Sous le traitement joueur et malicieux de Félicia Hardy, le membre de Cobblepot ne tarda pas à gagner encore en dureté, et par défier les lois de la gravité, faisant sourire Félicia. Si la nature avait plutôt été ingrate avec lui, en l’affublant d’un corps horrible et replet, gras et crochu, il fallait bien dire que, au moins, sa verge n’était pas petite. Une belle queue venait de se dresser, tapant contre la combinaison de la femme. Elle jouait avec le feu, la drogue injectée préalablement dans son organisme engendrant chez Félicia des réactions bizarres et inattendues. Elle surprenait le pauvre Pingouin, qui était en train de devenir grossier, et insultant. Contre elle, elle sentait les langues avides et les doigts inquisiteurs de Candy et Tracy, les deux assistantes de l’homme. Elles avaient aidé l’homme à se déshabiller, exhibant ses bourrelets de graisse sous son nez pointu digne d’un sorcier. Il avait remué sa tête contre sa poitrine, léchant le globe de ses seins, s’en imprégnant en soupirant, se pressant contre elle, avant de finalement lui ordonner d’agir, et de se fourrer ce gode dans les fesses :
« Mets-toi la dans le cul, et contente toi de gémir comme une petite chatte en détresse... »
Devant cette demande grossière, Félicia sourit légèrement. Elle avait joué avec ce gode, et le fit tournoyer entre ses doigts, tout en sentant Candy et Tracy se redresser. Tracy posa ses mains sur ses épaules, et tira un peu sur la combinaison, profitant du fait que son patron l’avait bien entrouverte avec ses dents pour la retirer davantage. Félicia soupira, et sentit ses mains gantées partir en arrière.
« Vous retirez à un chat sa fourrure ? Les sphynx ne sont pas très jolis, pourtant... »
Le sphynx était un chat connu pour son absence de fourrure, et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’un chat sans fourrure était beaucoup moins mignon qu’un chat qui en avait ! Néanmoins, Félicia n’était qu’une invitée ici. Candy se releva à son tour, et attrapa les bras de Félicia, aidant cette dernière à retirer ses bras de la combinaison, tandis que Félicia en profitait pour l’embrasser sur les lèvres. Candy en profita aussi pour attraper le gode à tête de chat, et posa l’une de ses mains sur l’un des seins de Félicia, venant pincer le téton. La belle femme noire était terriblement douée de sa langue et de ses lèvres, et, pendant toute la durée de leur baiser, Félicia ronronnait de plaisir, yeux clos, gémissant et couinant à chaque fois que la femme aux ongles manucurées pinçait son sein, la faisant frémir. Cobblepot savait s’entourer, et c’était clairement tout à son honneur. Embrasser cette femme était magnifique, et Félicia était bien loin d’être une chatte redoutable. La drogue continuait à tourner dans ses veines, et coïncidait à merveille avec les pulsions perverses qui animaient ses pensées en ce moment précis.
Tracy ne tarda pas à les rejoindre, et tendit ses mains sur la taille de Félicia, venant pincer chacun de ses seins, Candy déplaçant la sienne pour caresser le corps de cette femme-chat, se contentant juste de le frotter, faisant ainsi soupirer Félicia, qui se tortilla un peu. Sa combinaison glissait le long de son corps, mais recouvrait encore ses jambes et son bassin. Tracy, tout en pinçant ses seins, embrassa et mordilla son cou, léchant sa peau. Les deux femmes continuaient à la chauffer, pour le simple plaisir pervers de leur Boss, puis, au bout d’un moment, Candy attrapa le gode, et le déplaça d’elle-même, venant le fourrer dans les fesses de la Chatte Noire, tout en déplaçant sa tête pour lécher sa peau, près de son oreille.
« Allez, sale traînée... Le patron va t’entendre miauler... »
Elle enfonça ensuite le gode, et Félicia poussa un feulement en griffant le dos de Candy.
« Haaaaaaaaaaaa... Haaaaaaannnn !! »
Les deux femmes léchèrent ensuite son cou, tandis que la main de Candy se déplaça pour caresser la verge du patron. Cobblepot avait fourré auparavant deux doigts dans l’intimité de Félicia. Compte tenu de leur position respective, il ne pouvait toutefois pas faire grand-chose de plus que sentir la mouille de la jeune femme.
Un sourire sur les lèvres, Candy tourna sa tête vers Cobblepot. Avec ses doigts, elle s’amusait à faire remuer ce gros gode dans le cul de Félicia, la faisant hurler et gémir, ses joues se couvrant de rouge... Un spectacle tout simplement magnifique à voir !
« N’est-elle pas fascinante, patron ?! Une vraie petite pute, rien que pour vous !
- Haaaaaa... »
Félicia respirait lourdement, s’accommodant à la présence de ce gros truc niché dans son cul. Heureusement que ce n’était pas la première fois qu’on la défonçait par là !