Helena était un cobaye dans le sens où toute cette technologie était encore expérimentale. À terme, Karen espérait bien en vendre. Starr Industries ne faisait pas vraiment dans le porno’, mais c’était un marché rentable, et Karen était sûre de trouver des clients. C’était donc une bonne manière de développer son activité. Le Docteur Fuma était, sur ce point, plutôt d’accord avec elle, estimant, elle aussi, qu’il y avait ici tout un marché potentiel. Il suffisait de voir les chiffres de l’industrie du porno’, mais, à terme, Karen voyait aussi d’autres applications dans cette fonction. En mesurant le désir humain, on pouvait par exemple développer des systèmes permettant de lutter plus efficacement contre les violeurs. Bien sûr, le mécanisme était encore très loin d’être suffisamment élaboré, mais Karen restait confiante.
Pour l’heure, en tout cas, Helena avait eu un aperçu de sa Maîtresse. Karen Starr était encore retenue pour plusieurs heures, mais avait tenu à interrompre sa réunion pour pouvoir se renseigner sur elle. C’était bien la preuve qu’elle tenait beaucoup à sa Helena chérie ! Fuma rangea ensuite son téléphone portable, laissant encore Helena voir à travers ses yeux. Helena venait d’avoir un orgasme, et Fuma, aux premières loges, se déplaça à côté d’Hakuba, regardant ainsi en direct l’homme se mettre à jouir également, venant remplir de son foutre le cul d’Helena, tandis que les cuisses du beau jeune homme se couvrirent de mouille. Le corps d’Helena se relâcha ensuite, puis Fuma, tout en caressant Hakuba, l’embrassa. Il se retira du corps de la femme, et Fuma déplaça sa main, venant le masturber, recueillant un peu de sperme, et le porta aux lèvres du jeune trap’, qui l’avala goulûment.
« Tu as aimé jouir dans le cul de cette salope, hein ?
- Hmmmm... C’est... Maîtresse a un corps si délicieux...
- Maîtresse, hein ? Tu entends ça, Helena ? Ce petit pédé t’appelle encore ‘‘Maîtresse’’, alors qu’il vient de te défoncer le cul ! Hihi ! »
Fuma gloussa, venant lui lécher le lobe de l’oreille, et sentit que l’érection d’Hakuba était toujours là. C’était une conséquence des traitements hormonaux qu’ils suivaient ici, ces traitements avaient des effets secondaires sur leur libido. Fuma hocha ensuite la tête, et une infirmière approcha une seringue abritant un liquide violet, puis l’ingéra dans le cou d’Helena. Naturellement, cette dernière demanda de quoi il s’agissait, et, pour seule réponse, l’infirmière gloussa, puis se redressa. Elle se posta alors au-dessus du visage d’Helena, et tira sur sa fermeture Éclair, révélant son sexe... Puis s’abattit sur elle, s’asseyant sans vergogne sur son visage, inciattn ainsi cette femme à la lécher... Mais ne tardant pas aussi à faire plus.
Preuve de la perversion des femmes ici présentes, l’infirmière se concentra alors, et urina dans la bouche d’Helena. Elle lâcha un jet de liquide doré, et, pendant ce temps, le liquide commença à faire effet, entraînant des frissons dans le corps d’Helena, à hauteur de son sexe. Celle-ci se tortilla légèrement sur place, tout en servant d’urinoir... Puis, soudain, une belle verge jaillit de son vagin, se dressant joyeusement en hauteur, s’accompagnant d’une paire de solides testicules, le tout étant légèrement trempé par sa mouille.
« Miam ! Tu réagis très bien au produit, Helena ! »
La main gantée de Fuma vint alors masturber le sexe de la femme, et Fuma gloussa encore.
« Mais ce produit ne vise pas qu’à ça... Le liquide t’a été ingéré à hauteur du cou, car il se répand aussi dans ton cerveau, et bloque certains neurotransmetteurs... Encore une fois, c’est un produit expérimental, et je t’épargnerai les détails techniques, vu que tu es occupée à boire la pisse de mon infirmière, mais... »
Fuma continua à masturber ce sexe tendu.
« Pour faire simple, ce liquide entraîne un blocage inconscient qui fait que tu ne peux jouir que si je prononce un mot bien spécial... »
Sa queue était bien grosse, bien tendue, et Fuma en fit la démonstration :
« Il s’agit du mot... ‘‘Sunshine’’. »
Aussitôt, aussitôt fait... La queue d’Helena relâcha brusquement des jets de foutre, qui filèrent en l’air, faisant encore rire Fuma. Soudain, le docteur vit du sperme s’écouler du fondement d’Helena, et fourra ses doigts en elle.
« Kiba ! Agis vite, le sperme d’Hakuba fuit du cul de cette petite pute !
- O-Oui, Maîtresse... »
Fuma s’écarta, et laissa Kiba se rapprocher, puis l’homme s’empressa de sodomiser à nouveau Helena. Fuma gloussa alors, et rejoignit le corps d’Helena, s’asseyant à califourchon sur elle, puis embrassa son infirmière, collant son corps au sien, étouffant Helena sous le plaisir et sous leurs corps voluptueux et tendres.