Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla][ABANDONNÉ]

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Damascus

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Nexus-la-Grande.

Par ces trois mots, l'imaginaire populaire s'enflammait. La perspective d'une bonne fortune attirait irrémédiablement  les peuples de Terra vers cette antre de la richesse et de la réussite. Que le voyageur modeste arrive par la mer ou par la terre, la vision de la cité-état qui s'offrait à lui révélait toute la puissance de cette nation réputée invincible.

Le titanesque château d'ivoire couvrait de sa bienveillance immédiate les quartiers de la cité les plus prospères, dirigés en sous-main par les familles les plus aisées. Aux commerces de marchandises rares et luxueuses se pressaient les manoirs et les demeures les plus raffinés de cette partie de Terra. Les épidémies récentes ayant ravagées Nexus ne passaient pas les frontières de ces zones bénies par la véritable divinité locale : l'or.

Le voyageur modeste ayant pris conscience de la chance qui s'offrait à lui, débarquait donc de son navire, ou bien passait l'une des multiples portes fortifiées de la ville pour s'engager sur le chemin du bonheur.
Rapidement pourtant, un malandrin lui dérobait sa maigre bourse, des catins malades et malodorantes  s'accrochaient à ses braies et un molosse peu commode urinait sur ses chausses.

Aux abords du port ou dans les quartiers tassés dans les premières ceintures de remparts, le voyageur découvrait un monde bien éloigné des lumières de ses premières impressions. Dans les basses zones, l'architecture homogène n'existait pas. De longs et sinueux dédales reliaient entre elles de petites places sales où des gargottes sans charme accueillaient la lie de Terra. Les demeures étroites et collées entre-elles accueillaient sans distinction des familles, des réfugiés, des mains d'oeuvre et autres petits artisans en quête d'un toit bon marché. C'est là que le marché noir oeuvrait, plus productif que jamais, plus injuste et plus cruel aussi. L'Homme, ou quelle créature que ce soit s'y monnayait autant qu'une vulgaire marchandise.
Passé cette foire de misère, le voyageur, toujours pas découragé, passait les quartiers moyens puis à quelques pas du Graal  de sa vie, se faisait arrêter par la milice. Qu'est-ce qu'un miteux comme lui faisait ici ? Ne comprenait-il pas que la simple vue de son immonde personne brûlerait les yeux des belles dames de la haute société ?
Invité d'un coup de hampe d'hallebarde à rebrousser chemin, le pauvre voyageur soupirait et se dirigeait  à contre-coeur, mais les chausses imbibées de pisse de chien, vers le cauchemar de sa vie.

Damascus lui aussi soupira.

Cela faisait une semaine qu'il avait rejoint Nexus. Un riche marchand recherchait des hommes sans conditions morales pour écarter un concurrent trop chanceux dans les affaires. L'investissement de Damascus et d'une bande de gros-bras moyennement intelligents avait réduit  le commerce de l'homme à un gros tas de cendres, incluant ce rival gênant et une partie de sa suite.

Mission bien menée, mission rémunérée. Ce soir, Damascus profitait des bas-quartiers de Nexus pour assouvir ses désirs. Contrairement au modeste voyageur, lui s'était employé à dégoter un établissement hôtelier de qualité moyenne, en somme un bordel plus ou moins propre, où en plus d'une tambouille pas trop horrible, le patron proposait les services de filles aux profils aussi divers que variés.

Son choix de ce soir s'était porté sur une petite terranide aux airs de chatte. Petites oreilles pointues, pupilles félines, queue longue et tâchetée, cette timide catin s'était montrée timide au premier abord. Une pièce de cuivre l'avait fait sourire, la deuxième l'avait fait se déshabiller, la troisième ... écarter les cuisses et l'ajout d'une pièce d'argent avait déchaîné ses talents. Bien évidemment, Damascus lui avait fait mal, elle avait hurlé le museau enfouit dans le coussin usé de leur lit poisseux.

Cela avait duré jusqu'à ce que le patron vienne s'inquiéter de savoir, sans grande émotion, si la fille était toujours vivante. Les clients coupables de meurtre sur prostituées remboursaient juste les tenanciers des bordels à hauteur du prix de la victime, plus un intérêt bien sûr.
La petite terranide, toute pantelante, avait elle-même ouverte la porte de la chambre pour assurer que son client était un homme de charité. La deuxième grosse pièce d'argent pressée entre ses fesses y était pour beaucoup.
Très attachée à favoriser le retour d'une clientèle si généreuse, la fille-chat s'était elle-même passée une laisse autour du cou et patientait aux pieds de Damascus après lui avoir glissé la boucle entre les doigts.

Tout deux siégeaient dans le fond de la salle principale du bordel. Ils occupaient un petit box en bois de la même couleur passée que le reste de l'établissement. De nombreux clients, aussi bien des soldats, que des artisans ou le moindre ruffian pouvant payer, côtoyaient une incroyable quantité de catins. Le patron devait être richissime...

La salle était vaste et mal éclairée, les chandelles dégageaient une acre fumée piquante qui tel un nuage opaque, occupait le quart supérieur de l'espace.
Damascus observait tout cela en buvant un tord-boyaux qui ne le saoulerait pas, les effets de l'alcool étant  inopérant sur les démons. Il portait ce soir son ensemble de cuir mat qui mettait en valeur sa musculature affirmée. Son regard scrutait la pénombre, plus par habitude que par nécessité. Il ne portait pas d'armes, il n'en avait pas besoin, du moins pour le moment. Si besoin,  ses gantelets de cuir piqué feraient l'affaire.

La petite terranide feula affectueusement à ses pieds. Damascus tira sur la laisse, amenant à lui le corps souple de la prostituée avant de tapoter négligemment  sur sa tête.


La voix du démon résonna, aussi sèche qu'envoûtante :

"Tout doux petite, tout doux ...."
« Modifié: dimanche 26 février 2023, 18:16:43 par Damascus »

Damascus

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Re : Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla]

Réponse 1 samedi 31 octobre 2020, 17:06:07

Damascus ne fut pas surpris par l'intrusion de la tornade dans son box. Peu de choses le surprenait encore et dans un bordel tout pouvait arriver. Il dévora du regard cette superbe femelle. Typiquement le genre de jouet qu'il adorait. Un corps à damner tous les saints, c'était le cas de le dire, pas froid aux yeux, bref, du chien !

La petite terranide en laisse marqua sa désapprobation et planta discrètement ses ongles dans la cheville du démon. La réaction de celui-ci fut instantanée.

"Amuses toi encore une fois à faire ça petite pute, et je te tranche les doigts." La tirade claqua comme un coup de fouet. La créature gémit.

L'attention de Damascus revint à la lionne qui avait envahie son box. Magnifique, elle l'était! Sa chevelure sauvage et fournie aux teintes de crépuscule cascadait sur des épaules solides mais délicieusement laiteuses. Le démon eut envie d'y planter ses dents. Le visage de l'inconnue était un défi  à la débauche, ses lèvres charnues et sensuelles un appel irrésistible à la fellation. Le coeur du chasseur manqua un battement quand ses yeux se posèrent sur la poitrine de la femme. Aux enfers, elle aurait occupé une place de pute de premier rang, bien devant des succubes.

Damascus sourit presque aimablement, se pencha en avant et glissa une pièce d'argent entre les deux grosses masses tièdes qui l'attiraient tant.

"Ca, c'est pour avoir illuminé ma soirée, c'est pas tous les soirs que des lunes jumelles se présentent à moi"

Il en profita pour les palper, grand connaisseur de ces dames et les classa tout de suite hors catégorie. Cette fille savait se mettre en valeur. C'était sûrement une prostituée haut de gamme qui savait parfaitement manipuler son assistance. Manipulé ou pas, Damascus s'en foutait, il n'avait plus qu'une idée en tête, fourrer cette beauté  dans son lit ou n'importe ou d'ailleurs, avant de la fourrer, elle.


"Et cette beauté qui s'invite dans mon box avec de quoi assouvir ma soif  a t'elle un nom? Ou peut être un surnom quand elle est d'humeur à conquérir l'âme d'hommes aussi  vulnérables que moi en ce moment ?"

"Mais je parle trop, buvons à notre rencontre"

Damascus se pencha, happa la bouteille, remplit les deux verres et en logea un entre les seins de l'inconnue. La voix du démon se fit plus rapeuse tant le désir le taraudait.

"Celui-ci est pour moi, installes-toi sur mes genoux et abreuves-moi, sache que je suis  d'humeur généreuse."

Il poussa du pied la petite catin terranide qui voyait bien qu'elle perdait la partie. Elle ne pouvait rien faire face à une concurrente pareille.
La salle principale du bordel était bondée. Le tenancier hurlait des ordres, les clients chantaient, appréciaient les spectacles de nu ou baisaient dans les recoins les plus sombres. Les prostituées, toujours plus nombreuses, occupaient le reste de l'espace, les escaliers et les estrades.
L'atmosphère était moite et étouffante.



Damascus

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Re : Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla]

Réponse 2 samedi 31 octobre 2020, 23:20:15

Sur tous les points, la petite catin tenue en laisse venait de perdre la manche. Son client l'invita à dégager en la poussant  du bout de sa botte.

"Tu n'as plus rien à faire ici petite."

 Elle comprit qu'insister serait problématique et choisit de partir en feulant méchamment après l'intruse. Elle claqua les battants du box et prit pour nouvelle cible un gras marchand à la bourse bien garnie.


"Je crois bien qu'elle ne t'apprécie pas, tu viens de lui piquer sa rente du jour. J'espère que tu sauras te montrer au lit aussi experte qu'elle."

Sur ces mots, le démon pris la poitrine de la lionne à pleines mains, malaxa ses seins sans retenue et porta à ses lèvres le verre d'alcool pour en gober le contenu d'un coup. Cette femme l'excitait, son sexe durcissait, ses tentacules le démangeait. Il avait maintenant besoin de la baiser. Le manège de la pute, il était sûr que s'en était une bonne, était de qualité. Elle jouait aussi bien de la vulgarité que de la séduction et il appréciait. Elle savait ce qu'elle voulait, le jeu était clair et il ne s'y opposerait pas. Néanmoins, Damascus avait pour habitude de diriger ses ébats et s'il devait baiser cette furie, il le ferait à sa manière à lui.

Après l'avoir laissée jouer un peu, il se redressa brusquement. La jeune femme glissa de ses genoux et avant qu'elle réagisse, il la retourna et la plaqua sur la table, ses gros seins écrasés contre le plateau en bois usé. Il se colla à ses fesses et sans équivoque lui fit sentir l'état de sa virilité. Il vrilla les bras de la lionne derrière son dos, verrouilla ses coudes pour l'immobiliser et de tout son poids, pesa sur con corps.

"Et si je te prenais le cul ici sur cette table, tu sourirais de la même manière, ma belle catin ?"

Qu'elle le veuille ou non, c'est comme ça qu'il avait décidé de la prendre. Le démon réfléchit un instant s'il devrait profiter de sa bouche ou pas mais décida qu'il n'y avait aucun ordre établi. La bouche viendrait après ... entre autres.


Un officiant choisit cet instant pour faire irruption dans le box. Le jeune boutonneux vira au rouge face au tableau qui s'offrait à lui. Bien qu'habitué aux excès des clients, la vue de cette femme sculpturale dominée par ce type avait sur lui un effet tout particulier.
Damascus aboya :
"Tu veux quoi ? Tu vois pas que je suis occupé là ? Fait pas attendre la dame, elle est chaude comme un lac de lave"

"Euh, messire, je ... je ... vous voulez boire quelque chose ?"

"Non , pas envie là, elle peut être. Hey  petite chienne t'as soif ?"

Quelle que fut la réponse, noyée dans le brouhaha ambiant, le jeune homme s'enfuit comme s'il avait la peste aux basques. Le démon rit et revint à son centre d'intérêt.

"T'as pas répondu à ma question, ton cul ? ici ?" Il posa 4 pièces d'argent près du visage de la fille. C'était le double du tarif habituel pour ce genre de prestation mais elle en valait bien le détour.

Cédant à son impulsion première, Damascus mordit la chair d'une épaule dénudée, pour faire mal. Il prit le temps de sentir le parfum naturel de cette beauté, délicieux,  avant de lécher sa peau jusque dans le creux de son cou. Il continua .... non, il s'arrêta net, lucide d'un coup, une décharge d'adrénaline fulgurante l'emmenant à un niveau sensoriel surélevé. Alors qu'il passait sa langue sur sa carotide, il sentit le pouls de la fille, lent, contrôlé, entraîné, aux antipodes de ce qu'il devrait être maintenant.

Damascus se prépara, il glissa une main à sa ceinture pour saisir une dague effilée.

"Tu n'aurais pas quelque chose à me dire par hasard?"



Damascus

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Re : Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla]

Réponse 3 dimanche 01 novembre 2020, 18:14:31

Damascus avait failli perdre l'équilibre tant la réaction de la fille avait été brusque. Il en avait maintenant le coeur net. Cette catin n'en était pas une. Sa vivacité trahissait une guerrière ou en tout cas, une personne d'action. Les sens développés du démon le guidèrent vers un indice. Il huma une très fine effluve féline. Il subodora une origine plus animale que ce qu'elle en paraissait. Nonchalamment , elle réajusta l'étoffe qui couvrait sa poitrine en le questionnant .

Oh ça oui, il le voulait bien. L'inconnue venait de ruiner sa soirée. Il avait fallu qu'il tombe sur une idéaliste révolutionnaire militante pour la cause de ces bestioles. Pas de bol ! Il pourrait prendre le temps de lui expliquer le pourquoi du comment mais cela aurait été contre sa nature qui plutôt, recherchait l'affrontement. Egorger cette vache laitière lui traversa l'esprit mais cela lui ôterait l'accès définitif à cet établissement, et le rapport qualité/prix des catins y était raisonnable. Et puis baiser un cadavre n'était pas dans ses habitudes et malgré sa harangue agressive, l'inconnue était toujours attirante.


"Si tu me plais encore ? Présente moi tes fesses encore une fois et je te le montrerai. Mais là, tu vas faire quoi ? M'écraser mortellement entre tes loches? "

Connaitre son adversaire était un premier pas vers la victoire. Un adage disait : "Qui connaît l’autre et se connaît lui-même, peut livrer cent batailles sans jamais être en péril." Autant  respecter l'auteur de cette citation. Bien que conscient de ses  capacités à lui , le démon préférait tester son adversaire pour l'évaluer.

Le box dans lequel il se trouvait était circulaire. Des banquettes confortables bien que tâchées en faisaient le tour et la table circulaire occupait le centre. Il y avait assez d'espace entre la table et les banquettes pour pouvoir se déplacer sans être gêner. Deux lanternes à bougie diffusaient une lumière suffisante pour éclairer l'espace. Les parois du box, bien qu'en bois, étaient suffisamment épaisses pour octroyer une certaine intimité aux occupants.
Damascus établit une certaine distance et contourna la table, rivant son regard dans celui de l'inconnue. La dague siffla. Le démon comptait lancer un avertissement en laissant une estafilade cuisante sur la peau laiteuse de cette beauté. Le résultat fut surprenant, la dague ricocha sur sa cible et se ficha profondément  dans une paroi. Pas commun ....


"Et sinon ? Qu'est ce que tu me caches encore comme surprise ? "


La protectrice des terranides n'avait pas esquissé un geste, preuve de sa confiance en ses propres compétences. Utilisait-elle une magie particulière? Non, il n'y avait aucuns relents arcaniques. Il aurait remarqué une amulette de protection. A ses yeux, ces objets brillaient comme une flamme au milieu de la nuit.
 
"Dis moi, je doute que tu sois née aussi solide que ce que tu es, là. Ta cartouchière  contiendrait-elle la réponse à ma question?"

Le démon claqua des doigts en lançant un sort des plus mineur qui soit. Un sort connu de tous les voleurs experts en crochetage. Avec un petit clic, la boucle de la grosse ceinture de son adversaire céda et la cartouchière tomba au sol. D'un coup de pied, Damascus propulsa la table contre son opposante.

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Re : Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla]

Réponse 4 lundi 02 novembre 2020, 12:36:07

Des potions ... rien de plus simple. Quoi qu'elles contiennent, cela restait des potions. Donc l'assurance de cette folle n'était liée qu'à ces petites fioles. Neutraliser l'atout de la furie, et là oui, il en profiterait de ses gros nibard qu'elle lui collaient sous le nez.  Les alchimistes, sorciers, mages et autres apothicaires savaient que l'altération des propriétés des liquides passaient par le contact d'une forte chaleur. Le temps de cette analyse, la salope l'avait surpris et se retrouvait assisse sur ses genoux à le provoquer. Quelle traînée ! Fulgurante, elle lui prit la tête à deux mains et serra. Damascus contracta les épaules et susurra ...

"Nous sommes bien d'accord. Tu es résistante, tu es rapide, tu es forte ... et tu as une grande gueule."

Le démon était aussi résistant, à sa manière. Sa puissance, quasi divine bien qu'endormie depuis des millénaires, était ahurissante. Et sa rapidité .... aux Enfers, les créatures lentes mourraient ... Il se redressa brusquement, agrippa le cou de la folle , se contracta, et d'une poussée verticale, la pulvérisa  contre la table qui vola en éclats. Le brouhaha dans la grande salle du bordel s'arrêta instantanément. Le démon tira une nouvelle fois son adversaire à lui, puis recommença encore et encore, la martelant maintenant sur le plancher abîmé. Une voix timide demanda à travers la porte du box si tout allait bien.

"Ta gueule, fais pas chier, tu comprends pas qu'on baise ??"

A genoux maintenant au-dessus de la femme, il lui assenait au visage des rafales de coup de poings et même s'il avait l'impression de frapper dans une cloche de bronze, il y aurait bien un moment ou une faille s'ouvrirait.

"Et là maintenant ? Je suis assez près ?" Il lui décocha une manchette magistrale dans le menton.


"Et là, tu m'aimes toujours autant ?" La relevant partiellement, il lui délivra un coup de tête dans le nez qui aurait assommé un taureau.

"Tu la ramènes plus ? Ca y est ? Tu excites un peu, t'es mal lunée, tu veux te faire un pauvre type et là, tu tombes sur un os. C'est quoi la suite, tu t'excuses et tu me suçes ?"

"Ou alors t'es tellement chienne que tu prends plaisir à te faire cogner ? L'autre pute au moins, elle savait ce qu'elle voulait"

Le box ressemblait à un champ de bataille. Des bouts de table et de banquettes jonchaient le sol, une des lanternes était tombée sur une banquette qui fumait dangereusement. La bouteille s'était brisée et son contenu imbibait les vêtement de la salope.

La porte du box s'ouvrit avec fracas et deux gardes firent irruption. C'étaient des brutes épaisses peu raffinées, recrutées pour leur physique massif. Ils tenaient des gourdins ferrés.


"C'est quoi ce bordel ?" éructa le premier.

Le choc qu'il encaissa le fit  voler à travers la grand-salle pour s'écraser contre un solide poteau en chêne. Il s'affala comme une chiffe molle au milieu des putes qui hurlaient de frayeur. Son compagnon, lui, traversa l'une des parois du box la tête la première pour finir sur les genoux d'une grosse prostituée en passe de se faire troncher par son client.

Les deux gêneurs éliminés, Damascus revint à " princesse grosses loches."



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Re : Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla]

Réponse 5 jeudi 05 novembre 2020, 09:45:47

L'un des effets majeurs de l'eau, c'est que ... ça mouille ... La furie se tenait devant le démon, trempée, dans l'eau jusqu'aux genoux. Sa tenue lui collait à la peau, exacerbant l'attrait de ses courbes. Elle aurait eu sa place dans ces combats d'arène où des beautés se battaient dans des mares de boue pour le plus grand bonheur du public masculin. Mais n'avait-elle pas senti le changement ? Elle avait fait une erreur fatale. Ingérer l'essence même du démon, c'était tout comme boire directement à la queue de Lucifer. Elle venait de corrompre l'effet de ses potions et même de son sang à elle. Bien qu'elle ai l'air solide, les jours à venir seraient difficiles à vivre. Elle avait froid et ça se voyait. Elle comprendrait vite que quelque chose clochait.

"Tu me menaces à nouveau ? Que dirait-tu si devant l'injustice apparente de la situation, je décidai de me venger en t'arrachant le visage pour le conserver chez moi dans une vitrine. Je n'ai ni à me justifier ni à m'excuser d'avoir molester l'autre petite pute vois-tu, c'est sa manière à elle de fidéliser ses clients, et elle se fait payer pour ça, bien payer même. Donc ne me donne pas le choix entre te massacrer ou profiter de ton corps tout mon soûl. Tu sais ce que je suis et tu sais aussi que tu n'aimerais pas que je revête ma forme originelle pour te violer, tu n'y survivrais pas. Voici mon offre à moi : tu vas passer la nuit à mes côtés et remplacer la catin que tu as chassée, si tu me déçois, tu meurs. Si tu me refuses quoi que ce soit, tu meurs. Si tu fais preuve d'indiscipline, tu meurs. En revanche, si tout se passe comme je le veux, tu auras gagner une immersion dans un océan de plaisirs, je te le garantis et peut-être même l'occasion de t'adjoindre un amant de passage pour animer tes soirées solitaires."

La définition de plaisir pour le démon n'était pas forcément celle de tout un commun mais il disait ce qu'il pensait en toute vérité. Et puis cette lionne devait être magistrale au lit, c'était une opportunité à explorer absolument. Lui aussi trempé, il s'approcha d'elle sans précaution, il n'en avait plus besoin, et retira de son épaule un long végétal moisi. Il fit glisser sa main de son épaule à sa nuque pour la serrer à la briser.

"La chose que tu as devant toi est bien au-delà de tes capacités, que j'apprécie d'ailleurs, tu m'as offert une bonne animation. Décides vite de se que tu vas faire!"

De l'auberge vint un bruit de cliquetis , d'armes battant des cuirasses de métal, de lourdes bottes martelant le plancher. Le guet intervenait à la demande du patron. Ce n'était pas une menace mais Damascus ne souhaitait pas être mêler à des affaires de justice. La furie non plus d'ailleurs, qui se cachait le visage dès l'apparition d'une personne étrangère à leur "conversation."

"Le guet est là .... que veux-tu ? La mort? Chez toi ou chez moi ?"

Il s'extirpa du ruisseau et tendit la main à la folle-dingue.

"Et as tu un nom ou es-tu juste un fantôme de  terranide ?"

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Re : Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla]

Réponse 6 dimanche 29 novembre 2020, 11:55:28

La terranide minaudait un peu trop au goût de Damascus. Pour lui, le jeu était fini. Il contint une pulsion qui lui hurlait d'éventrer la femme dans ce ruisseau glacé et de la laisser pourrir là. Un rictus mauvais s'afficha sur son visage.

"Tu parles trop"

Ramenant un bras de la fille derrière son dos, il força en le levant, atteignant le point de rupture, à la limite de le briser. La poussant en avant, il ajouta une torsion au poignet, augmentant la douleur qui devait irradier et vriller jusqu'au cerveau de la salope. Sans ménagement, il la poussa hors du cours d'eau et la guida sur le chemin de l'auberge où il vivait. La maintenant sous son contrôle, ils passèrent plusieurs ruelles sombres où des ombres les observèrent. Un mendiant plus courageux que les autres osa lui demander s'il pouvait lui aussi profiter de cette déesse. Il accepta dans la limite du supportable et arrachant le haut de sa victime, exposa son énorme poitrine au nécessiteux.

"Tu peux toucher, elle ne te fera aucun mal"

L'immonde mendiant, trop heureux, se précipita enfouir son visage entre les deux masses tendres tandis qu'il se masturbait déjà. Ce fut rapide, il jouit sur la cuisse de la fille, essuya ses doigts couverts de sperme sur les lèvres pulpeuses et remercia le démon avant de s'effacer dans la nuit.
Damascus reprit son chemin, verrouillant toujours sa victime aussi douloureusement que ce soit.


"Tu vois, c'est seulement le début, j'espère que ça t'as excité? Et c'est pas fini!"

Il la retourna et lui claqua une gifle magistrale qui fit écho dans la ruelle. La tête de la salope bascula sur le côté sous le choc. Le démon avisa un tonneau dans un coin et y écrasa de face  la terranide, lui exposant son cul. Il lui baissa ses effets et se libéra lui-même. La vue de ce cul superbe était trop excitante pour qu'il résiste plus longtemps. Forçant son chemin entre les fesses de la salope, il poussa son sexe raide contre le sphincter qui ne résista pas vraiment. Il força plus encore et sentit l'anneau de chair céder tandis qu'il pénétrait son cul. Quoi qu'elle dise ou fasse, rien n'y ferait. D'une poussée, il finit totalement par l'empaler et sans attendre bien que ce fut serré, il l'encula sans merci, ravageant son fion et commençant à la détruire méticuleusement. Il s'affala sur elle et lui sortit les pires insanités qu'elle eut pu entendre. Il lui saisit les seins à pleines mains, les pétrissant méchamment, enfonçant ses doigts dans les masses douces. La croupe de la terranide claquait contre les hanches du démon, violemment. Damascus se déchainait. A chaque coup de reins, il cherchait à briser la pute. Son cul délicieux était un volcan en pleine éruption. La saccager de cette manière emplissait le démon de satisfaction. Il baissa les yeux sur son œuvre, son sexe massif pulvérisait l'anus de la salope, l'étirant monstrueusement. Il accéléra le rythme, le corps de la pute écrasé contre le cerclage de fer du tonneau. Il lâcha ses seins pour lui serrer le cou et y laisser l'empreinte de ses doigts et ce , juste avant de la retourner et de la flanqua à genoux pour se vider sur son visage. Il se branla face à elle et l'inonda de sperme chaud sans qu'elle puisse rien y faire. Un sac à foutre, voilà ce qu'elle était maintenant. Le liquide gluant lui collait à la gueule lui donnant un air de pute à soldats.

"Mords et tu meures !" l'avertit-il.

Il n'avait pas fini de se vider les couilles qu'il s'engouffra dans sa bouche, força le passage de sa gorge, la sentit prête à dégueuler sous la violence de l'intrusion et dans un dernier grognement, propulsa un dernier jet brûlant directement dans son œsophage. Il saisit la chevelure de la fille à pleine mains et les jambes bien écartées, baisa sa bouche jusqu' à ce que ses avant-bras le brûlent sous l'effort. Pervers, il se laissa aller et pissa comme un crevard alors que la gorge de la fille serrait encore sa queue. Quand il retira son sexe d'entre ces lèvres exquises, un long filet gluant s'étendit, suivant le mouvement, avant de disparaitre, dilué par la cascade de pisse chaude.

A genoux devant lui, la grande gueule était une épave.


« Modifié: mardi 08 juin 2021, 15:00:06 par Damascus »

Damascus

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Re : Interlude en baffe majeure [PV Damascus-Csilla]

Réponse 7 mardi 08 juin 2021, 15:52:40

Des insultes ...des menaces ... rien du d'autre que du vent sortant de la bouche souillée de cette catin. Dans son état, elle ne ferait pas de mal à un vieil infirme. Avachie au sol, elle ferait même pitié à regarder si ce n'était que son tortionnaire était une pure créature du mal contre laquelle il aurait été vain de résister. Pourtant, elle s'y attelait, mollement, les restants de son égo brisé émergeants par instants de cet amas puant qui la singularisait à présent. Et pourtant, ces quelques affres qu'elle avait subi n'était que le commencement du traitement que le démon lui réservait. A présent, Damascus exultait. En tant que serviteur du Mal, il se délectait de la ridicule résistance qu'elle opposait. L'humiliation n'en serait que plus odieuse. Il s'accroupit près de la combattante abattue et l'observa. L'espace d'un instant, il se dit que l'écorcher avec sa dague pour faire de sa peau un tapis serait une bonne idée. Il conserverait aussi les yeux et quelques organes qu'il pourrait revendre à prix d'or auprès de marchands orientaux. Mais il décida que non. Pour le moment, elle pourrait vivre. C'était une belle femme et voilà bien longtemps que le guerrier à l'apparence humaine ne s'était pas octroyé une esclave dédiée aux plaisirs de la chair. Elle serait sa pute personnelle, qu'il pourrait bien entendu partager moyennant rémunération une fois remise en état. En effet, sa plastique était sculpturale et attirerait quantité de pervers maniaques. Seul son esprit poserait problème, trop agressive, trop violente. Pour palier à ce problème, le démon apposa sa main sur la tête de la femme et lui infligea une violente décharge d'énergie démoniaque. Ce n'était qu'une infime partie des pouvoirs qu'il avait eu du temps de sa grandeur mais cela suffisait à imprimer sa marque, son autorité sur cette nouvelle possession. Damascus avait peu recours à ce genre de pouvoir, sa quantité étant limitée sous cette forme. Néanmoins, l'afflux ténébreux  que la femelle venait de prendre l'asservissait au démon. Elle lui obéirait physiquement même si mentalement elle ne le voulait pas. Son corps agirait contre son gré et elle ne pourrait ni menacer ni insulter sous peine d'atroces douleurs psychologiques. C'était une contrainte cruelle qu'elle vivrait recluse  à l'intérieur d'elle-même. Le corps de la catin crépita tandis que l'énergie diabolique terminait son office de soumission.

Le démon se releva alors qu'autour d'eux, quelques malandrins appâtés par un possible butin, s'approchaient dans les ombres de la ruelle. Des lames apparurent dans des mains crasseuses. Le crissement de la longue épée extraite de son fourreau brisa la volonté de nuire de ces malfaisances. Damascus savait se battre et un bon bain de sang viendrait parfaitement clôturer cette nuit agitée. Personne n'osa l'affronter et les brigands disparurent. La chose du démon n'avait pas réussit à ramper. Elle s'était effondrée sur elle-même, les fesses en l'air, sa grosse poitrine écrasée sur les pavés de ce chemin sordide.


Le guerrier s'empara d'une cordelette posée sur un rebord de fenêtre, fit une boucle sertie d'un nœud qu'il passa autour du cou pâle de la terranide. Car elle en était une, comme lui avait révélé le lien qui les unissait à présent. Elle devait cacher un secret qu'il ne tarderait pas de lui demander, le fait étant qu'elle cherchait à cacher son origine. Mais ce serait plus tard ... Il mesura l'allonge de sa laisse de fortune et tira sèchement qu'elle puisse sentir sa condition.

"Maintenant, tu vas me dire ton nom puis tu seras ma chienne et me montreras ton obéissance. Mon auberge est au bout de cette rue, sur la petite place éclairée qu'on aperçoit là-bas."

D'une torsion du poignet, il la contraignit à se mettre à quatre pattes.

"Allons-y! Tu peux parler en te déplaçant, je t'écoute."




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