Une reminiscence compromettante [PV : Phénicia Euphor] [TERMINÉ]

Quelques jours c'était écoulés depuis l'incident avec Jane Watson. ( http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=17693.0 ) Il semblait que l'apprenti sorcière allait dans un lycée nommé Mishima. James avait fait une promesse à son père avant de partir vers ce monde parallèle : S'inscrire au lycée dès que possible car son voyage pouvait potentiellement durer quelques années. Techniquement il n'avait pas besoin de travailler, et donc pas spécialement d'étudier, le voyage dans le temps lui permettant de gagner au loto à volonté s'il le souhaite. Néanmoins devant l'insistance de son père, James avait promis et une promesse est une promesse! Et puis aller au lycée n'avait pas que de mauvais côté. D'une part ça lui permettrait de se fondre dans la masse et de se créer une identité dans ce monde en côtoyant les gens de celui ci et d'autre part ça lui permettrait de ne pas penser qu'a cette histoire de faille.

James était donc en route pour le lycée Mishima afin de se renseigner sur les justificatifs à fournir pour s'y inscrire. Il s'agissait d'un lycée public...  Pas top, il était habitué a des lycée privé... Enfin au moins il n'aura pas affaire à toutes sortes d'enfants gâtés ayant une bien trop grande opinion d'eux même... Cependant, ce qu'il redoutait le plus dans ce lycée, c'était de croiser Jane. Après l'incident de la dernière fois, (je vais rester évasif, je ne sais pas encore comment cet incident va se terminer, mais dans tout les cas, je pense que James aura des raisons d'être nerveux à l'idée de la recroiser.) James ne savait pas trop comment réagir s'il la voyait. Ce n'est pas qu'il voulait l'éviter particulièrement, il allait bien être obligé de la côtoyer au lycée de toutes façon, mais il était perturbé par rapport à tout un tas de chose la concernant. Il subissait en quelques sorte un contrecoup de tout ce qu'il s'était passé le jour de son arrivée dans ce monde.

L'une des raisons principales : La magie existe dans ce monde. C'est un fait. Et vu les règles restreintes concernant l'utilisation de cette magie, rien ne prouve que même dans le monde d'origine de James, la magie n'existe pas. Il est probable qu'un groupe de sorcier s’exercent dans l'ombre, comme James. Comme obnubilé par ces pensées, il avançait dans le couloir du lycée, perdu dans ces pensées, entrant quelques coordonnées clés dans son Iphone. Il s'agit en réalité de sa machine à voyager dans le temps et à travers les dimensions. Un téléphone est beaucoup plus discret qu'une DeLorean après tout! Tout d'un coup il ressentit un choc et tomba en arrière, ne sentant pas son portable lui échapper des mains. Il venait manifestement de foncer dans quelqu'un et était désormais au sol, son dos endoloris. Se relevant en frottant son dos, il regarda la jeune fille qu'il venait de heurter.

"Aieaieaie... Toutes mes excuses, je suis maladroit... j'étais un peu perdu dans mes...mes...Merde!"

Le portable de James! Son visage s'affola, le portable était tombé, mais il n'arrivait pas à le retrouver... Le problème c'est que l'écran actuelle indiquait quelque chose d'assez compromettant du genre "Indiquez des données spatio-temporelles en vue de votre prochain voyage" ! Si la jeune fille voyait ça, il risquait encore de se faire griller! James était la, assis au sol, à chercher des yeux son portable, totalement affolé.

Phénicia avait fini sa journée de cours, parfois même si elle était studieuse, une annulation de cours tombait plutôt a pique. Elle était dans sa belle robe blanche au reflet bleuté. Elle était une jeune fille assez menue, fine et élégante, mais ce qui marquait le plus c'était ses cheveux blancs. Ils étaient naturellement ainsi depuis sa naissance, cela sortait de l'ordinaire si on puit dire. Ce genre de cas était extrêmement rare, mais pas pour quelqu'un de sa race, car oui en effet, elle était loin d'être une terrienne. 

La jeune fille était plongée dans un livre et bien décidée à réussir à le lire sans être déranger. Cela voulait dire pour elle d'aller dans un lieu où il n'y avait vraiment personne sur des centaines de mètres. Depuis qu'elle était arrivée dans ce lycée, elle avait développé une nouvelle capacité, celle de ressentir véritablement les sentiments les plus forts du moment des personnes qui l'entouraient. Même si elle savait que ce n'était pas les siens, il etait difficile pour une adolescente comme elle d'y passer outre. C'était quelque chose de très nouveau pour elle, mais étrangement, elle le prenait assez bien, quasi professionnellement. En effet, ce n'était pas son premier pouvoir que l'on pouvait apparenté comme un pouvoir mutant. Elle était capable de voir dans le futur ou le passé avec plus ou moins de contrôle. Son pouvoir de divination datait de sa petite enfance, elle avait l'habitude maintenant d'analyser ce qu'elle voyait et de comprendre assez rapidement. Elle était d'une race extraterrestre ancienne et très développé que ce soit corporellemement comme technologiquement. Elle avait ceci dans les gènes, mais elle ne voyait pas à travers les livres fait de papier et d'encre. Ce fut ainsi alors au détour d'un couloir qu'elle fit une rencontre peu banale, mais d'une manière quelque peu désagréable. Elle tomba littéralement contre ce jeune homme à la renverse tombant sur ses fesses. ce fut alors excessivement douloureux, ce n'était pas qu'elle était particulièrement sensible, mais en plus de sa propre surprise et douleur, elle ressentir également sans le vouloir ou le chercher la douleur du jeune homme. Cela se vibrait en elle en étant presque choquée de ce qui venait de lui arriver. On pouvait la voir comme quelqu'un d'hyper sensible, en tout cas, c'était ce qui se disait dans le lycée. Elle se frotta alors son front qui avait rencontré par mégarde celui du voyageur dans le temps et l'espace. 

" Hmmm … oui en effet, j’étais en pleine lecture également, alors je n’étais pas très attentive. Vos … vos quoi exactement ? "

 

Demanda alors pleine de douceur la jeune fille. Elle était bien incapable de jurer comme un charretier comme le jeune homme, même si elle avait eu mal à la tête et aux fesses. Elle se demanda bien ce qu’il pouvait chercher avec tant d’insistance, et lorsqu’elle regarda autour d’elle afin de l’aider, le cœur sur la main. Elle aperçut alors un téléphone portable à terre. Elle ne regarda pas du tout ce qu’il pouvait bien avoir sur l’écran, elle n’était pas si voyeuse que cela. Elle était loin d’être une geek ou de connaitre sur le bout des doigts les différents modèles, alors elle ne se rendit pas compte que le modèle de téléphone portable n’était pas encore sorti. Elle le prit alors en main en le tendant avec un sourire au jeune homme apparemment paniquée. Elle se dit qu’il devait être vraiment très amateur de technologie pour paniquer à ce point-là de risquer de le perdre. 

 

  " C’est cela que vous cherc … "

 

Phénicia fut coupée en plein milieu de sa lancée comme bloquer l’espace d’un instant dans la vie réelle, mais elle eut une vision en accélérer dans son esprit. Pour deviner qui pouvait bien être le jeune homme en face d’elle, ce fut fait et assez facilement. Elle le vit en compagnie de son « père » dans un décorum assez particulier. Cela semblait se passer dans un château moyenâgeux avec des personnes en habits d’époques, épée à la main pour certains. On aurait pu croire à une reconstitution ou une pièce de théâtre, mais le regard et les sensations de crainte du jeune homme qu’elle ressentait lui prouvaient le contraire. La personne face à elle l’avait vécu et il n’y avait pas si longtemps. Après tout, il avait toujours la même apparence, il n’était pas terriblement plus jeune, à moins qu’il soit un mutant que ne vieillissait pas. Le souci dans cette dernière théorie, c’était que même dans ce temps si reculé, elle remarqua tout de même que l’homme plus âgé aux côtés du jeune homme possédait déjà un téléphone portable. Il y avait donc un grave problème technique et la seule explication était le voyage dans le temps ou quelque chose s'approchant.

  " Mais  ... ce ... qui ... qui êtes vous donc ...  Harold II de Godwin ...l'Angleterre  ... je ... c'est impossible ... le onzième siècle ... "

Dit alors la blanchette en relevant les yeux vers le jeune homme. Elle semblait bien perdu en tentant de comprendre ce qu'elle venait de voir, mais soudain elle prit peur. Elle ne savait pas comment il pourrait réagir, c'était le problème lorsque l'on avait la fâcheuse tendance à apprendre tous les petits secrets de tout le monde. Il pourrait bien s'avérer être quelqu'un d'agressif, un secret pareil n'était sans doute pas à révéler. Elle confia alors le téléphone dans la main du jeune garçon et se releva rapidement en se collant au mur. Elle serrait son livre contre sa poitrine comme si c'était un moyen de se défendre et elle commença à partir dans de petits pas sur le côté pas rassuré pour un sous.

Alors que James, affolé cherchait son portable de façon à éviter que la lycéenne inconnue ne voit quelque chose de compromettant dessus, une voix douce lui répondit. Néanmoins, l'irlandais était trop préoccupé par le danger de se faire griller à nouveau et n'étais pas apaisé par cette voix pleine de douceur. Il y prêta à peine attention.

*C'est pas vrai... ou est ce qu'il est tombé?!*

Tout d'un coup, la jeune lycéenne lui tendit le téléphone. C'est là que James prit enfin conscience de la beautée de son interlocutrice. Une blonde platine? Non... ses cheveux étaient véritablement blanc, ce qui n'était pas commun mais lui donnait néanmoins un charme indéniable. Etait-ce une couleur naturelle ou une teinture? Quoiqu'il en soit le sourire de la jeune fille était rassurant, elle n'avait pas l'air d'avoir cherché à regarder ce qui était affiché sur le portable.

" C’est cela que vous cherc … "

Tout d'un coup, avant même que James n'ai l'occasion de récupérer son téléphone, comme coupée dans son élan, elle se figea. Son expression avait totalement changé. Elle avait l'air presque en état de choc. Ce qu'elle murmura par la suite fit blêmir James.

" Mais  ... ce ... qui ... qui êtes vous donc ...  Harold II de Godwin ...l'Angleterre  ... je ... c'est impossible ... le onzième siècle ... "

Elle lui tendit alors son portable à la hâte, puis en se relevant, alla se coller contre le mur. Elle semblait avoir peur. James remarqua qu'elle essayait de s'enfuit lentement, par petit pas sur le côté.

*Merde... elle sait quelque chose... mais comment? Elle parlait de ma rencontre avec William le conquérant? Comment elle peux savoir ça, c'est mentionné nulle part sur mon portable... Je ne peux pas la laisser partir! D'une façon ou d'une autre elle semble avoir connaissance de mes voyages dans le temps... Peut être quelqu'un qui vient du futur pour empêcher ma mission d'aboutir avant même qu'elle ne commence?*

Ce n'était pas totalement impossible. En théorie il ne devrait pas y avoir d'autre voyageurs temporels que le Liam et son fils, mais en théorie il ne devait pas y avoir d'autres voyageurs inter-dimensionnels non plus. Et les failles de Seikusu prouvaient le contraire! Il fallait savoir si cette fille était une ennemie.
L'irlandais se releva à la hâte, s'approchant d'elle de très près, posant une main sur le mur de façon à bloquer la fuite discrète de la jeune fille. Il ne souhaitait pas avoir l'air aggressif mais il fallait qu'il sache ce qu'elle savait et surtout comment elle le savait! D'un ton légèrement angoissé, James s'adresse à elle.

"... Il va falloir qu'on ai une discussion à l'abris des regards"

Pendant que la main gauche de James manipulait son portable à toutes vitesse, sa main droite de glissa légèrement sur l'épaule de la jeune lycéenne. Lorsque James valida la date choisie sur son portable, le rituel habituel se produisit. Une sensasion de vertige, le décors autours de James et de la lycéenne semblaient se tordre, jusqu'a devenir completement flou autour d'eux. En l'espace de quelques secondes James et lui étaient... au même endroit. Mais pas au même moment. Tout était éteint dans le lycée. Les seuls sources de lumières étaient la lune, quasiment pleine qu'on pouvait clairement voir dans la nuit étoilée au travers de la vitre derrière James, ainsi que le téléphone portable de ce dernier.

*Parfait... nous sommes Samedi de la semaine dernière, et il est 4h du matin, personne ne viendra nous interrompre...*

Il vallait mieux voyager dans le passé pour le coup. Voyager dans le futur serait dangereux dans le sens ou la lycéenne pourrait chercher à se croiser elle même et créer un paradoxe. James se recula lentement. Le lycée était fermé à clé, elle n'aurait nulle part ou aller si elle essayait de s'enfuir de toutes façon, et puis James pourrait la rattraper facilement en voyageant dans le temps pour l'intercepter. Cependant elle avait surtout l'air d'avoir peur. Peut être n'était elle pas une ennemie finalement... mais ... comment savait-elle? James essaya de prendre un ton rassurant.

"Je suis désolé si je t'ai fait peur. Ne t'inquiète pas je ne te ferais pas de mal, j'ai juste besoin de savoir ce que tu sais sur moi au juste. Comment tu t'appelles? Moi c'est James."

Phénicia fut surprise par le regard si particulier de cet homme lorsqu'il posa son regard sur sa personne. Elle se pinça les lèvres légèrement en rougissant n'osant rien dire. Il semblait être intrigué par ses cheveux comme beaucoup, après tout, c'était bien la seule particularité qu'elle possédait. Heureusement, le reste n'était pas visible comme ses pouvoirs, mais quelqu'un d'intelligent pourrait bien la percer à jour. Elle n'était guère maquillée ou mise en valeur, le fait qu'elle se teigne les cheveux surtout en blanc serait étonnant.

Alors que l'extraterrestre tentait de s'enfuir, elle ne se rendit guère compte que ce qu'elle marmonait hors de contrôle à cause de ses visions pouvait lui nuit. C'était en général une expérience assez difficile, souvent c'était des visions des plus morbide ou difficile sociologiquement, sans compter la dépense énergétique évidente. Elle était tellement troublée qu'elle n'eût pas la réaction de partir en courant. Peut être aurait elle dû. Elle aurait pu ensuite éviter cet homme en se concentrant sur lui. Son pouvoir d'empathie fonctionnait à plein régime. Elle ressentait la crainte de cet homme comme si c'était son propre sentiment, ce qui ne l'aidait pas du tout dans le contrôle de soit. Il avait également de la colère, tout un mélange troublant. Il était évident qu'elle ne pouvait pas savoir ce genre de choses et elle le savait elle même. Vu la tête qu'elle faisait à sa découverte, il était sure et certain qu'elle ne pouvait pas venir du futur. Elle était bien trop surprise pour cela. 

« Mais ... qu'est ce que vous faites ?! »

Demanda alors directement la jeune fille alors que le voyageur du temps se rapprocha fortement de sa personne. Elle rougit légèrement et paniqua totalement se sentant piégée entre lui et le mur. Elle se tétanisa sur place en le regardant dans les yeux.

« Ce ... ce n'est pas nnécessaire vraiment ! »

Phénicia remarquait bien qu'il trifouillait son téléphone portable, et la raison ne devait guère être louable. Alors qu'elle sentait qu'elle risquait de tomber à la renverse, prise d'étrange vertige, elle regarda effarée le paysage se tordre dans tous les sens. Tout ceci n'avait vraiment aucune logique, tout était floue sauf le jeune homme, qu'elle utilisait comme une ancre pour ne pas couler dans cette mer d'images et de flashes. Lorsque tout redevint plus normal et que ses yeux s'habituèrent de nouceau. Elle remarqua que rien n'avait changé à part qu'il faisait nuit, tout était éteint. Elle comprit assez rapidement avec ce qu'elle avait vu du jeune garçon qu'ils venaient de voyager dans le temps, comme il l'avait fait. Elle regarda alors le téléphone portable qu'il avait touché, c'était nécessairement cet appareil quoi qu'il soit réellement.

Phénicia ne pouvait pas savoir où elle se trouvait véritablement, elle pouvait être dans plusieurs siècles ou juste le soir même. Le bâtiment ne semblait pas avoir tant bouger que cela, ça ne devait pas être si loin que ça. Elle avait vu ses classiques et bon nombre d'animé traitait du problème des voyages dans le temps, mais quel différence entre le fantasme et la réalité ? Son avantage, c'était qu'elle connaissait par coeur le lycée pour y dormir. Elle était en pension complète dans les dortoires qui se trouvait dans un autre bâtiment. Elle s'écarta immédiatement lorsque le garçon lui offrit un petit bout de champ libre. Elle essayait de se concentrer afin de voir les différentes possibilités du futur à la situation exacte. Elle apprit que ce garçon en général n'était pas un mauvais bougre, il voulait savoir comment elle savait tout cela, il pouvait la rattraper facilement tant qu'il aurait son téléphone, mais il n'était pas question de risquer de l'abimer sinon elle risquerait de rester bloquer ici. Elle évita de regarder les versions un peu trop coquine de crainte de perdre pied, elle se méfiait d'elle même. Elle leva ses mains légèrement à la hauteur de sa poitrine en reculant légèrement comme pour mettre de la distance entre elle et cet individu.

« Je m'appelle Phénicia, je suis juste une étudiante ici, rien de plus. Je sais que vous n'êtes pas vraiment méchant, mais il y a l'art et la manière de demander quelque chose à une fille, vous savez ? »

L'extraterrestre venait à nouveau de se vendre, du moins, elle semblait en savoir long sur un jeune homme qu'elle venait tout juste de rencontrer, mais il ne pouvait pas savoir qu'elle avait déjà vécu de nombreuses fois cette scène en quelques secondes à cause de son pouvoir de divination.
 
« Je ne sais même pas qui vous êtes, alors je n'en sais rien du tout. Laissez moi tranquille ! Je ne dirais rien sur vos voyage dans le temps, je veux juste que l'on me fiche la paix. »

James se sentait tendu. Il était difficile de le cacher, cette fille pouvait très bien être une espionne comme n'importe qui d'autre. Il était difficile d'expliquer comment une personne pouvait savoir pour les voyages dans le temps de James. L'espionnage était probablement la seule hypothèse possible. L'irlandais avait peut être agis un peu à la hâte en l'isolant avec le voyage temporel, car maintenant qu'il y repensait, cette fille avais surtout l'air choquée, surprise, presque apeuré... Comme ci elle découvrait la vérité à l'instant... Une espionne n'aurait pas eu une réaction comme ça, elle aurait dissimulé toute émotions et de toutes façon elle aurait été au courant à la base du voyage dans le temps. Elle n'avait pas non plus pu avoir connaissance de cet événement précis avec William le Conquérant simplement en regardant le portable... Tout cela n'avais aucun putain de sens!

« Je m'appelle Phénicia, je suis juste une étudiante ici, rien de plus. Je sais que vous n'êtes pas vraiment méchant, mais il y a l'art et la manière de demander quelque chose à une fille, vous savez ? »

Comment ça elle savait que James n'était pas vraiment méchant? Était-ce la une tentative de l'attendrir en jouant avec sa conscience? Comme dans ses films ou la prisonnière d'un pervers psychopathe essaie de faire douter son tortionnaire? Ou était-ce simplement qu'elle le connaissais plus qu'elle ne voulait l'admettre. Tels étaient les questions qui traversaient l'esprit de James mais avant même qu'il n'ai eu le temps de répliquer, la dénommée Phénicia enchaîna.

« Je ne sais même pas qui vous êtes, alors je n'en sais rien du tout. Laissez moi tranquille ! Je ne dirais rien sur vos voyage dans le temps, je veux juste que l'on me fiche la paix. »

"Je... je suis désolé, j'ai un peu agis à la hâte quand tu as parlé de Harold II... Tu n'es pas censé savoir ça, c'est totalement impossible! Quasiment personne n'est au courant! Et... je n'ai même pas parlé de voyage dans le temps, ce qui confirme que tu sais! Comment? Je dois le savoir... je ne peux pas te laisser partir tant que tu ne m'aura pas donné d'explications, je le craint."

La petite Phénicia était mignonne. Trop mignonne pour être coupable de quoi que ce soit. Du moins c'est ce que James avait envie de croire. Son visage était le reflet de l'innocence. Et elle était à sa merci. Oh, James ne pensait pas spécialement lui faire du mal, il n'avait jamais utilisé cette machine à voyager dans le temps pour assouvir ses fantasmes. Enfin il faut dire que ça ne fait pas si longtemps qu'il à la possibilité de l'utiliser sans son père. Mais il se surpris à avoir quelques pensées perverses. Un fantasme dans lequel il planquait Phénicia dans une époque reculée pour en faire une sorte d'esclave sexuelle et pouvoir coucher avec elle encore et encore sans conséquences. Oh il arrivait parfois que James ai quelques pensées vicieuses par ci par la, comme tout les garçons normalement constitué, mais pour le coup, jamais rien d'aussi pervers. Peut être la mauvaise influence de Jane? James essayait tant bien que mal d'évacuer ces pensées malsaine tandis que Phénicia s'appretait à répondre...

Il était bien difficile de cacher quoi que ce soit à Phénicia avec son pouvoir de divination et d’empathie. Les personnes qui l’entouraient étaient de véritables livres ouverts qu’elle le veuille ou non. C’était d’ailleurs un sacré problème, elle n’avait que rarement de surprise, et elle trouvait que c’était une sorte de viole mental. Elle pénétrait dans les esprits ou le destin de personnes qui n’avaient rien demander. Ce fut le cas pour son interlocuteur, qui évidemment, ne pouvait pas comprendre ce qui lui arrivait. Elle ne pouvait pas vraiment lui expliquer non plus, car il était peu concevable pour la plus part des gens que des personnes comme elle pouvait exister. Elle ne savait pas trop ce qu’allait être sa réaction ou la méfiance par la suite. Quoi qu’elle fasse, cela allait changer leur relation et c’était bien pour cela qu’elle évitait toujours d’en parler. Tout ce qu’elle souhaitait, c’était de vivre comme tout le monde tranquillement, mais visiblement, le destin était contre cette idée.  

La médium allait devoir réussir à se sortir du guêpier dont elle avait plongé elle-même. Elle voyait bien que James était troublé et perdu en cherchant à expliquer l’impossible. Il devait bien se torturer l’esprit à échafauder un plan bancal et nécessairement faux. Quoi qu’il en soit, le fait qu’il l’avait fait voyager dans le temps ainsi prouvait ce qu’elle avait dit et manquait de subtilité. Cela lui indiquait sans avoir besoin de ses pouvoirs qu’il n’avait pas l’habitude de ce genre de vie, car il avait totalement paniqué en perdant le contrôle de la situation.  En voyant sa tête à la simple réflexion qu’elle venait de lancer à propos de son côté gentil, elle agita les mains doucement en cherchant à calmer la situation dans un rire gêné.

« Ce que je veux dire, c’est que vous avez plutôt l’air gentil si l’on omet que vous m’avez enlevé ….   »  

Lança alors avec un petit sourire gêné la jeune fille dans sa belle robe blanche. Elle devait vraiment réussir à noyer les divers poissons tranquillement en douceur, et tout irait bien. Il serait sans doute plus préférable par la suite qu’elle ne le croise plus afin d’éviter d’en reparler à d’y réfléchir de trop. Elle sentit bien qu’il était gêné maintenant d’avoir fait la folie de ce voyage dans le temps irréfléchi. Heureusement que cela c’était bien passé, qu’elle ne se retrouverait pas avec un inconnu dans un temps étrange ou dangereux. Elle ne savait même pas si cela allait être facile de revenir au temps normal. Même si pouvoir voyager dans le temps offrait de nombreuses possibilités, cela restait une aventure assez dangereuse si elle croyait les divers films ou livres sur le sujet.

« Pour ce type là, ce Harold, c’est … je ne sais pas pourquoi j’en ai parlé, c’est le sujet de cours d’histoire en ce moment. Je crois que je travaille trop. Hahahaha ! »

Finit par dire en riant Phénicia en étant pas totalement super crédible, mais elle tentait tout de même.

« Le voyage dans le temps ? Carrément …et bien … Je suppose que cela m’est venu ainsi. Il faut dire que tes réactions sont quand même étrange, je regarde trop de séries télé je crois.   »  

Elle était sans doute de moins en moins crédible, mais elle sortait ses idées un petit peu comme elle venait actuellement. Tout se bousculait dans sa tête. Elle continuait à reculer doucement en croisant ses jambes d’une manière délicate. Elle était très douce, et elle respirait l’innocence. Elle paraissait encore jeune surtout qu’elle avait encore bien des habitudes d’enfant malgré son corps de femme. Elle eut comme des flashes d’images extrêmement rares dans sa tête, comme si c’était ses propres réflexions. Elle se voyait dans une tour très haute moyenâgeuse enfermé dans une salle rustique. Elle était débrayée et James était en train de l’embrasser avec passion en la touchant un peu partout d’une manière bien perverse. Elle n’osait pas trop se défendre visiblement,  ce qui semblait pleinement convenir au jeune homme. Ils faisaient l’amour encore et encore les jours passant. Elle s’habituait à cette situation, le souci était qu’elle finissait par y prendre du plaisir. Son imagination prenait sans doute le pas, mais elle se voyait déjà enceinte de James. Elle posa une main sur son front en sentant son cœur palpiter comme si elle avait couru un marathon. Elle rougit en sentant son corps devenir brûlant, et elle savait fort bien reconnaitre ce genre de réaction. Elle se mordit une lèvre toute gênée. En général, lorsqu’elle était comme cela, elle fuyait rapidement pour se cacher et se calmer, mais là, elle était piégée quelque part dans le temps avec un garçon pervers, ou simplement un garçon finalement. Elle le regardait dans les yeux en sachant très bien à quoi il pouvait penser. Elle avait la tête qui tourne troublée et bien éveillée à force de ressentir tout ce désir. Elle vint poser une main sur son torse d’une manière délicate.

« Le mieux serait que l’on en reste là et … aaaaaah !   »  

Phénicia était faible et elle glissa au sol perdant l’équilibre. Elle agrippa par reflexe le vêtement de James pour ne pas tomber se retrouvant collé. Elle était contre lui ne sachant pas trop si elle allait se retrouver au sol avec lui au-dessus. Avec les pensées qu’elle avait reçu par son pouvoir, elle avait les tétons tendues qui se frottaient à travers sa fine robe blanche contre son torse. Elle commença à bafouiller quelques mots toute gênée et crispée sur sa main tordant légèrement son haut.

« Ce ... ce n'est pas ce que tu crois ... »  

Tenta alors de se désavouer la jeune fille clairement échauffée.

Phénicia était très visiblement gênée. Elle savait des choses, pour James s'était une évidence. Elle cherchait toutes sortes d'excuse et n'était pas franchement crédible. Des rires nerveux, une gestuelle qui trahissait une grande gêne, des excuses plus mauvaises les unes que les autres... En réalité, cela lui rappelait fortement lui même il n'y a pas si longtemps quand il cherchait à cacher son secret à Jane, l'apprentie sorcière.

*Elle se fout de moi... il va falloir trouver un moyen de lui faire avouer...*

La jeune fille aux cheveux blancs reculait lentement mais surement. Elle avait le visage d'une fille toute innocente et il était difficile de l'imaginer faire du mal a qui que ce soit.  James en tout cas n'avait certainement pas l'intention de lui faire quoi que ce soit, seulement de comprendre comment elle savait et trouver un moyen de la convaincre de ne pas en parler autour d'elle. Mais soudain son visage tout gêné changea d'expression. On ne voyait pas trop dans le noir mais James était persuadé qu'elle rougissait. Elle se mordit une lèvre ce que James trouva terriblement sexy. Cela amplifia ses pensées perverses et il commença à sentir un désir s'éveiller réellement. Son fantasme de la tour moyen-âgeuse fut rapidement troublé par la réalité : La main de Phénicia sur son torse.

« Le mieux serait que l’on en reste là et … aaaaaah !   »

Cela faisait deux fois. Deux fois en l'espace de 5 minutes que James et Phénicia se retrouvaient au sol. Sauf que cette fois... l'irlandais était au dessus de la lycéenne, collé contre son corps. Leurs position était tendancieuse. N'importe qui débarquant dans le couloir a ce moment là aurait clairement pensé qu'il s'agissait d'un couple sur le point de faire l'amour. James était perturbé, et rougissait. Cette proximité soudaine et inattendu commençait à réveiller sa virilité. Et lorsqu'il pris conscience que les seins de la jeune fille se frottaient contre son torse alors que les tétons de ceux ci étaient tendu, cela amplifia son érection grandissante.

« Ce ... ce n'est pas ce que tu crois ... »   

La jeune fille semblait... lutter. Ses seins pointaient et de ce que James en savait même si il n'était pas un expert en la matière, quand les seins d'une fille pointent, cela signifie qu'elles ont envie. Luttait-elle contre son propre désir? Quoi qu'il en soit, James sentait que le siens avait atteint un niveau bien trop important. Si bien que s'il se relevait, son érection serait clairement visible. Il ne pouvait juste pas se relever maintenant. Et même s'il le faisait, il serait obligé de partir un instant le temps que son érection se calme... Le visage gêné de Phénicia était proche du siens... très proche... Et avant même que notre voyageur du temps ne s'en rende compte, probablement poussé par le désir, il posa ses lèvre contre celles de la jeune fille. Bien que de nature plutôt timide, la situation, son envie de sexe, le doux visage de Phénicia... tout ceci cumulé était trop, même pour James. Peu à peu, il semblait que l'objectif de la discussion entre les deux individus avait bifurqué de façon radicale vers autre chose. James eut tout de même la présence d'esprit de tenter de marmonner quelques excuses après ce baiser surprise.

"Désolé... je... j'ai peut être... enfin... j'imagine que... Tu ne voulais pas ça..."

Il rougissait... gêné... Mais il luttait, très fortement. Il n'avait qu'une seule envie, retourner à la charge, l'embrasser, et plus encore, de lui faire l'amour. Et sans cette timidité, il aurait probablement continué sans même s'excuser...

Phénicia était de plus en plus gênée et torturée par le terrible désir bien réel de James. Elle devenait de plus en plus folle à mesure qu'il la regardait, qu'il la désirait, c'était de moins en moins contrôlable. Elle devait trouver un moyen de partir avant de devenir totalement folle. Elle sentit tout d'un coup une grande chaleur dans le bas de son ventre. C'était une véritable torture. Elle tomba à terre avec ce jeune homme au dessus d'elle, c'était assez gênant, mais vu son état avancé d'excitation, elle n'avait plus aucune force pour rien du tout.

L'extraterrestre fut étonnée de voir James rougir à la situation, tant elle sentait qu'il avait désiré cela. Elle s'était déjà imaginée se faire abuser au sol directement sans attendre, mais comment pourrait il comprendre ce qui lui arrivait. Elle pensait sans doute à juste titre que tout était de sa faute, elle n'arrivait pas à se contrôler. Son pouvoir la rendait folle et incontrôlable et ce malgré sa réelle innocence.  Alors que James commença à avoir une érection à cause de la proximité, elle se sentit également d'autant plus excitée par mimétisme. Elle commençait à être humide sous sa belle robe blanche, sa petite culotte de la même couleur venait d'être marquée. Ce n'était sans doute pas le signe de quelqu'un de très timide. Elle glissa une main sur son épaule, toute gênée alors qu'elle répondit d'une voix brûlante de désir, alors qu'elle respirait plus rapidement.

" Cal... calme toi ... je t'en pris ... je ... "

Put alors simplement dire la jeune fille à demi mot sussurant à l'oreille du jeune garçon. C'était d'ailleurs la première fois qu'elle sentait aussi bien la virilité d'un homme, elle en devinait presque entièrement les moindres contours. Il ne pouvait pas tellement le savoir, mais en cet instant, Phénicia et James étaient si connectés qu'ils partageaient quasiment tout par les pouvoirs de la jeune femme. Elle regardait cet homme dans les yeux avec les siens tremblant et brillant, la bouche partiellement ouverte afin de rechercher de l'air, sa respiration saccadée. Elle le vit approcher de plus en plus sa bouche de la sienne, et elle ne put que murmurer un vague non avant qu'il ne commence à l'embrasser.

" N ... hmmmm ...   "

Phénicia croisa ses bras avec une envie folle derrière sa tête en répondant au baiser avec une envie de braises. Elle ferma les yeux et respirait à toutes vitesses. Elle savait qu'elle devait se contrôler, que tout ceci ne venait pas de sa propre personne, mais les désirs et les pensées des deux êtres étaient mélangés en elle. Cela devenait une sorte de pot pourris de sentiments contraires, mais le désir sexuel à son âge était si fort et plaisant. Elle glissa une cuisse derrière les siennes en tentant de le restreindre contre elle, alors qu'elle faisait tout pour éviter ceci.

" Il ... non
.. il ne faut pas ... je ... Oh mon Dieu ... "

Tenta alors vainement de dire d'une manière cohérente Phénicia. Elle posa une main sur son front alors que tout son corps était légèrement en sueur d'excitation, brulant de désir. Elle tentait de réussir à reprendre le contrôle sur un corps devenu fou, mais sa tête lui tournait. Elle avait beau être vierge, elle connaissait parfaitement cette douce sensation agréable. Elle s'était déjà touchée alors qu'elle s'était connectée plusieurs fois à des couples dans cette école débordant de sexe. Elle ne pourrait bientôt plus rien faire alors que son corps incontrôlable se blotissait contre le corps fort et agréable de cet homme. Sa cuisse glissait lentement le long de celle de James. Elle n'en pouvait plus.

La jeune fille sous James semblait très perturbée. Et si l'on en croyait les réactions de son corps elle était également très excitée! A peine l'avait il embrassé qu'elle serra le bassin du jeune homme contre elle à l'aide de sa cuisse. Son érection touchait maintenant le bas-ventre de la jeune fille ce qui ne manqua pas de le faire gémir de désir. Quand James les avait amené ici en plein week end, ne semaine avant, il s'était dit que ce serait plutôt tranquille et qu'en théorie ils ne devraient pas être interrompus, mais ce n'était qu'une théorie. Ils étaient la, l'un sur l'autre, au milieu du couloir. Il pouvait très bien y avoir des surveillants dans les parages pour surveiller les couloirs, après tout, des internes pourraient très bien foutre le bordel, même le week end. C'était une possibilité comme une autre. Quoi qu'il en soit, James n'y pensais pas pour le moment. La seule chose qui le préoccupait c'était de répondre à la question "J'y vais ou j'y vais pas?"

" Il ... non
.. il ne faut pas ... je ... Oh mon Dieu ... "

La jeune fille semblait en avoir envie mais elle luttait contre. Après tout, les deux protagoniste venaient juste de se rencontrer, et faire l'amour directement, au milieu d'un couloir en plus, c'était peut être un peu rapide. James en avait parfaitement conscience, mais le désir prenait peu à peu le pas sur toute forme de conscience. Il avança alors ses lèvres vers le coup de la jeune fille pour l'y embrasser. L'une des cuisses de Phénicia se frottait contre celle de James, ce qui le fit frissonner.

"Je... je suis désolé, j'ai trop envie..."

L'une se ses mains alla caresser cette même cuisse tandis que l'autre se glissait vers sa poitrine afin de la caresser. Il n'y avait plus aucun doute, elle pointait. Le tétons était dur, s'en était presque surprenant. Etant peu expérimenté il ne savait pas à quel point elle pouvait être excité juste avec cette information.

"Ils... ils sont très durs Phénicia..."

Il continua à lui tripoter les seins pendant un instant, avant de se redresser. Si les seins de la jeune fille étaient durs, a quoi ça ressemblait plus bas? A genoux devant la jeune fille encore au sol avec les cuisse écarté, il approcha fit glisser sa main le long d'une des fines jambes de Phénicia jusqu'a sa culotte. Mais avant même d'atteindre celle ci, il se heurta a quelque chose de mouillé. De très mouillé. La petite culotte de Phénicia et ses alentours étaient totalement trempés. James n'avais plus aucun doute, elle avait au moins autant envie que lui, si ce n'est encore plus. Prenant confiance en lui, il attrapa les bords de la petite culotte de la lycéenne pour la faire glisser jusqu’à ses pieds. Celle ci resta accrochée à son pied droit, mais ça n'avait pas d'importance pour l'instant. D'ailleurs, vu l'état de la culotte, il était peu probable qu'elle puisse la remettre aujourd'hui. Il se glissa légèrement sur le côté de la jeune fille, plaquant une ses mains sur son intimité, titillant son clitoris tout en retournant à l'assaut de son cou, l'embrassant avec avidité.

Phénicia se rendit compte de ce qu'elle fait, de quel message elle envoyait à ce garçon trompé. Il semblait de plus en plus entrain à lui faire des choses inavouables. Elle se mordit une lèvre et regarda ailleurs, toute gênée. Elle sentait quelque chose de dure entre ses cuisses. Elle ouvrit en grand ses yeux, paniquée, pas du tout rassurée. Elle ne l’avait jamais fait et l’idée que cela se passe en plein milieu d’un couloir par terre, ce n’était pas comme cela qu’elle l’avait imaginé. Elle respirait rapidement brûlante, complètement folle de désir entre ses propres sensations, mais surtout l'envie prenante de cet homme bien trop proche.   

" Je … je suis vierge … "    

Annonça-t-elle comme si cela pouvait calmer cet homme dans une rare bouffée de conscience. Elle soupira de plaisir en fermant les yeux, frissonnante alors que James lui embrassa le cou avec tendresse. Elle cambra alors sa poitrine contre celle de cet homme, bien moins pointu. Elle sursauta en sentant la main de cet homme si massive contre sa fine cuisse, toute troublée. Elle était brûlante et très excitée, complètement en feu si l'on pouvait dire. Elle lâcha un soupir de plaisir en sentant une main contre sa petite poitrine tendue. Elle était comme paralysée de ce qui lui arrivait, mais c’était si bon.

"Hooo …. James … je …concentres toi un instant, je … je partage ce que tu ressens … tu … tu dois te calmer …. S’il te plais …. Aaaaaah !  "    
 
Phénicia devait l'avouer, cela devenait bien trop dangereux. Elle ne voulait pas le faire avec un inconnu comme cela, mais elle ressentait vraiment l’envie brûlante de cet homme. Elle gémissait doucement en se tortillant sous l'homme lui faisant profiter de ses courbes rondes et tendres contre son corps fort et abrupt. Cela la rendait folle, et elle était vraiment très excitée. Elle n’en pouvait plus. Elle fut prise d’un puissant tremblement, alors qu’elle ferma les yeux en sentant cette main parcourir sa cuisse jusqu’à sa petite culotte trempée. Elle collait fortement à sa peau, à ce sexe juvénile ouvert et brûlant. Il pouvait sentir l'intérieur de ses cuisses dans le même état, humide, brûlant et tremblant comme prises dans un courant électrique. Elle respirait comme une petite chienne en s’accrochant à cet homme, telle une bouée de survie. 

"Non … non pas ça …  "    

Susurra alors la jeune extraterrestre aux cheveux blancs longs qui s’allongeaient dans tous les sens. Elle sentit James lui retirer sa petite culotte, le dernier vestige d’une quelconque protection de sa vulve trempée et tremblante. Sans se rendre compte, elle ouvrit encore davantage ses cuisses, s’offrant littéralement sans hésiter. Sa petite culotte était en boule au bout de sa jambe droite, mais cela n’avait aucune importance, au contraire, cela la rendait folle comme elle était chaude. Elle le vit s'allonger à ses côtés, et sans pouvoir contrôler ses mains qui semblaient agir d'elles-mêmes, elle ouvrit en grand le haut de sa robe en laissant apparaître un petit soutiens gorge juvénile blanc. Elle se sentait un petit peu mieux tant elle avait chaud, comme des vagues successives allant vers le bas. Elle respirait à toute allure, et commença à gémir de plaisir avec force malgré la honte à chaque mouvement des doigts du jeune homme contre sa perle si sensible. Elle tremblait et se cambrait en ondulant doucement ses hanches contre cette main. Sa petite fente à peine avec quelques poiles pubiens trempés au-dessus bavait de plaisir.

"Aaaaaah ! AAAAAAAH ! Aaaah ! Aaah ! Aaaaaaaah ! "    

Phénicia pencha la tête sur le côté n'en pouvant plus. Elle était incapable de réfléchir correctement bercée par le plaisir puissant. Elle pencha la tête sur le côté en offrant son cou avec joie. Elle ne résistait plus, elle s'offrait, elle profitait de ce plaisir qui venait d'annihiler toute sa raison. Elle glissa sa main pour agripper le poignet de la main qui jouait avec sa perle.

Le désir de James pour Phénicia était très grand. Lorsque la jeune fille aux cheveux blanchâtres lui annonça qu'elle était vierge, il eu un petit moment d'hésitation, mais repris assez vite son action. Cependant il garda cet état de fait dans un coin de son esprit et essaierais de se montrer aussi doux que possible, plus particulièrement quand il la pénétrera. A maintes reprises, la jeune fille faisait des choses contradictoire. D'un côté elle suppliait à James de se reprendre, mais d'un autre elle lui ouvrait ses cuisses ou encore levait entièrement sa robe jusqu’à ses seins.

James continuait a embrasser le cou de la jeune fille, ajoutant par ci par la quelques petites léchouilles. Ses doigts jouaient avec douceur sur le bouton d'amour de Phénicia. Celle ci criait, et s'il on en croyait la quantité de mouille qui s'échappait de sa fente, ce n'était pas des cris de douleur! En fait elle criait fort... Peut être un peu trop... On avait beau être dans un lycée supposé vide, s'il y avait des gardiens, ils pourraient se faire surprendre. James plaqua sa bouche contre celle de Phénicia, étouffant ses gémissements. Il fit glisser sa langue dans la bouche de sa partenaire pour venir jouer avec la sienne, la caressant, la gouttant, jouant avec...

Il s'arrêta soudainement, le coin de son œil était attiré par une source de lumière grandissant. Quelqu'un approchait avec une torche! Phénicia avait effectivement fait trop de bruit, il était évident qu'ils ne pourraient pas continuer à faire ça dans le couloir... James attrapa son portable et enclencha la fonction de retour d'urgence en prenant soin de garder un contact physique avec la jeune fille. Le retour d'urgence était programmé à un moment ou la chambre d’hôtel que James louait était vide. En clair, nous étions environs une heure avant la rencontre avec les deux protagonistes. Ils étaient resté dans la même position que dans le couloir, mais cette fois ils étaient sur la moquette douce de la chambre d'hôtel. James était toujours très excité, aussi ne perdit-il pas de temps, la soulevant et l'emmenant directement sur le lit, la posant délicatement malgré son envie pressante de "visiter son intérieur". Au moins ce serait plus confortable qu'au milieu d'un couloir, surtout pour la première fois de la petite.

Il dégrafa le soutien-gorge de sa partenaire avec maladresse, s'y reprenant a plusieurs fois avant de finalement y arriver, et entrepris de peloter ses seins, avec autant de douceur que possible. Il prit le temps de s'occuper des tétons extrêmement durcis par l'excitation qu'elle ressentait. Il faut dire qu'ils avaient été durcis au point que James l'avait senti au travers de sa robe, son soutien-gorge et sa propre chemise! La poitrine de la jeune fille s'offrait à lui, et il comptait bien y gouter. Il approcha sa bouche des seins de Phénicia et entrepris de les lécher, de suçoter les tétons, de tournicoter sa langue autour d'eux et ce pendant quelques petite minutes.

L'érection du jeune homme commençait à devenir une gêne, mais il voulait prendre son temps avec elle, surtout depuis qu'elle lui avait annoncé que c'était sa première fois. Il décida tout d'abord d'enlever les derniers vêtements de ma jeune fille. La robe, puis les bottes et les chaussettes et... James se rendit compte d'un détail perturbant.

"M-mince... Ta culotte à disparue...Comme elle était à peine accrochée à ta botte, elle a du être considérée comme un élément du décors par ma machine... Elle a du rester au lycée d'il y a une semaine..."

James haussa les épaules. Le gardien qui avait trouvé la petite culotte trempée avait probablement du s'amuser avec et la souiller de bien des façons depuis 1 semaine. Quoiqu'il en soit le jeune homme retourna à l'assaut de sa partenaire, gardant dans un coin de son esprit le fait qu'il aurait à lui repayer une culotte dès qu'il pourrait. Elle semblait de plus en plus impatiente. Les filles se mettaient toujours dans cet état la quand elles avaient envie? James avait peu d’expériences mais il trouvait tout de même cela très surprenant.

Malgré tout ce qu’elle avait pu dire à cet homme, Phénicia avait été incapable de le retenir. Sans doute que c’était bien trop tard maintenant, il désirait trop ce corps juvénile qui s’étalait sous ses yeux. Elle était jeune avec son corps de femme, ses douces rondeurs et elle était terriblement excitée. Elle était dominée par les émotions qu’elle ressentait, qu’elle sache que ce n’était pas les siennes ne changeaient pas grand-chose. Elle manquait d’expérience, et c’était bien trop fort pour elle d’y résister. Elle n’avait jamais rien fait avec un homme et son corps était naturellement attiré par la gente masculine. Elle avait réussi jusqu’à aujourd’hui d’éviter de fondre littéralement entre les bras d’un homme, mais visiblement, elle n’y arriverait pas cette fois-ci. Elle allait devoir se donner à lui pleinement. Elle sentait dans son bas ventre un feu brûlant impossible à éteindre, c’était presque douloureux. Elle avait besoin de sentir un membre lui déchirer les entrailles, elle en était convaincue. Elle se sentait incomplète.

La blanchette avait beau dire qu’elle avait un pouvoir, cela ne sembla pas émouvoir plus que cela James qui poursuivit sa quête de cet amour soudain. Elle glissa un bras autour de son cou et pressa délicatement son visage contre son cou. Elle tressaillait comme électrisée par ses sensations intenses. Elle pencha la tête sur le côté en s’offrant sentant cette petite langue qui l’agaçait. Elle criait de plaisir, ultrasensible tant elle avait envie de son clito entre ses cuisses, il commençait presque à être saillant maintenant. Elle n’en pouvait plus, cela la rendait folle. Elle avait honte, mais elle ne pouvait pas se retenir de crier de plaisir comme une damnée. Cela la submergeait totalement et elle avait besoin de s’accrocher à cet homme de toutes ses forces comme si elle risquait de tomber. Elle sentit une boule descendre petit à petit entre ses cuisses. Les sensations de plaisir étaient bien plus fort quand c’était quelqu’un d’autre qui le faisait, que quand elle le faisait toute seule dans sa chambre avec ou sans pouvoir d’ailleurs. Elle était cette fois directement impliquée, ce qui changeait bien la donne. Un peu surprise et à bout de souffle, elle ferma les yeux et commença à embrasser avec une folle passion cette homme criant son plaisir et prise de soubresaut pendant le baiser. Elle mouilla la main de cette homme entre ses cuisses, alors qu’elle tentait de répondre innocemment ou plutôt avec son manque d’expérience.

Phénicia ne voyait quasiment plus rien tant le plaisir était grand. Tout autour d’elle était floue, les couleurs proches du blanc, et elle n’avait plus aucune force dans son corps qui tremblait. Elle ne se rendit compte de rien que quelqu’un approchait, mais quelque chose avait changé. Déjà, James avait arrêté de la toucher. Elle essaya de se reprendre, essoufflée comme une petite chienne, brulante et débraillée sous lui. Elle tenta de plier une cuisse légèrement comme pour cacher sa fente brûlante et trempée sans grand succès. Cela n’allait pas être si simple d’arrêter James. C’était évidemment plus agréable d’être sur la moquette pour le froid du couloir du lycée. Elle s’accrocha à James en passant un bras autour de son cou se blottissant légèrement contre lui alors qu’il la coucha dans un lit. C’était encore mieux que la moquette finalement, elle se retrouvait dans un environnement doux, molletonné et chaud. Elle aimait beaucoup les sensations, et elle perdait toute notion de logique ou de réflexion. Elle lança un regard tendre, voir presque amoureuse à cet homme totalement inconnu uniquement grâce à ce qu’elle ressentait.

La jeune fille souleva légèrement le haut de son corps afin d’aider James qui cherchait à lui retirer son soutiens gorge. Elle rit légèrement amusée alors qu’il n’y arrivait pas vraiment, mais sa protection ne dura pas indéfiniment. Elle finit alors les seins nus, ce qui changeait beaucoup les sensations lorsque James commença à jouer directement avec. Sa poitrine était petite, mais visiblement, ce n’était pas pour cela que cela lui enlevait les envies bien au contraire. Elle avait les tétons tendus, la respiration rapide, et tout son corps était brûlant. Elle glissa ses deux bras au-dessus de sa tête  en se cambrant légèrement remontant sa petite poitrine. Elle agrippa comme un réflexe les coussins au-dessus d’elle, en gémissant de plaisir. Elle ne comprenait pas bien pourquoi les hommes étaient tant en admiration de ses attribues féminins, mais elle aimait sentir la langue de cet homme sur ses pointes. Elle ferma les yeux alors qu’elle sentait James lui suçoter les seins, jouant de sa langue autour comme un serpent infini de plaisir. Elle amplifia sa prise sur les coussins en se tortillant sous lui. Elle se mordit une lèvre, et elle glissa une cuisse derrière les siennes comme un repère, une ancre dans ces eaux tumultueuses.

Phénicia sentait le membre dur et palpitant contre son sa cuisse. Cela lui faisait un drôle d’effet, elle sentait une envie pressante de s’empaler contre cette chose, de s’agiter à toute vitesse le long, de le sentir jouir profondément en elle-même si elle savait que c’était une mauvaise idée. Elle sentit son antre de plaisir se resserrer dans le vide d’envie, ce qui accentua le flot de cyprine se déversant. James pris son temps en restant au-dessus d’elle, afin de lui retirer tout ce qui ressemblait à un vêtement. Elle eut du mal à comprendre ce que venait del un dire James,  mais il parlait vraiment de sa petite culotte ?  Elle rougit fortement toute gênée à l'idée que l'on puisse retrouver une pareille chose,  mais en y repensant bien,  cela devait être assez commun vu  la perversité des lieux. 

« on... On ne peut pas laisser ça là-bas !  »  

Phénicia regarda alors l'homme hausser les épaules comme si c'était rien,  peu important.  Elle se mordit les lèvres,  gênée, mais bien vite à sentir toute cette passion latente,  elle oublia bien vite.  Elle se redressa lentement en glissant ses bras de chaque côté de sa tête.  Elle avait toujours les cuisses largement ouverte comme une invitation.  Elle glissa ses bras de chaque côté de sa tête en regardant avec insistance le membre.  Il lui paraissait si grand et large.  Elle ne pouvait pas imaginer que cela puisse rentrer.  Elle glissa lentement sa main le long de son torse en écartant ses doigts fins. Elle était hésitante,  elle voulait toucher cette chose,  mais elle n'osa pas. Elle ne put non plus lui demander quelque chose de pareil.  Elle vint alors s'assoir sur ses cuisses en le dominant de quelques centimètres,  tout deux redressé sur ce lit.  Elle avait ses mains posées sur ses épaules,  ses cuisses ouvertes sur les siennes serrées l'une contre l'autre.  Elle sentait le membre dur contre sa fente baveuse.  Elle releva son regard pour le plonger dans le sien,  toute tremblante et brûlante. Sa petite poitrine effleurait le torse musclé de cet homme.  Elle était incapable de prononcer un mot,  mais dans cette situation,  était ce bien nécessaire ?         


 

 

Bien évidemment, il était trop tard pour récupérer la culotte. Quand James avait activer sa machine, pour retourner dans sa chambre avec Phénicia, le gardien du lycée était à deux doigt de les repérer. Le timing serait trop serré pour la récupérer. La culotte servait certainement d'objet sexuel à un gardien pervers désormais. A moins qu'il ai eu le courage de la donner au secrétariat, mais c'est fort peu probable. Donner une culotte trempée de cyprine à l'administration du lycée ça le faisait moyen.

James fut un peu surpris quand sa partenaire jusque la relativement passive bien qu’extrêmement excitée devint un peu plus entreprenante. Celle ci se redressa, passant ses bras autour du jeune homme, ce qui eu le don de le faire frissonner. Elle regardait sa virilité d'une façon particulièrement vorace. Elle semblait hésiter et finalement se colla à lui. Il pouvait sentir du bout de son membre la fente humide de la jeune fille. Son corps collé contre lui était vraiment très chaud, s'en était presque inquiétant. En réalité James n'avait pas réalisé que Phénicia avait ce pouvoir d'empathie. Tout simplement, trop obnubilée par la jeune fille en transe qui s'offrait à lui, il n'avait pas du tout calculé sa révélation. Quoiqu'il en soit, à l'heure actuelle il se noyait dans le regard hypnotisant de la belle lycéenne. Un regard presque implorant.

Sentant qu'il était grand temps d'explorer l'intérieur de l'antre intime de Phénicia, il porta la main une main sur sa virilité tandis que l'autre se tenais à la hanche de l’extraterrestre . Il essaya de soulever un peu ses hanches, s'insérant petit à petit en elle, la guidant pour qu'en parallèle elle s'empale aussi sur le membre viril de James. Petit à petit il sentit cette chaleur s'envelopper autour de son sexe. Une chaleur qui provoquait d'un côté beaucoup de plaisir, mais d'un autre qui était presque douloureuse tellement elle était anormalement intense. Naturellement, et ce malgré son envie grandissante, James fit en sorte que la pénétration soit lente au début, ayant gardé à l'esprit que la jeune fille était encore vierge. Petit à petit lors de la pénétration, de grosses quantités de cyprine s'accumulaient sur le bas ventre du jeune homme. Bien vite une petite résistance s'opposa à l'exploration de James. Celui ci comprenant que c'est l'hymen, vint embrasser la jeune fille en lui caressant les cheveux afin de la rassurer et de lui permettre de se concentrer sur autre chose avant de finalement le percer. Sa virginité venait d'être volée. Finalement le membre fut totalement recouvert, coincé à l'intérieur de l’intimité de Phénicia. Les deux protagonistes étaient assis. C'était une position qui pouvait très rapidement être fatigante, mais hautement agréable lorsque c'était bien géré. Si les deux amants étaient bien synchro, le plaisir serait intense. James tenta donc de bouger le bassin, posant les mains sur les fesses de Phénicia, pour essayer de l'inciter à en faire autant au même rythme que James. Un rythme lent pour commencer... son hymen venait de se percer et il valait mieux y aller doucement. James gémissait à chaque mouvements.

"ça va...? Si... si jamais je te fait mal... dis le moi..."

James était souvent maladroit, et surtout dans le domaine de l'amour et du sexe, mais néanmoins il n'en restait pas moins quelqu'un de plutôt doux et d'attentif. Il observait avant tout le visage de la jeune fille, essayant de déterminer si l'expression sur son visage exprimait de la douleur ou du plaisir. Petit à petit les mouvement s’intensifièrent, devenant de plus en plus rapide, de plus en plus passionnés, provoquant de plus en plus de plaisir.  Il essayait de temps en temps de venir embrasser le cou, les lèvres et la poitrine de la jeune lycéenne bien que ce ne soit pas chose aisée avec tout ces mouvements toujours plus intenses...

Phénicia ne préférait pas trop penser à ce que pouvait devenir sa pauvre petite culotte innocente entre les mains velus et pervers d’un surveillant ou d’un étudiant. Elle avait autre chose à penser il fallait dire actuellement. Elle avait beau être quelqu’un de timide, de soumise, elle était bien trop excitée pour rester passive à se laisser faire. Elle ressentait un énorme besoin de contact, de chaleur, d’être prise fortement dans les bras pour que cette sensation de tournis s’arrête. Elle ne pouvait plus du tout résister à son propre pouvoir, qui avait eu raison de sa réflexion, c’était quelque chose qu’elle avait craint depuis l’apparition de cette mutation à son arrivée dans ce lycée. Elle restait le plus souvent possible solitaire pour cette raison, mais cela ne pouvait pas durer éternellement.
 
La jeune campagnarde était alors assise sur cet homme qu’elle ne connaissait que peu, qui l’avait enlevé à sa manière, et elle était prête à se donner à lui sans hésitation apparente. Tout juste avait-elle tenter de résister avant que ses sens ne soient dépassés. Elle caressait doucement de ses mains les épaules nues de James en appréciant la chaleur et la musculature. Elle pressa son corps contre le sien, lui laissant tout le loisir de sentir sa peau douce, son corps svelte et tendre, ses gestes peu assurés et sa petite poitrine contre son torse. Elle se mordit sa lèvre légèrement avec un frisson, le regardant dans les yeux, troublée. C’était une sensation étrange de sentir ce gland contre sa fente. Elle s’était souvent caressée à cause de son pouvoir dans l’école, mais rien de semblable. Elle avait souvent sentis un membre la prendre entièrement avec son pouvoir d’empathie, mais elle ne l’avait jamais fait en vrai. Comme si c’était de la mémoire génétique, un instinct peut-être, mais elle n’avait qu’une envie, s’empaler dessus sans attendre, mais malgré sa forte excitation, elle n’osa pas bouger. Sa cyprine s’écoulait contre le gland et le membre, en plus de leurs cuisses respectives. Elle était tellement à bout et en feu, il ne serait pas difficile de venir à l’intérieur.
 
Phénicia respirait rapidement cherchant de l’air, son corps moite de toute part, ce qui rendait son corps brillant et encore plus attirant. Elle baissa à nouveau son regard lorsque son partenaire du moment fit de même. Elle le regarda manipuler son sexe tendu, cela devait être presque douloureux de résister à cette pression. Elle sentait la main massive de cet homme sur sa hanche, cela la fit frissonner grandement, sans oser bouger d’un iota. Elle se souleva quelque peu sous l’impulsion de la main de l’homme sur sa hanche. Elle sentait le gland commencé à presser sur ses grandes puis petites lèvres intimes entrant inlassablement en son temple du plaisir si envieux. Sans réel contrôle, son antre se resserra encore davantage en imaginant ce qu’elle pourrait ressentir, elle savait bien comme cela pouvait être agréable, bien qu’elle soit vierge. Elle n’arrivait pas à se maintenir sur place alors que tout la poussait à s’unir à cet homme. Son corps le réclamait fortement, elle avait envie de se sentir totalement rempli, de le sentir remuer à l’intérieur. Elle ressentait également l’envie grandissante de James qui influait sur ses propres sentiments, se mélangeant avec les siens comme si on remplissait un vase de sentiment à coup de verre d’eau. Elle croisa les bras sur les épaules et derrière la nuque de son amant alors que toute tremblante et envieuse, son corps descendait doucement à la rencontre du sien. Elle s’abandonnait à lui se laissant glisser toute trempée qu’elle était le long du chibre qui l’envahissait toujours plus à chaque seconde. Elle pressa ses cuisses contre les siens comme si elle avait peur qu’il puisse disparaitre l’accueillant avec une certaine joie, sans trop penser au risque de douleur.        
 
L’étudiante releva son regard en croisant le sien alors qu’elle le sentit s’immobiliser à moitié à l’intérieur. Elle avait la bouche entrouverte, essoufflée, le regardant avec envie. Elle hocha la tête comme s’il avait besoin d’une validation, il était bien trop tard pour faire machine arrière de toute façon. Elle ferma les yeux en embrassant presque sauvagement James, se pressant fortement contre lui. Elle sentit les douces caresses sur ses longs cheveux blancs, puis il finit par la pénétrer entièrement. Elle eut un léger frisson et un petit sursaut, mais elle était tellement en feu qu’elle n’eut guère de douleur plus de quelques secondes. Elle était tellement pourvue de fluides que la pénétration c’était faite avec douceur et provoquant de terribles plaisir explosifs avec deux esprits liés. La pénétration était profonde, et son vagin comprimait fortement le membre pour la première fois en elle, le massant et l’aspirant toujours plus profondément. Elle ne voulait pas bouger pour le moment afin de s’habituer à cette présence, respirant encore plus rapidement alors qu’elle se décolle un petit peu de lui en revenant prendre ces épaules avec ses mains. Un peu de sang s’écoula le long du membre et dans les draps, preuve s’il en fallait qu’elle était bien vierge.
 
« Aaaah ! Ja… Hooo …. James !   »    
 
Tenta de dire l’extraterrestre entre deux gémissements. Elle glissa son visage contre son épaule et son cou, alors qu’il commençait à remuer en elle lentement prenant ses fesses en mains. Elle entendit des bruits humides intimes très gênant, qui la faisait rougir, mais le plaisir était si intense, qu’elle ne put guère faire de commentaires. Elle était tremblante et prise de frémissement tout le long de sa colonne vertébrale. Elle eut du mal à commencer de bouger le long du membre qui la prenait sans aucune protection d’ailleurs, mais ses hanches étaient comme devenues autonomes, elle commençait à s’empaler le long du membre dans de lents mouvements de va et bien s’accordant avec l’aide des mains de James à ces mouvements. Elle entendit les gémissements de cet homme qui était en train de la visiter, cela l’excitait davantage et la comblait d’une certaine joie. Elle lui donnait du plaisir, et elle en recevait en échange.
 
« Aaaaah ! C’est … C’est trop bon !  Haaa !   »    
 
Phénicia tentait de se restreindre, mais elle gémissait sans pouvoir se retenir. Elle pleurait de plaisir alors que ses yeux embrumés de larmes ne lui permettaient plus d’y voir clair tant le plaisir était présent. Tout devenait blanc autour d’elle avec des pointes lumineuses un peu partout. Son corps était en feu et en réclamait encore et encore, alors qu’une boule descendait lentement le long de son bas ventre, une boule de plaisir intense qui ne demandait qu’à exploser à l’extérieur. Elle bougeait lentement, petit à petit. La jeune fille croisa ses cuisses derrière James en s’appuyant sur ses épaules pour onduler sa fente détrempée le long du membre tendu fiché en son sein. Sa poitrine caressait le torse musclé de l’homme au gré des mouvements, alors qu’elle le sentait accélérer en elle, devenir plus passionner et plus envahissant, mais elle aimait tant cela. Elle ne réfléchissait plus, elle le voulait simplement toujours plus profond en elle. Pourvut que cela puisse durer une éternité.                
 

James n'aurait jamais cru que cette lycéenne si timide qu'il avait renversé plus tôt au détour d'un couloir du lycée serait aussi entreprenante. Surtout que celle ci était vierge. Au fond de lui James ressentait comme une pointe de regret, mais le désir était beaucoup trop intense en comparaison. Au point ou le jeune homme en était, il valait mieux assumer et faire en sorte que la première fois de Phénicia soit inoubliable! Lorsque James avait percé l'hymen de sa partenaire, celle ci ne sembla pas ressentir de douleur trop longtemps, ce qui rassura James. Il semblait que l'état d'excitation extrême de la jeune fille lui avait permis de très rapidement passer outre la douleur et rapidement, on pu voir du sang se mêler à son jus d'amour.

Elle gémissait contre lui, le visage sur son épaule près de son cou. Il pouvait sentir le souffle de la jeune fille contre sa peau a chacun de ses cris. Désormais Phénicia bougeait en même temps que le jeune homme, et c'était bon, vraiment bon. James n'avait pas compris que Phénicia avait ce pouvoir d'empathie, mais paradoxalement, il sentait sa partenaire de plus en plus excitée. Et plus elle était excitée, plus lui l'était aussi, créant ainsi une sorte de cercle vicieux ne pouvant se terminer que par un orgasme qui promettait d'être particulièrement violent.

La jeune fille ressentait tellement de plaisir qu'elle en avait les larmes aux yeux, c'était impressionnant! Sur le coup James se demandait si c'était un qu'elle ressentait de la douleur, mais ce n'est pas ce que son visage, ses mouvements de hanches et son corps de manière général renvoyait comme signal. Elle aimait ça a un point que James ne pouvait imaginer et c'était très excitant pour lui. D'une certaine façon, en tant qu'homme, ça gonflait son égo puisque de son point de vue, ça voulait simplement dire qu'il se débrouillait bien!

De fil en aiguille, après plusieurs minutes d'ébats devenant de plus en plus intense, James sentait l'orgasme, le point de non retour se rapprocher de plus en plus. Phénicia était toujours sur lui et il allait être difficile pour le jeune homme de se retirer, surtout si elle continuait a bouger sur lui de la sorte. James était en sueur, haletant et avait du mal à s'exprimer, mais il essaya néanmoins d'avertir Phénicia.

"Ph...phénicia...Je... je vais pas... tenir très longtemps... si on continue comme ça..."

James essayait de ne plus trop bouger. Il ne voulait pas jouir en elle sans sa permission, surtout sans protection! C'était à elle, et à elle seule de décider. Si elle ne lâchait pas le rythme de ses mouvement de hanches, il comprendrait...