Un frisson me parcourt le dos, lorsque le garçon se relève lourdement de sa masse inquiétante. Je n'aurai pas le temps de reculer d'avantage, que sa main m'attrape la gorge! Ma bouche et mes yeux s'écartent avec horreur! Puis il me soulève avec une facilité déconcertante... Prise de terreur, de panique, j'attrape par réflexe sa main qui me bloquait la gorge, pour essayer de me dégager. En vain! Me mettant à respirer soudainement de plus en pus fort, craignant de me faire étrangler, alors que je commençais déjà à ressentir de la gêne, je me sens encore soulevée. Tétanisée d'effroi, comme prise au piège par un individu pervers qui semblait s'être joué de moi depuis le début, il m'arrache une partie de mes vêtements. Avec le bruit de déchirement qui s'accompagne, il me libère le temps d'un instant et me jette sur mon lit. En état de choc, avec mes pensées qui se bouleversent dans ma tête, j'étais incapable de fuir. Trop préoccupée à récupérer l'oxygène déjà manquant...
- Touss!... Touss!... Arrê... Arrêtez!... Touss!... Touss!...
A quatre pattes, cherchant à recentrer mon regard qui partait dans tous les sens, je suppliais le garçon d'arrêter. D'essayer de trouver avec lui, un autre compromis plus raisonnable, en échange...
Mais il vient directement me bloquer le haut du corps, avec son bras presque aussi épais que mon propre buste. M'empêchant de bouger, il se saisit de mes sous-vêtements pour terminer son horrible travail. Le bruits que ces derniers faisaient, me donnait envie de pleurer. Ce sale type allait me violer! Il allait me prendre sans aucun état d'âme, après tout ce que je venais de faire pour lui avant! Il avait abusé de ma confiance et je n'avais pratiquement rien vu venir... Comme d'habitude...
- Je vous en supplie... Arrêtez! Je vous en supplie monsieur! On peut trouver un autre compromis! Je...
Tétanisée, je supplie le garçon. Je le suppliais de cesser, même si je savais que ça ne servirait à rien. Mais dans ma tête tout ce que j'espérais, c'était un semblant de pitié. Juste un peu de compassion et de reconnaissance, en retour de ce que j'avais fais pour lui. Rien de plus...
Pendant qu'il me tenait de ses horribles mains, toujours immobilisée, entièrement offerte à un sale type qui allait faire de moi sa chose, je le sentais approcher le bout de son sexe énorme, au niveau de mes lèvres intimes. Au niveau de l'entrée de mon vagin!
Ma respiration se saccade, alors qu'il tente de m'imposer de prendre son sexe en moi. J'étais effrayée, car je le savais beaucoup trop gros pour moi. Je n'avais pas morphologie suffisante que pour accueillir un tel membre comme le siens en moi. Il allait me déchirer! Il allait me détruire l'intérieur!
- Non arrêtez! Ca ne rentrera pas! Je suis trop étroite pour vous! Je vous en prie stop! Stooooop!
Prise d'un début de nausée, ressentant mes pensée devenir de plus en plus confuses, il me faisait m'écarter mes cuisses, pour mieux arriver à s'imposer. Tenter un passage en force, à l'intérieur de mon étroit vagin. Ses mains agrippées fermement à mes hanches, comme si je ne représentais qu'une simple poupée, incapable d'arriver à me défendre seule comme d'habitude, je posais alors mon front contre le matelas. Mon coeur pulsait autant que le sang remontait dans ma tête et dans mes veines. Je ne voulais pas! Non! non!....
- Nooooonnnn!!! Nooooonnn!!!
Alors que je crie. Que je hurle dans une lourde plainte, prête à pleurer, je sens son gland qui glisse et qui râpe contre mes lèvres. Mais cela ne l'empêche pas de se moquer de moi. Il était manifestement prêt à me déchirer, sans même se préoccuper de la souffrance que j'allais ressentir! Ce garçon était vraiment ignoble! Tout ce qu'il voulait de moi, c'était pouvoir me violer pour ensuite me jeter, après m'avoir détruite un peu plus! Encore une fois, ça recommençait...
- Je vous en prie...
Je commençais à pleurer. J'avais des larmes naissantes au bord des yeux. Je ne me sentais n'être plus qu'une pauvre chose une fois de plus soumise, qui allait être souillée de l'intérieur dans une violence inouie...
Sans me prévenir, il me retourne alors et me met de dos. Je pouvais alors voir de nouveau avec horreur, son sexe monstrueux qu'il voulait désespérément m'imposer en moi... A mes chaires intimes qui ne tiendraient pas le choc, alors qu'il grognait encore...
Mes larmes continuaient à s'intensifier. Je sanglotais de peur et de terreur. Mais il ne semblait avoir aucune once de pitié pour moi. Il n'y avait que vice et monstruosité, dans le corps de ce garçon.
- Ca ne rentrera pas! Non!...
Humiliée, résiliée, figée de terreur et de dégout, je le voyais impuissante revenir à la charge en moi. Sans aucun scrupule, alors qu'il donnait un coup de bassin beaucoup plus violent et ferme que le premier, il réussit à entrer en partie en moi. Le bruit que fait alors mon sexe qui se distend, me fait alors avoir un début de douleur. Ce type allait me déchirer complétement l'utérus, s'il continuait! Il possédait un sexe hors normes! Hors de toutes les dimensions que j'avais déjà eu affaire par le passé!
- Haaaaaaaaaa!!!... Haaaaaa!!!...
Sans aucune pitié pour moi, son sexe continue de s'enfoncer dans le mien. Incapable de bouger, les bras écartés sur le lit telle une poupée désarticulée que j'étais de tous les côtés, je le sentais terminer son horrible travail. il était en train de m'ouvrir l'utérus! Vers la fin, j'en pleurais de douleur! Mon visage était déformé d'horreur. J'avais comme l'impression qu'il allait me tuer! Que je ne pourrai plus jamais remarcher de ma vie, après ça...
Cuisses écartées de force, je l'entendais avec dégout, se satisfaire être parvenu entrer en moi. Mais ça ne l'empêchait pas de continuer de forcer quand même. D'essayer de s'acharner à vouloir me déformer le sexe le plus possible! De malmener à tout prix mon vagin, alors que je voyais une horrible bosse qui s'était formée! Je devais mettre la main devant la bouche plusieurs fois, à cause la nausée qui me montait. Je n'osais même pas affronter son regard de bête sauvage! Le dégout en moi coulait jusque dans mes entrailles! Jusque dans mes boyaux qu'il parvenait à me tordre douloureusement, à cause de la pression qui me parvenait jusque dans mon ventre...
Au moment il commence ensuite ses vas et viens en moi, j'étais forcée de devoir expirer bruyamment. Mon corps entier, suivait le rythme qu'il m'imposait. J'expirais de l'air avec une expression déformée, à chaque fois qu'il s'enfonçait dans mon sexe déjà brûlant de douleur. Je le voyais bouger avec violence, en rythme saccadé! Il s'amusait à aller et venir avec son horrible sexe dans mes entrailles! Je n'allais jamais tenir le choc!
Et non content de me violer, de vouloir faire avec moi ses petites affaires, cet horrible individu pervers se moquait de moi. Il se moquait de mes ressentis. Il se moquait de toute ma souffrance...