Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

L'École du Sexe [Alix Sable]

(1/7) > >>

Doutzen Kroes:
Ce RP est la suite du RP « Deal »
« Mes chers élèves, nous accueillons aujourd’hui en notre sein une nouvelle élève ! Alors, saluez bien fort Alix Sable ! »

Les élèves, qui s’étaient tous levés, saluèrent d’une voix forte et unanime la jeune femme. Avec son allure de garçon manqué, Alix perdait néanmoins de son caractère menaçant dans son sailor fuku sur mesure. Dans son dos, Myumi Ichtora, sa pulpeuse professeur de mathématiques, et accessoirement sa professeur principal, lui sourit gentiment, et, preuve de la grande familiarité dont la femme faisait preuve, posa ses mains sur les épaules d’Alix, avant de désigner du nez une place à côté de Doutzen Kroes.

« Va là-bas, trésor... »

Alix ne put que rejoindre Doutzen, qui lui sourit tendrement. Alix avait une place contre le mur, avec une fenêtre donnant sur l’une des cours du lycée. Les élèves se rassirent ensuite, et Doutzen sourit doucement à Alix, et posa sa main sur sa cuisse.

« Pas trop nerveuse, ma belle ? Tu as l’air un peu tendue... » se moqua gentiment Doutzen.

Peut-être était-ce le fait d’entamer sa première journée de cours... Ou bien était-ce le plug anal que Myumi et Doutzen lui avaient glissé ce matin, ou les ventouses sur son chibre ? Après tout, cette première journée se devait d’être mémorable, et, très moqueuse comme à son habitude, Doutzen ouvrit sa trousse, lui présentant la télécommande située à l’intérieur. Un appareil qui devait maintenant terroriser Alix, puisqu’il faisait fonctionner les ventouses, et que ces dernières émettaient des vibrations destinées à la masturber. Une terrible invention que Myumi avait utilisé sur Alix, en lui expliquant qu’il s’agit d’une technologie particulière que sa mère utilisait pour améliorer l’endurance sexuelle de ses partenaires et esclaves masculins.

Il y a de cela quelques semaines, Alix avait conclu un deal avec la famille Kroes, une mafia russe qui sévissait à Seikusu. Toutefois, le deal avait évolué après sa séance avec Doutzen Kroes. Depuis lors, Alix était devenue l’esclave sexuelle de Doutzen. Elle avait ainsi pu venir emménager dans la maison de Doutzen, un beau manoir japonais au cœur de la ville, tandis que Doutzen avait rencontré ses contacts au lycée pour inscrire Alix. Elle serait toutefois une lycéenne très particulière, car son seul et unique but serait d’être l’esclave sexuelle de Doutzen et de ses amies. Pour cela, la belle blonde avait tout prévu, et s’était adjointe l’aide de l’une des professeurs les plus perverses de tout l’établissement : Myumi Ichtora. Ayant pour mère une succube, Ichtora-sensei n’était pas une femme à négliger, mais elle avait surtout passé ces dernières semaines à enseigner à Alix les rudiments de l’enseignement : la lecture, l’algèbre, etc... Alix était obligée de se former, et passait tout son temps à faire des exercices, pour que Doutzen joue ensuite avec elle le soir.

Au bout de plusieurs semaines, le dossier scolaire avait été bouclé, et Alix pouvait donc entamer sa « rentrée »... Sans avoir d’informations certaines sur ce que Doutzen lui préparait, mais en pouvant tout de même se douter que sa première journée allait être des plus mémorables...

Et, pour le prouver, Doutzen avait sorti la télécommande, s’amusant à jouer avec, une lueur malicieuse dans le fond des yeux...

Alix Sable:
Cette rentrée ne m’inspirait pas beaucoup. Compte tenu des dernières semaines où j’avais passé mon temps à me battre avec d’abominables exercices scolaires, et à me faire tripoter par un professeur particulier… Non, décidément, lorsque je passais les grilles du lycée Mishimachin, impossible de me souvenir du nom correct, j’étais pleine d’appréhension. D’une parce que je venais juste d’apprendre à lire correctement, mais surtout à écrire, et franchement je n’étais pas du tout sûre de moi. Et à l’âge où j’étais, tout le monde savait lire et écrire depuis longtemps, non ?
Bref, c’était un peu humiliant de ramer sur ce genre de choses. Deuxièmement… Putain, mais c’est quoi cette uniforme ? Je marchais dans les couloirs propres en souliers cirés et une jupe. Une jupe ! Bordel ! Jamais je n’aurais cru devoir mettre une fichu jupe comme une pimbêche bourgeoise, et je maudissais le dingue qui avait inventé un uniforme pareil. Enfin, ma tenue n’était pas réellement ma préoccupation principale alors que j’entrai dans la classe qui allait m’accueillir toute une foutu année.

Ce qui arrive à mon troisième point : Je suis entourée de perverses. Doutzen, ma maitresse, je m’y attendais de sa part, mais elle m’avait déjà fichu dans les pattes d’un professeur perverse, cette Myumi. Celle-ci m’avait non seulement enseigné, mais s’était bien amusée à me coller un fichu plug dans mon pauvre petit cul, sans parler de cette invention diabolique à base de ventouses sur ma queue. Franchement, à m’incliner devant la classe, c’était une torture.

« Oui, M-… Senseï. » Corrigeai-je à temps en allant m’asseoir à côté de Doutzen.

Ah, la déformation du langage. Je m’assis avec un luxe de précaution, la faute à ce plug, plutôt carrément mal à l’aise à l’idée que les gens de la classe puisse comprendre ma situation. Il faut bien avouer que ces dernières semaines, et la situation dans laquelle je m’étais moi-même mise, était plutôt excitante. Mais tout de même. Si jamais j’avais une érection, là maintenant, aucune chance que la jupe la dissimule.
Autant dire que j’étais à la merci de Doutzen. Évidemment, ça stimulait inévitablement mon côté soumise, mais je n’étais pas une fichu exhibitionniste tout de même ! Déjà que Myumi scrutait mes réactions, je n’avais pas envie que pour ma première journée, tous les autres élèves apprennent que je me baladai le cul écartelé par un jouet. Quoiqu'il en soit, j’appréhendai réellement les intentions de ma maitresse, qui n’était jamais à court d’idées pour me tourmenter.

« Tendue, c’est le mot… » Murmurai-je à Doutzen, plutôt de mauvaise humeur et nerveuse.

Comme une élève classique, et comme j’en avais désormais l’habitude, je sortis mes affaires en lorgnant nerveusement sur les mains de Doutzen. Cette connerie de télécommande. Elle n’allait pas oser dès la première heure de classe… Elle en était bien capable pourtant ! Si jamais ma maitresse activait les ventouses à ce moment là, j’étais certaine de me taper un barreau pour le reste de l’heure.
Déjà que c’était vraiment limite à ce moment-là. Hé ouais, malgré ces dernières semaines, j’étais toujours aussi sensible quand on touchait à mes fesses, alors ce plug qui me malaxait, c’était ma limite. Je sentais déjà des picotements dans le bas-ventre. D’un coup, j’eus chaud. Je passais une main sur mon front, essayant de me concentrer sur le début du cours plutôt que sur cette épée de Damoclès prête à me tomber sur le coin de la figure.

« Maitresse… » Lui chuchotai-je discrètement. « S’il vous plait… Pas dès le début du cours… »

Doutzen Kroes:
Doutzen savait qu’Alix avait un gros fantasme, quelque chose qu’elle adorait : tout ce qui avait trait à l’anal. Une sorte de faille dans sa cuirasse de garçon manqué, et qui l’amenait très souvent à perdre le contrôle... Sans compter que Doutzen aimait bien la pousser dans ses derniers retranchements. Reto Kroes, son père adoptif, avait visiblement accepté sans peine le changement d’orientation d’Alix. Il n’était désormais plus question de l’utiliser comme esclavagiste, mais bien comme amante de Doutzen. Un statut un peu particulier dans un clan qui l’était tout autant. Reto était un membre de la Mafia russe, quelqu’un qui n’hésitait pas à abattre les gêneurs ou à les torturer. Au moins avait-il l’honnêteté de ne pas prétendre agir au nom d’un quelconque code d’honneur. Doutzen avait expliqué à Alix qu’elle avait un statut très particulier. Elle était le « petit Chaperon rouge » de Reto, chargée par lui d’utiliser son corps et ses charmes pour séduire les cibles de Reto. Des adversaires, des opposants potentiels... Elle obtenait des éléments sur eux, des moyens de faire pression, et les faisait chanter. C’était pour ça que Reto la formait sexuellement, avec l’aide d’une femme russe. En un sens, rejoindre Mishima avait été pour Doutzen une véritable aubaine, car cela lui avait permis de croître, de voir son désir sexuel augmenter considérablement, ainsi que son expérience en la matière.

La jeune Alix était donc là, dans une belle jupe, et Doutzen gloussa devant sa réaction, son regard se rivant sur l’arme mortelle que la jeune femme tenait entre ses doigts : la redoutable télécommande. Son pouce glissa doucement le long du bouton, tandis qu’elle réfléchissait au meilleur moyen de l’utiliser sur le corps d’Alix.

« Hum... Je ne sais pas, j’hésite. Tu sais, tu es beaucoup moins impressionnante dans ton sailor fuku, Alix... »

Elle ressemblait à une belle jeune fille avec ses cheveux bleus. Sans le sweat à capuche et le jean troué, forcément... Doutzen, de son côté, se pinça les lèvres par malice, et, au même moment, Myumi annonça plusieurs exercices à faire en trigonométrie. Doutzen ouvrit le cahier pour découvrir l’exercice cauchemardesque. En l’état, il était absolument impossible qu’Alix, qui commençait à peine à savoir lire, et à apprendre ses tables de multiplication, le réussisse. Doutzen, de son côté, ne rencontrait pas les mêmes difficultés, car elle avait toujours été éduquée, et avait suivi les cours. De plus, elle n’était pas qu’une jolie blonde, la femme était aussi très intelligente.

En fait, cet exercice n’était qu’un prétexte idéal, non pas pour humilier Alix, mais pour la torturer. C’était vil, certes, mais Doutzen n’était pas la Maîtresse pour rien.

« On va faire très simple, ma chérie... J’utiliserai ce petit gadget sur toi à chaque fois que tu trébucheras devant un exercice. Considère ça comme un petit plus pour t’améliorer dans ta formation... »

Ou juste un prétexte idéal, mais ça, Doutzen ne comptait pas le dire ! Ce qu’Alix devait sûrement savoir, c’est que, quand Doutzen avait une idée vicieuse en tête, lui demander de ne pas le faire était précisément le meilleur moyen de l’amener à le faire. Et puis, dès le début, Doutzen avait dit à Alix qu’elle ne rejoignait pas le lycée comme une lycéenne normale. Tout ça n’était qu’une couverture, un manège. Son véritable rôle ici, c’était ce qu’elle s’était engagée à être : son esclave sexuelle.

Doutzen appuya donc sur le bouton.

Alix Sable:
Ce cours promettait d’être une véritable traversée de l’enfer. Pourquoi avais-je signé pour cette galère ? A chaque fois que je me posais cette question, je me rappelai notre grandiose soirée où Doutzen m’avait retourné dans tous les sens, pour finalement jouer sur mes fantasmes et me faire accepter ce deal. Cela m’avait paru une bonne idée sur le coup. Là, avec ce jouet dans le derrière et ces ventouses sur la queue, l'idée me semblait beaucoup moins bonne.

Je n’allais tout de même pas commencer ma toute première année scolaire par une humiliation publique ! Quoique, à bien y réfléchir, tout était de ma faute. Parce que je l’avais accepté, et parce que quelque part… Ça m’excitait plus que de raison. Respire Alix, respire ! Le tout est d’éviter d’avoir une érection fulgurante, sans quoi cette petite robe d’écolière n’allait sûrement pas être capable de dissimuler ma trique. Quant à appeler la senseï au secours, ce n’était évidemment pas une option.

*Pense à quelque chose de pas sexy… Quelque chose, hmm… La vieille qui habite à côté de chez moi… Voilà… Ça s’est pas sexy…*

C’est avec légèrement plus de sérénité que j’ouvris mon cahier d’exercices, pour la perdre presque aussitôt. Je marquai un long d’arrêt. Etait-ce une formule magique ? Un pentacle d’invocation démoniaque ? Comment étais-je sensée comprendre un seul mot de cette horreur ? Les trois quart de ces sigles et de ces termes m’étaient inconnus. La simple lecture d’un article de journal me prenait un temps fou, avec une migraine hallucinante à la clé.

« Mais… Maitresse… Je ne peux pas faire ce… truc. »

Un complot ! Soit cela venait de Doutzen, soit c’était un coup de la senseï qui m’avait délibérément collé cet exercice sous le nez en sachant parfaitement que ce n’était pas dans mes moyens. Je trouvais que mes progrès en matière d’écriture et de lecture étaient déjà notables, mais là, on sautait carrément des étapes ! Ou alors, j’étais simplement en train de me faire avoir par ma maitresse. Encore une fois.
Pari gagné. Même pas le temps de protester que les redoutés ventouses commencèrent à vibrer sur mon pauvre sexe. C’est horrible. Les vibrations se répercutaient jusque dans le plug fiché dans mon petit cul, amplifiant encore davantage les sensations. Bien entendu, j’aurais dû m’en douter ! Mon engagement dans ce lycée n’était qu’un prétexte pour servir de petit animal de compagnie à Doutzen, et cet exercice n’était qu’une excuse de plus.

« A-atte-… AAAAAAH ! »

Surprise et incapable de me retenir, je poussai un cri à peine étouffé par ma main. Instantanément, toute la classe se tourna vers moi, et mon visage rubicond. Je serrai les jambes pour masquer juste à temps mon érection, et jetai un coup vers le visage de la senseï. Evidemment, ma réaction l’enchantait ! En attendant, je cherchai désespérément une justification pour ce cri inattendu avant que l’on se moque de moi.

« Je… Euh… Excusez-moi, je me suis… pincée avec les ciseaux. » Déclarai-je en gardant une main sur ma trousse, l’autre sur ma jupe.

Heureusement que les mensonges sont mon point fort ! Je me mordis discrètement la langue alors que cet abominable objet de torture aggravait mon érection. En serrant les cuisses, pensai-je, ça devrait aller jusqu’à la fin du cours, le tout est de ne pas jouir. Je me trémoussai sur ma chaise, essayant de conserver un air neutre malgré mes joues rougies et les murmures autour de moi. Avec ma facilité à mentir, c’était encore jouable ! Encore fallait-il que Doutzen ou sa complice n’empire pas ma situation déjà précaire.

Doutzen Kroes:
Quand Alix avoua son impuissance, Doutzen esquissa un léger sourire moqueur, ses yeux se mettant à briller malicieusement. Était-ce si surprenant ? La véritable surprise aurait été, au contraire, qu’elle trouve comment réussir ce périlleux exercice de trigonométrie ! Doutzen sourit donc quand Alix confia son échec, et hocha la tête.

« C’est évident. Tu n’es pas ici pour étudier, Alix, mais pour être ma petite esclave. Tu as oublié ? C’est notre deal… Et il commence… Maintenant ! »

C’était elle qui avait souhaité un deal à temps complet, être le plus possible l’esclave de Doutzen Kroes. Elle seule. Doutzen ne faisait qu’accomplir sa volonté, et, bien sûr, elle y prenait aussi son pied. Doutzen avait très souvent été à l’inverse d’Alix, subissant des cours de formation et d’endurance sexuelles. Tout avait été fait pour qu’elle devienne une amante redoutable, et, maintenant qu’elle avait enfin l’occasion de se venger, d’inverser la vapeur, elle comptait bien la saisir ! À aucun moment, Doutzen n’avait inscrit Alix dans l’espoir qu’elle puisse y faire quelque chose de normal. Elle n’était là que pour être l’esclave sexuelle de Doutzen et de ses amies, et, à ce titre, la jeune femme avait prévu tout un programme, qui se dévoilerait au fur et à mesure. Pour l’heure, elle symbolisa la première étape de leur relation… En appuyant sur la télécommande.

Les ventouses s’activèrent alors, diffusant des ondes, tandis que le plug anal se mit à vibrer, remuant dans le cul de la jeune femme, tournoyant sur place, comme une toupie furieuse qui continuerait à tourner tout en se cognant aux parois. Las, Alix avait encore besoin d’entraînement, car, dès que les appareils se mirent en place, elle se mit à hurler, amenant les regards à se tourner vers elle. Myumi interrompit même son cours, et, toute penaude, Alix avoua s’être pincée avec les ciseaux.

« Oh… Ma pauvre chérie ! » s’exclama Myumi.

Elle se rapprocha de nous rapidement. Ichtora-sensei était toujours assez proche de ses élèves, tranchant fortement avec le caractère solennel et très formalisé de l’institution scolaire japonaise, qui était encore très verticale. Elle nous rejoignit, et attrapa la main d’Alix, pour constater, bien rapidement, que ses doigts étaient parfaits. Néanmoins, Ichtora-sensei, qui était dans le coup, y vit l’occasion d’offrir à Doutzen l’occasion de tourmenter un peu davantage Alix :

« Ça a l’air de rien, mais il ne faut pas jouer avec ça. Kroes-san, puisque tu es la déléguée de classe, conduis Sable-san à l’infirmerie, d’accord ?
 -  Oui, sensei ! »

Doutzen se leva donc, et incita Alix à la rejoindre. Les deux filles sortirent donc, et Doutzen marcha devant, sans toutefois prendre la direction de l’infirmerie. Ses pas étaient légers, tandis qu’elle regardait à droite et à gauche, restant volontairement silencieuse. Dans ce genre de situations, il était préférable de laisser l’imagination d’Alix prendre le dessus, qu’elle envisage ce qui pourrait lui arriver, ce à quoi Doutzen pouvait songer en ce moment. Puisqu’il était évident que le séjour à l’infirmerie était du pipeau, c’était donc nécessairement que la belle blonde avait un autre projet.

La jeune femme s’arrêta à un moment, au milieu du couloir, et se retourna vers Alix.

« Bon, alors… Je croyais qu’Ichtora-sensei t’avait entraîné mieux que ça… Si tu te mets à hurler à chaque fois, tu ne risques pas d’être une très bonne esclave, tu sais ! »

N’importe qui pouvait ouvrir une porte et les surprendre. Pour autant, Doutzen poursuivit, en regardant la jupe d’Alix, puis se baissa brusquement, et tira sur cette dernière, libérant sa trique.

« Hmmm… Tu as de la chance d’avoir une Maîtresse gentille, Alix… Vraiment beaucoup de chance ! »

Elle caressa alors ce membre avec sa main, puis alla le prendre ensuite en bouche, venant pomper son dard, là, au beau milieu du couloir…

C’était à se demander si Doutzen avait la moindre pudeur !

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

Utiliser la version classique