Ruelle malfamé et tentacules [PV : Okooko]

Chantonnant gaiement, les semelles de mes chaussures à talons percutant le pavé en pierre, je m'enfonçais dans les quartiers les plus malfamés de nexus sans crainte. Naïf ? Peut-être un peu, mais surtout bercée d'un excès de confiance. Lorsque l'ont est trop jeune, on s'imagine le monde à portée de mains, être capable de faire face à chaque situation sans aucune effort, d'autant plus avec des pouvoirs magiques en sa possession. Bien sure, l'inévitable se produisit bien vite et il ne fallut que peu de temps avant de me faire encerclée dans une ruelle, sous les quelques gouttes de pluie. Il ne fallait pas compter sur quiconque pour venir en aide à autrui ici, même pour une mignonne jeune fille telle que je l'étais !

Hé ma mignonne ? on s'est perdue ? C'est pas des allées pour les jeunes filles ici.

Inutile de reculer, 3 autres hommes couvrent l'arrière de la rue, avec les deux d'en face, ça fait 5... Pas vraiment à mon avantage... en apparence du moins.

Au fait... je comptais juste traverser ce raccourci pour arriver au magasin de magie à l'heure. Vous comprenez n'est-ce pas ? Mhh... Non vous ne comprenez pas... j'aurais essayé

Levant un sourcil vers le ciel et un petit air hautain sur ce visage si mignon, je commence par envoyer valser les 3 hommes à l'arrière d'un revers de main, une base en terme de magie élémentaire qu'était cette petite bourrasque. Ne comprenant pas ce qui venait de se passer, le grand gorille qui me parlait plutôt se jette sur moi avant que je ne lui barre la route sur une magie végétale, cette fois-ci. Ouf, c'était moins une, si j'étais une apprenti magicienne douée la lutte au corps à corps aurait vite eu raison de ma médiocrité au combat rapproché. Le dernier, accablé et figé devant cette scène n'ose bouger.

Toi, sorcière ! espèce de sa...

Il fallait taire les vilains mots, l'homme encore sous l'emprise des liens végétale voit sa bouche scellée, son corps allongé de force au sol tandis que j'y écrase de la façon la plus humiliante possible ma chaussure à talon sur le visage, remontant d'un geste délicat de l'index, mes petites lunettes qui avaient quelques peu bouger lors de cette agitation.

Et là et là... c'est pas beau de s'attaquer à une jeune fille sans défense... aussi mignonne que moi en plus... vous devriez avoir honte. Un clin d'oeuil nargueur, c'est là le seul cadeau que celui-ci aura de moi maintenant que j'étais sortie d'affaire... à moins que ?

A moins que quelque chose d'autres ne se terre dans ces ruelles ? Derrière cette bataille, plusieurs poubelles métalliques tombent sur le sol à m'en font sursauter. A droite, puis à gauche, la petite rue est vite balayée du regard m'assurant que ce n'était rien. Mhh peut-être bien seulement un rat ? J'avais pourtant ce sentiment étrange, cette terrible sensation d'être observée comme le prochain repas d'une bête féroce. Y captiver trop d'attention était une erreur de ma part et ce n'est que lorsque la violente poigne de deux bras musclés entoura mon ventre que je venais de me rappeler de quelque chose. Il en restait un... Un à qui j'avais stupidement tourné le dos ! Et maintenant ? J'allais surement être passée à tabac dans cette ruelle... si je m'en tirais bien. Car la différence de force physique était incontestable et la pression si forte que j'en étais estomaquée. Haletante, incapable de respirer à plein poumon et encore moins de prononcer le moindre mot, incanter une formule magique était devenu impossible...

La Terre n’était pas un terrain de jeu très sûr pour des sorties diurne, Okooko préférait donc passer ses journées sur Terra afin de s’amuser, ce jour là elle avait jeter son dévolu sur Nexus, cette grande ville fourmillante était parfaite pour elle. Elle avait une envie folle de soulager ses envies, cela arrivait rarement à ce point mais à force d’accumuler les conquêtes masculines dont elle absorbait le précieux fluide, elle commençait à déborder et devait évacuer le trop plein, ce qui la rendait bien plus malicieuse qu’à l’accoutumer.

Alors qu’elle se promenait dans les bas quartiers de la grande ville, elle entendit du chahut, sans doute une énième bagarre d’ivrogne ou quelque chose du genre, cela ne l’intéressait que peu car elle n’était pas à la recherche de partenaire mâle mais femelle. Néanmoins, elle décida de quand même aller voir et grand bien lui en pris, c’était effectivement une bagarre mais c’était une demoiselle qui était prise à partie, une magicienne au vue de la manière dont elle se débarrasser des gêneurs. Elle ferait l’affaire pour Okooko qui commença à s’approcher tout en restant un peu cacher, faisant reprendre à ses bras leur apparence normale et approcher ses tentacules de la cible. Cependant, elle avait oublier de se débarrasser d’un de ses agresseurs qui s’était jeter sur elle.

La demoiselle extraterrestre gloussa et enroula donc ses tentacules autour de l’homme ayant agrippé sa cible, le faisant crier d’effroi en sentant ces membres très spéciaux serrer son corps de partout, ce qui lui fit lâcher prise et Okooko l’envoya voler au loin, il ne fallait pas sous-estimer la force de ses tentacules. Une fois ceci fait, elle envoya ses tentacules se glisser autour des cheville de la magicienne alors qu’elle s’approchait en gloussant :

« Hihi, tu veux jouer avec moi ? »

L'instant était critique, la respiration coupée et dans l'incapacité de formuler le moindre sons je me voyais déjà dans de beau draps. J'essayais bien instinctivement de crier à l'aide mais ma bouche s'ouvrait pour ne laisser échapper qu'un piètre et faible sons, c'était la fin... La fin ? Peut-être pas. Alors que je ferme les yeux, l'espoir perdu, celui-ci semble renaitre lorsque je tombe lourdement sur le sol, tenant une main contre mon ventre et respirant à une vitesse folle, une main contre le bas ventre. Qu'il est bon de respirer librement, de ne plus sentir la pression écrasante du bras musclé pressé contre l'abdomen. S'en est si enivrant que j'en prendrais presque un visage déformé par le plaisir, à deux tentacules près.

Hé... Hein... Quoi ?

Si j'avais eu tendance à l'oublier, trop concentrée sur mon souffle, le mal-intentionné n'avait pu volé seul. Et cette étrange sauveuse qui n'en était au final peut-être pas totalement avait décidé de s'en prendre à sa prochaine victime... moi. Bien sure, il ne fallait pas compter sur les quelques rescapées de mon attaques qui, assistant à la scène, s'éclipsaient en hurlant de terreur.

Hé bande de lâches, revenez m'aider ! Je suis beaucoup trop mignonne pour mourir !

Comme si ils allaient m'aider, de toute façon... et le simple fait de hurler à plein poumon me rappel la douleur dans ma poitrine, me faisant tousser. Utiliser la magie dans ces conditions, avec mon corps chamboulé allait dérégler mes flux magiques, pour une apprenti pas assez expérimenté dans le domaine ça signifiait devoir s'en passer pour le moment... Il ne restait plus qu'à trouver un moyen de s'enfuir autrement.

Jouer avec toi ? je suis sure que tu es charmante mais... j'en ai pas trop le temps. Je dois encore passer au magasin de sorcellerie, repasser ma robe, me préparer à man... Avant même de finir, je tente de me jeter sauvagement sur cette tentacule et de tirer dessus, pensant créer là une bien stupide surprise qui ne marchera guère. C'est plutôt mou et bien enroulé ! Mais tu va me lâcher oui !!! Taper dessus non plus ne fonctionne pas très bien, essayer de la tordre avec mes petites main gantées de tissus, encore moins... Il ne me reste alors qu'une seule option, peu ragoutante. J'espérais au moins que la tentacule ne soit pas trop visqueuse.

Une question que je ne me pose pas très longtemps avant de me jeter sur l'une d'elle pour la mordre sauvagement en grognant, comme une véritable furie, une petite déchainée assoiffée par sa liberté ! J'espère que ça lui ferait au moins assez mal pour regagner ma liberté !

Elle avait aider la demoiselle qui se faisait agresser mais en vérité Okooko la voulait pour elle, d’ordinaire elle n’agirait pas ainsi mais elle avait vraiment envie de vider le surplus de semence qu’elle avait accumulée à force de pomper les mâles passant à porter de tentacule. Et la magicienne était en plus tout à fait à son goût. Elle avait donc fait déguerpir les hommes qui avaient voulu s’en prendre à elle en premier lieu, ils avaient eu peur en voyant arriver la créature qui n’avait pas pris la peine de dissimuler ses membres tentaculaire.

Elle voulait jouer avec la magicienne et si d’ordinaire un refus l’aurait fait arrêter pour ne pas traumatiser sa partenaire, là elle n’écoutait que son envie et ses tentacules approchaient une à une de la belle. Elle grogna lorsqu’elle se fit mordre et répliqua en la giflant fortement au visage d’un coup de tentacule tandis qu’elle s’enroulait autour de son cou sans trop serrer mais pressant assez pour qu’elle le ressente :

« Allez dis oui ! Je veux jouer moi ! Toute façon t’as pas le chois nah !’

Plusieurs membres vinrent attraper les bras de la magiciennes pour la soulever alors qu’Okooko s’enfonçait dans une battisse inhabitée non loin de là pour ne pas jouer dans la rue. Là elle commença à glisser d’autres de ses membres sous les vêtement de sa victime :

« Et je suis pas faite pour être manger alors on ne me mord plus ! »

Elle s’approchait d’elle tout en laissant ses tentacules glisser le long du corps de la magicienne, dévoilant son apparence plus précisément que dans la rue. Elle avait décider de jouer et elle n’allait pas s’arrêter avant d’avoir fini.

Avant même de comprendre vraiment ce qui se passe un tentacule gifle et marque ma si belle joue, envoyant mon chapeau de sorcière valser sur le sol pour libérer ma longue chevelure blonde, soigneusement ondulée. Pour qui elle se prends celle-là ? Alors je sors d'une rencontre avec des psychopathes pour finalement tomber sur une autre ? C'est un putain de cercle sans fin ! Je veux juste aller acheter des ingrédients magiques moi !

Non non et non ! Comment ça pas le choix ! tu vas voiiiir !!! ahhhh

Ma voix dérape tandis que je me fais trainer de force sans pouvoir rien y faire, aspirée par ce long tentacule qui m'entraine dans une nouvelle antre, pour... serpenter sur mon corps ? Je fais une drôle de grimace en sentant les tentacules s'enrouler autours de moi mais au moins, elles ne sont pas aussi agressive que celle sur le cou, qui me fait un peu peur. Si je hurle... va t-elle le resserrer ? Merde, pas le temps de penser à ça j'allais pas me laisser faire, même... même si je commence à ressentir quelque chose d'étrange lorsqu'elle se glisse sous ma robe.

Hiiiiiiiiiii, quoi... tu joues à.. quoi ! On touche pas le corps d'une adorable jeune fille comme ça !!!

Toute rouge et les mains essayant de resserrer la longue jupe de ma robe en tiraillant dessus, je me rends compte que c'est bien inutile en voyant les formes cylindrique des tentacules se dessiner à travers ma robe. J'en ressens une sensation étrange, chaude... et...

Au secours au viol !!! Un gros pervers est en train de violer une pure et innocente jeune fille !!!

Attirer l'attention et gigotant dans tous les sens et la seule chose qui me reste malgré l'entrave sur le cou étouffant une petite partie de mes hurlements

Nyaaaaaaaan, lâche moi !!! Essayais-je d'ordonner en lui envoyant comme ultime attaque secrète, l'une de mes chaussures à talon en pleine poire, d'un grand coups dans le vide. Du moins, j'imaginais que ça devait être sa tête ! Car même si la créature s'était dévoilée, la pénombre et mon envie de fuir avait concentré mon esprit seulement sur ses tentacules, et non sur la silhouette de son utilisatrice.

Okooko ne prêtait pas attention au fait que la magicienne se débatte et elle continuait de glisse ses tentacules sous sa robe, venant caresser son corps. S’enroulant autour de ses jambes, sa taille, la chatouillant lorsqu’ils se glissaient sous ses vêtements, cela l’amusait beaucoup et elle gloussait en procédant. Lorsque la demoiselle donna un coup de pied pour lui envoyer sa chaussure à la figure, Otooko se le pris dans le visage et et se mit à pleurer parce que ça lui avait fait mal mais au lieu de s’arrêter, de plus en plus des ses appendices mou se glissèrent sous la robe de la magicienne, commençant à faire gonfler le tissu, prêt à le faire craquer si encore plus venaient à s’engouffrer par ici.

L’extraterrestre caressait le visage de sa victime avec un tentacule dégoulinant d’un liquide sucré avant qu’il se glisse vers sa bouche pour y déposer quelque goutte sur les lèvres avant d’entrer sans demander la permission et s’enfonce jusqu’au fond de la gorge :

« Hihi, c’est bon n’est-ce pas ? C’est doux et sucré, comme une grosse sucette. »

Pour elle tout cela n’était qu’un jeu comme un autre et elle faisait la même chose que d’habitude alors qu’un autre de ses membres venait caresser l’intérieur de sa cuisse en poussant pour se frayer un chemin en remontant vers son entrejambe et la caresser également. Otooko soufflait chaudement de plaisir en sentant toutes ses tentacules toucher la magicienne ainsi :

« Ça te plaît mon petit jeu, jolie magicienne ? »

Elle gloussait en continuant d’agiter tous ses appendices avec vigueurs, le tissu de sa robe commençant à faire de petit bruit de craquement à force à force qu’autant de tentacule s’engouffre sous la robe.

Je glousse doucement de surprise, le gout sucré qui se dépose sur mes lèvres est si délicieux que j'en suis fascinée un instant. Mes joues se font doucement plus rouge, mon regard tendre quand... *crack*

Mhhh non arrête tu vas la déchirer ! j'y tiens beaucoup à cette roblbmlmlhml

Là, ça devenait vraiment dangereux, le tentacule venait de s'enfoncer au fond de ma gorge d'un coups sec, taisant mes plaintes et obstruant ma gorge. Je gigote frénétiquement, mes yeux aux pupilles violette s'écarquillent, bon sang ! Elle comprends pas que je peux pas respirer si elle bloque ma gorge comme ça ! En plus, le dépourvut avec lequel elle l'as inséré ne m'as pas préparé à la situation et une quinte de toux expulse déjà son nectar sucré hors de ma bouche, par les commissures de mes lèvres.

Mais qu'elle me laisse respirer !!!

Mes mains gantées par la douce soie qui les recouvre glissent malencontreusement sur cette tentacule, celle là même qui est dans ma bouche pour bientôt recouvrir mes doigts de ce nectar sucré. La peur me gagne et pourtant... pourtant alors que je ne peux forcément m'en rendre compte à cause de la situation une chaleur nait dans mon bas ventre, grandit petit à petit en moi comme une flamme impatiente de pouvoir bruler...

Le gout du nectar sucré qui goute au fond de ma gorge n'y est surement pas pour rien, ni même le tentacule qui se glisse sur ma fente et me donne un frisson chaud tout le long du corps. Prise au dépourvut j'essaye de hurler et de mordiller sans succès cette chose qui me bloque toujours la gorge, tout en serrant au maximum les cuisses pour essayer de l'écarter. Mais ça, c'est avant qu'un nouveau drame ne se produise : Dans son ultime craquement le tissus de la robe s'étant et se déchire finalement en lambeau, libérant mes deux jolies pamplemousse bien ronds dans un rebond attrayant. En baissant les yeux, je peux découvrir de mes propres yeux ces tentacules qui luisent sur mon corps tout entier, maintenant seulement vêtue de mes portes-jarretelles et de mes gants.

Par ultime réflexe de pudeur, je croise les bras autours de ma poitrine pour ne pas la lui offrir. Une position que je ne garde bien longtemps, mes mains tremblantes et se jetant vite autours de mon cou toujours obstrué. Les joues rouges, les yeux clos, balançant la tête dans tous les sens pour signaler l'urgence, je peux sentir ma pauvre gorge se resserrer et écraser le tentacule. Elle allait devoir me libérer au plus vite !

Okooto jouait avec la jolie magicienne, à force de faire glisser ses tentacules sous sa robe elle avait finit par la faire craquer en dévoilant son corps nu. La tentacule qui s’était incruster dans sa bouche n’en finissait pas d’aller et venir et de faire couler son jus sucré goutte par goutte comme pour l’enflammer de l’intérieur. L’extraterrestre n’avait pas forcément conscience à ce moment là que la gorge obstruer de sa victime l’empêchait de respirer et que cela pourrait être fatal si elle ne retirait pas son tentacule d’ici peu de temps.

Profitant que les mains de al magicienne quittent sa poitrine pour prendre son cou, Otooko enroula deux tentacule chacun autour d’un de ses seins bien rond, serrant la base pendant que ses tentacules s’ouvrirent pour venir pincer les tétons et s’accrocher comme des ventouse avant de tirer dessus. Pendant se temps là, D’autres tentacules glissèrent encore le long de ses cuisses jusqu’à arriver à l’entrée de son intimité et ce ne fut ni une ni deux tentacules qui rentrèrent d’un coup mais bien quatre. Le nombre pouvait sembler énorme si on les comparait à un nmbre de sexe humains mais les tentacules étaient tout de même plus fin et glissait parfaitement dans son entre de plaisir.

Otooko s’avança au plus proche de la magicienne et retira le tentacule qui obstruait sa gorge, la laissant respirer la pauvre victime qui était proche de l’asphyxie. Elle lui caressa les joues avant d’aller coller ses lèvres au siennes pour l’embrasser :

« Tu as un corps si doux et un intérieur si serré, j’aime beaucoup la sensation que ça procure hihi. »

Mon coeur battait la chamade, tant par le manque d'oxygène pressant que par le désir inavouable, mais fort que je ressentais. Mes mains enserrant mon cou sentent pas à pas le tentacule limer doucement ma gorge, dans une sensation plutôt glissante et agréable. Mais je suis déjà ailleurs, la tête me tourne et je me sens étrangement bien. Difficile à décrire, mais la sensation de ce danger obstruant ma gorge prenait peu à peu l'effet inverse sur mon corps pour m'envahir d'une excitation inavouable. Trop tard pour en profiter cependant, je ferme lentement les yeux pour perdre connai...

MHHHHH !! MHHHHHHH !!!!

Ou pas, finalement, les tentacules pénétrant l'intérieur de mes cuisses me réveillent dans un sursaut et je me cambre dans tous les sens pour essayer de les freiner. En vain bien évidemment, je les sent serpenter en moi avec facilité, je sens leurs visquausité prendre place au fond de moi et s'y tortiller. Je ne sais pas plus vraiment si j'aime ma situation ou si je la maudit, un peu des deux surement mais mon corps se tort au rythmes des 4 appendice en moi comme pour suivre leurs mouvements et les laisser passer... Alors que j'essayais de les rejeter... Enfin, j'essayais de les rejeter... n'est-ce pas ?

Ahhhh ah.. ah ... *kof kof* ahhh !!! espèce de malablblbl

Je ne peux même pas reprendre mon souffle correctement ? Elle est si pressée que ça ? J'aspire une première gorgée d'air tellement longue qu'elle m'en fait mal à mes poumons, si vide. J'en aurais bien voulu une seconde mais ses lèvres scellent mes paroles avant que je n'ai pu finir. Malencontreusement, j'y glisse ma langue et l'agite en tout sens contre la sienne, dans ce qu'elle doit prendre pour un baiser passionné. En réalité, je ne fais que m'affoler sous la sensation de mes parois vaginales se contractant, et laissant échappé un début de fluide, gouttant de plus en plus sur le sol.

Je sais déjà que j'ai perdu, que je ne calmerais plus assez mon corps pour user de la magie contre elle, mais je ne me laisse pas faire pour autant et arrive à rompre le baiser pour recommencer à rspsirer.

Je disais que t'étais une espèce de malade !!! j'étais en train de suffoquer  !!! Laisse les gens finir leurs phrases la prochaine fois.. Kyaaaaaa !!!

Ce petit cri mignon n'est autre que ma petite poitrine qui se fait enlacer et bercer par d'autres tentacules. Mais punaise, combien elle en possède à la fin ?

S'il... s'il te plait !!! Ne fait pas ça.. je... je... je suis encore vierge ! Je ne peux pas ! pas de cette façon !

Pas sure que mon visage si mignon et mes yeux larmoyants derrière mes petites lunettes ne l'aide à arrêter ça... Surtout que ça allai venir, je le sentais... cette sensation nouvelle qui tambourinait entre mes cuisses... était-ce ça que l'ont ressentais quand on était sur le point d'avoir un orgasme ? Mes jambes tremblaient déjà et mes tétons d'habitude si discret prenaient l'apparence de petit bourgeons endurcit

Chacun des tentacules d’Otooko lui procurait des sensations de tout ce qu’il touchait, ou du plaisir qu’il prenait, ses dizaines de tentacules la rendait donc extrêmement sensible à cause de la grande quantité d’information sensorielle qu’elle ressentait. Ses appendices étaient tout partout sur le corps de la magicienne et elle s’était même retrouver tout elle en personne pour l’embrasser  et elle avait répondit favorablement en mêlant sa langue à la sienne. De plus, elle sentait le corps d’Alicia devenir extrêmement chaud, tout ce que faisait ses tentacules avec elle semblait rendre son corps particulièrement réceptif et cela plaisait beaucoup à la créature.

Les tentacules qui glissaient dans son intimité s’arrêtèrent lorsqu’ils touchèrent une membrane qui se trouvait sur le chemin, elle avait déjà sentit ça chez d’autre demoiselle avec qui elle avait ça. Et quand la magicienne déclara être vierge, elle imagina à juste titre que c’était ça qui la faisait être vierge même si elle ne comprenait pas vraiment quel était ce concept surtout que les autres filles avec cette particularité n’avait rien dit et avait bien plus aimer ses jeu que celles sans. Elle laissa donc ses tentacules en elle sans aller plus loin et les fait secréter le même liquide sucré que celui qu’elle avait reçu dans la bouche, goutte par goutte :

« C’est ça que t’appelle être vierge ? C’est parce que tu as cette chose qui empêche d’avancer ? Les autres filles qui l’avaient quand on a joué ensemble, elles ont adoré quand je suis passer à travers. Je pense que tu aimera beaucoup aussi alors. »

Soudains les quatre tentacules sortirent de son intimité pour rester à son entrée immobile avant d’être rejointe par six autres, montant donc le total à dix appendices tentaculaire, ce qui commençait tout de même à faire une épaisse masse très compacte. Otooko sourit à la magicienne et lui caressa la joue pour la assurer alors que la dizaine de tentacule s’enfoncèrent d’un coup net et rapide dans son antre de plaisir faisant fit de l’hymen qu’ils passèrent sans soucis pour aller se loger tout au fond d’elle.

Quand ses tentacules sortent je me sent soulagée, frustrée étrangement mais soulagée. Elle n'est donc pas si méchante, sentir mon hymen a du la faire culpabiliser et elle va me laisser partir... Il fut bien naïve de ma part de penser cela car bientôt ce n'était pas 4 mais 10 tentacule, formant une masse presque trois fois plus volumineuse. mon sourire apaisé s'efface alors, ma tête montrant un vif signe de négation et les larmes coulant lentement le long de mes joues. Plus rien ne sert de hurler, c'est terminé, j'allais perdre ma virginité ici entre les orifice de... cette chose aux allures de plantes vertes-poulpe !  Elle avait au moins le mérite d'être mignonne, c'était déjà ça, et une parcelle de ma conscience, comme pour me rassurer, me dit que ce n'est pas si mal après tout, que cela aurait pu être pire. C'est entre les bras de ces brutes que je l'aurais perdu de toute façon si elle n'avait pas été là.

Sur cette dernière pensée, je baisse les bras, ferme lentement les yeux en serrant les dents pour essayer de ne pas couiner comme une petite pucelle devant ses tentacules, celles fièrement ancrée à mes seins.

NYAAAHHHHHHHHAAAAAAAAAA !!!!!

Le cri raisonne dans la ruine presque vide, mon corps se cambre lorsque je sens la longue masse de tentacule me pénétrer sans mal, glissant dans ma feinte largement humidifié par mes fluides et ceux qu'elle a elle même secrétée plus tôt. Le choc est violant, si violant que l'espace d'un instant je crois sentir le bout de cette masse taper dans mon bas ventre et y former une petite bosse.

En seulement quelque seconde mon corps tremble, mon hymen brisé en un claquement de doigt délivre en moi un plaisir que je n'avais connu, faisant trembler mon corps, le faisant s'agiter nerveusement avant que mes jambes ne se tendent. Mes yeux grand ouverts se plongent vers le plafond et mes lèvres encore sucrée restent ouvertes, figées, tentant d'échapper de petits gémissements étouffées qui peinent à sortir.

C'est... c'est ça... un... han c'est... humiliant mais si... si bon... <3

Bien sure je ne lui avouerait pas cela ! Mais difficile de penser que je ne pouvais apprécier quand mon corps parlait de lui même, raidit, tremblant et perlant de sueur, sursautant à chaque jets de cyprines qui giclent violemment sur le sol... J'en deviendrais presque accros mais goute bien vite à l'ivresse de l'orgasme retombant, me laissant tout chose. Inutile de prétendre ne pas y avoir prit mon pied, l'immense flaque au sol parle d'elle même, sans parler de mes cuisses dégoulinantes.

Ah... <3 Han.... <3

Respirant lourdement, le corps mou, je fini de reprendre mes esprits avant de la regarder dans les yeux avec un air de défis, comme pour ne pas continuer à accepter ma conditions. En réalité, je ne cherche qu'à mettre de l'huile sur le feu pour voir de quoi elle est capable.

Je finirais par prendre le dessus... Tu t'épuiseras avant moi... si tu essaye de me remplir avec... ta semence. Tu n'en aura pas assez... pour combler entièrement mon ventre.

Avec cet air défiant de petite peste, je me dis qu'en la provoquant ainsi je pourrais peut-être m'enfuir ensuite, en la laissant se fatiguer toute seule. Un paris risqué... Je ne connaissais rien de son endurance, contrairement à la mienne assez basse.

Otooko était considérée comme une femme car son corps avec des seins et son visage faisait sembler à celui d’une femme mais en vérité c’était bien plus compliqué que cela. En effet, ses tentacules avait les mêmes propriété qu’un phalus humain et Otooko pouvait les faire éjaculer comme bon lui semblait et sa spermathèque lui permettait d’ajouter de la semence fertile à son liquide séminal lui donnant ainsi le rôle reproducteur d’un mâle humain. Cependant, même si c’était bien cacher, elle possédait également une antre de plaisir entre ses jambes bien différent que celui d’une humaine mais qui lui procurait le même plaisir, elle avait donc également les propriété d’une femelle. C’était là la particularité de sa race, chaque individu était quelque chose approchant de l’hermaphrodisme mais c’était encore différent. De toute façon, la plupart du temps c’était ses tentacules qui servaient d’outil de jeu.

Ces mêmes tentacules qui s’agitait dans les fondement intime de la magicienne, en allant et venant en  rythme décalé, tapant doucement dans le fond. Otooko en soufflait d’aise surtout que ses autres tentacules n’arrentaient pas de bouger sur le corps de sa victime en le caressant er surtout en lui pressant les seins et en les tirant comme une ventouse. La créature gloussa quand la magicienne lui lança un défi, celui de la remplir, ce n’était pas un problème pour elle.

Mais avant de faire éjaculer ses tentacules qui cognaient le fond de son intimité, un autre tentacule plus fin se déplaça jusqu’à l’entre-fesse bien serré de la belle blonde afin de glisser lentement mais sûrement dans son anus, une pratique que les demoiselle ayant jouer avec elle par le passer aimait beaucoup aussi. Otooko décida donc ensuite de relever le défi de la remplir et les dix tentacules gonflèrent en se gorgeant d’une quantité phénoménale du liquide qui remplaçait le sperme pour sa race mais avant de totu cracher elle avait une question pour la magicienne qui allait recevoir son don :

« Quelle genre de semence veux-tu recevoir ? De quelle créature veux-tu être la mère ? Un homme ? Un minotaure ? Un terranide ?  Une créatures sauvage ?»

Elle pouvait choisir ce qui allait quitter sa spermathèque afin d’aller féconder la magicienne mais elle lui laissait la possibilité de décider. Et si elle ne donnait pas de réponses précise, Otooko prend la décision à sa place.