En matière de domination sexuelle sur des hommes, il n’y avait pas mieux que Neptune. Elle était la spécialiste, et était une immense perverse, comme Mercure semblait, avec appétit, se le rappeler en la voyant. À l’œuvre sur l’un de ses esclaves, Neptune dansait avec lui, un double gode planté respectivement dans le cul de l’esclave et dans la chatte de Neptune.
Le brave homme était couché contre le sol, ses bras et ses jambes retenus par des liens au sol, Neptune jouant sur son agilité et sur ses articulations. Tout son bassin était replié vers l’intérieur, ce qui faisait que, tout en couinant, le brave voyait sa grosse queue enfler et remuer, ainsi que le dos magnifique de Neptune, qui pivotait sur place. Impossible pour lui de protester, car un
gag-ball lui barrait les lèvres.
Horrifié, Thibodor, qui était couché devant Mercure et Vénus, son dos leur servant de paillasson, ne pouvait que voir ce spectacle. Les liens de l’esclave remuaient tandis que Neptune continuait à danser sur elle, gémissant joyeusement.
«
Sens comme son dos se tend, petit esclave… Tu vois que les hommes peuvent être très élastiques ! »
Oh, mais quel spectacle ! Autant pour les yeux que pour les oreilles, entendre Neptune hurler de plaisir,
tout en s’enfonçant férocement et joyeusement contre l’homme, était particulièrement beau à voir.
«
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN… !!! »
Les yeux révulsés, l’esclave se tortillait sur ses liens. Les talons de Neptune étaient proches de ses mains, et, parfois, comme pour le faire souffrir, elle écrasait sa main ou ses doigts contre les pointes de son talon, le faisant couiner, le tout sous le regard effaré de Thibodor… Qui se mit à couiner quand Vénus enfonça son talon aiguille dans ses fesses. Elle ne cherchait même pas à le faire jouir, juste à l’humilier, à le torturer, et à le rabaisser continuellement.
«
Oui, notre sœur est en forme… Elle a dû apprendre que nous avions plein de nouveaux esclaves à lui envoyer. »
Neptune continuait à danser sur l’homme. Il subissait, encore et encore, avec sa queue qui remuait d’avant en arrière. Oh, Vénus aurait
presque eu envie d’être à sa place ! Être dressé par Neptune en personne, c’était un grand honneur.
L’homme finit par avoir un orgasme en ayant une vue inoubliable.
Sa queue, tendue et joufflue, se déchargea d’un coup, et le sperme fusa tout autour de lui,
éclaboussant joyeusement son visage, filant dans les interstices de son
gag-ball pour se perdre dans sa bouche. Neptune jouit contre lui, et se dressa ensuite, dans un immense soupir.
«
Aaaahhh… Voilà qui fait du bien, tu ne trouves pas, petite pédale ? »
Épuisé, l’homme remuait lentement la tête, et Neptune fléchit les genoux, faisant crisser sa tenue, et renifla ensuite ce sexe, avant de le lécher délicatement, puis de le masturber. Le pénis de l’homme devint rapidement assez flasque.
«
Tssss… Pathétique ! Tu n’es vraiment qu’une merde ! »
Elle se redressa ensuite, et sortit, le laissant là. L’image se ferma ensuite, et Vénus se redressa, tout comme Mercure, faisant couiner leur carpette.
La porte s’ouvrit au bout de quelques secondes, et une Neptune en sueur débarqua.
«
Mes chères sœurs ! Quelle joie infinie de vous revoir ! »