Nouvelle arrivée ! [Pv Leona]

En voyant Lise dans cette posture quelques idées bien étranges parcouraient mon esprit, j'en venais à me poser des questions comme " est-elle assez souple pour s'offrir elle même une fellation ? " Il serait alors drôle de la voir se remplir l'estomac de sa propre semence en buvant à sa source, jusqu'à en faire gonfler son ventre comme un gros ballon bien lourd de plusieurs litres... Une idée à tenter, mais pas tout de suite... Car la cruelle sonnerie de cloche annonçait la reprise des cours et il fallait que je la prépare à ce grand évènement... Car ne disait-on pas que la première impression était la plus importante ? Il fallait mieux qu'elle soit présentable, impeccable ! Mais surtout... divertissante !

Tu vas devoir te présenter devant la classe alors ne me fait pas honte, tu partage la même chambre que moi après tout.

Une main relève sa jupe et caresse la verge comme pour la mesurer une nouvelle fois. Même au repos ce mandrin dément est plus gros et épais que celle de tout les petits puceau du lycée... Une aubain pour le petit jeu que je prévoyais puisqu'elle pu sentir tout de suite que j'enfilais des cordes jonchées de plusieurs noeud autours de sa verge, la faisant presque ressembler à un saucisson présenté sur le stand. Mais les cordes n'étaient pas là par hasard et servaient à ligoter de petite pilles vibrante tout le long de son bâton de chaire. Ce fut au total 7 petit pilles rectangulaire et vibrante qui furent solidement maintenues contre le sexe.

Je savais que ça ne servirait pas à aller au bout de ma pensée cependant... Non, Lise n'était pas comme toute les autres, il fallait qu'elle ai mal, qu'elle souffre, qu'elle découvre de nouvelles sensation qui choquerait son corps si je voulait vraiment la gêner et offrir une chance de jouir à ce grand cracheur de foutre. J'avais donc retiré des pilles électriques de certains de mes jouets vibrant, que je perçais et que je coupais. Les petits fils en cuivres qui étaient censés conduire l'électricité se retrouvaient dénudées, et je m'arrangeait pour les ligotés à sa verge de façon à ce qu'elles aient un contact avec les batteries des petits jouets vibrant. Pour faire cours, quand je déciderais d'augmenter les vibrations des petits jouets à distance, les piles lui enverraient de petites décharges électriques le long de sa queue... Pas de quoi l'électrocuter, encore moins de quoi lui faire perdre connaissance oui lui apporter des séquelles... mais les chocs seraient de belles surprises qu'elle devrait en plus gérer...

Oh j'oubliais...

Je poussais un gros jouet rose et souple en forme de phallus dans son fondement, lui aussi vibrant à la demande... J'avais de la main droite la télécommande pour les petits vibro, et de la gauche celle pour combler son jolie cul rebondit. Elle était fin prête à se rendre en cours.

Si les 10 premières minutes n'avaient rien eu d'insurmontables malgré les quelques piques de vibrations pendant sa présentation au tableau, la suite allait quant à elle s'avérer plus compliquer... Lise allait vite comprendre que je cherchais à la faire jouir en plein cours, devant tout le monde, et je voulais voir comment elle arriverait à gérer la chose, à l'affut de la moindre goutte blanche qui jaillirait sur le sol, hors de sa jupe

Mademoiselle, Lise m'as dit tout à l'heure qu'elle admirait beaucoup la langue française, et que ce serait un grand honneur pour elle de faire la lecture des 3 premières pages aujourd'hui, devant toute la classe...

Un vilain mensonge qui la guiderait droit devant le tableau aux yeux de toute la classe. Mais la lecture de cette oeuvre française allait être bien compliquée... car je ferais varier les vibrations derrières et devant de manières totalement aléatoire... ce cours de langue étrangère allait sans aucun conteste être le plus compliqué de sa vie, et je me demandais réellement si elle arriverait à cacher ces sensations... et surtout comment réagiraient les élèves et le professeur en observant le comportement étrange de Lise, en proie aux plaisirs et aux chocs électrifiés.

La suite des évènements avait été foutrement rapide, trop sans doute pour la bimbo blonde qui se retrouva avant de tout à fait comprendre comment, à assister au premier cours de sa vie. En tout cas le premier qui n'impliquait pas une bonne sœur acariâtre à la patience infinie et à la badine facile. Lise n'avait guère eut de mal à obéir au premier commandement de Leona. Resplendissante dans sa robe sexy en diable, elle avait attiré tous les regards. Qu'il s'agisse de son décolleté affolant, de sa croupe appétissante qui chaloupait dans un cliquetis de talons infinis ou de son visage de succube aux lèvres pulpeuses, la nouvelle élève avait attiré tous les regards sans même forcer son effet.

Bien évidemment, sous son sourire colgate, la malheureuse souffrait le martyre et pas d'une façon délicieuse. Passait encore son postérieur amplement comblé et les liens qui garrotaient solidement son chibre déjà prêt à repasser à l'action, mais les décharges électriques des merveilles de technologie de Leona la mettaient au supplice et elle ne devait qu'à un self contrôle hors du commun de ne pas se jeter au sol à quatre patte en suppliant au premier mâle béat d'admiration de l'enculer à sec pendant qu'elle se branlait comme une furie pour abréger cette torture. Aussi s'était elle plutôt concentrée sur les apparences, clignant de l’œil au passage de quelque camarade à la beauté qui méritait son attention, qu'importait son sexe.

En d'autres termes, après avoir manqué de provoquer une émeute d'adolescent en chaleurs en pénétrant dans la salle de cours et avoir trôné au premier rang pendant quelques minutes, Lise se retrouvait au pied du mur, à l'agonie. Si elle maitrisait péniblement son érection, elle ne pouvait masquer ses lèvres humides sur lesquelles elle passait sa langue toutes les cinq secondes, restant stoïque sous les décharges alors qu'elle sentait déjà son corps se tendre d'excitation.

Catapultée d'office sur scène par sa peste de domina du moment, la grande blonde se leva d'une détente très raide, chaloupant sur ses jambes immenses jusqu'au pupitre et prenant la place désignée par la professeur. Par chance ou par miracle, elle parlait couramment français. Contrairement à ce que son apparence superficielle laissait supposer, Lise n'était pas plus bête qu'une autre, mais elle avait surtout bénéficié d'une éducation rigoureuse voire névrosée, qui la sauvait de ses longues heures de solitudes dans son cachot humide. Ressassant sans cesse ses connaissances nouvelle acquises, Lise avait un niveau scolaire plus que correct.

Et ce fut donc exposée au regard de tous (bien que la plupart des individus mâles - et quelques femelles- n'aillent pas plus haut que ses obus énormes), droite dans sa robe noire, ses ongles manucurés serrant le petit ouvrage tendu par la professeur qu'elle entonna d'une voix chantante le texte qu'elle lisait. Une décharge supplémentaire ne parvint pas à lui arracher un hoquet mais elle sentit les cordes s'incruster dans sa chair alors que le réseau de cordes restreignait son pénis. Délicieuse souffrance.

"Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes, où ils mangeaient, il l'envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu'il cherchait du travail."

Plutôt résistante pour une bimbo... qui sait ce qu'elle avait déjà dut endurer pour résister à un tel traitement sans montrer le moindre signe d'agression. Si je n'étais pas au courant de ce qui se passait moi même sous sa jupe j'aurais surement eu du mal à interpréter le moindre petits mouvements de jambes, le moindre petit spasmes qui pouvait mettre sur la piste l'oeuil assez avertie. Devant une telle bande de puceau néanmoins il était plutôt aisé pour Lise de cacher le plaisir qu'elle retenait tant les yeux étaient hypnotisés par son large buste, représenté par deux obus rebondissant en fouettant l'air. Même la professeur de français essayait de ne pas regarder ces splendides monts de chaires, y trouvant une meilleurs concentration sur ses lèvres pulpeuses. Moi de mon côté, je scrutais le sol sous sa jupe à l'affut de la moindre petite goutte blanchâtre, qui avec déception n'apparaissait toujours pas. Que fallait-il faire pour faire jouir cette bimbo au mandrin plus gros que celui d'un centaure ? J'allais quand même pas la mitrailler de coups de cravache en plein cours ni me jeter sur elle pour la... tiens... et pourquoi pas après tout ? Je pouvais très bien jouer avec le feu et lui faire des choses plus approfondie devant le nez de toute le monde, sans que personne ne s'en rende compte... Plutôt difficile quand on savait que les yeux seraient rivés un bon moment sur elle... voila qui était un bon challenge.

J'avais d'ailleurs une bonne idée d'approche bien que je la laissais paisiblement continuer son texte, augmenter les vibration du jouet anale au maximum sans interruption cette fois-ci, contrairement à sa verge qui était la proie de multiples spasmes incontrôlée par mon doigt qui relâchait ou appuyait la pression sur le bouton. J'aurais bien eu en tête la vision obscène de Lise se jetant contre le mur pour écraser sa verge, jouissant sous sa jupe en se frottant contre la parois en béton de la salle de cours... Mais bien sure cette pensée n'était qu'une lointaines utopie. Il fallait falloir attendre la fin de sa lecture, qui arriva quelques minutes plus tard sous des applaudissements qu'elle devait en parti à son physique pulpeux.

Mademoiselle ? Je peux me mettre au fond de la classe avec Lise ? je pourrais rattraper mes lacunes en langues étrangères puisqu'elle semble avoir un bon niveau.

Bien évidemment que je me fichais royalement de mon niveau sur cette matière, si j'avais des difficultés c'est parce que les langues étrangères ne m'intéressaient pas. Les élèves par contre eurent un semblant de regard noir ou de jalousies, bien vite estompé par mon expression froide que mes " camarades " de classes connaissaient bien maintenant. Après tout j'avais ma réputation au sein du lycée et nul doute que 3/4 des élèves de cet établissement n'étaient pas assez maso pour vouloir me vexer. La prof quant à elle n'avait rien à y redire et nous étions vite installées au fond de la classe, table contre table. Toute de suite, sans même un petit mot, je glisse ma main sous la jupe de Lise, profitant que la scène se passait sous la table pour ne pas la retirer. Les élèves pouvaient bien se retourner mais n'y verraient que du feu, contrairement à ce qui se passait au dessus, à la vue possible des élèves.

Mon petit jeu ressemblait bien vite à une mission périlleuse et il fallait être rapide pour donner de grosses gifles sur sa lourde poitrine, guettant le moindre laps de temps ou aucun élèves ne regardaient derrière... Parfois la prof de français se retournaient à cause du cuisant sons de gifle, mais bien trop tard... seule la poitrine balotante dans le vide persistait en temps que dernière preuves de mes agissements.

Si tu jouit pendant le cours je t'offres une belle récompense. Ma main toujours son sa jupe enserre la verge dont les chocs légèrement électrifiées parcourent mes doigts dans un sursaut. Tu pourras te vider dans n'importe laquelle de mes cavités... pendant 20 minutes, n'importe ou... pendant la pause entre les prochains cours...

Une jolie carotte au bout du bâton tandis que je glissais ma main plus vers son derrière, y enfonçant d'un coups sec et violent le gode dans son cul, le faisant disparaitre dans ses cavités anales en laissant un grand trou béant derrière. Un trou assez large pour y incruster tout mes doigts et y pousser encore et encore sans les retirer... y incrustant même à force le poignet sans aucun ménagement... pile au moment ou la prof jeta un oeuil vers Lise, le regard étonnée tandis que la classe suivait derrière... Mais pour moi, nul besoin de retirer ma main, qui gigotait dans son anus pendant que le jouet vibrait loin dans ses parois...

Lise, tu as l'air étrange, est-ce que ça va ? Annonça la prof en quittant le derrière de son bureau, commençant à venir vers nous... Et si Lise croyait que je retirerais ma main elle se trompait bien, je poussais même un grand coups en avant pour lui montrer que je ne reculerait pas, et que c'était à elle d'écarter toute menace si elle ne voulait pas se faire prendre...

Par un tour de passe passe accordé par des cieux bien généreux, Leona parvint à exiger la compagnie de sa colocataire au fond de la classe. Lise nota que la brune avait une influence hors du commun sur les professeurs et songea à se renseigner discrètement à ce sujet. Mais bien vite, elle dut affronter le regard des autres une fois son extrait achevé. Concentrée sur son itinéraire, elle prit soin de poser un pied après l'autre, doucement, pour ne pas perdre l'équilibre alors qu'elle sentait son pénis garroté lutter contre les cordes qui tenaient bon. Bien évidemment, personne ne la quittait du regard et elle n'avait pas le droit à l'erreur.

Ce fut enfin réfugiée au fond de la classe qu'elle s'autorisa un soupir de soulagement, se relâchant tout à fait. Masquée par le pupitre, elle sentit bien vite la table écraser sa gaule monumentale, le gland compressé contre le bois froid du mobilier. Elle avala sa salive en jetant un regard désespéré à Léona, laquelle paraissait bien décidée à tirer avantage de la situation puisqu'elle empoigna son membre avec une moue salace qui laissait présager du pire. Les gifles sur sa poitrine suivèrent bien vite et la bimbo sentit ses seins se balancer au gré des gifles, les pressant entre ses bras croisés pour éviter de finir les nichons à l'air. Sa robe était sexy en diable mais certainement pas conçue pour préserver la pudeur de sa propriétaire soumise à pareil traitement. Sentant les cordes saucissonner encore davantage sa verge à chaque décharge électrique qui lui arrachait désormais des hoquets douloureux, Lise referma ses deux poings sur la table en redressant ses beaux yeux vers Léona.

Je ne peux pas. S'il te plait. Je ne peux pas gicler ici. Tout le monde va le voooooouaaaaaaaraaaagh.

La gothique venait d'enfoncer sans ménagement le jouet dans son fondement, manquant de la faire hurler devant tout le monde. Étonnamment et malgré les rapports violents et répétés qu'elle affectionnait, Lise était dotée d'un cul on ne pouvait plus serré. Force de la nature, son œillet se refermait comme si de rien n'était après le passage des objets les plus insolites et reprenait des allures de petit trou parfaitement vierge de fille sage au repos. Autant dire que chaque pénétration était une épreuve délicieuse et que la bimbo sentait ses entrailles se déchirer à chaque insertion. Leona dut forcer pour insérer l'objet aussi loin, alors que la blonde saisissait son pénis à deux mains, planta un index fébrile dans son urètre pour pallier au plus pressé. Elle sentait la semence affluer, davantage excitée par l'humiliation de la situation que ces plaisirs somme toute très basiques. Elle sentait main de Leona, loin dans ses entrailles, son fion vulgairement écarté, la jupe retroussée sur cette cavité béante que l'on n'aurait pu deviner quelques secondes auparavant. La main de sa tortionnaire ruisselait de son jus le plus intime et Lise ne put s'empêcher de bouger légèrement son index, le sentant racler contre les parois si serrées de sa bite.

Je ne peux... pas. Tu ne... peux pas m'acceuillir je suis troooop grooosse. AAAAH.

Et alors que la professeur l'interpellait, Lise fit un effort suprême pour garder sa contenance. Elle redressa la tête en arrière, masquant son masque de douleur par une moue méprisante qu'elle maitrisait si bien.

Oui madame. Je me moquais juste de Leona, madame, elle est vraiment mauvaise en français. Pardon d'avoir dérangé le cours, madame.

Puis elle retomba sur la table dans une parodie de lectrice studieuse, faussement fascinée par le livre posé sur la table, sous ses seins. L'occasion de glisser une remarque supplémentaire à Léona.

Je ferais tout ce que tu veux, promis. Mais pas ici, pas maintenant, pitié. Si je gicle, je nous recouvre toutes les deux, et le rang de devant. Pitié... Retire ta main. S'il te plaiiit.

Alors comme ça elle se permet d'envoyer des piques et de me supplier moins de deux minutes après pour ne pas la faire jouir en cours ? Elle se fou de la gueule de qui ? Je ne suis déjà pas clémente de nature alors après m'avoir insulter elle peut bien maculer la classe de foutre en se faisant pointer du doigt que je le ferais avec plaisir. D'ailleurs, ma main qui se retire lentement de son cul meurtri doit être un signe trompeur de soulagement pour elle. La belle Leona se retire et accède à sa requête ? Oh non, surement pas, c'est pour prendre un élan plus dévastateur et m'y enfoncer de nouveau d'un coups l'air de dire " ça réponds à ta question ? ". Cette fois, la main s'est ancrée bien plus loin et mon poignet a disparu de plusieurs centimètre dans son anus... La pauvre doit vraiment avoir le derrière en feu...

C'est drôle... ton cul est serrer mais à la fois bien solide... Concernant la requête par contre, je peux te garantir que tu va jouir autours de ses 20 élèves, et de notre professeur... même si tu dois éclabousser honteusement la classe. Voila ce qu'il en coute de se moquer de sa maitresse.

Naturellement je m'étais désignée comme sa maitresse et ses derniers mots raisonnaient comme le plus sourd des sons dans mes tympans. J'en avait franchement rien à foutre qu'elle me propose de faire ce que je voulais d'elle, elle était de toute façon à moi si elle ne l'avait pas compris... Elle ferait donc tout ce que je lui dirait de toute façon... qu'importe la situation. Inutile de dire que je remettais les bouchées double pour la faire céder, pilonnant son derrière en l'empalant de plus en plus sur mon avant bras, sans une seule once de peur d'être découverte... Moi, je me fichais de ma réputation au lycée.

A cette pénétration anale assez brutale se rajoutais l'autre main, qui lâchait les vibreurs en les laissant actionnés à fond. Je lui empoignais à la place sa longue verge qui avait taper un grand coups contre la table, un peu comme s'il avait s'agit d'un genoux percutant le pupitre...

Si tu ne veux pas que ça gicle n'importe ou trouves vite un moyen de la recouvrir ou de limiter les giclées... Mais dépêche toi je ne compte pas t'attendre.

Je l'empoigne de mes doigts agressives, griffant la chaire de ce long pénis sans retenue, durant une grande partie du cours... Mon bras quand à lui ne pouvait pas s'enfoncer d'avantage dans ses fesses, le faire aurait signifié devoir me pencher vers ses fesses, une position plus que douteuse pour assister à un cours. Je trouvais tout de même la présence d'esprit d'agripper le jouet entre mes doigts une fois arrivé au fond, pour ne pas lui laisser au fond de ses parois anales ensuite... Elle n'aurait le droit au repos qu'en éjaculant ici même... Un repos dont elle devrait profiter avant la suite du programme... de nombreuses épreuves plus douloureuses encore attendaient Lise

Il fallait la voir, la bimbo arc boutée sur la table tandis que sa voisine s'acharnait à lui défoncer le cul avec un jouet qui menaçait d'arriver jusqu'à son intestin à ce rythme. Quant à savoir comment ses voisins ignoraient tout de ce cirque, c'était un mystère qui n'intéressait de toute façon plus Lise. Elle était foutue, irrémédiablement foutue. Sa bite cognée contre la table et plus électrifiée qu'un condamné à mort sur la chaise électrique sonna le coup de grâce et elle planta ses dents dans sa langue pour se retenir de hurler en sentant une énorme décharge parcourir son corps tandis que son mandrin hors du commun vibrait au passage des vagues de foutre.

Panique. A quelques secondes d'asperger la salle de giclées gluantes, que Léona aurait beau jeu de minimiser via un vague prétexte, la bimbo eut un de ses rares éclairs de lucidité. Secouée par un orgasme délicieux alors qu'il lui semblait que sa bite se déchirait, toujours jugulée par les savants jeux de cordages, elle se baissa en un éclair, récupérant le sac de sa congénère qu'elle empala sur son chibre sans guère d'arrières pensées. Avec ce sac à foutre aussi inconfortable qu'improvisé, elle put sentir ses vagues de sperme quitter son corps sans guère s'inquiéter du résultat, si ce n'était qu'elle baigna bientôt dans un véritable océan où flottaient crayons et cahiers, au hasard des envies de la physique. Épuisée après son orgasme dantesque, elle reposa le sac désormais alourdi de quelques kilos sur le sol, où il retomba avec un bruit flasque alors qu'elle rétractait discrètement sa bite dans le sous vêtement coquin, non sans savourer le jouet toujours au plus profond d'elle. Cette fois elle était foutue. Léona allait la torturer à mort sans doute, et cette seule pensée lui donnait des frissons de plaisir. Une promesse était une promesse et Lise était très fière d'elle même, de cet orgueil imbécile, cet éclair de génie qui ne visait guère qu'à un seul but, davantage de douleur.

Je veux jouir dans ta bouche à la prochaine pause. Tu as promis. 

Putain, mon sac neuve était totalement foutu, remplis de foutre comme un vulgaire préservatif d'au moins un bon litre. Si nous n'avions pas été en cours j'aurais rouer son jolie corps de coups à lui en faire saigner la peau, je lui aurait infliger tous les supplices que mon esprit tordus logeait en lui... Vraiment, quel idée de faire ça, au pire elle aurait pu prendre son sac mais non, ce fut le miens... j'avais comme un doute, j'étais presque sure qu'elle lavait fait exprès pour me provoquer et attiser ma haine...

Oh oui... oui oui... tu va jouir dans une bouche...

Mais surement pas dans la mienne après ce que tu viens de faire pensais-je en quittant la classe, prétextant aller aux toilettes alors que je quittais purement et simplement le cours pour ne pas enrager et crier en salle de classe. Quel garce cette bimbo, il allait falloir que je me rachète un sac et des affaires scolaires maintenant... j'allais devoir lui faire payer, et grassement. D'ailleurs je n'y avait pas penser mais en quittant mon pupitre d'un geste sec la main dans son anus était sortie aussi vite qu'elle n'était rentrée, abandonnant l'oeuf vibrant loin dans son derrière, qui devait encore vibrer dans ses parois anales les plus retranchées. Ce n'était pas voulu au départ, mais bien fait pour elle !

Après un long moment à essayer de calmer ma haine en tournant dans les couloirs... séchant le reste du cours en abandonnant le sac à son sorts, je n'arrivais toujours pas à retrouver mes esprits. La vue de Lise sortant de la salle de français l'air tout fière contribua à nourrir mon hostilité, désormais assez élevée pour aller lui tendre une embuscade. Comme toutes les filles elle devrait surement se rendre aux toilettes pour se refaire une petite beauté et je l'avais discrètement suivit dans les couloirs, la poussant au moment opportun contre la porte pour l'enfoncer, et faire tomber la plantureuse blonde au sol.

Alors comme ça c'est amusant de jouir dans le sac des autres ? Tu trouves que c'est rigolo de baigner mes affaires dans ton sale foutre ?

Ma colère ne fait qu'un tours et la semelle de ma bottine s'écrase contre sa gorge, lui coupant net la respiration en la regardant d'un air hautain, sans jamais la décrocher du regard. Durant plus d'une longue minute je ne lui laissais pas assez d'espace dans sa gorge pour qu'elle puisse capter une moindre molécule d'air. Très vite, ses yeux commençaient à se révulser et la teinte rouge annonçait une asphyxie proche... De quoi foutre la trique à une masochiste comme elle, même s'il fallait revenir à la réalité et lui offrir de nouveau l'air réclamé.

Puisque ça te fait plaisir ton prochain sac à foutre sera ton propre corps. Disais-je en lui écrasant le ventre d'un coups brève, mais violent à lui en faire plier son buste. Vu la taille ridiculement grosse de ton erreur de la nature, ça ne doit pas être un problème de te prodiguer toi même un fellation... Pour la relever et la plaquer contre le mur, je tire sa longue chevelure couleur blé pour projeter son dos et l'arrière du crâne contre le carrelage. Remplit toi copieusement avec ta propre semence. Je veux voir ton ventre grossir comme un ballon jusqu'à ce que tu sois physiquement incapable d'en ingérer une seule goute de plus. Tu as bien compris ? Tant que tu arrives à avaler tu continueras à te remplir... tu ne pourras arrêter que lorsque tu commencera à tourner de l'oeuil...

Elle voulait jouir dans une bouche ? Quoi de mieux que ses lèvres pulpeuses pour sucer sa verge alors ? Et au moins, elle aurait son repas du soir bien que copieux... J'avais de la voir se prodiguer des gorges profondes à s'en étouffer dans de violentes giclées de spermes. Et si elle croyait s'en sortir elle avait tort, je prenais bien soin de bloquer la porte avec un solide balais pour que personne ne rentre. De toute façon il y avait plusieurs toilettes dans l'établissement et peu insisteraient en pleine heure de cours...

Aller commence, j'ai hâte de voir combien de litre tu va pouvoir ingurgiter...

Le jouet vibrait toujours dans son anus, totalement oublié par mon esprit colérique. Mais je prenais toutefois le temps de libérer sa verge des piles et des cordes pour faciliter ses fellations.

Pour le moment simple spectatrice, je ferais en sorte de la battre pour la motiver si elle trainait trop à se remplir l'estomac.

Je t'avais préven...

Lise n'avait pas finit sa phrase qu'un coup de pied dans la gorge la coucha au sol. C'était assez inattendu venant d'une petite nana comme Leona et si la bimbo était loin d'être faible, elle accusa l'impact. Habituée aux coups, elle aurait sans nul doute pu reprendre le dessus si elle avait véritablement désiré se battre. Après tout, ce cul parfait n'avait pas été obtenu sans efforts et Lise était dans une forme physique éblouissante. Mais elle l'avait cherché, cette agression, après s'être lâchée sans retenue dans le sac de Leona, savourant cette vengeance mesquine autant que son trait d'esprit. Et voilà que la brunette furieuse la forçait à se sucer elle même. Si elle n'avait pas été à demie étouffée par l'attaque, Lise aurait sourit. Sa tortionnaire ne pouvait se douter que c'était l'un de ses passes temps favoris. Ses masturbations effrénées étaient généralement suppléés par sa bouche et ses seins. Ce que Leona qualifiait d'erreur de la nature était en réalité une bénédiction et la blonde n'était jamais à court de possibilités. Boobjob, blowjob et compagnie étaient ses meilleurs amis. Mais si elle savait se donner du plaisir, Lise péchait niveau souffrance et rien ne remplaçait les perversions d'autrui pour véritablement prendre son pied.

Et ce fut donc avec une habitude non dissimulée qu'elle releva sa robe pour enfourner cet engin monstrueux entre ses deux seins brusquement arrachés à leur écrin, puis se déboita la mâchoire pour enfourner ce gland hors du commun entre ses lèvres charnues qui épousèrent parfaitement la forme alors qu'elle s'aidait du mur pour s'enfourner ce chibre dément dans la bouche, salivant sur sa propre bite pour ne pas se déboita la mâchoire au passage du monstre. A genoux dans des chiottes de lycée, la bouche pleine de son propre engin, à demie nue, son cul rempli d'un jouet qui ne cessait de la tourmenter, elle se prit en gorge profonde. Ses yeux se révulsèrent et elle trembla de plaisir et de souffrance alors que ce membre hors du commun se frayait un chemin dans sa bouche, centimètre par centimètre, l'asphyxiant un peu plus à chaque seconde. Elle ouvrit les yeux et les leva vers Leona dans un défi muet alors qu'elle força brutalement pour plier son membre et passer la glotte. L'idée était claire "Si je sais faire ça par moi même, il va m'en falloir vraiment plus pour prendre mon pied". On pouvait aussi résumer ce regard par "et maintenant, connasse ? " Pour faire bonne mesure, elle se tordit cruellement un téton.

j'aimais beaucoup ses lèvres pulpeuses qui englobaient son sexe dans une succion bruyante et extraordinaire, plus que d'avoir simplement offert des fellations de qualités à d'autres hommes il était aisé de voir que la bimbo s'offrait des petites gâteries toutes seules régulièrement. Son regard quant à lui je l'aimais moins, il était certes doté d'un joli esprit de défie mais aussi d'arrogance envers moi. Pour le lui faire comprendre je tirais ses cheveux en arrière d'un coups sec, refaisant sortir la verge aussitôt d'un trait sans faire attention aux parois de sa gorge. Une petite giclée de salive s'échappait pour se rependre sur le sol et je crachais moi même sur la base de sa longue verge pour lubrifier la partie qui ne l'avait pas encore était pas sa bouche, massant la longueur pour étaler ce lubrifiant naturel comme il se devait. Une fois bien luisante, je lui enfourne de nouveau dans le gosier, d'abord doucement pour la mise en bouche, puis d'un trait en percutant le le fond de sa gorge du bout du gland, toujours sans faire gaffe à l'état de ses parois, j'aurais bien pu les ravager que j'estimais que ce n'était pas un problème. Qu'importe la douleur ou même un éventuel haut le coeur lorsqu'elle s'enfonce si profondément sans prévenir, l'essentiel c'est qu'elle soit bien au fond et qu'ont puisse deviner cette large bosse qui investit toute sa gorge... cette bosse qui se dessine parfaitement même de l'extérieur.

Aller remplit toi, je veux voir ton corps être inondé par ce raz de marée blanchâtre !

Pour la faire souffrir un peu dans les toilettes je n'ai pas grand chose... à part les liens que j'ai retiré de sur sa verge précédemment et avec lesquels j'attache solidement ses deux testicules, comme pris dans un filet trop serrer qui presses les deux noix grosse et bien pleines. En terme de douleur ce n'était pas suffisant même si j'en tirais l'autre bout pour étirer ses boules comme si je cherchais à les arracher. Si seulement j'avais eu une bougie ou quelque chose comme ça... j'aurais recouvert ses points les plus sensibles de cires brûlantes qui aurait fondue sur son corps... Mais là, dans les toilettes.. il allait falloir un peu d'ingéniosité pour lui faire mal avec ce qui passait sous la main... Tiens d'ailleurs... c'est ça ! Une bougie ? Il fallait chercher une source de chaleur du côté de l'éclairage, une ampoule ferait tout aussi bien l'affaire après tout.

Dans un geste qui devait lui paraitre étrange je retirais mon haut pour l'enrouler autours de ma main, décrochant ainsi une ampoule sans me faire mal. L'ampoule qui était constamment allumé du matin au soir et même pendant la nuit en semaine, chauffait le verre d'une chaleur intense. Une chaleur ^brûlante que la belle Lise découvre lorsque j'étale l'ampoule le long de sa grosse poitrine et que je la roule avec insistance sur ses tétons. J'essayais de faire en sorte qu'elle noie son corps dans son propre sperme jusqu'à s'en étouffer si besoin, mais qu'elle se remplisse bien jusqu'à ce qu'aucune goutte ne puisse y rentrer, pendant que je faisais rouler l'ampoule un peu partout sur son corps pour la brûler d'une chaleur éclatante que je ressentais même encore un peu malgré le vêtement qui protégeais ma main. Alors que l'autre tait toujours occupés à mal mener ses testicules qui eux aussi eurent le droit à un peu de cette chaleur trop poussée...

Il fallait la voir s'acharner sur son propre membre ! Sans la moindre douceur, sans une once de délicatesse, Lise se défonçait la gorge avec un entrain presque inquiétant. Il était difficile de déterminer où elle prenait davantage son pied, de sentir son chibre ruisseler de saliver, caressé par cette langue insatiable ou de frôler l'asphyxie à chaque coup de boutoir, s'enfournant un mandrin qui écrasait tout sur son passage et manquait de lui faire vomir ses tripes à chaque instant. Bien évidemment, Leona se régalait du spectacle. Il y avait manifestement quelque chose d'effroyablement excitant à voir cette bimbo dont l'apparence était si importante s'avilir de la sorte, à genoux dans des chiottes à l'hygiène douteuse, à demie dénudée sans même avoir prit la peine de se déshabiller complètement, s'enfourner une bite hors du commun dans sa propre gorge à s'en tirer des larmes tout en ruisselant de divers fluides des moindres délicats sur cette hampe désormais maculée de diverses substances. Indubitablement, Lise y trouvait son intérêt. Plus encore lorsqu'elle sentit la morsure ardente de l'ampoule sur différentes parties de son corps et que ses couilles enserrées par le lien viraient au bleu.

Ce ne fut pas le crachat de sa tortionnaire qui allait faire peur à la blonde au visage défait, tant par la bile que la bave et elle goba à nouveau son membre avec un cri de souffrance devenu mugissement lorsqu'elle le sentit rabattre sa glotte dans sa gorge. A ce rythme et avec l'ajout fort judicieux d'une enième brûlure sur ses bourses à l'agonie qui mouraient d'envie d'expulser leur contenu, Lise sentit son membre se tendre d'une secousse violente qui indiquait une décharge monumentale. Arc boutée sur sa bite, elle ne put s'empêcher de se redresser en arrière, libérant son membre et aspirant une goulée d'air salvatrice alors qu'elle manquait de défaillir de se sentir si libre. Mais l'orgasme arrivait, effrayante lame de fond qui annonçait une cascade de semence bien plus importante que celle qui avait rempli le sac de Léona quelques instants auparavant. Secouée de spasmes, à demie consciente, Lise n'eut que le temps d'arracher l'ampoule des doigts de Léona sans se préoccuper de la chaleur de l'objet, l'écrasant sur un téton qui semblait n'attendre que ça. L'ultime trait de souffrance qui la déchira fut la dernière pierre de l'édifice de son plaisir, mais... Elle saisit Léona.

Tout hargneuse qu'elle était, la brune ne pouvait lutter contre la force insoupçonnée de cette blonde sportive, au corps aussi habitué aux efforts violents qu'aux souffrances intenses. Pour une femme qui se roulait au sol quelques instants auparavant, Lise était étonnamment forte. Et lorsque cette puissance était alliée à un désir hors du commun, il était impossible à Leona de résister. Car elle avait promis. Ce qu'elle espérait sans doute n'être que des paroles en l'air étaient restées gravées dans l'esprit de la blonde et ses valeurs étonnantes. Elle avait accompli sa part du marché, à la jeune femme de tenir parole, de gré ou de force. Ses orifices étaient disponibles et Lise voulait au moins le plus accessible d'entre eux pour vider son épaisse purée blanchâtre dans un petit nid douillet. Elle la courba en deux et lui écrasa sa bite sur les lèvres, sans se préoccuper de l'immonde mélange qui la maculait déjà. Le mandrin n'était guère plus qu'une cascade de présperme, de salive aux bulles blanchâtres qui se mêlait à la bile légèrement plus consistante qui ruisselait en filets. Et au sommet, un monstrueux gland violacé qui vibrait déjà sous la pression du foutre en approche. Maculant le visage de sa soumise, cette poupée si parfaite qui refusait de s'abaisser à son niveau, de ce mélange immonde, cherchant à forcer le passage de cet obélisque qui ne rentrerait que sous un coup de rein, Lise sourit à travers ses larmes de souffrance, follement excitée de voir le visage de sa maitresse presque disparaitre, perdre de sa superbe devant ce monstre de chair.

Tu as promis. Avale.

Et l'explosion blanche arriva, plusieurs litres de foutre expulsés à toute vitesse de cette queue monstrueuse alors que la blonde martyrisait son téton grésillant sous la chaleur de l'ampoule, malaxant ce bourgeon de chair de cette masse presque incandescente qui brûlait la peau et consumait sa jouissance. Malgré ses yeux révulsés, malgré le hurlement qui se frayait un chemin dans sa gorge, elle fixait d'un oeil torve celle qui avait promis, qu'elle voulait voir disparaitre sous ces monceaux de foutre, réduite à un orifice comme elle le disait si bien.  Elle voulait la dégrader et la remplir, essayer d'avaler ses litres avant de s'étouffer et s'effondrer au sol sous la cascade de sperme.

C'était à n'y rien comprendre, un instant plus tôt cette pauvre blonde était sur le point de noyer son corps d'une giclée de semence défiant toute possibilité et voila que je me retrouvais un mouvement bien placée bouche englobant sa verge. Prit dans un élan de panique je regarde la blonde en ouvrant de grands yeux, respirant mes dernières bouffées d'air à pleine narines avant que le gland ne s'engouffre dans cette porte étroite qu'est ma gorge. Si étroite face à cette chose trop massive qu'elle y prenait facilement toute la place avec en prime son gout pas très ragoutant. Un gonflement énorme fit office de bosse à travers ma gorge et je crispais mes doigts sur le sol à m'en fait mal aux ongles, débâtant mes jambes en vain. Et c'est quoi ce regard qu'elle me lance, elle se prends pour la maitresse maintenant ? De nous deux c'est elle le jouet et passé cette vague je serais là pour le lui rappeler amèrement... Mais allais-je la passer cette vague... J'avais bien vu comment elle avait jouit tout à l'heure et j'allais surement m'étouffer avant la fin... Même si la verge ne tardait déjà pas à palpiter pour annoncer le raz de marée qui en sortit aussitôt.

Ma tête se secoue de droite à gauche comme pour lui dire non et mes joues déjà rouges montrent le peu de souffle que j'entretiens lors de mes rares séances de sports. Cette blonde ne a rien à faire et déverse un premier jet déjà assommant que j'ai peine à avaler correctement, me faisant rouler les yeux en arrière. Non, il ne faut pas déjà que je parte... il faut que je garde mes esprits même devant ce flot infini qui n'en fini pas de se déverser... oh non pardon, de me remplir comme une vulgaire bouteille qu'ont placerait sous un robinet d'eau ouvert à fond, pour avoir de quoi boire plus vite. Il y en avait trop, beaucoup trop et je n'arrivais déjà plus à avaler la semence qui s'accumulait jusqu'à remonter le long de ma gorge, pour se blottir sur le peu de place qu'il y avait dans mes joues qui gonflaient à vue d'oeuil, et devenaient pourpres.

Putain !! je dois respirer !!!

Mais il ne le fallait pas, si je le faisais ce ne serait pas de l'air qui remplirait mes poumons mais de la semence. Sauf qu'au bout d'un moment quand le sperme sort en giclée par la bouche je n'en peux plus et mon corps se tort dans tous les sens sous de lourds gémissement... je suis forcée de céder et d'inspirer un grand coups, faisant déferler dans le fond de mon gosier toute cette semence qui n'avait pas pu descendre. Forcément, j'en inspirais une grande quantité et but la tasse, laissant plusieurs grandes giclées remontées dans mes narines et être expulsés par mon nez... Mais elle s'arrêtait jamais de jouir cette connasse ? !!!

Je suis à bout cette fois...

Mon coeur battait la chamade et mon corps convulsait doucement alors que mes yeux grands ouverts faiblissaient, devenait légèrement rouge autours des pupilles . C'était comme se noyer, mais dans une semence épaisse à la place de l'eau et même quand les giclées finissent enfin par lentement faiblir elles sont encore bien au delà d'un jaillissement normal... Pourtant la situation m'excitais malgré moi, manquer d'air avait une sorte d'effet euphorisant assez malsain dont je me délectais sans me rendre compte en mouillant ma culotte, tandis que mes yeux se révulsent et que la tête me tourne... J'étais à deux doigts de m'évanouir si elle ne terminait pas maintenant et je n'avais même pas fait gaffe dans mon état, à mon bas ventre qui enflait à force d'être gavée comme une oie.

Lise le payerait si j'en ressortais indemne et ça, c'était la seule certitude qui dansait dans mon esprit, mains dans la main avec ma deuxième obsession qui était de respirer.

Alors que Leona disparaissait sous les vagues de sperme qui semblaient décidées à sortir par tous les pores de sa peau, Lise se retira. Sa bite cracha encore quelques filets blanchâtre qui allèrent saloper le mur en face d'elle, puis commença à se rétractement lentement, alors que la bimbo se remettait lentement de son orgasme, adossée au mur, pantelante. D'une main molle, elle soutint son membre flasque qui se balançait mollement entre ses jambes en fixant la silhouette recroquevillée sur le sol, encore sous le choc de son éjaculation. Cela avait été un orgasme dantesque et voir Leona manquer de défaillir n'avait fait qu'ajouter à son plaisir, elle qui ne trouvait sa jouissance que dans la souffrance et l'humiliation. La brune d'apparence si parfaite ne ressemblait guère plus à ce qu'elle avait été, couverte de foutre, gisant à même le sol dans des toilettes d'une propreté douteuse. Lise lui tapota doucement la tête, sans prendre garde à la consistance visqueuse des cheveux qui se lièrent à ses doigts grâce à ce gluant mortier.

Merci. Tu as tenu ta promesse.

Cela avait été plutôt de force que de gré, mais qu'importait. Elle lui avait giclé dans la chaleur de sa bouche, se délectant de ce doux écrin humide, profitant de Leona comme on avait tant de fois profité d'elle. Plus encore que son plaisir de l'instant, c'était la perspective des jours d'humiliations que la brune vengeresse lui infligerait qui la réjouissait. Alors, en se rhabillant d'une main encore tremblante, tentant de retrouver un semblant de pudeur alors que la cabine s'empuantissait de cette odeur rance de foutre tiède, elle souriait, rajustant sa robe de catin en peinant à rentrer son chibre dans son string ridiculement petit.

Tu es sublime comme ça.

Nulle ironie ne transparaissait dans le ton de la bimbo, mortellement sérieuse. Restait à espérer que personne ne s'inquiète de l'odeur d'orgie et de la mare de sperme qui commençait à se répandre sous la porte.

Toussant sans une once de grâce le liquide épais qui maculait le fond de ma gorge je reprenais mes esprits avec difficulté. Tout tournait autours de moi et j'étais passe a deux doigts de m'évanouir. Je n'écoutais même pas ce qu'elle pouvait bien dire et de toute façon j'étais dans l'impossibilité de comprendre un traitre mot avec les oreilles qui sifflaient autant. Je n'eus la force de me relever que deux grandes minutes plus tard en tapotant des mains sur l'évier, l'ignorant toujours. J'avais vraiment une salle tete et a sentir l'odeur je n'avais pas besoin de le voir pour confirmer. Il fallait simplement que je me rince avec abondance le visage, et que j'aille changer ces vêtements horriblement souille et sale. Putain de garce qui m'avait prise par surprise, si je me serais douter qu'elle irait jusque la ! Mais elle allait le payer au prix fort c'était une certitude, une fois que je me serais bien assez rincer le visage. Mais dégoulinante d'eau comme ça jusqu'aà la moindre pointe de ma chevelure brune, je n'avais guère l'air plus convaincante.

Toi la nouvelle... comment... Qui crois tu que je suis pour oser... je n'ai même pas les mots pour exprimer ma rage.... la !

Grinçant des dents dans l'allure épouvantable d'une lycéenne qui serait tombée toute habillée a l'eau, je saute a sa gorge en hurlant, faisant tomber la blonde tempe contre le bord d'une des cuvettes. Par instinct vengeur, je lui agrippe les cheveux comme le bout d'un sac de paille pour aller lui foutre la tête dans la cuvette des chiotte. Ma force était surement décuplée par ma haine mais je profitais également bien du coups qu'elle avait reçu en tombant. Quoi qu'il en soit je tirais la chasse a diverses reprises pour noyer son visage sous un torrent d'eau toutes les 5 secondes, comme si j'avais l'intention de l'étouffer. Ce qui ne dut pas passer très loin vu la couleur de son visage violacé lorsque j'eus la présence d'esprit de la tirer hors de la.

Oui tu as raison... je tiens toujours mes promesses... c'est pour ça que tu va éjaculer au fond de ta propre gorge... comme je l'ai promis !

Sans même me soucier des possibles autres élèves qui auraient pu écouter à la porte ou rentrer, je lâchais ses cheveux tenus en grappe dans le creux de ma main, faisant retomber la tête de la belle au dessus de la cuvette.

Je suis tellement en colère que je serais capable de te tuer par accident... Et je ne veux surtout pas rester dans cet état dégoutant plus longtemps, je dois me changer...

Je me dirige vers la porte, le poing serrer tout en sachant qu'un peu de temps de répit pour me refaire une beauté ne suffirait pas. J'allais conserver ma haine tant que je ne lui aurait pas fait payer au double du prix. Seulement l'odeur me donnait envie de vomir et je me sentais plus répugnante qu'un cochon s'étant roulé dans la boue, je devais absolument me refaire belle.

Ta première nuit ici sera un véritable enfer, je vais m'en charger personnellement. Et le meilleurs dans tout ça c'est que tu va venir cueillir ta punition de toi même, je te donne rendez-vous dans la chambre à 19H pile. Si tu ne te présente pas à l'heure c'est moi qui viendra te chercher... Et même une sale masochiste comme toi ne veut pas savoir comment je m'y prendrais... crois moi

J'aurais bien pu le battre et la rouer de coups mais ce ne serait qu'une effusion de violence sans saveur dont elle ne tirerait aucune leçon. Elle en avait déjà vu de toutes les couleurs je l'avais bien compris et il allait falloir réfléchir d'avantage pour réellement la marquer. Mais pour ça, il allait d'abord falloir que je me refasse une beauté pour être en condition...