Ayant fini mon travail de doctoresse sur Terre, enchaînant les problèmes futiles de ce monde dont les opérations sont banales comparer à ce que j'ai pu faire sur Tekhos ou même au front contre les formiens, mais même si c'était plus simple avec les terriens, plus rapide, le boulot est d'autant plus nombreux et les week-end où je partais de ce monde était le seul moment où j'avais un repos totale. Cette fois-ci, je partais pour le palais de mon père, au royaume de la luxure où il en est le dirigeant, j'avais empruntée un des portails, dont j'avais le secret, cachée dans mon appartement, pour accéder au domaine du démons aux seize mains. Je revêtis ma tenue de princesse démoniaque, une longue robe noire en soie légère, ouverte sur le coté droit pour laisser ma cuisse nue jusqu’à sa hanche mais ne laisse pas voir sur entrejambe. Le haut de sa robe est tout aussi séduisante que moi, laissant mon ventre visible par un losange, les cotés fait en fil d'or, dont les sommets s'étirent vers son pubis et la falaise que crée mes monts très plantureux, ceux ci étant piéger dans un beau décolleté décolleté plongeant, lui arrivant juste au-dessus pointes rosées mais il n'y a pas que du tissus qui les cachent, deux mains en or massif soutiennent et agrippent sa lourd poitrine, les pouces vers l’arête de celle-ci.
Une fois mes talons hauts, montrant mes pieds nus, misent, je pénètre dans le portail pour me retrouver dans ma chambre princière, chez mon géniteur, et y sortit pour aller le voir dans sa chambre, ayant pris l'habitude de se souhaité les retrouvailles en copulant comme des barbares, ce qui pouvait prendre des jours parfois à crier et me faire remplir dans cet relation incestueuse, ce qui ne me déplaît pas pour autant, je ne m'en lassais pas du tout et c'est ce qui me fit accélérer le pas dans les couloirs de la demeure, faisant bondir mes seins à chaque pas, perdant aussi quelques secondes à embrasser les gardes à l'apparence de démons, ainsi qu'amants, laissant leurs mains me parcourir les courbes, puis perdis une heure à copuler avec trois d'entre eux, trop exciter de revoir leur princesse de luxure que pour se contrôler. Finissant à califourchon sur l'un, couché sur lui, le deuxième à genoux derrière moi et le dernier aussi mais avec sa pine bander devant ma bouche, puis, une fois en place, ils me pénétrèrent ensemble, m'offrant du plaisir horriblement puissant lors de cette double pénétration vaginale pendant que j'étais forcé à sucer un beau chibre jusqu’à la gorge. Après ce temps, jouissance et orgasme atteint, ils me lâchèrent avant de se prosterner pour me remercier une fois que je me suis levée, ventre légèrement bombé par toutes la semence déversée dans ma chatte bien entraînée, remis ma robe correctement avant de repartir comme si c'était normal, ce qui est le cas, reprenant ma route en étant bien remplie.
Tout aurait pu n'être que routine mais en passant dans un tournant de couloir, en un clignement d'yeux, je me retrouvais dans un palais plus lumineux, au décor rappelant ceux de la Grèce Antique, tout les détails que mon regard captait est étrangement similaire aux écrits de ce temps. Je reste néanmoins sur mes gardes, sans bouger, avant de tourner rapidement la tête vers mon interlocutrice, dont le corp est digne de sa tenue ainsi que des lieux, qui avoue m'avoir convoqué en prétextant qu'elle connaissait mon père.
Que fais-je ici et qui êtes vous ? Où suis-je surtout ? Je ne vous connais absolument pas, moi.
Je suis sur ma défensive et je ne m'en cachait pas, même mes bras de démon, assez long et invisible sont de sortis, la seule vu, que la déesse peut avoir d'eux, est leurs ombres qui se compte aux nombres de huit et sortant de mon dos. Je ne suis pas aussi stupide non plus et je me doutais que la puissance de l'inconnue égale ceux des dieux car, eux seuls, peuvent convoquer sans effort un démon de la sorte mais cela ne m'empêche quand même pas d’être prête à attaquer celle-ci si elle fait une action de travers envers ma personne.