Apparemment, elle était d'accord avec lui : il fallait agir en très bonne intelligence… bon, alors autant collaborer. Il souit et regarda la jeune femme alors qu'elle commençait à parler de son époux, sans trop savoir pourquoi ni comment il se sentait concrné par sa réaction vis à vis des esclavagistes.. ; le soupçonnait-ele d'esclavage. Peut-être dirait-elle qu'elle payait tout le mond edepuis celui qui lui torchait le cul à celui qui lui servait son repas ? Étrangement il en doutait… mais il ne le dit pas. A quoi bon ! Il leva les yeux au ciel à la fin de cette phrase acvant qu'elle s'installait contre un mur pour parler. Il ne comprenait pas cette manièe qu'avaient les humains de s'arr$êter sur le passé, mais bon…
Il ne chercha pas à remettre sa tunique, restant torse nu, sa peau diaphane marquée de quelques cicatrices mais surtout marquée par une musculature bien marquée mais très sèche.Mais revenons en aux propos de la jeune femme alors qu'elle parlait de son ancien époux. Parler avec courtoisie, oui, ça il le faisait, il n'y avait pas de problème. Respecter chaque sujet, par contre qu'elle ne le fasse pas riree… on ne serspecte jamais tout le monde, le respecté tait quelque chose de difficile à gagner, et d'encore plus difficile à conserver, respecter tout le monde signifiait juste ne respecter vraiment personne.
Il comprenait fort bien la passion pour l'histoire et la littérature, on ne pouvait opas diriger un domaine et passer pour le dernier des incultes san devenir la risée… il trouvait cela très drôle en fait… enfin, il avait au moins la décence de ne pas être de cette trempe. Quant à savoir se battre si il était mort arme au poing, il avait une une belle mort… non, pardon, la mort n'était jamais belle. Il avait la mort qu'il avait mérité. Slade périrait, il s'en doutait, un jour comme ça aussui, mais cela ne l'inquiétait pas outre mesure.
À aucun moment il ne l'interrompity, restant silencieux tout du long, comme s'il n'avait rien à dire. Si, il avait moult choses à dire, difficile de le nhier, mais bon… il soupira alors qu'elle finissait. Vous savez ce qui est plus chiant que quelqu'un qui vous parle de queslqu'un dont, au fond, vous vous foutez particulièremen ? La même chose d'une voix atone… il soupira alors qu'elle terminait. À lui de dire ce qu'il en pensait.
« Non, je n'en ai pas assez, s'il faut que je le remplace même temporairement, il me faut ses habitudes, ses tics compotrtementaux, ce qu le mettait en colère, ses défauts. Qu'il vous frappait est peyut êyre le seul possible défaut que j'ai entendu, quoiqu'il ne colle pas avec le reste du personnage. Ussi, je suppose qu'il ne s'agit que d'une histoire df'une fois qui est restée en travers de la gore, soit vous me racontez des salades, dans les deux cas, je crains d'avoir besloin de plus... »
Oui, certaines choses étaient… étranges pour le moins, trouvait-il.
« Je n'ai jamais demandé le tableau parfait, je veux la réaluité, et nulmle trace d'hypocrisie… car je suppose que si vous avez horreur de l'escavage, bvous avez des servants, des servantes, des domestiques qui obéissent quand vous ordonnez. En quoi est-ce différent d'un esclave alors qu'il n'y a pas une goutte d'eau à des centaines de kilomètres à la ronde ? Au fond ce ne sont que des esclaves que vous refusez d'appeler ainsi… alors cessez ces histoires avec moi. Vous aurez mon respect si je sens que cela eut être récioquue… et ça passe par l'absence d'aneries de ce genre… soyez honnête, je le serai. »
Oui, il fallait régler ce genre de détilms de suite, pour une question de tranquilité par la suite.
« Oui, je pratique l'esclavage, j'estime qu'une race inférieure peut être dressée et domptée au même titre que l'on dresse et l'on dompte des chevaux ou des dromadaires. Traitez vous les animaux comme votre égal ? J'en doute… et le simple de fait de devoir m'incliner devant vous montre qu'au fond, vous faites comme moi, mais que vous l'appelez différemment. Je ne critique en rien vos mœurs, ils vous sont propre… alors ne parlez pas des mieens, nous éviterons les disputes inutiles ainsi… sachez juste que ma reine a le droit de vie et de mort sur notre peuple car c'est ainsi que cela fondtionne depuis les prémices de celui-ci. C'est notre coutume, notre tradition. Nje n'abjurerai pas ce en quoi je crois, ni ce que je vis pour vos bveaux hyeux. Inutile de reparler de l'esclavage. Je ne le mettrai pas sur le tapis, et vous non plus. Comme ça, nul énervement, et nul problème pour le rituel… vous avez vos opinions et moi les miennes. Un point c'est tout. »
Puis il sourit, aimable.
« Maintenant que cela est dit, revenons à votre mari. Vous donnait-il des surnoms ? Et qu'entendez-vous parler avec courtoisie ? Qu'appelez vous le resect qu'il avait pour tout le monde ? Je veux comprendre pour être le plus fidèle possible... »
Puis finalement. Il rajouta.
« Et j'aurai aussi besoin de vous connaître, comme un épou connaît son épouse, mais du peu que j'ai pu comprendre je sais déjà uen chose… que je ne veux pas êtyre dans la même pièce que vous et astrid… vous emblez toutes les deux avoir un fort caractère… et je crains de me retrouver à subir vos foudres ensemble… généralement, avec Astrid nos problèmes se règlnt une lame à la main dans un duel… j'espère ne pas avoir besoin d'en arriver là avec vous… en tout cas, j'ai une idée, et si vous me parliez de tout cela pendant un petit entrainement au maniement d'une arme, celle de votre choix. »