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Rendez-vous professionnel [PV Szaalion IV]

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Mathilda De Cuprum

Rendez-vous professionnel [PV Szaalion IV]

jeudi 04 septembre 2014, 19:25:55

Mathilda arriva très tôt dans sa boutique ce matin là. Seuls quelques artisans étaient déjà sur place, ouvrants leurs ateliers, et préparant leurs vitrines, y plaçant leurs plus beaux produits, du bas de gamme au plus cher. Cependant, il devait bien rester deux bonnes heures, avant l'arrivée des premiers clients. Le quartier des inventeurs était divisé en plusieurs niveaux, les petits ouvriers étant en bas et les ingénieurs de la haute société, à laquelle appartenait Mathilda, dans les hauteurs. L'atelier de la jeune De Cuprum, bien que de taille moyenne, était pourtant coincé entre une horlogerie et un fabriquant d'armes à feu de moyens calibres.

Lorsque la rousse entra dans sa boutique, elle marqua un arrêt devant le désordre des lieux et lâcha un soupir de résignation. La veille, elle était restée tard après la fermeture et avait un peu débordée de son atelier pour se répondre dans la partie commerciale. Du coup, il y'avait des vis, des boulons et des engrenages, qui traînaient à même le sol. Il lui fallut bien une heure pour tout ranger et remettre un peu d'ordre, pendant laquelle son employée arriva comme une fleur. Une ado issu de la classe ouvrière et qui tenait la caisse, lorsqu'elle-même s'enfermait dans son atelier. Un bon moyen de gagner des sous, le temps pour elle de finir ses études.

Par la suite, elle s'enferma a nouveau dans son antre mécanique, fatras de tuyaux, de chaudières et d'altimètres. Son établit était coincé dans un coin, et l'atteindre relevait d'un véritable parcours du combattant. On pouvait également noter la présences de nombreuses étagères et de caisses, remplies de prototypes abandonnés, de pièces détachées ou de rechanges et d'outils. Au dessus de son établit et de la table a dessins, de nombreux plans étaient accrochés aux murs, les plus réussis, alors que les raturés eux, trainaient à même le sol. Au fond de la salle, trônait un siège de relaxation, modifié pour en faire une machine sexuelle, avec de nombreux pistons à vérins et quelques altimètres, la console de contrôle se trouvant sur l'un des accoudoirs.

Finalement, les premiers clients finirent par arriver. Certains entraient dans la boutique pour jeter un œil à quelques inventions farfelues ou utiles. Ici une boite à musique, là un automate tournant les page d'un livre par commande vocale, et même une machine permettant de dicter un rapport à un stylo, qui l'écrivait pour vous. Mais il fallait être dans le secret, afin d'accéder aux prototypes d'exosquelette, sur lesquels travaillait Mathilda. Ce fut d'ailleurs l'un de ces clients qui arriva dans la boutique de la miss, environs quatre heures après l'ouverture. L'adolescente qui tenait la caisse s'inclina profondément devant cette personne, avant de lui indiquer le chemin vers l'atelier de la propriétaire.

Lorsqu'il entra, il put se rendre compte, à travers la machinerie de la salle, que la rouquine était particulièrement concentrée sur un bras mécanique, bricolant le système de fabrication avec une aiguille qui envoyait des étincelles à chacun de ses contacts sur l'appareil. Mathilda était si concentrée sur sa tache, qu'elle ne remarqua absolument pas sa présence...
« Modifié: jeudi 04 septembre 2014, 19:51:18 par Mathilda De Cuprum »


       

Szaalion IV

Humain(e)

Re : Rendez-vous professionnel [PV Szaalion IV]

Réponse 1 vendredi 05 septembre 2014, 20:22:46

Aussi paradoxal que cela pouvait sembler, la seule chose que regrettais parfois de ne pas avoir Szaalion, c'était bel et bien le statut de simple citoyen. Diriger un empire puissant et prospère était une activité extrêmement chronophage lorsque l'on s'appliquait ardemment à la tâche et si il était une qualité qu'on ne pouvait ôter à l'empereur de Vapeur, c'était bien son acharnement à mener à bien toutes ses entreprises, qu'elles fûssent impériales ou privées. Son si précieux temps était tout dédié à la gestion des affaires de l'Empire et au bien-être de ses sujets, ce qui leur assurait un rendement bien meilleur que si ils avaient dut oeuvrer pour un pouvoir tyrannique. Szaalion se reposait ainsi peu, son piètre temps libre dépensé dans son atelier attitré ou dans les drpas de ses soeurs. Son harem, le noceur ne le visitait que trop peu -par manque de temps toujours, et pas d'appétit- et ses aventures à travers Terra à l'époque de son exil volontaire venaient parfois à lui manquer cruellement lorsque la charge de travail l'éprouvait trop.
Ses proches, spécialement Divine et Céleste ainsi que la belle Lune, savait lorsque leur empereur arrivait à un point de saturation trop prononcé. Et les femmes de s'associer pour tirer Szaalion hors de ses conseils ou de son bureau, ce qui n'était jamais sans prendre quelques jours.

Elles y arrivaient toujours, comme au début de cette semaine. Les soeurs du Lion avaient prit en main les affaires de leur frère et Lune avait sut habilement lui faire miroiter tout l'intérêt d'une visite anonyme en ville. Combien d'inventifs vaporéens n'avait-il pas encore rencontré ? Combien d'inventions fleuriraient dans les devantures des magasins ? Combien de plans inédits se trouveraient-ils chez les bouquinistes et les vendeurs à la sauvette ? Et quoi de mieux pour prendre la température d'un peuple que de s'y mêler ? Ces arguments et une pléthores d'excellents autres achevèrent de le convaincre  et c'est en secret par une porte du personnel de la Forge-Stellaire, siège de son pouvoir total, qu'il entreprit de jouer la fille de l'air. Lune le suivrait de loin en cas de soucis, mais l'Empereur avait prit soin de s'armer en plus d'adopter une tenue tout à fait banale. Ses cheveux étaient lissés dans un impeccable catogan tiré, ses yeux cachés derrière des bésicles aux verres fumés. Bien que son image fut loin d'être inconnue de l'Empire grâce aux nombreux tracts de propagande distribués de temps à autres, ces artifices suffiraient à lui accorder la tranquillité à laquelle il aspirait. Szaalion ne demandait qu'à flâner, après tout.

La journée était bien avancée et une bonne portion du quartiers des inventeurs laissée derrière lui quand l'empereur jeta son dévolu sur une nouvelle boutique. Il affectionnait de les visiter au hasard et celle-là ne faisait pas execption. Ses yeux filèrent sur la vitre un moment avant qu'il n'en passe la porte pour s'amuser des gadgets farfelus qui se trouvaient sur les étagères intérieures. Lorsqu'il tomba fortuitement sur le nom de la propriétaire, sa tête marcha pleinement et rapidement : le nom était celui d'une famille puissante, dont il savait la fille plutôt du genre à bricoler qu'à faire des affaires. On lui avait parlé d'un projet qu'elle voulait mener à bien pour le présenter à l'armée -idée séduisante mais dangereuse si elle ne se montrait pas à la hauteur des espérances suscitées, l'Empereur et ses généraux n'aimant pas perdre leur temps. A présent curieux d'en savoir plus, Szaalion se dirigea vers le comptoir. Une jeune femme le tenait, venant de repousser aimablement deux personnes qui voulaient s'entretenir avec la patronne. Alors qu'il demanda la même chose et qu'une réponse similaire était sur le point de fuser, l'impérial visiteur se contenta d'abaisser ses lunettes. La caissière n'eut aucun mal à le reconnaître et se répandit en excuses et en formules de politesse maladroites, que Szaalion préféra faire cesser d'un sourire se voulant rassurant et d'un index dressé sur les lèvres. N'ajoutant rien tandis que la jeunette hochait rapidement la tête, il disparut dans l'arrière-boutique.

L'homme ne se pressa pas, se laissant guider dans le dédale de tuyaux et d'engrenages par les sons familiers qui lui parvenaient de loin. Il se permit un regard ou deux sur quelques plans égarés, s'amusa du fouillis qui régnait là -un atelier trop ordonné étant signe d'improductivité selon les canons vaporéens, les ingénieurs affectaient de laisser un désordre abusif pour prouver qu'ils étaient travailleurs- et découvrit de derrière la tête rousse posée sur le corps presque juvénile. Pas ce qu'il préférait, mais loin d'être à l'encontre de son goût. Depuis combien de temps n'avait-il pas honoré une nouvelle ? L'envie crépita un peu en lui, vite supplantée par la curiosité quant à l'ouvrage qui absorbait tant la travailleuse.
Saisissant une clé d'assemblage qui traînait à terre, l'empereur en frappa l'un des tuyaux qui serpentait dans l'établi. Clong clong clong.


- D'après ce qu'on raconte, vous prépareriez un projet destiné aux armées impériales, dit-il sans avoir ôté ses lunettes et laissé filer son identité. Serait-il trop hardi de vous demander d'en dire plus ? Les rumeurs sont comme la poussière; elles sont partout et tout le monde en a chez lui, mais ce n'est pas grâce à elle que l'on continuera de faire voler la Mecanicae Imperium. Je m'assure donc que mes oreilles ne sont pas encombrées en venant vérifier les histoires à la source.

Sans trop de gêne (empereur ou pas, Szaalion n'en avait jamais vraiment eu) il se mit à avancer dans l'atelier comme pour le visiter mais évita soigneusement de s'attarder sur l'oeuvre de l'ingénieure. Il ne désirait qu'un exposé fait de sa bouche à elle et se réservait la surprise. En attendant, la chaise à vérins se révéla tout à fait digne d'intérêt et il en fit le tour avant de glisser un doigt sur l'un des cônes sexuels, curieux de savoir si il avait récemment servi. La réponse saurait le stimuler davantage, à défaut de peut-être le contenter.

- Tout cela m'a l'air diablement jouissif. Zeratull elle-même apprécierait de poser le séant sur pareille machine, j'en gagerai.

Mathilda De Cuprum

Re : Rendez-vous professionnel [PV Szaalion IV]

Réponse 2 dimanche 07 septembre 2014, 14:57:44

Lorsque Mathilda travaillait sur un de ses prototype d'exosquelette, surtout pour les bras, elle avait pour habitude de les enfiler. Cela pouvait paraître dangereux ou relever de l'inconscience, mais la jeune femme estimait qu'il était inutile de créer ce genre de chose, si au final cela faisait mal au porteur et se révélait impossible d'être utiliser confortablement. Habituée aux divers bruits de son atelier, elle ne sursauta pas lorsqu'elle entendit les coups dans la tuyauterie. Aussi se contenta t-elle de poser son outil et de relever ses lunettes en tournant la tête. Elle vit alors un séduisant jeune homme, qu'elle était persuadée d'avoir déjà croisée quelque part.

- D'après ce qu'on raconte, vous prépareriez un projet destiné aux armées impériales. Serait-il trop hardi de vous demander d'en dire plus ? Les rumeurs sont comme la poussière; elles sont partout et tout le monde en a chez lui, mais ce n'est pas grâce à elle que l'on continuera de faire voler la Mecanicae Imperium. Je m'assure donc que mes oreilles ne sont pas encombrées en venant vérifier les histoires à la source.

Mathilda afficha un léger sourire, laissant entre apercevoir de belle dents blanches. Depuis sa participation au concours, de nombreux artisans étaient au courant de son projet d'exosquelette, comme elle-même était au courant des projets des uns et des autres. C'était par respect envers eux qu'elle ne se lançait pas dans des projets similaires, et qu'eux même en faisaient autant à son égard. Et puis, la haute noblesse avait vu son invention à l'œuvre sur le moment, donc elle n'avait rien a cacher, à part peut être les composants en eux même.

- Les rumeurs ont souvent une part de vérité, savez-vous ? Il est effectivement vrai que je travail sur un projet d'armure exosquelette, mais s'il est vrai que je destine telle invention aux armées impériales, j'envisage également de la fournir en pièces indépendantes aux ouvrier, sous réserve que son Excellence ne l'autorise. Ces derniers pourront alors à l'avenir soulever de lourds engrenages à la seule force de leurs bras, plutôt que d'utiliser d'encombrantes grues. Quand aux soldats je vous laisse imaginer les armées de l'empire, avec des hommes jusqu'à cinq fois plus forts qu'à l'heure actuelle, capable de sauter également plus haut ou de repousser leurs ennemis avec la seule force de la vapeur.

C'était effectivement tout un programme, sur lequel la jeune femme avançait plutôt bien pour tout dire. Ces gantelets lui permettaient déjà de tordre des barres d'acier sans avoir jamais fait une seule séance de musculature, et ses bottes, de sauter jusqu'en haut des lampadaires sans avoir besoin de prendre d'élan. Le seul vrai soucis à l'heure actuelle, c'était que la consommation d'énergie était trop importante, et nécessitait de transporter un lourd boitier dans le dos de l'utilisateur. En d'autre termes, Mathilda travaillait actuellement sur un moyen de réduire cette réserve d'énergie, ainsi que sa consommation.

Plusieurs circuits tests étaient eux même étalés sur son établit, et deux grands parchemins présentait quelques schémas de conceptions. Pour l'heure, le plus probant était une représentation miniature du cycle de l'eau. Une fois chauffée via une Solsticium de chaleur, l'eau devenait vapeur et passait par un transpondeur, qui utilisait la vapeur pour générer de l'énergie, lui permettant de passer à travers un fil de cuivre, pour actionner l'engrenage principal. La vapeur elle, continuait son parcours jusqu'à se retrouver sur une plaque, qui amenait l'eau condensée jusqu'au réservoir. Le système fonctionnait ainsi en circuit fermé, sans pertes d'énergie. Le fil en question passant au niveau du réservoir d'eau, il était alors possible de s'en servir pour chauffer l'eau, sans utiliser la Solsticium. Cette dernière n'était donc utilisée que lors de l'activation de la machine.

Bien entendu, pour un exosquelette complet, il fallait plus de Solsticium, tout en rendant le générateur d'énergie plus compact. C'était la raison pour laquelle Mathilda n'avait pas encore présentée son œuvre à l'Empire, et également celle pour laquelle elle ne sortait pratiquement plus de son atelier. Ce qui justifiait l'existence de la machine, autour de laquelle tournait à présent l'individu.

- Tout cela m'a l'air diablement jouissif. Zeratull elle-même apprécierait de poser le séant sur pareille machine, j'en gagerai.

Toujours souriante et pas farouche pour un sous, Mathilda le rejoignit, son avant bras ganté de son prototype sur la hanche et l'autre main tenant un tuyau qui courrait au dessus de leur tête.

- Vous savez ce que c'est... On travail tellement qu'on a plus l'occasion de goûter aux plaisirs de la chair. Bien que cette machine m'ait donnée d'agréables moments, il y a bien longtemps que je n'ai plus sentit la musculature suintante d'un homme dans l'effort. Et cela me manque, j'en conviens. Mais... Peut être pourriez vous me rendre tel service, en échange de quoi je vous ferrais une petite démonstration de mon œuvre.

La jeune femme lui offrit son sourire le plus charmeur. Cela devait bien faire 5 ans, au bas mot, qu'elle n'avait plus fait l'amour avec un homme. Et la possibilité de coucher avec un beau mâle dans son atelier, au milieu de la chaleur de la vapeur et du bruits des diverses machines, était une bien belle perspective.


       

Szaalion IV

Humain(e)

Re : Rendez-vous professionnel [PV Szaalion IV]

Réponse 3 jeudi 11 septembre 2014, 08:50:17

D'informations, la jeune bricoleuse n'était pas avare. Bien que Szaalion fut certain que son identité n'avait pas encore été éventée aux yeux de la vaporéenne, celle-ci n'hésitait pas à donner quelques détails sur son invention et les applications auxquelles elle la destinait. Militaire et civile ? L'Empereur n'en dit rien, gardant pour lui le fait que les deux seraient très possiblement incompatibles. Jamais le trône ne mélangeait les divisions, pour ne pas voir trahir certains secrets. Toutefois, Mathilda aurait le droit, comme tout à chacun, de défendre son point de vue.

- Son Excellence sera seule juge de ce que vous pourrez faire de votre projet si vous le présentez officiellement au trône. Je vous souhaite que notre Mère Vapeur se pose sur vous.

Szaalion la regarda approcher tandis qu'il délaissait la machine à ébats, dont il comprit aisément qu'elle servait régulièrement. La petite face à lui adorait apparemment se faire enfiler par les pistons phalliques et les tuyères glissantes d'huile et la perspective acheva de l'exciter pour de bon. Désireux à présent de baiser Mathilda, il conservait pourtant sa réserve habituelle -Szaalion n'aurait su en sortir pour si peu- et attendait de voir ce qu'elle ferait.

Cela ne tarda pas. À un pas de lui,la petite se planta pour lui dire qu'une machine ne valait pas le contact charnel d'un homme et qu'elle serait comblée de se livrer à un échange de bons procédés : il la baisait et elle en racontait plus sur son oeuvre.
Szaalion se mit à sourire plus largement, attrapant Mathilda à la taille pour l'entraîner en quelques pas vers la table à dessins qui se dressait dans un coin de l'atelier. Il la mit face au chevalet en souriant et commença à parler tandis que ses mains filaient à la ceinture de Mathilda, pour vite faire tomber son petit short et lui laisser fente et cul à l'air, devant son bassin
.

- Sauter une mécanicienne comme vous me ravira. Montrez moi vos plans pendant que je vous besogne et n'ayez crainte : même si vous jouissez vite, c'est moi qui déciderai de la fin de nos ébats.

L'impérial amant était un dominant avant tout et ne laisserait pas le choix à Mathilda. Après lui avoir fait écarter les cuisses, Szaalion fit glisser sa main entre les deux fesses de la belle. Son pouce se plaqua sur l'oeillet velouté de son petit cul alléchant, ses autres doigts venant frotter sèchement sur les lèvres de sa fente étroite pour les caresser, les ouvrir au fil de ses passages, pressé qu'elle mouille. De sa main libre, l'Empereur dégagea sa queue de son pantalon, la laissant frotter contre la cuisse de sa future fourrée.

- Alors, ces plans ?


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