnel qui commence en plus à vraiment m'empêcher de pouvoir respirer, avec sa trique égouttée dans les égouts de son dernier foyer puant, commence à se retirer de mon merveilleux palais, pour revenir dedans. Là c'était trop! Du coup j'essaie de lui mordre son pitoyable bout de viande par lequel il pourra dire adieu à sa descendance aussi dégénérée que lui, sauf que ça ne marche pas.

Le taré insupportable me donne ensuite des ordres, tout en ondulant fortement dans ma bouche. Il finit par arrêter de me bloquer l'air, en osant me dire que c'était lui qui donnait les ordres. Lorsque je recommence à respirer, je ressens une sensation répugnante. Du pré-foutre dégueulasse qui sort de mon nez dans un bruit tellement crade, que même les scénariste des pires films pornos ne voudraient pas. Et lorsqu'il se retire, je pète un câble et je le ruine sur place.

- Enculé! Espèce de cinglé sur quatre pattes atrophiées! Je t'avais dis de vite me prendre la bouche! Pas de ramener ta gueule en faisant le fier et en m'étouffant dans un jeu sordide! Refais ça encore une fois et je te jure que je vais te renvoyer chez toi en morceaux, tout en gardant ton putain de miroir!

Pendant que je lui crie dessus, les larmes aux yeux, le sous-primate qui n'arrive pas à tamponner dans son cerveau de la taille d'une crotte de rat ce que je lui dis, continue de se la jouer. Il me saisit ensuite par la nuque, pour me tripoter après. Ses mains de gros pervers répugnant s'attaquent à la grâce de mon corps généreusement parfait, en se permettant de toucher des zones extrêmement sensibles. Avec sa sale bite qu'il colle contre mon cul, je ressens son souffle chaud et insupportable qui vient frapper au creux de mes oreilles. De sa voix suave qui m'est surtout terriblement insupportable, la tête de con me demande de l'emmener dans les chiottes du bahut. C'est pathétique! Puisqu'il le prenait comme ça, je préférais couvrir mes arrières...

- Ca commence à faire beaucoup, pour quelqu'un qui a voulu m'étouffer et qui ne fait pas gentiment ce que je lui demande! Puisque c'est comme ça, tu me donnes d'abord le miroir en échange. Sinon plus de cul pour un être particulièrement primaire comme toi! Et tu as intérêt à arrêter de me torturer!

Je tends la main, en même temps que je lui remets ses vieilles pendules détraquées à l'heure. Lorsqu'il me donne le miroir, je le range précieusement dans la poche de ma chemise, avant de l'emmener dans ces foutues toilettes qui puent comme lui. Après avoir retraversé une partie de la cour, tout en veillant à ce qu'il reste à plusieurs dizaines de mètres loin derrière moi, je rentre dans cette espace terriblement sexy. Lorsque le détraqué entre ensuite, je referme la porte derrière lui, tout en lui rappelant encore les règles du savoir vivre de notre petit accord.

- Bon! Essaie d'être moins con pendant encore un instant, si mes paroles ont suffisamment de portée pour quelqu'un venu d'un temps ancien, où l'homme n'en était qu'à un stade de pseudo primate. Tu termines ton coup et on en parle plus! Et ne recommence plus à faire quelque chose de désagréable, où je te jure que je te tue pour de bon! Essaie au moins d'utiliser correctement ta vieille trique de puceau, pendant les cinq prochaines minutes qui restent au compteur de ton époque perdue, avec ton allure ringarde.

Donnant une dernière chance à ce malade, j'attends qu'il se lance vite et bien, pour qu'on en parle plus. Je lui offrais même possibilité de finir où ça lui plaira, du moment que ce cauchemar ambulant disparait de ma vue, à tout jamais! Quelle épreuve humiliante et traumatisante je devais subir, pour avoir en échange un simple petit miroir, avec quelques gadgets rajoutés en option...

Grayle le pérégrin:
- Enculé! Espèce de cinglé sur quatre pattes atrophiées! Je t'avais dis de vite me prendre la bouche! Pas de ramener ta gueule en faisant le fier et en m'étouffant dans un jeu sordide! Refais ça encore une fois et je te jure que je vais te renvoyer chez toi en morceaux, tout en gardant ton putain de miroir!

Il ne put s'empêcher de sourire intérieurement. En morceaux ? Oh, si elle essayait, elle serait probablement terrifiée. Il se souvint de la fois où il avait été écartelé. Même des siècles après, le souvenir des cris de terreur alors qu'il s'était reconstitué réchauffait encore son cœur. Les bons souvenirs du passé, et l'anticipation de ceux du futurs l'aidait à supporter le présent. Cette fille était à la fois adorable et insupportable. Il l'enviait, d'une certaine manière, d'avoir une telle assurance. Il avait croisé beaucoup de... personnalités, mais cette lycéenne de Saturne avait l'ego de la taille d'un continent.

Ils se mirent d'accord. Ils finiraient ça aux toilettes.

*Elle préfère que je la prenne plutôt que me sucer ? M'est avis qu'elle n'a pas envie d'avouer qu'elle en a un peu envie elle aussi...* Il la suivit, discrètement, enfin, aussi discrètement qu'il le pouvait, accoutré tel quel. Quelques personnes se retournèrent sur son chemin, mais personne ne vint le déranger. A peine entré dans les toilettes, elle ferma la porte derrière eux.

- Bon! Essaie d'être moins con pendant encore un instant, si mes paroles ont suffisamment de portée pour quelqu'un venu d'un temps ancien, où l'homme n'en était qu'à un stade de pseudo primate. Tu termines ton coup et on en parle plus! Et ne recommence plus à faire quelque chose de désagréable, où je te jures que je te tue pour de bon! Essaie au moins d'utiliser correctement ta vieille trique de puceau, pendant les cinq prochaines minutes qui restent au compteur de ton époque perdue, avec ton allure ringarde.

Il ne put s'empêcher de rire. Qu'elle était drôle ! Mais il fut plus poli et discret cette fois. Elle croisait ses bras, le regardant d'un air de défi. Il la repoussa, doucement, gentiment, contre le mur, une main sur sa taille. L'autre saisit le poignet de la jeune fille, avant d'ouvrir sa main, emmêlant les doigts les uns contre les autres, presque romantique.

- T'inquiète, y aura rien de désagréable.

L'un en face de l'autre, elle semblait si petite et fine par rapport à lui. Il se pencha sur elle, et embrassa délicatement sa joue. Il la sentait tendue, prête à le frapper à la moindre incartade.

- Détend toi chuchota t-il d'une voix chaude. Il se baissa un peu et embrassa son cou. Elle sentait bon. Elle était propre. Son autre main glissa le long de ses hanches, caressant le tissu de sa jupe, avant de glisser le long de ses cuisses, la frôlant du bout des doigts. Il l'entendit râler. Elle serra sa main un peu fortement, mais il ne s'en formalisa pas. Il se mit à sourire, ses yeux bleus parcourant le corps de l'adolescente, dont la respiration s'était légèrement accélérée, alors qu'il léchait sa gorge.

- Tu le sais probablement déjà, mais t'es sacrément belle.

Sa main glissa sous sa jupe, capturant une fesse. Oh. Elle avait une sacrée croupe... avec deux doigts, il écarta sa culotte, libérant une fente vierge de tout poil, qu'il caressa doucement. Elle remua.

- Hey, je veux pas t'écarteler. Laisses-moi m'occuper de toi... dit-il avec une affection non feinte. Son majeur et son index caressaient doucement le Mont de Venus de la petite, savourant le contact de cette peau si douce, avant de glisser contre son intimité, caressant ses lèvres, les deux doigts bougeant en synchronie parfaite, de haut en bas, de bas en haut, venant chercher son clitoris, pressant ce dernier, jouant avec, tel deux serpents curieux,qui ne l'étaient toutefois pas encore assez pour s'infiltrer en elle.

Il baissa son autre main, posant celle de la jeune fille contre son pantalon, qu'elle sente la bosse épaisse et brulante de l'homme qui avait envie d'elle.

Le jeune homme était attentif. Chaque réaction de plaisir de la jeune fille, même minime, il plongeait dedans, répétant le même geste, commençant à comprendre le corps de... de l'alien ? Ouais, de l'alien. Doucement, un son humide envahit la cage des toilettes, alors qu'il la sentait se serrer légèrement contre lui.

Après plusieurs minutes, il lâcha sa main, à regret, laissant Sethys libre de faire ce qu'elle voulait avec.

- Oh... hisse !

Sans aucune difficulté, il souleva la jeune fille. La plafond était heureusement haut, et les toilettes étaient construites de sorte qu'on ne pouvait pas voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Elle se retrouva ainsi, jambes écartées, en face du visage de Grayle.

- Me suis dit que ce serait juste de te rendre la pareille.

Le souffle chaud de l'homme s'écrasa sur la petite chatte humide, avant qu'il ne darde la langue et ne la lèche, de bas en haut, longuement. Les baisers suivirent et se mélangèrent au chatouilles, alors qu'il se mit, très vite, à dévorer la chatte de l'étudiante, buvant la cyprine à la source...

Setyhs Inoru:
Le demeuré semble encore rire, avant de venir presque écraser sa masse infâme contre moi. Mais plutôt que d'y aller directement et proprement comme je le lui demande, voilà que monsieur essaie de se la jouer en improvisé, sur les cordes d'une chanson de romance pathétique. Il attrape l'une de mes mains pour la mettre dans la sienne, comme si nous étions des amoureux. Voulant se montrer "rassurant", il se met à embrasser ma joue.

- Ah? Il y a de la romance entre nous maintenant? Ces choses là ne sont-elles pas un peu trop hors de portée, pour un barbare puant et sans cervelle comme toi?

Tout en me laissant faire, je le regarde un peu étonnée. Lorsqu'il continue de me parler d'une voix suave qui est prête à me faire fondre sur place, dans cet endroit romantique par où sortent les magnifiques déjections de tous ces sous-crétins, il poursuit ses attentions dans mon cou. Son autre main glisse de mes hanches vers ma jupe, pour venir frôler mes cuisses. Peu convaincue, notre clochard, héros d'un monde parallèle dans lequel je dois probablement être sa dulcinée, me lèche la gorge. Berk! Mais avec ça, arrive un compliment où je ne peux que me reconnaitre à plus de cent pourcent. Sauf que venant de sa part, ça ne me touchait pas vraiment.

- Evidemment que je suis belle, espèce de crétin ignorant! Je le sais depuis le tout premier jour de ma naissance. Et ce ne sont pas tes attentions anecdotiques et sans saveurs, qui vont bouleverser mon coeur un peu trop noble pour toi...

Notre grand romantique à ses heures perdues, vient attraper mes fesses bien trop belles pour lui, avant de m'écarter la culotte, pour commencer à me caresser la chatte. Commençant à manifester de l'impatience à voir ce calvaire qui risque de vraiment s'éterniser, Grayle, le tombeur de toutes les dames, insiste pour s'occuper de moi dans sa version B de son système revisité. Je laisse donc mon prince charmant en manque d'affection, on ne se demande pas pourquoi, me tripoter la chatte. Je ressens rapidement ses doigts qui essaient désespérément de m'exciter. Mon corps finit quand même par réagir un semblant, surtout lorsqu'il commence à jouer avec mon clitoris. Mais la romance commence évidemment à déjà perdre en intensité, lorsqu'il me fait ressentir encore une fois sa grosse bosse dégoutante, en me collant la main dessus.

- Quelle surprise mon chéri. Je n'avais pas encore compris que tu bandais comme un âne, depuis tout à l'heure. Continue et on pourra en faire sûrement un film d'amour, s'il ne se transforme pas en horreur avant...

Encore plus dans le ton de la moquerie qu'autre chose, je laisse faire le primate transformé en séducteur bon marché, continuer son incroyable route de l'exploration. Bien sûr, je ne participe absolument pas à son délire. Tout juste je le tolère déjà, alors il ne faut pas m'en demander plus. Et après plusieurs minutes de caresses et d'échanges passionnés, qui vont certainement me bouleverser pour le restant de mes jours, mon grand tombeur s'arrête. Lorsqu'il lâche ma main, il me soulève du sol, ce qui me laisse surprise un instant. Au moins jusqu'à ce que je comprenne ce qu'il projette de faire, en guise de suite tant attendue entre nous.

- C'est ça. Regarde de plus près, ce que tu n'as jamais vu de toute ta vie. Profite, pendant que tu le peux encore.

Découragée de le voir s'acharner à essayer de se perdre dans des attentions futiles, je ressens rapidement sa langue qui vient me lécher le minou. Très vite, on passe ensuite aux baisers et aux chatouilles, avant que le puceau vienne me dévorer en profondeur. Ce n'était pas sensationnel pour quelqu'un comme moi, mais il avait au moins le mérite d'arriver à faire microscopiquement réagir mon corps. Le mec avait une certaine force et une bonne adresse. Mais j'espérais surtout que tout ça n'allait pas encore durer trop longtemps...

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