Les landes dévastés. Une terre de danger, tanière de monstre et survit de tous les instants. Seules les audacieux et les forts peuvent survivre, la principale, et presque unique, source de nourriture venant des monstres et l'eau des rares pluies ou des voyageurs et convoies qui passe. Pour les rares clans barbares, il y avait aussi le pillage des villages bien établies dans les zones, le plus souvent en bordure des landes dévastés. La vie se résume principalement à survivre, combattre et perpétuer le clan pour eux, car en une nuit le clan peut disparaître à cause d'une attaque de monstre, par la faim et les chances de survit des nouveaux nées étaient plutôt basse. Piller les convoies, les voyageurs et attaquer les clans voisins, fessaient partie des obligations de la vie de tout barbare, pour survivre et honorer Crom. Les pillages fessaient partie des rares plaisirs de la vie des barbares, car c'était le moment de se lâcher, de brûler, de tuer, de piller, de ramener, des trophées et des esclaves, si on parvenait à en faire. C'était le moment d'avoir du vin, des épices, du bon alcool et de la bonne bouffe.
Aujourd'hui c'était jour de fête, comme en début de chaque printemps, approximativement, les clans fessaient la paix pour piller des villages et faire les courses. Chacun allait piller un village repéré depuis quelque semaines. Le Clan Clous Rouge était en route depuis quelques jours, du moins ce qui eurent l'honneur d'y participer, le village sous la protection des plus vieux et des plus jeunes. Ça braillaient, les armes s'entrechoquaient, les mandales volaient, les disputes éclataient, alors qu'on entonnait en cœur
la chanson de Crom qui suffit à faire fuir des monstres, la terre tremblant sous la puissance du chant et un nuage de poussière dans leur sillage. Une petite armée qui avait de quoi décourager les monstres, malgré certain qui tenter de les attaquer, et qu'une armée régulière hésiterait à attaquer de front, car on coupe jamais la route des barbares, surtout quand c'était un événement aussi important que le pillage d'une ville.
Apogée était près de la tête de la cohorte, entouré d'autre femme, hurlant à plein poumon la chanson, arme sur l'épaule, le visage fière et heureux. À quelque mètre devant elle, se tenait
Tauroch le Puissant, chef du Clan Clous Rouge. Un homme aussi fort que téméraire, digne représentant de l'esprit barbare. À ses côtés
Briskar la voix de Crom, une sorte de sage et de chaman, toujours la réponse à tout. Le plus vieux du Clan, mais toujours aussi vif pour tailler la chair et broyer les os, forçant le respect.
Aux côté de Apogée, il y avait
Lily fille d'ours, qui avait tuer et manger un ours à l'age de 12 ans, plus petite que Xélia, mais tout aussi intimidante, et avec une tendance à s'emporter lors des pillages;
Brienne la tête d'acier, qui n'avait pas son pareil pour enfoncer les murs et les portes avec sa tête, lente d'esprit à force et faisant partie des plus grands du Clan, culminant les 2m40. C'était ces plus proches amies, étant nées quasiment en même temps.
-RRAAAAAHHHH !!! Qu'ça fait du bien ! Brailla Lily en donnant une bourrade dans l'épaule de Xélia.
-Tu la dis l'ours ! Lâcha Xélia, en foutant un taloche derrière la tête de Lily.
-Quoi ? Demanda Brienne en se penchant.
Les deux autres rigolèrent, et elles claquèrent le Cul de Brienne, qui se retourna se demandant ce que c'était, laissant un autre barbare lui rentré dedans, avant de lui foutre un coup de boule, obligeant les autres à le ramasser, qui n'avait rien comprit à ce qui c'était passé. Ses amies rigolèrent de plus belle, tandis qu'on commença à grimper une colline. Après quelque minute.
-SSTTTOOOOOOPPP ! Hurla Tauroch
On se rentra dedans, on se bouscula, on se planta avec les pointes des armes, avant que tous s’arrête. Tauroch dégaina un de ses lames et se tourna vers sa troupe.
-ON EST ARRIVER ! POUR CROM !-POUR CROM !
Le ville de Kilébo, était plutôt cossus et grande, de presque plus d'un milliers d'âme, proche des routes commerçantes, et les dangers très peu courant. La garde était des plus basiques suffisante pour repousser des brigands ou des monstres, mais par pour ce qui allait arriver, et la présence de mercenaire et aventurier, n'aller rien changer. Le poste de surveillance près d'une des trois entrés, entendit les clameurs de la troupes barbares, sans pour autant le savoir, se demandant quel était ce bruit et d’où il venait. Sa réponse lui vint de la terre qui trembla et d'une colline qui se noirci soudainement de barbare. On sonna la cloche, faisant rentré des badauds et des paysans en catastrophe, la porte grande ouverte pour faire passer des chariots de blé. On commença fermer les portes, mais c'était sans compter sur les barbares.
-BARBARES !! Hurla le Chef en levant un épée.
Brienne se fraya en chemin, gagnant en vitesse, suivit de camarade aussi massif que elle, leur armure développer principalement que d'un côté. Ils foncèrent vers la porte, qui commençait tout juste à être scellée. Brienne en tête, elle se mit à chanter avec une voix forte et fausse.
-Si la porte t’embête !*CCCCRRRAAAAAAAAKKKKKKK*
-FOU S'Y UN COUP DE TÊTE ! Hurlèrent en cœur les autres.
Une trentaine de barbare se jetèrent comme des sauvages sur la porte, la bourrant avec leur épaules ou leur tête, puis leur camarades pour les retardèrent, faisant craquer ses gongs et les planches mises à la vas vite, ce brisèrent et la porte s'ouvrit sur des barbares sonnés et remplit de rages. La première ligne, les béliers humains, rassemblait que des colosse de plus de 2 m, semant la terreur alors que certain trébucher, avancer en zigzagants ou tentait de se tenir à ce qu'il pouvait. Cela avait un sacré impact sur le moral de l'adversaire, qui recula et même fuya pour certain. Brienne, qui fut la première à cogner la porte, s'écroula, complètement assommé, attirant les rires gras de ses camarades encore capable de penser. Alors que la garde se ressaisit, voyant que les barbares étaient distrait et affaiblie, elle tenta de les attaquer, mais ce fut sans compter sur le reste de la horde, qui s’engouffra dans la ville, entonnant la
Marche Barbare.
-PILLEZ ! TUEZ ! VIOLEZ ! Hurla Tauroch.
Et ce fut une déferlante de violence, alors que la garde lutta vaillamment et qu'une évacuation en catastrophe fut organiser, ceux s'attardant pour récupérer des objets finissant en lambeaux de viande ou violé. Xélia était dans la mêlée, la Rousse faisant étal de sa sauvagerie, massacra de son épée les gardes qui luttèrent tant bien que mal. Rapidement un quartier tomba au mains des barbares, et on commença déjà à rassembler les prises. Apogée poursuivit un mercenaire qui avait crue bon la défier, avant que leur échange ne lui déboîte l'épaule et lui brise le poignet. Il s'engouffra dans une maison, et sans trop savoir comment, il se retrouva sur le toit. Apogée explosa la fenêtre et grimpa à son tour.
-Alors le lâche ? On abandonne ? Railla Xélia.
-Sale pute ! Beugla la mercenaire en larme.
Il couru vers le bout du toit et sauta, tentant de rejoindre l'autre. Mais faute d’élan, il s'écrasa par terre, et Xélia cracha sur son cadavre depuis le toit.
-Faible et lâche. En se retournant, elle aperçue à l'autre bout de la ville quasiment, un bâtiment assez imposante et beau. Pour Xélia, ça sentait les filles fragiles de ces types avec plein d'or et de bijou, ce qu'elle adorait, en plus des richesses. Personne de la horde ne semblait l'avoir vue, et c'était visiblement par sur leur route. La horde aura sûrement déjà tout ce qui lui faudrait avant d'y arriver. Ce qui veut dire qu'elle aura le champs libre pour prendre ce qu'elle veut. Ni une ni deux, Apogée sortie de la maison et se dirigea à grande enjambée vers le grand bâtiment, massacra au passage ceux qui avait le malheur de croiser sa route.
En fonçant tout droit, à travers les bâtiments quand elle pouvait, faisant fuir les citoyens qui étaient entrain d'évacuer, elle se retrouva en quelque minute devant la bâtisse, qui avait un petit jardin coquet, avec des statuts, mais n'ayant pas le goût de l'art, Xélia se contenta de défoncer le portail d'un coup de pied, et de détruire la porte d'entré à coup d'épée, se retrouvant dans la demeure, sans personne de visible. Apogée s'engagea au hasard, brisant ce n'avait pas de valeur à ses yeux, les armoire et portes cherchant des choses intéressante.
-Y A QUELQU'UN ? La subtilité barbare.