Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Refectoire

Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

<< < (2/12) > >>

Pauline Catalino:
Pauline nageait dans un coin en restant à l’écart des autres élèves. Elle ne voulait surtout pas qu’ils remarquent à quel point elle était excitée. Elle avait encore furieusement envie de se caresser, mais elle devait se retenir. La jeune fille savait que la peste qui lui servait de maîtresse avait d’autres idées en tête et elle en soupira d’avance. Elle entendit au loin le professeur crier le prénom de cette vilaine manipulatrice. C’est à ce moment que Leona rejoignit son jouet. Elle glissa ses doigts sous le maillot de Pauline comme si c’était un acte banal. Pauline devint toute rouge en sentant les doigts de sa maîtresse frôler son intimité.
Leona avait rapidement compris que Pauline s’était caressée. Cependant le terme petit goûter la surprit. Elle l’avait donc suivit et l’avait vu sucer l’autre garçon ? C’était très humiliant. Leona claqua le maillot sur l’intimité de Pauline et posa une main sur sa poitrine. Allait-elle devenir l’objet de cette fille sadique ? Non, elle l’était déjà…
Sa maîtresse déclara qu’il était temps pour elle de s’échauffer avant de passer aux choses sérieuses. Elle devrait aller sous l’eau pour faire du bien à Leona. Instinctivement la jeune fille regarda tout autour d’elle pour voir si quelqu’un les observait. Heureusement pour elle, personne ne faisait attention aux deux jeunes filles. Maintenant le souci était de réussir à satisfaire sa maîtresse pour ne pas subir sa colère. Pauline n’avait rien d’une fille sportive, et elle avait bien du mal à retenir sa respiration très longtemps. La jeune fille se calma pour réguler sa respiration alors que Leona la regardait avec un petit sourire sournois. Elle était vraiment très belle, quel gâchis !
Pauline inspira doucement et se glissa discrètement sous l’eau. Elle entoura ses jambes autour de celles de sa maitresse et s’agrippa à ses fesses pour ne pas remonter à la surface. D’une main elle écarta le plus possible le maillot de Leona pour découvrir son intimité puis colla sa bouche contre. Line garda sa bouche fermement collée au vagin de Leona pour ne pas avaler d’eau et commença à glisser sa langue entre les lèvres de son intimité. Elle lécha tendrement son vagin alors qu’elle sentit qu’elle ne tiendrait plus très longtemps. Elle résista tout de même tout en léchant le plus sauvagement son vagin en espérant que cela serait plaisant puis avala malencontreusement un peu d’eau de travers. Line remonta rapidement à sa surface puis recracha et toussa quelques instants tout en se tenant aux épaules de Leona.

- Maîtresse... Je n'en peux plus, bredouilla Pauline en essayant de retrouver son souffle. Je ferai ce que vous voudrez mais je n'ai jamais été douée en apnée.

La jeune fille restait agrippée à sa maîtresse et attendait avec inquiétude de savoir ce qu'elle allait lui demander cette fois ci. Elle espérait seulement qu'elle ne la forcerait plus à mettre la tête sous l'eau...

Leona:
Bien que maladroite la langue allait à son but et la langue trouvait son chemin sous l'eau, me faisant soupirer d'extase, juste assez pour ne pas être entendu des autres élèves au loin. Pauline quant à elle, s'étouffait progressivement sous l'eau sans même se rendre compte que la scène m'amusait, qu'il s'agissait là d'une de mes punitions fétiche. La voir s'agiter progressivement jusqu'à en devenir rouge et supplier chaque secondes l'oxygène était tout bonnement ce qu'il y avait de plus drôle aux yeux d'une sadique comme moi... malheureusement malgré le grand bien qui montait en moi, la brunette remontait à la surface... jusque là rien de choquant il fallait bien qu'elle respire après tout. Mais l'avoeu de ne pas vouloir y retourner quant à lui, me fit sortir de mes gongs.

J'ai dit que tu avais le choix ? Je me fiche que tu sois mauvaise en apnée, tu retourneras faire ton travail peu importe combien de fois tu boiras la tasse...

Comme personne ne nous regardait, après vérification... je lui administrait une gifle avant de lui replonger de force le visage sous l'eau, la maintenant cette fois-ci en appuyant sur le sommet du crâne. Quand on laissai trop de liberté à ces petites soumises voila ce qui arrivait... elles en demandaient toujours plus.

Là... voila, c'est bien... maintenant tu as gagné le gros lot et c'est moi qui décide de quand tu respire. Et quand je parlais d'un échauffement j'étais plus que sérieuse. Mais bon je vais te le répéter de manière plus claire et plus directe si tu l'as pas compris.... Une fois que j'aurais jouit, je vais simplement te violer ici même devant les yeux de tout le monde sans qu'ils ne s'en rendent compte.

Je tire les cheveux une première fois pour lui laisser une inspiration puis plouf, Pauline est de nouveau sous l'eau, visage collé de force à mon intimité. Puisqu'elle semblait ne pas être à l'aise sous l'eau je tirais moi même sa tête dans tous les sens pour obliger ses lèvres à se frotter là ou il fallait, juste sur mes lèvres intimes, gonflées elles aussi comme jusqu'à s'en dessiner sous mon maillot. Comme j'étais une adorable maitresse, j'écartais même mon maillot de l'autre main pour lui remettre l'intimité sur ses lèvres.

Alors on manque de souffle ? ton endurance n'est pas très bonne dis donc. Si tu veux abandonner je peux l'accepter, fait le moi juste savoir que je puisse révéler à tout le monde l'esclave sexuelle que tu était dans ton enfance...

Je ne la remontait à aucune seconde, jusqu'à ce que ses joues soient gonflées et rouge comme une tomate bien mure. Tant qu'elle ne perdait pas connaissance il n'y avait aucune raison de ne pas pousser un peu ses limites à son paroxysme, il suffisait juste de faire attention et de la relever au bon moment. D'ailleurs, elle eu le droit à une nouvelle gorgée d'air, avant de retourner sous l'eau aussitôt. C'était un avertissement... maintenant fini toi même le travail fait en sorte que je jouisse dans ta bouche, elle sera enfin utile à quelque chose comme ça... Retirant la main de dessus sa tête, je lui laisse désormais de nouveau le quartier libre pour respirer et recommencer ses apnées, qui seraient assurément de plus en plus épuisante... Et si elle recommençait à se plaindre.. et bien... pauvre Pauline...

Prends toi y comme tu veux, fait le juste bien. Lui dis-je en commençant à me masturber la poitrine, sensuellement et surtout d'un geste ample et lent pour espérer ne pas me faire voir... même avec le dos tourné.

Pauline Catalino:
Pauline continuait de reprendre son souffle alors que Leona lui donna une claque et lui plongea le visage sous l’eau de force. Elle ne lui laissait pas le choix et décida de l’utiliser comme un objet. Pauline tenta de calmer sa maîtresse en lui léchant tendrement le vagin mais cela ne changea pas du tout la façon dont elle se comportait avec son nouveau jouet. Elle la tira par les cheveux pour lui laisser respirer quelques instants, avant de la replonger sans avertissement entre ses cuisses. Sa maîtresse la tenait fermement par les cheveux et faisait frotter la bouche de Pauline contre son intimité alors que son autre main écartait son maillot. Pauline avait donc moins d’effort à fournir, tout ce qu’elle avait à faire c’est lécher, lécher et encore lécher. Sa maîtresse attendait toujours l’extrême limite pour remonter sa soumise à la surface.
Pauline avait fait une belle erreur en comparant Leona avec son ancienne maîtresse. Leona était cruelle et poussait le vice à son maximum. Elle était bien pire que sa première maîtresse. Pauline avait peur de finir par perdre connaissance mais la violence de Leona l’avait rendu extrêmement docile. Malgré son état, Line continua de lécher le vagin de sa maîtresse. Elle désirait lui faire autant de bien que cette dernière lui faisait du mal. Sa maîtresse la remonta une énième fois en la tirant sans retenue par les cheveux puis lui déclara qu’elle devrait finir par elle-même.
Elle avait été avertie et maintenant elle devait tout faire pour éviter de mettre Leona en colère une nouvelle fois. Elle reprit difficilement son souffle puis plongea une nouvelle fois entre les jambes de sa maîtresse. Elle écartait toujours son maillot, ce qui permit à Pauline de s’occuper de son intimité plus facilement. Elle plaqua de toutes ses forces sa bouche sur le vagin de la jeune sadique et la lécha furieusement. Line sentait que sa maîtresse n’en avait plus pour longtemps avant de finalement jouir mais elle dût remonter à la surface respirer un peu. Devant le regard froid de Leona, Pauline replongea rapidement dévorer son vagin. Pauline sentit de léger mouvements de hanches chez sa maîtresse et agrippa fermement ses fesses pour pouvoir la lécher passionnément jusqu’à ce qu’elle finisse par déverser sa cyprine dans la bouche de son jouet. La jeune fille remonta à la surface et avala la mouille de sa maîtresse. Elle avait finalement réussi à la faire jouir, et elle espérait qu’elle serait reconnaissante, même si elle en doutait fortement.

- J'espère que ça vous avez apprécié maîtresse, murmura Pauline tout en respirant fortement.

Elle n'avait qu'une hâte, c'était d'échapper à sa maîtresse à la fin des cours et d'aller se reposer après cette éprouvante journée. Cependant Pauline avait entendu Leona dire qu'elle allait la violer, et elle savait qu'elle ne pourrait pas y échapper...

Leona:
Sous la surface, là ou l'air était absent, notre petite secret était bien gardé et chaque plaintes étouffées ne seraient jamais découvertes. C'était comme un autre monde, une autre dimension dans laquelle Pauline était plongée pour travailler en toute sécurité. Ce qui marchait d'ailleurs bien à en juger par mon intimité, qui se réchauffait dans l'eau froide de la piscine scolaire. Peu à peu, je perdais mes moyens au point de ne plus savoir comment retenir mes gémissements, qui se faisaient plus présent. Certains élèves regardez même en notre direction en se demandant s'il ne s'agissait pas d'autre chose qu'un simple cours d'apnée... Heureusement, je pu garder mon calme lors de l'orgasme en empoignant ma poitrine à pleine main, et en mordant ma lèvre inférieur, le regard vague en me concentrant sur une seule pensée * Ne pas crier... ne pas gémir... mais surtout ne pas crier ! * Et avant même de m'en rendre compte je déversais mon nectar entre ses lèvres en serrant les cuisses, dandinant mes hanches de droite à gauche pour garder un appuis stable.

Lorsque ce fut fini, je ne lâchais qu'un petit gémissement ainsi qu'un soupire d'aise, expirant une bouffée chaude en prenant Pauline contre mon corps, tête contre ma poitrine... Mais au loin déjà le professeur appelait les élèves à se rassembler au vestiaires, pour une petite pause de 10 minute. Après une bonne heure dans l'eau quoi de mieux qu'une entracte après tout..

Elle a bien travailler monsieur, mais nous allons faire l'impasse sur la pause, Pauline veut encore travailler, elle me dit qu'elle est sur la bonne voie.

Une fois tout le monde sorti de la salle, je la regarde d'un air carnassier avant de sortir de la piscine, sortant de mon sac à coté du banc un long gode ceinture, d'un calibre long. Lorsque j'avais dit que j'allais la violer je ne mentais pas,, et je comptais bien prendre son derrière dans la piscine, après avoir enfiler l'instrument autours de la taille.

Ne t'en fais pas, personne ne t'entendra crier sous l'eau... et ça devrait être rapide vu ton excitation...

D'un coups net, je plaque ma main dans sa chevelure et lui plonge la tête sous l'eau d'un geste en avant, penchant son corps fesses bien en arrières. Et effectivement, elle pouvait toujours crier maintenant qu'elle était sous l'eau, avec ses fesses en offrande à mon bassin qui pilonnait déjà son derrière. D'abord par de petits mouvements à l'entrée de son anus, puis plus sauvagement, sans ménagement... Après tout, un viol ne devait pas être doux...

T'en jouiras, même si tu dois t'en noyer et finir à l'infirmerie...

Des mots bien cruels alors que ma poigne sauvage resserrait encore sa chevelure... je voulais clairement l'entendre crier à plein poumon sous les assauts ravageurs qui irritaient son derrière. Et j'y allait de bon coeur, son corps se faisait maltraiter et je commençais à avoir du mal à pousser plus loin. Qu'importe, je continuas à utiliser son derrière comme une porte sens unique qui ne pouvait qu'être enfoncé. Il ne fallait cependant pas oublier le but de ce viol sous-marin et ma main libre passait sous son maillot pour aller masturber du bout de l'index, son intimité encore chaude. J'espérais un orgasme haut en couleur pendant qu'elle s'étouffait, avant de la laisser ensuite tranquille pour un petit moment...

Pauline Catalino:
Quand son calvaire fût finit, Leona enlaça Pauline et plaqua le visage de la jeune fille sur sa poitrine. Line ferma les yeux et reprit son souffle en savourant cet instant de repos contre sa maîtresse. Mais le repos n'allait pas durer. Alors que les élèves étaient rappelés, la peste déclara au professeur qu'elles resteraient encore dans l'eau. Comme si Pauline voulait encore travailler. Elle n'en pouvait plus et savait qu'elle allait maintenant se faire violer. Cependant elle ne dit rien et se prépara mentalement à ce qui allait se passer. Leona était sadique et ne supportait pas qu'on la contrarie. Line devrait être soumise pour ne pas subir de choses encore plus douloureuses et humiliantes.
La jeune fille vit sa maîtresse sortir de l'eau et revenir avec un énorme god ceinture. Il était extrêmement long. Beaucoup trop à son goût. Leona agrippa les cheveux de son esclave et plongea sa tête dans l'eau avant d'enfoncer l'immense god dans son anus. Line lâcha un profond gémissement qui eût pour effet de vider ses poumons de tout l'air qu'elle avait inspiré avant d'être mise sous l'eau. Très rapidement Leona maltraita le cul de la jeune fille en lui défonçant l'anus et en enfonçant toute la longueur du god en elle. Pauline avait l'impression que son cul allait se déchirer et gesticulait dans tous les sens sous l'eau alors qu'elle n'avait plus d'air. Sa maîtresse ne semblait pas y porter beaucoup d'importance car elle préféra jouer avec son index sur l'intimité de son jouet. Pauline se sentait vraiment humiliée par ce que lui faisait Leona. Même un chien était mieux traité que ça. Finalement la jeune soumise ne pût s'empêcher de jouir alors que le god lui violait une énième fois le cul. Pauline gémit de plaisir et de douleur alors qu'elle commençait à sérieusement s'étouffer et qu'elle avalait de plus en plus d'eau.

Pauline n'avait qu'un souhait, que tout ceci se termine et qu'elle puisse rentrer chez elle. Heureusement elle ne vivait pas dans l'internat du lycée. Ses parents voulaient l'avoir auprès d'elle après sa disparition. Cependant Line ne souhaitait pas que cette peste sadique sache où elle habite. Elle devrait faire attention à ne pas être suivie quand elle rentrerait.

Elle n'en pouvait plus et sentant que sa maîtresse n'était pas pressée de la libérer, Pauline se dégagea violement de la prise de cette dernière. Une fois hors de l'eau, elle recracha beaucoup d'eau et toussa. Elle avait eu très peur de mourir noyer. Sa peur avait dépassé son caractère de soumise, Pauline gifla le visage de Leona et la regardait avec dégoût.

- Espèce de sale peste sadique ! Tu voulais me tuer ou quoi ? cria la jeune fille. J'étais entrain d'étouffer bon sang ! Qu'est ce qui ne va pas chez toi !

Elle avait parlé sous le coup de la colère, et elle savait que Leona allait lui faire payer cet affront. Mais elle s'en moquait, elle était soulagée d'avoir pu lui dire ce qu'elle pensait.

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

[*] Page précédente

Utiliser la version classique