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[TERMINE]La malédiction de la couette [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 15 mardi 16 juin 2015, 00:43:16

Elles ne faisaient pas l’amour proprement. Clairement pas. L’amour entre des êtres liquides capables de modifier leur masse corporelle était surprenant, et Lindsay le réalisa ne ce moment, quand elle fit pousser dans le corps de Sabrina une verge, la faisant jouir. Sabrina balançait des litres et des litres de foutre, maculant le sol de sa semence, tout en continuant à hurler, son corps pétri dans tous les sens. Lindsay la prenait, et pouvait voir que sa jeune enfant n’arrivait pas encore à se matérialiser, et avait ainsi un corps bleuâtre. En souriant, Lindsay décida de ne pas la choquer, et, délestant tous ses vêtements, choisit également d’avoir une peau plus liquide, plus cristalline. Elle se retrouva donc avec un corps bleu, elle aussi, à la fois liquide et solide, et continua à prendre la femme, d’avant en arrière, s’enfonçant toujours aussi loin en elle.

Elles jouirent ensemble pendant un certain temps, et devinrent autre chose que des corps humains. Peu à peu, Lindsay se fluidifiait, comme Sabrina. Elles étaient encore des Slimes assez jeunes, et ne firent donc pas uniquement l’amour comme des humains, mais comme des Slimes, tâche d’autant plus facile que Sabrina avait une verge. Ainsi, elles abandonnèrent progressivement leur forme humanoïde pour avoir une forme plus sphérique. Leurs corps se mélangèrent l’un à l’autre, devenant une sorte de grosse sphère vague, avec des tentacules s’enfonçant ici et là. La verge de Sabrina se perdit dans le corps de Lindsay, et celle de Lindsay se perdit dans son corps... Mais, ensemble, elles ne formaient plus qu’un seul corps, totalement unifié.

« Haaaaaaaaaaaaannnn...
 -  Ensemble, Sabrina, ensemble... Nous sommes plus qu’une famille, maintenant... Tu as ton individualité, comme moi, mais nous sommes profondément liées l’une à l’autre...
 -  Ouuuuuuuuuuiiiiii... Oooouuuuiiiiiiiii... Maman, maaammmmmaaaahhaaaaaannnn !! »

Les sons et les voix disparaissaient, se fluidifiant dans leurs mouvements amples Tout tournoyait, et ils continuaient à faire l’amour, lourdement et fréquemment.

Quand elles s’arrêtèrent, la chambre était totalement dévastée, car la sphère remuait sur elle-même, envoyant parfois des tentacules aqueux qui frappèrent les murs et les vitres, explosant les fenêtres, broyant le lit. Elles jouirent, encore et encore, recrachant par les tentacules aqueux toute cette jouissance. La sphère tournoyait, et des profusions de mouille et de sperme filaient le long des murs, dans un spectacle à la fois fascinant et grotesque. Elles avaient joui longuement ensemble, puis se retrouvèrent ensuite allongées l’une à l’autre, formant une flaque... Et, peu à peu, Lindsay et Sabrina se reconstituèrent. Lindsay embrassa tendrement sa fille, et sentit Sabrina caresser ses cheveux. Leurs corps se recomposèrent, et, peu à peu, passèrent du bleu liquide à la peau beige des humains.

« Hummm... Nous avons laissé nos marques, ma chère... »

Sabrina sourit, heureuse et détendue.

« Il est temps d’y aller... Le jour va bientôt se lever, et je dois préparer les pancakes pour Deborah. Quant à toi, tu vas veiller sur Jessica...
 -  Elles... Elles vont nous rejoindre ? »

Lindsay hocha la tête, tout en remettant sa combinaison en cuir moulant.

« Évidemment... »

Pour l’heure, il allait toutefois falloir faire le ménage... Et le meilleur moyen de faire disparaître leurs traces était de brûler la maison. Puis, ensuite, elle riait faire les pancakes, parce qu’elle savait que Deborah adorait les pancakes... Et faire plaisir à sa fille était le rôle d’une mère.

Vanessa White

Humain(e)

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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 16 samedi 27 juin 2015, 12:42:42

Lindsay avait toujours été une mère attentive et dévouée. Elle aimait ses chéries plus que tout au monde ; elles représentaient tant à ses yeux. Et tout ce qui pouvait leur faire plaisir, c'était aussi son propre plaisir. De ce fait, en tant que bonne mère aimant faire plaisir à ses filles chéries, elle savait que ce qui serait le plus fantastique aux yeux de Kelly serait que sa meilleure amie soit tout le temps avec elle. Et Lindsay avait prévu d'exhausser son souhait, mais à sa manière … Elle n'allait guère le regretter. Elle venait de jouir comme jamais avec Sabrina, qui était à présent sa fille. Toute la chambre fut dévastée, leurs ébats ayant été particulièrement puissants. Elles avaient, pour le temps de quelques minutes, unifié leur corps afin de n'en faire plus qu'un. Du sperme et de la mouilles remplissaient la pièce de toute part ; sur les fenêtres, sur le lit, il y en avait partout ! Reconstituant son corps à coté de celui de Sabrina, mère et fille se blottirent l'une contre l'autre. Tandis que Lindsay l'embrassa, Sabrina caressa ses cheveux en retour. Un amour presque touchant, et qui allait évoluer dans pas longtemps, si tout se passait comme prévu.

Cependant, pour que justement le plan soit parfait, il fallait respecter les délais. Ainsi Lindsay se releva et partit se rhabiller, enfilant à nouveau sa combinaison extrêmement moulante en cuir. Sa verge, même en ayant craché des litres et des litres de foutre, restait imposante et forma une bosse veineuse à la surface de son pantalon. La mère de famille devait  rentrer chez elle afin prendre du repos, et de préparer des pancakes pour sa petite chérie. Elle savait que Deborah les adorait et, il était donc normal qu'elle lui en fasse. Surtout si l'on regardait la journée qu'elle lui réservait … Demain allait être un jour de renouveau pour toute leur famille. Esquissant un sourire, Lindsay s'approcha de Sabrina et la prit affectueusement dans ses bras, la câlinant avec amour. "Maman est fière de toi Sabrina. Mais … Je n'aime pas avoir de la concurrence. Si tu es prête à honorer ta nouvelle maman, réellement, alors tu vas devoir te débarrasser de ton ancienne mère … Et m'aider à brûler la maison dans laquelle on se trouve actuellement. Je te promets qu'en retour … Tu aura la plus belle et inattendue des récompenses …" Lui susurra-t-elle, en déplaçant sa main vers la verge de Sabrina, la caressant doucement.

Car même si sous sa forme de slime Sabrina pouvait modifier son corps à volonté, le package masculin que lui avait offert sa mère, en remplaçant sa féminité, restait même sous sa forme humaine. Sabrina était donc devenue une shemale, en quelques sortes … Au plus grand plaisir de Lindsay qui en était devenue une aussi. Pour brûler la maison, il n'y avait pas trente-six façons ; il fallait utiliser le gaz. Mère et fille, après que cette dernière se soit rhabillée à son tour, prirent la direction de la cuisine et allumèrent toute les plaques à gaz. Lindsay eut aussi l'idée de mettre le feu à toute les literies de l'appartement, afin que l'incendie soit réellement efficace. Un sourire satisfait et malicieux ornait ses lèvres, alors qu'elle voyait sa fille y mettre aussi du sien en mettant le feu aux rideaux. "Fichons le camp maintenant !" Dit-elle en la prenant par la main, l’emmenant à la sortie. "Ne restons pas ici, on risque d'attirer l'attention sur nous. Les pompiers vont rappliquer dès que le feu aura prit. Tu sais ce qu'il te reste à faire ma chérie … Va faire tes adieux à ton ancienne maman, et demain, viens sonner à ma porte. Tu prétextera que ta méchante maman t'as foutue à la porte et que tu cherches donc refuges … Compris ma puce ?" Lui dit-elle en lui donnant un dernier baiser.

Lindsay se mit donc en route vers son chez soi. Une bonne mère était présente pour ses enfants et il serait inadmissible qu'au réveil de ses deux merveilleuses filles, elle ne soit pas là. Ce ne fut qu'une question de quelques minutes avant qu'elle ne rallie sa maison. Discrétion et silence furent de mise pour lui permettre de rentrer sans alerter ses filles. Prenant le chemin de sa chambre, elle soupira grandement puis entreprit de se déshabiller totalement, aimant à présent dormir nue. Une nouveauté de caractère depuis qu'elle et Nieva avait fusionné. D'ailleurs, en jetant un dernier coup d’œil au miroir, tout en étant nue, elle se rapprocha puis posa une main dessus. Fermant les yeux, son visage se transforma et laissa place à celui de Nieva, qui esquissa un sourire carnassier. "J'adore ce corps … La fusion a tellement bien prise que j'ai l'impression d'avoir été Lindsay toute ma vie … Mais … Je suis Lindsay, à présent … Lindsay, et personne d'autre …" Dit-elle à son reflet, d'une voix solennelle. La fusion entre les deux êtres avaient tellement prises, que Nieva et Lindsay n'étaient plus qu'une seule et même personne sur tout les plans.

Une situation inédite pour la slime girl. Car dorénavant, elle n'était plus Nieva, le parasite venant d'un autre monde et prenant possession des corps qu'elle voulait. Elle était Lindsay, mère de deux adorables filles. Elle était aussi une slime, qui pouvait prendre possession d'autres corps. Mais, dans un sens physique et irréfutable, Nieva avait cessé d'exister pour devenir Lindsay. Cette dernière était sa nouvelle forme définitive, son nouveau vrai visage. Il lui était impossible de redevenir ce qu'elle était avant. La seule chose qu'elle pouvait faire était de reprendre son ancienne apparence, mais celle de Lindsay lui convenait amplement, et elle considérait à présent que c'était son vrai visage, définitivement. Reprenant les traits de celui-ci, elle sourit puis partie se faufiler sous sa couette, entamant alors une bonne nuit de sommeil bien mérité …

Le lendemain allait être une journée remplie de surprises.
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 17 vendredi 03 juillet 2015, 01:33:00

Quand Nieva avait pris possession de Lindsay, elle avait tué cette dernière. L’ancienne Lindsay était morte. Elle n’existait plus, elle n’était plus qu’un souvenir ancien qui flottait en l’air. Elle avait absorbé Lindsay, elle avait absorbé sa vie insignifiante, et n’avait retenu que son amour profond envers ses filles. Un lien particulier pour Nieva, car elle n’avait jamais absorbé une mère de famille… Et, en faisant cela, elle comprenait à quel point les liens familiaux étaient sacrés. Voilà ce que la nouvelle Lindsay voulait : s’unir avec Deborah et Kelly. Quand Lindsay rentra à la maison, Kelly dormait, tout comme Deborah. Sa belle Kelly, qui fricotait avec des individus aussi peu recommandables que ce Peter.

Au petit main, Lindsay était occupée dans la cuisine de leur maison, et entendit les bruits de pas de Deborah. Kelly allait faire la grasse matinée, mais Deborah devait aller à l’école. Elle put entendre ses bruits de pas, et sourit, l’odeur des pancakes cuite remontant dans le salon. C’était un grand salon, avec un coin cuisine, séparé du salon par un comptoir. Il y avait de grandes vitres donnant sur le jardin, et Lindsay avait allumé la radio. La station locale parlait évidemment de l’incendie, et même les chaînes nationales s’étaient fendues d’un communiqué.

« …Grave incident cette nuit, où les pompiers ont dû se mobiliser pour éteindre l’incendie. Pour l’heure, la piste préconisée par les policiers semble être celle d’un incendie involontaire, provoquée par une fuite de gaz… En revanche, les pompiers ont fait une découverte macabre, en trouvant le corps incendié de Peter Loveday dans le Gun’N’Store. Aucune piste n’est cependant écartée par la police, comme l’a dit le Commissaire Moore… »

En entendant sa fille se rapprocher, Lindsay appuya sur un bouton de sa télécommande, et la chaîne Hi-Fi sur le salon changea, pour diffuser de la musique : ZZ Top se mit à scander ce bon vieux tube rock qui faisait toujours son petit effet, Gimme All Your Lovin’.

« Hey, ma chérie ! Tu vas bien ?!
 -  Môman ? »

Deborah se frotta les yeux en croyant voir une autre femme… Mais c’était bien Lindsay qui lui souriait. Deborah, elle, était l’image même de l’innocence, avec sa grenouillère et son ours en peluche, Mister Schnoopy, qu’elle portait dans le creux de sa main. En la voyant ainsi, on lui donnait une dizaine d’années, alors que, concrètement, elle en avait quinze.

*Elle, elle est beaucoup moins difficile à gérer que Kelly…*

Deborah était clairement la petite préférée de Lindsay. Elle n’avait pas été infestée par les mensonges de Richard (*dont tu vas devoir t’occuper*) comme Kelly, car elle était trop jeune pour vraiment s’en soucier. Néanmoins, elle restait pantoise sur l’escalier devant le look inédit de Lindsay : sa mère avait délaissé son traditionnel jean et son débardeur rose pour une terrible robe noire avec de longs gants noirs, et des lunettes de soleil, qu’elle avait laissé sur le comptoir.

En lui faisant un grand sourire, Lindsay s’avança vers la table, la poêle remplie des précieux pancakes.

« Regarde, je t’ai fait plein de pancakes ! Et je t’ai servi ton jus d’orange ! »

Sourcils froncés, Deborah s’avança lentement.

« Euh… T’es levée tôt, non ? »

Lindsay sourit, et lui fit signe d’approcher. Deborah s’avança lentement, tenant toujours Mister Schnoopy, et, alors qu’elle s’approchait de la chaise, Lindsay l’embrassa sur le front.

« Est-ce que tu as bien dormi, Lindsay ?
 -  Euh… Ouais…
 -  Tu n’es pas paniquée à l’idée d’aller à l’école ?
 -  Ben… Non, mais… Euh… Maman… C’est quoi ce… Cette robe ? »

Lindsay lui sourit de toutes ses dents, en s’asseyant à côté d’elle.

« J’ai décidé d’arborer un nouveau look… Et aussi de me teindre les cheveux ! Ça me va bien, non ? »

Elle lui fit un nouveau sourire éclatant, et lui ébouriffa les cheveux.

« Et ces gants, c’est du cuir… C’est une matière noble, tu sais… »

Deborah était si surprise qu’elle ne savait même plus quoi dire.

Vanessa White

Humain(e)

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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 18 mardi 07 juillet 2015, 17:05:45

Une bonne nuit de repos, cela faisait toujours du bien. Lindsay, après les événements de la veille, avait décidé de passer à l'étape supérieure. Son plan se refermait petit à petit sur les principales intéressées, tout n'était qu'une question de temps. Bientôt, elles allaient s'unirent … Et cela allait être magistral. Mais en attendant, il restait beaucoup de choses à faire. Pour le moment Lindsay décida de s'occuper de ses petites chéries en préparant leur petit-déjeuner. Et quoi de mieux qu'une bonne fournée de pancakes pour ravir les babines de Deborah, qui en raffolait ? En bonne mère, Lindsay les prépara donc alors que le reste de sa petite famille était encore dans les bras de morphée. De bons pancakes, dont l'odeur s'en dégageait jusqu'au salon. La jeune femme prépara aussi tout les autres condiments, à savoir de la confiture et autre afin d'agrémenter ces si délicieux pancakes. Elle prit aussi le soin de servir un jus d'orange. Deborah avait école aujourd'hui et qui mieux que Lindsay savait ce qui était bon pour sa fille pour faire face à la journée.

D'ailleurs, elle finit par se réveiller. La jeune adolescente se ramena dans la cuisine, sans doute attirée par l'odeur qui s'en dégageait. Elle avait toujours l'air si candide, mais pourtant, elle avait bien quinze ans … Tant que cela n'avait pas d'impact sur son intelligence, Lindsay n'avait rien à redire. Et puis, cela faisait parti de sa personnalité. Deborah était, physiquement, très infantile. Ce n'était pas pour déplaire à Lindsay qui se remémorait de sa fille quand elle n'était alors qu'une enfant. De bons souvenirs. Des souvenirs plus vrais que nature … Preuve encore que la fusion entre Nieva et Lindsay avait été des plus parfaite. Et dire qu'elle était une slime girl à présent. On ne pouvait pas s'en douter à l’œil nu. Pourtant, son corps n'avait d'humain que l'apparence. Son intérieur n'était fait que de gelée, elle n'avait plus d'organe, plus d'os, plus de chair. Uniquement cette substance étrange qu'était le slime.

Deborah sembla étonner de voir sa maman habillée ainsi, mais après un rapide échange, elle noya le poisson dans l'eau en affirmant tout simplement qu'elle voulait changer de look, dont la matière principale était le cuir. Souriant à sa fille, elle savait que celle-ci était tellement étonnée qu'elle ne disait rien. Et c'était tant mieux ! Trop de questions tuaient la question. Assise à coté de sa fille, elle prit un pancake et commença alors à le tartiner de la confiture préférée de Deborah. "Tu te rendra compte que plus tard, l'apparence joue pour beaucoup." Lui dit-elle pour conclure sur son nouveau style vestimentaire. "Mais en attendant, je veux que tu manges ! Tu me dira ce que t'en penses de mes pancakes cette fois-ci …" Lui dit-elle avec sourire. Tout semblait aller comme sur des roulettes. Le plan fonctionnait, et très bientôt, la pièce suivante du puzzle arriva. La porte sonna. Deborah fut surprise de voir quelqu'un sonner à une heure aussi tôt, et Lindsay fit aussi l'air d'être étonnée. Demandant à sa fille de rester là, elle alla voir à la porte.

Mais en réalité elle savait qui était là. Ce n'était ni plus ni moins que Sabrina. Une comédie parfaitement bien jouée, qui allait bientôt arriver à son terme. Et quel terme … Un final merveilleux attendait toute cette petite famille. "Sabrina ? Qu'est-ce qui te prends à sonner chez les gens à cette heure-ci ?" Lui dit-elle. Et la jeune fille lui raconta alors son histoire. Sa mère l'avait mise à la porte, et elle n'avait trouvé nul part où aller. Elle expliqua qu'elle avait passé la nuit dehors, à déambuler, et qu'elle avait besoin de l'aide de Lindsay. Au nom de sa grande amitié avec sa fille. Et au nom de la grande gentillesse de sa mère. Tout ceci n'était qu'un tissu de mensonge bien évidemment. En réalité, Sabrina avait tué son ancienne mère, purement et simplement. Celle-ci était un obstacle à sa nouvelle relation avec sa nouvelle mère qu'était Lindsay. Prenant l'air de pitié, Lindsay fit entrée l'adolescente, prenant toutefois le luxe de placer discrètement sa main sur ses fesses pour la faire entrer. C'était Kelly qui allait avoir une bonne surprise au réveil … Cependant, elle remarqua quelque chose qui lui déplu. Avant d'être à portée d'écoute de Deborah, Lindsay tenu à prévenir Sabrina sur la petite bosse visible au niveau de son bas-ventre. *Par contre contrôles-toi ! Je ne veux pas qu'elles se doutent de quoique ce soit, et ton érection risque de tout faire planter ! Caches-moi ça !* Lui chuchota-t-elle à voix basse.

"Tu veux … Déjeuner avec nous Sabrina ? Tu dois avoir faim, après avoir passé la nuit dehors !" Lui dit-elle, ne lui laissant pas le choix. Elle l'amena dans la cuisine, sous le regard étonné de Deborah. "Sabrina a été mise à la porte par sa mère … Je ne sais pas comment elle va se débrouiller mais on va l'abriter le temps … Qu'elle trouve une issue. Tu n'y vois pas d'inconvénients ma puce ?" Demanda-t-elle à Deborah.
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 19 vendredi 10 juillet 2015, 02:01:42

« Elle t’a mise à la porte ?! Mais... Pourquoi ?! »

En voyant débarquer Sabrina, Deborah lui faisait de grands yeux. Lindsay resta en retrait, se pinçant les lèvres. Deborah était plus embêtante que prévue... En théorie, Lindsay aurait dû la tuer, mais... Elle en était tout simplement incapable. Elle aimait bien trop cette jeune fille pour ça, et, même si Sabrina était, en ce moment, davantage sa fille que Deborah, Lindsay la voyait comme telle. C’était vraiment très étonnant, et, tandis qu’elle réfléchissait, Sabrina expliquait à Deborah que sa mère était une conne, et qu’elle n’avait pas apprécié que sa fille rentre à pas d’heure.

« C’est à croire qu’elle a jamais eu de jeunesse... Elle a dit qu’elle voulait me mettre une bonne leçon, que je passais trop de temps dehors. Putain, quelle salope !
 -  Langage ! Je ne veux pas que Deborah répète de tels mots...
 -  ’Man ! J’ai quinze ans, ça va !
 -  Oh, parce qu’on gagne le droit d’insulter sa mère à quinze ans, peut-être ?
 -  Non, mais... Enfin, c’est quand même vache, ce qu’elle lui a fait ! Foutre sa fille dehors, quoi... C’est dur !
 -  Bah ! Elle a dû se dire que j’irais loger chez vous, répliqua Sabrina en haussant les épaules. En tout cas, c’est super sympa pour vous de m’héberger, Madame Stuart.
 -  C’est normal. On te connaît depuis si longtemps que tu fais presque partie de la famille, maintenant. Tu veux un pancake ? »

Elle lui sourit en l’apportant, et Deborah secoua la tête, semblant ahurie devant les priorités de sa mère. Lindsay n’avait pas eu le temps de peaufiner tous les détails. Cette robe, par exemple, était un choix purement volontaire. Elle avait juste vu la penderie de l’ancienne Lindsay, et s’était dit que ce qu’elle portait était tout simplement trop laid pour ce corps. Elle avait donc été faire des courses, et elle se trouvait maintenant bien mieux ainsi. Sabrina accepta la crêpe, et expliqua à Deborah qu’elle ne voulait surtout pas déranger, mais qu’elle pensait que sa mère se calmerait d’ici un ou deux jours.

« Elle veut juste me donner une leçon...
 -  Vous devriez arrêter de faire la bringue toutes les deux la nuit !
 -  On dirait ma mère quand tu me parles comme ça...
 -  N’oubliez pas que je suis là ! lança Lindsay en haussant le ton.
 -  Oui, mais toi tu es cool, Maman... »

Lindsay sourit, et caressa les cheveux de Deborah, puis regarda Sabrina, et désigna des yeux son bas-ventre. Son érection peinait à diminuer, et la femme comprit qu’elle allait devoir agir. Deborah était un radar sur pattes, et Lindsay ne pouvait pas encore la transformer en Slime. Elle n’était pas sûre d’y arriver, car elle venait de le faire hier avec Sabrina, et avait encore besoin de se reposer un peu. La précipitation était mauvaise conseillère ici, et elle ne tenait pas à commettre d’erreurs grossières.

« C’est gentil, ça... Maintenant, mange, Deborah, et va prendre ta douche. Il ne faudrait pas qu’on arrive en retard en cours, hein ?
 -  Oui, Maman... »

Deborah était un peu troublée par tout ça, et regarda encore Sabrina, qui lui sourit... Puis elle termina sa crêpe, prit un verre de jus d’orange, et s’écarta rapidement. Lindsay la laissa filer en lui souriant, et entendit cette dernière monter à l’étage, puis attendit encore un peu d’entendre l’écoulement de l’eau... Puis elle souleva Sabrina, et la coucha sur la table.

« Désolée, je ne me contrôle pas encore très bien... J’ai eu un orgasme en tuant cette vieille peau, mais... Depuis lors, ma queue est toute dure !! »

Lindsay soupira lentement en voyant cette bosse s’accroître, et tira sur les boutons de son jean, puis entreprit rapidement de la sucer.

Il fallait agir vite, car Deborah mettait en moyenne un quart d’heure pour se doucher et s’habiller...

Vanessa White

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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 20 jeudi 16 juillet 2015, 16:49:38

Le dialogue s'installa assez rapidement entre Sabrina et Deborah. Des jeunes entre eux, ça prenait toujours. Même si c'était l'amie de sa sœur, elles se connaissaient et n'avaient pas une gêne à se parler comme on aurait pu s'y attendre. Deborah s'insurgea donc du fait que la mère de Sabrina l'ai mise à la porte. Si elle savait la réalité … Il n'y avait eu nul mise à la porte. Sabrina avait tout simplement tué sa propre mère, son ancienne mère. Car, biologiquement, c'était Lindsay qui l'était à présent. Elle l'avait fait renaître, en l'absorbant puis en la mettant au monde à nouveau. Elle avait jouit comme jamais à ce moment-là, éclaboussant la chambre de son foutre dans tout les sens. Ce n'était pas une simple transformation ; Lindsay éprouvait, ou du moins commençait à éprouver des sentiments maternels envers Sabrina. Elle était sa fille, son enfant, et rien ne pouvait changer cela maintenant.

Elle réprima les deux filles à plusieurs reprises pour leur écart de langage, mais cela s’arrêta à là. Heureusement que Deborah n'était pas une fille grossière et vulgaire. Sabrina l'était un peu plus, mais à présent qu'elle avait Lindsay comme mère, des choses allaient changer. D'ailleurs, beaucoup de choses allaient changer ce jour-là … Beaucoup. La mère de famille en frémissait à l'avance, rien qu'à l'idée de faire fusionner de force Kelly et Sabrina … Cela lui donnait de grands frissons. Elle était impatiente de voir le résultat. Mais en attendant, il fallait jouer le jeu pour éviter tout soupçons. Et avec une Deborah très observatrice, la bosse qui grossissait dans le bas-ventre de Sabrina allait sûrement finir par être vue. Elle devait agir, et ce fut pour cette raison qu'elle envoya sa fille chérie prendre sa douche. Elle allait être en retard si cela continuait, après tout !

Quand la jeune adolescente prit la route de l'escalier et commença à faire couler l'eau, la mère de famille exemplaire qu'était Lindsay s'empressa alors de coucher sa nouvelle fille sur la table. L'adolescente balbutia une excuse qui était vraie, mais qui n'allait pas arranger la situation. Elle devait se contrôler ! C'était certes difficile, mais il fallait le faire tout même. Si Deborah avait vu cette bosse, elle aurait tout de suite détecté quelque chose qui ne va pas. Même si c'était très peu probable, Lindsay n'osait pas imaginer le désastre si Deborah apprenait que Sabrina avait une verge et avait tué sa mère ! Ça serait non seulement irrationnel pour elle, mais catastrophique pour Lindsay dans le sens où elle devrait changer drastiquement ses plans. Soupirant, elle finit par déboutonner le pantalon de sa fille et baissa sa culotte, laissant sa verge pointer fièrement vers le ciel. En effet, elle bandait très dure. Ceci était un sexe en pleine activité, veineux et imposant. Il faudrait deux mains et demie pour le couvrir en entier.

"Maman va s'occuper de tout ma puce." Lui dit-elle alors, commençant à sucer sa verge. Elle n'avait que très peu de temps devant elle, car Deborah ne mettait en général qu'un quart d'heure pour se laver. La mère de famille grognait ; pourquoi Deborah n'était pas comme Kelly, qui passait des heures sous l'eau ? Pourquoi fallait-il que ça soit si compliqué … Quoiqu'il en était, elle devait donc faire vite. Ses lèvres emprisonnèrent le sexe de Sabrina, et elle entreprit de le gober entièrement, faisant coulisser sa tête le long de cette trique infernal. Elle sentait son gland brûlant heurter le fond de sa gorge, alors qu'elle accéléra progressivement le rythme. Nul besoin de dire que, malgré l'urgence, Lindsay prenait un malin plaisir à offrir cette gâterie à sa fille adorée. Elle gémissait par manque de souffle de temps à autre, mais s'appliquait avec douceur et rapidité à la fois. De temps à autre elle retirait cette verge pour venir la masturber frénétiquement, dans l'espoir que Sabrina, de par son instabilité corporelle, finisse par jouir rapidement. "Lâches-toi mon cœur, n'ai pas peur de jouir sur Maman …" Dit-elle en la masturbant.

Elle sentait Sabrina qui étouffait ses soupirs, à un tel point qu'elle en devenait toute rouge. Elle se mordillait la lèvre et gesticulait dans tout les sens. Mais Lindsay ne s'arrêta pas en si bon chemin et reprit sa fellation avec une hargne sans fin. Mine de rien, la verge de Sabrina était une friandise agréable. Elle la sentait osciller dans sa bouche et dans sa gorge, et devenir encore plus dur qu'auparavant. Puis, après douze ou treize minute intensive, la pauvre adolescente finit par jouir. Lindsay sentit un torrent de foutre couler dans sa bouche, à une telle quantité que quelques filaments s'échappèrent de ses lèvres malgré qu'elle avalait tout en même temps. C'était si bon, si délicieux, qu'elle tentait tout pour ne pas laisser échapper une seule goûte. Quand la tempête se calma, elle en garda un peu dans sa bouche. Lindsay fit redresser sa fille et partit chercher un baiser. Baiser durant lequel elle lui échangea le sperme qui lui était rester en bouche, rien que pour la faire profiter … Le nectar de Sabrina se retrouva mélanger à leur salive et fut ballotté entre leur bouche respective, inlassablement. Mais elle allait devoir bientôt terminer cette délicieuse étreinte, Deborah allait pas tarder à rappliquer.
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 21 dimanche 19 juillet 2015, 02:35:24

Lindsay se demanda si Sabrina ne profitait pas de son stress, de sa nervosité sexuelle, pour pouvoir goûter davantage au sexe avec sa mère. Elle était une nouvelle personne, maintenant, et c’était même plus que ça. Sabrina n’était plus une humaine, elle était à la fois une individualité et une partie d’un tout qui la dépassait, et qui se caractérisait par Lindsay, ou, plutôt, par l’entité se faisant appeler Lindsay. C’était très simple à comprendre : Sabrina ne pouvait survivre sans Lindsay. Si les deux femmes s’éloignaient ou ne se voyaient pas, Sabrina allait dépérir, perdre la raison, et mourir. Ainsi, le lien les unissant était très fort, car il était existentiel, nécessaire à leur survie mutuelle. Lindsay s’empressa donc de sucer sa grosse queue, et, comme elle s’y attendait, Sabrina ne jouit pas rapidement. Elle se retenait depuis des heures, et Lindsay pouvait voir les pensées de Sabrina, les désirs qu’elle ressentait en voyant, depuis la fenêtre de son ancienne maison, de jeunes femmes passer le long de la rue. Elle avait massacré son ancienne mère, et Lindsay savait qu’elle allait devoir s’occuper de ça pendant les prochains jours. Elle n’était pas encore assez forte pour se heurter frontalement à la société humaine, et il lui fallait donc développer des solutions de secours, trouver un moyen de se renforcer sans trop attirer l’attention. Elle allait devoir s’en occuper... Mais pas tout de suite.

Pour l’heure, sa bouche remuait le long de cette queue grotesque et gargantuesque. La prendre était un régal, et Lindsay s’amusait avec, multipliant les gorges profondes, une chose très facile avec les caractéristiques si particulières de son organisme. Elle suçait donc cette belle queue joufflue, ce gros morceau tendu et pointu, en sentant Sabrina se tortiller sous elle. Elle n’éjacula pas immédiatement, et, pendant ce temps, on pouvait entendre l’eau de la douche s’écouler le long des canalisations, signe que Deborah était occupée. Deborah était la valeur-étalon de Lindsay en ce moment. Fort heureusement, elle savait que sa fille aimait prendre de longues douches, et le chamboulement de ce matin ne pouvait que l’inciter à en prendre une très longue. Lindsay ne lui avait jamais reproché de prendre des douches trop longues, et c’était d’ailleurs souvent pour ça qu’elle se réveillait si tôt, presque toujours avant sa mère... D’où sa surprise, ce matin, de la voir prête, avec des pancakes, et dans une tenue si particulière. Un nouveau look pour une nouvelle vie, et la nouvelle Lindsay Stuart serait définitivement bien plus fun que l’ancienne ! Lindsay suçait donc cette grosse queue, jusqu’à ce que Sabrina se mette à jouir en elle, balançant généreusement son foutre en poussant de longs cris.

Elles s’embrassèrent ensuite, se frottant l’une contre l’autre, un baiser humide et intense, qui amena Lindsay à se retrouver contre le mur, près de l’escalier, embrassant fougueusement sa fille, dont la verge caressait ses cuisses... Quand un élément perturbateur se manifesta en-haut de l’escalier.

« ’Man ? Tout va bien ? J’ai entendu un cri, et... »

Lindsay rompit immédiatement le baiser. Sabrina en profita pour embrasser et mordiller son cou, incontrôlable. Deborah devait être en train de se sécher les cheveux quand elle avait entendu les hurlements de jouissance de Sabrina.

« Oh, euh... Oui, oui, ne t’en fais pas, mon cœur ! Sabrina s’est brûlée avec le café, on a dû tout nettoyer !
 -  Tu veux de l’aide, Maman ? »

Ah, Deborah ! Toujours aussi serviable... Mais pas maintenant, clairement pas maintenant. Sabrina continuait à se frotter contre elle, embrassant et léchant ses joues, et Lindsay ne voulait surtout pas être surprise ici.

« N-Non, ma chérie ! C’est très gentil de ta part, mais... T’inquiètes pas, on gère !
 -  Ah... Okay ! »

L’alerte rouge passa, et Lindsay poussa alors Sabrina, puis la plaqua contre le mur, en tenant ses poignets par ses mains.

« Tu es une vraie chienne en chaleur, Sabrina...
 -  Je... Je ne pensais pas pouvoir être aussi excitée ! se confessa Sabrina. J’ai tellement envie de toi... »

Lindsay sourit malicieusement, et l’embrassa.

« Quand Deborah sera à l’école, je promets de m’occuper de toi... Comme une mère aimante se doit de le faire. »

Un sacré programme en perspective !

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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 22 mardi 04 août 2015, 17:02:37

Contenir Sabrina n'était pas chose aisée. Loin de là. Elle était très excitée et surtout avait très envie de sa maman. Sentiment que partageait Lindsay en sentant son désir et son envie de sexe croître au fur et à mesure que sa fille se tortillait contre elle. Bon sang elle était incontrôlable ! Qu'est-ce qui se passerait si Deborah ou Kelly les surprenaient toutes les deux ? Le plan serait foutu en l'air ! Une situation qui ne devait arriver sous aucun prétexte. Pourtant il était très dur de résister aux baisers de Sabrina, qui s'évertuait à embrasser son cou et ses joues, tout en les léchant. Elle se mordillait les lèvres et se surprit à se laisser aller pour un court moment, mais elle se ressaisit aussi vite et se retourna, plaquant sa fille chérie contre le mur en empoignant ses poignets. Un dernier baiser fut volé, cette fois-ci sous l'initiative de la mère de famille qui quémanda encore les délicieuses lèvres de Sabrina. Il n'y avait pas que celle-ci qui était excitée ; Lindsay l'était aussi. Et malgré tout le self-control dont elle faisait preuve, elle ne pu empêcher une bosse de se former au niveau de son bas-ventre, poussant le tissu de sa robe en avant.

"Regardes ce que tu me fais ma puce … C'est toi qui va devoir calmer ta maman cette fois-ci." Finit-elle par dire avec un clin d’œil. Elle avait une folle envie de l'embrasser à nouveau, mais elle se contenta d'un petit bisous sur la joue, se voulant plus affectif et maternelle qu'autre chose. Car si on pouvait croire que cette relation mère/fille n'était que poudre aux yeux, il n'en était rien ! Sabrina était la fille de Lindsay à 100% désormais ! Et cette dernière ressentait le même amour envers elle qu'envers Deborah ou Kelly. C'était devenue sa fille, sa petite chérie adorée, rien qu'à elle. Et dans pas longtemps, elle deviendra bien plus que sa fille … Oh cela allait être très intéressant à voir, pensa Lindsay.

D'ailleurs, tout allait se dérouler cet après-midi même, au réveil de Kelly. Deborah n'allait pas être là pour les déranger, même si elle allait faire parti du plan à son retour à la maison. L’aînée allait être prise au piège, en quelques sortes, puisqu'elle serait seule avec sa maman et sa meilleure amie. Une situation parfaite qui faisait rêver Lindsay, qui voyait déjà ses deux filles en train de fusionner pour ne former plus qu'une. Une fille unique, parfaite, rassemblant le meilleur des deux filles. Cette pensée la fit frissonner, alors qu'elle laissa Sabrina au terme d'un long baiser. "Dès que Deborah aura franchie cette porte, maman s'occupera de toi, d'accord ma puce ?" Dit-elle à nouveau en s'écartant. Elle tenta de se calmer pour faire disparaître la bosse qui déformait sa robe noire, et elle y parvint. Difficilement, mais elle y parvint. Il ne restait plus qu'à attendre à ce que Deborah s'en aille, et les choses sérieuses allaient commencer. En attendant, Lindsay se mit en tête de ranger le comptoir sur lequel ses filles chéries avaient mangé. Ce n'était pas tout mais, elle restait la maîtresse des lieux et il fallait bien que toit soit rangé. Ce n'était pas un débarra, ici !

Le temps passa et Deborah fut finalement prête. Elle descendit les escaliers, visiblement pressée, et s'apprêta alors à sortir quand Lindsay la rattrapa. "Hey hey hey, tu n'oublies pas quelque chose ?" Lui dit-elle. "Oui … Oui maman." Répliqua Deborah qui vint alors embrasser sa mère. "Travailles bien ma puce !" Fit Lindsay en serrant sa fille, puis la laissant partir. Elle referma la porte derrière elle, attendant un peu avant de la fermer à clé. Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, alors qu'elle se retourna pour chercher du regard Sabrina. Celle-ci était tranquillement installée sur le canapé, en train de regarder la télé. Adoptant une démarche féline, la mère de famille s'approcha d'elle et vint se glisser juste à coté. "Enfin seules, entre mère … Et fille." Lui dit-elle doucement, passant un doigt sur son cou. Approchant son visage, elle déposa un tendre baiser sur sa joue, ce qui fit sourire Sabrina. Mais, contre toutes attentes, celle-ci répliqua d'une manière très soudaine. Elle fit en sorte de s'écarter et de pousser Lindsay par les épaules de manière à faire allonger celle-ci sur le canapé. "Je veux pas qu'on se tease, je suis déjà assez excitée ! Je veux qu'on fasse l'amour, maintenant !!!" Dit-elle sur un ton très enjoué.

Elle joignit le geste à la parole en faufilant sa main à la surface de la robe de Lindsay. Et plus particulièrement, au niveau de son entrejambe. Elle caressa la bosse qui reprit en force, déformant grandement le tissu, d'une manière des plus suggestive. "Grrrr ma petite Sabrina … Tu sais ce qu'il te reste à faire dans ce cas !" Lui dit-elle, en posant ses mains sur l'extrémité de sa robe qu'elle releva, exposant alors sa puissante verge qui se tendit vers le ciel. Ses bourses étaient toutes aussi vigoureuses, témoignant alors de sa grande … capacité. En s'étant doté d'un sexe masculin complet, elle n'y était pas allée de main morte. Sa verge était monstrueuse, inhumaine, et ses couilles étaient aussi imposantes que deux prunes. Tout était dans la démesure et dans l'irrationalité …
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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 23 vendredi 07 août 2015, 23:29:42

Oui, Sabrina était impatiente, assoiffée... Mais bon sang, Lindsay ne pouvait que la comprendre ! Elle avait une furieuse envie de la baiser, de la baiser longuement et joyeusement, sans arrêt, sans relâche, et sans interruption. Baiser comme une petite folle avec elle, la prendre dans tous les sens, pendant des heures et des heures... Mais, tout d’abord, il avait fallu attendre que Deborah s’en aille. Il restait encore Kelly à l’étage, mais, quand celle-là dormait, il fallait une bombe pour la réveiller... Et encore ! Quand Lindsay passait l’aspirateur, Kelly n’ouvrait même pas un œil. Elle avait toujours eu le sommeil lourd, et Lindsay ne comptait même plus le nombre de retards qu’elle avait eu à l’époque du collège et du lycée. La réveiller était toujours un effort considérable, et Lindsay ne s’en faisait donc pas pour elle... Pour l’heure, seule comptait la soif de Sabrina, et la sienne, qui se manifesta par une superbe érection. Elle avait relevé sa robe, et laissa Sabrina agir.

Cette dernière était en manque, et n’avait pas envie de perdre du temps en vain. Elle s’empala sur elle, et remua, mais, très vite, le canapé ne fut pas assez pour les retenir. Lindsay se releva donc, et plaqua la femme contre le mur, à côté de la cuisine, les mains de Sabrina venant se crisper nerveusement dans son dos, tirant sur la fermeture de sa belle robe chinoise, la faisant tomber sur le sol.

« HAAAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! »

Sabrina poussait des hurlements vibrants de plaisir, rebondissant contre le mur. Lindsay couinait contre elle, mordillant parfois sa peau, tout en continuant à la prendre, son membre disparaissant en elle, revenant en arrière, avant de repartir en avant, encore et encore, dans le même mouvement ascendant et descendant. C’était intense, et les fesses de Sabrina rebondissaient contre le mur. Ses cris pouvaient tout à fait se faire entendre dans la chambre de Kelly, mais cette dernière, toujours aussi inerte, ne risquait pas de réagir. Elle se contentait de roupiller, pendant que Lindsay baisait méchamment Sabrina.

La mère de Sabrina finit par la pousser sur la table, et la baisa là, Sabrina couchée à moitié sur la table, ses jambes dans le vide. Les mains de Lindsay s’appuyaient sur ses hanches, ses hanches en sueur.

« Haaa... C’est bien, Sabrina, hummm... Maintiens... Maintiens ton apparence, ta forme... »

Sabrina et Lindsay n’étaient plus des humaines, mais elles devaient apprendre à agir comme telles, à ressembler à des humaines, et ce y compris en faisant l’amour. Les joues toutes rouges, Sabrina continuait à hurler, sa mouille s’égouttant sur le sol. Tout son corps, son magnifique corps de belle poupée, était sous tension, se tortillant devant elle.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! Ooooouuuuiiiii... !! Encoooore !! HUUUUMMMMMM... !!!
 -  HHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNN... !!! »

Les deux femmes continuaient à se faire joyeusement et longuement l’amour, sans relâche, avec passion. Sabrina eut un orgasme, qui fit sourire Lindsay. Elles s’écartèrent encore, venant s’allonger toutes les deux sur la table, Lindsay continuant à la baiser lourdement, sans relâche, s’enfonçant lourdement et profondément en elle, uniquement dans le but de la faire hurler et gémir.

Et ce n’était qu’un prélude...

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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 24 mardi 11 août 2015, 18:58:35

Sauvage, bestial, c'était là toute la définition de la séance de sexe que mère et fille s'évertuaient à entretenir. Sabrina avait été une réelle affamée, s'étant empalée longuement sur Lindsay. Celle-ci avait rapidement trouvé le canapé insuffisant, et s'était joyeusement faite plaisir en plaquant sa fille contre le mur, et en lui dardant sa féminité du plus puissamment que possible. Et les cris de Sabrina furent tout aussi puissants, du coup. C'était bon ! Terriblement bon de faire l'amour ainsi ! Pendant de longue minutes la jeune adolescente se retrouva complètement fauchée par le monstrueux sexe de Lindsay qui lui perforait les entrailles, et qui l'écrasait contre le mur. En bonne sauvageonne, elle avait agrippé Lindsay par le dos et avait tellement fait fort qu'elle avait déchiré sa robe, révélant alors la nudité de sa mère. Tout semblait aller à la fois vite et lent. La manière dont Lindsay avait de bourriner sa fille avait quelque chose d'incroyablement bestial et irrésistible.

Elle finit par la faire coucher, à moitié, sur la table à manger. La séance de sexe allait reprendre de plus belle, tandis que leur cris étaient même pas retenu. Mère et fille hurlaient de plaisir, laissant libre cours à leur corde vocales pour extérioriser la grande jouissance qu'elles ressentaient. La verge de Lindsay surchauffait à force rentrer et sortir ainsi, et le plus magistral arriva enfin. Sabrina, à force se faire pénétrer ainsi finit par avoir un orgasme, un grand orgasme qui résonna dans toute la maison. Et même si elle était en train de jouir de tout son corps, Lindsay continua de la pénétrer, toujours plus vigoureusement et intensément. Sa fille était une vraie bombe à retardement en matière de sexe. Elle prenait le plus grand plaisir au monde à lui faire l'amour ainsi. Après que l'adolescente eut son premier orgasme, Lindsay décida de changer encore la position.

Elle la fit s'allonger sur toute la table, complètement, et vint la rejoindre. Elle oublia sa féminité pour se concentrer sur une entrée bien plus sensible ; son cul. Prenant sa verge en main, elle la positionna devant sa petite rondelle rosée puis, d'un seul coup, poussa de toute ses forces, écrasant sa fille contre la table. "HAAAAANNN !!!" Cria-t-elle, alors qu'elle recommença à aller et venir de plus belle. Elle s'enfonçait en elle, pilonnant son derrière de violent et lourd coup de reins. Sa verge fondait en elle, et plus elle dardait son entrée, plus elle sentait que Sabrina approchait à nouveau de l'orgasme. La sodomie avait été sa première pratique en tant que slime, il était tout naturel que celle-ci soit plus jouissive qu'une autre. Lindsay claqua de temps à autre le petit fessier rebondi de sa fille. "HAAA-HAAAAAAAN OUIIII !!!" Gémissait grandement Lindsay, qui se sentait elle-même venir au bord de l'orgasme. Néanmoins, après plusieurs minutes de sodomie brutale, celui-ci finit par venir. Dans un dernier et puissant coup de verge, Lindsay s'écrasa contre Sabrina, ses testicules pressant les siennes, alors que son sexe émit un véritable déluge de foutre dans ses entrailles.

Le souffle haletant, son orgasme avait duré une bonne quinzaine de seconde. Un quart de minute à farcir la jeune slime de sa semence, qui se retrouva absorbée par l'organisme liquide de l'adolescente pour le changer en slime. Et ce slime, ce surplus, vint tout naturellement s'ajouter à ses formes. Et dans un tel contexte, la seule forme qui prit en taille, fut sa verge et ses bourses. Sabrina eut la surprise de voir ses attributs masculins se mirent à gonfler et à prendre en taille considérablement. "Retournes-toi ma chérie …" Dit Lindsay, attendant que Sabrina s’exécute. Elle lui réservait une petite surprise, surtout en voyant la taille que venait d'atteindre son sexe. Une bonne trique monstrueuse, atteignant le triple décimètre, avec des testicules aussi portantes que des … Kiwis, pour comparaison. "Regardes bien !" Déclara Lindsay qui avait une idée dans la tête.

Elle se mit en position de tel façon que son sexe, son gland joufflue et brûlant pouvait embrasser celui de Sabrina. Tout allait si vite, qu'il n'y avait pas de temps pour être fatiguée. Esquissant un sourire malicieux, la mère de famille profita un moment de ce contact très agréable, puis empoignant les deux sexes, elle commença à les écraser l'un à l'autre. C'était comme si … Elle était en train de forcer son gland à pénétrer celui de Sabrina. Mutilation en temps normal, mais vu que c'était des slime, la réaction fut étonnante. Poussant toujours, le bout rosée de Lindsay finit par s'introduire dans celui de sa fille, faisant alors grossir celui-ci dans des proportions irrationnels. "HAAAAAAAAAAAANNN !!!" Hurla Lindsay en ressentant une foudroyante décharge de plaisir la saisir au niveau de sa trique. Et elle continua, encore et encore, à enfoncer son sexe dans le sien. Il disparaissait, fusionnant avec celui de Sabrina. Tout le slime se dissout, pour venir s’agglutiner avec celui de l'adolescente. En résumé, mère et fille finirent par partager une verge commune, qui les liaient physiquement. Une verge énorme, très, très énorme. Mais un courant électrique les parcourait toute les deux. Un courant inhumain qui stimulait à outrance cette trique qu'elles partageaient à présent, et qui leur faisait perdre la tête. Langue pendouillant, Lindsay n'arrivait même plus à penser tellement que c'était jouissif. Pourtant, la cerise sur le gâteau fut quand elle se mit, avec sa fille, à masturber frénétiquement ce morceau chair, de slime.
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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 25 dimanche 06 septembre 2015, 21:28:17

Les Slimes n’étaient pas des êtres humains, ils n’étaient pas constitués de la même manière, ne réagissaient pas de la même façon... Et c’était une chose qu’on pouvait observer précisément en ce moment, où Lindsay était en train d’utiliser les propriétés étonnantes de l’organisme d’une Slime pour coucher avec Sabrina de la plus belle des façons. Les deux femmes faisaient joyeusement l’amour, et Lindsay avait expérimenté autre chose. Toutes les deux nues, elles ne devinrent plus qu’une quand son phallus devint un tentacule vorace qui « avala » celui de Sabrina. En réalité, les deux s’imbriquèrent en un seul, formant une sorte de longue et grosse tige commune de chair et de masse liquide, s’agglutinant en une masse unique et épaisse. Les deux femmes se prenaient mutuellement, avec un plaisir exquis, inouï... Car c’était comme si leurs deux verges se pénétraient sans se pénétrer, se défonçant mutuellement. Comment  le dire autrement ? Les deux tentacules étaient reliés, comme si la verge de Sabrina défonçait le con de Lindsay, et, comme si, inversement et simultanément, la verge de Lindsay défonçait la chatte humide de Sabrina.

« Haaaaaaaaaaaaa... Haaaa !! »

Ne pouvant pas sortir par la voie « naturelle », si tant est qu’il puisse y avoir quoi que ce soit de naturel dans le corps d’une Slime, leur mouille ou leur sperme (à ce stade, il était aussi très difficile de savoir à quoi correspondait précisément le liquide intime qui s’échappait de leurs corps) s’évacuaient par la transpiration. Elles glissaient de leurs corps en sueur, mais qui, fort heureusement, parvenaient à contenir une apparence humaine. Que ce soit Lindsay ou Sabrina, les deux femmes étaient en ce moment comblées d’excitation, se tortillant, hurlant et gémissant. Le plaisir, le plaisir, il était là, fort, intense, unique, exceptionnel... Comment un tel plaisir pouvait-il exister ?! Lindsay jouissait continuellement, tandis que son corps continuait à se rapprocher de celui de Sabrina.

Ses mains se crispèrent sur ses seins, et elle l’embrassa généreusement, l’envoyant heurter le mur violemment, à tel point qu’un tableau sauta de son clou, et tomba sur le sol. Les deux femmes se pénétraient mutuellement rudement, les jambes de Sabrina, de longues jambes belles et fuselées, allant ainsi s’enrouler autour de sa taille, tandis que l’une des mains de Sabrina se crispa sur sa nuque. Elles s’embrassèrent goulûment, tandis que la masse liquide accumulée entre leurs corps vint se diluer en elle. Des tentacules s’enfoncèrent dans les deux femmes, et Lindsay l’embrassa longuement, mielleusement, tout en continuant à jouir, encore et encore, ses lèvres tremblant de désir.

« Huuummm, Ma-Mamaaaannnn, haaaan... !! »

Elles baisèrent ainsi mutuellement pendant une bonne demi-heure, jusqu’à ce que leurs corps ne finissent pas se retirer. Sabrina glissa alors sur le sol, tandis que Linday se reprenait son souffle, respirant bruyamment et lourdement.

« Aaaaah... Tu... Tu es magnifique, Sabrina... Mais... Malheureusement, je crois qu’il va falloir conserver un peu de nos forces pour faire le ménage. »

Vu l’état dans lequel elles avaient laissé le salon, mieux valait éviter, pour l’heure, que Kelly tombe sur un tel spectacle...

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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 26 dimanche 27 septembre 2015, 12:41:33

Lindsay ne savait pas si ce qui était le plus excitant était le fait qu’elles étaient des Slimes, donc que le sexe était infiniment plus sensationnel, ou bien si c’était le fait qu’elle était en train de coucher avec sa fille. Peut-être était-ce les deux ? Nul doute que cela excitait la jeune femme de faire l’amour avec son enfant, tout en profitant allègrement des capacités que leur offrait leur corps gélatineux. Ceci s’illustrait sous ce que venait de faire Lindsay ; elle avait pénétré la verge de Sabrina avec la sienne, créant ainsi un monstrueux tentacule entre les deux femmes. Ces dernières s’évertuèrent à le masturber, frénétiquement, tombant ainsi dans une énorme ivresse sexuelle qui les poussa à devenir encore plus sauvage. Cette tige infernale qui gisait entre leurs cuisses, et qui les reliaient, était le jouet ultime ! Mère et fille étaient, de cette façon, physiquement liées l’une à l’autre. Lindsay et Sabrina gémissait lourdement, ne pouvant plus contenir leurs soupirs.

À un tel point que leur sueur et leur sperme coulaient par les pores de leur peau, ne pouvant plus sortir par leurs verges. C’était une autre étrangeté typique aux Slimes. Nues comme des vers, les deux femmes continuaient à se faire joyeusement l’amour, ne pouvant décidemment pas s’arrêter un seul instant. Il fallait dire que Lindsay aimait tellement sa petite fille, qu’elle ne comptait pas l’énergie et l’effort pour la faire jouir. Finalement, elle crispa ses doigts sur ses petits seins et elle partit l’embrasser à nouveau. Sa langue se mêla à la sienne, l’invitant vivement à danser. « Hmmmm … » Soupira grandement Lindsay contre la bouche de Sabrina. Prise par une pulsion, Lindsay prit l’initiative de balancer Sabrina contre le mur, hargneusement, faisant tomber un cadre au passage. Elles continuèrent de s’embrasser follement, alors que Sabrina entortilla ses jambes autour de sa mère pour prendre appui.

Leurs bouches ne se quittèrent sous aucun prétexte ! Alors qu’au même moment, la verge commune qui logeait entre leurs cuisses continuaient à les faire grimper au ciel. Toutes les deux elles remuaient vigoureusement, comme si l’une tentait de pénétrer l’autre. La tige s’étirait et se compressait sous leur mouvement, leur procurant des sensations inhumaines, folles ! De la bave commençait à couler de leurs lèvres, venant se mélanger à leur baiser qui devint extrêmement mouillé. La petite Sabrina gémit, encore et encore, alors que Lindsay en fit de même. Une demi-heure à se faire fougueusement l’amour, à rattraper le temps perdu, à prendre du bon temps entre mère et fille. Mais finalement, car toute bonne chose avait une fin, leur corps se retirèrent, après un coup de grâce explosif ; la tige de chair et de slime les reliant avait fini par tellement absorber de sperme, qu’elle avait exploser en foutre et en slime, les faisant hurler alors.

Sabrina tomba au sol, et les bouts de slimes parterre s’agglutinèrent et vinrent furtivement se coller à son bas-ventre, reconstituant alors son sexe. La verge de Sabrina était toute épuisée, et ses bourses aussi d’ailleurs … Ce qui était aussi le cas pour Lindsay. Nues, les deux femmes reprenaient leur souffle mais Lindsay finit par déclarer quelque chose de pertinent. Oui, il fallait conserver de l’énergie pour faire le ménage … Tout ce sperme et cette sueur aux alentours ne devait pas rester là. Elle aida sa fille chérie à se relever puis l’embrassa une dernière fois. Un baiser affectif, doux et très court, juste pour la forme et le besoin de tendresse qu’elle éprouvait. Les deux femmes s’activèrent malgré la fatigue et entreprirent alors de tout nettoyer. Tout le salon était éclaboussé par leurs ébats ; c’était dire la puissance avec laquelle elles s’étaient faite l’amour.

Soufflant un coup, après avoir fini ce dur labeur, Lindsay tourna son regard vers Sabrina, puis lui sourit tendrement. « Alors, tu vas mieux, ma puce ? » Demanda-t-elle, par rapport à sa furieuse envie de faire l’amour à sa mère. C’était elle qui avait sauté sur Lindsay, en premier lieu. Et si la mère de famille n’avait pas auparavant calmé sa trique, l’instant aurait été pire ! C’était étonnant de voir comment Sabrina pouvait être aussi excitée. Lindsay se souvenait encore de sa verge toute raide et tendue qu’elle possédait en venant ici. À un tel point qu’une grosse bosse avait pris place au niveau de son bas-ventre, déformant ses vêtements. Heureusement que Deborah n’avait rien vu …
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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 27 mardi 06 octobre 2015, 10:13:32

Le sexe allait devenir une part omniprésente de sa vie, Lindsay le sentait. Elle venait de joyeusement coucher avec Sabrina, sa nouvelle fille, et, pendant une bonne demi-heure, les femmes entreprirent de faire le ménage, de souffler cette odeur de sperme et de sueur, ainsi que de nettoyer le sol, afin d’effacer les traces qui étaient collées dessus. Ensuite, il allait falloir passer au boulot.

« Nous allons devoir nous occuper des Loveday...
 -  Comment ça ?
 -  La mort de Peter ne passera pas longtemps inaperçue, et nous devons éviter que la police ne trouve des traces dans sa maison, et ne remonte jusqu’à nous... »

Sabrina fit la moue en croisant les bras. Elle, elle n’avait toujours qu’une seule envie : coucher avec sa mère, se perdre dans une orgie de sexe... Ce que Lindsay ressentait. Sabrina était encore jeune, mais elle avait besoin de formation, et, même si Lindsay n’avait, elle aussi, qu’une seule envie (se la taper), elle savait aussi que ses projets ne se limitaient pas qu’à du sexe. Maintenant qu’elle avait fusionné avec une humaine, elle pouvait sentir des inspirations plus fortes que ce que Nieva avait jadis ressenti. Nieva, elle, n’avait été qu’une simple créature, uniquement attirée par ses pulsions sexuelles, seul moyen pour elle de se nourrir, tout comme un animal ne pensait qu’à son estomac. Mais, maintenant qu’une fusion avait eu lieu, Lindsay avait des aspirations de grandeur, des désirs plus vastes... Restait encore à en convaincre Sabrina, cette jeune femme qui était encore une Sline très immature.

Cette dernière ne voyait donc pas pourquoi il fallait agir contre Loveday, alors que, fondamentalement, tout ce qu’elle voulait, c’était transformer Kelly.

« Pourquoi on irait perdre notre temps là-bas ? demanda-t-elle donc.
 -  D’abord, nous allons nous rendre à une station-service... J’ai une idée... »

Une réplique qui étonna encore plus Sabrina. Lindsay se retourna rapidement vers une table, et sortit un Post-It, puis écrivit quelques mots à l’intention de Kelly, quand cette dernière se réveillerait. Ensuite, elle enfila sa longue robe chinoise noire, de longs gants, et des bottes... Lindsay était méconnaissable dans cette tenue de femme fatale, et termina par des lunettes noires sur son visage.

« Allez, suis-moi... Je vais te montrer ce qu’une Slime peut faire... »

Intriguée, Sabrina obtempéra, et grimpa dans la voiture de Lindsay, qui démarra.



La ville comprenait deux ou trois stations-services, preuve qu’elle était une commune assez petite. Cependant, Lindsay alla un peu plus loin, et rejoignit l’autoroute. Elle avait différents problèmes à gérer : Peter Loveday, mais aussi le boulot qu’elle menait... Le fait qu’elle ne soit pas au travail actuellement risquait de poser des problèmes dans l’agence où elle était, mais Lindsay s’en occuperait plus tard. La jeune femme rejoignit donc l’autoroute, et roula près d’une aire d’autoroute, et se gara sur le parking.

« On fait quoi, là ? »

Pour la faire taire, Lindsay tourna la tête vers Sabrina, et alla tendrement l’embrasser. Sabrina avait opté pour une tenue vestimentaire très différente de celles qu’elle portait habituellement.

« J’ai envie de sentir ta queue en moi, Maman... » gémit Sabrina.

Elle avait à nouveau une belle érection, et Lindsay soupira.

« Je me doute... Mais attends un peu, tu vas voir... »

Elle sortit de la voiture, et, toujours à la surprise de Sabrina, ne se rendit pas dans la boutique de la station, mais la contourna. On pouvait entendre le roulement des voitures filant le long de la route, et elle, elle se rendit vers le parking des routiers, et marcha vers un camion-citerne, ses talons aiguilles claquant sur le sol Un routier, justement, était près de son camion-citerne, appartenant à Exxon. Elle s’approcha de lui, et l’homme se retourna vers elle, et fronça les sourcils.

« Que voulez-vous, Madame ? »

En souriant, Lindsay lui répondit en l’embrassant, et l’homme écarquilla des yeux... Puis Lindsay envoya dans sa bouche sa salive, et se concentra. Elle n’avait encore jamais tenté ça, mais, en son for intérieur, elle était convaincue d’y arriver... Convaincue, car elle avait remarqué que les cellules d’une Slime pouvaient se diviser et fonctionner de manière autonome, tout en continuant à obéir à l’ordre de la Slime principale.

Sa salive fila dans le corps de l’homme, et remonta jusqu’à son cerveau... Puis ce dernier s’écarta, et se mit à éternuer violemment, avant de tomber à genoux. Devant les interrogations légitimes de Sabrina, Lindsay lui expliqua ce qu’elle faisait :

« Je cherche à le contrôler en utilisant son cerveau et ses hormones... Puis il ira se suicider pour nous en se faisant sauter, lui et son camion, contre la maison de Peter Loveday... Pour ses Reines... »

Vanessa White

Humain(e)

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Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 28 mardi 27 octobre 2015, 12:11:31

Les plans n’étaient malheureusement pas ceux qu’aurait espéré Sabrina. En effet, la jeune fille eut la mauvaise surprise de voir sa mère décider qu’il allait falloir s’occuper sérieusement des Loveday avant que des mauvaises retombées sur l’incendie de cette nuit ne surviennent. Le sexe allait attendre, mais Lindsay se faisait la promesse de faire l’amour dans la règle de l’art à sa chère fille après tout cette affaire. Elle avait souligné le fait que la police, si rien n’était fait, allait finir par remonter leur piste en trouvant forcément des indices dans la demeure cramoisie des Loveday. Et Lindsay ne comptait pas commencer sa nouvelle vie en étant une fugitive, ou en étant enfermée dans une foutue prison. Bien entendu, ses facultés très spéciales pouvaient faire qu’elle aurait pu s’évader, voir même changer d’apparence et de vie pour éviter tout cela ! Mais … Elle était attachée à Lindsay, cette femme, cette mère de famille qui avait deux adorables, et maintenant trois, filles. Cependant, quand Kelly aurait fusionné avec Sabrina, et que Lindsay se serait occupé de Deborah … Les choses allaient peut-être changer. À voir.

Pour le moment, il fallait s’occuper des maudits Loveday et la mère de famille eut alors une idée. Embarquant Sabrina avec elle, mère et fille prirent la route vers l’entrée d’autoroute la plus proche et finirent leur petite cavale sur une station assez calme, où de nombreux voyageurs se trouvaient. Surtout devant la station-service en elle-même, car le loin camions lui était … Isolé. Lindsay coupa le moteur, observant les alentours puis surprit sa fille à se demander qu’est-ce qu’elles faisaient là. Souhaitant la calmer un peu, et la faire taire, elle partit lui voler un baiser chaud, savourant pendant quelques instants le gout toujours aussi enivrant de sa bouche et sa langue. Mais le baiser fut court, car il n’avait pour but que de consoler un peu Sabrin qui s’impatientait. Les yeux de la mère de Sabrina se penchèrent vers son minishort, constatant alors qu’une nerveuse bosse la déformait, signe que Sabrina était en pleine et féroce érection. Sabrina avait radicalement changé son style, adoptant des vêtements qui faisaient plus rebelles, plus sauvages … Plus sexy en fait ! Cela marquait définitivement que l’ancienne Sabrina n’était plus, et que sa renaissance avait admirablement bien fonctionné.

Un sourire s’esquissa sur les lèvres de Lindsay, qui sortit alors de la voiture, invitant sa fille à la suivre. Elle fit claquer pendant quelques pas ses talons au sol, dénotant d’une démarche de femme fatale, se dirigeant vers un routier qui était en train de voguer à ses affaires. Sabrina regarda la scène se déroulant devant ses yeux ; sa mère avait embrassé de force cet homme, qui avait écarquillé les yeux au moment où la salive de la jeune femme avait fusé en lui, et avait remonté jusqu’à son cerveau. Ce n’était pas de la salive, mais une partie du slime de Lindsay qui était venue prendre possession du cerveau du pauvre type. Celui-ci éternua et se mit à genoux, tombant alors dans un silence de mort. « Woaww … Il va réellement faire ça ?! On … On est réellement capable de faire ce genre de chose ? » Demanda Sabrina, voyant le résultat. Le camionneur tortilla sa tête de manière assez … Lugubre, comme une fourmilière tentait de sortir de son crâne. Lorsqu’il rouvrit ses yeux, les deux femmes purent voir pendant l’espace d’une seconde que la totalité de ses globes étaient de couleurs marrons clair, soit la couleur du slime de Lindsay. Un autre détail, moins ragoutant ; il était en train de bander comme un taureau en rut …

« Quels sont vos ordres, ma Reine ? » Dit-il d’une voix monocorde. « Oh, mais c’est parfait ça ! Eh bien tu vois … C’est très simple. Tu vas faire sauter le manoir des Loveday … Tu sais, la famille qui possède l’armurerie de la ville ? Ta Reine t’ordonnes d’aller faire exploser ton camion-citerne contre sa demeure, afin qu’il ne reste plus aucunes traces exploitables de son existence … Compris ? » Déclara Lindsay, acquiesçant quand son nouvel esclave hocha de la tête mécaniquement. Tout le reste n’allait être que formalités ; Lindsay emmena Sabrina avec elle, revenant dans sa voiture pour suivre discrètement le camion-citerne qui quitta la station-service, pour revenir en ville. Il ne fallait pas qu’elles se fassent voir par les forces de police présente au manoir, pas au moment où l’explosion allait avoir lieu. Ainsi, Lindsay finit par trouver un bon endroit, après avoir communiqué à son esclave d’attendre son ordre pour foncer sur la maison. Quand elle fut sûre que de là où elle était elle pourrait voir la scène, sans être vue, elle finit par lui souffler le mot magique. « Regardes bien ce qui va se passer, ma chérie. » Dit-elle à Sabrina, prenant de manière nonchalante sa main dans la sienne, croisant ses doigts avec.

Le spectacle finit par arriver, et le camion fonça à toute allure vers la scène de l’incendie, s’écrasant complètement contre le bâtiment … Provoquant immanquablement une gigantesque explosion qui fit voler en éclat tout ce qui se trouvait sur son passage. Un véritable feu d’artifice, qui fit éclater de rire Lindsay qui jubilait comme jamais à ce moment.
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La malédiction de la couette [PV]

Réponse 29 mercredi 28 octobre 2015, 16:56:45

La formidable explosion dévasta le bâtiment, situé en plein milieu de la ville. Les pompiers avaient déjà mis des banderoles de sécurité. Lindsay éclata de rire, prouvant toute sa cruauté, mais aussi tout son mépris des êtres humains, car des enquêteurs se trouvaient encore sur place, ainsi que des policiers, des infirmiers, des badauds, et un van de la presse locale. Lindsay vit donc, avec un sourire ravi, le camion-citerne foncer sur eux, rempli à ras-bord d’essence. L’homme aux commandes avait été totalement lobotomisé par sa Reine, et les deux filles virent donc le véhicule foncer le long de la rue. Plusieurs badauds le virent, s’interrogèrent, puis hurlèrent, mais le camion fila sur le trottoir, et s’enfonça dans la vitrine de l’armurerie, puis la citerne explosa. Une superbe boule de feu se forma, une déflagration qui souffla les badauds.

Springtown, le nom de leur ville, était une petite ville, une commune abritant quelques milliers d’âmes. Une ville un peu plus grande qu’un village, mais qui avait de faibles moyens. L’explosion de l’armurerie était comme un coup de couteau planté en plein cœur de la ville, et Lindsay savait très bien que, outre se débarrasser des preuves, cette attaque serait la première partie de son plan. Ambitieuse, la Slime avait en effet de grands projets pour cette ville.

Il y eut en tout plus d’une vingtaine de morts. Outre les simples passants, comme Jim Tromayn, le boucher local, plusieurs inspecteurs de police furent instantanément tués, comme Kyle Rayzer, venu tout droit de Chicago, ou encore Tom Wyatt, le shérif local, qui se trouvait dans l’armurerie. S’il avait évité le camion en se réfugiant dans un coin, l’explosion s’acheva de le faire disparaître. Pour le reste, les quelques survivants ayant échappé à l’explosion, et situés dans l’immeuble, moururent lors de la seconde vague, quand les fondations de la demeure s’effondrèrent, et que le bâtiment s’écroula sur le sol. Parmi les victimes, il y eut également, outre le shérif, l’adjoint au maire, Michaël DeMoore. Une cible de choix. Lui fut tué par la déflagration, qui l’envoya s’écraser la tête la première sur le sol, brisant sa nuque.

En quelques secondes, Springtown venait de subir un sérieux revers, et Lindsay exultait… À tel point qu’elle fit l’amour avec Sabrina.

Pour cela, Linday avait sonné à la première porte possible, et on avait rapidement ouvert, les voisins étant attirés par le souffle de l’explosion. L’homme qui ouvrit s’appelait Patrick Gallaway. C’était une vieille personne, un retraité qui, pendant des années, avait travaillé au sein de la gazette locale, le Daily Springtown. Un bon Catholique qui avait enterré sa femme, et dont le fils était actuellement à Los Angeles, où il avait une famille. Patrick était un membre investi de la communauté, faisant partie d’une association de quartier.

La dernière chose qu’il vit en ce monde fut le corps séduisant de Lindsay. Toute excitée, elle ne prit pas le temps d’attendre, et alla l’embrasser, l’empoisonnant également, tout comme elle avait empoisonné ce matin le chauffeur routier. Lindsay, qui connaissait bien cette ville, savait que Patrick Gallaway était un chasseur, et qu’il avait, chez lui, une carabine.

« Prenez votre arme, misérable larve, et allez du côté de l’armurerie, et abattez toute personne que vous verrez… Pour votre Reine et Déesse.
 -  O-Oui, Maîtresse… »

Comme possédé, l’homme alla chercher sa carabine, puis sortit rapidement. Lindsay laissa Sabrina entrer, puis entendit rapidement un premier coup de feu. Elle s’avança rapidement, puis fléchit les genoux au milieu du salon, offrant la vue de sa croupe à Sabrina.

« Sodomise-moi, ma chérie… Encule-moi fort… »
« Modifié: lundi 16 novembre 2015, 10:03:31 par Princesse Alice Korvander »


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