Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Do you like clowns ? [JigSex]

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Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 15 mardi 04 novembre 2014, 21:06:56

Je coupe le micro et approche mon visage des écrans, attentive à ses moindres mouvements. Elle se relève lentement. Elle semble terrorisée... Et pourtant elle marche d'un pas hésitant vers Ateyu. Brave petite, elle tente de dominer sa peur... La plus grande des formes de courages. J'aimerais réactiver le micro pour lui dire que je suis fière d'elle, mais j'ai peur de la déconcentrer... Autant la laisser faire.

4:30

Elle fixe maintenant le sexe d'Ateyu. Celui-ci est on ne peut plus banal, d'une taille commune, et salement poilu. Pourtant elle en est réellement effrayée. Je le vois dans son expression, dans ses tremblements, et même dans les paroles qu'elle laisse malgré elle échapper :

Putain, putain, putain...

Les secondes défilent. Elle semble paralysée. Je ne veux pas qu'elle perde... Au fond de moi, je sais qu'elle réussira, elle en a forcément les capacités... Elle doit juste le réaliser. Je meurs d'envie de l'encourager, mais je dois me l'interdire. Je chuchote donc seule dans ma salle de contrôle, les yeux rivés sur son visage :

Allez ma puce... Fais-le... Ce sera rapide...

Elle ne bougeait plus, comme si le temps s'était arrêté pour elle. Mais il ne l'était pas du tout. Il filait rapidement. Alors que son visage est maintenant immobile depuis presque une minute, elle murmure d'une voix à peine audible :

Non...

Elle vient de dire ça comme si elle répondait à quelqu'un... Ou à une idée. Je souris, pensant savoir à quoi elle pense. Elle sait pertinemment ce qui l'attend si elle échoue, et c'est à cela qu'elle répond "non". A la façon dont elle pose enfin ses mains sur les jambes de sa cible, elle a repris un minimum de confiance en elle.

3:00

Les battements de mon cœur s'accélèrent et ceux de mes paupières s'arrêtent lorsque ses doigts effleurent enfin la verge. Ateyu semble se crisper. J'ai déjà constaté par moi-même qu'il est du genre à jouir très vite, mais j'espère quand même qu'il va tenir plus que ça. A force de s'agiter, il heurte le nez de la pauvre fille, ce qui nous fait grimacer toutes les deux.

2:30

Elle crie quelque chose en français, avant de reprendre en main ce sexe qui l'a énervée. Enfin le moment tant attendu... Elle ferme les yeux et pose ses lèvres sur le gland dressé vers elle, l'air écœurée.

Courage ma puce... Ce ne sera pas long...

2:00

Ateyu ne bouge pas. Sans doute qu'il souhaite au fond de lui qu'elle échoue. En plus il n'a jamais été du type soumis, préférant être celui qui tient les menottes que celui qui les porte. Mais je n'y prête que peu d'importance ; ce que je regarde, c'est Amélie et rien d'autre. L'idée qu'il s'agit peut-être de sa toute première fellation me fait frissonner.

Sans m'en rendre compte, j'étais en train de lui parler comme si j'étais juste à côté :

C'est bien... Comme ça... Il va bientôt craquer... Je suis fière de ton courage... Tu progresses à vue d'œil Amélie...

1:30

Je le vois se crisper davantage. Sa tête semble s'agiter. Comprenant en souriant à pleines dents ce qui va maintenant inévitablement arriver, je presse le bouton d'arrêt du compteur, déclarant la victoire d'Amélie.

1:18

Il jouit !
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 16 jeudi 06 novembre 2014, 01:47:57

« Là, tu vois bien, ce n’est pas si effrayant que ça... Comme une espèce de sucette. Ça ne te mord pas... Bon, c’est vrai qu’au début, ça a un goût dégueulasse, comme si on suçait du caoutchouc... Tu vois, c’est ça que je me dis quand l’un de ces connards gras-du-bide veut que je lui fasse une pipe... Que c’est comme sucer un pneu. »

En d’autres circonstances, les plaisanteries foireuses de Nishi auraient pu la faire rire... Mais là, elle avait surtout envie de vomir. Tout ce que son corps voulait était qu’elle se retire de là, et qu’elle se brosse frénétiquement les dents pendant des heures. Elle fermait les yeux en gémissant faiblement, de dégoût, remuant la tête d’avant en arrière. Ce truc était gros, informe... Ça ne ressemblait à rien, c’était moche, et, à chaque fois que sa langue, par inadvertance, venait toucher cette peau sèche et grasse, elle envoyait ses dents, mordillant cette queue infecte. Nini’ lui racontait des blagues dans l’espoir de ne pas voir Amélie défaillir sur place. La Française avait le cœur sur le bord des lèvres, prêt à exploser. Il n’y avait pas de mots assez forts pour décrire le dégoût qu’Amélie ressentait précisément en ce moment ! Elle suçait cette saloperie de queue de merde, la mastiquant en attendant que ce connard de pervers (probablement pédophile) daigne enfin jouir, mais il se refusait à balancer sa saloperie de crème !

Amélie voulut lui hurler de jouir, de se dépêcher. Elle ignorait combien de temps il lui restait, et la verge de ce taré de pervers se durcissait de plus en plus. Qu’est-ce qu’il attendait, bon sang ? Le gong de Dieu ?! Amélie rougissait sous la colère.. Dire que certaines nanas aimaient ça... La Française ne voyait vraiment pas en quoi sucer ce truc moche était excitant ! C’était gras, laid, et ça lui laissait une impression pâteuse dans la bouche. Elle continuait à s’escrimer sur cette verge, jusqu’à ce que ce gros porc finisse enfin par se lâcher.

Ce fut comme si on venait de lui tirer dans la bouche. Sa grosse queue merdique sembla se tendre, avant d’expulser le jet. Amélie sursauta et tomba à la renverse. Elle atterrit sur les fesses, et vit alors, devant ses yeux ébahis, la verge de l’homme recouverte d’un liquide blanchâtre et poisseux... Qu’elle avait également dans la bouche. Amélie se mit alors à le cracher à toute allure, espérant n’avoir pas pris une seule goutte de cette infâme mixture. Elle regarda le sperme qu’elle avait craché, formant une tâche blanche sur le sol. C’était visqueux et piquant, comme du sel liquide qui collerait.

« Beurk ! »

Amélie avisa le sexe de l’homme. Sa queue avait dégonflé comme un ballon de baudruche, et elle était sale. Le sperme avait également éclaboussé ses jambes et la table. Elle s’essuya encore les lèvres, et frappa alors sa verge, donnant une grande claque dessus.

« Pervers ! Pervers ! Enfoiré d’enculé de sale connard de pervers de merde ! s’égosillait-elle en français, multipliant les claques sur son sexe. Tout ce que tu mériterais, c‘est de bouffer ta propre merde et de noyer dans ta propre pisse, salaud de connard de merde de suceur de chameaux !! »

L’avantage du français, par rapport aux autres langues, c’était la litanie de jurons qui pouvait en ressortir. Amélie utilisait sa colère pour refouler les larmes qui affluaient dans ses yeux, et elle se calma un peu, avant de regarder autour d’elle.

« Hey ! s’exclama-t-elle en anglais. J’ai fait jouir ce fils de pute, j’ai réussi votre petit jeu ! Laissez-moi me barrer, maintenant ! »

Ce n’était quand même pas trop demandé, si ?

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 17 mercredi 12 novembre 2014, 23:18:03

Elle l'a fait. Je la voix bondir en arrière de surprise. Bien que le gros de l'éjaculation ne coule sur la verge d'Ateyu, Amélie en recrache une petite quantité, preuve qu'elle a tout de même honoré ma demande jusqu'au bout.

Elle se met à frapper le sexe ramollit d'Ateyu, en hurlant je ne sais quoi en français. Souriante, je réactive le micro, m'apprêtant à reprendre la dictée de ses devoirs. Mais je veux la laisser parler la première. Elle va forcément me demander de la faire sortir à présent. C'est précisément ce qu'elle fait, après avoir expulsé une partie de sa colère, en parlant à la pièce :

Hey ! J’ai fait jouir ce fils de pute, j’ai réussi votre petit jeu ! Laissez-moi me barrer, maintenant !

La laisser partir... J'y songe un instant. C'est vrai qu'elle le mériterait. Mais j'avais prévu autre chose pour elle. Et je dois m'y tenir.
J'en ai presque de la peine pour elle lorsque je vois ses yeux larmoyants alors que je reprends la parole pour lui annoncer la suite :

Tu t'es très bien débrouillée Amélie. Aujourd'hui tu t'es prouvée à toi-même que tu étais capable de lutter contre tes pulsions. C'est une excellente chose.

J'avale ma salive avant de lui annoncer les règles de la seconde épreuve :

Malheureusement, ce n'était que la première étape de ta libération. Tu vas maintenant devoir passer la deuxième. Rassure-toi, c'est la dernière, et elle est très proche de celle que tu viens de subir.
Ton rôle sera simplement de recommencer exactement la même chose. La difficulté en plus sera bien évidemment de l'exciter suffisamment, puisqu'il vient de se vider. Mais pour cela, tu as le droit si tu veux de lui enlever ses baillons. Le laisser te voir ou te parler peut l'aider à s'exciter, à toi de voir.

Je règle la minuterie, et la lance à nouveau.

30:00

Selon moi, ça devrait être suffisant pour lui laisser le temps de l'exciter, de le faire jouir... Mais surtout d'encaisser la nouvelle.

Courage Amélie... N'oublie pas ce qui arrivera si tu échoue. Oh, et n'oublie pas non plus que tu pourras prendre ta revanche avec ta récompense.

Je rebascule en avant pour mieux observer sa réaction sur les écrans. De toutes façons, je suis sûre au fond de moi qu'elle réussira.
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 18 jeudi 13 novembre 2014, 23:26:04

Amélie s’attendait presque à ce coup de pute, et elle ne fut pas déçue. Loin de vouloir al libérer, la salope qui l’avait foutu à poil dans cet entrepôt sordide voulait maintenant qu’elle refasse jouir ce porc ! Elle avait pour cela un délai de trente minutes. En entendant ça, la jeune Française écarquilla les yeux. Cette femme lui avait pourtant bien dit qu’elle s’en sortirait si elle avait gagné... Mais, d’un autre côté, pouvait-on vraiment accorder foi à quelqu’un qui vous avait agressé en pleine rue ? La Française sentit la panique la saisir. Outre le fait de devoir à nouveau toucher à ce corps répugnant qui se trémoussait devant elle en barbotant dans son jus infect, elle craignait surtout que cette tarée ne finisse par la tuer, dès qu’elle se serait lassée. Dans tous les slashers qu’elle avait vu, la victime finissait toujours par mourir, afin que le tueur puisse librement continuer à éviscérer d’autres touristes qui passaient par là. Amélie ne s’en sortirait pas en suivant les règles du jeu, car elles évoluaient continuellement.

Cependant, que pouvait-elle faire d’autre ? Elle était toujours au même point, si ce n’est qu’elle entendait le pervers soupirer faiblement et gémir, toujours retenu. Il n’y avait aucune sorte visible, et elle regarda attentivement. Ses yeux avaient eu le temps de s’habituer à l’obscurité des lieux, mais elle ne voyait aucun objet contondant, rien qui lui permette d’inverser la tendance. S’il y avait eu une arme quelque part, elle aurait pu s’en servir pour imposer ses propres règles, comme en menaçant de trancher la gorge de ce tas de merde ligoté devant elle. En effet, ce n’était pas avec ses poings qu’elle allait l’effrayer. Les fenêtres étaient trop hautes, et la porte, blindée, devait être fermée. C’était un piège simple, mais efficace... Et elle avait froid, pour ne rien arranger. Elle avait froid, elle avait peur, et son esprit était au bord de la panique émotionnelle, de la rupture. Elle ne devait cependant pas perdre la raison. S’obligeant au calme, Amélie respira lentement, et se força à regarder ce... Ce truc !

C’était moche... Mais genre vraiment moche. Voir cette queue rabougrie comme la couille d’un vieux pervers de 80 ans flotter dans son sperme lui donnait envie de vomir. Impossible de prendre ça en bouche ! Elle avait encore le goût poisseux du sperme sur sa langue, et, même si elle était sûre de n’avoir rien avalé, elle en avait quand même la désagréable impression. Elle n’avait même pas un mouchoir pour essuyer. De grosses tâches blanches glissaient le long de la verge de l’homme, maculant ses saloperies de poils pubiens.

*Beurk ! Mais comment on peut aimer ça ?!*

Comment les gens faisaient pour ne pas vomir dans les films pornos en voyant ces horreurs ? C’était moche, c’était ridicule, ça ne ressemblait à rien, et c’était sale. Si elle l’avait pu, elle aurait pris un gros ciseau, et elle aurait fait bouffer à ce salopard de dégénéré sa propre queue !

*Calme-toi, calme-toi, et réfléchis... Peut-être qu’elle tiendra parole. Tu l’as entendu, non ? C’est la dernière épreuve...
Ça devait être une épreuve unique ! Tu ne peux pas lui faire confiance !
Alors quoi ? On en revient au même point ? On pleure en attendant la fin de la demi-heure, et ce taré nous saute dessus ? Au cas où vous l’auriez oublié, les filles, on a pas le choix !
Rentrer dans le jeu de cette folle ne l’amènera qu’à nous torturer encore plus ! Qu’est-ce qui nous dit qu’elle ne voudra pas que tu fasses du rodéo sur ce tas de merde après ? On ne peut pas lui faire confiance !
La question qui se pose n’est pas celle de savoir si on peut faire confiance à cette dingue ou non... Mais de savoir ce qui est le moins pire pour nous. Triturer la queue de ce pervers jusqu’à ce qu’il balance sa fraise, ou attendre, et se faire défoncer.
*

Le débat continuait à se poursuivre dans sa tête, opposant les idées et les impressions. Mimi’ n’était plus là pour l’aider, Amélie était toute seule... Seule face à cette queue de merde qui se dressait lamentablement devant elle, Amélie clignait des yeux à plusieurs reprises, et observa ce machin. Elle secoua la tête, et retourna les poser sur les hanches poilues de l’homme. L’individu émit un gémissement étouffé en remuant un peu. Son érection avait bien diminué, et le temps, lui, continuait à filer.

« Putain... » soupira-t-elle en anglais, en secouant la tête de gauche à droite.

Elle ferma les yeux, serrant les dents, devant retenir un afflux de larmes qui menaçaient de percer. Elle se pinça encore les lèvres, et approcha ses doigts de cette sale putain de queue... Et gémit en sentant ce sperme. C’était poisseux, gluant, comme une espèce de bave de monstre dans un hentaï dégueulasse. Elle retira automatiquement sa main, puis soupira à nouveau, et se força à la rapprocher à nouveau, fermant les yeux.

Sous ses lèvres closes, des larmes commençaient à rouler.

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 19 lundi 01 mai 2017, 16:30:44

J'observe attentivement et silencieusement la scène. Elle semble terrorisée par la nouvelle... Comment ne pas l'être ? Elle hésite. Elle reste immobile, pensive... À quoi peut-elle bien penser ? Sans doute se demande-t-elle si elle peut me faire confiance... Ou si ça vaut vraiment le coup d'essayer ? Bien sûr que ça vaut le coup, c'est ça ou le viol voyons.

Elle regarde autour d'elle. Non, il n'y a rien qui puisse te sauver ici... La seule chose qui puisse te sauver est de suivre mes instructions. J'ai l'impression qu'Ateyu sourit sous son bâillon. Il est persuadé qu'il finira par la violer. Je reste persuadée du contraire... Je suis certaine que cette petite a plus de réserves qu'elle en à l'air. Bien que je commence à en douter un peu, à voir la façon si repoussée dont elle s'approche de lavi verge à nouveau... Elle vient de le faire, n'est-ce pas plus facile à présent ?

Putain...

Je regarde sur l'un de mes écrans qui affiche son visage en gros plan. Elle semble larmoyante... J'en ai presque de la peine pour elle. Peut-être a-t-elle besoin de plus d'encouragement ?

25:00

Il faut qu'elle commence... Si elle y met autant de coeur, elle n'arrivera jamais à le faire jouir en si peu de temps... Échouer ? La livrer nue à Ateyu ? Non... Je ne me le pardonnerai jamais... Elle ne peut pas échouer. Je reprends le micro et déglutit, avant de parler d'une voix douce malgré sa déformation :


Amélie, reste calme... Je sais que tu peux difficilement avoir confiance en moi, mais tu le dois, car c'est là ta seule option. Si tu échoues, les rôles seront échangés et ce type pourra faire ce qu'il veut de toi... Tu ne voudrais pas de ça tout de même ?

Je marque une pause. Je veux qu'elle visualise la scène... Qu'elle soit prête à tout pour l'éviter.

Maintenant courage ma chérie, je sais que tu en es capable, sinon je ne t'aurais pas fait venir ici. Je te promets que ce sera là ta dernière épreuve. Après, tu pourras retrouver ta liberté, et tu auras même droit à une belle récompense.

J'hésite un instant. Après tout ce qu'elle vient de vivre, peut-être penses-t-elle que sa récompense sera en fait une autre épreuve ? Je me dois de la rassurer :

Ta récompense sera facultative ma chérie, si tu n'en veux pas, je ne te forcerai pas... Mais crois-moi, je suis certaine que tu vas l'adorer... Maintenant reprends ton souffle et finis-en avec lui.

Je recoupe le micro et me réinstalle confortablement dans mon siège. Elle va réussir... Elle doit réussir.
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 20 mardi 02 mai 2017, 00:11:20

Le temps jouait en sa défaveur. Amélie était... Confuse. Que faisait-elle ici ? Pouruqoi elle ? Qui était donc cette personne qui la soumettait à ce jeu pervers ? Elle était là, devant cet homme, observant sa queue tendue, partiellement recouverte de sperme. Elle avait réussi à le faire jouir, mais elle savait qu’il allait y mettre de la mauvaise volonté, et, comme il venait déjà de jouir, il serait encore plus difficile de lui faire atteindre un second orgasme. Mais la perspective d’être sa prisonnière l’effrayait. En revanche, quand la femme se remit à parler, et annonça ce qu’elle risquait, elle vit la queue de l’homme se roidir, et déglutit, en comprenant que, si elle échouait, ce type allait se déchaîner sur elle.

*Tu ne peux pas rester inerte, Amélie, ou ce taré va nous tomber dessus !
C’est un piège ! Qu’est-ce qu’elle va encore t’imposer si tu lui obéis ? TU NE PEUX PAS LUI FAIRE CONFIANCE !
*

C’était le même débat qui se répétait dans sa tête, mais le temps, lui, défilait. Il fallait choisir. Et elle ne voyait aucune autre option en stock. Elle soupira longuement, puis se rapprocha, le dos raide, la démarche hésitante. Elle observait cette queue, ressemblant à un serpent prêt à lui cracher dessus, à la mordre. Ses mains étaient crispées, moites, et elle en avança une, venant la poser sur la hampe de chair. Elle tremblait sur place, et inspira subitement, venant se calmer, puis remua sa main sur ce sexe. Le contact était spongieux, car elle touchait, non seulement sa bite, mais aussi son sperme. Elle déglutit donc, et ferma les yeux, en entendant les quelques soupirs de l’homme attaché, tandis que sa queue se mit à grossir. Tournant la tête, elle le masturba donc, pendant plusieurs minutes, mais sentit rapidement que, cette fois, il ne jouirait pas.

Elle ne pouvait pas voir le regard de l’homme, mais elle était sûre que ses yeux brillaient de malice, et il bandait les muscles, grognant, comme pour tenter de repousser le plaisir qui s’immisçait en lui.

21:25

Amélie savait qu’elle ne pourrait pas l’avoir comme ça, qu’elle ne pouvait plus se contenter de simples caresses.

*C’est un homme, tu sais ce qu’il veut !
Non ! Pas ça !
Amélie !
PAS ÇA !
Mais tu n’as pas le choix !
*

Pas le choix, pas le choix... Elle se pinça les lèvres, et serra férocement le sexe de l’homme. Ce dernier se mit à gémir, et se tortilla sur place, mordant son bandeau.

« Sale enculé de pervers ! hurla-t-elle. Tout ce que tu veux, c’est me violer... Je vais te couper tes burnes, moi, bâtard ! »

Maîtrisant mal le japonais, Amélie s’exprimait dans un mélange improbable d’anglais, de français, avec une touche de japonais. Néanmoins, il n’y avait pas besoin d’être grand clerc pour comprendre ce qu’elle disait. Elle se mit à gifler ce sexe à plusieurs reprises, maintenant que c’était une trique bien dure, et refoula ses larmes.

20:00

Ses options étaient limitées, et un tiers du temps disponible s’était écoulé. Amélie soupira encore, serrant les poings, puis fléchit les genoux, et amena son visage devant le sexe de l’homme.

*Je ne veux pas le faire... Non, je ne veux pas !*

Mais avait-elle vraiment le choix ? La question ne se posait malheureusement pas... Et Amélie, en déglutissant, posa à nouveau sa main sur ce sexe, et l’orienta vers son visage, puis approcha ses lèvres... Et commença à l’embrasser, retenant l’envie furieuse de vomir qui remontait dans sa gorge.

Définitivement trop tard pour faire marche arrière, et elle commença à le prendre en bouche...

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 21 samedi 06 mai 2017, 18:55:47

Je continue de regarder la scène. Elle hésite... C'est bien d'hésiter. Ça prouve qu'elle est toujours capable de penser. Mais elle ne peut continuer de le faire indéfiniment. L'horloge continue d'avancer, sans se soucier de ses hésitations, réduisant à chaque seconde ses chances de s'en sortir. Plus d'un quart du temps imparti est écoulé, et elle n'avait toujours pas commencé.

A voir son regard, je sais très bien ce qu'elle est en train de faire. Elle fait exactement la même chose que moi : elle essaie de se convaincre qu'elle n'a pas le choix. Je la laisse faire. Je vois mal ce que je pourrais dire qu'elle ne sait pas déjà qui pourrait l'encourager de toutes façons. Et d'ailleurs, son auto-persuasion semble fonctionner : elle recommence enfin à le masturber. C'est mou ça, elle n'arrivera à rien de la sorte. Et à voir comment réagis Ateyu, elle ne devrait pas tarder à le comprendre.

Elle hurle quelque chose. On dirait un mélange d'anglais et de français, mais c'était clairement des insultes. J'ai presque envie de l'encourager à recommencer. Après-tout, si ça peut la motiver... Ça à même l'air de plaire à certains d'ailleurs : ses coups et ses insultes venaient de rendre le sexe dont elle devait s'occuper bien dur et bien raide. Elle finit enfin par le prendre en bouche. Je pousse un soupir de soulagement quand je la vois se résoudre à le faire : Ateyu ne sait tout simplement pas résister à une fellation, je l'ai constaté moi-même à plusieurs reprises les jours précédents. Et c'est ce qu'il fallait absolument pour cette épreuve, le but n'étant absolument pas qu'elle puisse y échouer.

Quelques minutes passent... Elle semble si dégoûtée, si effrayée... C'est parfait. C'est exactement ce que j'espérais d'elle : qu'elle se force, sans y prendre du plaisir. Si elle ne se force pas, comment pourrait-elle progresser ? Le sexe dont elle s'occupe reste bien dur, il adore ça. Presque trop d'ailleurs : à ce rythme, il ne va pas tarder à se relâcher... C'est le but poursuivi, mais j'aurais bien aimé qu'elle se diversifie un peu dans ses techniques.

16:30

Ça lui ferait sûrement plaisir de réussir à la moitié du temps imparti restant, mais ça ne serait pas ce qu'il y a de mieux pour elle. Je prends le micro, voulant la pousser à s'ouvrir davantage.

C'est très bien Amélie... Continue comme ça, et je t'assure que tu sortiras victorieuse. Mais si tu veux accélérer encore les choses, je t'invite à regarder les bandeaux qu'il a sur les yeux et sur la bouche. Retirer l'un d'entre eux ou même les deux peut t'aider : le laisser te voir ou t'insulter ne l'aidera pas du tout à se retenir.

C'était la stricte vérité. Restait encore à savoir si elle en avait l'envie et la capacité. Après tout, elle n'en avait absolument pas besoin pour réussir, et je ne l'ai même pas caché.
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 22 lundi 08 mai 2017, 19:21:06

Beurk !

Amélie avait une envie furieuse de vomir. Sérieusement ! Comment pouvait-on aimer ça ? C’était… C’était juste affreux ! Cette queue dure et sèche remplissait sa bouche, et elle sentait des haut-le-cœur l’envahir quand sa salive se déposait sur ce chibre, et qu’elle l’avalait ensuite, ou quand elle l’approchait trop du fond de sa bouche. Comment Mimi’ faisait-elle pour les enfiler ? Amélie avait vraiment envie de tout relâcher, et dut fermer les yeux, en se concentrant, approchant délicatement sa langue. Cette dernière tapa contre ce mandrin. Il était chaud, visqueux, bouillonnant, grossissant en elle, et elle approcha ses dents, venant légèrement le mordre dans un réflexe défensif.

Un couinement s’échappa des lèvres d’Ateyu, et elle relâcha la pression.

*Arrête ! Il est sur le point de jouir, là !
Mais pas en moi… Je refuse !
Tu n’auras qu’à tout recracher ! Comme ça, tu auras la preuve qu’il a joui !
Et si cette folle m’impose un nouveau défi ? Je veux sortir d’ici !
Il n’y arrivera rien de tel, concentre-toi sur le moment présent ! Tu l’as pris dans ta bouche, et ce n’était pas si compliqué que ça, non ? Alors… Continue !
*

Amélie suivit les conseils de cette voix, et tenta de se calmer, de moduler sa respiration. Elle respirait par le nez, soufflant lourdement, tout en continuant à filer sur la queue de l’homme, d’avant en arrière, sans rien dire, en essayant de penser à quelque chose de positif, de joyeux, d’innocent. Mishi qui faisait ses ongles, Zetsu qui s’entraînait à faire le dur devant son miroir fêlé, eux courant dans les rues de la ville… Amélie n’avait plus personne qui l’attendait, si ce n’est eux deux.

Ses paupières s’entrouvrirent et se formèrent, et quelques larmes silencieuses vinrent à en couler, filant le long de ses joues. Elle crispa ses poings, et entendit soudain l’autre folle lui parler, en lui demandant de diversifier sa technique. Pour seule réponse, Amélie leva l’une de ses mains, majeur dressé, autres doigts repliés, à destination hypothétique de la caméra qui la filmait.

*’Va chier, salope, aurait-elle eu envie de lui dire, je suce la queue de cette merde, et tu veux en plus que je lui rende la vue ? ‘Va chier, ‘va chier !*

C’était absolument hors-de-question ! Jamais elle ne ferait quoi que ce soit qui soit susceptible de libérer ce cinglé pervers ! Elle accéléra le rythme, plutôt, désireuse d’en finir au plus vite, et entendit encore l’homme gémir et soupirer, sa queue semblant se durcir, tapant contre sa gorge, la faisant gémir. Ah ! Quelle sensation atroce ! Horrible, même ! Comment pouvait-on aimer ce truc poisseux, cette espèce de saucisse sale et gluante qui se tortillait en elle, et qui la salissait ?

Elle ne rouvrit plus les yeux, filant d’avant en arrière, n’attendant plus qu’à ce que l’homme se décharge. Il n’allait plus pouvoir tenir très longtemps, maintenant… Et, juste quand elle pensait ça, elle sursauta en sentant quelque chose lui cracher en pleine figure. Le serpent venait de cracher son venin ! Amélie écarquilla les yeux, et retira sa bouche de ce sexe. Elle aspira l’air à pleins poumons, et cracha le sperme sur le sol en portant une main sur sa gorge, rouée, tout en se mettant à éternuer bruyamment.

« Kof ! Kof ! Kof ! »

Les joues écarlates, Amélie éternua encore à plusieurs reprises, en voyant, sur le sol, une flaque informe de sperme et de salive. Elle cracha encore, pour être sûre de recracher tout ce sperme, et alla même jusqu’à s’enfoncer deux doigts dans sa bouche, au plus profond, près de sa glotte. Elle ferma les yeux, et gémit, en sentant un sentiment de malaise diffus remonter en elle.

*Crache-le, crache-le, je n’en veux pas, je ne veux pas de son poison !*

Son cœur ventilait à toute allure, et elle sentit une vague remonter, puis répandit sa bile sur le sol. Amélie se mit alors à respirer bruyamment, recroquevillée sur le sol, au-dessus de sa flaque, et se redressa finalement. Sa bouche était pâteuse, et elle essuya ses lèvres d’un revers de la manche, avant de regarder l’homme attaché. Amélie était à côté de lui, et l’observa silencieusement, près de son visage… Puis lui cracha dessus.

« T’as joui dans ma bouche, sale ENCULÉ ! »

Elle le gifla alors, et se fit surtout mal à ses doigts, ce qui ne l’empêcha pas de le gifler à nouveau, tout en sentant, sans trop pouvoir s’en expliquer, les larmes revenir.

« Je… J’veux sortir d’ici… Putain, laisse-moi sortir, SALOPE ! Je veux plus jouer à tes jeux pervers de dingue, J’VEUX SORTIR !! »

Mais la femme allait-elle l’exaucer si gentiment ?

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 23 lundi 08 mai 2017, 22:44:19

Sa réponse semble claire : elle ne souhaite pas suivre mes conseils. Tant pis, sa technique ne semble pas inefficace de toutes façons. Elle se fait violence pour faire les bons mouvements. C’est parfait, elle progresse à vue d’œil. Je vois des larmes couler douloureusement sur son visage. Ça lui est donc si pénible que ça ? J’en suis encore plus excitée de ses efforts. D’autant qu’ils portent leurs fruits : Ateyu finit enfin par lui jouir dans la bouche une deuxième fois. Elle semblait s’y être moins préparé, au vue de sa réaction brutale. Je coupe aussitôt le chronomètre :

14:38

Elle semble en avoir reçu davantage dans la bouche cette fois-ci. On dirait même qu’elle en a avalé une partie. Quelle dommage qu’elle se force à vomir pour le recracher, ça n’est pas toxique pourtant… Voilà qu’elle recommence à le gifler et l’insulter en français. Je souris en pensant à la suite. Si elle pense se défouler maintenant, elle risque de l’apprécier.

Je… J’veux sortir d’ici… Putain, laisse-moi sortir, SALOPE ! Je veux plus jouer à tes jeux pervers de dingue, J’VEUX SORTIR !!

Je laisse quelques secondes de silence s’installer, savourant sa victoire, avant de prendre le micro pour lui répondre :

C’était sublime, Amélie. Aujourd’hui tu as su te surpasser, et comme promis, je vais te rendre ta liberté. Mais avant ça, j’ai un cadeau à te faire.

Je presse le bouton que j’attendais de presser depuis qu’elle est rentrée ici. Un morceau du carrelage se replie sur lui même non loin du centre de la salle, pour laisser sortir du sol une grande table. Celle-ci était recouverte d’ustensiles en tout genres : cordes, chaînes, lames, pinces et pointes de toutes tailles se confondaient en son centre. Sur les côtés, quelques outils moins communs : des pinces électriques reliées à des batteries à intensité réglables, des fioles avec écrit dans toutes les langues et symboles possible dessus qu’il s’agissait d’acide, Ainsi qu’une petite pilule blanche posé sur un présentoir rose, dans un coin de la table.

Ateyu semble bouger la tête, comme pour chercher à comprendre ce qui se passe. Moi qui lui avait dit qu’il aurait de toutes façons le droit de la violer à la fin, peu importe la façon dont ça se terminait… Il semblerait que la fin soit moins douce pour lui que ce qu’il s’était imaginé.

Tu vois la petite pilule à droite ? C’est un somnifère. Je ne peux pas te laisser remonter jusqu’à moi, donc je vais te demander de le prendre pour pouvoir t’emmener dans un lieu sûr à l’extérieur. Mais avant cela, voici mon cadeau : tu vois l’homme attaché en face de toi, que tu as brillamment sucé à plusieurs reprises, et qui désirais te violer ? Et bien je te l’offre ma puce… Régale-toi autant que tu veux avec ce que tu as à ta disposition.

"Ma puce"... Ça m'est venu comme ça. Mais peu importe, ce qui va suivre sera probablement bien plus excitant que tout ce à quoi j'ai pu assister jusqu'à maintenant. Ateyu, qui a tout entendu, gémit et semble vouloir se tordre dans tous les sens. Inutile, tes liens sont solides. Et encore, il n'a pas pu assister à l'exhibition des outils qu'Amélie a maintenant à disposition. Elle peut toujours retirer ses bandeaux, cela dit... Mais à elle de voir si elle préfère ou non qu'il puisse la voir faire ou s'exprimer. C'est son moment. Je ne compte même pas l'encourager ou la conseiller.

Je lâche le micro, et attend. Je tremble d’excitation tellement j'ai attendu ce moment. J’espère qu'elle va expulser toute sa rage envers ce qui lui est arrivé ce soir, et peut-être même dans sa vie, sur ce pervers qu'est Ateyu. Et à voir comme elle a semblé avoir détesté ce qu'elle a subi juste avant, je ne m'attend pas à être déçue.
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 24 dimanche 14 mai 2017, 23:04:33

Bien décidée à la récompenser, sa tortionnaire fit apparaître un ensemble d’instruments de torture, en lui laissant carte blanche pour se venger sur le corps d’Ateyu. Elle se rapprocha de la table, sans rien dire, et ses mains se posèrent dessus, observant les instruments. Des fouets, des pinces électriques, des seringues, des scalpels... Ça allait du « soft » au « hard », en somme. Amélie ferma les yeux en soupirant longuement, n’osant pas croire à ce qui lui arrivait. Tout ce qu’elle avait envie, c’était de prendre cette pilule, pas de torturer ce taré... Mais, d’un autre côté, il est vrai que ce salopard avait prévu de la violer, et qu’il avait joui dans sa bouche.

*Et puis, si je ne fais rien, je suis sûre qu’elle va trouver un moyen de me le reprocher, et se venger... Une récompense ? Tu parles, c’est sûrement une autre de ses épreuves tordues !*

Amélie se pinça les lèvres, et se saisit des pinces électriques, puis appuya sur deux boutons. Ces derniers se mirent à vibrer entre ses doigts, et elle se retourna vers Ateyu. En comprenant ce qui allait lui arriver, l’homme gémissait et grognait, se tortillant sur place. La jeune Française, elle, continuait à trembler sur place. Ce n’était pas à elle de se venger ainsi, de faire justice soi-même, mais... Avait-elle vraiment une autre option ? Qui sait ce qui se passerait si elle refusait ? Avec un psychopathe, les options étaient plutôt limitées, et cette fille, quelle qu’elle soit, était indéniablement psychotique.

La jeune femme soupira encore en observant le sexe de l’homme, cette tige dressée qui oscillait d’avant en arrière sous les gesticulations de l’homme. Puis les sourcils de la femme se froncèrent, elle crispa ses mains sur les pinces, et les posa sur les testicules de l’homme. Ce dernier soupira encore, puis Amélie appuya sur les boutons.

« Hnnnnn... !! »

Elle serra les poings en fermant les yeux, tout en voyant le corps d’Ateyu se tortiller sur place, son corps se parcourant de frissons électriques, se dandinant dans tous les sens. Amélie se mordit même les lèvres, refusant de voir ça. Certes, cet homme méritait son sort, mais... Ce n’était pas ce que voulait Amélie. Non seulement elle jouait le jeu de cette cinglée, mais elle torturait aussi cette merde. Elle maintint néanmoins la pression pendant de nombreuses secondes, avant de finir par retirer les pinces.

« Voilà... Pense-y, la prochaine fois que tu voudras violer une fille, fils de pute ! »

Elle lâcha ensuite les pinces, les balançant au sol, puis Amélie attrapa la pilule bleue tendue par la femme, et l’observa silencieusement.

*Jusqu’à quel point est-ce que je peux lui faire confiance ? Qui me dit que ce n’est pas un piège ?
Quelles autres options vois-tu ?
*

Amélie ne voyait aucune échappatoire, aucune fuite possible. C’était terrible, mais elle était faite comme une ratte, sans aucune autre option que de devoir se fier à la parole de sa tortionnaire. Elle hésita donc longuement, faisant rouler la pilule entre ses doigts.

*D’un autre côté, elle doit avoir des moyens de m’endormir, si elle le veut...
Ça reste un pari risqué dans tous les cas, Mél’...
*

Ses lèvres se serrèrent à nouveau, et elle approcha la pilule de ses lèvres, en les entrouvrant. Sa langue glissa sur la pilule, et elle soupira encore.

« Rooh, et puis merde ! »

Et elle enfila la pilule dans sa bouche, et déglutit.

*Voilà... Conne jusqu’au bout !*

Qui sait ce qui allait se passer maintenant ? Amélie était intimement convaincue qu’elle n’en avait pas encore terminé avec cette folle...

DC d’Alice Korvander.

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