Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Hyrnea

Invité

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samedi 07 novembre 2020, 23:38:11

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« Modifié: mardi 09 janvier 2024, 14:20:18 par Hyrnea »

Jack Taylor

Humain(e)

Geralt frissonne, déglutit lentement. Sous ses paupières, ses yeux remuent doucement. Sombre. Son corps entier l’élance et il grogne de douleur, avant d’entrouvrir légèrement les yeux. La pièce est plongée dans l’obscurité, mais ainsi que ceux d’un chat, ses yeux s’habituent presque immédiatement à l'obscurité et il esquisse un sourire narquois à l’elfette qui s’approche d’un air menaçant. J’avais bien mérité une petite sieste. Il parle couramment l’elfe sylvain, naturellement, mais c’est bien la première fois qu’il a affaire à une tribus aussi agressive. Il constate - sans surprise- qu’il est nu, à l’exception de la culotte de bure qui dissimule son chibre. La lueur flamboyante des torches projette des ombres mouvantes sur son torse musculeux et couturé des cicatrices de ses traques passées, ainsi que des plaies encore ouvertes de son dernier affrontement.

Bordel”, ne peut-il s’empêcher de grogner lorsque l’eau glacée lui brûle l’épiderme.

Bandant ses muscles, il teste discrètement la résistance de ses chaînes. Solides. Il ne peut les arracher, du moins pas tant qu’il n’aura pas repris des forces. Les combattants qu’il a affronté plus tôt étaient de féroces guerriers. “Pétasse”, grogne-il en langue commune, entre ses dents. Puis, de nouveau, en elfique. “Je n’avais aucune intention belliqueuse en approchant de votre foutu temple. Je voudrais simplement avoir une entrevue avec la personne qui vous dirige.” Ses yeux glissent sur les la silhouette élancée de la jeune femme. Il ne se souvient pas de l’avoir vue plus tôt. peut-être est-ce celle qu’il l’a lâchement attaqué par derrière ? Elle est grande, musclée, une beauté sauvage, froide. Il fronce les sourcils lorsque l’inconnue écrase la plante de son pied sur son entrejambe. Ca aussi, devrait l’aider à se réveiller. A mesure qu’elle joue de la pointe de ses pieds sur la verge emprisonnée, son sexe enfle, inévitablement.

Ca t’amuse ? la colère flamboie dans ses yeux jaunes. Il n’a pas l’habitude d’être pris en défaut, tout particulièrement en ce qui concerne le sexe. Pourtant, un mauvais sourire étire bientôt ses lèvres minces. “Tu ne dois pas en avoir vu beaucoup, des grosses queues, pas vrai ?”Il sait qu’il a de bonnes chances de toucher juste. Les elfes de manière générale, ne sont pas réputés pour leur virilité, à la différence des humains… Ou pire, des sorceleurs. Il bande bien fort, à présent. Le gland violacé, luisant de foutre s’échappe de sa prison de tissu. Même pour un humain, la queue est massive, veineuse. Brûlante. Si tu veux me pomper, grouille-toi un peu, qu’on en finisse.” Ah, si seulement il pouvait se libérer… Il effacerait le sourire narquois de cette petite pétasse à grand coup de chibre sur la gueule.



Jack Taylor

Humain(e)

Geralt réprime une moue amusée. Si l’elfette ne l’a pas encore égorgé, c’est qu’elle a encore besoin de lui, et des informations qu’il détient - pas grand chose en réalité, mais elle l’ignore. Il sursaute néanmoins lorsqu’elle brisa le sceau contre le mur de pierre, à quelques centimètres de son visage, mais ne broncha pas. “Creuse donc, gamine. Je n’ai rien à dire aux larbins.” Il crache sur le sol avec mépris. En dépit de ses manières et de sa violence, Geralt n’est pas dupe : son chibre l’intéresse au plus haut point. “Pas particuliè… Oof…” La gifle est sèche, puissante. Il serre les dents, pour se retenir de l’insulter de nouveau, s’efforce de se soustraire à la poigne de ses longs doigts agiles. Je les verrais bien autour de ma queue. Son regard glisse sur ses cuisses fléchies, musclées. Chien. Voilà qui le mettait dans une rage folle. Ah, il a fière allure, le boucher de Blaviken !

“Tu me le paieras, catin”, précise-il d’une voix rauque, transfigurée par l’humiliation. “Pu-tain.” de surprise et de douleur, il hoquète, écarquille les yeux, crispe ses gros doigts calleux. La garce a empoigné ses couilles, les écrasant sans vergogne. Elle est proche à présent. Il peut sentir l’odeur suave de son corps, celle de sa sueur… Malgré la douleur, son énorme érection ne faiblit pas, et sa tortionnaire peut sentir le chibre veineux palpiter contre son poignet, suinter un peu de foutre chaud sur sa peau tiède. Insidieusement, il remue son bassin contre elle, pour qu'elle éprouve l'épaisseur de son chibre.

“Je n’ai… Rien à te dire, salope.”

ceci pour une simple et bonne raison. S’il dit à Hyrnea ce qu’elle voulait bien entendre, elle peut simplement l’éliminer ici et maintenant. Son silence constitue probablement sa seule chance de s’en sortir vivant. De nouveau, le plus discrètement possible, il s’efforce de tirer sur la chaîne qui retient son bras droit.  Robuste. Il embrasse la pièce d’un rapide regard. Son attirail demeure introuvable. Elle est si proche qu’il pourrait la saisir avec ses jambes pour l’immobiliser, voire tenter de lui briser la colonne vertébrale. Néanmoins... Il lui serait aisé de s’échapper; ou d’appeler à l’aide. Et il n'a pas de moyen de se libérer seul.

“Hé, qu’est-ce que tu traficotes, connasse.”

Le rougissement de la flamme sur l’acier n’a pas échappé à son regard acéré. Il un un bref frisson. Même s’il n’en est pas à sa première fois, se faire torturer n’est jamais agréable. “Ta forêt ? Mais qu’est-ce que tu racontes comme connerie.” Il a un rire bref, sec. “J’essayais de… Trouver une petite chienne comme toi, pour me vider les couilles, un bon sac à foutre. Ca te plairait ça ? Regarde comme elles sont pleines.” son visage blême se fend d’un sourire carnassier. Si l’elfette est une guerrière, elle a probablement compris que le sorceleur ne pliera point facilement.

 

Jack Taylor

Humain(e)

Gagner du temps, jusqu’à quoi, jusqu’à quand ? Il n’y a personne pour venir à son secours. Il n’y a jamais personne. Gagner du temps jusqu’à l’erreur d’Hyrnea. Les doigts de l’intéressée lui broient toujours les couilles. Il grimace. Les yeux mi-clos, le sorceleur inspire lentement par le nez. Il va souffrir, et même s’il en a vu d’autres, la perspective n’est pas très engageante. L’odieuse catin lui étale son propre foutre sur la gueule. C’est poisseux, odorant.

“‘Rien à branler de vos trésors de poilleux, j’étais simplement sur une piste, et tes potes me sont tombés dessus. ’Fallait bien que je me défende.”

C’est une partie de la vérité. Pour autant, il ne compte pas lui dire qui il pourchassait, ni pourquoi. Un putain de vétéran des commandos Elfes, un criminel de guerre qui avait massacré des centaines d’humains - femmes et enfants compris - et qui se trouvait probablement dans ce village merdique paumé. Le pied de sa geôlière remplace de nouveau sa main. Il ne peut s’empêcher de sourire malgré lui. Indubitablement, elle aime jouer avec sa queue. Oof, le coup bas. La douleur de ses bourses lui remonte dans le bas ventre et il retient ses mots, mais une haine renouvelée se lit dans ses yeux outrés. Un mouvement de recul brusque, instinctif, lorsqu’il sent la chaleur de l’acier à proximité de ses couilles. De la sueur dégouline de son front, de ses bras et de son entrejambe.

“Tu crois pas que ça serait… Du gâchis, hein sale pute ? Mhhhgg….”

La douleur de l’acier brûlant est mordante et il doit serrer les dents pour ne pas crier, rester digne. Il se force même à lever un visage goguenard vers sa tortionnaire, mais inévitablement déformé par la souffrance. Lorsqu’elle retire l’acier de sa peau brûlée, il est en nage, le souffle court. Une cicatrice de plus.

“Tu me le paieras, elfette. Quand je me libérerai - et je vais me libérer - je vais détruire tes trous et les remplir de foutre jusqu’à ce que tu tournes de l'œil. Ensuite, je t’abandonnerai à une patrouille de soldats humains pour que tu leur serve de vide-couilles.”

Profitant de ce qu’il croit être un moment d’inattention de sa part, le sorceleur se redresse légèrement, et se jette en avant pour s’efforcer de percuter Hyrnea. Néanmoins, les forces lui manquent et, à cause de l’humidité de la cellule, il glisse, tandis que sa tortionnaire n’a qu’à faire un leste pas de côté pour éviter son assaut maladroit qui lui vaut de se retrouver une nouvelle fois à genoux sur la pierre humide.

“Putain de merde, fais CHIER”.

Il tire une nouvelle fois sur ses chaînes, en désespoir de cause. Pire encore que la douleur de ses muscles, de son ventre, c’est la blessure infligée à son égo qui le meurtrit. Malgré sa haine et son désespoir il comprend trois choses. Qu’elle ne le tuera probablement pas - elle est bien trop jeune pour pouvoir prendre ce type de décision pour son village - et a priori, elle ne lui coupera pas les couilles. Enfin, elle semble jouir de sa position de pouvoir face à lui. Probablement sait-elle qu’en combat singulier, il la massacrerait… Avant de la baiser brutalement, à même le sol.

“J’ai rien à te dire de plus. Appelle tes putains de chefs, ou laisse-moi partir.”
« Modifié: samedi 19 juin 2021, 20:10:53 par Jack Taylor »

Jack Taylor

Humain(e)

A genoux devant sa tortionnaire, ses yeux jaunes luisant dans l’obscurité, Geralt la jauge, la gratife de toute sa haine, de tout son désir brutal. Entre ses cuisses, son gros sexe bande toujours aussi fièrement vers le plafond, comme pour défier davantage Hyrnea. Sa revanche, il l’aura, il en est certain. Sa dernière tentative a échoué, mais son mouvement brusque lui a révélé une certaine fragilité de l’attache de la chaîne qui retient son bras droit. Il lui suffit de patienter encore quelques instants, afin de rassembler ses forces. Il accueille l’hilarité d’Hyrnea d’un regard furieux. Une punition. Cela ne présage rien de bon et il le sait. Sa geôlière n’est pas une inoffensive petite femelle et il a pu constater la violence, voire la cruauté dont elle est capable d’user, si bien qu’il serre les dents, les yeux mi-clos. A quoi s’attendre à présent ? Au fouet ? Il tique lorsqu’elle s’éloigne, hors de sa portée. Givrée. Elle a l’air complètement givrée, cette elfette.

“Qu’est-ce que tu racontes encore comme conneries…”

Le coup de pied le force à se redresser, la pierre nue écorche la peau de son dos, les sourcils froncés, avant d’écarquiller les yeux en comprenant ce qui est sur le point de survenir. “Tu… Non.” La salope. Il s’attendait à tout, sauf à ça, à ce jet dru, tiède et sale qui asperge son corps meurtri. Il rugit de rage en se débattant, manquant cette fois d’arracher ses chaînes, bien qu’Hyrnea soit trop occupée pour s’en rendre compte. Bouillonnant de rage et de honte, il crache sur le sol, secoue ses cheveux souillés. “Tu vas me payer ça, chienne.” La punition… Comment ça, la punition. C’était pas la pisse ? Elle presse sur ses omoplates, le force à se pencher en avant. L’odeur forte, entêtante de l’urine le fait tourner de l'œil. Ouais ça, il ne s'y attendait pas vraiment. Il s’efforce de se redresser, mais l’urine s'infiltre entre ses lèvres, dans son nez… Il crache de nouveau, de dépit. S’efforçant de reprendre ses esprits, il déglutit. Il ne peut pas la voir bien sûr, mais grâce à ses sens aiguisés de sorceleur, il sait exactement où elle se trouve. Il ne peut néanmoins pas l’empêcher de tirer sur ses chaînes, le forçant à se redresser de nouveau pour ne pas s’étrangler. Il sursaute, trépigne de douleur et de rage lorsque le dessus du pied de l’infâme elfette. Lentement, sûrement, il fait jouer son biceps droit, pour tirer sur le mousqueton fixé au mur. Ouais… Ca bouge, un peu.

“Arrrrgh !”

Une douleur terrible, fulgurante le cloue sur place, et il hoquète de honte et de surprise alors qu’Hyrnea envahit brusquement son anus avec un sexe factice. Perdant l’équilibre, il se débat, grogne, mais ne parvient qu’à trébucher une nouvelle fois. Ses entrailles le brûlent et le sorceleur croit n’avoir jamais ressenti une telle douleur, sans compter l’humiliation, humiliation qui s'accroît lorsque son anus meurtri se dilate. Vaincu, du moins en apparence, le puissant guerrier se laisse malmener, les yeux mi-clos, les dents serrées, s’efforçant d’ignorer la chaleur naissante du creux de ses reins. Une chaleur sournoise, qui gagne du terrain sur les douloureux élancements qui le tiraillent. Non. Les yeux baissés sur son chibre, Geralt constate qu’il enfle de nouveau, alors que la chaleur s’intensifie. Une coulée de foutre tiède s’échappe de son gland, coule jusque sur ses couilles. Le souffle court, Geralt bande ses muscles. Il pourrait jouir, ainsi. Mais si la tentation de la délivrance est grande, l’idée d’offrir ce spectacle à cette infâme petite ordure le répugne.

“Tu peux crever, chienne. Jamais je… Merde, merdee…”

Un grognement rauque envahit les geôles alors que Geralt mobilise tous les muscles de son épaule et de son bras pour arracher le mousqueton du mur de la cave… Mais que sa main retombe sans force, alors que son corps s’arque vers l’arrière. Sa Prostate. Et Geralt jouit. Son gros chibre s’agite stupidement, expulsant de longues giclées de foutre brûlant vers l’avant, alors que son corps musculeux est agité de violents soubresauts. “Haaa…” Sa queue suinte encore de longue seconde, alors que son anus se crispe autour de l’engin de torture, mais finalement, Geralt finit par s’écrouler littéralement sur le sol souillé de la petite pièce, brisé.

Du moins, en apparence… Lorsqu’Hyrnea se retire de son cul défloré et qu’elle le pousse de son pied, pendant de longues secondes, visiblement satisfaite de son œuvre - elle reviendra le faire juter régulièrement, dit-elle -, elle le pense inconscient, si bien qu’elle s’agenouille pour libérer un à un chacun de ses membres, avant de s’éloigner d’un pas tranquille, le tintement de ses clés accompagnant le bruit de ses bottes sur la pierre. Jusqu’à ce que la grosse main du sorceleur ne se referme sur sa cheville, avant de tirer, d’un coup sec, brutal. Surprise, l’elfette est déséquilibrée, et chute lourdement au sol. Sans lui laisser le temps d’appeler à l’aide, Geralt use de toute sa volonté pour se hisser au-dessus d’elle et, d’un violent revers de main, l'assomme sans hésiter. La tête de la jeune femme roule sur le côté, le nez et la lèvre en sang.

“Pu-tain.”

Ouais, il a envie de l’étrangler à mains nues, maintenant. Mais pas maintenant. Pour le moment, il a d’autres désirs à assouvir.

***
Lorsqu’elle reprend ses esprits, c’est parce qu’un jet d’urine odorant s’écrase sur sa jolie petite gueule. Si elle ouvre les yeux, elle peut les lever vers l’homme musculeux qu’elle tenait encore en laisse il y a moins d’une heure, qui semble avoir retrouvé toute sa superbe - et pour cause, il a ingéré une fiole de potion revigorante fabriquée par ses soins et dissimulée dans le revers de son pantalon. Nu, et visiblement satisfait de la situation, il l’inonde à son tour de sa pisse chaude, tenant sa grosse queue bandée d’une main.

"Réveille-toi, sale petite chienne.”

Hyrnea est à genoux, contre le mur du fond. Le sorceleur n’a pas jugé nécessaire de l’entraver plus que de nécessaire. Seules deux chaînes la retiennent. La première est accrochée au collier en fer autour de son cou, l’autre lui retient seulement une cheville. Vulnérable, à sa merci… Exactement là où il la voulait. “Avale”, insiste-il, en dirigeant le jet vers ses lèvres meurtries, avant qu’il ne se tarisse. “Si tu n’avales pas, je te prendrais le cul à sec”, promet-il, un mauvais sourire s'épanouissant sur son visage blême.

Jack Taylor

Humain(e)

Geralt se marre, en voyant sa tortionnaire se débattre vainement ; il s’est placé à une distance suffisante d’elle pour qu’il soit impossible à l’elfette de l’atteindre. L’odieuse petite salope a beau s’efforcer de recracher son urine, le jet dru s’insinue entre ses lèvres, et même dans ses narines. Redressant légèrement sa grosse queue, le sorceleur s’applique à détremper également sa belle cascade de cheveux noir corbeau. Il asperge enfin son corps athlétique, insistant sur ses petits seins galbés, jusqu’à ce que le flot de pisse se tarisse.

“Ferme ta gueule, sale pute."

Le sorceleur s’avance. Il lève la main droite, gifle sèchement Hyrnea du revers de la main, envoyant sa jolie petite gueule valser sur le côté. S’emparant d’une paire de menotte rouillée suspendues à un crochet, il contourne la jeune femme puis réunis sans efforts ses poignets derrière son dos, avant de l’entraver, appuyant sur ses omoplates pour la forcer à se se cambrer davantage. Si elle s’est mise debout, il la force à se remettre à genoux. De ses yeux dorés, il dévore son petit cul musclé. Putain, ll lui tarde de le lui défoncer !

“Puisque tu ne veux pas obéir, tu ne me laisse pas le choix.”

D’un pas volontairement lent, chaloupé, Geralt repasse devant elle, la lumière lunaire caressant son corps nu et musculeux, couturé de cicatrices. Ses gros doigts se perdent dans les cheveux de la jeune femme, qu’il caresse avec une tendresse feinte, avant de les refermer brusquement, de torde les mèches brunes pour forcer la jeune femme à relever la tête vers lui, avant d’écraser son chibre poisseux de pisse et de foutre sur sa jolie petite gueule souillée. Il la hait, de l’avoir ainsi humilié, il la hait d’avoir aimé ça, et il compte bien le lui faire payer au centuple. En grognant, l’homme remue le bassin, écrase son gland sur son nez, sur ses lèvres entrouvertes.

“Elle te plait l’odeur de ma pisse, sale pute ?”

Geralt reste vigilant. Lorsqu’elle esquisse un mouvement brusque, il recule vivement. Hors de question de lui faire bouffer sa queue pour le moment, elle pourrait la lui trancher de ses dents acérées. Nouvelle gifle, rougissant sa joue déjà meurtrie. Il s’empare de la chaîne reliée au collier qui ceint sa gorge pour la forcer à se redresser, attire son corps poisseux de pisser vers le sien pour l’embrasser par surprise, fourrant sa langue entre ses lèvres souillées, avant de la repousser, de lui cracher au visage. Ses gros doigts se sont frayés un chemin entre ses cuisses diaphanes, glissent lentement sur les replis moites d’urine de sa son sexe, sans toutefois la pénétrer. Sa main libre se referme sur le cou de la jeune femme, juste au dessous de sa mâchoire, et il s’approche de son oreille pointue.

“Je sais que tu es vierge, pourriture. J’ai hésité à te donner en pâture aux autres prisonniers…” Le spectacle aurait pu être amusant. La voir se faire démonter par de pauvres hères qui n’avaient pas connu de femmes depuis des années… “Mais finalement, j’ai préféré te garder pour moi.” L'énorme vit du sorceleur se presse contre l’abdomen de la guerrière, brûlante et palpitante. Il s’applique à lui en faire sentir la chaleur, l’épaisseur. Ses gros doigts s’enhardissent sur son sexe inviolé. De la pulpe de son pouce, il trouve son clitoris, qu’il stimule avec habileté, alors que son index titille l’entrée de son sexe, s’y insinue de quelques millimètres… Mais pas davantage. Bientôt, il fléchit les genoux, guide son chibre vers le bas, pour glisser son gland poisseux dans les replis de sa fente. Plus haut, ses doigts serrent davantage sa gorge.

“Je veux que tu me regarde, chienne. Je veux te voir tourner de l'œil quand je vais te violer”, crache-t-il, avant d'écraser son gland contre son trou, de l’y enfoncer lentement, mais inexorablement en elle, les yeux rivés sur son beau visage, probablement déformé par la douleur… Et peut-être par quelque chose d’autre.


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