Une rencontre irréelle et pas du tout voulue [Akita]

Le phallus végétal progresse lentement entre les fesses du jeune être de chair. Alors qu’il pousse lentement, il finit par s’arrêter et tel une racine ayant trouvé sa place dans la terre, il enfle, il enfle, dilatant cet orifice et ses chairs intimes inconnus. Alors bien planté et bien grossit, le membre commence à remuer. Akita trouve cet endroit étrange, il est plus chaud et moins humide. Curieuse de voir quelque chose, les mains vertes se saisissent et deux baies et viennent se glisser dans la bouche végétal. Elle profite d’un instant où sa jeune amante à la bouche ouverte pour venir plaqué la sienne dessus. Les lèvres se soude et sa longue langue végétale vient jouer avec sa jumelle. Elle en profite pour faire avaler les deux baies à l’être de chair. Cela fait, le baiser se poursuit, malgré tout. Ses mains empoignent les seins, ses doigts tirent les tétons. Les baies feront leur office. La première augmentera le plaisir que ressent la jeune fille, l’autre fera emplir sa vessie et l’obligera à se soulager, sans qu’elle ne puisse l’empêcher. Elle rompt doucement le baiser.

"-Merci. Mais Akita veut voir ce que tu faisais quand elle est arrivée. Et te donner encore plus de plaisir."

Une vrille vient taquiner le clitoris et un autre vient jouer avec l’urètre pour voir jaillir ce petit jet couleur du soleil. Les jambes et la fleur écartées donnent une vue plongeante sur l’intimité blanche , inondée de semence, du petit être de chair pour qui sera bien malin de les voir.

J'ai du mal à comprendre ce qu'il se passe dans mon corps, alors que Akita continue d'enfouir son sexe végétal dans mes fesses. Je sens sa verge coincer en moi, avant de gonfler, gonfler... Je me crispe et gémis longuement, étouffant mes gémissements en couvrant ma bouche, mais je me retrouve bientôt tue par autre chose. Mon "amante végétale" m'embrasse longuement et je sens bien vite deux objets rentrer dans ma bouche, me faisant frémir de surprise. J'avale les deux choses, qui ressemblent à de petites cerises ou baies... et je sens bientôt des choses s'éveiller puissamment en moi.
Une bouffée de chaleur monte fortement en moi, mais quelque chose monte également au niveau de ma vessie, comme si... comme si j'avais une envie pressante d'un seul coup!

- Ah... Non... C'est trop... trop gênant de faire ça... non... han...

Alors qu'elle continue de caresser mon corps de ses "tentacules végétales", je cède cependant bien vite sous le plaisir et cette envie pressante, complètement submergée par le plaisir ardent embrasant mon corps.
Un petit jet de liquide doré sort d'au-dessus de mon intimité, entre nous deux, et je me contorsionne comme je peux, pour que l'urine atterrisse au sol, le jet tremblotant, alors que je jouis fortement sous la sodomie intense procurée par la femme-plante.

Voyant ce que procure cette situation à sa jeune amante, Akita la met alors à quatre pattes et lui lève une jambe pour qu’elle puisse se soulager. Elle en profite pour lui retirer tout ce qu’elle porte, la laissant entièrement nue et dans la posture d’un animal satisfaisant ses besoins. La position est obscène et fait prendre le risque à l’humaine d’être vu par d’éventuels passants. Mais l’être végétal ne se préoccupe guère d’une telle éventualité. Ses vrilles s’amusent à titiller un peu plus le clitoris, d’autre vrilles jouent avec ses lèvres intimes. Une main verte claque une fesses, plus par curiosité qu’autre chose. Son membre prend un peu plus de volume pour laisser à sa semence le chemin pour venir se répandre dans les fesses de la jeune femme, dilatant son orifice.

Après quelques coups de reins puissants, s’assurant ainsi que son nectar de plaisir se soit répandu dans le postérieur féminin. Le vit vert se retire lentement, puis prend une taille plus importante et vient pénétré lentement, très lentement le sexe féminin. Jamais  le sexe de son amante n’a du accueillir un tel membre, aussi il glisse doucement entre ses lèvres intimes, une vrille vient prendre sa place dans l’œillet brun et des claques se font entendre sur les fesses féminines, accompagnées par des vrilles qui viennent légèrement tirer les petits tétons.