Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

[[

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

[[

2624 4

Wenoy

Invité

  • Messages:

[[

mercredi 04 juillet 2018, 20:22:39

.
« Modifié: mercredi 01 novembre 2023, 21:42:57 par Kõya Breathless »

Pere_Yves

Humain(e)

Quand tu donnes, tu dois donner de bon cœur - [PV]

Réponse 1 mercredi 04 juillet 2018, 23:01:15

Triste journée, aujourd'hui. Cérémonie funèbre pour Paul Hersant, le doyen de la communauté française de Seikusu. C'était devenu un proche ami ; après m'avoir aidé à m'installer et à prendre mes repères, lorsque je suis arrivé , il m'a ensuite introduit, si l'on peut dire, auprès de délicieuses créatures, peu farouches dès lors qu'on était parrainé. Mon seul regret est de ne pas lui avoir avoué, avant sa mort, que sa jeune épouse était une vraie perle, intimement aussi. Mais, pas envie de consoler la veuve joyeuse, ce soir.

L'église s'est vidée, ce soir. Le soleil descend à l'horizon, très éclairé encore. Hormis la journée particulière, j'aime ces moments, où la ville s'endort, où les bruits s'estompent. La bâtisse n'est ni entourée du brouhaha quotidien, ni perdue dans la campagne. Tout est équilibre, au contraire de mes aventures féminines, assez hétéroclites. Entre les chaudes lycéennes de Mishima, vraiment le feu au cul, et les grenouilles de bénitier qui crient « je jouis ! » dès que je frôle leur jupe, je songe, parfois, qu'une femme simple, à la présence plus assidue, embellirait mon quotidien, sans que Rome n'en sache rien.

22 heures ont sonné, je ferme l'une des grandes portes, mais je remarque que sont restées allumées trois bougies, au pied de la statue de Sainte Rita. Je suis très attentif à cela, tout doit être éteint chaque soir. J'y cours, éteins ces dernières lueurs, me signe. Oui, la solitude, souvent à cette heure, me pèse, et ce ne sont pas les quelques lycéennes qui ont égayé mon lit, dans la sacristie, qui comblaient cette solitude. Pourtant, ce soir, un bruit me saisit, comme un flottement léger, suivi d'un choc sourd. Parfois, certains oiseaux se cachent dans les étages, peut-être eux...

Mais, en revenant vers la porte, je vois une masse au sol, un humain recroquevillé, sans doute le vieux Hironiko qui, certains soirs où le cafard lui a fait ingurgiter quelques bouteilles, cherche un dieu à qui se vouer, au moins pour la nuit. Combien de fois l'ai-je déjà relevé, porté ou plutôt traîné, pour l'allonger sur un banc jusqu'au lendemain ?

Mais, là, il ne porte pas sa tenue habituelle, grise et élimée. Plus j'approche, plus je réalise ma méprise. Une femme ! Une jeune femme ! Pieds nus. Accrochée, comme elle le peut, au battant de porte déjà fermé. Et je devine, sous le léger éclairage du porche, des habits trempés. Vite ! L'autre battant, je le ferme. Elle respire vite, elle semble à peine tenir debout.
"Accrochez-vous à moi !", je prends son bras, le passant au dessus de mon épaule, la soulève, très légère, comme si elle n'avait pas mangé depuis un moment. Ses vêtements sont, en effet trempés, et mon sobre habit sacerdotal n'est pas vraiment étanche. Mais peu importe ! Je parviens à la porter jusqu'à la sacristie, la dépose sur le vieux canapé.

Elle tremble, elle est livide. Je remonte le chauffage. Je ne la connais pas, mais elle ne doit pas rester comme ça. Je prend vite deux serviettes restées au chaud sur la vieille cuisinière à bois, et lui en tamponne visage et cheveux. Elle n'est pas évanouie, mais semble sans réaction.
Je dois la sécher toute entière, je dégrafe le haut de sa robe, et, ô Dieu, oui je blasphème, mais ces seins, quels seins ! Une de ces paires de globes comme il doit en exister peu, une œuvre d'art de la Création. Ils sont humides sous le tissu ; sortant de ma béatitude, je les essuie aussi, son dos ensuite. La robe est à sa taille, il faut que je continue, pour vraiment la sécher. Mais ai-je le droit ?
"Oh Dieu, je ne fais qu'oeuvre de charité", et, soulevant ses fesses du canapé, je fais glisser la longue robe trempée, jusqu'au sol. Eh ben, je vais de merveilleuses découvertes en délicieuses découvertes!

Pere_Yves

Humain(e)

Quand tu donnes, tu dois donner de bon cœur - [PV]

Réponse 2 jeudi 05 juillet 2018, 07:14:37

Dieu ! Zut, encore un blasphème, pardonnez-moi. Mais quel joli spectacle, des jambes si graciles chez une jeune femme qui n'a pas l'ait d'être du monde. Fines, joliment dessinées, l'impression d'être infinies, galbées juste comme il faut. Je commence à les essuyer, pour détourner mon regard de cette jolie petite culotte, bien loin des dessous sexy des bourgeoises locales ou des strings à ficelle des lycéennes avenantes. Mais mon regard ne s'en détourne pas longtemps... car l'inconnue glisse elle-même cette culotte jusqu'à ses genoux.

« Mais... » parviens-juste à dire, en apercevant cette intimité, cette chatte, ce sexe quoi. Une œuvre, oui une œuvre. Cacher cela sous de tels habits, c'est comme recouvrir la Joconde par une croûte de Jean-Patrick Duhideux !

J'essuie du mieux que je peux ses jambes, ses cuisses bien galbées juste comme j'aime. Je ne dois pas approcher ce lieu de tentation. Et pourtant, je sens une trique se dessiner sous mon pantalon ! « Vous permettez ? ». J'essaie de me concentrer, je fais glisser sa culotte de ses genoux à ses pieds, et l'ôte, la posant sur la petite table, devant la cheminée. Hum, sentir ce tissu dans ma main, savoir qu'il est imprégné de certains fluides très intimes, mon excitation ne s'apaise pas vraiment.

Je commence à passer une autre serviette sur ses mollets, ses pieds fort jolis, j'essaie de ne pas penser, mais je n'y parviens pas. La posture accroupie, devant le vieux canapé où elle est allongée nue, renforce ce sentiment qu'une de ces érections est en train de se dresser.

Soudain, un gros bruit, venant de l'église. Et l'inconnue qui me regarde de ses yeux d'une pureté absolue : « Aidez-moi ! » Je me lève, aussitôt, mais trop tard pour masquer la bosse qui distend mon pantalon. « Restez là, je vais voir ! ». Il faut que j'arrive à distraire cette folle envie que j'ai de me jeter sur ce cadeau tombé du ciel. Merci Dieu ! Je fais quoi, maintenant ? J'éteins la lumière de la sacristie, seul le feu de bois éclaire la pièce, la réchauffant avec la complicité de la vieille cuisinière. « Pas un bruit ! », lui dis-je tout bas, entendant un gros raffut qui vient de la porte.

Cette église, je la connais par cœur. Ses recoins aussi, ses dangers aussi. Derrière la chaire aux sermons, j'attrape la vieille barre de fer, comme dans je ne sais plus quel film.
Le vitrail du prie-Dieu me renvoie une ombre, un colosse, une silhouette recourbée presque difforme. Comment est-il rentré ? De loin, je visualise les portes fermées ; il a dû refermer pour être tranquille. Il a un truc en main, je ne sais pas quoi, comme une sorte de grand sabre on dirait. Je sais déjà où il va passer, je monte doucement dans la chaire surélevée. Ouf, le vieil escalier n'a pas grincé ! J'attends, la barre serrée par mes mains.

Le gros lourdaud avance, bruyamment, trop sûr de lui. Il se heurte à une chaise, s'arrête grommelant, juste à portée. L'église résonne du bruit sourd que fait mon bout de fer en heurtant la tête. Bizarre ce bruit, c'est comme s'il avait un casque. Mais j'entends distinctement des bruits, des craquements, des choses qui se sont disloquées dans la tête. "Pardon, Seigneur, mais je devais la protéger". Un nouveau bruit se lance en échos, une masse qui s'écroule sur le sol. Et puis le silence, à nouveau.

Pas de temps à perdre, ça a fait de l'effet. Pas le temps de savoir qui c'est, elle était en danger. Encore fort pour mon âge, je parviens à faire rouler le je ne sais quoi, jusqu'à la porte arrière, bon allez trois mètres à peine. Je ne sais pas pourquoi, mais l'église a une porte donnant sur l'étang directement ; l'ancien prêtre devait aller pêcher, sans doute. J'ouvre la porte, un peu saisi par la fraîcheur, et un plouf sonore atteste de la mission bien accomplie. Je peux retourner vaquer à mes occupations antérieures.

Direction la sacristie. En ouvrant doucement la porte, pour ne ps l'effrayer, j'annonce fièrement « mission accomplie, individu neutralisé ». Mais, allumant juste les petites lumière latérales, c'est un simple « Oh ! » qui sort de ma bouche.

Pere_Yves

Humain(e)

Quand tu donnes, tu dois donner de bon cœur - [PV]

Réponse 3 jeudi 05 juillet 2018, 22:36:23

La vue est magnifique quand j'entre dans la sacristie, plus encore qu'une apparition de la Vierge. Je ne sais qui est cette inconnue, ni d'où elle vient, mais les lueurs du feu de bois, qui dansent sur sa peau nue, sont un si beau spectacle, faisant des volutes autour de ses seins aux rondeurs superbes, comme glissant aussi si près de son intimité si délicate. Je ne sais pas davantage qui est l'autre qui a fini dans l'étang, mais au moins ne viendra-t-il pas gâcher mon plaisir visuel.
"Merci beaucoup, pour ce que vous avez fait ! Je ne sais comment vous remercier ! Vous m'avez sauvé la vie, sans vous cet homme m'aurait fait du mal."
A l'écouter, j'ai accompli un exploit, peut-être un miracle me dis-je.
« Oh, je n'ai rien fait d'exceptionnel. Mais je ne comprends pas comment on peut vous vouloir du mal. Vous êtes si... si... euh... douce ».

Elle passe devant moi, et, avant qu'elle ne s'allonge, je peux admirer la courbure de ses fesses. Une œuvre, là aussi ; rien de trop ni de trop peu, juste ce qu'il faut. Tout cela fait d'elle ce que j'ai vu de plus beau, ce mélange naturel de beauté et d'innocence... qui recommence d'ailleurs à rappeler à mon bas-ventre qu'on ne laisse pas ainsi une femme nue, quand on est seul avec elle.
Allongée sur le canapé, presque abandonnée, elle m'offre un si beau spectacle. Il en est d'autres que j'ai déjà baisées, étendues là, mais aussi vulgaires dans leurs dessous de putes qu'est délicate mon inconnue dans sa nudité intégrale. Je ne sais si elle réalise le spectacle qu'elle m'offre, les courbes de ses seins si joliment dessinées, son intimité même pas voilée.
Soit elle est plus ingénue qu'on ne peut l'imaginer, soit c'est un jeu étrange et surtout morbide pour l'autre dans l'étang, soit c'est une forme de drague pour piller les troncs ou pour passer la nuit au chaud.
Et les questions affluent en moi, quand elle ajoute :
"Dites-moi comment je peux vous remercier, j'insiste vraiment !"

« Ma chérie, si tu savais somment tu peux me remercier. Tu n'a rien à faire, juste à te laisser faire ». J'ai envie de lui répondre ça, mais ne rien brusquer. La porte de la sacristie est fermée, et j'espère qu'aucun autre intrus ne viendra nous importuner. Si tout va bien, elle devrait rester ici toute la nuit. Donc, patience !
« Prenons d'abord soin de vous. Voulez-vous vous rafraîchir dans un bain chaud ? Voulez-vous dîner, car vous me paraissez si maigre ? N'avez-vous pas froid, ainsi nue ? »
Oh le mot qui me fait mal ! Elle est nue, et, arrêtons de tergiverser, elle m'excite. Bon, un prêtre n'a pas le droit de penser ça, de dire ça, de faire ça. Mais bon, Dieu m'en a déjà tellement pardonné, qu'il ne verra aucune gêne ce soir non plus. Je vais prendre mon temps, mais voilà vraiment une jeune femme avec laquelle j'aimerais plus qu'un dîner courtois.

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Quand tu donnes, tu dois donner de bon cœur - [PV]

Réponse 4 vendredi 06 juillet 2018, 00:19:56

"Je dois vous dire que tout cela me fait tellement envie ! Ça serait encore abusé de votre générosité. Mais... Je ne vous cache pas cas cet instant que j'ai un petit creux..."
Voilà bien la première qui, nue, sans même remarquer qu'une bosse essaie de demeurer discrète sous mon triste habit clérical, me demande à manger ainsi !
"Et si vous avez des vêtements secs cela ne me dérange pas, le temps que ma robe sèche... Après si vous n'avez rien pour une femme ce n'est pas grave un simple voilage me suffira."
Ca me soulage presque, cette réponse dans la normalité !

« Attendez, je vais voir ! Certaines paroissiennes viennent parfois ici pour... pour... pour se changer, voilà, quand elles ont, enfin quand il faut quoi. »
J'ouvre aussitôt l'armoire à côté du canapé. Aïe, ça commence fort, une minijupe noire plissée, celle que j'avais offerte à Kimiko, et qu'elle m'avait jetée au visage. C'est neuf, a devrait aller, et ce sera mieux que la sinistre longue jupe de Madame Roubeyraud, qu'elle a laissée ici, lorsqu'elle est partie exprès dans l'église, nue sous son manteau. Ah, cette vision, mais bon, ce n'est pas le moment de ressasser.
Côté culottes, ben il y en a plusieurs ; elle va se demander ce que ça fait là. J'en sors, de tailles et de coloris divers, n'osant pas m'aventurer sur son tour de taille.
"Et ne vous inquiétez pas je porte tout ! Je ne connais pas trop la mode d'ici..."
Je ne sais pas d'où elle débarque, mais c'est vraiment étrange. Coup de bol, je trouve un petit chemisier blanc, je ne sais même plus pourquoi il est là, mais ça devrait lui aller je pense. En tout cas, ça risque d'épouser la forme de ses seins !
Justement, traînent aussi quelques soutien-gorges dont je ne saurais expliquer la provenance. Après tout, ils datent peut-être de mon prédécesseur. Il était très liant, lui aussi, paraît-il.Sans doute est-ce aussi de sa collection, ces deux paires de chaussures à talons, que je sors également.
« Voilà, dans tout ça, vou devriez trouver votre bonheur. »

"Je vivais dans un village reculé, tout le village se débrouillait comme dans l'ancien temps ! On cultivait la terre, la chasse et on faisait nous-même nos vêtements... Puis j'ai décidé d'explorer le monde. Alors je m'excuse d'avance, je ne connais pas tout d'ici, mais j'ai envie d'en apprendre plus. Je ne sais même pas comme je dois vous appelez, vous qui habitez dans l'église."
Bon, là, je crois qu'il ne valait mieux pas ajouter ça. Elle me mène en bateau, ce n'est pas possible ! Le Japon est un pays évolué, en avance même ; il ne traîne pas encore, dans ses campagnes, des familles non civilisées, enfin plutôt pas au fait de la civilisation.

"Et après tout cela vous me direz vraiment comment vous remercier ! Je n'oublie pas, vous en fait toujours plus pour moi, je vais vous devoir de plus en plus de chose !"
Alors qu'elle se redresse, ses seins se dressant fièrement tout comme autre chose de dresse de plus en plus, je préfère faire diversion, avant de perdre tout self control.
« Je vais vous préparer de quoi dîner. Si vous avez un souci avec les habits, dites-le moi ».
Et je tourne les talons, face à la cuisinière. Mais la sacristie, c'est avant tout une pièce principale, en sus de la chambre. Et, dans cette pièce principale, cuisiner en entendant une jeune femme manipuler des habits, juste dans son dos, c'est mauvais pour la concentration.


Répondre
Tags :