L'entre-deux Mondes > Le Palais Infernal

La dette [PV Anouvanh]

(1/3) > >>

Ariman:
Même si il destiné à la guerre les plaisirs sensuels de l’art, de la musique et de l’amour fascinent Ariman, et il est attiré par ceux dotés de charisme et de beauté physique. Les expériences de l’esprit et l’assouvissement des désirs mentaux inspirent des besoins plus profonds et plus sinistres de l'Oblitérator. Ariman as souvent des appétits et le Don qui faisait de lui un Oblitérator engourdissant ses sens, le poussait souvent à chercher de nouvelles expériences plus étranges pour obtenir les mêmes frissons que ceux qu’ils ressentaient au début quand il n'était pas encore une bio machine démoniaque. Parfois quand les plaisirs liés aux entreprises artistiques ou même à ses expériences voire même ses conquêtes commencaient à s’estomper, Ariman se tourne souvent vers le physique pour ressentir la même excitation, les mêmes sensations qu’auparavant.

C'est pour cela qu'il allait souvent dans les enfers afin de retrouver ses sensations et cherchant de l'exotisme, écumant aussi bien les nombreux marchés aux esclaves que les bordels infernaux les plus dépravés promettant mille et une délices et autant de souffrance aux âmes damné où à leurs visiteurs. En terme général aimait errer dans le palais à la recherche de ses plaisir mais pour une fois  Ariman se rendit directement dans le domaine de Dechala.

Dechala la Répudiée, est la maîtresse des Tourmenteurs. Elle est aussi impitoyable que magnifique et sa cruauté n'a d'égale que sa séduction. Les premiers récit des ravages de Dechala remontent à plusieurs siècles, et certains disent que les démons lui offrit une longévité exceptionnelle, ou que la légende selon laquelle elle fut jadis une princesse Elfique est vrai. Elle a tant muté qu'elle ressemble plus à un démon qu'à une mortelle : sa peau est lisse et blanche, ses jambes ont été remplacées par un corps sinueux de serpent, sa queue fourchus claque comme un fouet et dégouline de poison, ses six bras manient de lourdes épées et ses yeux luisent d'une lumière intérieure, promettant douleur et plaisir extrêmes à ceux qui oseraient se dresser devant elle.
Elle possède une beauté extraordinaire, mais elle est aussi étrange et déroutante qu'elle est irrésistible, son visage inspire le dégoût autant que le désir. Dechala recherche le sybaritisme absolu, libérée des contrainte de la loi et de l'ordre, mais ne veut obtenir ce plaisir que pour elle seule : les autres peuvent souffrir et mourir tant que ses désirs sont comblés.

Dechala est peut-être le pire des monstres inhumains. Elle ne cherche pas à tuer ses adversaires, mais préfèrent les réduire en esclavage. En utilisant du sang sacrificiel exposé à de la Malepierre mélangés avec ses propres sécrétions vaginales, elle créé l'un des plus puissant élixirs du monde. Aucune créature mortelle ne peut en boire sans subir d'atroces changements. Les captifs des Tourmenteurs n'ont pas besoin de chaînes : ils sont dépendants de la hideuse substance. Leur accoutumance au liquide toxique de Dechala les transforme alors rapidement en de serviles esclaves sans défenses, accomplissant tous les caprices de leurs maîtres.

Dans leur camp, les Tourmenteurs sont servis par une multitude d'esclaves qui veillent à satisfaire tous leurs besoins. Leur décadence a atteint un tel niveau que leur dépravation reste inégalée dans les strate infernale. Chaque dose absorbée par les esclaves ne tue pas seulement leur esprit, mais provoque également des mutations. Les horreurs qui suivent les bande de Dechala sont les victimes de l'élixir : de révoltants blasphème envers la nature, des choses qui n'auraient jamais dû exister, jadis créature libres ou adeptes du Chaos, humains, Nains ou Elfes ayant eu le malheur de rencontrer les Tourmenteurs en bataille et d'avoir survécu. Avec le temps, l'élixir détériore le corps, le transformant et le tordant jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'une masse de chair frémissante. Beaucoup de ces victimes meurent dans d'indescriptibles souffrances. C'est pourquoi les Tourmenteurs ont sans cesse besoin de nouveaux esclaves, car ils se sont habitués à leur vie facile et luxurieuse, et sont donc toujours prêt à en découdre.

Les Tourmenteurs portent des armures ressemblant à des écaille de serpent et vont au combat à bord de chars, leurs esclaves extasiés cloués aux parois comme des boucliers vivants. malgré leur décadence et leurs manières efféminées, ce sont des guerriers redoutables, ignorant totalement la peur, hurlant de plaisir même sous les coup et endurant les pire blessures sans montrer autres chose que de la fascination. Au combat, Dechala est magnifique tandis que son corps de serpent danse pour plaire à son Dieu. Aussi délicats et sensuels que soient ses mouvement, ils n'en sont pas moins mortels pour ses adversaires. Nombreux sont ceux qui ont été déchiquetés alors qu'ils étaient hypnotisé par sa danse.

Ceux qui ne sont pas tué par les Tourmenteurs pour le sport, ou qui ne sont que blessés et abandonnés sur le champ de bataille, seront submergé par une une foule d'esclaves hurlants, immobilisés et forcés à boire l'élixir de Dechala. Une goutte est suffisante pour les condamner à une existence misérable et pénible jusqu'à leur dernier jour, heureusement relativement proche. On dit qu'il vaut mieux se tuer soi-même plutôt que d'être laissé à la merci de Dechala, car elle ignore le sens du mot pitié.

Malgré le Danger apparent de cette strate infernale Ariman avança résolument vers le palais de la démone car qu'elle le veuille ou non Dechala avait une dette envers l'Oblitérator et ce dernier était bien déterminé à la contracter. Il avait donc demander une audience à la reine infernale et il c'était mis à suivre deux tourmenteur allant et passant devant des pièce ou ce déroulait d'abominables orgie ou des arènes où se déroulait de sanglant combat.

Ariman:
Dechala n'était pas contente de la visite de l'Oblitérator surtout quand il lui rappela sa dette. C'était le monde à l'envers. D'habitude c'était les Démons qui contractait les dettes aux mortels et pas l'inverse. Mais tout mortel qui soit Ariman était certainement le mortel qui as le plus de faveur des puissances de la ruine et as travailler pour de nombreux Archidiables dont la plupart faisait partie de ses relations amicales. Dechala espéra que ce que demanderait Ariman ne sera pas trop élevé. Dechala proposa donc quelques distractions pouvant attiser sa fureur guerrière que son envie charnel. Visiblement ce qu'elle proposait étaient des nouveautés et Ariman la sentis se crisper quand il lui dit qu'il allait prendre possession des deux et sûrement plus.

Ariman se dirigea donc vers le couloir de droite. Ce fut qu'une fois seule que Dechala rumina. Ariman l'avait humiliée et si il y avait bien une chose que la reine démoniaque détestait c'était qu'un mortel lui dicte ses conditions. Dechala détestait perdre ce fut alors qu'elle pris une décision qui pourrait lui attirer des ennuis dans les strates démoniaque. Elle ne pouvait pas s'attaquer directement à l'Oblitérator mais un accident est si vite arrivé et la reine ne manquait pas d'imagination en ce qui concerne d'assassinat subtil et vicieux et peu être que  Anouvanh pourrait être un pion utile au plan qui commençait à germer dans son esprit.

---------------------------------------------------------

Anouvanh était en train d'attendre quand elle perçut enfin des pas venir vers sa couche. Ce fut que quand son visiteur arriva qu'elle ne pus cacher sa surprise. Son visiteur était un guerriers monstrueux un blasphème contre la nature d'homme et de machine. Son corps est devenu une symbiose impie de muscles et de céramite, avec des tendons distendus qui semblent infester ses épaisses plaques d'armures. Son visages curieusement encore humain et beau contrastait avec son corps qui semblait se modifier sous ses yeux, la fusion des organes et des mécanismes ayant abouti à un être particulièrement effrayants, repoussants mais aussi fascinant.

Malgré son air dominateur et sanguinaire Ariman se montra assez polis pour saluer la succube qui lui faisait face. En fait sa réaction en le voyant l'avait agréablement surpris. Qui qu'elle était elle ne semblait pas sous l'emprise de Dechala et semblait être aussi sauvage et maligne que belle.

- Mon nom est Ariman. Dechala m'envoie afin que tu puisse me divertir car elle est en dette envers moi. Quel est ton nom jeune succube et que sait tu faire dans le domaine des plaisirs charnelles ? Demanda l'Oblitérator.

Ariman:
Ariman eu un sourire montrant ses dents métallique. La Démone semblait être du genre à aimer aussi bien la douceur que d'être prise avec violence. Elle semblait fonctionner selon l'ancienne école autrement dit elle pactisait afin d'offrir ses charmes mais aussi se nourrir du désir sexuel de ses amants une nourriture bien moins dangereuse que de pomper l'énergie vitale comme faisait de nombreuses Succube ou Démonette. Maintenant qu'il y pense Ariman se demandait ce que cette créature faisait chez Dechala et ses tourmenteurs. Une créature comme elle n'avait rien à faire ici et serait mieux sur Terra où elle trouverait meilleure nourriture à son goût que des damnés.

Il y avait visiblement quelques chose de spécial chez cette succube qui changeait des proies habituelle et des esclaves. Ariman trouva Anouvanh aussi charmante qu'elle pouvait être soumise, vicieuse ou farouche. Ariman toucha le visage de la succube et lui leva la tête afin de la regarder dans les yeux.

- Tout le plaisir est pour moi. J'espère que malgré mon apparence tu verra en moi un amant intéressant. Je peu me montrer aussi doux que cruel avec mes maitresse et je vois que malgré ton air soumis tu es quelqu'un qui n'est pas du genre à te laisser marcher sur les pieds. Tu sera donc aussi bien ma victime que dominatrice comme Dechala est en dette j'ai cru bon de lui demander quelques uns de ses esclaves afin de s'amuser un peu plus de ses pitoyable damnés. Mais avant faisons plus ample connaissance. Dit l'Oblitérator qui se mis à l'aise à sa manière.

Anouvanh vis avec surprise le corps de l'Oblitérator changer. Elle avait cru au début qu'elle allait faire l'amour avec un monstre en armure mais le don conférait à Ariman certaine particularité notamment de refaçonner son corps comme il le voulait. Quand la démence charnelle cessa Anouvanh eu une surprise plaisante. Le corps d'Ariman était toujours imposant mais semblait être plus fait de chair que de métal et ne donnait plus l'impression qu'Ariman ne portait plus d'armure. Ce mélange de chair et métal était loin d'être beau mais plus proche du corps de chair que de la machine et incroyablement musclé. Le plus impressionnant c'était cette monstrueuse queue que l'Oblitérator avait entre les jambe. Une queue énorme aux bourses lourdes. Ariman allait violer la Démone selon son désir mais cette dernière se rendit compte que l'Oblitérator faisait aussi l'effort de la mettre à l'aise et pas qu'elle ai l'impression d'être prise par une froide créature de métal qui la laissa se mettre en condition de de victimes sur le point d'être prise sadiquement.

Ariman:
Ariman ne fit pas prier. Quand Anouvanh se mis en position de chienne soumise son cul en évidence montrant sa rosette et son cul serré Ariman Agrippa la Démone qui se retrouva la tête en bas son nez sur la verge colossale de l'Oblitérator tandis que Ariman lécha son fruit. Sa langue aussi épaisse que sa queue très longue et très chaude passa à la fois sur le vagin et l'anus de la succube avant d'enfoncer sa langue en elle. Anouvanh sentis un frisson électrique parcourir sa colonne vertébrale quand la langue de l'Oblitérator s'enfonça dans son vagin comme une queue et se mis à mouiller. Le nectar démoniaques que produisait la succube était bon. Délicieux et sucré comme du vin.

- Mmmm ! Un vrais nectar !  Dit Ariman qui honora le cul Anouvanh de baiser avant de titiller le bouton de sa fleur et même mordiller ses lèvres intimes. Si Ariman voulait brutaliser Anouvanh avant la considérant comme une simple catin avant il avait vite changer d'avis. Anouvanh était comme un trésor qu'on aurait envie de garder pour sois même si elle en avait pas l'air.

L'Oblitérator remis à l'endroit la succube et l'embrassa voracement avant de s'allonger avec elle sur le lit de pierre. Ariman bandait fort. Si son membre était énorme au repos il avait pris maintenant une dimension colossale pouvant tuer un humain non entrainer à subir se genre de traitement. Mais plutôt que d'enfoncer son dart tout de suite Ariman laissa Anouvanh prendre les choses en main et s'amuser avec sa queue.

- Tu est précieuse Anouvanh. Je me demande pourquoi tu reste dans cet endroit ? Il n'est pas fait pour toi. Dit il alors que la succube jouait avec son membre.

Ariman:
Anouvanh était donc une indépendante. Sur ce point là Ariman et elle se ressemblaient. Ariman avait beau être l'instrument des quatre puissances de la ruine il as toujours apprécié de rester un indépendant. Être sur le fil des tentation et des vice n'est pas chose évidente mais ce qui plaisait à Ariman. N'avoir aucune allégeance à un Dieu du chaos particulier lui permettait d'avoir accès à tout les avantages comme les inconvénient mais l'Oblitérator restait modeste et avait suffisamment de jugeote pour prendre ce qui lui était abordable plutôt que de convoiter un pouvoir ou quelques chose qu'il serait incapable de contrôler.

Pour le moment ce fut au tour Anouvanh de s'occuper de lui. Elle l'avait déjà bien titiller quand elle avait la tête en bas mais là elle avait une position idéale pour que ariman puisse enfoncer son membre dans sa bouche et pouvoir jouer avec sa fente degoulinante de liqueur. Quand Anouvanh réussit l'exploit de gober son gland en pleine bouche Ariman fut surpris. Rare sont ceux qui son capable d'un pareil exploit même parmi les démon. Outre cela le piercing dans la langue de la Succube augmentait le plaisir Ariman n'avait jamais ressentis quelque chose de pareil.

- Bon sang ! Par les abysses ! Rhaaaa ! Chienne ! Tu va me faire jouir avant même que je commence ! Grogna t'il enfonçant sa queue dans la gorge de la Succube et crachant son foutre.

C'était plus un réflexe qu'un geste d'humeur. Anouvanh était un monstre à sa manière l'Oblitérator n'avait jamais jouis aussi vite et si intensément que son jus remplis l'estomac Anouvanh et manqua même de la noyer Ariman du se retirer avant de lui faire très mal et la déchirer en en deux. Quand il se retira il jouissait encore et sa queue surgonflé aspergea Anouvanh se sa crème blanche et odorante et même après qu'il avait jouis Ariman bandait encore comme un minotaure.

- Argh Catin infernale ! Par l'enfer je n'ai jamais ressentis des délices de la bouche pareille. Même une reine putain des strates de la luxure n'arriverait pas à ta cheville. A côté de ce que tu m'as fait les plaisir que j'ai ressentis jusqu'ici m'ont l'air bien fade. Regarde dans quel état que tu m'as mis. Tu m'as dit que tu te nourrissait du désir je vais t'offrir un véritable festin digne d'une monarque je vais te baiser jusqu'à plus soif jusqu'à ce que nous soyons tout les deux repus. Dit Ariman qui malgré avoir jouis montrait une vigueur incroyable. C'était comme si Anouvanh avait recharger les batterie de l'Oblitérator et visiblement il en redemandait et voulait honorer les autres trous de la succube.

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

Utiliser la version classique