Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Refectoire

Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

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Pauline Catalino:
Uriner procurrait beaucoup de plaisir à la jeune fille. Elle continua un bon moment mais son ventre restait tout de même bien rond. La flaque en dessous de Pauline était devenue énorme et l’infirmière en profita pour donner un coup de pied dans ses fesses pour la propulser tête la première dans l’urine. Sur le coup le bouchon fut expulsé de son cul et de l’eau coula abondament. Même quand elle était esclave chez sa première maîtresse, elle n’avait jamais été autant humiliée. Line releva lentement la tête alors que son visage était trempé par l’urine. L’infirmière retourna Pauline avec son pied et l’écrasa sur le ventre arrondi de la jeune fille. L’effet ne se fit pas attendre et l’eau s’échappa rapidement de son anus tandis qu’elle pissait fortement sans pouvoir s’arrêter.

– Haaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!! cria Line alors qu’elle se vidait en offrant un spectacle des plus dégradant.

L’adolescente avait le vagin en feu à force d’autant uriner, mais elle était satisfaite en voyant son ventre devenir moins imposant. Elle n’avait même pas expulsé la moitiée mais c’était déjà pas mal. L’infirmière plaça des pinces métalliques sur ses tétons et tira sur la laisse pour la remettre à quatre pattes. Ses tétons étaient tiré par le bas par des poids, ce qui stimula encore son plaisir alors qu’elle recommençait à mouiller. Pauline entendait l’eau remuer dans son ventre qui touchait régulièrement le sol alors qu’elle avançait aux pieds de la femme. Cette dernière poussa le vice jusqu’à réclamer de la jeune fille qu’elle aboye comme une chienne. Il était plus prudent d’obéir pour ne pas subir de sanctions.

– Wouaf, wouaf, wouaf, commença à aboyer timidement Pauline.

L’infirmière plaça un anneau métallique dans chacun de ses orifices et Line remarqua qu’elle avait maintenant une queue, comme une vraie petite chienne. Son visage sentait encore l’urine mais son excitation était bien trop grande pour qu’elle se sente humiliée. La femme termina en plaçant une cagoule en latex sur la tête de la chienne. Il n’y avait que deux trous, l’un pour sa queue de cheval et l’autre pour sa bouche grande ouverte. Pauline respira donc par la bouche en profitant qu’elle ne soit pas encore obstruée par une bite.
Ce fut au tour des membres du club de baseball de venir s’amuser avec la petite chienne. Ils étaient trois et l’un d’eux semblait dégouté par l’odeur que dégageait l’esclave.

– Hey Leona ! Nous on voulait se taper une jeune fille, pas une chienne qui sent la pisse ! déclara le garçon qui tenait une batte à la mains.
– Dans cet état elle peut tout juste nous servir de chiotte, ricana un autre garçon. Bon allez on peut quand même rigoler un peu les gars…

L’es des garçons retira brutalement l’anneau métallique de son cul et appuya la batte contre l’anus de la chienne. L’objet était très gros et en bois, si il voulait vraiment forcer petit trou avec ça, il était évident qu’elle allait crier et réveiller tout le monde dans le lycée.

– Que l’un de vous la tienne et lui occupe la bouche pendant que je teste quelque-chose, déclara le garçon à la batte avec un sourire sadique.
– T’en fais pas je m’en occupe ! s’exclama un de ses camarades qui rentra son gland dans la bouche de la chienne et qui commença à pisser.

Satisfait par ce que faisait son ami, le joueur de baseball poussa violemment l’extrémité de la batte contre l’anus de l’esclave. Pauline aurait voulu pousser un cri de douleur mais se retint de son mieux pour avaler l’urine du garçon qui était en face d’elle. Ce n’était pas évident car son nez était recouvert par la cagoule en latex et que par conséquent elle avait énormément de mal à respirer. Le bout de la batte commença à entrer lentement dans le cul de la chienne qui avala un peu d’urine de travers et en expulsa par le nez. Il vallait mieux qu’il finisse vite de faire ses besoins pour la laisser respirer. Être torturée et éttouffée était extrêmement difficile à supporter…

Leona:
Désormais plus qu'une chienne Pauline est prise par la bouche et pas son derrière, une batte en bois dure et à l'extrémité large pour combler l'anus et un gland entre les lèvres en guise de bâillon. Le ventre déjà amplement remplie était de nouveau gavé de liquide, généreusement distribué par la verge chaude d'un des deux élèves. qui bouchait par la même occasion son souffle. Pauline avait d'ailleurs rejeté un peu d'urine par le nez en buvant la tasse en criant... mais comme le nez était lui aussi pris au piège ça n'avait fait qu'imbiber la cagoule en latex avec le liquide chaud et odorant.

- Et regarde ça rentre vraiment ah ah !!!

Un coups de batte plus puissant s'enfonça loin en faisant trembler les jambes de Pauline qui était à bout de souffle, sur le point de s'écrouler sur son gros ventre tant elle devait respirer. Le gland sortait donc mais pour mieux entrer de nouveau et faire taire la bruyante jeune fille, qui se fit retirer la batte de base-ball avant de la voir de nouveau bien ancrée en elle ! le nouvel objet de son martyre écartait son cul à outrance mais glisser étonemment bien à cause de sa forme arrondit et qui devenait moins large au fur et à mesure bien que le bout forçait jusqu'à cogner bien au fond de son anus, en laissant son bas ventre plein de liquide rebondir à chaque poussée en avant. Un des coups de batte fut enfoncé avec tellement de hargne que la brunette déjà suffocante perdit son appuie et tomba sur le ventre dans un bruit sourd très stimulant.

Moins pour Pauline qui en convulsait alors que la verge se retira pour la laisser crier... visiblement trop fort puis qu'une lampe torche au loin dans le couloir se fit voir. Un surveillant ou un professeur avait du entendre la scène.

Aidez là à se relever on fonce au gymnase dans l'autre bâtiment.

Après une petite course pour être bien sure de l'avoir semée nous étions tous les 4 dans le grand gymnase, composé de cages de handball, de panier de basket-ball et de matériel scolaire.

- Putain la séance est gâchée maintenant !
- tss on a qu'à se venger, c'est la faute de cette chienne qui a aboyée trop fort !

Sans retirer la cagoule l'une des deux attache Pauline les mains suspendues en l'air, au filet de basket. Les pieds touchaient encore le sol mais Pauline ne voyait rien et ne pouvais pas bouger de toute façon puisque les liens la retenaient sur place.

- Hé tu as déjà jouer à la balle au prisonnier ?

Riant aux éclat le premier élève jette avec violence une balle sur ses cuisses. Comme il devait y en avoir une bonne trentaine dans le panier ils en lancèrent sur la cible qu'était Pauline à tours de rôle comme pour se venger. Ils en avaient plus rien à faire de l'abuser sexuellement pour l'instant et cherchaient juste à lui faire mordre le poussière. Au bout d'une petites dizaines de balles un peu partout une percuta avec plus de violence son bas ventre toujours remplie d'eau, dans ce bruit sourd toujours très lourd qui lui d'ailleurs évacué sans se faire prier une belle flaque d'eau sur le sol.

- Hé bonne idée ça, touchons plutôt son ventre !

La pauvre se retrouva vite avec le bas ventre mitraillée de balle lancé avec force dont plus de la moitié avait réussit à atteindre leurs but. De nombreuses marques rouges décoraient son corps puis soudainement, c'est un ballon en pleine joue qui s'écrasa avec une force terrible qui avait surement dut faire siffler ses oreilles. Sous le choc le bâillon à anneau s'envola sur le sol, libérant la bouche de Pauline.

- Plus de balle ! Bon on va tout ramasser et refaire un tours d'accord ? Et cette fois on veut t'entendre supplier sinon ce sera reparti pour un troisième round ensuite !

Le cauchemar de la pauvre Pauline qui ne pouvaient voir les ballons venir sur elle à l'avance ne faisait que commencer.

Pauline Catalino:
Pauline faillit s’écrouler quand le garçon enfonça la batte dans son anus d’un coup sec. La douleur était insoutenable et la jeune fille aurait crié si elle n’avait pas une verge en bouche et un bâillon en forme d’anneau qui l’empêchait d’articuler normalement. Après s’être amusé à faire de petits va et viens, le garçon décida d’empaler la chienne avec la batte. Il l’enfonça le plus possible en elle d’un coup violent qui éjecta la soumise sur le sol alors que son ventre fit un énorme bruit de liquide que l’on secouait. La verge n’était plus dans sa bouche et l’adolescente put crier de toutes ses forces  alors que la batte était presque entièrement logée dans son cul. Il était difficile de faire plus douloureux que ça. Son cri avait alerté quelqu’un car les garçons l’attrapèrent et partir au pas de course en direction du gymnase. Ils étaient frustrés d’avoir du quitter le couloir ? Tant mieux ! Pauline ne supportait pas ces imbéciles qui la torturait sans raison. Elle ne leur avait rien fait de mal…
Ses bras furent attachés au filet d’un panier de basket et elle devait se tenir sur la pointe des pieds pour ne pas être tout simplement pendue par les mains. Pauline poussa un petit cri quand l’un des garçons lança une balle sur ses cuisses. Les tirs sur la cible vivante s’enchainaient suivi par ses gémissements de douleur. L’un d’eux visa son énorme ventre rempli d’eau, et la violence du coup fit uriner la jeune fille sans qu’elle ne le désire. Elle était encore pleine d’eau et il y avait plusieurs litres à évacuer. À chaque tir qui toucha l’estomac de la jeune fille, de nouveaux jets d’urine se déversèrent sur le sol. Ces porcs devaient trouver drôle de la faire souffrir et pisser en même temps. L’une des balles frappa son visage et la fit recracher le bâillon anneau sur le sol. Line avait mal partout et voulait que sa maîtresse vienne la libérer rapidement.

– S’il vous plait… J’ai mal… Je n’en peux plus… bredouilla la petite chienne.
– Mais il nous reste encore près d’une demi-heure avec toi. Il faut bien qu’on s’amuse un peu, non ? questionna le garçon en riant tout en tirant en plein dans le visage de Line. Allez on est sympa ! On te donne le choix. On continue à dégommer ton ventre pour que tu te pisses dessus, ou on t’emmène dans les toilettes du gymnase pour nettoyer les trônes avec ta langue ?
– Je ne vais pas lécher ça ! s’exclama la lycéenne. Ma maîtresse ne voudrait pas que je fasse ça !
– Ta maîtresse veut juste récupérer des billets et elle laisserait tout le lycée faire ses besoins dans ta bouche contre une liasse bien épaisse !

Pauline ne savait pas quoi répondre car le garçon avait raison. Elle n’était qu’un objet pour Leona et si elle pouvait l’enrichir, alors elle ne s’en priverait pas. Les trois joueurs de baseball continuèrent de bombarder son ventre pour la faire uriner jusqu’à ce qu’elle n’arrive plus à tenir sur ses jambes et ne tienne debout plus que grâce à ses mains attachées au filet. Quand ils finirent par se lasser alors que le ventre de Line était rouge et douloureux, ils la détachèrent et se dirigèrent dans les toilettes avec elle.

– J’en ai marre que les chiottes soient dégueulasse ici ! Ils le sont tellement que plus personne ne vient pour nettoyer. Mais toi et ta merveilleuse langue vous allez faire des miracles, n’est ce pas ?
– Je… non… bredouilla Line alors qu’elle était à genoux devant un chiotte sale et à l’odeur nauséabonde tandis que Leona arriva dans la pièce. Maîtresse ! Je ne veux pas leur obéir, s’il vous plait…
– Il nous reste dix minutes Leona ! Et je peux rajouter 2000 yens que j’ai volé ce matin, déclara un des garçons en riant.

Pauline attendait en regardant sa maîtresse avec espoir. Il y avait peut-être un autre client à satisfaire. La jeune fille se raccrocha à cette pensée alors que Leona la regardait avec son sourire vicieux habituel.

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