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Servante chaton dévouée à la maîtresse des poupées [Evangeline et Echo]
Karuta Roromiya:
Karuta n’avait pas été chez beaucoup de maîtres et de maîtresses depuis qu’elle était devenue esclave, mais depuis qu’elle était arrivée chez Evangeline, la maîtresse des poupées, elle n’avait plus besoin ni envie de partir. Sa nouvelle maîtresse était une femme merveilleuse, autoritaire et manipulatrice, qui avait su la toucher droit au cœur, et lui faire découvrir les plaisirs de la chair. Elle passa sa première nuit au manoir dans le lit de sa maîtresse, lui servant de peluche contre les cauchemars. Après ça, elle était passée au dressage animalier entre les mains des serviteurs d’Evangeline, qui lui apprirent à se comporter comme un vrai chat en la faisant vivre comme tel, mangeant dans une écuelle, dormant dans un panier, recevant des caresses et apprenant à miauler et à ronronner avec réalisme. Elle eut la chance d’avoir un dressage doux et patient, là où certains esclaves étaient brisés physiquement et émotionnellement. Et maintenant elle était un parfait petit chaton, capable de changer de l’état d’humain à celui d’animal en une fraction de seconde. Elle avait appris à faire son travail tout en profitant des différents plaisirs offerts par le manoir : les filles attachées dans la salle de bain, se détendre dans son rôle de chaton… Mais surtout, coucher avec sa maîtresse.
La journée débutait à peine et Karuta assurait le service du matin, dépoussiérant et astiquant le mobilier avec rigueur. Rien ne pouvait la distraire de son travail, hormis la présence d’Evangeline, qu’elle s’était mise à aduler comme une déesse. Et justement, alors qu’elle faisait le ménage dans l’entrée, sa maîtresse arriva en descendant par le grand escalier. Elle interrompit son ménage pour s’incliner sur son passage, et sa maîtresse demanda alors à jouer avec son petite chaton. Dans la seconde qui suivit, Karuta posa son plumeau et se mit à quatre pattes pour aller se frotter contre la cuisse de la dame en miaulant et ronronnant.
« Nyaaa… mmrraaww… »
Sa tenue de maid était si courte que, une fois à quatre pattes, on pouvait voir sa culotte, une fine culotte en dentelle blanche faite pour donner envie. Un cadeau de sa maîtresse, qui la voulait la plus désirable possible.
Evangeline et Echo:
Evangeline profitait d’avoir peu de travail dans la gestion de son territoire pour faire le tour de ses esclave et voir le travail qu’il restait à faire. Elle avait fait son tour terminant par ses favorites du moment. Elle venait d’attaché Rosa sa démone à un mur avec des vibromasseurs dans ses orifices. Une punition pour son comportement envers une poupée gardiennes qu’elle avait refusé de servir. Maintenant c’était au tour de la dernière Kurata. Une esclaves ressente qu’il avait fallu dressé et éduqué surtout dans le sexe et son souhait d’être animalisé.
Accompagné de ses deux filles adoptives Marie et Marion, Evangeline arriva dans le hall où se trouvait justement Karuta occupé au ménage.
-Bonjour Karuta, viens là mon petit chaton.
Elle regarda cette dernier posé son matériel et se mettre alors à quatre patte et venir se frotté dans ses jambes. Son apprentissage c’était montré efficace, car elle imitait très bien le chat. Marie se pencha pour venir lui mettre un sert tête avec des oreilles de chat, alors Marion sa jumelle, viens profiter pour lui relever sa robe. Elle profita de l’ouverture arrière qu’offrait sa culotte pour y rentré, un peu de lubrifiant et elle glissa une série de perle anal qui permettait de lui faire tenir une queue féline. Les deux sœur se relevèrent et reviens se mettre prés de leur mère adoptive.
-Suis nous ma petite chatte.
Evangeline s’avança vers la porte d’entrée et sortie avec le petit groupe de jeune fille. Il y avait un carrosse qui l’attentait avec deux cavaliers. Un homme impressionnant qui faisait guerrier et une femme sombre qui semblait plus fragile. Tous les deux étaient des poupées gardienne qui était là pour assurer leur protection. Il arrivait qu’Evangeline fasse une tournée de son territoire, pour voir de plus près ce qu’il y avait encore à faire et l’avancé de ses projet.
-Tu vas venir avec nous, ma petite chatte. On va en profiter pour faire le point sur ton éducation et tes préférences. Aller monte.
Evangeline s’installa sur une banquette, ses filles sur celle d’en face et Karuta à leur pied. Une fois tout le monde monté, le carrosse commença à traverser l’aller du manoir.
Karuta Roromiya:
Karuta ronronnait en se frottant contre les cuisses de sa maîtresse, et se laissa docilement faire quand Marie et Marion, ses filles adoptives, vinrent lui ajouter quelques accessoires pour parfaire son rôle : un serre-tête avec des oreilles de chat et une queue de chat tenant grâce à un plug anal lubrifié. La sensation de se faire insérer des choses dans la rondelle lui était particulièrement agréable.
« Nyaaannn ! »
Une fois équipée, elle suivit le groupe jusqu’à l’entrée du manoir, où attendaient un carrosse et deux poupées gardiennes. Evangeline allait procéder à une inspection de son domaine, et elle voulait que son chaton soit du voyage.
« Nya nya. »
Karuta monta dans le carrosse et se coucha sur le sol tandis que ses maîtresses prirent place sur les banquettes. L’engin entama sa course, et c’était parti pour rejoindre la vallée d’Ancarla. Sur le trajet, Evangeline donna l’autorisation à sa soumise de parler pour lui dire comment elle se sentait depuis son dressage.
« Je me sens bien, très bien même. Pouvoir être un animal est un bonheur pour moi. Je reçois des caresses, on joue avec moi, et parfois je peux même faire l’amour sous cette forme. Et j’adore tout ça. »
La jeune esclave vint ronronner contre les pieds de sa maîtresse pour recevoir de l’affection, car c’était bien là tout ce qu’il lui fallait pour être heureuse : qu’on reconnaisse ses qualités et qu’on lui donne des câlins en récompense. Le reste lui importait peu.
En un éclair, le carrosse arriva à destination, et tout le monde descendit. Karuta, toujours à quatre pattes sur le sol, leva les yeux et fut émerveillé. Après tout, c’était la première fois depuis son arrivée dans la région qu’elle allait visiter ce domaine, et c’était encore meilleur parce qu’elle allait le faire avec sa maîtresse et ses deux filles adoptives.
Evangeline et Echo:
Forteresse Nord-Ouest :
Le trajet pour rejoindre la forteresse n’était pas très longs en soit en peine une heure. Pendant le trajet Marie et Marion, s’amusaient avec Karuta, la caressant, l’excitant, la faisant lécher leurs pieds. Evangeline se contentait de les regardés de temps en temps, elle était surtout concentré sur le paysage qu’elles traverser. L’intérêt du voyage était quand même de voir l’état de son territoire. Arrivé à la forteresse, il était déjà midi et le soleil éclairait parfaitement la vallée. La forteresse était l’une des entrées et se trouvant en haut des montages, elle offrait une vue parfaite sur tout le territoire. On voyait parfaitement la rivière qui la traversait, la grande ville en son centre avec le manoir un peu plus loin en hauteur, on pouvait aussi apercevoir plusieurs villages plutôt récents. La vallée n’était pas immense, mais avait une protection naturelle par la chaine de montagne et les fortifications qu’avait fait construire Evangeline. Envahir se territoire n’était pas à la portée de n’importe quel puissance.
Une fois arrivé à la forteresse Nord-ouest, Evangeline descendit avec ses filles et son chaton. Elle lui laissa le loisir d’observé son territoire avec Marie et Marion qui lui décrivait ce qu’elles voyaient. Evangeline elle regarda plutôt la forteresse. C’était un bâtiment construit entre un passage creusé naturellement dans la montagne. Un peu à l’image d’un barrage, la route était ouverte par deux immense porte, il y avait en permanence un bataillon qui veiller à surveiller qui rentrait sur le territoire diriger par deux poupées gardiennes. Plusieurs soldat était au garde à vous depuis leur arrivé, elle leur fit signe de repartir au travail.
-Alors Karuta, que penses-tu de mon territoire ? N’ai-je pas raison de le protéger et de le développer comme je le fais ?
Elle se rapprochât d’elle et lui fit un sourire. C’était surement la première fois qu’elle avait le loisir de le voir aussi bien, à son arrivé elle n’avait même surement rien put voir.
-Rentrons à l’intérieur, si marcher à quatre patte te fait trop mal, tu peux te remettre debout.
Après tout ici c’était purement de la roche et l’intérieur de la forteresse n’était pas prévu pour le confort, mais le côté pratique militaire. Evangeline suivit des filles se dirigea vers un bureau plutôt sombre par le peu d’ouverture sur le jour et éclairé que de quelque flambeau.
Karuta Roromiya:
En bon petit chaton, Karuta restait à quatre pattes sur le sol, même si ça lui faisait un peu mal, elle devait jouer son rôle au mieux. Marie et Marion lui décrivaient ce qu'elle voyait autour d'elle, et elle observait sans en perdre une miette. A son arrivée ici, quelques mois auparavant, elle avait fait tout le trajet dans une calèche aux vitres foncées, et n'avait donc rien vu du paysage. Maintenant, elle pouvait enfin admirer le domaine de sa maîtresse, contempler sa grandeur et sa beauté. On lui demanda même son avis sur ce territoire.
« C'est magnifique. L'un des plus beaux endroits que j'ai vu de ma vie. Et il doit être très bien protégé grâce à vous. »
La maid ne savait pas parler autrement à Evangeline qu'en la couvrant de compliments. Pour elle, ce n'était même pas de la flatterie, juste la vérité.
Le petit groupe rentra à l'intérieur de la forteresse qu'il fallait inspecter, Karuta eut le droit de se remettre à marcher debout pour ne pas se faire trop mal. Elle entra après ses maîtresses dans un bureau assez sombre, presque sans ouverture pour laisser entrer la lumière, juste éclairée par quelques chandelles. Evangeline s'installa à ce bureau pour travailler, la maid eut pour consigne de rester tranquille pour le moment. Elle se coucha donc au sol, près de sa maîtresse, laissant ses filles adoptives jouer avec elle.
Karuta n'était qu'une simple servante, elle ne comprenait pas la portée significative du travail accompli par Evangeline pour gérer Ancarla. Tout ça lui passait au-dessus de la tête, elle n'était là que pour suivre les consignes. Et ça lui importait peu de devoir attendre ici à ne rien faire pendant des heures, si c'était ce qu'on lui demandait, elle le ferait. De même, si on lui demandait aide ou son avis sur une question, elle aiderait de son mieux, même si elle ne voyait pas à quoi elle pourrait bien être utile.
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