Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]

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Marie Anne

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Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]

mardi 05 janvier 2016, 23:26:23

~~ Marie Anne ~~

Je me suis réveillée à l'aurore, comme tout les jours. Cela était devenue rapidement une routine, me lever, observer le soleil se lever à travers la fenêtre, mettant le feu au ciel. Je trouvais cela magnifique, comme si cela donnais naissance à ce paysage que je voyais.  Mon état étant hors de danger, les médecins m'avaient placé dans une chambre, seule. Enfin seule non, il y avait San. Il ressemblait à monsieur le chat dont j'avais rêvé et je l'avait baptisé San ... même si je ne sais pas pourquoi ce nom m'est venu en tête. C'était mon seul compagnon dans cette pièce, faisant le pitre quand je n'allais pas bien, comme s'il arrivait à voir en moi.

Même si c'était vrai, je n'aurais pas été effrayée, car si les médecins et les infirmières sont très gentils, il est le seul à rester près de moi et s'inquiéter.

L'air aseptisée et les murs me sont désagréable, j'ai la sensation d'être dans une cage et cela m'oppresse.  Plusieurs fois j'ai demandé à être dans une chambre commune, mon état le permettant. Mais à chaque fois le même refus m'a été exposé "Il vous faudra vous séparer du chat, pour la santé des autres patients". Bien sûr je ne pouvais me séparer de ce chat. Il était la première chose que j'ai vu en me réveillant et aussi une source pour ne pas stresser.

Je n'avais pas grand chose à faire pendant la journée, si ce n'est attendre dans mon lit. Je  n'obéissais pas, venant des fois à me lever, marcher un peu et ouvrir la fenêtre pour profiter de l'air extérieur. J'avais une magnifique vu sur le petit parc, me donnant presque envie de m'enfuir pour aller me balader dedans et profiter de la nature apaisante.  Plus d'une fois on m'a disputé qu'il faisait froid et que donc ouvrir la fenêtre était dangereux. Je n'avais pas le droit de faire un effort trop important, sous peine de vertige. Même si j'étais apte à pouvoir sortir, les médecins me gardaient enfermé.

Je ne recevais aucune visite, avec mon seul prénom comme souvenir, je doutais qu'un possible parent puisse venir, je venais même à douter du fait que j'avais des parents. Les orphelins n'étaient pas si rare que ça, aussi je pouvais en être une, qui c'est trouvée au mauvais endroit au mauvais moment. La pensée que mes possible parents soient mort pendant le séisme ne m'attristait pas tellement, comment le pourrais-je vu qu e je n'ai aucun souvenir d'eux.

~~ Sanaël ~~

Ses humaine de la Terre son vraiment bizarre, pas plus que les paladins de l'Ordre Immaculé en vérité. En quoi construire des structures pour emprisonné des malades est une évolutions. Ho ... je pouvais quand même féliciter l'évolution technologique, la médéquine qu'ils appellent ça. Quoi qu'il en soit, l'état de ma maîtresse allait beaucoup mieux, mais ils la placèrent dans une cellule. La nuit, elle faisait des cauchemars aussi, prenais-je ma forme semi-humaine pour lui apporter un peu de chaleur humaine, la calmant. Ma maîtresse n'avait pas changé, ma présence pouvait l’apaiser, sous toute mes formes.

Je ne cache pas que je profitais aussi de ce contact physique, pour l'embrasser tendrement, elle était si magnifique en dormant. Bien qu'une fois j'ai failli me faire prendre la patte dans le sac, heureusement l'état de ma maîtresse n'était pas encore suffisant pour qu'elle percute immédiatement.

La journée je ronronnais en me faisant caresser, elle me parlait beaucoup, comme si j'étais une personne, riant par la suite en disant que c'était bête de parler à un chat. Dans sa situation j'étais la chose la plus importante et cela me plaisait, les médecins étaient froid et les infirmière avaient des fois une attitude trop proche envers ma maîtresse.  J'ai même hérissé mon poil, me faisant menaçante quand une infirmière voulait toucher ma maîtresse pendant quelle dormait.

Je haïssais ses humains qui ne comprenaient pas que ma maîtresse avait besoin d'air frais, nous avons toujours vécu en  nomade, fuyant les esclavagiste, fuyant les personnes trop puissance pour ma maîtresse.

Cette journée fut comme d'habitude, si ce n'est un bruit de pas s’arrêtant devant notre porte, je vint à bouger mes oreilles vers la porte, ma queue balayait nerveusement la couverture. Qui cela pouvait être ? Nous avait-on suivit ? S'il s'agit d'un démon ou d'un esclavagiste, il risquait d'être accueilli par mes griffes.

Naisho Yujima

Humain(e)

Re : Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]

Réponse 1 mercredi 06 janvier 2016, 02:56:41

Un séisme avait frappé la région il n’y avait pas si longtemps que ça.  Shelly n’y avait pas prêté beaucoup attention.  Bien sûr, elle avait été inquiète pour ceux vivant dans la région,  mais ça ne l’avait pas inquiétée plus que ça. Ce qui était d’avantage intéressent, c’était les rumeurs en rapport à une jeune fille qui aurait été retrouvée sur les lieux même du séisme.  De ce qu’elle avait entendu, c’était une jeune fille qui pourrait être une élève et qu’elle n’aurait aucun souvenir, sauf son prénom. Un chat se promenait dans sa chambre et la jeune fille refusait de le laisser partir.  Comment est-ce que les gens étaient au courant? Une des infirmières s’occupant d’elle aimait beaucoup les bars et il lui arrivait de révéler certain secrets en rapport à ces clients si elle avait trop bu. C’est exactement pour cette raison que Shelly était dans le même endroit de cette infirmière, les deux étant en train de boire de l’alcool.

Alors, elle ressemble à quoi?

Ah bah sa, la pauvre est peut-être pas chanceuse de vivre enfermer de la sorte et de ne pas avoir de mémoire, mais je peux te dire qu’elle a été quasiment bénie des  dieux à ce niveaux! Elle est adorable.  Rousse, suffisamment grande et elle a un corps en santé.  Je ne sais pas ce qui lui est arrivée, mais je suis sûr que c’était une demoiselle avec de bonnes habitudes de vie avant.

Elle ne se souvient vraiment de rien?


Bah, elle se souvient comment parler, elle sait qu’elle s’appelle Marie-Anne, mais à part sa… pas grand-chose. En plus, elle a même pas de carte d’identité sur elle,rien.  C’est vraiment un mystère.  Certaines personne superstitieuse pense qu’elle aurait un rapport avec le séisme, mais peux-tu bien me dire comment une petite fille de la sorte causerait un gros évènement? C’est de la foutaise pour les vieux qui croient que les Dieux influence la température et ce genre de truc. Belle bande de con oui.


L’infirmière commanda un autre verre et Shelly en profita pour partir. Elle alla voir ces protégés à l’appartement où ils vivaient tous ensemble.  Les trois gars étaient en train de jouer à des jeux-vidéos et de boire de la bière, des vrais élèves modèles.

Alors Shell, t’as eu les infos que tu voulais avoir sur la meuf?

Elle alla déposer son manteaux et se prendre à manger dans le frigidaire avant de répondre.

Premièrement mon petit Mashario, ce n’est pas une meuf, mais une gentille demoiselle qui semble avoir subi un traumatisme quelconque. Deuxièmement, j’ai déjà dit que c’était con de me donner un surnom si c’est juste pour enlever une lettre à mon prénom.  Troisièmement, j’en ai su suffisamment. Ah oui, Naisho, je vais probablement avoir besoin de ton ami qui nous avait aidés pour les cartes de Mash’ .

Le colosse du trio se retourne, l’air intrigué.

Pourquoi faire? En plus , t’as même pas de photo d’elle!

Sully sort son cellulaire et le regarde un moment, sourire au lèvre.

Ne t’en fait pas, je vais bientôt en avoir une.

C’est ainsi que le lendemain, elle se dirigea vers l’hôpital.  Elle savait très bien que celle lui ayant parlée la veille n’allait pas être là, elle ne buvait que quand elle ne travaillait pas le lendemain.  Shelly se dirigea donc vers l’hôpital, avec la ferme intention d’aidée la jeune fille à en sortir.  Elle alla à la réception, se faisant passée pour quelqu’un voulant voire Marie-Anne pour confirmer si oui ou non c’était sa nièce, puisqu’elle disait avoir une nièce de ce nom ayant disparue depuis le séisme. Elle eux donc le droit d’aller voir la jeune fille.  Elle s’approcha de la pièce et y entra après un petit moment d’hésitation.  Elle put voire la fille et aussi le chat.  Elle était définitivement aussi belle que l’infirmière le faisait croire.

Bonjour, je m’appelle Shelly Gardener, enseignante à l’école de Seikusu.

Elle détourna les yeux pour regarder l’animal. 

Il est mignon, tu sais s’il est à toi ou il t’a simplement suivie?

Sourire de l’enseignante qui tend sa main pour que l’animal vienne la sentir.

Ma mère à toujours dit que les animaux avait un don pour repérer les personnes de confiance.  Je sais pas si elle avait raison,  mais j’ai toujours préférer ne pas prendre de chance et les laisser se faire une opinion de moi.

Elle regarda la pièce , se disant que c’était bien petit. 

Tu dois te sentir emprisonner ici,  c’est triste d’être enfermée de la sorte.  Tu dois avoir hâte de sortir.  As-tu envie que je t’aide à le faire?

Marie Anne

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Re : Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]

Réponse 2 mercredi 06 janvier 2016, 03:52:56

~~ Marie Anne ~~

On vint à toquer à la porte. Je n’espérais aucune visite, alors cela devait être encore une infirmière qui désirait faire une prise de sang, pour le donner à analyser. Je pensais en avoir beaucoup et la crainte d'avoir une maladie incurable me traversait toujours, un temps l'esprit. Avant que la porte ne souvre je plaçait mon dos contre la tête de lit, prenant une position assise, mes jambes totalement détendue. Cela ne devrait pas prendre plus de cinq minutes, dix s'il s'agit d'un médecin qui soulignait que j'allais mieux mais que je ne pouvais pas être libre. De toute manière je n'avais pas le souvenir d'un quelconque foyer où aller. Je déprimais chaque jours un peu plus, comprenant le sentiment des oiseaux en cage, voyant le ciel sans pouvoir y voler.

Je ne pris pas la peine de tourner la tête vers la porte, à quoi bon, voir les mêmes têtes, entendre les mêmes voix, faire les mêmes gestes.  J'eus un sursaut en entendant une voix qui m'étais inconnue, tournant mon visage vers cette nouvelle personne et je ne pus bouger. Elle était très belle, mais ce qui me fascinait le plus était certainement son regard la couleur de ses yeux, un vert mélangé avec davantage de jaune, un regard presque félin.  Elle vint à se présenter. Shelly Gardener ... à la façon de dire le nom, elle semblait maîtriser d'autres langues que le japonais.  Elle se désignait aussi comme une enseignante à une école de la ville.  Je clignais les yeux d'incompréhension, pourquoi une enseignante venait me voir, j'étais une de ses élèves.

- Marie Anne ... c'est mon prénom.


Elle vins à porter son regard vers San et j'eus un frisson, quand elle vint à demander s'il était à moi ou s'il me suivait, je ne pus retenir une réponse légèrement agressive. San avait eu à peine le temps de renifler la main que je l'avais déjà saisi pour le coller contre moi. Il était mon seul ami et je ne voulais pas qu'il m'abandonne parce que cette femme inspirait la confiance. Le chat vint à miauler d'inquiétude  et je le caressais machinalement pour le calmer.

C'est alors qu'elle me proposait de me sortir d'ici, je vins à figer mes gestes, comme si le temps avait stoppé mes muscles.  C'était trop gros, une farce ? C'était possible, le personnel n'aimait pas San, il était tout à fait possible qu'il veuille me séparer de mon chat pour avoir un tracas de moins. Mon coeur me faisait mal, il battait vite, je ne pouvais dire si c'était un faux-espoir ou de la colère face à cette farce de mauvais goût.

- Je ne vous crois. Les médecins ne veulent pas que je sorte de cette pièce ou me mettre dans une salle commune, comment il pourrait bien laisser San et moi sortir d'ici ?

Le chat vint à nouveau à miauler et me concentrait sur lui en le caressant et en disant.

- Ne t'inquiète pas ils ne te séparont pas de moi.

~~ Sanaël ~~

Mes griffes n'étaient pas sortie, pas besoin de blesser ma maîtresse devant cet élément nouveau et potentiellement hostile. Lorsque la porte vint à s'ouvrir j'esquissais mentalement un e grimace. Elle était humaine en apparence et terriblement séduisante, le genre à ne pas laisser ma maîtresse indifférente, c'est ça quand on a passé son enfance entourée de femme d'une grande beauté. Je ne pouvais prendre le risque de me montrer hostile devant ma maîtresse. Après tout un chat ce n'est pas un être aussi complexe qu'un humain ou une créature au même niveau intellectuel.  Je notais les informations qu'elle donnait, son nom et son prénom.

J'avais comprit que sur Terre l'identité d'une personne était définie de cette manière. Elle vint à parler d'enseignante dans une ékole. Je pus deviner qu'il s'agissait d'une femme pouvant transmettre du savoir, bien que sur Terra, ce rôle soit réservé, la plupart du temps, à de vieux hommes.  Son regard vint à se porter sur moi et je pris immédiatement un air légèrement craintif, avançant très lentement vers la main tendu pour renifler. Aucune trace d'odeur bizarre, sauf celui du ... sssavhon. Ma maîtresse vint à me saisir, j'étais un peu surprise, trop concentré face à cette intruse. Je vins à tendre mon regard vers ma créatrice en poussant un miaulement mignon, feignant l'inquiétude. Après tout on pouvais supposer, d'un point de vu spirituel, qu'elle était ma maman. 

Mais très vite je ronronnais. Ma maîtresse était toujours aussi craintive d'être toute seule et ne pouvait se passer de ma présence. Que demander de mieux pour le moment ? Une opportunité de sortie ? J'avoue que ma maîtresse avait clairement besoin de prendre l'air, de sortir. Je la connaissais très bien, trop longtemps enfermé, elle risquait d'avoir des pensée suicidaire et ce serait dommage vu son magnifique corps. Elle s'empressait de ses cabrer, poussant de ce fait un autre miaulement du fait que ma "maman" s'énervait.

Ha maîtresse ... toujours aussi mère-poule avec moi. Ce qui n'est pas pour me déplaire.

Naisho Yujima

Humain(e)

Re : Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]

Réponse 3 jeudi 07 janvier 2016, 19:08:16

La pauvre semblait craintive, ce qui attristait un peu Shelly. N’avait-elle pas l’air d’une personne de confiance? Pourtant, elle avait souvent de bon commentaire à ce sujet et son apparence l’aidait souvent à gagner le cœur des gens.  Quoique la pauvre Marie-Anne tentait de se remettre d’un traumatisme quelconque et ne semblait pas très à l’aise ici.

Je comprends que tu sois craintive, mais tu n’as rien à craindre avec moi! Tu n’es pas la première personne que j’aide de la sorte!  Un de mes amis s’appelle Mashario  Yujima. Quand il est arrivé à Seikusu, il  ne savait pas où il était et ne connaissait personne. Je l’ait rencontrer, je l’ait aidé et maintenant il va très bien. Il vit avec moi et des amis, il vas à l’école et a une bonne vie! Je veux t’aider toi aussi à aller mieux.

Elle lui fit un grand sourire et regarda de nouveaux la pièce.

C’est tellement petit ici, tu ne peux pas être heureuse! Je me rappelle quand j’avais environ ton âge,  je voulais mon propre appartement, pouvoir être libre! Ici, tu as l’air d’être en prison, condamnée.

Voir la fille se tenir autant à son chat était touchant.  La pauvre n’avait rien d ‘autre à part lui et l’enseignante comprenait bien cela.

Ne t’en fait pas pour rien, non seulement je veux te faire sortir, mais je vais faire en sorte que ton chat puisse t’accompagnée.

Shelly pris un moment pour observer la demoiselle.  Elle était des plus charmantes, le genre de personne qu’on a tout simplement envie de prendre dans nos bras.

On ne se connait pas, il est vrai. Mais  tu ne te rappelle de rien et de personne! Qu’est-ce que tu vas faire? Attendre que la mémoire te revienne, si elle revient réellement un jour? Rester ici à te morfondre jusqu’à ce que tu en meures? Je ne veux pas te forcer à me faire confiance, je veux que toi et moi on établisse une bonne relation. Mais tu dois admettre que ta situation n’est pas bonne et que tu as besoin d’aide.

Elle dépose ces mains  le bord du lit en regardant Marie-Anne, baissant le volume de sa voix pour pas que n’importe qui puisse entendre.

Pense-tu réellement qu’ils vont te laisser sortir de leurs propres volontés? Tu as été retrouvée sur les lieux d’un séisme, tu ne te souviens de rien et ils n’ont aucune explication sur ce qui est arrivé. Tu sais ce qui risque de se produire?  Ils vont vouloir te garder, faire des tests, découvrir ton secret, voir ce qu’il y a de si spéciale avec toi.  Personne n’as l’intention de te laisser partir, ils vont tous vouloir te faire passer des tests, jours après jours, semaine après semaine. Si tu décides de faire confiance aux médecins et aux infirmières, tu ne vas jamais sortir d’ici ma belle. Tu es trop précieuse pour eux!  Mais moi, moi je peux t’aider et je compte le faire.

Elle prit une pause et passe une main dans ces long cheveux.

J’ai des amis…. Pas nécessairement les meilleurs personne sur cette planète, mais des amis qui pourraient m’aider à te sortir d’ici.  Ils pourraient convaincre sans grand problème l’hôpital à te laisser sortir, avec ton chat bien entendu.   Par la suite, j’ai déjà un endroit où te faire   vivre.  Dans le même bloc appartement que je vis, un des locataires est partit, ça te ferrait donc un appartement à toi et ton compagnon.  Comme ça, tu aurais un endroit à toi sans être trop loin de moi qui vais pouvoir continuer de t’aider.  En plus, si tout vas bien et que tu aimes bien vivre dans la région, je vais pouvoir faire en sorte que tu rejoignes le lycée.   Tu a le choix : Vivre ici, probablement jusqu’à la fin de tes jours, ou avoir le droit de sortir, de te faire des amis, d’apprendre des choses…et de garder ton chat.  Si tu acceptes mon offre, j’ai seulement besoin que tu fasse une toute petite chose pour moi.

Shelly sort son téléphone et active le mode photo, pointant vers Marie-Anne.

J’ai juste besoin d’une photo de toi, afin de me permettre d’obtenir les cartes qui ferront de toi une bonne petite habitante de Seikusu.

Marie Anne

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Re : Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]

Réponse 4 vendredi 08 janvier 2016, 15:08:47

~~ Marie Anne ~~

Je restais sur la défensive, cette femme venant à continuer de parler. Je ne pouvais dire pourquoi, mais je semblais ressentir que cette femme ne me mentait pas, ses propose semblait si sûr. Non, non, non, ne te fais pas avoir, attend de toute entendre.  L'école je savais ce que c'était, un lieu pour s'instruire et forger son avenir. Je ne pouvais dire comment je savais cela. Elle vint à souligner que je ne pouvais être heureuse ici, cela me faisait plaisir, étant l'unique personne ayant fait cette remarque, même si parler de son passé me fis mal. Je n'avais aucun souvenir de moi et apprendre la vie des autres me faisait toujours un pincement au coeur.

Est-ce que je suis envieuse des autres ? Dire le contraire serait me mentir à moi-même.

Shelly vint à présenter les faits, j'avais pleinement conscience que si je restais ici trop longtemps j'en deviendrais folle. Il fallait que je pense davantage au bien-être de San, lançant un nouveau regard vers lui. Comment pourrait-il vivre sans moi, sans ma présence ? Nous ne nous connaissions certainement pas, mais nous étions tous deux à l’épicentre du tremblement de terre, nous avons subi le même événement ensemble et nous ne nous sommes pas lâché. Je ne désire pas que San dépérisse si je venais à disparaître.   J'en avais conscience, mais les mots ne sortaient pas de ma bouche, les laissant enlacer mon coeur de plus en plus fort.

La suite vint à me rendre pâle. Je n'avais rien de spéciale, j'avais juste été chanceuse pour n'avoir que des blessures légères et qu'aucun bâtiment n’atterrisse sur San et moi. Ce qu'elle disait avait sens, le fait que l'on ne veuille pas que je sois avec les autres. Sans doute pensaient-ils que ma "spécificité" pouvait être transmit aux autres patient et que San était déjà contaminé. Je frémissais à l'idée de ce qu'ils pouvaient faire à mon compagnon d'infortune.

Mon corps  n'arrêtait pas d'avoir des tremblements, je me sentais suffoquer, écoutant avec difficulté la suite. Ma proposition de choix n'en était pas une, qui pourrait supporter. Je n'avais pas le choix, pour le bien-être de San et le mien.  Aussi je pris la pause pour qu'elle puisse prendre une photo. Après le bruit de l'appareil, je vins à me plier en avant, mes tremblements se faisant plus intense, le son qui sortit de ma voix était comme si on m’étranglait à chaque syllabe.

- Aidez-nous ... Pitié.

Mes larmes ne pouvaient être contenues davantage. Tout ce que j'avais intériorisé en moi se relâchait d'un coup, ne pouvant en supporter plus. J'entendais San miauler, mais ne pouvais rien faire. J'étais prête à tous pour que nous puissions sortir de cette cage.


~~ Sanaël ~~

Voir ma maîtresse ainsi me fait tellement plaisir, heureusement que je ne suis pas sous ma forme semi-humain, sinon nulle doute que je serais toute mouillée. Un avantage d'avoir une apparence animale.  Mon plaisir était cependant gâché par une présence amère. Cette femme, bien que cherchant visiblement à nous faire sortir, était bien trop familière envers ma maîtresse. Une bonne relation ? Tout le monde sait où les bonne relations peuvent mener et il est hors de question qu'elle fasse de ma maîtresse sienne.

Le plus drôle était que je possédais toute les réponses aux questions posée et quand à la spécificité de ma maîtresse, je doutais franchement que la médéquine soit suffisamment puissante pour déceler la pierre philosophale dans l'âme de ma maîtresse. Certes, ils ont put remarquer une cicatrisation rapide, mais jusqu’à maintenant ils n'ont pas chercher à sectionner un membre et le premier qui tenterais cela se ferait arracher la gorge avant de passer à l'acte.

Avoir un endroit où loger était tentant et je ne pouvais m'empêcher de rire intérieurement devant les difficultés future de ma maîtresse. Il était vraiment dommage que je doive garder cette apparence, sinon j'aurais put me rendre encore plus indispensable et être son seul et unique amour. Quand je repense à la dernière déclaration qu'elle m'a faite, je ne peut m'empêcher de frissonner de plaisir.

Quand le bruit de la petite machine tenue par l'humaine vint à résonner ma maîtresse fondit en larme peut après en suppliant cette femme de nous aider. Je vins à garder mon rôle, non sans avoir une pensée assassine devant cette femme qui avait fait pleurer ma précieuse maîtresse.

Naisho Yujima

Humain(e)

Re : Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]

Réponse 5 dimanche 24 janvier 2016, 01:23:26

La jeune fille avait fini par accepter de prendre la photo, ce qui rendait très heureuse Shelly. Elle savait qu’elle donnait des bons arguments, mais la jeune fille devait être émotionnellement troublée avec les évènements qui lui était arrivé et la solitude.  Excepté son chat, elle n’avait eu personne pour lui tenir compagnie et ce n’était certainement pas avec l’attitude des infirmières  qu’elle allait se sentir mieux.  Shelly pris le temps de regarder la photo qu’elle venait de prendre avant de relever sa tête pour voir Marie-Anne en larmes.

Oh…mais non , ne pleure pas ainsi. Shelly vas régler tous tes problèmes comme si de rien était!

Elle range son téléphone et s’approche de la demoiselle, sans la toucher pour autant.

Je sais que tu  traverses un moment difficile, que tu dois te sentir perdu et ne pas savoir ce qui vas t’arriver, mais croit-moi, je vais t’aider.  Je vais te trouver un bon petit appartement, rien que pour toi et ton chat. Vous allez vivre près de chez moi, comme sa tu auras toujours quelqu’un à aller voir quand tu auras besoin d’aide.  Par la suite, je vais te présenter à  des amis que j’ai, ils vont t’aider à bien t’établir ici. 

Elle recule et alla vers la sortie de la salle.

Je ne sais pas si sa vas me prendre un jour ou une semaine, mais ce que je sais, c’est que je vais faire de mon mieux pour que ce soit le plus rapide possible.   Continu de donner toute l’amour du monde à ce gentil petit chat en attendant, les prochains jours risquent de te paraître interminable, alors continu de le caresser et de lui parler, son amitié vas te faire du bien!

Elle fait un dernier signe de la main, un petit au revoir avec un sourire sincère, avant de partir.
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5 jours plus tard, tout avait été fait. Elle avait payé chère et dut rendre un ou deux services qu’elle ne décrirait pas à n’importe qui, mais elle avait eu tout ce qu’elle voulait.  Des fausses cartes avait été fait avec l’image de Marie-Anne, de façon est-ce qu’elle est l’air d’une civile de la région. Shelly avait aussi eux une lettre fait par un membre importent d’un groupe yakuza du coin. Les intentions de l’enseignante étaient-elles bonnes? Oui. Est-ce que les façons d’y parvenir l’étaient? Beaucoup moins.  Elle est le genre de personne à avoir beaucoup de contacts et elle sait très bien quand s’en servir.  Elle retourna donc à l’hôpital, cette fois-ci accompagner par Naisho afin de rendre son scenario encore plus crédible.  Elle entra donc dans le bâtiment et alla à la réception.

Hello, je viens pour parler à la personne dirigeant cet établissement.
 

La réceptionniste la regarda d’un air intriguer.

Vous savez que ce n’est pas si facile que ça,  c’est un homme très occuper, il n’accepte pas de voir n’importe qui.

Shelly montra le nom sur l’enveloppe qu’elle avait avec elle. La réceptionniste s’excusa et téléphone au bureau, disant qu’il devait venir immédiatement.  L’homme arriva, l’air anxieux.

Bonjour demoiselle! Que puis-je faire pour vous?

Il leva la tête et remarqua la présence du géant, dos contre le mur, bras croiser et le regard sévère. Il pris l’enveloppe et la lut à voix basse.  Il ravala sa salive et demanda à Shelly d’attendre un instant.  L’homme alla parler à quelque infirmières avant de revenir par la suite.

Comme vous le désirez, vous pouvez partir avec la patiente du nom de Marie-Anne sur le champ.  Nous ne savions pas qu’elle…

C’est correct, nous ne porterons aucune attaque contre vous ou cet endroit, puisque vous acceptez si gentiment de nous aider.  Naisho, tu peux aller m’attendre dehors.

Le géant accepta d’un signe de tête et quitta l’endroit. L’enseignante alla voir Marie-Anne dans sa petite pièce.

Hello beautiful! Je suis venu te chercher! J’espère que l’attente ne fut pas trop longue? J’ai vraiment fait de mon mieux pour avoir tout ce que tu avais de besoin!  J’ai tes nouvelles carte d’identité, j’ai un endroit où te faire vivre et une fois que tu vas être bien installé, on va aller acheter des nouveaux vêtements ensemble pour commencer ta nouvelle vie!  Alors, es-tu prête à partir de cet endroit ?


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