Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le retrait de vêtement sur la place publique ça coûte cher [PV Votre Honneur]

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Hinata Naru

E.S.P.er

Hinata venait de passer une bonne heure dans une cellule. La raison de cette mise en garde à vu ? Exhibitionisme, le racolage n'ayant pas été retenu faute de preuve permettant. La magicienne trouvait cependant cette situation très excitante, combien de fois elle avait fantasmé sur le fait de se retrouver derrière les barreau avec des colocataires entreprenants. Mais elle ne comptait pas finir tout de suite en prison, non cela engendrerait tellement de problème.

Tout avait débuté à l'appel d'un couple, qui désirait pimenter un peu leurs ébats en offrant à la lycéenne l'opportunité de se faire un peu d'argent de poche. Si la première partie fut clairement dans un lit, il n'en restait pas moins la seconde partie qui était purement une scène d'exhibition.

Le couple vint donc à choisir la tenue dans laquelle la magicienne irait s'exhiber. Bien sûr il avait été convenu que la moitié de la somme soit débité sur son compte, sous son regard et que la seconde partie soit versée une fois la scène réalisée. Le duo vint à donner à Hinata une minijupe moulante noire, ainsi qu'une veste jaune en laine, sans manche, avec un zip pouvant descendre sous la poitrine, bien pratique pour montrer ses seins sans pour autant tout retirer.

Une fois prête, elle enfila en plus une paire d'espadrille et vint à se positionner là où aurait lieu la scène, le couple se plaçant à différents endroit pour filmer le tout. Hinata commença son strip-tease en public, attirant les regards de tous y comprit d'une camarade qui vint à photographier la brune avant d'appeler les policiers.

Cinq minutes plus tard, alors qu'elle avait bien avancé dans son effeuillage, deux agents de l'ordre vinrent à venir et demandèrent à la demoiselle de bien vouloir se revêtir, puis de les suivre au poste de police. La mère de la lycéenne fut convoquée, cette dernière n'eut cependant la force d'aller voir sa fille. Hinata vint à l'appeler en la rassurant, en disant qu'elle n'avait rien à se reprocher et qu'elle était assez grande pour savoir ce qu'elle faisait, impliquant aussi les sanctions.

La lycéenne devint très combative lors de l'interrogatoire. Tout d'abord, elle ne cracha pas les noms du couple, la raison étant qu'elle avait touché une partie de la somme et que cela ruinerait d'autres propositions amusante. Elle vint donc à inventer le motif qu'elle désirait faire cela une fois, plus pour braver le tabou que réellement choquer les autres, rajoutant par la suite que des hommes et des femmes avaient même apprécier le spectacle. Hinata prit donc le choix de faire passer ça pour une petite erreur et l'envie de faire un spectacle qui n'aurait pas mené bien loin, même si elle était consciente qu'elle aurait put se faire violer.

Au bout d'une heure au frais, Hinata fut conduite jusqu'à l'immense salle où allait commencer le jugement de celle qui avait enfreint la loi. Hinata n'avait jamais été jugée jusqu'à maintenant et espérait que son casier vierge et ses dires allaient minimiser sa peine, mais rien n'était encore jouer. De toute manière elle ne pouvait qu'écouter le juge, pour le moment en tout cas.

Barara

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Barara demande les dossiers à Sayuri et le regarde attentivement. Il a été convoqué pour une affaire sur Terre. Selon le rapport des enquêteurs une fille faisait un spectacle de rue un peu particulier. Elle était en petite tenue et offrait un strip-tease pour le moins plaisant aux yeux des passants lambdas. Toutefois des policiers sont venus arrêté la jeune lycéenne et après avoir passer un peu de temps en garde à vue s'est retrouvée au tribunal.   Il prend son classeur sous le bras et se rend donc dans la salle d'audience avec sa secrétaire. Il prend place sur sa chaise principale alors que celle-ci reste en retrait pour assister au procès et apporter les choses nécessaires au bon déroulement de l'enquête. Le juge prend alors une tonalité de voix pour se faire entendre.    

-Le procès peut commencé, faites entrer l'accusée.  

Une jeune fille menottée selon la procédure se tient donc devant le petit autel en bois ou elle sera jugé. Barara lui à une main tranquillement appuyée sur sa joue gauche et regarde la salle se mettre en œuvre pour débuter le procès. Une fois la jeune fille libérée, il prend à nouveau la parole. Elle n'a pas d'avocat et il n'y a qu'un seul parti. Ce procès promet d'être rapide. Il donne la parole à la procureur chargée d'annoncer les faits.    

-Je laisse la parole au procureur. C'est à vous.  
-Merci votre honneur.    

La fille regarde donc Hinata Naru tout en regardant son dossier, comme pour avoir un résumé des enquêteurs. Afin de mettre tout au clair.  Elle  s’éclaircit la voix.  

-Mademoiselle Hinata Naru, vous êtes accusée d'avoir enfreint l'article 222-32 du code pénal.  Un cas d'exhibitionnisme sur la voie publique.  Vous êtes vous même une adolescente et des personnes ont portés plaintes contre vous photo à l'appui.  

Le procureur montre la preuve  au juge qui la regarde. Sans nul doute possible la photo est très claire. On y voit Hinata en train de faire son strip-tease avec les regards d'un peuple en tout genre. Enfants, grands, parents.  Il n' y a pas à dire elle attire tous les regards sur elle.  Barara repose la photo sur son bureau avant de dire d'une voix vive.  

-Preuve acceptée.    

La procureur reprend alors son discour afin de faire un peu la morale  à la jeune fille alors que quelque chose de bizarre se passe avec Barara sans que personne s'en aperçoive.  

-Pouvez, vous expliquer à la salle, pourquoi vous avez eu envie soudainement de faire des choses pareilles sur la voie publique ? Surtout devant des enfants... C'est vraiment très dangereux, vous avez eu de la chance que ça ne se limite qu'à cela.  

Le juge regarde la magicienne avec un sourire innocent en attendant la réponse de cette dernière. Oh bien sur il est au courant pour la transaction bancaire, car les enquêteurs ont vraiment bien faits leurs boulots, mais en fonction de sa réponse il pourrait soit, jouer en sa faveur, soit la  couler et lui donné une peine beaucoup plus lourde. Il lui adresse alors un message télépathique. Il boit sa bouteille d'eau petit à petit en attendant l'explication tout comme le reste de la salle.  

"Je sais pas à quoi tu as voulue jouer, mais tu t'est faite avoir."

La salle est relativement calme pour le moment, la salle est à son temps mort et la preuve ayant été soigneusement montrée et les faits expliqués ils attendant la défense de la jeune fille.    

-Je passe maintenant la parole à l'accusée.    

Hinata Naru

E.S.P.er

Hinata vint à observer la salle de jugement. C'était une première pour elle et contenait son amusement de voir que c'était un peu comme dans un jeu, mais aucun chance qu'un avocat de la défense cris ... OBJECTION ! Vu qu'elle n'avait pas d'avocat de la défense, il faut dire qu'elle n'avait pas les moyens de s'en payer un et était suffisamment intelligente pour savoir que si un avocat avait été commit d'office il n'aurait pas prit l'affaire au sérieux, mieux valait donc, selon elle, de défendre son bout de gras.

La jeune brune vint à se masser un peu les poignets, les menottes n'avaient pas été serrés trop fort, mais c'était plus un geste instinctif qu'un mouvement avec un véritable but. La jeune adolescente prit soin de bien se positionner, elle se savait en tord et prit soin d'écouter ce que la procureur avait à dire. Hinata ne put retenir un sourire nerveux en entendant qu'il y avait une preuve, elle ne cherchait pas à comprendre qui aurait put prendre une photo d'elle, cela pouvait être n'importe qui. Mieux valait pour la lycéenne de ne pas penser aux nombreuses personnes au sein même de l'établissement qui la détestait, tant pour être une "geek de la sorcellerie" qu'être une jeune adolescente qui ne se cachait pas de se mettre en valeur et d'aimer le sexe.

La procureur vint à demander des explications, alors que le message télépathique vint à rendre Hinata nerveuse d'un coups. Ayant cohabité avec la magie depuis toujours, elle avait clairement sentit la différence entre une simple pensée et une intrusion dans son esprit. La magicienne avait perçu le message comme une flèche se plantant dans son crâne, même s'il n'y avait pas de douleur. Elle vint à tourner légèrement la tête pour observer la salle, puis se concentra sur la procureur et la juge. La magicienne aurait mit ses yeux en jeu que la voix était celle du juge.  Un magicien ? Cela n'étonnait pas tellement la brune, si elle avait des capacités surnaturelle, pourquoi pas d'autre.

Elle vint à se détendre et prit une profonde inspiration avant de développer sa pensée.

- Nier les faits serait mentir, tout comme proférer un quelconque pardon envers les enfants ne serait qu’être une hypocrite, rien de plus. Il est vrai que j'aurais du mieux y réfléchir avec les commanditaires pour éviter que des enfants me voit, même si sur internet personnellement on voit pire et ce n'est pas le contrôle parental qui bloque les sites d'adultes.

Hinata posa sa main droite sur sa hanche, levant l'autre en laissant le coude contre son corps.

- Quand à la première question je ne mettrais pas le mot "soudainement". L'idée de m'exhiber en publique n'est pas une idée folle d'un coups, elle a été murement pensée, pas parfaitement j'en convient. Je savais que j'étais en infraction et comme dit plus tôt ne le nierais pas. Je ne cache pas qu'une partie de faire de l'exhibitionniste est d'enfreindre un tabou qui est assez risible quand on pense que lorsque l'on nait on ne porte pas de vêtement tout fait, mais cela n'est que mon point de vue sur la chose.

La brune vint à faire une petite pause avant d'enchainer.

- Pour ce qui est des risques sur ma personne, j'en avais conscience. Pour ce qui est du rapport de police je n'ai pas dit le fait sur les commanditaires, tout simplement car un contrat, qu'il soit écrit ou verbal est comme une promesse et selon moi une promesse se doit d'être tenue et protégée, incluant donc la préservation de leurs identités, même si c'est à cause de ce contrat que je suis ici présente. On ne peut m'accuser de mentir dans le rapport, car mentir aurait été par exemple d'inventer un motif quelconque, comme l'avoir fait sous la menace ou encore dire que j'étais possédée ou mieux sous l'emprise de drogue.   

La magicienne se doutait que son argumentation pouvait paraître soupçonneux, si c'était comme dans les jeux, ceux qui se défendaient le plus étaient généralement ceux qui avait le plus à cacher. Hinata cherchait surtout à savoir si elle pouvait copier ce pouvoir, mais ne pouvait à cet instant fermer les yeux pour essayer de fouiller dans la Grande Bibliothèque, même en faisant vite et essayant le rayon des pouvoirs mentaux, sous section Communication, elle ne pourrait pas trouver le livre avant qu'une autre question n'arrive. C'est pour cela que la brune gardait en tête de chercher les spécificités de la télépathie et comment s'en protéger magiquement.

Barara

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-Bien. Je laisse la parole au procureur.  

Le message du juge à fait son petit effet et la voila qui cherche à savoir d''ou vient la voix qu'elle a entendue. Pendant ce temps le juge  analyse la réponse de la jeune fille, ainsi donc elle avait menti aux enquêteurs ? C'est un moins pour elle, car il ne pourra pas ignorer cette étape.   Le juge,  examine donc ses dossiers et regarde la jeune demoiselle. Il allait falloir discuter de la sentence, car ce procès allait vite être bouclé. Il range sa feuille tranquillement dans son classeur tout maintenant son regard.  La procureur reprend la parole d'un air un petit peu hautain par rapport à la jeune fille en haussant même un petit sourcil.  

-Vous avez donc menti aux enquêteurs, mais si vous avez envie de vous montrer nue au public vous savez qu'il existe des zones pour les nudistes prévus pour justement ne pas choquer les gens.  

Elle regarde la jeune fille avec un regard tendu histoire de bien lui rappeler sa position. Ce qui n'est pas du tout le cas du juge il prend ça avec un sourire en coin et calmement contrairement à cette excitée, qu'est la procureur.  Elle finit par ouvrir la bouche pour sortir une autre phrase qui fait monter la température dans la salle, mais elle a quand même raison.  

-Un contrat peu servir de preuve vous savez ? Même un journal intime peu servir de pièces à convictions. Alors que ce soit intime ou non. Si il y a contrat il aurait fallut le dire à la justice. Je n'ai plus rien à ajouter.  

Elle regarde alors le juge qui se lève de son siège.  Peu banal comme costard, mais qu'importe. Puisque la procureur n'a plus rien à dire la concernant, c'est à présent aux juges de décider de son sort.  

-Je prends la suite du procès.  Nous allons délibérer.    

Il se dirige avec les deux autres juges dans une pièce à part tendit que sa secrétaire elle reste dans la salle. Le procès est éclair, mais il n y a pas d'avocat pour venir foutre le bordel, alors ils délibèrent pendant environ dix minutes. Ce qui laisse le temps à la secrétaire du juge de maintenir le calme dans la salle et de ranger les dossiers. Monsieur barara fini par revenir avec ses collègues et se rassoit lorsque le temps est écoulé.   Toutefois le juge va se montrer sympa vu qu'elle a dit la vérité et qu'elle n'a pas chercher à se défiler.  Il aime les gens honnêtes.    

-Bien, nous avons délibérer et vous serez condamnée à....   1 an d'emprisonnement  avec une somme de 15 000 yen à payer à la justice.    

Le juge prend donc son coup de marteau  et d'un geste montrant son autorité il fait tomber la sentence sur le petit carré de bois posé sur son bureau. Cela résonne bien dans la salle et il tamponne donc une feuille qu'on lui fait passer, puis la redonne à la dite personne pour finaliser le procès.   Il allait avoir tout le temps nécessaire pour faire parler la jeune fille et obtenir les noms des commanditaires,  car c'est impardonnable de faire condamner une jeune fille à leurs places même dans le cadre d'un jeu. Il se dirige donc vers le couloir alors qu'on replace des menottes à la fille et qu''on l'emmène elle aussi dans les couloirs.  Ils quittent donc tous les deux la salle ! Et ce dernier s'empresse d'aller parler à la jeune fille.  

-Il faut qu'on parle toi et moi.  Monsieur les policiers vous pouvez nous laisser seuls.  

Les policiers laissent donc le juge tout seul avec la fille et il l'emmène à son bureau. Gardé par deux policiers pour pas que la criminelle s'échappe. Il lui tire une chaise et la fait s''assoir.  Puis passe derrière son bureau et s'assoit aussi confortablement.  

-Bien, les faits sont la, maintenant je te propose un deal. Comme je pense que tu n'a pas envie d'aller en prison pendant 1 an je te propose une liberté conditionnée. En échange de tes services bien sur. Je t'offre donc une chance de te racheter. Si tu ne la prends pas je laisserais les policiers t'emmener en taule.

Cela avait le mérite d'être très clair, mais pour lui c'était tout ou rien. Ou bien il aidait la jeune fille à payer sa dette et  à bosser. Ou bien elle moisirait en prison. Il lui propose également autre chose, car ce n'est quand même pas de chance.  

-A la fin, je te propose un procès contre tes commanditaires pour les faire condamnés. Tu dois bien leurs en vouloir de ta situation n'est-ce pas ? Ce sera ta parole contre la-leurs et les avocats.  Accepte tu le marché ?  

Il lui tend une main, alors que sa secrétaire entre et libère la jeune fille.  C'est une opportunité de se racheter et de débuter une nouvelle vie dans le droit chemin qu'il lui offre. Il n'est jamais convoqué pour des affaires comme ça d'habitude.  
« Modifié: mardi 16 juin 2015, 23:00:49 par Barara »

Hinata Naru

E.S.P.er

Aïe ! Hinata aurait sans doute dû dire qu'elle savait qu'il existait des endroits pour nudiste, mais l'idée ne l'avait pas effleuré, la mettant de ce fait dans uns posture délicate, sans émettre l'avis du procureur qui était qu'elle avait menti, mais selon  la jeune magicienne ce n'était pas un mensonge, mais un omission, volontaire certes, mais pas un mensonge. La lycéenne avait souvent une autre approche des mots, des fois très ancienne, d'autre fois clairement personnelle.

Elle ne répondit pas à l'histoire qu'un contrat était une preuve au tribunal, Hinata retenait un petit rire en s'imaginant apporter un démon dans la salle si elle avait fait un contrat démoniaque avec une entité des Enfer, la procureur aurait certainement était moins hautaine. La jeune magicienne savait que cela ne servait à rien de frapper l'égo des autres avec des mots, ces derniers étant le plus souvent insensible à ce genre de riposte. Pour Hinata un contrat, une promesse était comme à une époque où l'on pensait que signer un contrat avec son sang liait l'âme au contrat et que sa rupture causait la mort du fautif. La magicienne était une passionnée de la magie et dans la magie la promesse est une chose essentielle.

L'humaine n'avait pas grand espoir de s'en sortir indemne, son petit doigt lui disait qu'elle n'allait pas s'en sortir sans perdre quelques plumes. Elle attendit les délibération, observant tranquillement la secrétaire, son regard ne pouvait quitter cette jeune femme qui devait être une lycéenne à temps partiel, interdit selon le règlement, mais fait pas bon nombre d'étudiants. Hinata ne pouvait dire pourquoi mais la secrétaire avait un quelque chose qui émanait d'elle, un quelque chose qui la différenciait des autres élèves, mais elle n'eus pas le temps de se pencher plus sur la question que déjà le juge revenait.

La sanction vint à tomber, un an de prison et une jolie amende. Sa mère allait certainement pleurer, mais Hinata ne comptait pas la laisser s'endetter pour elle, elle avait fait une bêtise, elle assumerait jusqu'au bout. L'annonce ne l'avait pas ébranlé, elle s'était préparé à ce cas de figure, ce qui pouvait la rendre plus suspecte, mais c'est ainsi qu'elle a évité les pièges les plus grossiers.  Elle fut conduite hors de la salle de jugement et fut abordée par le juge quelques minutes plus tard. Elle suivit le juge jusqu'à son bureau, anticipant un peu le fait de s'asseoir en jouant avec son corps, vu que ses mains étaient attaché dans le dos, donc peu pratique pour se réceptionner sur une chaise.

Hinata ne pouvait retenir un sourire en entendant le juge proposer un marché pour éviter qu'elle n'aille en prison. C'était amusant, vraiment amusant, pourquoi dire non à une situation qui se promettait d'être riche en émotion. Aussi vint-elle à parler au moment où la secrétaire faisait son entrée, étant un évènement qu'elle n'avait pas anticipé, mais lancé comme elle était, elle n'allait pas s'arrêter. 

- J'avoue qu'aller en prison et payer une amende salée ne me plait pas beaucoup, quand aux services je sait faire un peu de tout, mais je suis surtout efficace quand je m'amuse. Pour ce qui est des commanditaires, je pense qu'ils ont de quoi se payer un bon avocat, cela n'empêchera pas que des choses anomales peuvent se produire et chambouler un peu leur train trains quotidiens, sans menacer leurs vies, comme le fait d'entendre des voix.

La magicienne avait bien insister sur la dernière phrase, voulant souligner qu'elle savait que c'était lui celui qui murmurait à l'oreille d'une magicienne. Elle attendit que ses mains soient libre pour saisir la main et conclure le contrat de cette manière en disant.

- J'accepte votre marché, même s'il n'y a eu aucune discussion sur la durée et la nature des services, tant que je reste en vie et m'amuse le reste m'importe guère.

Hinata supposait que cette personne pouvait aussi très bien être une connaissance de la Grande Bibliothèque et donc misait sur le fait de connaître sa véritable identité plus tard, la magie et tout ce qui tourne autour ne doit pas être trop proche d'oreilles novice qui n'y comprendrait qu'un délire.

Barara

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Le juge sourit alors en entendant le discours de la jeune fille.  Ainsi donc, elle était persuadée qu'elle ne pourrait pas se payer un avocat après le boulot qu'il lui proposait ?  Non seulement elle pourrait s'offrir un avocat, mais en plus elle aura de solides arguments contre ses commanditaires.  Le fait qu'elle insiste également sur le fait d'entendre des voix montre qu'elle a bien reçue le message télépathique du juge. A cela il sourit de plus belle et ne peut s'empêcher de répondre.   

-On n'est pas Jeanne d'Arc. Alors la seule explication logique est que nous soyons tous les trois des magiciens.   

La secrétaire se retourne en lançant un petit regard noir au juge, puis lui fait un doigt et celui-ci sourit de  plus belle. Il sert alors la main de la jeune fille qui accepte son marché.  Elle ne sait pas vraiment combien de temps elle va devoir, travailler pour lui, mais cela semble pourtant évident. Le juge s'est montré sympa, il a réduit sa peine par deux déjà. Elle aurait pu se prendre 30 000 yen et 2 ans de prison pour son acte, mais comme elle a dit la vérité il a alléger la peine de la coupable. Suite à sa future déclaration.   

-Je vais envoyer de suite un rapport aux personnes concernées.     

Le voila qui sors une feuille blanche et écrit sur sa feuille au stylo plume pendant que la secrétaire vient voir la jeune fille et s'assoit sur le bureau en la regardant de plus près. Avec un regard assez calme comme, pour observer Hinata dans ses moindres détails.  Puis elle se lève et va sortir avertir les policiers.

-Vous pouvez partir.   
-Partir ? Mais... Et la fille ?   
-Le juge s'en occupe.   
-Bon... très bien, mais si on a des ennuis cela se retournera contre vous.   
-Oui, oui....  On envoie un rapport vous en faites pas. 
-Ok. Bon tu viens collègue ? On se tire.   

Les deux policiers partent donc et laissent le bureau sans surveillance. Le juge donne le rapport à la secrétaire et elle va le donner aux bonnes personnes afin de modifier le verdict de la jeune fille, puis reviens à l'intérieur.  Alors que Barara regarde tranquillement Hinata.   

-Je m'appelle  Barara Ven.  Tu peux m'appeller Barara si tu veux. Maintenant que les protocoles sont terminés on peut se divertir un petit peu.  Ma secrétaire se nomme...
-Sayuri Kusano.   

Le juge regarde donc Hinata calmement alors que Sayuri s'adosse contre le mur en attendant la suite des évènements.     Le juge reprend donc la parole. 

-Comme tu as pu le remarquer on est des mages très puissant. Tu as des questions ?   

Le juge marque un temps de pause avant de répondre à des questions. En vrai il a arrangé certaines choses, mais il ne lui dit bien évidemment pas.   

-Pour la durée et bien, comme  le mandat est d'un an... Je pense que cela répond à ta question. Pour les avocats, tu pourra t'en offrir un facilement après crois moi.   

Hinata Naru

E.S.P.er

Hinata vint à pousse un petit rire en entendant le juge dire qu'ils étaient tout les trois des magiciens, voulant dissiper aux oreilles des autres ce qu'elle avait comprit. Selon elle Barara et son assistante était tout deux des pratiquants de la magie, bien qu'elle ne comprenait pas pourquoi Sayuri vint à brandir n bien joli majeur vers le ciel, sans doute avait-elle un quelconque complexe magique, après tout dans la Grande Bibliothèque, il y avait des puristes croyant que la magie est lié à l'ancienneté de la famille magicienne.  La jeune lycéenne ne fit aucun geste quand l'assistante vint à l'observer avec insistance, comme pour déceler quelque chose, Hinata se demandait si elle pouvait voir des chose en plus, mais n'allait pas poser de question pour le moment. Elle vint simplement à sourire à cette jeune femme qui devait avoir son âge.

Ce fut le temps des présentation, ayant le nom et le prénom du juge, mais aussi de l'assistante, c'était un joli prénom d'ailleurs, mais elle continuait d'écouter les dire de Barara, pendant que son regard vint subrepticement vers Sayuri qui semblait prendre un peu ses distance, mal aise ou avait-elle quelque chose que la compagne de Barara n'aime pas ? La jeune magicienne eut le droit à un temps de question, ayant déjà la réponse sur le temps du contrat.  Hinata vint à avoir un visage innocent et s'approcha de Barara avant de faire une petite courbette.

- Nous somme donc lié par le contrat pendant une année entière. Cela me convient parfaitement. Puisque vous me laissez poser des questions je souhaiterais le rendre plus clair à mes yeux. Quel genre de service attendez-vous de moi ? Vous  et Sayuri vous désignez comme magicien, mais quel est votre spécialité, pour mon cas je possède les Yeux de Magie, de ce fait j'ai une mémoire parfaite ainsi que la capacité de pouvoir copier la mage visible. C'est pour cela que je ne peux copier votre magie télépathique, sauf si je l'étudie dans des livre et m'y exerce. Je préfère vous prévenir que je ne vous donnerais pas mes yeux.

Hinata supposait que Barara avait entendu parlé de cette mutation magique, cette mutation qui n'est rien d'autre qu'une concentration excessive de circuit où circule la magie. Certaines créatures victime de cette mutation pouvaient par exemple voir les points faible de toute chose, d'autres pouvaient distordre l'espace. Il s'agissait d'une capacité rare, à la fois admirée et crainte.

- L'une des magies que je maîtrise le plus est l'imitation.

En un clignement d'oeil, il y avait deux Sayuri, Hinata prenant le même expression que l'originale en parlant avec la vois de Sayuri.

- C'est assez facile, mais je ne copie que l'apparence et la voix.

La jeune magicienne reprit sa forme.

- Comme je ne sais pas si vous êtes humain de base, je me base sur l'apparence, donc à supposé que ... Un exemple ... Voilà. Supposons que Sayuri soit un démon ou un ange, je ne pourrais pas copier ses spécificité sans voir sa vraie forme. Je ne copie pas la mémoire, donc il est facile de me confondre en me faisant passer un interrogatoire.  Cette apparence est l'originale, ayant tout de même trois autres apparence dans le cas où je dois utiliser la magie et ne veut pas me faire prendre.

Hinata ne semblait pas s'arrêter de parler, quand on parlait de magie elle était un vrai moulin à parole, si bien que cela devenait des fois pénible d'entendre une gamine piailler magie par ci  magie par là.




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