Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Zone Sous-Marine

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Anastasya:
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Compte Inactif:
"Vous cherchez du travail ?
- Nan, à vrai dire, j'suis juste venu boire un verre après ma journée.
- On cherche des videurs, si jamais.
- Euh, ouais. Vous avez une carte ?
- La voilà. Appelez-nous quand vous serez disponible.
- Merci.
- Votre taille ?
- 2 mètres 20.
- Poids ?
- Entre 180 et 190 kilos, à peu près."

Il ravale sa salive.

"Bon eh bien, essayez d'être sage dans notre établissement.
- C'est mon souhait le plus cher, rassurez-vous."

Le videur me souhaite la bonne soirée et me laisse entrer dans l'établissement. Pas tout le temps que j'viens siroter quelque chose dans la zone Sous-Marine, mais faut admettre qu'on y trouve une certaine sérénité et un apaisement qui détend le cerveau de ses tourments de la surface. Il y a du monde, un paquet de bonhomme, des donzelles, de la musique et un barman très occupé. J'me "faufile" dans la smala pour me trouver une place. Une place qui en prend deux du coup, désolé aux copains. Le tenancier des boissons s'approche, prend ma commande, l'échange et bref et rapide et il passe directement à d'autres clients. C'est pas grave, j'ai pas demandé à être le nombril du monde et tant qu'on me remarque pas les choses iront parfaitement bien.

J'balaye des yeux un peu le lieu, pas trop l'habitude fréquenter les boîtes de nuit. Mais faut reconnaître que le climat est attrayant. J'bouge la tête doucement au rythme de la musique et me concentre uniquement sur la bière qui se trouve sur le comptoir, une gorgée, deux gorgées, plus rien.

Mais alors que j'voulais passer une autre commande, ça commence à siffler dans le public général. J'comprends pas de suite, puis ça saute aux yeux comme une évidence. On a rarement vu de bombes sexuelles dans ce genre dans une vie, faut croire que c'est mon tour. J'prends alors sur moi, le regard soudainement transformé par deux pupilles dorées qui la pourfend comme un gros prédateur sexuel. Détaillant ses énormes fesses, rebondit et dodues sous une jupe bien trop courte, à les agiter devant une horde de mâles affamés sans pour autant avoir la possibilité de gouter un morceau. Marchant comme une féline qui surplombe tous ses charognards, mes yeux s'écarquillent de surprise quand elle s'arrête devant moi.

Sa chair rebondit au gré de ses mouvements, s'allongeant, ma tête tangue d'un côté pour apprécier avec avidité ses sous-vêtements. Plié par des lèvres tout aussi alléchantes. Sa bouche pulpeuse accueille l'alcool, et difficile de donner de l'œil entre la manière dont elle boit ça et sa poitrine qui s'étale de chaque côté. J'en perdrai presque la tête. Mon bas-ventre est en feu et mon pantalon gonfle malgré moi. J'me surprends à pas avoir bougé d'un centimètre. Elle se redresse, son immense crinière colorée flotter dans l'air dans son geste, j'me raidis, et ma bouche se retrouve remplie de ce qu'elle a gardé pour un baiser bien vulgaire. Ça commence à râler derrière moi, mais pareil, je m'en bats les steaks. Habillé d'une chemise blanche et légère et d'un jean, elle n'aura aucun mal à sentir toutes mes insertions musculaires vibrer aux contacts de ses mains mutines.

Ma langue imposante s'invite pour commencer un balais grossier et pervers avec la sienne, avant de chercher de ma poche quelques billets, ma main épaisse les tenant entre le majeur et l'index, et s'installent dans le sillon de sa grosse poitrine pour y laisser ce dû, déduisant que rien n'était gratuit ici. Le baiser s'arrête sur un claquement de lèvre bruyant malgré la cacophonie générale et mon sourire carnassier donne le ton sur mes prochaines paroles.

"Il faut quoi pour t'avoir tout entière et maintenant."

Hors de question de laisser toute cette viande sans faire quoi que ce soit.

Compte Inactif:
Le baiser s'arrête et la première remarque saute. J'hausse un sourcil ? Une pute ? Hm, vrai qu'en y réfléchissant cinq secondes...

"Hm, disons qu'on a rien sans rien. J'suppose."

L'impression d'avoir un château de cartes qui venait de s'effondrer pour mieux être frustré. Putain, t'as encore tout foiré, Héra. J'tire une moue un peu gêné puis finalement lorsqu'elle se retire et qu'elle compte le pognon, mon avis devient vite partagé. En détaillant que cette bombe est aussi vénale que délicieuse, j'me disais bien qu'il y avait anguille sous roche. Elle commence à prendre un ton un peu ferme et mes sourcils se rapprochent, quand j'pense que j'avais dis au videur que j'allais être sage, merde, c'est raté. Elle s'éclipse et quelques rires dans l'auditoire se font entendre. J'calcule pas et me concentre alors ailleurs en priant que j'vais vite oublier cette histoire.

Et en faite, nan.

Ca jazz sur le fait qu'on personne peut reluquer son cul avec une demi-molle comme la mienne, j'pousse un soupir en haussant les épaules. Puis elle commence à faire le tour. J'savais pas si elle voulait me maraver ou bien faire un scandale pour mieux me foutre la honte, dans le doute, j'garde un regard assez dur en attendant la potentielle sanction tomber. Premier contact, premier frisson, et ses grosse cuisses commencent à me chevaucher. Cette fois, ouais, je bande très dur. Le pognon se dissimule de nouveau dans son énorme poitrine que j'avise avec le regard d'un affamé avant de m'égarer dans ses yeux magnifiques. Merde, en plus d'être bonne, elle est jolie.

"Bah c'est que..."

Son doigt fini sur mes lèvres, et ses mots doux viennent à mon oreille, avec tout son corps qui câline mon torse et ma queue bien trop raide pour ne pas sentir la chaleur de son entre-jambe. En plus d'être une pute, elle a l'air d'être une sacrée salope. Et finalement, j'adore ça. Un sourire carnassier alors que j'apprécie sa langue humide jouer avec mon oreille, et retiens un semblant de sursaut quand j'sens un bout de tissu dans le creux de ma main. Son string. Putain.

"J'ai une liasse dans mon porte-monnaie."

Bon ça me fait un peu chier, c'est la moitié de ma paye de ce mois-là, va falloir faire des heures supp', j'imagine. Mais, hé, au moins je me serai vidé dans cette délicieuse créature. Je récupère le sous-vêtements correctement avant d'en prendre une bonne bouffée de son odeur enivrante, celle du chatte en chaleur, alors que l'autre main vient pétrir une fesse pour l'encourager à se frictionner davantage sur mon membre, tout en profitant du contact, celui des phalanges malaxant toute cette chair.

"Et si on allait quelque part pour faire tout ce que je veux ?"

J'me redresse, la tenant contre moi pour la faire ensuite faire glisser contre mon corps, tout en payant ma consommation. Le portefeuille sorti, une liasse s'échappe tristement de mon portefeuille pour venir entre ses seins une nouvelle fois, en faisant rebondir sensuellement ces derniers. La dépassant de plusieurs tête, je l'enveloppe de toute ma masse, échappant de ma bouche une voix grave et chaude.

"Je te suis ou tu me suis ? Quoi qu'il arrive, tu m'échapperas pas."

Clair et net.

Compte Inactif:
Elle a quand même bien de la chance. Si j'baisais pas aussi rarement, j'aurai peut-être décliné l'offre, ou bien j'aurai réduit la somme. Mais là, franchement, j'suis beaucoup trop à cran pour refuser une pareille opportunité. Son joli petit minou qui a embrassé ma queue plus tôt m'a laissé une belle trace de mouille tiède sur le froc. En plus de bosser tapin, c'est aussi une grosse chaudasse.

Que des bonnes nouvelles, si c'est pas le paradis ça.

Ses petites mains se veulent affectives en se glissant dans le bas de ma colonne non sans m'arracher un frisson alors qu'elle m'expose le menu de la soirée : bouffe à volonté. Et ce, dans la plus grande des perversions. Ça donne aussi une idée dans quel cadre elle aime faire ça, et j'vois qu'à ce niveau c'est open bar. Autant de jolis mots qui me font encore plus bandé que j'le suis déjà, mon pantalon est salement déformé et j'peux même voir que des gens de la boîte l'ont reluqué avec une grimace un peu gênée. J'm'en tape.

Ses phalanges palpent mon postérieur de buffle, et moi je juge bon d'enlacer ses épaules d'un énorme bras protecteur alors que nous sortons de la boîte pour aller au Parking. Le videur me toise un peu étonné pensant que j'allais rester plus longtemps, puis me lâche un sourire taquin quand il reluque le gros cul de madame. J'hausse simplement les épaules en lâchant un clin d'œil. Étant dans la zone sous-marine, j'ai pris une chambre d'hôtel à quelques bornes d'ici, le dôme sous-marin nous donne son plus joli panorama alors que j'déverrouille mon pickup et lui ouvre la porte avant de la rejoindre.

Une grande inspiration, surexcité et en rut alors que j'défais mon pantalon pour sortir un mandrin plus grand et plus large que son avant-bras, libérant une chaleur odorante d'un musc viril et entêtant, maculé d'un pré-sperme épais et gluant déjà, alors qu'il pulse vers le haut au rythme de mes battements de cœur par de larges veines.

Décalotté déjà, je lui laisse le soin de la regarder, avant d'étirer un sourire espiègle.

"On va faire de la route, alors, est-ce que tu suces aussi bien que tu sais parler ? J'veux bien avoir une petite démonstration. Si j'pouvais apprécier ton derrière en le tendant bien vers le haut ça serait merveilleux. Et peut-être que ta poitrine voudrait prendre ma queue en sandwich aussi ? Fais toi plaisir, ma queue n'attend que toi. On a tout le trajet, attention, j'ai de gros doigts..."

Il y avait un certain plaisir à pouvoir tout commander. Comme si, j'me retrouvais dans un rêve pervers qui assouvissait tous mes désirs. Et j'ai bien prévu des les assouvir un par un, et abuser de chaque particule de cette coquine. J'recule légèrement mon siège et attends que cette dépravée s'installe correctement avant de démarrer et passer la première vitesse. Le levier positionné derrière le volant, elle n'aura aucun mal à s'affaler pour me tendre cette croupe grasse que j'compte torpiller dans tous ses trous plus tard.

En route, et bonne pipe, Héra.

Compte Inactif:
Enfin bien installé, mes yeux vont la dévorer, sur chaque partie d'elle comme une bénédiction. Un petit sourire à la boutade aussi mignonne qu'elle.

"J'me montrerai solide."

Aussi dur que mon engin. J'en ai des palpitations, mon gland vibre et gonfle à la seule présence d'elle ici. La détaillant toujours d'un regard appréciateur, j'écarte un peu plus les cuisses pour lui laisser toute la place nécessaire pour ce massage qui s'annonçait orgasmique. Aucun doute, aucune appréhension, seulement le désir de ressentir sa langue et la texture moelleuse de sa poitrine. De gros obus de chair qui font frémir à sa simple vision. Elle défait ses vêtements, j'me permets même de la renifler depuis ma position, un cocktail olfactif au parfum d'œstrogène aussi jouissif qu'enivrant.

Un autre boutade à laquelle j'peux toute de suite répondre.

"Nos vitres sont teintées. Tu vas pouvoir avaler mon sabre sans crainte."

Puis ses lèvres viennent butiner mon gland dégoulinant de pré-foutre. Ca me coupe la respiration, sa salive tiède et sa respiration brulante enveloppant le sommet de ma verge m'arrache un frisson dans toute la colonne. 

"Han, putain..."

La douce torture du plaisir s'amorce sur les chapeaux de roue et sa poitrine vient s'inviter à la fête. Elle s'approche davantage, le cul bien tendu et attrape l'entièreté de ma queue en l'étouffant entre ses mamelons chauds et moelleux dans un câlin qui m'extirpe un autre grognement. Me concentrant sur la route, toutes les sensations viennent frapper mon cerveau dans une tempête d'émotions et de ressentis. Ma bouche s'ouvre, se ferme, j'expire longuement et bruyamment. Et sur une ligne de droite, j'profite de regarder sa tête bouger de haut en bas et sa poitrine s'agiter dans le même mouvement. Ma main droite vient descendre comme sur un toboggan la cambrure de son dos, puis le bas de sa colonne avant d'attraper une fesse grasse et dodue en me mordillant les lèvres, la paume de la main jouissant du contact de sa chair.

Malaxé, pétrit, comme du bon pain. Une fessée cinglante pour apprécier voir tout ceci bouger alors que mon entre-jambe commence à bruler dans sa bouche, de plus en plus dur, de plus enserré à l'intérieur de sa paroi buccale. Mon majeur va commencer à titiller son anus serré, puis descendre pour écarter ses lèvres et y plonger entre elles pour commencer une valse odieuse et indécente dans un mouvement circulaire. Les bruits de succions couplées à celle de la viscosité de sa mouille donnent une fulgurante excitation supplémentaire qui me fait pousser des râles de plaisir. En plus, elle mouille beaucoup. Je retire mon doigt doucement dans ce filet de cyprine et commence à goûter cette sécrétion tiède, amère, et abondante. 

"Hmpf... Qu'est-ce que t'es bonne...J'ai hâte de bouffer tout ça."

Un nouveau regard sur sa turlute de l'enfer, j'en bouge mon bassin nerveusement pour chercher la profondeur de gorge et remonte ma cuisse pour écraser sa douce et grosse poitrine pour mieux étrangler ma bite. Et ce qui en écoule me fait hausser un sourcil curieux, puis me fait fendre un sourire carnassier devant ce lait couler sur mon bas ventre et mes cuisseaux.

"Alors, en plus d'être une grosse chienne en chaleur, t'es aussi une vache à lait. L'hybridation me plait beaucoup. Ca tombe bien, j'ai très faim en plus."

Le décor défile et le trajet progresse, tout comme la course de mon orgasme qui s'approche doucement.

"Tu fais ça magiquement bien...Han..."

Que je susurre en recommençant à la doigter en surface, cherchant son bouton de chair alors que mes autres doigt continuent de s'agripper contre son postérieur dont sa peau douce et charnue me tend encore plus, le gland dégueulant au compte-goutte un pré-sperme gras et gluant. A lui polluer la bouche malgré moi. 

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