Plan de Terra > Territoire de Tekhos

Echange de bons procédés (Grayle-Enmoïra)

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Enmoïra Liavaris:
Elle cédait oui, elle en voulait plus à chaque seconde qui s'écoule, sa main la rend folle, elle voudrait presque qu'il la déplace un peu, vers le centre de ses cuisses, qu'il caresse sa fente... Son énorme clitoris aussi... Elle secoua un peu la tête pour chasser ses idées, c'est un humain, elle ne doit pas avoir de relation avec, c'est sale ! Elle devait tenir quelques jours, là elle est en pleine réunion d'affaire avec les humains de cette ville... C'est important, elle ne doit pas céder à la luxure maintenant, surtout pas ici, tout le monde risque de la voir ! Enfin à vrai dire peu de gens la regardent ici, la plus part son raciste, mais les hommes animaux eux par contre... Sentaient surement son besoin, ses chaleurs et voulaient certainement la prendre, mais vu leur position ici, ils ne tenteront rien.

- Mais... hmm... non, je...

Elle sentit sa main tirée et se penche en avant, pour l'aider, car elle a le bras long, mais quand même, le bassin humain est un peu plus bas que le sien, elle peut tout juste l'atteindre sans se pencher un peu. Elle sentit alors ce qu'il voulait qu'elle découvre, une énorme érection, bien dure, bien chaude, son pénis était impressionnant. Bon, face à un centaure ou un cerf c'est ridicule. Mais pour elle qui n'a rien de mieux à portée de main, littéralement... C'est une grosse tentation qu'il lui offre ! Elle mouille encore plus fort, elle entend sa proposition et l'entend chuchoter un plan pervers... Elle regarde vite autour, sent les doigts sur son sexe trempé, son clitoris était gonflé par l'envie...

- Ahh, mais on va nous voir... je... je la veux... s'il vous plait...

Elle craquait totalement, elle caressait le pénis sans s'en rendre compte, prenant connaissance de la taille de la chose, au pire elle avait un sortilège pour cela... Il sera aussi gros qu'un cheval... Ça serait trop bon, mais on va les voir... Retourner dans le bâtiment ? Il y a des caméras... dans les escaliers ? Oui les escaliers, elle pourra se metteur sur le pallier et lui usera des marches pour être à bonne hauteur... Il la prendra avec violence et lui défoncera la chatte ! Mais elle ne lui a rien dit encore, elle a juste pensé à cela à cause de la perversion qui l'envahit.

Grayle le pérégrin:
Il se mit à sourire. Après une femme qui jouit, la plus belle chose au monde était sans doute une femme cédant à la luxure. La bichetauresse faisait peine à voir. Il y a à peine quelques minutes, elle faisait une conférence en public, sereine et concentrée. Et maintenant, elle était en train de le supplier de la prendre tout en caressant sa verge... il aodrait ca. Quel dommage que le humaines n'aient pas de chaleurs ! Mais c'est ce qui rendait les terranides et assimilées plus intéressantes...

Il continuait de caresser la bichetauresse, et regarda autour de lui, avisant un endroit où ils pouvaient être tranquilles... les escalier de secours ! Il y avait peu de chance que quelqu'un les emprunte, à moins de, comme eux, vouloir un petit coin tranquille pour copuler...

" Suivez moi." dit-il en la prenant par la main, l'entrainant à sa suite. Heureusement, les escaliers de secours étaient cachés du reste de la soirée par un long rideau de tissu orangé. Il ouvrit la porte et, la main sur la croupe d'Enmoïra, la fit entrer, avant de fermer la porte. Ils se retrouvèrent dans une semi-obscurité et restèrent ainsi, quelques secondes. Silencieux, l'un en face de l'autre, leurs respirations lourdes, hésitants. Puis, ils se sautèrent dessus. Il s'embrassèrent à en perdre le souffle, les langues jouant l'une contre l'autre, alors qu'une des mains de l'homme pétrissait la généreuse poitrine de la créature. Collés l'un contre l'autre tout en se frottant, ils continuèrent ainsi pendant une bonne minute avant de se séparer, un filet de bave et de salive reliant leurs deux bouches.

Sans dire un mot, Grayle déboutonna son pantalon, puis le laissa tomber à ses pieds, suivi de son boxer. Son sexe était dur et brûlant, pulsant d'envie et tremblant d'excitation. Large, épais et veineux, ils semblait trop gros, presque grossier sur le gabarit de Grayle. Il vit les yeux de la bichetauresse pétiller d'envie.

" Retournez vous... " dit-il en joignant le geste à la parole et en la forcant à lui tourner le dos. Ele avait avancée sur les marches de l'escalier, son bassin pile à la bonne taille pour lui. Il ne la pénétra pas pour autant, ho non... il se contenta de la doigter, avec l'intégralité de sa main, caressant et torturant son clitoris gonflé, jouant avec ses lèvres intimes, nageant dans un océan de mouille, caressant sa croupe avec son autre main. Ses doigts bougeaient avec un synchronicité parfaite, caressant, frottant, appuyant, tirant chacun à son rythme, domptant peu à peu les réactions de la femelle. Gémissant sans se retenir, elle dégoulinait litérallement, au grand plaisir de l'homme qui s'amusait comme un fou avec elle. Enmoïra allait vouloir plus, c'est sûr... mais pour l'instant, il voulait voir à quel point il pourrait la rendre folle avec juste ses doigts, tandis que son sexe gonflé frottait doucement contre sa croupe....

Enmoïra Liavaris:
Bon sang oui ! Oui ! Les escaliers ! Il était malin, il avait deviné lui aussi quel serait le meilleur endroit pour lui défoncer la chatte ! Enfin non, ce n'était plus une chatte à ce stade, c'était une espèce de grotte sous-marine mise à la surface et se vidant de son liquide ! Un liquide délicieux, collant, chaud, un peu visqueux et épais. Tant, que si on écartait les parois on verrait des fils se former avec cette substance collante ! Elle le regarde, et le suit alors discrètement vers le drap orangé qui cache l'entrée des escaliers. De toute façon les gens pouvaient venir par l'ascenseur, et ce n'était qu'un escalier de secours ! Elle y pénètre donc avec lui, faisant attention à ne pas tomber. Le palier n'était pas énorme, elle alla vers la droite, descendit quelques marches, puis tourna son regard sur lui.  Elle sent toujours sa main qui ne l'a pas quittée, bon dieu, ils vont le faire ici ?

Dire qu'elle venait de faire son discours, tout le monde sait qui elle est ! Heureusement que personne ne sait où elle est à cet infant ! Elle respire vite et chaudement, elle pointe, elle se sent à l'étroit dans sa petite tenue, aussi elle retire le soutien-gorge en feuille qui couvre sa poitrine. Elle le laisse tomber au sol, tendis qu'elle sa main allez sous le paréo ! Elle rougit, se retourne alors lentement et avec prudence toujours, elle le voit approcher et en contre bas elle arrive à l'embrasser. Un baiser pervers, qu'elle reprend plusieurs fois jouant avec sa langue, Bon Dieu oui, il va la baiser ! Il va la baiser ! C'est tout ce qu'elle a en tête à cet instant, l'image de cet homme bien membré qui va la baiser sauvagement !

Elle termine donc les baisers, puis le sent encore pétrir sa grosse poitrine dont les tétons sont en érections ! Le sentant contre elle, elle gémit encore et sent sa poitrine, elle aussi respire vite et est en sueur ! Elle s'en fiche, elle le regarde tranquillement, un filet de bave coulant entre eux, elle se retourne alors encore, lui tendant son bassin et lève la queue ! Elle a la chatte qui dégouline vers le sol, des fils de mouilles coulent lentement ! Elle attend qu'il la prenne ! Il n'avait même pas eu à lui demander de se tourner preuve qu'elle en voulait ! Elle attend donc impatiemment de le voir venir en elle ! Gémissant et agitant la queue, elle s'accroche à la rampe et au mur, ça va être si bon !

Elle l'attend donc, silencieuse, anxieuse, le souffle court en devinant ce qui va lui arriver ! Elle sent donc la caresse, puis les doigts à l'entrée de sa grotte, non son gouffre aux plaisirs ! Elle attend, sent qu'il touche aux lèvres, puis au clitoris et elle pousse un petit gémissement ! Sa chatte, enfin plutôt cet orifice abject profond et dégoulinant qui lui sert de chatte, convulse et semble ne demander que ça ! Toute sa main caressait, touchait son orifice gluant et collant de plaisir ! Il peut prendre tout son temps, semble-t-il, car elle adore cela ! Elle gémit, gigote un petit peu et sent bien qu'il fait de son mieux ! C'est ce qu'elle veut, sentir qu'on prend soin de son "petit" problème !

- Ahh monsieur Grayle... hmm... bon sang, cessez de me taquiner ! Ohh, oui là, touchez là, oui mon clitoris ! Ahh oui comme ça !

Dit-elle en gémissant se crispant les mains et doigts sur le mur ! Elle a trop bon ! Elle gémit et son clitoris enfle d'envie lui aussi ! Elle en veut plus, elle veut toute la main, le bras, oui le bras dans sa chatte !

- Ahh s'il vous plais, mettez-y le poing, n'ayez pas peur...

Enfin si quand même, car elle risque de se contracter trop fort et lui briser un ou deux os... Enfin heureusement elle ne semble pas du genre à faire une vaginite aigüe durant les relations !

Grayle le pérégrin:
Elle réagissait encore mieux que ce à quoi il s'attendait. La bichetauresse était littéralement à sa merci, bavant et gémissant sous ses doigts agiles et experts. Elle tendait sa croupe vers lui, dégoulinante d'envie et de fluide. Sa chatte large était brûlante, lui donnant l'impression de faire entrer ses doigts dans un sauna. Alors que le clitoris gonflait, un deuxième doigt vint le caresser, coincant l'endroit sensible entre eux, le faisant rouler en permanence, l'appuyant et jouant avec comme seul un immortel sait le faire. Voir ce corps étrange et inhumant s'agiter était absolument adorable... oui, baiser des créatures comme elle était définitivement ce qu'il y avait de mieux dans la vie. Lorsqu'elle lui demanda de faire entrer son poing, il se mit à ricaner.

- Peur ? Je n'ai pas peur pour moi ma belle...

Mais, comme pour accéder à sa demande, il fit entrer tous ses doigts en elle, et il la sentit frémir et s'agiter. Elle tapait parfois le sol de ses sabots d'impatience et l'entendit étouffer de justesse un cri aigüe.

- J'ai peur que le monde entier t'entende jouir... ce serait dommage n'est-ce pas ?

Il continuait de la doigter, de la fourrer presque, avec fureur, s'arrêtant lorsqu'il la sentait sur le point de jouir. Il connaissait les terranides en chaleur, et il n'y avait rien de plus facile que de les rendre folles.

- Te voir en train de te faire bourrer le cul par un humain... avec du sperme partout entre tes pattes et ta poitrine... ce serait... il enfonca l'intégralité de son poing en elle mal vu hein ?

Il le retira à moitié, avant de le ré-enfoncer. Il ne fallait pas "trop" la satisfaire. Il voulait la frustrer pour qu'elle mange dans sa main et accepte de faire tout ce qu'il demande. Il était vraiment chanceux d'être tombé sur elle pendant sa période de chaleur... elle allait être incroyablement facile à manipuler...

Sans prévenir, il enfonca l'intégralité de son avant bras, poing fermé, en elle. Il toucha le fond de son con, écartant ses chairs intimes.

Oh, la suite à venir allait être grandiose...

Enmoïra Liavaris:
Oh il touchait enfin son clitoris, et avec un talent incroyable pour un si jeune homme ! Elle bavant encore et adorait cela. Sa chatte brule toujours d'envie, et même si ça bite ne suffira pas, les bras... Oh oui elle veut ses bras, elle penche toujours en avant dans ces escaliers, sa vision remplie d'envie perverse. Elle attendait donc de sentir sa main, doigt par doigt ! Au moins il n'hésita pas et enfonça tous les doigts, ce qui la fit se crisper un peu et agiter sa petite queue ! Frémissant la petite biche le laisse continuer et gémit de plaisir, c'est si bon ! Bon Dieu ! Elle en voulait encore plus ! Elle l'écoute donc un peu honteuse, tout le monde va l'entendre ? Ah ! Non ! Il faut éviter cela à tout prix ! Et d'ailleurs, pourquoi il fait son travail à moitié ? Elle mouille comme une grosse chienne, ses doigts doivent glisser tout seuls tellement c'est humide.

- Hein, le... le cul ? Kyaaaa !

Et bim ! Elle se prit son poing entier dans la chatte ! Bon, ça ne la fera pas jouir, mais c'était si bon ! Son idée est horrible en tout cas, horriblement plaisante ! Enfin après tout, ce n’est pas comme si une petite bite d'humain allait la rendre folle... Hmm, Bon Dieu ce poing qui va et vient ! Elle bave encore et sentit enfin tout le bras, portant vite les mains au visage elle étouffa un grand cri de plaisir en ouvrant grand les yeux. Elle va mourir d'envie !

- Ahh, pitié, faites-moi jouir ! Arrêtez de me faire attendre, hmm ! On verra pour le re... reste ! Han oui bon sang, ma chatte !

Elle n'allait plus du tout tarder à jouir, au mieux dans une minute, au pire dans les secondes à venir s'il continue aussi fort !

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