Elle avait beau renier son plaisir, il était évident qu'elle était en train d'apprécier ce qu'il se passait. La douleur était toujours bien présente mais Anna crevait de chaud, pour une raison qui lui échappait. Tout son corps bouillonnait de l'intérieur et ses trous la chatouillaient à un point tel, que cela devenait insupportable.
Elle n'était pas habituée à la sodomie, et encore moins à une queue de cette taille. Il était brutal, sauvage, et elle avait beau remuer contre lui pour essayer de réduire la douleur, c'est à peine si elle arrivait à bouger. Anna ne retenait plus ses larmes désormais, pleurant non pas à cause de la douleur, mais à cause de l'humiliation qu'elle était en train de subir. Le salopard était en train de lui retourner les boyaux et tous les autres semblaient s'en amuser. Pourquoi fallait-il que les hommes parviennent toujours à dominer les femmes ?
Comprenant bien vite que ses insultes l'excitaient plus qu'autre chose, la petite blonde préféra se mordre la lèvre plutôt que de continuer. Pourtant, le démon vint passer sa langue sur son oreille et elle ne put s'empêcher de gémir, l'organe étant chez elle un point particulièrement sensible. Comment ce connard pouvait-il l'exciter à ce point ? Comment pouvait-elle éprouver du plaisir en sentant sa langue poisseuse sur son oreille ? Ses ongles s'enfoncèrent d'avantage dans les bras du démon, comme pour le punir de la traiter ainsi.
Puis les gifles reprirent, toutes plus violentes les unes que les autres. De petites plaques rouges apparaissaient sur sa peau de pêche et la belle se contractait à chaque claque qu'elle se prenait, rendant la pénétration plus difficile. Elle voulait se retenir de pleurer mais les larmes ne cessaient plus, humidifiant ses joues pour descendre jusqu'à son menton. Tout son beau maquillage était littéralement foutu et elle ne ressemblait plus à rien, si ce n'est à une catin qu'on aurait ravagée pendant des heures.
- V-...V-Vous n'êtes qu'une... une bande de salopards... leur dit-elle, d'une voix tremblante et à peine audible.
Préférant fuir tous ces regards enjoués, Anne ferma les yeux. Ils pouvaient la violer, certes, mais ne pouvaient pas l'obliger à garder les yeux bien ouverts. Pourtant, un des vieux débris vint la doigter avec violence et elle ouvrit un oeil malgré elle, fixant ses doigts qui allaient et venaient dans sa petite chatte sans douceur. C'en était trop. Son corps ne tenait plus. Elle se mordait la lèvre comme une petite folle, allant même jusqu'à la faire saigner. Elle ne voulait pas leur donner satisfaction... Elle refusait de se lâcher. Son regard se plongea de nouveau dans celui du démon, comme si elle espérait qu'ils les fassent disparaître en lisant son désarroi. Mais il n'en fit rien, préférant au contraire lui cracher au visage une seconde fois. Folle de rage, elle voulut faire de même mais quelqu'un vint lui saisir la mâchoire. Et puisqu'elle refusait catégoriquement d'ouvrir la bouche, le salaud vint lui pincer le nez pour ne pas lui laisser le choix. Anna résista pendant de longues secondes avant que ses poumons ne la supplient de récupérer un peu d'oxygène. Désabusée, elle ouvrit la bouche pour respirer, frissonnant de dégoût en sentant les doigts salés sur sa langue rose. Puis il cracha dessus de nouveau et elle poussa un râle de frustration. Les parois de son cul se resserrèrent brusquement tandis qu'elle essayait d'échapper à toute cette maltraitance, en vain. On l'obligea à fixer son violeur et elle fit mouvoir sa bouche, préparant la salive qu'elle allait lui cracher à la gueule. Puis, subitement, elle sentit un membre turgescent forcer sur sa petite chatte trempée et Anna fut prise d'un violent spasme qui l'obligea à ravaler sa salive. Elle était folle. Folle de rage.
- N...Noooon !! Es... GRMPH !!!
Mais elle ne put finir sa phrase, coupée par le sale porc qui l'embrassait à pleine bouche. Elle voulut se défaire de son emprise mais il la maintenait fermement à sa place, l'obligeant à subir le délicieux baiser qu'il lui offrait. Lutter devenait maintenant impossible et Anna ne pouvait s'empêcher de couiner comme une petite pute contre les lèvres de celui qui lui violait la bouche. Elle le sentait... Son corps était sur le point d'exploser. Elle était au bord de l'orgasme et ses trous se mirent à palpiter violemment, compressant les chibres qui se trouvaient à l'intérieur. Devinant qu'elle était à deux doigts de jouir, le salaud relâcha ses lèvres, l'obligeant de nouveau à regarder le démon qui lui martelait le cul.
- N-Noon... NON !! Je...Je vais... Je vais JOUIR !
Elle essayait de se retenir au maximum mais sans succès. Elle se cambra malgré elle, poussant un ultime cri avant d'être en proie à un orgasme intense, puissant. Sa chatte libéra une quantité impressionnante de mouille qu'elle expulsa par petits jets successifs, éclaboussant les membres ainsi que le sol.
- HAAAANN !! Noooonn...! Ne regardez paaas !! hurla-t-elle, haletante.