Il pensait qu'elle allait venir s'habiller dans la chambre, comme les premières fois. Si bien qu'il fut étonné de ne pas la voir venir de suite. Que faisait-elle ? Il se le demandait bien. Elle hésitait ? Elle changeait d'avis ? Non, ça n'était pas très cohérent. Sa main frôla sur le lit ce qui semblait être la culotte de sa modèle. A voir l'état de cette dernière, elle était déjà excitée avant même les essayages. Elle avait bien caché son jeu à ce moment là.
Il attrapa le bout de tissu, fixant la tâche qui auréolait le fond, symbole du plaisir déjà ressenti, quand elle franchit la porte dans une nouvelle tenue. C'était donc ça, elle avait pris le temps de changer de tenue afin de venir le voir déjà habillée. Elle avait mis une tenue de militaire plutôt sexy. Le contraste était amusant, car elle n'avait ni la carrure ni l'autorité d'une militaire. Néanmoins la tenue en elle même lui allait comme un gant et la mettait agréablement en valeur. Pendant quelques secondes, Pete resta immobile à la fixer, avant de se relever. Il la dominait de plus d'une tête, et lorgna un instant vers la poitrine engoncée dans la brassière. A voir le tissu, il avait l'impression qu'elle ne portait pas de soutien gorge là dessous. Il la contourna lentement, l'observant comme un objet, sous toutes les coutures. S'arrêtant derrière elle, il prit une photo de sa chute de rein où le string apparaissait clairement.
Tu as bon goût.
Il parlait de la tenue, mais elle pouvait tout aussi bien penser qu'il la trouvait à son goût à lui. Levant une main, il saisit le string dépassant et tira dessus, le remontant et par là même enfonçant la partie centrale dans l'abricot trempée de la jeune femme. Le sous vêtement dépassait à présent largement, jusqu'au dessus des hanches.
Je suis sûr qu'il est trempé comme ta culotte ...
Un bruit de fermeture éclaire parviendra aux oreilles d'Anaé, alors que Pete ouvrait son pantalon. Il restait dans son dos, la privant de la vision de ce qu'il faisait : il déballa sa queue hors du caleçon et du pantalon, le membre épais venant frôler les fesses de la demoiselle contre le short. Lentement, il fit un pas en avant, immisçant le pal de chair entre les cuisses de la demoiselle. La queue par sa taille en vint à dépasser devant, laissant deviner à Anaé le gland tendu et violacé. Le torse contre le dos de la modèle, Pete se délectait de ce qu'il ressentait. Il abandonna son appareil afin d'avoir les deux mains libres, et les remonta sur la poitrine d'Anaé. Palpant au travers du tissu, il tira ce dernier, le malmena pour faire jaillir les seins par au dessus, déformant la brassière pour son bon plaisir. De par sa position, il apercevait la poitrine imposante et désormais à nue.
Je crois qu'en fait, tu n'auras pas grand chose à faire pour que je craque.
Il partit d'un rire léger en disant ces mots. Pourtant, comme auparavant, il se déroba du contact de la jeune femme. Otant sa queue d'entre ses cuisses il se recula, afin de retrouver sa place sur le lit. En position assise, les jambes écartées, elle avait tout loisir d'observer sa queue à présent à nue et caressée par de lents vas et viens par la main de Pete. Il fixait la demoiselle avec un air de défi. Allait-elle se contrôler et assurer le déshabillage comme il l'avait demandé au début, ou bien vouloir le sentir près d'elle encore ?