Serving The Goblin Queen [PV]

Il ne restait plus rien de l'ancienne Psylocke, c'était désormais un fait. Madelyne avait altéré son esprit bien trop profondément, et surtout, de façon irrémédiable, de telle sorte qu'elle était maintenant sa fidèle servante. La version originelle d'elle même serait effarée de voir ce qu'elle était en train de faire, mais cette Psylocke là, et bien elle se trouvait actuellement au paradis. Le mécontentement de Madelyne à son encontre fut bref, et commença à s'estomper dès lors que la mutante aux cheveux violets s'était approchée d'elle, avec sa démarche féline, à quatre pattes pour bien signifier sa soumission, et surtout quand elle avait léché sa botte. Du fait des souvenirs implantés par Madelyne, Psylocke fit preuve dans cet art d'une grande expertise, même si c'était en réalité la première fois qu'elle s'exécutait de la sorte, il en résultait donc des frémissements particulièrements intenses chez la femme, qui se sentait toute fébrile en sentant le contact du cuir sur ses lèvres, et surtout contre sa langue.
Psylocke prodiguait du plaisir à sa Reine, chose qu'elle fit savoir par de délicates paroles, qui lui réchauffèrent le coeur à la façon d'un vrai brasier. Si les brimades semblaient la rabaisser grandement, psylocke se sentait en revanche pousser des ailes lorsque sa délicieuse, sublime, et magnifique Reine vantait ses mérites. Alors qu'elle léchait le talon de cette botte, Madelyne rapprocha alors son autre jambe de son visage, et se servit de ce pied pour aller caresser sa joue.

Ah...Huuuuuum....

Docile, soumise, et particulièrement en chaleur ce soir, Psylocke frotta brièvement sa joue contre ce pied, un peu comme une chienne très affectueuse le ferait contre les caresses de sa maîtresse, puis ses lèvres se dirigèrent alors vers ce pied, qu'elle gratifia dans long et langoureux coup de langue. sa maîtresse lui avait ordonné de lustrer ses bottes, et c'était bien ce que Psylocke, en bonne petite chienne, avait l'intention de faire. Psylocke avait beau être une mutante puissante et une combattante hors pairs, elle était là complètement soumise à la volonté de cette femme, et c'était plus fort qu'elle, elle en avait envie, terriblement, se révolter lui semblait même contre-nature.
Oh qu'elle aimait ça, lécher les bottes de maîtresse, la délicieuse sensation du cuir contre sa langue, alors que juste en dessous se trouvaient les mollets parfait de sa Reine. Psylocke était amoureuse, follement amoureuse d'elle, peu importait que la version antérieure d'elle même ne se serait jamais abaissée à une telle humiliation, elle n'existait même plus, et ne se souvenait qu'à peine de cette existence...pour elle, c'était cette ancienne version, qui avait trahi sa Reine, qui était le résultat d'un lavage de cerveau. C'était bien là toute la force du conditionnement de Madelyne, car elle avait véritablement créé une autre personnalité en se servant de l'ancienne comme d'une base, et ne se contentait pas juste d'enfouir profondément la personnalité originelle dans un recoin de l'esprit.
Liées désormais par un puissant et intime lien psychique, Psylocke sentait ainsi tout le bien qu'elle prodiguait à Madelyne, qui appréçiait grandement les caresses et les coups de langue de sa servante sur ses bottes, elle alternait de l'une à l'autre, et Psylocke soupira comme une pute en manque quand sa Reine luid emanda de remonter d'avantage.

Oui...ma Reine...hum...

Elle énonçait ces quelques mots, entrecoupés à chaque fois par d'amoureux baisers, alors qu'elle remonta au niveau des cuisses de Madelyne. Psylocke était elle aussi très excitée, mais elle sentit un vrai pic quand ses lèvres se posèrent finalement au delà des longues bottes qui s'arrêtaient à mi-cuisse. Il n'y avait qu'une seule chose qu'elle aimait plus que d'embrasser le cuir de sa combinaison...et c'était embrasser sa peau, directement. Quand ses lèvres se posèrent sur sa cuisse, Psylocke sentit une bouffée de chaleur la traverser, et suivant donc les instructions de sa maîtresse, elle remonta, mordillant par moment cette peau divine, mais surtout la léchant et l'embrassant. Ses mains, elles, n'étaient pas inactives, et étaient réparties équitablement entre les deux cuisses de Madelyne, les palpant et les caressant, allant de son aine jusqu'au début des longues bottes.
Son intimité était là, proche, car sous son pagne en cuir, Madelyne avait pour habitude de ne rien porter, ne trouvant pas nécessaire de cacher d'avantage son magnifique corps. Les doigts des deux mains de Psylocke se rapprochèrent alors de ses aines, si proches de l'intimité de la Reine, qu'elle devinait bien épilée, toute douce...et dans laquelle elle avait une envie féroce d'aller fourrer ses lèvres, sa langue.

Maîtresse, m'autorisez vous à remonter d'avantage mes lèvres de petite putain ?

Et, comme pour accentuer sa demande, Psylocke déposa un ultime baiser, bien audible, sur une des cuisses de Madelyne.

Un tel changement était aussi impressionnant que bienvenu. Madelyne avait vraiment bien réussi son coup, et elle envisageait un avenir radieux pour Psylocke. Limiter cette dernière à être sa pute, sa petite chienne, ce serait gâcher tout son talent... Mais c’était aussi très gratifiant de voir Elizabeth à genoux, s’humiliant toute seule, salivant sur les longues bottes en cuir de Madelyne. La Reine Noire s’en pinçait encore les lèvres, mouillant de nouveau. Han, que sa chérie était douée ! Elle était déjà bien au-delà de toutes ses courtisanes ! Psylocke était la preuve que Madelyne allait devoir abandonner cette suite, et se trouver une vraie demeure. Dans sa tête, la suite de cet hôtel, aussi luxueuse soit-elle, avait toujours été une étape intermédiaire, le temps de se faire à Seikusu, mais aussi le temps de savoir quoi faire. Cependant, Madelyne aimait beaucoup cette ville. La magie s’y trouvait, et Seikusu avait, de surcroît, l’avantage d’être au croisement de lignes magiques s’enfonçant dans le Multivers tout entier. C’était donc un endroit où elle pouvait très facilement invoquer ses Gobelins. De fait, la Goblin Queen avait commencé à se renseigner sur les manoirs et les villas. Seikusu comprenait de grandes fortunes, et elle comptait récupérer une villa, le long de la côte. Avec Psylocke, ce serait parfait. Madelyne, en effet, avait donc de grands projets pour elle. Mais tout commençait bien quelque part, et, en l’occurrence, les grands projets de Madelyne commençaient par un léchage de bottes en bonne et due forme.

C’était précisément ce que son amante faisait. Elle s’attardait longuement sur ses deux bottes, de telle sorte qu’il n’y avait pas un centimètre carré qui ne soit pas recouverte par la salive de Psylocke. Très motivée, la femme remonta ensuite le long des jambes, et ce contact fit frémir les jambes de Madelyne. Elizabeth était nettement plus motivée que ses maids, tant le conditionnement du Manderin, amplifié par les pouvoirs psychiques de Madelyne, avait été efficace.

« Hm... »

Madelyne continuait à soupirer, lentement, délicieusement, observant de nouveau Psylocke. Lentement, la femme remontait, se rapprochant de son pagne, et elle sentait l’excitation de Sa Reine croître exponentiellement. Ainsi, tout en la léchant, Elizabeth déplaçait ses mains, ses pouces filant sous le pagne, s’approchant de l’intimité parfaitement épilée de la femme, près de ses lèvres intimes, recueillant, du bout de ses doigts gantés, un peu de la mouille de la femme.

Ses jambes eurent également droit à un traitement magnifique, chacun des baisers et des léchouilles d’Elizabeth l’excitant furieusement, autant pour la dimension sexuelle des gestes, que pour le sentiment de supériorité qui s’échappait du corps de Maddie. La Goblin Queen soupira à nouveau, mordillant doucement ses lèvres, et, quand Psylocke lui demanda si elle pouvait s’attaquer à son sexe, elle lui sourit, et tendit sa main, allant caresser ses beaux cheveux.

« Oui, ma chérie... Ma petite chienne, je t’y autorise... Fais-moi jouir, et... Régale-toi, surtout. Tu sais combien je t’aime, ma délicieuse petite pute, alors, vois le fait de boire ma mouille comme une récompense pour ta fidélité, pour ton dévotion, et pour ton amour. »

La Goblin Queen lui sourit à nouveau. L’esprit était vraiment une chose très fragile. Madelyne l’avait expérimenté, quand elle était passée du statut de simple greluche pleurant sur son amour perdu à celle de... Reine Noire infernale et démoniaque. Un changement radical, aussi spectaculaire que Psylocke, courageuse guerrière transformée en catin de bas-étage... Mais Madelyne ne s’y trompait pas. Chassez le naturel, et il revenait au galop... Les capacités martiales de Psylocke ne seraient pas oubliées, elles changeraient juste de but. Au lieu de servir les X-Men, elle servirait désormais Madelyne.

Et il était donc temps de célébrer ça ne lui offrant sa mouille. Tandis que la tête de Psylocke se rapprochait de son intimité, les deux mains de sa Reine se posèrent sur sa tête, de manière à pouvoir plaquer contre son sexe la bouche de la femme. Elle ne comptait pas la relâcher avant d’avoir eu son orgasme, même si Madelyne sentait qu’il arriverait vite.

En effet, elle avait rarement été autant excitée qu’en ce moment...

Psylocke se sentit toute fébrile lorsque Madelyne posa sa main sur ses cheveux, caressant sa tête et ses longs cheveux violets, dans un geste affectueux et plein de désir à son encontre. Elles formaient en effet un couple terriblement sexy, et c'était certain, potentiellement mortel pour leurs adversaires. Si Madelyne avait grandement modifié le psyché de la mutante, elle n'avait toutefois en rien altéré sa mémoire musculaire, ses réflèxes gagnés au prix d'intensifs entraînements, elle était en somme toujours aussi dangereuse, il n'y avait que sa loyauté qui avait changé, et qui était maintenant acquise à Madelyne.
Loyale, mais également soumise, il en allait ainsi du conditionnement mental, qui faisait qu'il était impossible pour Psylocke de refuser un ordre de la part de celle qu'elle voyait comme une figure d'autorité absolue. Avec Madelyne, cela prenait bien évidemment une dimenssion sexuelle, car elle adorait avoir de belles femmes à ses pieds, et le fait d'avoir une femme aussi forte de caractère que Psylocke, se soumettre à ses moindres désirs, devait effectivement ravir la dominatrice naturelle qu'elle était devenue.
Madelyne l'autorisa donc à remonter plus haut, déclarant qu'elle l'amait, ce qui fit grandement soupirer Psylocke, qui pour le coup était effectivement raide amoureuse de sa Reine.

Oh ma Reine, merci. Là...laissez votre petite chienne vous soulager...

Avec ses mains, Psylocke releva le pan du pagne qui cachait l'intimité de Madelyne, le laissant posé sur le ventre de cette dernière qui, aves les cuisses bien écartées, la révélait dans toute sa splendeur. Psylocke eu la délicieuse vision des lèvres intimes de sa maîtresse, à la chatte parfaitement épilée et entretenue, dont les contours étaient légèrement humides, soit un véritable appel à fourrer ses lèvres et sa langue à cet endroit. Posant à nouveau ses mains sur les aines de sa maîtresse, Psylocke pu ainsi utiliser ses pouces pour légèrement écarter les lèvres intimes, et ouvrir d'avantage le trou menant à son vagin. Incitée alors par Madelyne qui avait posé ses deux mains sur l'arrière de son crâne, Psylocke se fourra alors profondément contre elle, entrouvrant ses lèvres, elle les scella contre ses lèvres intimes.

Hmmmmm....

Cette chaleur et cette humidité intime lui parvinrent directement, et comme elle écartait bien ces lèvres intimes, Psylocke put alors sortir sa langue pour la fourrer le plus profondément possible en elle. Elle se régalait, littéralement, de sa cyprine, mais aussi des gémissements que sa maîtresse poussait, Psylocke relevait d'ailleurs régulièrement son regard vers le visage de Madelyne pour la voir réagir à ses caresses buccales. Elle se retira toutefois légèrement au bout d'un temps, juste pour déplacer ses lèvres, et les positionner à l'endroit véritablement important: le clitoris de Madelyne. Ce dernier sous son excitation était légèrement gonflé, bien apparent, et très sensible, réclamant qu'on s'occupe de lui...et il n'y aurait rien de mieux que la délicate langue chaude et bien humide de sa pute personnelle pour le faire. Psylocke se colla alors à ce petit bouton de plaisir, elle le sucaità l'occasion, mais surtout elle utilisait sa langue, alternant les coups longs et langoureux, avec ceux plus rapides, afin de ne pas enfermer sa maîtresse dans une quelconque routine, mais au contraire de varier les sensations, afin de l'amener au plus vite à son orgasme qu'elle désirait.
Toujours dans cette optique, Psylocke glissa l'une de ses mes gantées en dessous de son visage, son majeur et son index se frayèrent un chemin contre l'intimité de Madelyne, la caressant surtout pour les couvrir de cyprine, avant de les enfoncer bien profondément dans sa chatte chaude. Elle faisait des va et viens avec ses doigts, et titillait parfaitement son point G qu'elle frottait ainsi, cumulant cette sensation avec le fait qu'elle léchait le clitoris de sa maîtresse. Son autre main, elle ma maintenait contre l'une des cuisses de Madelyne, afin de maintenir son équilibre, vu qu'elle était accroupie.
Elle pouvait le sentir, avec ce traitement, la Goblin Queen ne tarderait pas à jouir, et à la gratifier de sa mouille délicieuse, et quand ce serait le cas, Psylocke retirerait alors ses doigts de son vagin pour aller de nouveau fourrer sa langue dedans, et s'abreuver de sa jouissance. Pour elle, c'était un nectar sucré, dont il ne faudrait pas perdre la moindre goutte.

Quelle femme d’exception ! Vraiment, Madelyne était ravie, totalement ravie, de voir à quel point Psylocke avait succombé à ses charmes mentaux. La belle télépathe en combinaison bleue moulante, cette guerrière impitoyable, la suçait comme la dernière des catins, et avec la dévotion dont une fanatique ferait preuve devant son idole. Madelyne la laissa donc écarter son pagne, non sans frissonner, et, quand la tête de Betsy se rapprocha, elle soupira encore. Elizabeth avait changé comme elle. Quand elles s’étaient connues, les deux femmes étaient, physiquement, peu attractives. Il avait fallu que Madelyne devienne la Goblin Queen pour changer de look, et Betsy, qui s’habillait comme une vieille fille, avait opté pour un uniforme plus moulant, jusqu’à porter cette belle combinaison. Pour l’heure, Madelyne ne pensait pas au long terme, au fait que Psylocke allait devoir jouer sur les deux tableaux pour ne pas inquiéter les X-Men, et ne pas leur mettre la puce à l’oreille. Pour l’heure, Madelyne ne pensait qu’à une chose : son amante. Coucher avec Psylocke, laisser son imagination défiler pour envisager toutes les manières possibles pour lui faire l’amour… Et encore, l’idée était plutôt de la baiser fermement.

Vu la manière dont Betsy la léchait, elle méritait bien un traitement particulièrement lourd. Depuis son séjour en Enfer, Madelyne avait clairement développé sa perversion et son attirance pour le sexe, car, outre la magie noire, elle avait aussi appris, auprès de succubes et d’incubes, la magie rose. Autant dire que les entraînements physiques et rigoureux de Psylocke allaient lui servir. Elle la léchait donc, et Madelyne caressait sa tête... Ceci étant dit, quand elle commença à utiliser ses doigts en elle, pour atteindre son clitoris, et pour la faire trembler, l’air se remplit des cris de plaisir de la Goblin Queen ;, ses doigts se crispant contre la chevelure fournie de Psylocke.

« Haaaaaaa... Hhhmmmmmm... Haaaaaaaaannnnnnnnnnnn... !! »

Psylocke pouvait ainsi l’entendre soupirer, et, tandis que Madelyne soupirait, inconsciemment, elle utilisait sa magie rose, qui se concentra sur le corps de la femme, afin de l’exciter davantage, l’incitant à utiliser sa main libre pour se caresser intimement. Les cuisses de la femme venaient parfois se resserrer contre les joues de Betsy, et elle continuait à soupirer, encore et encore, des gémissements onctueux, magnifiques aux oreilles de Psylocke. En ce moment, son amante devait probablement être la plus heureuse des femmes, tant Madelyne avait inscrite, en elle, marquant au fer rouge dans son esprit le fait de rendre heureuse sa Reine.

Sa mouille déferlait donc, et, quand Madelyne approcha de l’orgasme, Psylocke se mit à jouir à son tour, son plaisir rythmé sur le sien. La main de la Goblin Queen se serra fermement contre ses cheveux, se crispant dessus, et, dans un ultime soupir, tout son corps sembla se redresser, puis l’orgasme fusa.

« Hmmmmmmmmmmm... !! »

Petit à petit, Madelyne se calma, et un léger sourire vint se dessiner sur ses lèvres, tandis que, silencieuse, elle observait Psylocke la lécher, comme pour recueillir toute cette mouille, avant de la boire. Ce constat l’amena tout naturellement à un rapide petit commentaire, accompagné d’une délicieuse promesse :

« C’est bien, ma petite pute, lèche et nettoie bien... Mais sache que tout ça n’est qu’un prélude, ta Reine a une très grosse soif ce soir, et tu as intérêt à tenir jusqu’à la fin pour la sustenter comme il se doit... »

Une très grosse soif, qui allait se concentrer sous peu sur une autre partie de l’anatomie de Psylocke... Car, tout en manipulant son esprit, Madelyne avait développé en elle un puissant fantasme...

La sodomie.

Entendre les gémissements de sa Reine alors qu'elle lui léchait la chatte, sentir ses cuisses se resserer contre son visage, l'emprisonnant dans un délicieux cocon de chair chaude, excitait Psylocke à un tel niveau que cela ne pouvaitêtre naturel, et c'était le cas. Son esprit manipulé était désormais focalisé sur un but principal, à savoir obéir à sa Reine et la contenter. L'entendre gémir de plaisir procurait donc d'intenses sensations à la Betsy, qui à force ne parvint plus à se retenir, et utilisa sa main libre pour glisser ses doigts sous sa combinaison, écartant les pans protégeant son intimité, et se doigta au même rytme qu'elle doigtait sa Reine.
Madelyne usait également de sa magie rose à son encontre, ce qui ne fit que d'avantage lui insufler le besoin de se faire plaisir, en même temps qu'elle léchait l'intimité de sa maîtresse. Psylocke gémissait donc elle aussi comme une câtin, et léchait avec d'autant plus de ferveur qu'elle était en chaleur, comme une chienne.

Quand elle sentit les mains de Madelyne se resserer d'avantage sur ses cheveux, son corps se crisper, qu'elle comprit qu'elle était proche de l'orgasme, et qu'elle en était directement responsable, Elizabeth sentit aussi brusquement son propre plaisir monter en flèche, comme un séisme qui n'aurait pas donné de signes avant coureurs. L'apothèose ne tarda alors pas à venir, et Psylocke eut un bel orgasme quand Maddie eut le sien, synchronisées ainsi parfaitement dans leur jouissance, les deux femmes se gratifièrent chacune des gémissements de l'autre. Mais pour Psylocke, l'expérience était d'autant plus intense qu'elle avait le visage fourré entre les cuisses de Maddie, et qu'elle la sentit jouir contre elle. En bonne petite catin qu'elle était, Psylocke scella ses lèvres contre le vagin de sa Reine, et elle prit dans sa bouche toute la cyprine que Madelyne expulsa avec son orgasme, qui était très intense. Psylocke bu, avec délice, cette mouille qu'elle percevait comme un peu collant, mais très sucré, surpassant de loin tout ce qu'elle aurait pu goûter dans toute sa vie.
Même une fois que Maddie eut terminé, sa pute personnelle continua à la lécher, plus doucement cette fois, mais elle avait l'intention de s'abreuver autant que possible, d'autant qu'elle le sentait, Madelyne adorait avoir son visage fourré entre ses cuisses. Madelyne l'encouragea, tout en lui précisant que tout ça n'était guère plus qu'un prélude, et qu'elle aurait intérêt à s'accrocher pour la contenter ce soir. Ces paroles la firent trembler, gémir, alors qu'elle donna un dernier coup de langue sur son intimité, avant de légèrement se retirer, la regardant alors amoureusement.

Mon seul but est de vous servir maîtresse, je tiendrais, quelle que soit la limite que vous fixez.

Psylocke posa ses mains sur les cuisses de Madelyne, et s'en servit comme appui pour se redresser légèrement, afin d'approcher son visage du ventre de Maddie, pour déposer un long baiser dessus.

Votre plaisir est ma seule priorité ma Reine...je vous aime...hum...mon corps est votre propriété, à vous seule...haaaaan...votre pute...soumise...hnnnnn...

La magie rose que Madelyne avait utilisé continuait à faire effet, et de fait, Psylocke était là une nymphomane en chaleur, qui remuait instinctivement son derrière tant elle avait envie de se faire prendre. Maddie sembla jeter de réguliers coups d'oeil sur son postérieur, ce qui n'échappa nullement à Psylocke, et la fit sourire.

Vous aimez me voir dandiner du cul maîtresse ?

Une lueur très perverse lui traversa le regard, et Psylocke se laissa alors tomber en arrière, pour se réceptionner avec grace sur le tapis, elle tourna donc de façon à se poser à quatre pattes au sol, son cul, son délicieux cul moulé dans sa combinaison faisant alors face à Maddie. Comme pour encore augmenter la portée de son argument, Psylocke creusa son dos et étendit ses bras devant elle, la faisant se courber, et surtout, faisant se bomber d'avantage ses fesses déjà bien rondes et fermes. Elle remuait alors légèrement son bassin, comme une invitation à l'encontre de Maddie. Psylocke crevait d'envie de sentir les mains de Madelyne empoigner ses fesses, ses lèvres se poser dessus...et surtout, elle avait une furieuse envie de se faire prendre là, qu'on lui défonce le cul.

Madelyne n’en avait pas fini avec Psylocke, bien au contraire. Son orgasme n’était que le début de plaisirs bien plus intenses, et les deux femmes avaient envie d’en continuer. La Goblin Queen laissa la femme l’embrasser sur le ventre, l’ardeur et le désir d’Elizabeth renforçant l’excitation de Madelyne, et son envie, phénoménale, de la baiser puissamment. Oui, en ce moment, l’esprit de Madelyne ruisselait d’idées perverses sur toutes les manières de s’occuper du corps de cette femme, et, comme Psylocke, le nota, de son fessier. C’était une chose que Madelyne avait vu quand Betsy s’était battue, et encore plus après, quand elle s’était retrouvée dans cette combinaison : elle avait un cul d’enfer.

Ainsi, Betsy, qui comprit ce que Madelyne voulait, après plusieurs baisers contre son ventre, se laissa tomber élégamment en arrière, se retournant dans sa chute pour se mettre à quatre pattes devant sa Reine, sous le regard de la danseuse aux cheveux rouges, qui avait également eu un orgasme. Madelyne sourit en voyant Psylocke se dandiner sous son nez, lui présentant ses fesses, bombant ce cul parfait. Silencieuse pour le moment, Madelyne l’observait. Elle sentait sa gorge s’assécher, son rythme cardiaque s’alourdir lentement, des signes que le désir de la femme était en train de croître irrémédiablement.

Finalement, Madelyne ferma les yeux pendant quelques secondes. Son pagne était revenu devant son intimité, et elle se concentra donc, en appelant à sa magie rose, et aux sortilèges qu’elle avait appris. Elle sentit alors son corps évoluer, frémir à hauteur de son bassin... Puis son pagne se redressa alors tandis que Madelyne poussa un léger cri.

« Haaaa... !! »

Un phallus venait de pousser, se redressant en soulevant le pagne, puis Madelyne se releva alors, en soupirant longuement.

« Hmmmm... Haaaaa... »

Les deux mains de la femme s’abattirent alors sur les fesses de Psylocke, les griffant, et elle crispa ses mains dessus, avant de soupirer encore, sa queue se redressant, l’extrémité venant caresser la croupe d’Elizabeth. Finalement, Madelyne sembla retrouver ses esprits, et conserva ses mains sur le postérieur de Psylocke, massant généreusement son cul.

« Oui, ma chérie... Pardonne-moi pour ce moment, je n’ai pas l’habitude d’user de ce sortilège... Mais tu es une telle chienne, une telle pute en manque qu’il me faut recourir à des méthodes plus intenses que de simples doigts... Beaucoup plus intenses. »

Mais, pour l’heure, elle voulait explorer ce fessier. De plus, il fallait aussi préparer son cul, car Madelyne avait une trique impressionnante, preuve de tout son désir, ce désir insatiable et immense. Elle fléchit donc les genoux, et son visage se retrouva ainsi devant ce cul, ce doux et magnifique cul. Deux belles bosses bien rondes, tendres et moelleuses. De la main, elle ne tarda pas àtirer sur le morceau de sa combinaison qui protégeait sa croupe, et relâcha ensuite cette tenue, la faisant claquer contre les fesses de la femme.

Souriant de plaisir, Madelyne déposa alors un baiser sur chacune des deux fesses de la femme, et, pendant plusieurs minutes, entreprit de masser, de mordiller, de malaxer ce cul, tout en s’attaquant à sa croupe. Elle en profita donc pour écarter le morceau de la combinaison qui gênait, et, utilisant ses pouces pour écarter les fesses de la femme, fourra son visage contre sa croupe, son nez caressant sa fine croupe, puis sa langue partit à l’assaut, et ne tarda pas à se concentrer sur sa porte arrière, léchant et titillant cet anus. Encore une fois, il ne fallait pas oublier que, si Madelyne avait le sentiment d’être une grande sodomite, son corps, lui,  n’avait jamais goûté à ce plaisir. La Reine Noire préférait donc préparer sa Psylocke d’amour, et entreprit donc de la lécher, tout en revenant régulièrement lécher et embrasser ce boule.

« J’ai couché avec de nombreuses personnes, Betsy, toutes plus belles les unes que les autres, et même avec des top model... Mais aucune n’avait un cul similaire au tien, ma chérie. Tes fesses sont une véritable œuvre d’art, ma petite pute. »

Pour le coup, ce n’était pas de la flatterie, mais la pure réalité. Madelyne lécha donc l’anus de la femme, puis se redressa. Son fondement était bien trempé. Elle aurait pu y glisser ses doigts, mais... Elle voulait que cette première sodomie soit la plus authentique possible. Et, de plus, à force de lécher ce cul, la verge de Madelyne était devenue bien dure, assoiffée, impatiente. Impossible de patienter plus longtemps.

Madelyne se releva donc, et donna alors une belle gifle sur le cul d’Elizabeth.

« Tu es prête, ma chérie ? J’ai une telle envie de te baiser, c’est fou... Je vais te faire hurler, ma chienne, te traiter comme la pute que tu es. Tu veux me sentir en toi, hein ? Dis-le, Elizabeth... Dis que la grosse pute que tu es veut sentir la trique de sa Maîtresse lui exploser le cul et la faire hurler comme une folle... Dis-le ! »

Le sexe de Madelyne tapait contre la croupe de la femme, et elle gifla à nouveau son derrière, un peu plus fort, une claque bien audible qui résonna dans toute la pièce. Le corps de Madelyne en était parcouru de spasmes nerveux.

La sodomiser... C’était tout ce qu’elle voulait faire.