Dans ce monde et époque, nous retrouvons Clad en simple boulanger, habitant un petit village rustique. Il fait ça depuis toujours, en effet, son père et son arrière grand-père étaient déjà boulanger à leur époque. Il a donc baigné dedans depuis tout petit. Il vivait et travaillait au même endroit, dans un petit village, non loin de la grande ville. Il se déplaçait uniquement à pied ou en calèche, afin de transporter la matière première pour son pain. Il vivait seul. C'était un choix. En effet, il préférait la compagnie des femmes de manière occasionnelle. Il les adorait, ça lui arrivait assez souvent que des femmes viennent à lui, pour s'offrir corps et âme pour un bout de pain. L'homme en profita, acceptant seulement si la jeune femme était à son goût. Mais il préférait rester seul, enfin pour un temps.
Aujourd'hui, notre homme était loin de chez lui. Il voulait essayer une nouvelle farine, qui d'après des collègues boulangers, était la meilleure du pays. Mais celle-ci se situait à trois jours à dos de cheval. Alors, lui et sa calèche, en aurait pour au moins quatre, voir cinq jours.
Lors de l'aller, tout se passa bien. Il s'était arrêté dans différents villages pour manger et passer la nuit. Une fois arrivé au moulin, il prit des dizaines de sacs de farine. D'après son expérience et ce qu'il faisait en quantité de pain chaque jour, tout ça lui durera environ cinq mois. Puis il devra revenir ici et ainsi de suite. Sur le chemin du retour, au quatrième jour, il s'arrêta une nouvelle fois dans un petit village. Il n'était pas passer par ici à l'aller. Il faisait déjà nuit, mais malheureusement il ne trouva aucune auberge. Il croisa beaucoup de none, une église était peut-être à proximité ? Un convent même ? Bingo ! A la croisé d'un chemin, il se retrouva devant le couvent. Ces maisons religieuses étaient toujours accueillantes. Il entra et gara sa calèche non loin de l'entrée. Détacha son cheval, afin de l'emmener dans une petite écurie prévue à cet effet. Il relâcha son cheval à l'intérieur. Du foin était disponible un peu partout. Son cheval ne manquera de rien.
Clad tourna les talons et se dirigea vers l'entrée du bâtiment. Il était tard, il ne croisa personne. Il monta les premiers escaliers qui s'offraient à lui, étant persuadé que les chambres à coucher se trouvaient à l'étage. Il n'y avait aucun bruit, juste le son du vent, qui se faufilait entre les embouchures des fenêtres et des portes. Il monta encore et encore, puis vint un couloir, plutôt étroit. De la lumière ressortait du bas de la porte, mais surtout une voix. Une jeune femme sans toute vraisemblance. L'homme posa son oreille sur la porte et écouta. Une femme parlait à quelqu'un, elle avait l'air en danger. L'homme ouvrit facilement la porte, par chance elle n'était pas fermée à clef. Il entra et vit alors une jeune femme avec un linge blanc, remonté jusqu'à sa taille, couchée sur un lit. Mais pas seulement, en effet, cette dernière était attaché au niveau des poignets et des jambes. Il pouvait voir son intimité très clairement. Elle était blonde et avait des formes parfaites. Mais elle avait surtout un bandeau sur les yeux. Alors qu'il esssaya de faire le moins de bruit possible, cette dernière l'entendit et lui demanda s'il était sa soeur. L'homme ne répondit pas. Il préférait s'avancer encore un peu. Ses genoux touchèrent à présent le lit, et il avait donc en face de lui, une femme, en position de soumission. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait que parler. Mais qui avait bien pu lui faire ceci ?
L'homme était fatigué, donc ne pensa plus très rationnellement, donc au lieu de l'aider à la détacher, il fit tout l'inverse. Il en profita.
Clad tendit alors sa main pour venir toucher la jambe de la jeune femme. Il lui toucha le mollet, puis remonta légèrement. Elle avait la peau très douce. Il atteignit sa cuisse qu'il se mit à serrer dans son poing à plusieurs occasions. Elle avait la peau tout aussi ferme. Il remonta toujours plus, pour arriver au niveau de l'intimité de la jeune femme. Il n'hésita pas une seule seconde et vint l'effleurer. Incroyable, elle était tellement trempée. Ceci excita notre homme. Avec sa main libre, il se mit à caresser ses seins. Ils étaient gros. Même à travers le tissu, il pouvait les sentir énormes et fermes. Mais que faisait une femme aussi belle, seule, enchaînée de la sorte ? Il n'était plus du tout rationnel. Il se mit à chercher les tétons de la jeune femme avec ses doigts, une fois trouvés, il se mit à tirer sur l'un d'eux.
Mais comment cela allait-il finir ?