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Anouvanh

Invité

  • Messages:

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samedi 31 août 2019, 17:05:29

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« Modifié: jeudi 14 décembre 2023, 16:28:41 par kgfgb »

Allister L. Acererak

Créature

Re : La Liche et sa Chienne [PV]

Réponse 1 samedi 31 août 2019, 17:06:43

L'image qu'on se fait d'un donjon est relativement simple, basique. Un endroit froid, particulièrement silencieux, où ne règne que mort et désolation. Dans un certain sens, les sous-terrains et la grande tour servant de base d'opération à Allister remplissaient la plupart des clichés. Sauf le son. Ce n'était pas un terrible silence qui régnait dans ces lieux, mais un véritable concert. Des bruits familiers, grouillants. Les claquements et grincements des os des squelettes qui marchaient avec un rythme presque militaire, les grognements des ogres et des trolls, semblables à des rires damnés, et accompagnés des hurlements d'hommes et de femmes subissant milles et un supplices. Si personne ne revenait vivant de la Tombe de Vecna, cela ne voulait pas dire qu'ils y mourraient si vite une fois à l'intérieur. La plupart étaient torturés, crachant leurs informations au rythme des scalpels et des créatures cauchemardesque, avant d'enfin trouver le repos en servant de repas ou de simple sac à foutre pour les créatures qui vivaient dans l'endroit.

Après tout, Allister était une liche. Et aux côtés des morts-vivants créés de sa main, d'autres créatures, mauvaises, chaotiques, cherchaient à trouver un petit coin où passer leurs haines et leurs violences. Par chance, le Sorcier était demandeur de main d'oeuvre. Créer un royaume et le diriger n'était pas une simple affaire, et ce n'était pas avec les frêles humains qu'il pourrait travailler. Ils ne servaient à rien : de simple sacs de frappes, de simples mères pondeuses, alignés contre un sol froid à attendre d'être fourré, quand elles ne servaient pas de simples chiottes vivantes pour les gobelins.

Parmi cette cacophonie mélodieuse siégeait alors le Maître. Sur son trône de pierre et d'os, Allister veillait. Les lumières magiques remplissant ses globes oculaires vides étaient absentes, son crâne posé mollement contre son poing. La Liche, ainsi, veillait. Magicienne de renom, elle scannait le bâtiment. Une lecture d'aura, magique, ou non. Il devinait ainsi les passages, les arrivées, les sorties, les voyages. Jusqu'à finalement capter une présence...

Quelque chose était parvenu à rentrer dans les sous-sols.

Ce qu'Anouvanh ne savait pas était que les informations donnés étaient contrôlés. Son Métamorphe, et garde de la salle des coffres à ses heures perdues, prenait souvent l'apparence d'une vieille dame ou d'un vieil aventurier, racontant les histoires de la Tombe et des soit-disant chemins cachés pour y rentrer. Au vu de la réputation de l'endroit, c'était un des rares moyens d'encourager de jeunes âmes prêtes à tenter leurs chances, et d'ainsi remplir de nouveau les rangs de ses esclaves humains. Mais cette fois-ci, ce n'était pas une humaine qui marchait dans les salles boueuses et poussiéreuses.

« Maître, il semblerait que- »
« Je sais. »

Sa voix était forte, brute, rauque. Il venait d'arrêter une jeune servante, habillée d'un simple voile blanc, légèrement transparent. On pouvait ainsi voir ses délicieuses formes, surmonté d'un visage d'ange au sourire mutin. Malgré tout, ce corps de rêve était zébré de multiples cicatrices, et sa peau semblait avoir perdu légèrement de son éclat. Une morte, ramenée à la vie, qui servait avec passion le Sorcier.

D'un coup, les points d'un rouge sanglant illuminèrent les orbites de la liche, et dans un craquement d'os, un rictus se dessina sur son crâne. Il se leva finalement, avant de tendre la main, faisant apparaître son bâton. Une boule de verre flottait au-dessus de l'arme, et soudainement, une image de la pauvre petite Anouvanh devint visible sous les yeux de Sorcier et de sa servante.

« Cette idiote n'est pas humaine. Je vais m'occuper moi-même de son cas. Prépares néanmoins les trolls et gobelins, ils auront les restes. »

Comme simple réponse, la Servante s'abaissa, saluant son maître qui disparut d'un coup dans une lumière magique.


***


La salle où se trouvait la démone était l'une des nombreuses "salles du trésor" des sous-terrains. Elles étaient là pour encourager les Héros à continuer, tout étant particulièrement bien calculé. En réalité, la plupart des objets ici étaient créés par magie, et disparaissaient une fois en dehors du donjon. Malgré tout, certaines récompenses étaient réelles, de quoi appâter n'importe qui à s'enfoncer encore un peu dans l'endroit. La salle était... tout sauf propre. Poussiéreuse, de nombreuses araignées à droite à gauche, et comme simple bruit le concert raconté plus haut. Des ricanements, des bruits étranges, et même parfois des cris.

Curieux et joueur, la Liche se téléporta ainsi à l'extérieur de la pièce, avant de marcher vers l'entrée. Ses pieds squelettiques raclaient presque le sol à chacun de ses lourds pas, sa robe de mage soulevant des nids de poussière à chacun de ses pas. Allister, d'habitude toujours plongé dans l'ennui, trouvait dans cette apparition un peu de nouveauté. Et il comptait en profiter.

Il entra alors, la porte grinçant lentement à mesure que la pièce se dévoilait à la Liche. Malheureusement pour la Démone, la vision d'aura du Sorcier lui donnait déjà la position de la belle. Derrière une armoire, à tenter de se cacher, discrète. D'aussi près, il pouvait même déterminer la race de l'intruse : une démone. Une démone... Oh. Il en avait certains à son service, des créatures intéressantes.

« C'est bien la première fois qu'un être tel que toi pénètre dans mon domaine pour me voler. Approche, je veux voir à quoi tu ressemble. »

Allister n'aimait pas tourner autour du pot. Il avait des projets pour la démone, et tout commençait par une inspection de la marchandise. Aucune réponse... Bien-sûr. Un souffle s'échappa du rictus de la Liche, avant que ce dernier ne claque des doigts. Soudainement, l'armoire fut envoyée au loin, et Anouvanh pouvait sentir comme une force la faire s'approcher de son agresseur. De la télékinésie, dont il usait pour enfin porter la jeune femme à son regard.

Et elle était... appétissante. Encore plus, de près. On aurait presque dit une jolie elfe, plutôt qu'une démone. Une succube, peut-être ? Sûrement. C'était parfait. Exactement ce dont avait besoin la Liche. Claquant des doigts, des chaînes sortirent du sol, attrapant les bras de sa nouvelle salope pour les bloquer dans son dos. Les liens se serrèrent, forçant la pauvre à se mettre à genoux devant son nouveau maître.

Anouvanh pouvait ainsi voir, totalement, le sorcier. Une immense liche, plus de deux mètres de haut, large, puissante. Des bras squelettiques, aux longs doigts fourchus tels des griffes, et un faciès d'os presque démoniaque. Dans ces orbites, deux flammèches crépitantes. Comme un homme observe une bête qu'il s'apprête à acheter, il glissa ses doigts contre le menton de la démone. L'inspectant, avec toujours ce même sourire, cette déformation absurde de son crâne singulier.

« Je ne sais pas pourquoi tu t'es risquée à venir ici, mais tu ne vas pas être déçue du voyage. Je te souhaite la bienvenue à la Tombe de Vecna, et crois moi, tu peux déjà considérer cet endroit comme ta nouvelle demeure... ou ta prison. Mais ne t'inquiètes pas, tu vas finir par apprécier ton séjour. »

Un rire sourd et caverneux s'échappa alors de la Liche, alors que ce dernier observait les délicieuses formes de sa nouvelle esclave. Certes, la pauvre pouvait tenter de se débattre, mais Allister n'était pas qu'une simple liche, qu'un simple sorcier. De tout son être se dégageait cette aura, ce charisme surhumain. Si elle était capable de voir la magie, la quantité, la puissance qu'il détenait, elle aurait devant ses yeux un véritable puits sans fond d'énergie sombre, de magie occulte.

Allister L. Acererak

Créature

Re : La Liche et sa Chienne [PV]

Réponse 2 samedi 31 août 2019, 17:08:30


La pitié, Allister ne connaissait pas. Ou plutôt, il ne connaissait plus. Quitter son enveloppe charnelle, obtenir cette apparence cauchemardesque et grotesque, fut une épreuve tout aussi rude pour son corps que pour son esprit. Les émotions qui jaillissaient auparavant n'étaient plus, la Liche n'agissant que par simple imitation de ce qu'il était autrefois. Même si on âme était toujours là, visible sous la forme d'une boule d'énergie semblable à un cristal sous sa robe, au centre de son torse, elle n'embrumait plus sa psyché des pensées futiles des hommes. L'amour, l'amitié, la peur. Des simples mots désormais, qui n'agissaient que comme déclencheur d'un rictus sur le faciès défiguré de l'ancien sorcier humain. Mais la démone ne semblait de toute manière pas là pour jouer la carte de la petite femme en détresse, et même s'il sentait la peur envahir ses entrailles, il sentait aussi cette pointe de fureur propre aux siens. Elle n'était pas décidée à se laisser faire, ou en tout cas à offrir à son nouveau maître la 'joie' de le voir soumise. C'était tant mieux, Allister était là pour s'amuser, la voir déjà lui lécher les pompes le décevrait énormément.

Elle devait résister, pour sa joie, pour sa satisfaction. Son sourire osseux s'étira alors plus lorsqu'elle cracha vulgairement sur le sol, tentant, part tous les moyens possibles, de montrer à son agresseur qu'elle ne comptait pas se laisser faire.

« Oh que si. C'est mon affaire, si tu cherches à me voler, démone. »

Malgré son amusement et la situation, la voix d'Allister restait parfaitement calme. On sentait une pointe de curiosité néanmoins, même si la froideur et le ton sec était tel que ces mots semblaient être lancés comme des lames prêtes à transpercer le corps de sa pauvre victime. Elle tenta même d'utiliser sa propre magie, lançant des meubles sur la Liche qui n'eût même pas à lever la main : sa propre télékinésie, surpassant clairement la sienne, arrêtant les meubles pour les poser sur le sol.

« Tenter d'utiliser de la magie sur une Liche... Vraiment ? Tu es une petite insolente pour tenter de jouer sur le même terrain que ton nouveau maître. Je vais devoir t'apprendre où es ta place : à mes pieds. »

Tenant toujours son menton entre ses longs doigts fourchus, le regard de la Liche se posa sur les formes délicieuses de Anouvanh. Des lourds seins, tressautant sous sa peur, aux tétons tendus et percés. Des hanches larges, comme si elle ne demandait qu'à être fourrée, à servir de pondeuse. Il pouvait, grâce à ça, tout autant deviner un cul dodu et bombé. Cette salope était un véritable appel au stupre, une succube très certainement. Les deux flammèches allumant ses orbites s'éveillèrent d'autant plus, l'envie de souiller ce corps de toute les manières possibles refaisant naître en Allister une excitation qu'il pensait disparu.

Le sexe n'était, normalement, pas quelque chose dont il était énormément fan. Mais elle, son insolence, son corps, tout lui donnait envie de la détruire. Mentalement, physiquement, de la rendre tellement accro à la chose qu'elle ne pourrait le nommer que par un seul mot : Maître.

Dans un bruit de craquement osseux épouvantable, l'homme ouvrit alors la bouche. S'échappant de celle-ci, une légère fumée bleue : sous les yeux étonnés de la belle, une longue et épaisse langue transparente et azurée commença à sortir. Animale, étrange et singulière, la Liche venait de créer un véritable membre de magie pur. N'ayant aucun membre de chair et de sang, il usait de sa magie de création pour contrebalancer la chose. Perversement, comme si la belle lui appartenait déjà corps et âme, la langue vint caresser sa joue, son cou. Comme l'organe buccal humain, elle était chaude, humide, laissant une salive étrange et chaude contre la peau de sa victime. Et alors, il vint vers ses lèvres, avant de littéralement s'y enfoncer.

Il violait sa petite bouche, prenant l'espace, avant de soudainement se coller pour l'embrasser avec perversion. Il prenait possession de sa bouche, et elle ne pouvait s'y soustraire : mordre ne ferait rien. En même temps, il attrapa alors ses lourds seins, les torturant de ses doigts fourchus, avant de déchirer son maigre haut. Révélant sa poitrine à l'air libre, il attrapa ses tétons meurtris et percés pour jouer avec, tirant, les faisant rouler sous ses doigts. Il était habile, le squelette...

« Je sens que toute la tombe va adorer ton corps, ma belle. Il ne demande que ça, après tout... »

Le mâle retira finalement son énorme langue, reliée encore à celle de la succube par un épais filet de salive. De là, tel un serpent, la langue glissa le long de son corps pour venir jouer avec ses seins, et surtout son pauvre téton. Elle semblait si longue, infinie.

« Cela fait longtemps que je ne me suis pas amusé avec une femelle... Je compte bien en profiter, et voir ce qu'une petite succube comme toi a dans le ventre. »

Allister L. Acererak

Créature

Re : La Liche et sa Chienne [PV]

Réponse 3 samedi 31 août 2019, 17:09:54


Si la pauvre petite démone ne connaissait que les membres humains, elle allait déchanter. Ici, pas une seule trace d'humanité : des créatures cauchemardesques, des monstres des contes et légendes, des morts-vivants prêts à dévorer votre chair... l'endroit était une véritable ménagerie, une arche de Noé occulte. C'était bien le but d'Allister, de toute manière : créer un royaume où ces semblables pourraient vivre comme ils le désirent. Dans un sens, ce futur paradis était aussi construit pour la jeune démone : les êtres de ce plan étaient tout autant conviés que les autres à cette grande table... Quand ils n'essayaient pas de voler de précieux trésors. Et malheureusement, c'était le cas de cette petite pute au corps de rêve. Malheureusement pour elle. L'idée était simple : la briser, la défoncer, et la faire couiner comme la dernière des trainées, avant de terminer son éducation à l'aide de la troupe de monstres qui attendaient à l'extérieur. Derrière la porte, à écouter, voir par l'interstice, attendant leurs heures, leurs queues déjà levées, frémissantes d'impatience.

Avec plaisir, la Liche torturait ses seins de son épaisse langue. Il passait entre, les serrant, avant de venir jouer avec ses mamelons. L'orgasme semblait sans fin, s'échappant dans un bruit pervers et humide de la bouche squelettique de son nouveau maître. Mais cette salope cherchait encore à se débattre, à cracher verbalement sur le Sorcier qui ne répondait qu'en des rires sombres et rauques. Elle ne valait rien : ce n'était qu'une vulgaire succube sans pouvoirs. Une femme faible et fragile qui s'était endormie sur ses lauriers à force de traiter avec des hommes faibles, tombant si facilement sous le joug de quelqu'un ne jouant pas dans la même cour.

« Tu parles beaucoup.... trop. Je pense que je vais devoir te faire taire, et occuper cette petite bouche. »

Un autre rire sombre, et le voilà à ouvrir sa robe. C'est ainsi que devant les yeux de sa démone, il commença à créer sa verge. Une queue épaisse, large, une hambe parcourue de veines qui transportait le mana à travers le chibre. Le tout se terminait en un gros gland chaud, gorgé de magie, qui pointait vulgairement vers le visage d'Anouvanh. Et en dessous, comme pour terminer l'oeuvre d'art, ses bourses lourdes et rondes. D'un mouvement, il plaqua l'épaisse queue contre le faciès d'ange de sa chienne, dans un bruit pervers. Même si ce n'était qu'une création magique, le membre avait cette odeur âcre et sale du mâle en rut. Une odeur forte, qui démontrait de l'envie de sexe de son propriétaire. Et surtout : cette queue était inhumaine. Si large, si grande, si imposante. Bien au delà de tout ce qu'elle avait connu auparavant.

Comme pour montrer sa suprématie, sa domination, il vint bifler sa salope avec un regard pétillant. Le bruit de sa chaire chaude claquant son visage résonnait dans la pièce, avant qu'il ne vienne poser son gland contre ses lèvres, tout en saisissant sa tête.

« Maintenant, suce. »

Un ordre froid, brutal, qui fut accompagné d'un puissant coup de rein. Allister enfonça alors sa queue dans la bouche de sa chienne, sans même lui laisser le temps de répondre, de reculer, de respirer. Son chibre brûlant viola littéralement sa gorge, écartant tout sur son passage. Une bosse était même visible, dévorant le cou d'Anouvanh, à mesure où il s'empalait en elle. Elle pouvait sentir son goût fort, son odeur entêtante. Elle n'était ici qu'un simple trou à plaisir, le mâle prenant sa gueule comme il sautait ses amantes.

Il resta ainsi quelques secondes, avant de doucement retirer son chibre recouvert de salive... et recommencer, enchaînant les gorges profondes.

« Ta bouche est vraiment faite pour ça... »

Un nouveau rire, alors qu'il continuait, inlassablement. C'était une démone : elle n'avait pas besoin de respirer, ou en tout cas il le pensait. S'il l'empêchait de respirer, il s'en moquait. Si elle vomissait, il s'en moquait. Actuellement, elle était réduite à une simple tache : sucer, et servir de vide couille.

Pendant qu'il baisait vulgairement sa gueule, sa langue, elle, s'activa. Quittant ses lourds seins, l'organe buccal se glissa alors sous son bas, venant titiller sa petite chatte. Il se frottait contre son clitoris, contre ses lèvres intimes... Oui, il comptait la rendre folle. Lui faire perdre l'esprit. Que la seule chose qui reste soit son désir de faire jouir son maître, et qu'elle devienne la plus soumise de ses chiennes.

Il avait le temps. Tout son temps. Personne ne pourrait venir la sauver, elle était ici enfermée au fin fond d'un donjon. Elle ne pouvait rien faire d'autre que d'accepter, ou bien de continuer à se battre. Mais plus elle cherchera à monter, plus dure sera la chute.

Allister L. Acererak

Créature

Re : La Liche et sa Chienne [PV]

Réponse 4 samedi 23 mai 2020, 10:24:11

Ah ! Un rire guttural s'échappa des os de la Liche. Un rire qui sortait d'outre-tombe, profond et sombre. La 'bouche' d'Allister ne bougeait même pas réellement, il l'entre-ouvrait juste pour laisser s'échapper ses mots, son timbre ressemblant à un vent, une bourrasque raclant contre les parois d'une sombre caverne. Quoi ? Elle tentait de l'énerver encore plus, et avec pour cela une insulte basée sur la taille de sa queue ? Pour qui elle le prenait ? Un vulgaire humain, autant attaché à cette taille qu'à sa vie ?

« Dis ce que tu veux, idiote. Cela ne va pas m'empêcher de te faire crier autre chose que des insultes. »

Allister n'était, à l'origine, pas un très grand amateur des plaisirs de la chair. Préférant la présence des livres et parchemins aux femmes humaines, il testa néanmoins de nombreuses choses aux côtés de créatures diverses et variées. Plus par curiosité que par simple plaisir pervers et envie de stupre. Ce n'était d'ailleurs pas la première fois qu'il souillait le corps d'une succube ainsi, l'une de ses générales en étant une. Néanmoins, c'était rare qu'il s'adonne ainsi à un tel étalage de luxure gratuite. Après tout, il aurait pu simplement la tuer... Ou la donner en pâture à ses créatures.

Non, il la violait, à la place.

Peut-être était-ce ce corps, aux formes si avantageuses. Les énormes seins de la démone ballottaient à chaque coup de butoir de la liche au fond de la gorge étroite de sa nouvelle petite pute qui s'ignorait encore. Le regard enflammé d'Allister dévorait ce corps fait pour la baise. Et ces hanches... appuyées, un cul dodu en forme de cœur. Oh oui, il allait la baiser. Et pas simplement pour la punir, mais aussi pour son propre plaisir. Relâcher toute la pression de son rôle de dirigeant sur cette pauvre âme, jusqu'à la rendre totalement accro au goût acre de sa queue, qui explorait inlassablement sa bouche. Il n'avait aucune pitié, sa verge écartant sa gorge au point de montrer une bosse déformant la pauvre succube.

Sa langue continuait son office... Jusqu'à la sentir s'humidifier. Oh, cette pute commençait-elle donc à apprécier ?

« C'est moi ou tu apprécies ma langue, salope ? Ne t'inquiète pas, je ne suis pas un monstre. Voilà un petit bonus ! »

Et soudainement, il pénétra sa chatte humide de son épaisse langue, qui gonfla en elle. Elle parlait des queues humaines ? Alors donnons-lui en une. Sa langue était ainsi devenu aussi large qu'un membre d'homme, mais bien plus long... Elle allait et venait, écartant, violant la pauvre petite chienne qui pourtant avait déjà la bouche bien occupée.

D'ailleurs, il décida d'y aller plus profondément, s'empalant une nouvelle fois au fond d'elle avant de se bloquer. Lui faire perdre la tête, l'esprit, mais aussi sa pauvre et misérable respiration. Il l'observait, sans rien dire, son regard dans le sien, alors que sa queue occupait toute sa gorge, empêchant l'air de passer. Il patienta ainsi, regardant la pauvre doucement tourner de l'oeil, avant de soudainement retirer son chibre une fois à deux doigts de tomber dans les pommes. Sa queue était recouverte de salive, qu'il étala sur le visage de sa pute avant de la bifler avec plaisir.

« Tu vois, chienne. Désormais, tu aura toujours droit à ça. Tu es ma possession. »

Et de nouveau, il s'empala dans sa gorge. Recommençant la chose, inlassablement. Bien décidé à lui faire perdre l'esprit.


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