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Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

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Lissandre Verrières

Humain(e)

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

dimanche 10 novembre 2019, 22:55:51

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°1

Ça ne faisait pas trois jours que Lissandre était arrivée dans la ville de Seizuku. Entre certaines formalités administratives, le temps de se perdre pour commencer à trouver ses repères, et toute cette affaire liée aux Failles… Bref, c’était la première nuit où la jeune bourgeoise passait du temps pour elle. Juste pour du loisir.

En sa qualité d’apprentie-réalisatrice de film pornographique et celle de jeune femme éprise de la culture japonaise : Lissandre ne voit pas d’autre choix que d’aller au cinéma. Il est 23h passé depuis longtemps. La séance est à minuit. Une séance très spéciale.

Pour rejoindre la petite salle de cinéma, -un établissement spécialisé dans le cinéma de « genre »- Lissandre doit marcher à travers les rues. Il y a peu d’activités en cette nuit. Les rares personnes dehors sont soit en train de se diriger vers une fête, soit en train de vomir leurs excès. Quant à la troisième catégorie, la jeune bourgeoise ne leur laisse qu’un regard furtif. Son imagination et l’endroit où elle se trouve lui susurre à l’oreille qu’elle est observée par des yakuzas…

*Arrête de te faire des films, ma grande ! Pas la peine de stresser comme Faustine. *

Surtout que Lissandre ne peut pas passez incognito. Habillée d’une combinaison moulante et rose. Réhaussée d’un blouson fermé et doré. Lissandre passerait inaperçu dans une convention de mangas et animés. Sauf qu’elle est dans une rue déserte et peu éclairée.

Malgré des regards pervers et des accroches bourrines auxquels elle ne répond pas, Lissandre parvient à la salle de cinéma. Elle paie sa séance et s’installe dans une petite salle. Il n’y a pas grand monde sur les sièges rouges. Là-bas un gros avec une queue de cheval. De l’autre côté, deux étudiantes qui rient entre elles à l’approche des monstres sexuels qu’elles sont venus observer.

Pour passer le temps, elle pianote sur son téléphone. Jusqu’à ce que le film commence. Un film pornographique sur un concept très simple : des aliens ont commencé à envahir une petite ville japonaise. Des aliens qui se déguisent en humain le jour et se révèlent en monstre tentaculaire et obsédé la nuit.

Vingt bonnes minutes depuis le début du film. Une étudiante très conne et aux très gros seins se fait déshabiller violement par les tentacules. Certains des membres s’enroulent déjà autour des jambes, sous la poitrine et autour de son cou. Un léger étranglement pour le moment.

Et, alors que Lissandre retient son souffle au regard de la scène : un CRI RETENTIT derrière elle !

*Qu’est-ce qu’il se passe ?! Une agression ? Dans un cinéma X ?! *

Akeshi

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 1 mercredi 18 décembre 2019, 10:40:17

La journée fut longue, pour ne pas changer. En ce moment les crimes ne cessent de s'enchaîner les uns après les autres. Comme si un mal planait et grandissait dans l'ombre de cette ville qui n'a jamais été épargné par les comportements criminels depuis sa création. Mais là... On frise les records.

- T'es sûr de toi ? Pas que je doute de ta parole. C'est juste que...
- Oui, vous pouvez y aller les yeux fermés.
- Ca me semble un peu trop simple.
- Justement ! Personne ne s'en douterait tellement c'est évident.


Il m'arrive régulièrement d'être consulté par des inspecteurs pour des affaires sur lesquelles ils bloquent. Dans le cas présent il s'agit d'un homicide passionnel commis par le mari. Une affaire simple dans son exécution et sa résolution. Agissant sur un coup de sang il n'avait pas eu le temps d'effacer toutes les traces de son crime.

- En tout cas, merci.
- Je vous en prie. Vous m'apportez souvent des affaires intéressantes.
- Ah, il est déjà aussi tard ? Ma femme va encore me remonter les bretelles. Heureusement j'ai fini pour-


A cet instant, le téléphone de l'inspecteur se met à sonner. Et à voir sa mine déconfite la soirée n'est pas terminée. Loin de là.
Il se tourne alors vers moi pour me lancer : - Il y a une prise d'otage dans une salle de cinéma ! Un détraqué aurait agressé une femme et la menace au couteau.

Voilà qui change clairement des homicides. Intervenir avant qu'un drame se produise est assez rare. J'avoue que cela m'intéresse beaucoup et je me retiens de suggérer mon aide. Chacun a son rôle à jouer et j'ai un certain statut à préserver.

- Tu veux m'accompagner ?
- Volontiers.
- Bon, pas de temps à perdre. Ma voiture est devant. Allons-y !


Cette soirée s'annonce palpitante et pleine de surprise. Il ne nous faudra pas plus de quinze minutes pour arriver sur les lieux.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 2 jeudi 19 décembre 2019, 20:37:53

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°2

Le cri que Lissandre venait d’entendre n’était pas de ces cris qu’on peut ignorer.

Car il y avait de la peur au-dedans. Mais également de la panique.

Alors la bourgeoise au combinaison moulante rose s’était levée. Bien qu’au dernier rang, les rares spectateurs du petit cinéma porno l’avait remarqué. Sa tenue et ses formes moulées n’avaient pas échappé au gros pervers à queue de cheval. Mais il était très vite retourné à sa séance et aux tentacules qui enserraient sa jeune victime.

*Prudence, ma grande. Ne fais pas de bêtises. *

Il y avait un hublot dans les portes battantes. En regardant à travers, Lissandre ne vit rien d’extraordinaire. En effet, après ces portes se trouvait une petite pièce qui permettait d’aller aux toilettes avant de s’asseoir. Ou, dans ce cas précis, l’endroit devait plutôt servir à se masturber entre deux scènes.

*Ne t’égare pas, Lissandre. Avance. Mais doucement. *

Ses mains avaient poussé les portes battantes. Elle les avait retenus comme elle pouvait et avait soufflé silencieusement quand elle s’était retrouvé dans la petite salle entre les deux portes battantes. Elle se rapprocha sur la pointe des pieds et observa par le hublot.

Derrière ce hublot se trouvait une salle recouverte d’affiches. Bien entendu, c’était de grandes affiches de films pornos de tout âge. Certaines étaient même en noir et blanc. D’autres faisaient étalage d’effets spéciaux dégueulasses et de monstres tout pourri. Mais la bourgeoise n’était pas là pour parler style. Surtout que son regard était attiré par une scène insolite.

Il y avait un homme qui, de sa main gauche attrapait violemment les cheveux longs d’une asiatique. Et de sa main droite, il la menaçait de la pointe d’un couteau sur sa gorge.

Mais c’était surtout le deuxième homme qui attirait l’attention de la réalisatrice en combinaison de latex rose. Ce deuxième homme avait eu la bonne idée de camoufler son visage derrière un masque noir. Ça ressemblait plus à un casque de pompier entièrement bombé en noir. Par-dessus, des tâches blanches lui donnaient cette image de tête de mort.

*Pourquoi cette batte de baseball peinte en rose ? *

Malgré la couleur qui s’harmonisait très bien avec sa sensuelle tenue, la batte du deuxième criminel était hérissée de longs clous…

Akeshi

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 3 jeudi 19 décembre 2019, 23:13:43

Nous voilà installés dans la voiture de l'inspecteur en direction du cinéma. A en juger par la mine renfrognée du conducteur, la situation ne doit pas être encourageante. Pourtant l'envie d'en savoir davantage sur la scène qui nous attend est plus forte que le reste. Je me lance donc.
- Vous faites une drôle de tête.
- ...


Pas de réponse de sa part. Je peux néanmoins constater que ses sourcilles se froncent encore plus. Alors que je pensais la chose impossible quelques secondes plus tôt.

- La situation est si grave que ça ?
- Pire encore...
- Pire ?
- Je t'ai précisé qu'il s'agissait d'une prise d'otage.
- Oui, en effet.
- Eh ben... C'est un peu plus que ça.
- Nous sommes bientôt arrivés et je préfère avoir le plus d'informations possible à l'avance.
- C'est pas faux. Juste que... Putain !



Durant les DEUX années à travailler en collaboration avec cet homme, c'est la première fois que je le vois s'énerver. Lui qui est d'un naturel si calme, joyeux, réfléchit. En s'énervant ses doigts enserrent encore plus fort le cuir du volant. Comme s'il cherchait à s'y raccrocher de peur de perdre pied.

- Tu connais Shin ?
- Oui, c'est une jeune recrue qu'on a croisé quelques fois sur des scènes de crime.
- Sa soeur... Sa soeur est l'otage en question.
- .....


Je ne sais pas trop quoi dire. Que dire de plus en même temps ? Compte tenu de la situation le silence reste la meilleure option. Tout le reste du trajet s'effectue d'ailleurs dans un silence de mort. Dans ma tête s'enchainent plusieurs scénarios hypothétiques.


Nous voilà enfin sur place. Ma main se pose sereinement sur la poignée de la portière. Tout le contraire de mon partenaire du soir. Je peux vérifier du coin de l'oeil qu'il tremble et est légèrement sur les nerfs. Ma première réaction est de ne justement pas réagir et de ne faire aucun commentaire sur le sujet pour le moment. Inutile d'en rajouter. Je vais me contenter de l'observer et j'agirais en conséquence si la situation l'exige.

Comme on le voit dans toutes les séries télé l'endroit est bloqué et une zone délimité avec de nombreux rubans jaunes aux rayures noires caractéristiques des forces de l'ordre. Un homme se tient près du seul passage d'entrée pour s'assurer que les indésirables se tiennent à bonne distance. Entre les journalistes ou les curieux qui veulent satisfaire leur soif de morbidité on n'est jamais à l'abri de rien.

Alors que l'agent chargé de surveiller l'entrée salut l'inspecteur qui m'accompagne, celui-ci ne réagit même pas. Perdu dans ses pensées. Je me charge donc de répondre à sa place en souriant pour tenter de soulager l'atmosphère tendue.
- Bonsoir !
- Ah, euh... Bonsoir !
- Qui est l'inspecteur en charge ?
- Collins ! Mais il attend encore l'arrivée du négociateur.
- Le négociateur n'est pas encore là ?
- Non, monsieur...


C'était clairement la goutte d'eau de trop qui fait déborder une piscine plutôt qu'un vase. Furieux il fonce droit devant et passe à côté de l'inspecteur en charge sans même lui jeter un regard. Le pauvre bougre n'a rien fait de mal en plus. Lancer le dialogue avec un preneur d'otage sans formation causerait plus de dégâts qu'autre chose. Alors que nous avançons il me demande si je suis en capacité de m'en charger. J'accepte volontiers car ce n'est pas la première situation de ce type à laquelle je me retrouve confronté.

Les preneurs d'otages ne possédant aucune arme à feu, nous entrons tous les deux dans la salle de cinéma pour découvrir la chose de nos propres yeux. Deux hommes qui sont clairement les preneurs d'otages. Un homme, deux étudiantes et une jeune femme étrangement vêtue. Bon, ce n'est pas ce que j'ai vu de plus étrange à Seikusu. Mais quand même, il fallait oser.

Le premier des deux hommes, qui tient la soeur de l'officier sous la menace d'un couteau prend la parole dès qu'il nous voit alors que nous avons annoncé notre entrée pour éviter les mauvaise décisions de leur part.
- Restez où vous êtes, les poulets ! Un pas de plus et je lui agrandis le sourire, pigé ?
- Entendu. Nous restons là.

La première chose à faire dans ce genre de cas est de s'assurer que personne n'est blessé. Ce qui est le cas... Pour le moment.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 4 samedi 21 décembre 2019, 11:04:01

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°3

Lissandre a l’impression de rêver. La situation est improbable. Elle est prise en sandwich, et quel sandwich ! D’un côté, une situation de prise d’otages. Deux hommes qui menacent une femme qu’elle ne connaît pas. D’un autre côté, un film disons insolite. Du moins, entendre les bruits que provoquent les tentacules et les petits cris plaintifs des femmes pénétrées l’est.

*Mais qu’est-ce que je fais là, moi ? *

Ce n’est pas la bonne question. Car, en voyant un nouvel homme entré, la bourgeoise découvre que les policiers sont déjà sur place. Une bonne nouvelle. Une lueur d’espoir.

*Qu’est-ce que je peux faire pour l’aider ? *

Ses yeux s’attardent une nouvelle fois sur l’homme à l’identité masquée. Celui qui tient une étrange batte rose et percée de clous. Elle le regarde et se demande s’il est là pour une solide raison ou tout simplement pour le « fun », pour le shoot d’adrénaline.

*Je peux peut-être essayer de les distraire ? *

La situation est risquée. Car l’autre, celui qui tient le couteau, menace directement la vie de l’otage. Ce n’est qu’une question de quelques centimètres d’acier. Lissandre a des difficultés à déglutir. Si elle prend la mauvaise décision, elle pourrait avoir un cadavre sur la conscience pour les années à venir…

*Mais je ne peux pas rester sans rien faire. Impossible ! *

Elle lève les bras pour signifier qu’elle ne veut rien faire d’irréparable. Elle avance doucement en regardant d’abord celui au couteau. Mais c’est celui au casque qui l’attire le plus. Elle ne sait pas pourquoi mais préfère écouter son instinct.

« Si c’est de l’argent que vous voulez, je peux vous en donner. »

Elle avance encore de quelques pas. Elle se trouve maintenant dangereusement près de l’homme au casque noir. Assez près pour que, s’il décide de s’avancer, sa batte ou son bras soit à distance de contact d’elle…

« Mes parents sont riches. Je peux vous donner une grosse somme d’argent contre la vie de cette innocente. »

Akeshi

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 5 samedi 21 décembre 2019, 12:30:08

La prise d'otage qui avait débutée à l'abri des regards s'était déportée jusque dans la salle de projection. Plusieurs sièges avaient été arrachées vers le milieu comme pour former une scène. Vu l'état des sièges en question ils ne doivent pas avoir coûtés cher à leur propriétaire. Et vu la nature de l'endroit ils ont dû en voir des vertes et des pas mûrs avec les années. Déjà que les gens s'envoient en l'air partout en ville. Alors un cinéma pour adultes.

Mon analyse de l'endroit est vite interrompue par l'intervention maladroite d'une des otages. Dans chaque situation de ce genre on a toujours une personne qui essaie soit de s'en sortir en expliquant qu'ils n'ont rien à faire ici ou une personne qui veut marchander sa survie. Ce n'est qu'un constat précipitée car je n'avais jamais vu cette femme avant aujourd'hui. Peut-être qu'elle ne pense pas à mal. Cependant je vois mal comment sa proposition pourrait arranger la situation.

L'homme au couteau est sans aucun doute le meneur à en juger par son calme comparé à son complice qui a du mal à tenir en place. C'est d'ailleurs lui qui prend la parole à la place de son camarade cagoulé.

- Reste où t'es, la perverse !

Il est vrai que sa tenue se démarque un peu. De là à la traiter de perverse. Si j'ai bien compris, c'est elle qui a gâché le plaisir des deux kidnappeurs. Elle est en très mauvaise posture et devrait éviter d'ajouter de l'huile sur le feu. Alors que je suis sur le point de prendre la parole le leadeur du tandem me coupe l'herbe sous le pied.

- On en veut pas de ton pognon ! Tu veux te rendre utile, hein ?

L'homme vérifie une énième fois qui est dans la salle de cinéma avant d'arrêter son regard sur les deux étudiantes. Puis se tourne vers son camarade qui lui fait oui de la tête. C'est là qu'il se retourne de nouveau vers la femme en combinaison rose.

- Cette pétasse était censée servir de cadeau à mon frangin. Mais t'as tout niqué. Alors tu vas aller me chercher une de ces salopes et la ramener ici. Sauf si tu veux te dévouer vu que t'as l'air de tellement vouloir rendre service. Et bouge ton cul !

Afin de faire remonter la pression, le couteau qui tient s'enfonce un peu plus sur la peau de la gorge de son otage. Au moindre faux mouvement et c'est un remake de Carrie qui attend tout le monde.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 6 dimanche 22 décembre 2019, 18:25:33

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°4

*La perverse ? *

Habituellement, ce genre de remarque ne lui fait ni chaud ni froid. Ce n’est pas la première fois qu’elle s’habille de façon aussi « provoquante » même si, pour elle, le but n’est pas celui de provoquer. Elle aime le fait d’avoir une deuxième peau. Le fait qu’elle porte quelque chose de coloré dans un monde aussi terne.

Alors pourquoi est-ce que ça la dérange dans la bouche de ce criminel ?

*Me rendre utile ? *

Lissandre craint le pire. Elle glousse difficilement et attend la sentence. Elle regarde le policier et ce dernier ne dit rien ni ne fait rien. Est-ce qu’il attend que la situation se résolve d’elle-même ? Elle doit se calmer. Il doit savoir ce qu’il fait. Respirer. C’est ça, elle fait un effort pour respirer. Pour garder du self-control.

Mais c’est compliqué. En fait, elle aurait même envie de pleurer. Mais elle n’en fait rien. Trop abasourdi par les événements qui ne sont pas fictionnels.

*Ton frère ? Pourquoi il est casqué si tu dis que c’est ton frère ? Idiote ! Ce n’est pas le moment de réfléchir. *

Mais ce qu’il demande est… Elle ne peut pas accéder à cette requête. Ce serait de la lâcheté. Ce serait de la complicité. Mais est-ce qu’elle a le choix ?...

*Je ne suis pas une héroïne. *

Elle regarde le frère au couteau. Puis le frère à la batte.

*Je ne suis pas non plus une prostituée… *

En arrière-fond, le film pornographique continue de tourner. Les créatures tentaculaires continuent à produire leurs bruits dégoûtants. Les deux étudiantes ne le regardent plus. Elles qui gloussaient, voilà maintenant qu’elles sont paralysées par la peur. Elles se tiennent l’un l’une. Les larmes coulent sur leurs joues.

« Je ne peux pas. »

Frère au couteau : « Pardon ? Quoi ?! Qu’est-ce que tu es en train de me chanter là ? Bouge, pétasse ! »

« Je. »

Elle regarde le policier. Ses yeux sont un bruyant appel à l’aide !

« Ce sera moi. Je ne peux pas être complice d’un viol. »

Akeshi

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 7 mardi 24 décembre 2019, 08:32:08

La situation évolue rapidement. Trop rapidement. Et comme si nous n'étions pas là d'ailleurs. Je me contente toujours d'observer pour collecter autant d'informations que possible. Mon collègue du moment, lui, serre les poings et est à deux doigts de foncer dans le tas quand je lui glisse de ne rien faire. Si les choses se déroulent comme je m'y attends alors cela ne devrait plus être très long. Enfin, si j'utilise mon pouvoir pour manipuler ces deux criminels du dimanche.

Histoire de rassurer la jeune femme en combinaison qui regarde en notre direction je lui offre un grand sourire en faisant un oui de la tête. Puis j'engage le dialogue avec le chef du duo.

- Excusez-moi !

L'homme se tourne dans ma direction en gardant toujours le couteau collé à la gorge de son otage. L'air sévère mais d'un calme étrange.

- Ouais ?
- Qu'est-ce que vous voulez ? On sait ce que votre ami souhaite. Mais et vous dans tout ça ?
- Moi ? Je veux juste... Juste qu'il puisse réaliser son rêve avant qu'il soit trop tard.
- Trop tard ?

- ...

Il se renferme alors comme une huître et observe juste celui qu'il qualifie comme son frangin. Car le fait est qu'il n'a pas de frère. Pas de sang en tout cas. C'est du moins ce qu'indique son dossier que j'ai eu le temps de consulter avant d'entrer dans la pièce. Pour le moment je vais me contenter d'observer et voir ce qu'ils veulent vu que je peux intervenir et tout arrêter dès que je le souhaite.

L'homme cagoulé, lui, s'approche de sa futur victime et la tire de force vers lui pour glisser sa main libre dans sur la combi rose au niveau de son entrejambe. Et là, surprise générale. Un énorme soupir de soulagement quitte le tissu qui masque son visage. Son pantalon noir vire au blanc au niveau de son entrejambe.

- Sérieux ? Déjà ? C'est un record, même pour toi.

A moins que je me trompe, l'homme vient d'éjaculer sur lui en quelques secondes.
« Modifié: mercredi 25 décembre 2019, 09:44:27 par Akeshi »

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 8 mercredi 25 décembre 2019, 14:11:52

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°5

« Euh… »

Prise dans l’étau du frère cagoulé, Lissandre peine à comprendre ce qu’il vient de se passer. Entre la violence et la main qui glissait sur sa combinaison rose moulante, son esprit cherchait à se rebeller. Puis, en moins de temps qu’il en faut pour pleurer : il avait éjaculé.

*Vraiment ?... Vraiment ?! *

La tension dans la pièce vient d’en prendre un coup. Les deux étudiantes se regardent et… il semble que la peur se soit envolé. Leurs visages laissent présager une mauvaise suite. En fait, elles ressemblent à deux pétasses qui se moquent d’une bigleuse qui vient de chuter.

Frère masqué : « Dis pas ça ! Ils vont croire qu’on est pédé ! »

Le frère au couteau perd un peu de son professionnalisme. La lame s’éloigne de la gorge nue et il semble que l’espérance de vie de la victime soit en belle progression !

« Vous savez, je dois pouvoir vous aider. »

Malgré une assurance croissante, elle n’ose pas bouger. Ses mains restent loin du pantalon souillé ou encore de cette verge qui pourrait peut-être repartir pour un nouveau tour de manège.

« Je veux dire, je suis une réalisatrice de films X et je pourrais vous donner quelques conseils pour ne plus être précoce. »

Frère masqué : « Tu vas la fermer, pétasse !! Je suis pas précoce, d’abord !! TA GUEULE mais ta gueule !! »

On dirait un enfant qui pique sa petite crise.

Cette réaction provoque un début d’hilarité chez les deux étudiantes qui pointent le pantalon souillé.

Et, comme si ça ne suffisait pas, le gros pervers à la queue de cheval vient de sortir une collection de petites culottes volés de son sac en bandoulière. Il vient d’en mettre une sur le haut de sa tête. La queue de cheval dans le trou d’une jambe. Il en met une deuxième pour cacher une partie de son visage.

Gros pervers : (cri pour s’auto-motiver)

Le gros pervers masqué rue sur les deux criminels.

Ce kidnapping va mal finir…

Akeshi

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 9 jeudi 26 décembre 2019, 16:16:40

Chaque minute qui passe rend la situation plus cocasse et foldingue que critique et pleine de tension. Pas le genre de tension à laquelle on s'attend dans ce type de cas. Les situations rocambolesques s'enchaînent si rapidement les unes après les autres qu'aucune négociation a pu être entamée. Jusqu'à ce qu'un homme une culotte - ou plusieurs, dur à dire à cette distance - s'avance vers le duo criminel avec la main coincée sur son entrejambe. Il a beau être de dos, impossible de se méprendre sur ce qu'il tient dans sa main.

Comment est-ce que l'on est censé faire partir tout le monde si les rôles de chaque personne changent toutes les cinq minutes ? On a les deux kidnappeurs, une victime, puis une autre et un spectateur qui va les rejoindre... C'est à plus rien y comprendre.

Le pervers culotté s'approche du duo en restant à bonne distance et on peut voir son bras aller d'avant en arrière. Nul doute qu'il veut profiter du spectacle aux premières loges. Ce qui ne dérange pas plus que ça les kidnappeurs à première vue. Pendant ce temps nous attendons de voir comment la situation va évoluer sans pour autant prendre d'initiative. Inutile de faire empirer les choses. On attend le meilleur moment pour le faire.

L'homme cagoulé approche son visage de la femme à la combinaison pour lui glisser quelques mots avant de la pousser pour la faire tomber sur les fesses et se diriger vers les deux étudiantes afin de les faire le suivre sous la menace de sa batte. Entendre ses paroles est difficile même si je me doute que ce ne sont pas des compliments ou des mots doux.

Une fois revenu à son point de départ avec les deux jeunes femmes, il attrape la main de l'une d'elle pour se frotter l'entrejambe poisseux pendant une dizaine de seconde avant de remettre ça. La main de la jeune femme à la peau mat vire au blanc. Et pour ne rien arranger il lui attrape le poignet pour la forcer à souiller le visage de sa camarade.

- Alors, tu fais moins la maline là, hein ?

Puis son complice se tourne vers la femme en combinaison pour lui hurler un ordre.

- J'ai une idée ! Tu vas filmer et diffuser sur le net, allez ! Sors ton portable !
On va en tourner un beau de film.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 10 vendredi 27 décembre 2019, 09:45:50

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°6

*Mais ? Ils sont cons ?! *

Comment une paire de criminelle peut avoir l’idée de tourner un morceau de film X alors qu’ils devraient protéger leur identité sous un masque d’anonymat ? Alors qu’ils sont à quelques mètres seulement des autorités ? Ils croient quoi, que ce film va être leur ticket de sortie ?

« Vous voulez que je filme quoi ? »

Elle a failli dire « qui ». Car il est impossible de tourner quelque chose avec l’éjaculateur précoce. A moins qu’il soit chargé de nombreux coups à répétition ? Car, si elle en croit l’état du visage de la deuxième étudiante : il vient d’éjaculer une deuxième fois.

Lissandre se relève, son portable dans la main. Elle n’a pas encore lancé l’application caméra, se demandant si elle pourrait appeler de l’aide.

*L’aide est déjà là. Enfin, ils ne font pas grand-chose pour le moment. Mais sauf à avoir le numéro d’un justicier masqué, je- Merde, je ne peux même pas utiliser mon téléphone pour nous sortir de cette situation. *

« Vous savez, j’ai besoin d’en savoir plus sur vous deux. Non, non, ce n’est pas ce que vous croyez. Ça fait partir de mon processus de création. Je ne peux pas juste filmer une bite qui pénètre une chatte. J’ai besoin de créer un scénario. J’ai besoin de tourner des scènes avant celles de sexe pour que les spectateurs puissent s’identifier. Vous comprenez ? »

La réalisatrice pressent que son petit discours ne leur plaira pas. Mais ça a été plus fort qu’elle. Elle a déjà tant de fois du défendre son nouveau choix de carrière, elle est tellement passionnée par ce qu’elle fait une fois sa décision prise, que ses réflexes prennent le dessus. Le dessus sur sa vie, il semblerait…

Son regard embrasse alors la scène. D’abord les personnages. Deux policiers. Un qui a du mal à ne pas foncer dans le tas et l’autre plus diplomatique. Il y a les deux criminels. Un masqué et précoce. L’autre au couteau et sang-froid. Un troisième duo constitué de deux étudiantes qui auront probablement besoin d’une série de séance de psy. Enfin, une sorte de justicier masqué en train de se branler dans une situation qui ne devrait exciter personne…

*Est-ce que ça fait de moi une personne bonne pour l’asile si j’avouais que des bouts de scènes comment à émerger dans ma tête ? *

Akeshi

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 11 lundi 30 décembre 2019, 20:49:57

Le film continue d'être projeté en arrière plan avec une femme qui se fait violer tous les orifices en même temps par la créature tentaculaire. Le truc des tentacule a toujours fasciné les japonais. Enfin, une partie des japonais vu que cela me dépasse complètement.

- Comment ça avance ?

Mon partenaire du soir communique par radio avec le groupe d'intervention qui est en train de se positionner aux deux sorties de la salle de cinéma. Une approche frontale est impossible car les deux kidnappeurs nous verront approcher d'où ils sont. La seule façon de les surprendre est de passer par les sorties en petit nombre et de se glisser dans leur dos sans qu'ils ne le remarquent.
Ou alors leur faire relâcher l'otage et sortir de leur plein gré.

Les discussions continuent en tout cas au milieu de la salle pendant que j'attends que les hommes se mettent de place pour prendre la parole et détourner leur attention. La femme à la combinaison a son portable à la main et semble prendre des photos ou des vidéos des évènements.

- On s'en branle de procéder de confirmation ! répond l'homme au couteau.

Son camarade n'attend même pas que son ami et la femme en latex se mettent d'accord pour baisser son pantalon et son caleçon pour faire apparaître un sexe dressé d'environ 12cm de long mais d'une épaisseur particulière. Elle est aussi épaisse qu'un poing formé par deux mains emboitées l'une dans l'autre.

Il se met ensuite à remuer les hanches en direction des deux étudiantes qui sont aussi tétanisées qu'écoeurées par la chose.

- Toi, la pétasse aux gros nichons. Mon frangin kiffe tes pieds ! Branle-le avec et tu pourras sortir.
Pendant ce temps l'autre va te filmer.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 12 mardi 31 décembre 2019, 11:15:38

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°7

Autant jouer son rôle de réalisatrice à fond. D’abord parce que son esprit sera occupé sur le film et non sur le kidnapping. Ensuite, parce que bien joué, ça pourrait offrir une diversion pour que les policiers passent enfin à l’action.

Lissandre se rapproche alors de l’étudiante à la forte poitrine. Celle qui doit utiliser ses pieds pour branler le sexe du frère masqué. Un sexe étrange remarque-t-elle. Petit en longueur mais énorme en circonférence.

Elle s’approche donc de l’autre étudiante. Elle pose une main sur celles qui tremblent et lui tend le téléphone portable.

« Filme-le. Lui et sa bite. Je te fais confiance. Essaie simplement de ne plus trembler. Merci. »

Elle lui a parlé d’une voix inflexible. Une forme d’autorité pour lui donner de l’action et non plus de la réflexion. D’ailleurs, elle s’exécute. Toujours terrorisée, avoir quelque chose à faire et devoir écouter la bourgeoise au lieu des criminels semble lui faire du bien. Relatif, certes.

Lissandre s’approche ensuite de l’autre étudiante. Elle préfère lui murmurer sur le ton de la confidence. Il ne faut pas que ça dure trop longtemps où les frères vont penser qu’elle complote.

« Ecoute-le. Fais ce qu’il t’a demandé. N’hésite pas à prendre ton temps en enlevant tes chaussures. »

Elle se retourne et voit le frère masqué se branler. Il y a une certaine pitié voire comédie dans sa façon d’agir, maintenant qu’il a le pantalon baissé. Mais la réalisatrice ne peut pas lui enlever le fait qu’il y met une belle intensité.

« Petit conseil. Fais-lui voit ta petite culotte. Mais ne lui montre pas consciemment. Il faut que ça paraisse être un accident. Tu sais, comme au début du film qu’on regardait. Quand une des étudiantes est tombée et que l’alien déguisé a pu savoir que la petite culotte était rose. Ok ? Bien. Tu vas y arriver. On est bientôt sortis d’ici, fais-mo confiance. »

Lissandre récupère son téléphone. Puis, d’un petit mouvement de tête, elle encourage l’étudiante a passé à l’action. Ce qu’elle fait. Elle écoute ses directives. Elle enlève ses chaussures et se retrouve en bas. Elle s’assoit sur un des sièges et, « malencontreusement », sa jupe glisse et laisse apparaitre non pas une petite culotte : mais un string noir avec des petites perles blanche. Le criminel masqué se rapproche. Surtout sa large bite en fait. L’étudiante à gros sein regarde la réalisatrice. Dans son regard, il y a encore une étincelle qu’elle ne soit pas obligée. La réalisatrice tue cette étincelle et la masturbation fétichiste débute.

Tout en filmant, Lissandre décide alors de prendre un risque. Elle s’adresse au criminel au couteau.

« Vous voudriez aussi profiter de l’opportunité, monsieur ? Peut-être un fantasme à réaliser pendant que je filme ? »

Akeshi

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 13 dimanche 05 janvier 2020, 12:09:17

L'homme au couteau se met soudainement à hurler sur la femme en combinaison alors que celle-ci semblait passer d'otage en otage pour faire dieu sait quoi.

- Contente-toi de faire ce qu'on te dit au lieu de chercher les embrouilles !
Sauf si tu veux tâter de mon couteau avant cette pouf. Suffit de demander.


L'otage arrive tant bien que mal à tenir debout. D'ici on peut voir que ses genoux tremblent et seules les menaces de l'homme qui la tient parviennent à l'aider pour tenir debout et ne pas s'effondrer en larmes. Ce n'est plus qu'une question de minutes avant que les groupes d'intervention ne soient en place.

Dans la salle, le kidnappeur cagoulé se remet à jouir de plus belle sur l'étudiante à la seconde où son pied entre en contact avec son sexe. Je commence à me demander si il est vraiment humain car là ça commence à faire beaucoup de liquide. Même des scènes de crimes incluant plusieurs victimes étaient moins saccagées que les corps de ces pauvres étudiantes. Son éjaculation se poursuit depuis déjà dix secondes et la pauvre jeune femme continue de le masser de façon hasardeuse car la chose doit forcément la dégouter.

Par le passé il m'est arrivé de croiser des créatures étranges ou des humains dotés de pouvoirs étranges. Si j'en crois mon expérience, ce pervers fétichiste doit en être un car il n'est pas possible de produire autant de semence. Surtout qu'il ne semble pas prêt de s'arrêter de si tôt.

L'homme à la culotte n'en perd pas une image et se masturbe depuis le début dans son coin en observant la scène. Un agent est même venu me demander si on doit l'arrêter avec les deux autres ou non. Dans le doute on a fait comprendre aux groupes d'intervention que oui. On verra plus tard ce qu'on en fera.

Cinq minutes viennent de passer et l'homme continue d'enchaîner les éjaculations sous les yeux de son compère et des autres personnes qui semblent filmer la scène.

- Alors ? On a combien de gens qui regardent ?

Le commentaire provient de l'homme au couteau qui parle à la femme en combi rose. Tandis que son compère fini de recouvrir une bonne partie des jambes de sa victime dans un liquide visqueux.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi]

Réponse 14 dimanche 12 janvier 2020, 13:48:50

Un film. Des tentacules. Un détective. [avec Akeshi] – réponse n°8

Elle n’en revient pas. On lui a posé une question. Elle n’en revient pas des performances de ce qu’elle prenait pour un éjaculateur précoce. Alors, certes, il tire plus vite que Lucky Luke. Mais la quantité ! Cette quantité !! Lissandre observe plus qu’elle ne filme. On lui a posé une question. Elle observe et se pose des questions. Qui est-il ? Comment peut-il éclabousser autant les étudiantes ?

« Pardon ? »

Homme au couteau : « Espèce de connasse ! Je t’ai posé une question, alors arrête de me snober. »

« Je suis désolé. J’étais concentré sur la scène. Vous demandiez ? »


Homme au couteau : « Combien de vues, salope ?! »

« 1 347. »


La réalisatrice vient de dire un nombre au hasard. La vérité est qu’elle n’a pas déclenchée le « live ». Les performances du criminel cagoulé l’ont distraite. Et maintenant qu’elle le voit à l’action, cette action qui dure et qui dure : elle souhaiterait l’embaucher.

*L’esprit humain est si tordu. Est-ce que ça fait de moi un monstre ? *

« C’est de naissance ? »

Homme au couteau : « Qu’est-ce que tu baves encore ? »

« Ce n’est pas à vous que je m’adressais. Je disais, c’est de naissance cette capacité à éjaculer autant de sperme ? »


Homme cagoulé : « Quoi ?!! »

Lissandre est soudainement poussé par l’éjaculateur à répétition. Elle tombe sur les fesses et, quand elle rouvre les yeux, elle découvre une nouvelle giclée qui vient agresser ses yeux. Il y en a un qui est tellement souillé qu’elle n’ose plus l’ouvrir. D’un œil, elle découvre alors que l’homme cagoulé en a eu marre des deux étudiantes. Voilà maintenant qu’il se frotte à sa combinaison moulante et rose.

Homme au couteau : (rire !)


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