Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Adventures through dreams
Full of strange warning signs
Epiphanies of cherry trees
There's endless things to find
As this mysterious melody plays in me in my mind

Lentement, très lentement, un soleil embrumé se levait. La ville s'offrait au regard d'une étrange silhouette, créature paumée sur les toits de cette ville aux allures de Capitale Américaine. Posée sur un Building de verre, le menton entre les mains, Mars fixait le levé du jour, curieuse, découvrant les premières lumières sur les formes endormies de Plutar, une de ces nombreuses villes nées en quelques jours, sorties du ventre brûlant de la terre par la force de la science et des innovations humaines. La jeune femme releva finalement le nez quand le soleil fut totalement levé, faisant lentement claquer sa langue à son palet. Elle descendit rapidement les escaliers, pour entrer dans le bâtiment. Malgré une apparence de bureaux, l'immeuble de verre et d'acier était un fameux club, The Sailor's Paradise. Le Sailor, une sorte de club et bar de jour, où l'ambiance ne refroidissait jamais, où les strip-teaseuse n'arrêtaient jamais de danser, où les consommations coulaient, coulaient toujours. Elle aimait l'ambiance de cet endroit, glauque et lourde, luxuriante et brûlante. Elle glissa sa langue sur ses lèvres alors qu'elle se déshabillait pour enfiler ses habits personnels. Elle avait une joue un peu rougie par un coup qu'elle avait du prendre pendant une bagarre dans un coin sombre dans le club.

Âgée de 22 ans, mineure quand elle avait été embauchée au Sailor, elle était serveuse et parfois bar-maid. Naturellement violente et provocante, d'une méchanceté aussi étonnante que contraire à son besoin de justice, Mars était une pitbull à la gueule d'ange. Si on entendait éclater une bagarre dans le club, on était certain d'y retrouver Mars à regarder la scène avec un sourire, pariant sur un échec ou sur une réussite. C'était un de ses péchés mignons, elle aimait parier sur tout, sur n'importe quoi. Boissons, argent, infos, corps, jeux ... Une fois, elle avait finit par parier sur la capacité de la tabasser. Simplement. Et elle avait gagné. Il l'avait tabassé à la sortie du club. Ils avaient finit ensemble. Mars avait des soucis avec ce genre de relations. Elle avait été attirée par la douleur. Parfois, elle entendait dire qu'elle n'était qu'une enfant gâtée... Non. Une enfant qui n'avait pas su comment grandir. Voilà ce qu'elle était. On ne lui avait rien dit, on l'avait foutu dans l'âge adulte sans l'aider et elle s'était raccrochée au sexe et a la douleur. Une vraie passion pour la douleur, une obsession pour la souffrance. Elle était masochiste. La vraie douleur, les cris d'extases mêlés très étroitement à des cris de panique et de douleur, de souffrance totale. Mars était extrême, elle était de celle qui seraient capables de s'étrangler totalement durant l'amour pour ressentir le frisson de la mort en même temps que l'orgasme. Elle avait été prise sous l'aile d'une jeune strip-teaseuse dans le club, après avoir payé un lourd prix pour des menaces à la sortie de la boite. Le tribu ? Une jambe jusqu'au genou. La blessure s'était rapidement infectée, et  sa jambe avait dû être amputée et remplacée par une superbe jambe en acier technologiquement très avancée, tatouée, avec une sorte de défense intégrée. Elle avait un flux électrique, comme un taser, provoqué par le dynamisme de la marche. Après tout, elle se rappelait encore de ce film où une mère maquerelle portait une sorte de fusil intégré à sa fausse jambe.

Elle trouvait ça classe. Mars était fatale dans son genre. Pour elle même et pour les autres. Son corps d'ailleurs valait le coup d'oeil. Elle finit de se déshabiller, regardant son corps dans le miroir. Elle finit par enfiler son short, et un large sweat au dessus de son corset en dentelle. Tatouée visiblement, c’était sous les vêtements que ça devenait vraiment intéressant. Musclée, le corps fuselé, elle était déjà totalement bonnasse avec un cul à se damner... Tatoué. Des fesses rondes et fermes a souhait, bien en harmonie avec ce corps parfaitement sculpté, avec ses tatouages colorés, violents, qui étaient encrés sur la peau de son cul. Une œuvre d'art, ses fesses étant tatouées, et son dos... Il avait été percé comme un corset et elle y avait fait glisser un ruban, qu'elle pouvait changer selon son humeur. Une sorte de poupée en porcelaine humaine. Sur le devant, ses seins étaient lourds, percés par des petites barres d'acier classiques avec des petites boules au bout. Son bas ventre était la continuité du tatouage de ses fesses et de ses reins, son intimité glabre et ses jambes nues de tatouage. Cette femme était sublime pour peu qu'on aime un peu... L'extrême. Elle attrapa un petit sac à dos, et une cigarette au bec, une bière dans la main, elle sortit doucement de l'établissement pour se poster devant l'entrée. Il devait être..  7h du matin. Elle attendait patiemment qu'un des clients sortent.
 
But there could be rainbows
And pots of gold
Or maybe just roach infested ruins of old
There could be sunshine
Endless treasures to hold
Or maybe just rickety old furniture
Covered in sticky sticky mold

Enfin patiemment ... Elle jeta sa bière dans la vitre d'un HLM de luxe, sachant pertinemment que le verre des baies vitrées ne flancherait pas puisque c'était un de ces nouveaux matériaux réputés pour être incassables. Elle glissa sa main dans la poche centrale de son sweat, en soufflant en hauteur. Bon sang, il ne comptait pas sortir une bonne fois pour toute ?! Elle entendit le pas trainant d'un déchet alcoolisé qui s'était fait jeté du club par la sortie des employés, derrière elle, et se tourna pour faire face au jeune homme. Pas en bon état, le mec. "Hé, connard, file moi du feu." Elle esquissa un sourire alors qu'elle relevait légèrement la capuche de son sweat, en le fixant. Il ouvrit de grands yeux, puis une grande bouche, comme s'il humait l'air en essayant de respirer. Le cerveau ralentit par l'alcool ingéré à trop grande échelle, il ne réagit finalement pas et eut un hoquet en se penchant en avant, ses yeux se plissant. Dans cet état lamentable, seuls les instincts ressortaient ... "Tu veux quoi ? M'chauffer ? J'prefere que tu m'brules au fer blanc, j'aime quand ça marque. Tu sais, genre des initiales qui brûlent la peau." Elle lui dit un fuck majestueux et vint le pousser contre le mur alors qu'il tentait vaguement de la peloter, ce qui lui tira un rire. Elle attrapa le briquet de l'inconnu, et le relacha, le laissant sombrer sur le bitume froid. " - Déchet de merde ..." Siffla-t-elle.

Elle se rassit sur ses talons, crapotant une nouvelle cigarette. La silhouette sortit enfin de l'établissement ce qui tira un sourire à la jeune femme. Il était louche. Ok, tout le monde était louche dans cette putain de ville de dégénérés, mais lui encore plus que les autres. Mars avait le nez pour ça, c'était dans sa nature d'attirer les mecs louches, et d'être attirée par eux. Au moins, elle était honnête avec elle-même, elle avait un sacré instinct de merde et un karma de pute. Elle le trouvait assez louche pour lui dédier sa prochaine journée de super-héroïne. C'était un peu con, elle avait la plupart des horaires de nuit et devait combattre le crime de jour. Les cheveux attachés, elle portait une capuche pour cacher son identité. Son sweat noir avec des toiles d'araignées était devenu sa marque de fabrique, pour certains crimes mineurs qu'elle avait su arrêter. Mars aimait ce passe-temps auquel elle dédiait ses journées, son énergie et son argent. Le super-héroïsme. C'était tout une manière de vivre ! C'était ... Protéger la veuve et l'orphelin. Bon, la plupart du temps, l'activité justicière de Mars se réduisait à un cassage de nez de voleur de sac à main, mais même comme ça, elle était heureuse. Sauf qu'elle sentait qu'elle avait fleuré un gros poisson, avec celui-là. Il puait le mal à dix kilomètres à la ronde. Ou alors il était juste putain de séduisant. A choisir, elle n'avait pas encore décidé.

Elle le suivait de loin, la cigarette toujours pendue à sa lèvre alors qu'elle pianotait sur son téléphone pour se donner une contenance. Une si belle contenance qu'elle entra brutalement dans ce qui ressemblait à un torse. Oh. Elle releva son nez, l'air de rien, alors qu'un long frisson la parcourait. C'était un dos. Ou un torse. Un truc encore non-identifié. Elle recula d'un pas. Un torse, au final. Elle n'entrouvrit même pas les lèvres, le fixant droit dans les yeux comme pour lui demander des explications. Il faudrait qu'elle pense à continuer sa route, cela dit... Ca devenait suspect. " Humpf ..." Elle finit par remarquer qu'elle y avait perdu sa cigarette et en sortit une nouvelle en faisant claquer la pierre du briquet dans un mouvement nerveux. Niveau filature, elle était vraiment pas douée. Faudrait clairement qu'elle réessaie ... Elle disparut dans une rue, sans essayer autre chose pour cette journée.

C'est quelques jours plus tard que Mars arriva à le suivre sans se faire repérer comme la première des idiotes. Pas mal fière, elle finit par entrer dans le bâtiment, une sorte d'immeuble tout à fait banal. Elle laissa tomba sa capuche sur ses épaules, tâtonnant dans le noir en glissant contre le mur. Il y avait une sorte de ... Lumière. Chaude et ocre. Elle avança doucement vers la source lumineuse et sentit son pied se prendre dans quelque chose, ou quelqu'un, ou encore une chose non-identifiée et se sentit tomber en avant, brutalement ... Longuement. Très longuement. Tombant en avant, elle se rattrapa brutalement à quelque chose, avant de se fracasser le cul contre une surface froid. " - Putain de bordel !" Elle hoqueta doucement, sous le choc, alors qu'elle réouvrait les yeux ... Ow. Ow, ow, ow. C'était quoi, ça ?! Elle avait devant elle... Des femmes. Nues ou frêlement habillées, dans des positions équivoques. C'était un peu étonnant, comme première vision. Elle recula, cherchant de nouveau la lumière ocre pour repartir par là où elle venait d'arriver, pas vraiment conquise par cette image. Elle fronça les sourcils. Pourquoi ces nanas ressemblaient plus que parfaitement à toutes les femmes portées disparues depuis quelques semaines ? Elle s'était penchée sur le sujet pendant une dizaine de jours avant d'abandonner. C'était en dessus de ses capacités.

Mais du coup, elles étaient là. Genre ... Là. Là. Ok... Elles étaient là. Elle avait du mal à réagir, le souffle un peu étouffé. " - Vous allez ... Bien ?" La question paraissait totalement conne, dans cette situation précise mais c'était tout ce qui lui était venue à l'esprit. Elle avait un peu du mal à capter là. Vraiment du mal.

Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Re : For no one can give you courage, in a world of compromise {Pv}

Réponse 1 mercredi 06 avril 2016, 14:19:59

Surveiller ses pas. Les mots de l'homme résonnaient encore dans l'oreille de la belle. Il trainait avec lui un terrible charisme, une sorte de rage luxuriante qui la faisait frémir. Ce n'était pas juste sa carrure, même s'il semblait taillé dans la pierre ou le marbre brut, non c'était autre chose ... Ses yeux. Voilà ce qui avait immobilisé Mars quand elle lui était rentrée dedans. Ses yeux... Deux boutons rouges, écarlates et ensanglantés, qui brillaient d'une excitation primaire. Ses yeux la fixaient, la dévoraient du regard. Ou non, ce n'était pas exactement ça, c'était quelque chose de plus sauvage, de plus profond, de plus animal. Mars avait sentit un frisson lui parcourir le dos, remonter le long de sa colonne pour la faire frémir entièrement. Ce n'était pas une sensation désagréable, c'était quelque chose de plus bestial, comme si juste avec ce regard, il pouvait faire naître en elle toutes sortes de désirs et d'envies enfouis au plus profond de son être. Alors non, ce n'était pas désagréable, mais par contre c'était dérangeant. Elle se sentait seulement hors de contrôle, dangereusement hors de contrôle quand elle croisait son regard de sang. Il pouvait briser toutes ses

Mais justement ... C'était ça qui lui plaisait. C'était la raison précise pour laquelle elle l'avait de nouveau suivit après lui être rentrée dedans. Elle était attirée par cet homme, encore plus que par son aura brûlante, mauvaise. Elle était attirée par ses yeux et les mouvements de ses lèvres, un peu haineuses, un peu méprisantes. Rien que de sentir qu'avec un regard, il pouvait la harponner, ça l'excitait.

Il y a toujours quelque chose de plus brûlant quand on imagine dans quoi on va se foutre, quand on fantasme sur une rencontre de plus en plus sauvage. Ouais, elle le suivait plus par excitation et désir que par réelle envie de faire la justicière, pour le coup. Elle ressentait comme une étrange attirance, une attraction primaire pour ce corps deux fois plus large que le sien. Un peu comme un fragile pantin, Mars se faisait mener en bateau par le mâle, attirée dans ses filets. Si elle avait été une espèce en danger, on aurait même pu dire qu'il la braconnait après lui avoir laissé sentir un bout de viande particulièrement intéressant et comme un chaton des rues affamé elle aurait suivi l’appât jusque dans le piège à chat. Et le piège l'attendait, portes grandes ouvertes. Elle y plongea dans toute son innocente connerie après avoir croisé le regard du mâle. Un appel à la luxure auquel la jeune justicière répondait, précipitamment. Elle s'y vautrait avec complaisance. La luxure avait tout autant été inventée pour ce démon là, que pour elle.

Elle restait immobile, sa langue glissant lentement sur ses lèvres charnues alors qu'elle fixait la scène. Mpf. Mars était hétérosexuelle par manque d'expérience et de mémoire, c'était aussi le cas des nanas kidnappées. Elle eut un nouveau frémissement, peut-être plus intense encore, quand la voix de l'homme s'éleva. Une pure menace, qui coulait rauque et grave dans la pièce, qui s’immisçait dans tout le corps de la jeune femme. Elle restait silencieuse, ne tournant même pas la tête pour l'instant, l'écoutant seulement se rapprocher, comme un animal de sa proie. Elle était sa proie. Attendait-il qu'elle se débatte ? Qu'elle morde, qu'elle grogne, qu'elle crie ? Rien de tout cela. Mars attendait, calmement. Sa langue claqua à son palet, avant qu'elle ne se détourne légèrement pour le dévisager. Les idées n'étaient déjà plus claires dans son cerveau, et elle mordilla sa lèvre inférieure avant d'esquisser un sourire joueur. Elle avait envie de réagir.. Mais elle attendait.

Elle attendait de connaître ce qu'il attendait d'elle. Elle ne jeta qu'un regard à la jeune femme qui tomba au sol sous la gifle, ne réagissant même pas. Non, elle se foutait de tous ses idéaux de justice, de fierté, d'aide ... Là, maintenant, il n'y avait que cet homme, au torse taillé par les années. La veuve, l'orphelin ? Elle les aurait écrasé, pour se faufiler contre lui. Mécaniquement, elle releva la tête vers lui, ses cheveux se perdant dans la capuche de son sweat alors qu'elle le laissait prendre possession de sa gorge, lui prouver sa toute puissance physique. Le souffle légèrement haletant, les yeux perdus dans les deux globes ensanglantés de cet inconnu, la bouche entrouverte sur sa langue langoureusement posée sur sa lèvre ... Mars soupira. Un souffle chaud alors qu'elle se relevait doucement, pour se mettre sur les genoux, devant lui. Un couinement surpris lui échappa quand il la gifla, rougissant ses pommettes. Elle releva le menton, juste assez pour dessiner sur son visage de poupée un sourire conquis.

" - 'Suis déjà une pute, pas b'soin d'toi pour faire le boulot." Elle n'avait pas particulièrement besoin de prouver ses dires, mais étant libérée de sa poigne étouffante, elle glissa lentement sa langue de la ceinture du jeune homme au milieu de son torse, s'étirant par la même occasion alors qu'elle léchait sa peau, avant d'y apposer un baiser à l'arrière gout légèrement plus agressif, ses dents cherchant à mordiller Helel. Sourire toujours aux lèvres, Mars siffla, a voix colorée par une excitation certaine. " - Je ne veux plus être une simple pute, n'importe quelle pute.." Elle accompagna ses mots d'un mouvement de langue à l'orée de son pantalon, sans venir outrepasser les frontières qu'il semblait avoir érigé pour l'instant. ".. Je veux être ta pute." Se laissant aller un peu en arrière, elle glissa ses mains sous son sweat pour le retirer, dévoilant son corset de dentelle, comme une invitation pure et dure au sexe. Elle enleva les premières attaches, dévoilant l'ourlet de ses seins, l'ombre floue de ses tétons, avant de brutalement, et sauvagement, venir mordre la hanche de l'inconnu.

Elle sentit quelques goutes de sang couler dans sa bouche, alors même qu'elle ne bougeait pas, prête à se faire envoyer la tête sur le sol carrelé ou marbré. Mais la provocation n'était pas gratuite. Elle n'était pas non plus un maigre relent d'instinct de survie, ni même une menace quelconque. Elle grogna, les dents encore ancrées dans la peau de Helel. " - Fais moi souffrir. Fais moi-même regretter d'être née ... Et je t'appartiendrais." Une promesse qu'elle n'aurait même pas eu besoin de faire puisque c'était l'objectif du démon. Mais si elle avait pu, Mars aurait pariée sur le temps de dressage dont il aurait besoin pour la mettre totalement à genoux. Deux heures ? Trois ? Un jour ? Elle esquissa un de ses sourires vulgaires dont elle avait le secret alors que les quelques goutes écarlates glissait de son menton à sa poitrine, se frottant entre ses deux seins pour se perdre sur son ventre.

The game had begun.

Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Re : For no one can give you courage, in a world of compromise {Pv}

Réponse 2 vendredi 08 avril 2016, 14:48:29

Mars n'avait pas besoin d'être brisée. Elle l'était déjà, profondément, mentalement, physiquement. Elle était déjà une poupée prête pour Helel. Elle avait même été amenée à lui dans cette idée. Ils étaient fait pour se rencontrer, la justicière paumée et le mâle mauvais. Ils étaient fait pour l'une appartenir à l'un, et l'un contrôler l'autre. Elle le sentait au plus profond de son bas-ventre, son souffle devenant de plus en plus rauque, ses sens de plus en plus à l'affut. Elle ne désirait plus que ça, dans une obsession malsaine et cruelle, lui appartenir et souffrir sous sa main à lui. Ouais, elle était une pute, mais une pute qui comptait bien le surprendre, le surpasser dans l'art de la douleur. Il savait la donner ? Elle savait la recevoir. La douleur pour les unir tout deux, comme un anneau, dangereux et mortel. Avec la souffrance, on avait peu de limites, le désir d'aller toujours plus loin, de ressentir toujours plus, de quémander encore ... Toutes les tentations étaient réalisables, avec la douleur.

Elle tomba au sol, l'oeil ensanglanté, le visage endolori, mais un gout de victoire dans les dents, le menton dégoulinant de sang. C'était délicieux. Et même quand elle se retrouva avec une semelle sur la joue, l'odeur du mâle emplissant la pièce, elle ne pouvait que laisser entendre des gémissements aigu, tout autant d'excitation que de douleur. Maintenue au sol, elle se laissait faire, apparemment bien docile. Elle gardait ce sourire malgré la douleur qu'elle pouvait ressentir encore ... Elle était enivrante, cette douleur, tout autant que la douce sensation de la queue en érection du mâle, quand il lui avait forcé la tête contre son entrejambe. C'était comme une putain de drogue que Mars voulait gouter à nouveau, son poing, sa rage, son plaisir malsain. Elle tira doucement la langue pour glisser son piercing sur le cuir de la chaussure, léchant légèrement du bout de sa langue, en esquissant un sourire. Le crachat ne lui tira qu'un frisson.

Elle se releva, avec un petit mouvement de dégout, et vint faire couler la salive étalée sur sa joue, sur son index, qu'elle vint ensuite suçoter en le fixant, comme provocante, comme pour lui prouver en direct que sa violence, sa cruauté et son sadisme ne lui faisait pour l'instant ni chaud, ni froid. Elle jouait autant que lui, et semblait adorer ce jeu là. La gorge emprisonnée, le corps cambré en arrière, la douce masochiste émit un gémissement aigu, tandis qu'il la déshabillait totalement, dévoilant son corps encré et percé, mettant à nue cette peau douce qui frémissait comme celle d'une pucelle au contact des mains rugueuses du démon. Elle émit un gémissement tendre alors qu'il pincait son téton, tirant dessus, maltraitant la chaire déjà trouée. Elle se mordillait la lèvre inférieure, l'oxygène et le sang commençant doucement à manquer alors qu'il la retenait comme une pendue, lui retirant les derniers espoirs d'une escapade sans conséquence ... Mars cherchait les conséquences. Elle rougit un peu et finit par mordre dans le vent, comme pour essayer de trouver un peu de liberté, alors qu'il touchait ses seins, prenait possession de son corps, lui tirant des grognements intenses de plaisir et de désir.

Son corps se cambra quand la main attrapa ses fesses, les claques sur sa peau de plus en plus douloureuses que le souffle lui manquait. La panique commençait doucement à l'envahir, les sensations plus fortes, plus intenses, plus brutales, le corps plus brulant ... L'approche silencieuses d'une mort bien cruelle par asphyxie l'excitait au possible, et son corps ne faisait que réagir doublement aux provocations physiques d'Helel, ses fesses rougissant après avoir doucement ondulées suite aux brutales fessées. Elle eut un geignement rauque, comme si elle cherchait à lui répondre, les yeux se fermant légèrement, son corps se raidissant.Il l'aurait maltraité un peu plus, poussée à bout, qu'elle en aurait peut-être une orgasme, dat bitch. Elle s'écrasa au sol, trempée d'excitation, se retenant les mains par terrer pour retrouver son souffle. La gifla lui cria un léger cri de surprise alors que son visage se tuméfier légèrement, la marque de la main du Démon laissant sa pommette rougie et sa lèvre blessée. Elle vint étouffer délicatement contre l'entrejambe du colosse, respirant le parfum de luxure alors qu'elle esquissait un sourire. Lentement, elle posa ses deux mains au sol pour rester un peu à quatre pattes, sa fesse rougie et marquée. Elle glissa ses dents sur la ceinture qu'elle tira avec assez d'agilité pour la retirer, et vint faire frotter sa langue et son nez rond contre les abdos de l'homme pour y mordiller l'élastique de son caleçon. Chacun de ses mouvements de tête faisait frotter ses lourds seins percés à l'entrejambe durci et éveillé de cet amant sauvage. Elle prenait un malin plaisir à prendre son temps, gobant le bouton entre ses lèvres pour le suçoter dans un long gémissement avant de le retirer lui aussi, et d'attraper la fermeture éclair entre ses dents, et tirait vers le sol, enfouissant par la même occasion ce minois provocant dans son bas. Elle laissait une marque ensanglantée sur les abdominaux du Démon, une douce marque du passage de son visage blessé.

" - Putain de queue ... " Souffla-t-elle finalement alors qu'elle mordait dans le tissu du sous-vêtement, sans les dents, pour gober le membre à travers le caleçon, pour découvrir l'objet sans le révéler encore. Elle s'en prit finalement au caleçon, qu'elle su décaler et baisser, en frottant allégrement ses deux orbes de chair aux testicules de son amant, jouant avec ses épaules pour rendre le contact plus long, plus dansant. Finalement, une fois libéré, elle ne prit pas trop de temps pour réfléchir. Mars goba le gland entre ses deux lèvres pulpeuses et légèrement saignantes, pour mêler le sang au stupre. " - Humpf ..." Elle s'approcha pour tirer sa langue, la glissant de tout son long sur le membre qui s'enfonçait peu à peu dans sa bouche, se frottant à ses joues, se créant un chemin dans sa gorge, tandis qu'elle se cambrait assez en arrière pour le recevoir, pas en entier mais au trois quart entre ses dents. Il fouillait déjà sa gorge alors qu'elle refermait ses lèvres, pour presser la chaire, commençant de larges mouvements sur la hampe de plaisir, laissant par instant ses dents y faire un tour, frottant délicatement contre le chibre durci. Elle jouait avec ce membre, sa langue s'enroulant par instant autour de l'épais vit alors qu'elle accélérait progressivement son rythme, pour enfoncer les derniers millimètres entre ses lèvres, dans un gémissement sourd. Elle contracta très légèrement les muscles de sa gorge autour du gland qui la torturait, avant de relâcher la pression, et attaquer des mouvements plus amples, plus passionnés. Elle n'avait clairement pas l'habitude d'un membre si massif, mais n'en jouait que mieux, relâchant par instant le gland turgescent de salive pour venir lécher les testicules du jeune homme. Sa langue se délectait de son corps, et elle revenait ensuite sucer la queue de Helel, le dévorant comme une sucette de grande marque dont elle ne voulait se lasser.

Elle le laissait aussi reprendre les commandes par instants, mais se permit de se remettre un peu plus droite pour faire bouger ses lourds seins et les emprisonner entre ses deux mains, les rendant plus gourmands encore. Elle y glissa la queue bien trempée de salive, les deux boutons d'acier frottant contre la chaleur indécente du membre alors qu'elle venait enfoncer le sexe du Démon dans sa bouche, profondément, à l'orée de sa gorge, à chaque va et vient entre ses seins brûlants, rougis par les mains de l'homme. Qu'il la marque, encore et encore, brutalement, longuement, violemment, elle ne désirait que ça. Cette queue la rendait folle, elle en avait envie, toujours plus, toujours plus loin entre ses lèvres brûlantes et tremblantes de désir.

" - Etouffe moi encore avec ton vit ... Putain, j'ai jamais été aussi excitée."
Elle avait l'honnêteté de le reconnaître, et se réjouissait de chaque centimètres de cette peau brûlante contre ses joues, pressant ses lèvres autour, pressant aussi l'intérieur de ses joues pour qu'il puisse gouter sa bouche.


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