Plan de Terra > Prison Eternum

Une succube saoul derrière les barreaux. [ PV peut être reservé]

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Kiniro:
Je vit un sentier, une sentier de cerisier en fleur. Ma mère était derrière moi et me disait d'attendre, que cela pourrai être dangereux d'être séparées, mais je m'amusait trop. Je sentit une main me prendre par le col et là je vit un monstre qui me disait bonjour avec un sourire malsain.

Je me réveilla en sueur, la main droite sur mon front en regardant mes pied. Je senti un courant d'air et mon lit était dure. Je regarda autour de moi encore paniquée par mon cauchemar, non ce n'était pas un cauchemar, je m'en rappelait trop bien. C'était un souvenir. Le lieux était sombre et je vit des barreaux, dès cette instant je porta mes mains à mes oreilles, les boucles d'oreilles étaient encore là.

Je poussa un soupir de soulagement, dire que ces bijoux contiennent tous mes souvenirs et ceux que je me ferais. Je me leva et fit une récapitulation de ce qui venait de se passer.

- J'ai eut mes souvenirs, je suis allée boire et là …

je poussa un soupir de frustration.

- La seule solution pour que je me trouve dans cette prison, c'est que j'ai blessée des mec de bar et qu'ils ont appelés les flics. L'important c'est que j'ai mes boucles d'oreille, ma robe japonaise et ma sacoche.

Les policier semblaient m'avoir mit sans prendre le temps de faire quoi que se soit. Une migraine me transperçait le crâne et oui la gueule de bois du lendemains me touchais aussi. Je sortie de quoi crocheter la serrure, mais cela ne servit à rien. Elle était plus compliquée que les menottes. Je renifla  un de mes avant bras, elle puait les vapeur d'alcools. J'avais vraiment du dépasser la dose conseillées à boire. Je m'assit les cuisse sur mes fesses, ferma les yeux et réfléchit à la manière de sortir de ce lieu désagréable.

-Je peut sortir en tordant les barreaux de cette cage, mais il faudra miser sur l'hypnose pour sortir, la deuxième solution est d'attendre que quelqu'un viennent, mes esclaves ne pourront pas rentrer et serais capturés, ça ils le savent. Il vaudrait une personne  extérieur, qui ne me connaisse pas.

N'ayant pas envie d'attendre, je prit la décision de me barrer, le fer ne fit pas le poids face à la force des lianes, je sortie et me dirigea vers ce  qui me sembla être la sortie, en faite ce fut un cul-de-sac.

Je sentit la présence de quelqu'un et ce fut à ce moment que j'eus un flash de souvenir m'obligeant à appuyer mon corps contre un mur.   

Sinclaire:
Tout au bout du couloir, la succube entendit juste un "boum" assourdi, de loin. Ce n'était que les trompettes qui annoncaient une arrivée plutôt innattendue.

Une autre explosion, une autre encore. Un grand tumulte s'était emparé de certains couloirs, les prisonniers semblaient surexcités, mais on ne savait pas si c'était de la peur, de la colère ou de la joie, avec tous les piaillements simultanés. Evidemment, c'était encore loin, on ne pouvait pas dire que la source de leur énervement était proche.

Seulement, elle avait tout intérêt à passer au peigne fin cette prison, parce qu'un fameux magot l'attendait. Sinclaire passait en revue chaque cellule, mais ne trouvait pas ce qui lui fallait. De plus, les gardes et le système de sécurité étaient plutôt étrange, quelque chose de jamais vu, probablement dû au royaume innaccessible de cette partie du continent, que peu de natifs de sa région ont déjà vu, rien que de loin.

Mais ce royaume ne figurait pas sur sa liste de tâche d'aujourd'hui, loin de là. Elle devait retrouver un vieillard croupissant, qu'elle savait pertinemment en possession d'une vieille clé pour ouvrir des portes vers des richesses à présent jamais égalées. Et elle trouverait ce croulant, coûte que coûte...

Encore des explosions. Les briques volaient, la fumée emplissait les couloirs faisant tousser la capitaine et 3 hommes de son équipage, et les détonations continuèrent, causant de plus en plus de tumulte dans les cellules. Mais finalement, non loin du couloir où venait de s'échapper Succubus, on entendit une voix de femme s'exclamer.

- Enfin je te trouve, vieux sénile ! Tu croyais que tu allais avoir la paix, à croupir dans cette prison ?

Une autre voix, celle d'un vieil homme au ton tremblotant probablement à cause de la sous-nutrition de toutes ces années l'ayant rendu chétif et faible...

- N-non... Comment tu as su que j'étais ici, hein ?...

- C'est ton second, pour quelques pierres il m'as dit où tu planquais la clé. Alors tu va me la donner tout de suite, vieux shnock, ou je te le prendrai par la force. Je vais être sympa avec toi si tu coopères: tu me donnes la clé, et je te libère. "

- J'ai aucune garantie de...

- LA FERME ! Soit tu me donnes la clé, soit je te laisse croupir ici pour le restant de tes jours, il me semble qu'ils DÉTESTENT ceux qui tentent de s'évader, non ?

- Ca va, ça va...

- Comme promis, je vais te libérer. Tu me connais: je n'ai qu'une parole...

On put voir la silhouette du capitaine dégainer son sabre, et le passer à travers les barreaux. Vu le son, elle avait bien touché la cible, empalée sur son arme.

- Je t'ai bien libéré, mais je n'ai pas dit que j'allais ouvrir la porte... Hi hi hi... Bon, voyons voir si il n'y as rien de ce côté...

Quelques pas qui se rapprochent...Un cul de sac... Et un autre cul.

- Tiens, tiens, tiens, qu'est ce que nous avons là ? Ne serais-ce pas une petite fugitive qui as essayé de profiter du bordel que j'ai mis ici pour mettre les voiles ?

Sourire au lèvre, la capitaine s'approcha, sa queue remuant déjà de satisfaction. Une clé et une nouvelle esclave, que demander de plus ? Celle là ira directement dans ses petites favorites...

Kiniro:
J'entendis une vois féminine parler et un corps flou venir, le restant d'alcool combiné aux flash de souvenir ne me permettait pas de voir de qui il s'agissait. Mais il serait ma clé pour sortir de ce lieu. Je devais tous miser sur cette opportunité pour sortir, même si cela me coûterait mon corps, de toute façon je n'était pas en état pour combattre, seul l'intimidation par les mots pourrait marcher. Je me décala du mur, non sans mal et dit avec autant de franchise que mon états pouvait le permettre. De plus je n'aimais pas l'enfermement qui me causait une tremblement de mes membre, similaire à un états de peur.

- Je ne sais pas qui vous êtes, mais aidé moi à sortir de ce lieu sordide. Je m'appelle Nana de la Rosiaire, j'ai de quoi vous payer mon billet de sortie. Si ce sont des esclaves qu'il vous faut j'ai là aussi de quoi vous satisfaire, étant une esclavagiste je pourrait aussi vous en chercher à votre goût. Je ne demande qu'une chose, que vous me sortiez de cette énorme cage.

Je sortie de ma sacoche un joyau qui était un trésor à lui tous seul, dans les marché noir elle n'avait aucune valeur, tellement le prix aurait été élevé. Son éclat rivalisait avec celle de la lune, douce et apaisante.

- Voici un premier acompte de ma sortie.

Je voulut me diriger vers la personne et sentit mes jambes me lâcher, par réflexe mes ailes jaillirent et finirent de mettre en lambeau la robe japonaise dévoilant ma tenue habituelle (voir avatar). Je sentit à ce moment que cette personne avait une odeur reconnaissable. Celui de la chasseuse.

je me releva aussi vite que possible et me frappa l'arrière du crâne contre le mur, ce qui eut l'effet de chasser ma gueule de bois et d'arrêter le flot de souvenir, je pouvait dés à présent voir la personne à qui j'avais demandée mon aide. Je fut surprit de voit la terranide, une pirate au vue des deux zigoto qu'elle trimballait derrière elle. Je sentait le sang frais, en vit son sabre gouttant celui de sa victime.

Une pirate n'était pas facile à berner, aussi séduisante soit-elle. Mais je voulut tenter un coup de bluff.

- Je peut si vous le désirez chercher des informations sur des trésors de grande valeur.

En fait je n'avait aps de réseau assez fiable pour trouver ces soi disant trésors, mais il fallait avoir la confiance de cette pirate, peu importait le prix.

Sinclaire:
A la première impression, cette pauvre fille n'était qu'une paumée parmi tant d'autres dans cette prison, enfermée pour raison X et qui n'avait plus aucun garde qui ne soit pas monté dessus.

Mais la chair fraîche était bien cachée derrière ce déguisement de pauvresse. Et c'était bien cela qui avait alléché la pirate: trouver une dominante... D'habitude, elle n'avait ramassé que des adolescentes stupides et naïves ou des femmes aux foyer soumises et usées, que de l'usuel, rien de très intéressant sinon un corps encore sain et attirant.

Mais elle était différente. Ca se voyait. Quelque chose de terriblement intéressant sommeillait en elle, et la pirate brûlait de le savoir... Et si jamais son intuition était faussée, cette idiote paierait de sa vie d'avoir fait ainsi languir la capitaine pour rien.

- Une esclavagiste, hein ?... Terrrriblement intéressant, ça...

Elle ne fit qu'étouffer un petit rire nerveux causé par l'excitation d'avoir trouvé une telle poule aux oeufs d'or. Mais a la vue de la pierre précieuse, l'image de la poule se transforma aussitôt en corne d'abondance. Or et esclaves, tout ce qu'elle demandait, à portée de main et sur commande ! Grâce à elle, elle sera la femme la plus riche du monde... A pouvoir s'en bâtir un royaume pour elle toute seule !

- Un acompte ?! Eh bien...

Elle fis quelques pas rapide en avant, pour réceptionner la succube qui allait manquait de se casser le nez par terre... Ca aurait été bête de gâcher une perle pareille ! Autant elle que le joyau que la pirate venait d'extirper des mains de l'esclavagiste. De plus, la succube tenant visiblement une grosse couche, la trimballer sera encore plus simple.

- Ha, ha ! Pas la peine de me promettre des trésors, tu va tout d'abord m'offrir ceux que tu possèdes déjà, ensuite on en reparlera ! Allez, tout le monde à bord !

Elle empoigna bien fermement les poignets de Succubus, et la coinça dans son dos, pour lui éviter de faire des bêtises. Et ils retraversèrent les couloirs où jonchaient des briques explosées, des trous béants percés dans les murs à coup de dynamite. Direction: le Jolly Jack, navire de la Terranide.

Une fois sorti de prison, elle poussa Succubus sur la passerelle, arrivant droit sur le pont, et il remontèrent l'ancre une fois que tout le monde était à bord, le navire s'en allait, Succubus au milieu de la bande de flibustier, la capitaine regardait d'un air salace et avide la succube à sa merci.

- Tout d'abord, bienvenue sur mon navire, le Jolly Jack ! L'autre bonne nouvelle, c'est que tu es pour le moment invitée parmi mon charmant équipage. Alors essaie d'être polie avec eux, compris ? Règle numéro 2: ne pas se plaindre, je déteste ça. Et enfin: ne tente rien de stupide, parce que j'arrive toujours à faire payer ceux qui m'ont emmerdés. Est-ce bien compris, mademoiselle ... ?

Kiniro:
a terranide me prit les poignet et m'emmena hors du cette prison qui semblait avoir subit un bombardement intensif. Je monta sur le bateau et elle me laissa au milieu de ces compagnons de métier. J'écouta ce qu'elle dit et fit un  récapitulatif à voix haute, pour montrer que je n'était pas bête.

- Donc si je suis gentille, polie et que je ne fais pas de crasse tous ce passera bien. Ok. J'ai comprit, je me tiendrait tranquilles.

Ce que je ne dit pas c'était : pour l'instant. Je sentais qu'elle voulait s'amuser avec moi, mais le plus important c'était de cacher mes boucle d'oreille, sans que le mouvement ne soit perçut ni de la terranide, ni de son équipage. Je savait que les prendre ne causerai pas leur destruction, mais c'était mon trésor le plus précieux, et tant pis si je devais mourir pour les protéger.

L'air du large me fit un bien fou, je reprenait de mieux en mieux mes esprit, un des hommes voulut me toucher. Par pure réflexe je lui décocha un coup de pied verticale, l'envoyant s'étaler une mètre plus loin. J'eus un petit sourire, ils étaient nombreux et certainement entrainés. Ma victime se releva, le nez en sang et voulut m'embrocher, par rage certainement.

Je me glissa derrière lui et pointa son propre sabre sous sa gorge. Je m'approcha de ces oreilles et dit, de manière assez forte pour que tous le monde entendent.

- Ne crois pas que je ne sache pas me battre, petit vermisseau. Tu as de la chance que je doit être gentille et polie, sinon tu aurais dit bonjour à la dame avec la faux. Alors la prochaine fois demande, au lieu d'agir.

Pour l'équipage, la phrase voulait dire que je n'était pas une prisonnière qui se laissait faire, mais qui était prête à accepter pour peu que l'on demande. Je relâcha ma prise et en guise de remerciement me prit une baffe, me faisant rouler à terre jusqu'au mat que mon dos prit de plein fouet. Ils avaient décidés de m'énerver soit ils allaient être servit.

Je sortie de ma sacoche une fausse pièce en émeraude et le plaça devant mes yeux, ces abrutie mordirent à l'hameçon et se retrouvèrent tous hypnotisé, dès ce moment je leur fit faire le tour du bateau en imitant la poule. L'exercice était assez hilarant, mais je commença vite à m'épuiser, j'avais du mal à respirer. Il faut dire que je n'avait jamais hypnotisé autant de gens en une seule fois. Il ne firent que deux tour avant que je ne coupe le lien hypnotique. Je voulut sauter du pont mais mes mains m'arrêtèrent et je vit l'eau. A ce moment une vrais peur s'empara de moi.

J'avais peur de l'eau et donc je ne savait pas nager. Je me retourna et eut un douleur fulgurante au crâne, obligeant mon corps à s'écrouler de lui même, mes mains sur mon visage. Je revoyais le visage du monstre, puis du sang par terre, puis une tombe avec aucune inscription dessus. La terranide devait croire que j'avais une crise de folie ou d'hallucination .

Je resta à terre à bouger pour atténuer cette douleur. Je ne devait pas perdre espoir que tous mes souvenir reviennent, même si cela était d'une douleur insoutenable. Je sentit des mains me maitriser, et j'hurla en tentant de me débattre comme une démone, quelqu'un me bâillonna, sans doute que ma voix était trop bruyante à leurs oreilles.

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