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Dans mon boulot les rumeurs sont nombreuses et touchent tous les secteurs de la clandestinité. La chose peut autant toucher les criminels endurcis que les petites frappes qui décident de prendre du galon rapidement car ceux-ci cherchent à voir et vivre plus grand. Mais il y a pas que ça.
Depuis quelques temps il y a un sujet récurrent qui revient sur la table parmi quelques types. La plupart pense qu'il est question d'une simple rumeur sans intérêt. Alors que les autres cherchent à vérifier si la chose est vraie. L'entreprise qui est liée à cette histoire doit d'ailleurs s'en frotter les mains sans se douter de ce qui boost ses commandes depuis peu.

La rumeur en question parle d'une livreuse qui bosse pour Uber Yum, un service de livraison comme il en existe plusieurs dizaines dans toute la ville. A l'exception près qu'elle n'a aucun problème à s'ajouter elle-même au menu contre bonus.

Autant dire que la cuisine et moi ça a toujours fait deux. Donc commander de la bouffe est devenu un geste naturel et permanent chez moi. Surtout que ce soir j'ai la dalle à plusieurs niveaux. Trois semaines que j'ai rien fait avec une nana parce que les deux dernières étaient incapable de supporter la chose et de tenir la cadence. La frustration est là et a besoin d'être évacuée.

La seule chose qu'on sait sur l'inconnue d'Uber Yum est une légère description qui ne laissera pas de place au doute le jour où on tombera sur elle. Ce soir c'est bouffe et direction la ville pour faire un saut dehors et mater un film au cinéma avec une gonzesse que je trouverai sûrement sur place avec un peu de chance. J'ai trop besoin de me défouler pour réfléchir.

Après quelques minutes d'attente suite à ma commande, j'entends l'interphone sonner. Habillée d'un simple marcel et d'un jean j'attrape mes clés et mon porte feuille que je glisse dans la poche arrière de celui-ci après avoir répondu d'un simple : - Okay, je descends !

Comme à mon habitude de descends les marches rapidement pour ensuite appuyer sur l'interrupteur qui permet d'ouvrir la porte d'entrée et mon regard croise le physique d'une bombasse fringuée comme tout sauf une livreuse. Un grand sourire aux lèvres je m'avance dans sa direction et sort mon portable pour lui montrer que cette livraison est bien pour moi.
Sur ces services de livraison on a le choix entre payer d'avance ou une fois le paquet arrivé. Et dans un quartier comme celui-là, on paye jamais d'avance à cause des charognards qui pourraient attaquer le livreur et voler la bouffe.

- Salut ! J'crois que c'est pour moi, regarde !

Quelques secondes passent avant que j'attrape le paquet tout en reluquant sans aucune gêne ou retenue les formes parfaites de l'inconnue. Puis la confirmation sur ses affaires tombe quand je vois et lis le papier qu'elle a laissé par-dessus. Sans même lui laisser le temps de trop causer j'ajoute.

- J'ai laissé mon fric chez moi. Et on sera plus à l'aise là-haut.

Je lui suggère alors de mettre son scooter à l'intérieur et l'emmène avec moi à l'intérieur du bâtiment. L'engin posé et en sécurité, je perds pas de temps et glisse une main sous son short en jean pour tâter son cul énorme. Y a pas à dire, j'ai les crocs et elle a tout ce qu'il faut où il faut. Je n'enlève ma main qu'une fois devant la porte de l'appart pour récupérer mes clés dans ma poche et l'ouvrir.

Une fois à l'intérieur je pose le paquet sur la table basse et récupère mon porte feuille dans la poche arrière de mon jean en jouant le type surpris.

- Ah, le con, je l'avais sur moi en fait. Bah, tant qu'à être là, hein !

Je retire alors une grosse liasse de billet qui tient en place grâce à une pince et la dépose sur la table à côté du sac en carton. Le fric a jamais été un problème pour moi dernièrement car le boulot ne manque pas. Et la somme qui se trouve sous les yeux de l'inconnue ferait rêver n'importe qui. En particulier si il s'agit de la nana des rumeurs. Si ce qu'on dit est vrai, elle va accepter et m'aider à enfin passer une bonne soirée.

J'ouvre le paquet, récupère la boite de nuggets qui se trouve dedans et ouvre une bière que j'avais préparée à l'avance et me laisse tomber sur le canapé du salon, les jambes ouvertes pour commencer à bouffer.

- J'vais manger sur place si ça te va. On sortira qu'une fois le ventre plein... tous les deux.

Le message est passé. Reste à voir comment elle va le prendre et continuer.

Je crois qu'on est sur la même longueur d'onde tous les deux à en juger par sa réponse. L'inconnue ne perd pas de temps pour venir se glisser devant moi et se retrouver en quelques secondes au niveau de mon jean qui ne va pas rester encore longtemps attaché à mon corps.

- Je pensais aller...

Pas le temps de finir qu'elle reprend en parlant de ce qu'elle a sous les yeux. Sa capacité à juger aussi rapidement de l'état d'un client confirme que c'est une pro avec de l'expérience à tous les niveaux.

- Trop longtemps ! Fais ton truc... Ouais !

Le manque d'action associé au fait de ne jamais trouver satisfaction avec les dernières nanas que j'ai croisé me fait bander rapidement. Trop rapidement même vu qu'elle se retrouve déjà face à une grosse trique épaisse et veineuse après avoir joué que quelques secondes avec mes couilles pleines de jus. J'aime bien sa façon de faire en tout cas. On est loin de la nana timide qui aime prendre son temps. Elle va droit au but et sait comment installer l'ambiance.

Pour le moment je me contente de l'observer faire en dévorant mes nuggets d'une main car la seconde tient la sauce. J'avais déjà vu ce genre de scénario dans un film ou deux et en fin de compte c'est pas si dérangeant que ça quand on l'expérimente. Le manque doit y jouer pour beaucoup également. Toujours étant que je me laisse faire pendant que mon estomac se remplit tranquillement.

- Tu déconnais pas, t'es une affamée.

A sa façon de dévorer ma queue, l'espoir n'est pas permis. Certaines femmes aiment sucer alors que d'autres ne le font que par habitude ou pour faire plaisir à l'autre. Pour ce qui est d'elle, j'ai l'étrange sensation qu'elle fait fièrement partie de la première catégorie.
Arrivé aux trois quart de ma bouffe, je referme et dépose la boite un peu plus loin sur le sofa et lui demande par la même occasion.

- Tire la langue et garde la bouche ouverte.

Tout en attendant qu'elle obéisse pendant plusieurs secondes j'accumule de la salive dans ma bouche et tire la langue à mon tour pour laisser couler tout le liquide transparent qui termine dans la sienne au niveau en-dessous. Puis je me penche encore un peu plus pour venir foutre une petite claque sur son énorme cul qu'elle s'amuse à faire remuer devant moi depuis tout à l'heure.

Les sons et autres bruitages humides et sales s'enchainent et remplissent la pièce depuis un petit moment déjà. Avoir droit à une vraie pipe après tout ce temps risque de me faire céder plus rapidement que d'habitude. J'essuie mes mains une énième fois pour en retirer tout le gras puis ouvre les bras pour les poser de chaque côté de mon cors sur le dossier du sofa. Mes jambes suivent le même schéma en étant complètement ouvertes pour lui ouvrir le passage.

- Putain ! On m'avait pas sucé comme ça depuis des siècles.

Ses gros seins me font envie, mais chaque chose en son temps. J'aurais tout le loisir de les essayer plus tard étant donné que la soirée commence à peine. Pour le moment je vais profiter de sa bouche jusqu'au bout.

- J'vais pas tarder à... Reviens sur mes couilles ! Bouffe-les ! Vas-y ! J'veux te les vider dans ta jolie petite bouche !

Si elle a faim elle va être servie. Et dans mon cas, le service est offert gracieusement.

C'est pas un record de rapidité mais presque en ce début de soirée. Une ou deux éjac rapides suffiront à m'aider à reprendre le rythme comme si rien ne s'était passé entre temps. En tout cas, les couilles bien logées et bloquant les lèvres de cette petite salope en manque, voilà que je commence à me branler frénétiquement pour accélérer le processus tel un ado incontrôlable durant sa première fois. Les gémissements et soupirs s'enchaînent également.

- Mffff ! Mnnnn ! Urrrrrgh ! Putain de merde !

Elle avait tellement bavé sur ma queue durant sa pipe que ma main glissait facilement dessus. Trop facilement. Je peine à ne pas la voir aller trop loin quand je remonte en direction de mon gland. Heureusement il ne me faut que quelques secondes pour atteindre l'explosion. Juste avant que ça n'arrive je pose deux doigts à la base de mon scrotum pour lui extirper mes boules qui déformaient un peu ses joues.
Puis je pose une main sur sa tête pour lui faire relever cette dernière rapidement tout en plongeant mon regard perçant et rempli d'extase dans le sien.

- Regarde-moi et ouvre bien grand !

Avec les années et les conquêtes j'ai découvert de nombreuses choses sur mon corps. Quand je suis en manque ou abstinent durant une certaine période mes éjaculations sont un poil différentes. Dans le cas présent il n'y aura pas de grosses giclées qui sautent de mon gland. Oh non, mon sperme passe en mode gelée qui se déverse encore et encore sans s'arrêter. Pas besoin de viser donc.
Je dépose mon gland à l'entrée de ses lèvres et commence à lâcher un énorme et long soupir de satisfaction alors que le liquide visqueux et collant commence à s'échapper de mon urètre.

Ma main sur sa tête se glisse dans ses cheveux pour l'empêcher d'aller où que ce soit tandis que je l'observe avaler petit à petit. Sauf que le flot ne se tarit pas une seconde. Une fois que le liquide, presque solide, s'accumule dans sa bouche, j'y fourre ma bite une nouvelle fois pour l'empêcher de le recracher. Cette nouvelle étape dure plusieurs secondes et je sens mon corps tout entier trembler. Les muscles de mes jambes et de mes bras semblent être parcourus de nombreuses décharges électriques. De la sueur apparait rapidement sur mon front et ma poigne doit se faire encore plus ferme sur sa tête sans même que je ne le fasse exprès.

- Avale ! Allez ! T'arrête pas !

Bien vite je peux constater que ses joues gonflent sous la pression et ma bite manque de place là-dedans. En l'espace de cinq secondes je vois ma queue se faire recracher par le trop plein de sperme alors que j'ai pas encore terminé. Une flaque se forme rapidement sur le tapis du sol que je vais devoir un jour faire changer car ce type d'accident arrive un peu trop souvent.

Mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et fourre une nouvelle fois ma queue tendue dans sa bouche pour la nourrir davantage en grommelant dans mon coin.

Mes épaules continuent de trembler au rythme de cet orgasme qui devient aussi pénible qu'agréable vu que ça n'arrête pas depuis plusieurs secondes. Le regard fixe sur le visage défiguré de la jolie prostituée que je me suis dégoté de façon assez insolite qui ne semble ni choquée, ni récalcitrante à l'idée de se faire un véritable repas de toute cette matière visqueuse et collante. L'odeur aussi risque de lui marquer la peau pour le reste de la soirée.

Sentir sa gorge se contracter sur mon gland et le haut de ma tige lorsqu'elle avale ce que je lui donne ne m'aide pas à calmer mon excitation. Mais toutes les bonnes choses ont une faim... euh, fin. Le sperme étalé sur sa figure juste avant coule extrêmement lentement tant il est solide et collant. Il parvient cependant, en très petite quantité, à me retomber sur la grosse veine principale lorsque je me retire progressivement d'entre ses lèvres au fur et à mesure que le débit de sperme diminue au fil des secondes.

- Urrrrgh...

La sensation de ses douces lèvres sur ma trique fait son effet. N'importe qui aurait fini totalement mou après un truc pareil. Et pourtant je bande toujours aussi dur, le gland rapidement dirigé en direction du plafond pendant plusieurs secondes. Le sperme continue de couler et de souiller ma tige alors que ma bite décide de se reposer d'elle-même en se laissant ensuite tomber sur mon bas ventre.

Je m'apprête à lui demander de nettoyer tout ça quand je constate qu'elle se redresse pour venir s'y mettre immédiatement. Si elle cherche à obtenir le statut d'employée du mois, elle est bien lancée la petite. Toujours aussi joueur quand on parle de cul, je lui demande un petit service.

- Ouais, sois une bonne salope et nettoie-moi tout ça. Mais... avale pas tout de suite.

Je l'observe l'écher, sucer, aspirer pendant plusieurs secondes et lui lance un énième ordre pour voir si elle est vraiment prête à tout pour s'amuser. A en juger par la façon d'utiliser sa langue et ses lèvres, c'est une habituée de la chose et elle n'a pas la moindre gêne.

- Ouvre la bouche, montre-moi ce qu'il y a dedans. Ah ouais, même le reste suffit à la remplir autant. C'est bon, avale.

Là encore, je me contente d'observer en posant mes bras une nouvelle fois sur le dossier du sofa. Le nettoyage est pas encore complet, mais je ne pense pas avoir besoin de le lui faire remarquer. Cela dure encore quelques minutes avant que je lui suggère de se débarrasser de ce qu'elle a sur la face pour ensuite faire un tour dans la salle de bain avant qu'on sorte. Tout en lui promettant qu'elle aura encore l'occasion de se faire souiller dehors durant la soirée.

Notre premier arrêt sera le cinéma, comme je l'avais prévu avant son arrivée surprise.

Mon regard suit tout naturellement, presque hypnotisé, son gros cul qui se remue en direction de la salle de bain. C'est alors que la question sur le moyen de transport tombe. Heureusement que j'avais tout prévu à l'avance pour une soirée drague. Parce que pour trouver des nanas qui veulent juste s'éclater il faut forcément avoir le bolide qui va avec. C'est con, réducteur et simpliste, mais ça marche toujours.

- C'est tentant le coup du scooter, mais j'ai déjà une bagnole en bas. Faudra éviter de la salir par contre.

Tout en lui annonçant la chose je me relève en évitant le sperme au sol pour me pencher et attraper quelques mouchoirs de la boite posée sur la table basse. Je m'essuie rapidement la queue de toute cette salive qu'elle a laissée dessus en venant me montrer à quel point elle tient au bien être de ses clients. Et je me décide à la rejoindre rapidement dans la salle de bain.

Je la vois en train d'essayer de nettoyer comme elle peut son haut pour me demander si je n'ai pas quelque chose à lui refiler à la place. Ma main se glisse alors une nouvelle fois sous son short par derrière pour se faufiler sans détour entre ses cuisses. Cette sensation d'humidité qui stimule la pulpe de mes doigts ne laisse que peu de place au doute. L'avant-bras coincé dans son jean je commence à ricaner doucement en lui demandant confirmation.

- T'es sûre de pas vouloir un autre string aussi ? Tu risque d'attraper froid.

Bon, il va s'en dire que j'ai pas de string dans cet appart. Et même si c'était le cas, je doute qu'ils puissent être à sa taille vu les dimensions si particulières de son physique. Je profite cependant de la situation pour la caresser par-dessus le bout de tissu fin quelques secondes avant de revenir sur son gros cul que je caresse et malaxe doucement pour ressortir de ce short des tentations.

- J'ai sûrement un haut qui traîne. Mais... Autant voir si ça peut t'aller.

Alors que l'on sort de la salle de bain ensemble je lui demande d'attendre dans le salon et revient rapidement avec un haut moulant que je lui tends pour qu'elle l'essaie. Et ce que je pensais ce produit. Le truc menace de se craquer au premier mauvais mouvement de sa part sans pour autant l'asphyxier. C'est déjà ça. Sa poitrine risque de déformer ce malheureux bout de tissu de façon définitive quand elle s'en séparera.

Le bas est une histoire plus compliquée car même en cherchant je n'ai rien dans quoi elle pourrait rentré. Toute façon on est à Seikusu, alors les nanas à moitié à poil c'est monnaie courante. Donc une avec quelques tâches ça passe quasiment inaperçu.

Sans perdre de temps j'attrape mes clés, mon portefeuille et l'emmène vers la sortie pour rejoindre la voiture de sport qui nous attend dans la rue en face. Maintenant qu'on a bien mangé, allons passer du bon temps dehors en prenant l'air. Les idées pour m'éclater ne manquent pas et j'ai la sensation qu'elle n'est pas du genre à refuser quoique ce soit, aussi risqué que ça puisse tête.

Je me pose donc devant le volant et démarre la bagnole direction le centre-ville.

Une fois tous les deux installés dans la caisse et mes deux mains collées au volant pour la faire quitter ce quartier pourri, ma belle inconnue me demande comment je m'appelle. Va même jusqu'à me proposer quelques surnoms si je veux jouer sur l'anonymat. Ce genre de contexte peut être marrant par moments quand on se lance dans un jeu de rôle approprié. Mais là... non. Surtout que le délire du maître a jamais été ma tasse de thé. Le langage cru c'est sympa et excitant en général quand on se lâche et qu'on profite. Sauf que ça va pas plus loin.

- On va garder le maître pour une autre fois si ça te va. Tu peux juste m'appeler Souta.

Je me mets à rigoler légèrement en sentant sa main revenir se frotter contre ma queue par-dessus mon jean alors qu'on vient à peine de commencer le trajet. Pour le moment je la laisse faire et me concentre sur la route vu qu'on n'en aura pas pour plus de quinze minutes pour arriver en ville.

- En tout cas tu vas en gagner beaucoup de surnoms ce soir si tu continues comme ça.

Rapidement, je retire ma main droite du volant en me lançant dans une rue droite pour la déposer sur la sienne et faire pression afin qu'elle vienne me branler de façon un peu plus insistante. Après ce qui s'est passé dans l'appart on peut dire sans souci qu'il n'y a aucune gêne ou retenue entre nous deux vu que le courant semble plutôt bien passer.

- C'est pas pour me vanter mais les nanas ont du mal à s'occuper de ma grosse bite en général. T'as celles qui s'étouffent rien qu'avec le gland quand elles tentent leur chance ou d'autres qui partent en courant rien qu'en la voyant. Alors pour une fois que je tombe sur une cochonne qui sait y faire je vais pas la lâcher de la nuit.

Lui raconter une ou deux anecdotes croustillantes me fait de nouveau bander rapidement car le tout est accompagné de ses caresses. Je ne me rends d'ailleurs même pas compte que mon jean se fait déboutonner pour libérer ma trique de mon boxer au passage. Le tout sans me perturber dans ma conduite.

- J'ai rien contre une branlette pour me tenir occupé et alerte, mais essaie de te retenir de me sucer, ma grande. Ca peut attendre qu'on arrive. Au pire... Bave un peu dessus pour me branler que je t'entende faire sans avoir à regarder.

Si elle fout trop de salive ça m'offrira une étrange sensation en renfilant tout ça, mais au moins on salopera pas la bagnole. En tout cas toute cette situation m'excite sacrément et si je savais pas qu'elle resterait avec moi aussi longtemps que je le veux, je lui aurait déjà fait gober ma bite à l'en étouffer au passage sans m'emmerder à savoir ce qu'elle veut tellement j'ai envie de me vider jusqu'à ne plus rien pouvoir faire sortir de mes couilles.

J'ai pas de programme particulier de prévu ce soir en dehors du fait de la prendre par tous les trous dès qu'une occasion se présentera devant nous. Voir comment les choses peuvent se dérouler sans les anticiper peut être sacrément excitant et offre des souvenirs mémorables.En particulier quand on est accompagné d'une nana qui n'a aucune retenue ou gêne pour ce que je peux en voir. Elle pourrait même être du genre à te faire passer la queue pour acheter des places en te pompant au milieu de la foule si ça se trouve.

Une situation que je ne vais pas pouvoir vérifier vu que j'ai acheté deux places avec mon portable en quittant l'appart. Parce que même si c'est aussi bandant que tordu de m'imaginer la scène, j'ai la flemme d'attendre dehors. En tout cas, vu le choix des places proposés, il y aura pas foule dans la salle. On pourra se faire plaisir sans problème.

L'interlude dans les couloirs du cinéma et aux comptoirs pour acheter quelques babioles se veut assez rapide. Trop court d'ailleurs pour la totalité des mecs qui n'aurait pas été contre faire durer le plaisir en se rinçant l'oeil sur Ana. Certains ont carrément oublié qu'ils étaient venus en couple et j'ai vu deux ou trois gifles voler par surprise sur leur visage. Les pauvres, si en plus ils savaient à quel point elle est docile et cochonne en plus de son physique de rêve.

On se rend ensuite rapidement au guichet pour faire valider nos places sans que je réponde immédiatement à sa question sur le film qu'on va voir. Je la fais patienter quelques minutes tandis que l'on avance quelques mètres, prenons un tapis automatique jusqu'à l'étage en gardant nos mains occupés avec les boissons et autres cochonneries pour arriver devant une porte qui est décodée avec l'affiche du dernier film de super héros à la mode. Un truc sur des vengeurs masqués qui doivent se battre contre un type avec des gants géants. Le genre de film qui est bourré d'action et qui peut couvrir tous les types de sons possibles et imaginables.

- Celui-là ! Ca te va ? C'est parfait pour ce que je vais te faire là-dedans.

Accompagné d'un petit clin d'oeil je lui ouvre et tient la porte comme un queutard gentleman que je suis. Et on ose dire que la galanterie est morte ?
Mon premier réflexe est de balayer la salle du regard qui est quasiment vide. Le fait que le film est déjà sorti depuis un mois et que tout le monde l'a déjà vu aide beaucoup. C'est aussi pour ça que je l'ai choisi.
Je montre alors du doigt la troisième rangée à partir de la fin à Ana. Doubles sièges, ainsi qu'un espace plus que suffisant pour pouvoir bien se mettre à l'aise entre les rangées sans craindre de se retrouver coincé. De la main droite je dépose ma boisson dans l'espace réservé pour au bout de l'accoudoir et me pose tranquillement en soufflant. Je lui laisse quelques secondes pour s'installer à son tour quand les bandes-annonces font leur apparition. Les lumières sont encore allumées et le son remplit seul la salle pour le moment.
J'attrape son poignet et lui fait comprendre de venir me rejoindre en venant s'assoir sur mes genoux en me faisant face. Mes mains se déposent dans un premier temps sur ses larges et douces cuisses pour remonter à leur rythme jusqu'à son short en se glissant comme elles le peuvent en dessous. Le film est juste un prétexte pour m'amuser vu que je me fous complètement de ce dernier.

- Attends... Vire ton short, t'en auras pas besoin et faudrait pas le salir encore plus.

Au moment où elle se redresse en reculant pour faire ce que je lui demande, un couple passe à quelques centimètres de nous pour descendre et rejoindre un rang plus près de l'écran. Seule la jeune femme remarque ce qui se passe et j'ai du mal à voir si elle est envieuse ou choquée. Sa vie de couple ne doit pas être géniale si elle a se genre de réaction.
En tout cas je rapporte vite mon attention sur ma partenaire du soir que je fais revenir au-dessus de moi à la seconde où elle a terminé et viens déposer deux grosses claques sur chacune de ses fesses en rigolant.

- J'en ai vu défiler des culs, mais des comme le tien c'est une première. Branle-moi un peu avec pour voir.

Faudrait pas se lancer tout de suite, amusons-nous un peu avant. J'ai assez d'endurance et de jus pour la souiller et la remplir autant de fois qu'il faudra de toute façon.

La vache, ce cul gigantesque arrive presque à faire disparaître ma queue. Le gland arrive tant bien que mal à se retirer pour reprendre de l'air avant qu'Ana ne revienne le dévorer en remuant les hanches pour le faire suffoquer de nouveau. Sans se précipiter le moins du monde. Cette peau si douce continue de me faire bander encore davantage et je suis sur le point de gonfler et durcir au maximum cette fois. J'étais tellement pressé tout à l'heure que mon corps n'a pas pris le temps de savourer et d'offrir à cette superbe créature toute l'étendue de ses possibilités.

Je pose alors mes mains sur les siennes pour lui faire comprendre de les retirer. Une main qui ne couvre qu'une partie de ce fessier de chaque côté, j'en prends possession pour me branler à mon rythme et jouer avec ses trous histoire de bien la chauffer. Sans pour autant que cela soit nécessaire visiblement vu qu'elle est déjà dans tous ses états. Quand son cul remonte complètement, je m'amuse à laisser mon gland se retirer pour venir se frotter sur son string trempé et collé à sa chatte. Je pousse même le vice à une ou deux reprises à simuler une pénétration forcée qui transformerait le bout de tissu en capote improvisée.

- Et comment ! On doit te le dire souvent, mais t'es tellement sexy que je sais pas par où commencer.

Il nous reste encore quinze ou vingt bonnes minutes de bandes-annonces et d'attente ensuite avant que le film ne démarre. J'en utilise facilement cinq à continuer de me branler en jouant avec son cul et ses petits trous quand je ne laisse pas abattre ma main sur ces deux formes si parfaitement arrondies et potelées.

- Ce putain de cul ! J'ai hâte de le sentir rebondir sur mon bassin quand je t'enculerai tout à l'heure.

Mes deux mains s'enfoncent dans sa peau pour la pousser à se relever. Je me penche alors en avant pour venir planter mes dents sans y aller trop fort dans chaque fesse pour finir par un baiser baveux. Je reproduis la chose deux fois en alternant entre chaque côté pour ensuite retourner m'enfourner dans mon siège en retirant pantalon et boxeur que je dépose à côté de moi.
J'ouvre alors les jambes pour lui présenter de nouveau ma trique et mes couilles. Au seul détail près que ma bite a gagné en volume et en longueur comparé à notre courte session dans l'appartement. La première vidange a eu pour effet de la libérer.

Je tends mon bras pour venir attraper un pop-corn dans son seau et le dépose sur mon gland. Le pré-sperme aide à le faire tenir le temps qu'elle vienne s'y mettre alors que je rigole à l'idée de la voir et la sentir faire.

- On a encore un peu de temps avant que le film commence et je préfère te voir à l'oeuvre pendant que tu me pompes la queue. Mais cette fois t'es là pour la préparer seulement, pas pour me faire cracher.

Sur le moment, une idée me vient et j'attrape mon pantalon pour en sortir mon portable et l'allumer rapidement pour chercher le mode appareil photo. Un grand sourire pervers aux lèvres je lui demande si immortaliser la chose pourrait l'intéresser et la motiver encore plus.

- Ca te gêne si je te filme à l'oeuvre ? C'est pas tous les jours qu'on croise une bonasse comme toi, alors je voulais garder un souvenir. Mais t'es pas obligée... Et c'est juste pour moi, je touche pas aux réseaux et trucs du genre.

Là voilà qui fait plus que d'accepter ma demande. Après avoir donné son accord j'ai à peine le temps d'enclencher l'enregistrement que je la vois et la sens me dévorer la trique comme une affamée. Ses petits doigts massent ma bite veinée et tremblante d'excitation d'un côté tandis que ses paumes de main s'occupent de l'autre. La douceur de sa peau est aussi agréable que la sensation chaude et humide de sa bouche.
Puis la voilà qui vient jouer avec mes couilles de nouveau. A croire qu'elle les aime et que les vider est son seul objectif de la soirée. C'est tellement rare de tomber sur une femme qui en veut autant.

Au bout d'un moment je vais même jusqu'à lui laisser prendre le portable pour se filmer elle-même. Les plans qu'elle fait sont assez excitants car ils viennent d'elle. Quand une femme se filme pour un homme dans ce genre de position, cela ajoute un côté encore plus pervers à la chose.
Surtout que cela ne l'empêche pas de poursuivre son astiquage de boules. Tenir le portable pour se filmer ne la calme pas de ce côté. J'ai même l'impression qu'elle les suce et les aspire encore plus fort exprès. J'ai du mal à tenir en place sur mon siège et à en juger par les gens qui se retournent à droite et à gauche quelques rangs devant nous, la discrétion n'est clairement pas au rendez-vous.

- Un fond d'écran ? Je pourrais même me faire une sonnerie spéciale pour toi avec tout ce que tu me dis.

Quelques secondes après je récupère mon portable qui est légèrement collant et humide et je l'essuie rapidement sur mon haut pour ne pas qu'il me glisse des doigts. Un temps visiblement suffisant pour qu'elle retire son haut et place ma bite toujours aussi demandeuse d'attention entre ses grosses mamelles qui m'ont fait loucher à plusieurs reprises depuis notre première rencontre.

Je m'apprête à lui demander pourquoi elle s'emmerder à virer son haut alors que je lui avait justement donné un qui permet de pouvoir me branler comme il faut en le gardant quand je remarque que la réponse apparaît toute seule sous mes yeux. Ses jolis et dressés mamelons changent de couleur alors que du liquide blanc s'en échappe au bout de quelques instants seulement.

- La vache... T'es enceinte ou quoi ?

Aussi débile que ça puisse paraître, c'est la première idée qui me vient à l'esprit. Son... lait ? Ouais, son lait me coule sur les cuisses alors que ses seins énormes se déforment sur les contours de ma queue massive dont le gland dégouline aussi un peu désormais. Le tout sous l'objectif de la caméra.

Je sais pas trop comment réagir car c'est une grande première pour moi. Tout ce que je remarque c'est que ça me dérange pas le moins du monde. Ou alors c'est l'excitation et l'adrénaline du fait de faire ça en public qui prend le dessus sur tout le reste.

De ma main gauche libre j'attrape un de ses tétons et le presse pour voir si le jus va en gicler tout en la filmant.

- Putain, t'es pleine de surprise. Faudra que j'y goute tout à l'heure. Mais t'arrête pas de me pomper ! Bouffe mon gland ! Branle-moi avec tes seins énormes ! Je vais en avoir des choix pour ta photo de contact sur mon portable.

Façon de dire, peu subtile, que je vais finir par prendre son numéro privé une fois qu'on aura fini afin de remettre ça régulièrement. Je l'observe à l'oeuvre encore une minute ou deux pour ensuite décider de me la prendre avant que le filme démarre. Parce que dans le noir les images seront moins nettes et tout dépendra de la lumière offertes par le film.

Ses seins ayant essuyés une bonne partie de la salive qu'elle avait offerte à ma queue, je lui demande de baver dessus une dernière fois avant de se retourner pour me tourner le dos et de venir s'empaler sur ma queue en se tant aux sièges qui seront face à elle.

- J'ai envie de te baiser ici et maintenant. Tourne-toi et remplis ta petite chatte avec ma grosse bite comme la salope en manque que t'es. Je veux te faire crier si fort, hurler au point de plus entendre les scènes d'action du film. Je vais t'user par tous les trous ce soir, que tu le veuilles ou pas.

La promesse est faite et je compte bien la tenir.

C'est hallucinant cette envie d'en vouloir toujours plus, même dans le moindre geste. Toute occasion de montrer sa faim de sexe est saisie de façon si évidente et sans aucune hésitation de sa part. En lui demandant de venir chevaucher ma bite, ma petite livreuse se fait alors un énième plaisir en se déformant la gorge sur ma trique épaisse. Provoquant ces sons sales qui me plaisent tant.

Sa réponse sur le fait d'affirmer pouvoir mener la danse jusqu'au bout me tire également un sourire alors que la chaleur se fait de plus en plus insistante dans la salle de cinéma qui est pourtant climatisée exprès.

Il ne lui faut pas longtemps pour se mettre en position et s'enfiler ma queue. Toute entière ? Merde alors ! J'en reviens pas. Chaque centimètre glisse avec une facilité déconcertante alors que je gémis de plaisir avec les sensations douces et chaudes de sa chatte qui me caresse et me comprime tout du long durant une première et rapide pénétration. Une chose à laquelle j'avais encore jamais goûté vu que la majorité des femmes ne peuvent se prendre que la moitié en réunissant toutes leurs forces pour les plus téméraires du lot.
La faute au fait d'avoir une queue de cette taille et de cette épaisseur. Mais pas elle. Bordel, elle a dû s'en prendre de toutes les tailles et de toutes les formes pour être aussi à l'aise avec un calibre comme celui qu'elle est en train de se prendre et en profiter autant.

La partie ne fait que commencer et je pose mes mains délicatement sur son gros cul pour m'en saisir alors qu'elle commence à remuer les hanches de bas en haut comme je le lui ai ordonné juste avant. Je pourrais très bien la pilonner comme la dernière des salopes d'entrée pour lui dicter la bonne conduite à avoir, mais où serait le fun là-dedans ? Non, je veux que ça dure aussi longtemps que possible.

Le fait d'entendre les gens râler de ce qu'on fait m'amuse terriblement et je ne peux m'empêcher de rigoler en les écoutant se plaindre.

- Les pauvres, ils sont jaloux car ils pourront jamais avoir une chaudasse aussi bandante que toi au bout de leur bite.

Mes doigts s'enfoncent alors un peu plus profondément dans la chair de son cul pour mieux s'en saisir et l'aider à suivre le rythme afin de la faire accélérer légèrement. Un exercice moins simple qu'il peut y paraître vu que la chaleur ambiante me fait également transpirer de la paume. Mais hors de question de lâcher prise. La douce peau de son énorme cul est si agréable au toucher. Et toute cette surface à parcourir est la distraction parfaite alors que ma trique se fait branler en intégralité en elle par ses parois humides et étroites.

- T'as dû t'en prendre des bites pour réussir à accueillir la mienne aussi facilement.

J'appuie alors sur son gros cul pour la tirer vers moi et faire cogner mon gland au fond de son trou. Fort au point qu'elle le sente bien, mais pas suffisamment pour qu'elle en sursaute.
Passé les premières minutes et le lancement du film, j'enchaîne avec des fessées audibles qui résonnent aux quatre coins de la salle. Encore plus fort que la musique du générique de début qui est pourtant forte.

- J'ai ma propre Assvenger rien que pour moi ce soir.

Entre deux fessées, je relève les hanches quand elle les descend pour revenir cogner, plus fort cette fois, au fond de sa chatte pour y faire s'écraser mon gland.

Plusieurs minutes passent pendant que j'en savoure chaque seconde. Je me décide alors de me pousser contre elle à l'instant où elle relève les hanches pour finir son mouvement de va et vient... et je m'enfonce d'une traite en elle jusqu'aux couilles. Ecrasant son gros cul contre mes cuisses et mon bassin.
Je pose mes mains sur les sièges de chaque côté d'elle et initie mes propres mouvements pour la baiser plus fort et à un rythme plus soutenu.

- Je voulais attendre un peu plus mais tu m'excites trop. J'ai envie de te casser en deux
par tous les moyens possibles.

Et vlan, je remets un autre coup aussi puissant et profond que le précédent pour lui exprimer toute mon envie.

La situation se veut complètement folle et décousue dans cette salle de cinéma qui s'est transformée en love hotel improvisé pour accueillir nos envies et nos pulsions les plus sales devant un public qui est divisé entre les personnes qui préfèrent ce spectacle au film et celles qui sont contre. Peu m'importe pour le moment vu que mon esprit est occupé à faire autre chose que de penser.

La femme que j'ai devant moi semble encore plus excitée que je peux l'être à l'écouter me pousser à y aller encore plus fort alors que son corps supporte à peine les chocs. Au point de tomber petit à petit en avant à chaque coup de butoir que je lui mets. Ma trique épaisse cogne contre le fond de son col à chaque mouvement de rein. La faire hurler me pousse à redoubler d'effort, ce qui entraîne un cercle vicieux et pervers des plus satisfaisants.

En la voyant perdre pied, littéralement, je la rattrape en la saisissant par les bras pour la tirer en arrière.

- T'en vas pas ! C'est par ici que ça se passe.

Dans mon mouvement je glisse un peu et par en arrière pour retomber sur mon siège. Entraînant la belle livreuse avec moi qui vient s'empaler sur ma queue pulsante qui écarte tout sur son passage. La sensation de sa peau douce sur mon bassin brûlant et de mon gland qui s'écrase sur la paroi solide m'arrache un grognement.

Sans lui laisse une seconde de réflexion, je soulève mes hanches pour commencer à la faire rebondir sur moi. Nos chairs en sueur claquent l'une contre l'autre dans un concert pervers de percussion. La chose dure depuis un moment et j'ai pas envie de me retenir trop longtemps car de toute manière je l'ai payé pour m'amuser.

Mes mains agrippent ensuite sa poitrine comme elles le peuvent. Les deux énormes obus ne peuvent être attrapés comme il faut avec mes seules deux mains. Je pourrais presque demander l'aide à 3 ou 4 autres types pour les saisir comme il faut et les empêcher de se balancer. Faute de mieux, je place mes mains de chaque côté de ses seins pour les comprimer l'un contre l'autre et voir tout ce qui pourra en jaillir. Cela me permet de tenir un peu plus longtemps pendant que je la pilonne brutalement.

Absorbé par toute cette escalade, mes dents se mettent à égratigner la peau de sa nuque. Les gémissements et soupirs s'enchainent alors que je brûle de l'intérieur à l'idée de remplir son corps avec la mienne de chaleur.

- Putain ! J'en peux plus... Je vais...

Ma phrase ne s'est pas terminée que ma bite se met à gonfler. Ma gorge me serre tant l'orgasme qui arrive sera puissant. La pression que j'exerce sur sa poitrine doit être insoutenable pour elle car je ne retient plus du tout mon geste. Aucun de mes gestes même. Mes hanches la font rebondir sur mes genoux pour mieux retourner en elle.

- Mnnnnnnnn !

Sans la prévenir, je commence à me vider en elle dans un long soupir de satisfaction. Comme pris de spasmes, mon corps se contracte en écrasant le sien contre moi dans un dernier effort. Je peux sentir le sperme remplir sa cavité déformée par mon membre qui fini rapidement par se noyer dans ses propres sécrétions blanchâtres, chaudes et épaisses.

Mes propres muscles se remettent en mouvement pour lui redonner quelques coups secs alors que mon cerveau s'est éteint avec ma jouissance. Faisant gicler le trop plein au sol quand il ne dégouline pas sur mes couilles et le siège qui soutient difficilement nos deux poids et efforts.

Avec elle on n'a quasiment pas le temps de savourer ce qui se passe. Je l'avais qualifié d'affamée plus tôt et cela s'avère être vrai de multiples manières. A croire qu'elle n'a pas une seconde à perdre pour enchaîner le plus de choses possibles. Heureusement que j'avais un gros manque à rattraper ce soir car j'aurais bien pu être le premier à céder devant un appétit de sexe aussi féroce que celui dont elle fait preuve depuis que nos chemins se sont croisés.

En tout cas, jamais une femme ne m'avait remercié de l'avoir baisée. Le contraire était plutôt de mise car elles ne finissaient que trouvent dans un état second à cause de mon anatomie singulière. Il y a que dans le porno ou les hentai que les femmes fantasment sur les appendices démesurés. En vrai, elles grincent des dents et partent à reculons lorsqu'on leur en balance un sous les yeux. Ma vie sexuelle n'a pas toujours été facile et prolifique. Malheureusement...

Un problème qui sera sûrement réglé en grande partie grâce à cette nouvelle rencontre. Il va falloir que je la ménage tout en imposant ma patte pour qu'on soit amené à se revoir régulièrement. C'est pour cette raison que j'accepte de remettre le couvert mais avec une petite variation dans le programme proposé par cette dernière.

- Attends, on va aller ailleurs.

Ma main droite se pose sur son énorme cul dont la peau semble prendre feu avec l'excitation. Ma tête aussi se presse contre sa poitrine faute de place ailleurs, car je cherche à me pencher en avant pour récupérer mon pantalon et mon portable.
Une fois fait, je me lève cul-nu et l'emmène en direction des toilettes tout en restant en elle le temps du trajet. Certaines remarques semblent marquer la déception d'une bonne partie d'autres personnes présentes dans la salle qui demandent si elles peuvent venir pour assister au reste du spectacle. Je leur réponds par la négative en ajoutant qu'ils auront sans doute l'occasion de nous retrouver ailleurs si ils ont de la chance.
Vu son manque de pudeur, j'ai la nette impression qu'elle ne sera pas contre se faire sauter ou s'adonner à d'autres jeux pervers en plein air.

Ce second round est aussi brutal que le premier. Plus court cependant. Après ce qui est arrivé dans la salle de cinéma et avec les cris qu'elle lâche à chaque coup de bite qui déforme son trou étroit, on risque d'attirer les employés ou la sécurité bien rapidement. Mieux vaut donc en finir au plus vite et nous sauver avant que ça se produise.

Même avec l'idée de vouloir jouir dès que possible, il me faut bien un petit quart d'heure à la prendre brutalement contre le mur en carrelage glacé des chiottes pour hommes afin d'atteindre mon objectif. Si une partie de son trou s'était vidée la première fois, je m'assurer de le remplir de nouveau avec ma crème épaisse et collante. Marquant de nouveau l'intérieur de ses cuisses. Le tout en soupirant fort dans son oreille et son cou. Mon torse musculeux écrasant sa poitrine au passage. Ce fut si intense, si satisfaisant. Des baises inopinée j'en ai déjà eu quelques unes. Et la suite du programme semble aussi alléchante que ce départ canon qu'elle m'offre ce soir.

Après avoir pris quelques secondes pour récupérer mon souffle et mes esprits, je lui annonce qu'on devra rentrer en métro vu que la voiture que l'on m'avait prêté à été récupérée par son proprio. L'idée de départ était de la chauffer sur le trajet retour. Ce qui ne devrait pas être utile vu son état d'excitation actuel. Faut dire que je m'attendais à tomber sur une coquine, pas une salope en manque prête à tout pour avoir son orgasme.

Une fois rhabillés, on quitte le cinéma lorsque je remarque un stand où ils vendent des masques en tout genre. J'en achète deux qui se veulent classiques et direction le métro du soir qui est quasiment vide. Une idée m'était venue en voyant les masques et quand notre rame arrive, je lui explique mon envie.

- Tiens, enfile ton masque et entre. On en a pour une bonne vingtaine de minutes et j'ai encore envie de m'amuser.

Ce qu'elle ignore c'est que son masque, bien que petit et ne cachant que ses yeux, l'empêchera de voir car il n'a aucun trou à ce niveau. J'avais également profité d'un moment d'inattention de sa part pour récupérer de fausses menottes.
Je l'amène alors en direction de la barre en métal au milieu de la rame et lui ordonne gentiment de se mettre dos contre celle-ci avec son masque sur le visage. Là je lui attache les menottes après avoir glissé ses mains dans son dos et appuie dans la foulée sur ses épaules pour la faire se mettre à genoux.

Sans perdre une seconde, je sors ma trique encore poisseuse que je dépose sur son visage brûlant. Mes couilles au niveau de ses lèvres vu qu'elle semblait prendre un malin plaisir à jouer avec depuis le début de la soirée. Si elle veut la vider, alors je lui offre une occasion de réaliser son objectif.
Je compte bien souiller son petit minois pour finir cette soirée avec panache. Un dernier acte sale et excitant qui devrait forcément lui plaire. Surtout qu'elle ignore si il y aura des gens autour de nous étant donné que le métro va effectuer plusieurs arrêts avant de nous amener à notre destination.

Ah ouais, amoureuse, carrément ? Je ne pense pas que ce soit à prendre au premier degré vu qu'elle ne transpire que la soif de sexe à tous les étages. Du coup je me décide de ne pas y répondre pour le moment. Il faut dire que je suis plus occupé à me remettre à bander tout en profitant de son nettoyage de couilles en règle dont elle me gratifie d'entrée. La perte de dureté et de vigueur dont je souffrais il y a encore quelques secondes est vite corrigée par ses soins.

La situation est d'ailleurs des plus amusantes de mon point de vue car le fait de la voir grossir contre son visage fait ressortir mes couilles de force de sa bouche. Ma propre trique agit comme un levier qui fait en sorte que mon corps est éloigné du sien sans que je ne fasse quoi que ce soit. Un peu comme voir le pif de Pinoccio s'allonger. Dans une version plus adulte du conte pour enfants.

Plus ma trique grossit, plus elle appuie sur le visage de la belle pour la forcer à lâcher ses friandises pleines de crème. Qu'elle le veuille ou pas. C'est là que le métro fait son premier arrêt et qu'un couple entre. La femme, surprise, est sur le point de lâcher un cri de surprise avant de placer elle-même sa main devant sa bouche. Les deux inconnus se décalent alors sans faire de bruit pour s'asseoir à quelques pas de nous sans perdre une miette du spectacle, dans un mélange de curiosité et de surprise.

J'en profite alors pour répondre à son autre suggestion maintenant que d'autres personnes peuvent m'entendre :
- Si jamais je t'abandonne attachée ici avec ta belle gueule recouverte de sperme, des inconnus hésiteraient pas une seconde à en profiter aussi. Je parie que ça t'exciterait.

Ma queue dans une main, tandis que je me tiens au poteau auquel elle est attachée de l'autre, je commence à la bifler bien fort pour lui faire comprendre que je bande de nouveau. Je tape sur ses joues, sur ses lèvres, voir sa langue quand elle me la propose dans la foulée.

- Garde la bouche ouverte, je veux que tu baves partout dessus.

Sans faire preuve de la moindre once d'hésitation ou de retenue envers elle, je commence à lui baiser la gueule de manière dégradante. Lui faisant produire une ribambelle de sons humides dignes des pornos les plus crades qui puissent exister. A peine un tiers de mon chibre imposant lui rempli la bouche en faisant gicler sa salive un partout suffit pour que mon gland vienne cogner contre sa glotte à plusieurs reprises.

Une nouvelle fois, l'inconnue en couple avec son fiancé se retient de lâcher un cri de surprise quand un filet de bave chaude vient toucher sa cheville. La pauvre ne sait plus où se mettre ou comment réagir car ce qui se déroule sous ses yeux semble lui plaire autant que la repousser.

Le trajet vers le nouvel arrêt passe à une vitesse folle. Je ne vois pas les secondes, les minutes passer, tant je m'amuser avec elle. C'est la première fois que je fais un truc pareil. Le fait de voir que cette nana n'a aucune limite risque de me pousser à essayer un tas de trucs possibles et imaginables à l'avenir.
Mais en attendant...

La main qui tenait ma queue quelques instants plus tôt vient se poser sur l'arrière de son crane quand je lui ordonne d'avaler autant que possible, au risque de s'étouffer au passage. Rassemblant toutes mes forces dans mon bras, je maintiens sa tête en position, ma queue massive coincée à l'entrée de sa gorge, pour voir combien de temps elle va tenir.
J'ai envie de la souiller une dernière fois. Que jamais elle n'oublie l'odeur, le goût ou la texture de mon membre après ce soir.

- Mmfffffff ! C'est ça ! Étouffe ta jolie petite gueule sur ma bite !

Lorsqu'elle finit par montrer les signes qu'elle ne tient plus, je relâche mon emprise pour lui permettre de respirer. Libérant par la même occasion une quantité massive de salive qui ressemble plus à de la mousse qu'autre chose. Plusieurs filets épais restent d'ailleurs collés entre son menton et mes boules. Une vision qui lui aurait sûrement plu vu sa personnalité et sa perversion prononcée.

Une pause de dix secondes offerte avec tendresse de ma part que je relance la machine en lui lâchant de petits commentaires pour lui dire de continuer. Il m'arrive de m'arrêter par moments pour lui présenter ma trique afin qu'elle joue avec de la langue pour en lécher chaque centimètre. Quitte à étaler sa propre salive sur son visage par la même occasion.

Alors que le trajet arrive presque à son terme, je tends mon portable à l'inconnue après l'avoir déverrouillé et je lui demande en parlant suffisamment fort pour qu'Anastasya m'entende.

- Je vais recouvrir le visage de cette petite pute et je veux que tu nous prennes en photo.

Pour avoir de meilleurs clichés je lui suggère de se lever et de s'approcher. Son fiancé ne semble pas avoir de problème avec ça. Une seconde après s'être mise en position on peut entendre le bruit caractéristique de l'appareil qui enchaîne les clichés. On peut presque y voir le mouvement de ma queue entrer et sortir de la bouche de ma victime si on les regarder les uns après les autres.

Encore une fois, je ne me retiens pas une seconde pour faire durer le plaisir. Sauf qu'à ma grande surprise l'inconnue écoute la suggestion de son fiancé en agrippant ma bite pour me branler et accélérer le processus.

- Ah ouais, quand même. Je te laisse faire, repeins la gueule de cette chienne pour moi.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Le sperme gicle dans une explosion de liquide visqueux, collant et odorant blanchâtre sans que je ne contrôle ni son débit, ni les endroits visés donc.

Après le coup du cinéma et des chiottes, on est passé du porno hard au film à thème super dégradant pour la pauvre Anastasya. Quoique, vu le plaisir qu'elle prend à pomper des bites et à se prendre des faciales, je doute que ce qui est en train de lui arriver la dérange ou la dégoûte. Je l'ai pas entendu une seule fois se plaindre, demander d'attendre ou même d'arrêter de toute la soirée. Même lorsque je l'ai poussée à s'étouffer quelques minutes plus tôt elle avait tenté de me sauter dessus pour continuer.

Bien vidé de mon côté, la trique qui débande dans la main de l'inconnue, j'admire la vue pendant que le fiancé de cette dernière libère ses dernière goutte sur le visage de celle qu'il ne connait pas du tout. Le fait de ne l'avoir jamais croisé par le passé ne l'a pas dérangé ou freiné une seconde avant de se soulager sur elle. Je crois même que ce genre de frisson l'a excité plus que davantage à en croire sa copine.
Cette dernière pointe du doigt le fait qu'il n'est pas aussi vigoureux et généreux quand ils sont ensemble. Au point de parler d'un futur plan à 3 entre eux et d'autres personnes de leur entourage à tour de rôle. On peut les entendre se partager des noms au milieu du métro.

De mon côté je demande à la nana de m'essuyer la queue car j'allais pas la ranger dans mon boxer couverte de sperme. Celle-ci ne s'emmerde pas et retire son pull qui va servir de torchon pour son fiancé et moi. Ce qui extirpe une mou de ce dernier qui espérait se faire astiquer un peu par madame pour "rester dans l'ambiance" selon ses termes.

Les nichons à l'air et quasiment autant recouvert de sauce blanche que son visage si délicat avant cet étalage de virilité, elle risque d'être rassasiée pour la soirée si elle décide d'avaler ce qu'elle a dessus si elle n'opte pas pour l'utilisation du pull qui lui est déposé dans sa main droite par l'inconnue.

Sans plus de cérémonie le couple s'en va à l'arrêt suivant en précisant qu'elle pouvait garder le pull en remerciement pour ce qui vient de se passer et ce qui risque d'arriver à l'avenir entre nous maintenant qu'ils vont franchir une étape de plus dans leur vie sexuelle. La scène est étrange au possible, surtout qu'un homme d'âge mûr qui dormait durant tout ce temps commence à se réveiller au fond de la rame.

En remarquant la présence d'une femme couverte de sperme dont je détache les poignets, il comprend rapidement ce qui s'est passé et r$ale d'avoir raté toute l'action une nouvelle fois. Une nouvelle fois ? Okay, je sais que les gens dans cette ville aiment s'amuser, mais ça arrive si souvent que ça ? Car à l'écouter on pourrait jurer que oui.

Une fois libre, vu que j'ai décidé de ne pas l'abandonner ici, on repart en direction de mon appartement pour qu'elle récupérer son véhicule.

- C'était vraiment sympa. Faudra qu'on remette ça.

Je me mets à réfléchir quelques secondes quand une idée me vient à l'esprit. Vu qu'elle aime faire des trucs dehors et que l'idée d'avoir un public l'excite plus qu'autre choses, profitons de la situation au maximum.

- Je bosse pas ce samedi. Ca te dirait d'amener ton gros cul à la piscine ? T'auras quelques jours pour récupérer de ta soirée.

Le programme sera différent, mais les possibilités seront nombreuses là-bas. Je me frotte déjà les mains d'impatience si elle décide d'accepter.