Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Les alentours de la ville

Rencontre matinale impure [PV Irina]

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Erikawa:
Les premiers rayons du soleil du matin firent leurs apparitions pour agresser les yeux à demi ouvert du lycéen qui était plongé dans son lit, il ne voulait pas se lever pour aller en cours, mais il n'avait pas le choix. Akira se frotta les paupières qu'il referma aussitôt en poussant un long gémissement de fatigue, avant de se lever pour glisser ses pieds dans ses chaussures. Il ne put s'empêcher de pousser un long soupir, en glissant son gant trempé sur son visage, afin d'enlever toutes traces d'impuretés qui ornait son visage. Il s'habilla en vitesse, mais ne ferma rien, excepté la braguette du pantalon. Sa chemise était ouverte de deux trois boutons dans le haut, accompagnée d'une cravate presque dénouée. Il n'avait pas trop eu le temps de l'attacher donc il descendit dans la cafétéria dans cette tenue, en prenant un plateau, où il glissa mes aliments qui lui rempliraient l'estomac en attendant un repas lus consistant. Ses pensées étaient perdus sur la jeune fille qu'il avait accueilli il y a une semaine, il l'avait rencontré dans un accident fâcheux, et il ne l'avait plus revu ensuite, juste de loin.

Il posa froidement son plateau sur la table orangée, sortit la chaise pour la remettre avec ses fesses dessus. Erikawa prit son croissant pour en manger une bouchée avant de le reposer lentement sur le plateau. Un curieux sentiment qu'il n'avait pas ressenti depuis longtemps fit son apparition, l'amour, un sentiment qui est attiré par la beauté d'une personne, ou bien de son caractère, et il était touché par cet étrange phénomène. Sa main s'empara de la tasse de café pour voir justement la personne qui était concernée. Il ferma les yeux chaleureusement en mettant ses pieds sur la chaise d'en face, attendant que cette jeune fille vienne auprès de lui, sinon ce serait lui qui ferait le premier pas pour essayer de la séduire, même s'il avait peu de chance. Contrairement à ce qu'il pensait, ce n'était pas elle, ce qui le déçut légèrement, mais il se devait de monter dans sa chambre pour faire son lit, car il ne devait pas tout laisser à la charge de ses pauvre femmes qui étaient chargés du nettoyage éprouvant pour lequel elle était payée. revenant dans sa chambre, il remarqua qu'une belle demoiselle s'occupait déjà de tout ce qui le surprenait, mais il posa sa main sur son épaule pour la faire se retourner, et lui demander.

" Mademoiselle, je peux faire ce que vous faites, même si je vous ai payé... Voudriez vous bien faire connaissance avec moi pendant ce temps car c'est dur d'être seul, avec un visage aussi beau que le votre qui m'est fort agréable à voir sans dialogue, n'est ce pas ?"

Irina:
Le soleil venait de se lever quelques heures auparavant. C'était l'heure pour Irina de faire un tour d'inspection des chambres, elle devait former une femme de chambre nouvellement arrivée. Équipée d'un passe, elle arpentait les étages en montrant à chaque fois ce qu'il fallait changer, ce qu'il fallait toucher et ne surtout pas toucher. Le désordre de chaque pièce était variable, chacun - et chacune - avait un degré personnel de tolérance chaotique, mais Irina ne baissait jamais les bras devant l'adversité. Sans compter qu'elle n'était pas seule cette fois ci. Elle avait été désignée pour la former, bien qu'elle ait plus l'habitude de la réception et du restaurant, elle ne crachait pas sur faire les chambres de temps en temps.

Alors qu'elle était dans la chambre d'un jeune garçon, la nouvelle femme de chambre s'occupant du reste de l'étage, elle sentit une main sur son épaule et elle se retourna.

" Mademoiselle, je peux faire ce que vous faites, même si je vous ai payé... Voudriez vous bien faire connaissance avec moi pendant ce temps car c'est dur d'être seul, avec un visage aussi beau que le votre qui m'est fort agréable à voir sans dialogue, n'est ce pas ?"

Elle resta un petit moment sans rien dire et partit d'un petit rire cristallin.

"Hihihi, vous êtes gentil mais c'est notre rôle d'assurer la maintenance de l'hôtel et j'ai trop de conscience professionnelle pour y renoncer. Ce que je peut vous proposer si vous voulez c'est de parler un petit peu pendant que je m'occupe de votre chambre. Je m'appelle Irina et je suis hôtesse d'accueil aux Vagues Brûlantes. Vous êtes étudiant ?"

Erikawa:
La belle femme qu'était Irina était jolie, ça, personne ne pouvait oser prétendre le contraire, car elle avait des bas, qui plaisait tellement au lycéen qu'il était prêt à tout, et c'était l'occasion de voir ses talents de séduction à l'action. Peut être que la magnifique femme de chambre n'aimait pas qu'on vole son travail, et une idée traversa l'esprit de l'aristocrate, qui rigola en pensant à cette idée, car il devait simplement déballer les draps avec la jeune femme dans un jeu lubrique pour qu'il puisse le refaire. Un blanc s'installa entre les deux interlocuteurs comme si elle était choquée d'autant de sympathie à son égard, mais lui contemplait les fesses fermes de la jolie employée, et la poitrine mignonne qui ornait son buste. Heureusement pour lui, elle lui fit un compliment qui fit apparaitre un sourire taquin sur le visage, comme s'il préparait à la violer sur place, ce qu'il ne ferait pas bien entendu, car il devait avant tout la séduire, et non lui faire peur, de peur qu'une expérience comme celle ci ne se reproduise pas. Il était ravi de lui parler pendant qu'elle s'occupait de sa chambre, mais son entêtement, le fit se mettre à l'opposé d'elle pour tirer à son tour, le drap vers le sommet du lit, là où généralement les clients mettaient leurs têtes sur les oreillers. elle avait devinée son emploi, donc il hocha la tête positivement en fermant les yeux chaleureusement, puis il la poussa légèrement sur le lit, pour commencer à masses épaules, qui étaient tendues par le stress qu'elle avait accumulée depuis des années. Il continua ses massages et murmura à son oreille.

" Vu l'état catastrophique de vos épaules, je me dois de vous faire un massage pour vous détendre, et je voulais vous demandez je pouvais avoir quel service vu que vous êtes une hôtesse d'accueil. L'hôtel a un très beau nom, et j'aimerai beaucoup l'acheter pour devenir votre patron, car j'en ai les moyens. Essayez de me convaincre de placer des capitaux dans cette société."

Irina:
(Désolé de ce retard mais j'ai été moi même absente pendant une petite période et celui là m'était sorti de l'esprit^^')

Irina avait commencé à accomplir ces petits riens de base avant de laisser la place à la femme de chambre qui s'occupait des trois premiers étages. Elle vit le garçon répondre par un petit hochement de tête à sa question de savoir si il était étudiant. Elle l'aurait parié, il lui rappelait un peu son défunt mari. D'ailleurs à bien le considérer, il lui ressemblait beaucoup physiquement, c'était assez curieux à regarder.
Alors qu'elle était encore perdue dans ses pensées, elle se vit saisir par les épaules et pousser assise sur le lit. Ses épaules subissaient un massage qui était loin d'être désagréable mais elle éprouvait une double réticence à l'idée de se faire toucher par un client et vu qu'elle était veuve depuis un peu moins d'un an. Mais elle le laissait faire car elle n'osait jamais contredire un client...même quand certains se permettaient de fixer de trop près son décolleté ou de regarder sous sa jupe.


" Vu l'état catastrophique de vos épaules, je me dois de vous faire un massage pour vous détendre, et je voulais vous demander je pouvais avoir quel service vu que vous êtes une hôtesse d'accueil. L'hôtel a un très beau nom, et j'aimerai beaucoup l'acheter pour devenir votre patron, car j'en ai les moyens. Essayez de me convaincre de placer des capitaux dans cette société."

Lors qu'elle entendit cette petite tirade murmurée à son oreille, elle ne put réprimer un petit rire nerveux.

" Eh bien pour répondre à vos questions, je vous remercie d'abord de vous intéresser à mes épaules, en ce qui me concerne je suis à...votre service pour les conditions d'accueil à la réception, occasionnellement je donne un coup de main pour servir au bar si Rena est trop occupée ainsi que le service d'étage. Vous pouvez me demander de vous faire porter diverses choses dans votre chambre ou si vous désirez changer votre menu. Et pour ce qui concerne l'achat de l'hôtel, je ne saurais trop vous renseigner là dessus, il faudra voir avec madame Fujima, la directrice..."

Elle ne savait pas trop si elle devait se détacher ou rester un peu jusqu'à ce qu'il ait fini. Elle pris l'option de ne pas le froisser et d'apprécier un peu son massage.

Erikawa:
Innocente, le parfait adjectif qui convenait parfaitement à cette femme qui semblait en avoir vu de toutes les couleurs, ce qui ne l'étonnerait pas, vu comment elle était belle, son mari devait certainement être quelqu'un d'exceptionnel, même s'il ne savait pas que la pauvre mademoiselle Sanders avait perdu son mari, qui lui ressemblait étrangement. Son massage toujours exécuté sur ses épaules, lui rappela des souvenirs qui le fit s'empourprer, car cette situation était assez cocasse et il ne voulait lui faire aucun mal, même si faire l'amour n'était pas quelque chose de malsain. Le décolleté plongeant qu'elle affichait n'arrangeait rien à la situation car il ne savait pas quoi faire, ou la réconforter en jouant une partie de jambe en l'air avec elle, pour montrer que pour une dernière fois, son mari l'avait comblé, ou l'accompagner moralement, ce qu'il préférait. Les rires nerveux qu'elle poussait de temps à autre le faisait rire, car elle était vraiment sympathique, et elle devait absolument le servir, ce qui le fit rire, donc il lui donna des caresses au niveau du dos et se rapprochant de son décolleté pour lui malaxer les seins, et ainsi lui montrer quel est le bonheur de se faire toucher une dernière fois par son mari, même s'il ne voulait aucunement le remplacer de manières quelconques. La réponse fut assez comique, venant d'une personne assez naïve donc il lui donna des caresses amicales sur ses seins, avant de lui glisser des baisers sur le cou, pour se laisser succomber au plaisir:

" J'aimerai m'occuper aussi de votre plaisir sexuel si vous le désirez..."

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