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Don't Talk To Strangers [Astrid]

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Stephen Connor

Invité

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Don't Talk To Strangers [Astrid]

mercredi 22 janvier 2014, 13:41:36

Stephen n’aimait pas ce genre de réunions. Presque tous les mois, les nobles affiliés à la couronne de Nexus se réunissaient. Il s’agissait souvent de trouver des solutions aux nombreux problèmes monétaires des familles nobles. En sa qualité, ou plutôt son défaut, de nouveau riche fraichement anobli, le démon ne pesait qu’un maigre poids dans la balance. Même son statut de Duc n’aidait en rien sa cause.

Et, par-dessus le marché, il se moquait éperdument des querelles de simples mortels. Nexus semblait s’effondrer sur elle-même, avec à sa tête une reine incapable de la mener. La jeune femme était, de toute façon, fréquemment absente des délibérations, pour des raisons qui passaient au-delà de la tête du beau diable. A l’ordre du jour était la question d’une demande d’aide monétaire. Demande faite sous l’autorité du Comté de Hillbound.

Hillbound était un des Comtés Nexusiens les plus petits, un des moins commercialement intéressants, mais pourtant un des plus importants. Pourquoi donc ? La réponse était simple, et elle reposait à l’autre bout de la frontière : Ashnard. Hillbound possédait, au sommet de sa colline, d’énormes remparts qui s’étendaient à perte de vue. Son fort militaire était suréquipé, à tel point que l’armée régulière du Comte ne parvenait pas à opérer la base dans son intégralité, sans le renfort des troupes royales ou de mercenaires.

« Le Duché de Northcliff  refuse d’apporter le moindre financement aux bordures du Comté d’Hillbound. » Répondit simplement Stephen, croisant les bras. « Les signes d’une attaque Ashnardienne sont inexistants, et je ne tiens pas à débourser de quoi financer les extravagances d’un Comte sur le chemin de la faillite. »

Assis sur sa chaise classique, le démon observa Anders Hillbound, d’un air si antagoniste que le mot « hostile » ne pouvait même pas être employé.  Stephen s’était vu confier un Duché situé au nord du royaume, et qui contrastait parfaitement avec le Comté de Hillbound. Northcliff était un duché gigantesque, au commerce florissant, mais à la réputation pourtant peu glorieuse.

Il fallait préciser que Northcliff n’était qu’à quelques miles nautiques de l’archipel de Mélisi, et bordé par les régions impraticables des Montagnes Blanches. Autrement dit, le duché vivait à l’abri de toute attaque Ashnardienne, et ne tirait pas vraiment de gloire dans le conflit éternel entre Ashnard et Nexus, l’armée régulière n’ayant que rarement l’occasion de prendre les armes.

Impossible, même pour l’étrange et démoniaque armée d’Ashnard, de passer les Montagnes Blanches. Et, par-dessus le marché, l’archipel de Mélisi, à la force de frappe détonante, possédait une marine capable d’édenter violemment la flotte Ashnardienne, rendant impensable toute attaque par les cotes. Northcliff ramassait d’ailleurs souvent les moqueries des autres régions. Ils ne se battaient, pour ainsi dire, jamais.

« Il est bien malavisé de se moquer de l’armée régulière d’Hillbound, qui a maintes fois repoussé l’attaquant Ashnardien. » Répondit un des hommes présents. « Surtout de la part d’un Duché campagnard qui n’a de remarquable que les prix de l’immobilier en bord de mer. » Nargua le nobliau.

Stephen pouffa de rire. Il ne pouvait même pas nier cette affirmation. Si son Duché rapportait des quantités incroyables d’or, il restait néanmoins très faible, et dangereusement placé. Les grands champs de la partie Sud était dépourvus de garnisons importantes. Il était d’ailleurs théorisé depuis bien longtemps que la ville-état de Nexus se trouveraient bien vite ralliée par le Nord, le jour où Ashnard parviendrait à attaquer Northcliff. Stephen, ou Lord Belmont, comme on l’appelait, n’avait récupéré le titre de Duc que récemment.

Lors d’une révolte à Northcliff, le Duc corrompu avait fini par être exécuté par le peuple. A cette époque, Stephen avait utilisé quelques obscurs fonds pour racheter d’importantes parts de l’immobilier du Duché. Et, dans un tel endroit, contrôler l’immobilier équivaut à contrôler tout et tout le monde. Par la force de ses négociations et par son sens du marchandage, le démon était devenu Duc, remplaçant le défunt noble assassiné. Et les mesures, nécessaires pour rendre à Northcliff son luxe d’antan, n’avaient pas laissé le temps au Lord de s’intéresser à un éventuel renforcement de l’armée.

Un long silence s’instaura, que le chef de séance, le Marquis van Aarden, s’empressa de briser. La voix grave du quinquagénaire bouffi retentit. Elle annonçait le report de la séance. Il était midi, dans le Palais d’Ivoire. Une bonne excuse pour interrompre les délibérations et aller se sustenter dans les étages intermédiaires de la demeure royale. Stephen resta assis plus longtemps  que les autres, ayant à s’entretenir avec un de ses rares alliés, le fameux président de la séance.

« Lord van Aarden. Il me semble que nous avions à discuter. » Soupira le beau diable, tapotant la table de ses grands doigts. « J’ai également besoin d’un soutien monétaire, pour le projet dont nous avions parlé. »

Le Marquis se tut, observant à droite et à gauche. Il n’y avait plus personne dans la salle, et le noble maître de séance se rendit jusqu’à la porte. Personne non plus dans le couloir. Doucement, il ferma la porte de la pièce des délibérations. Le lourd bois insonoriserait parfaitement la salle. Edmund van Aarden s’assit en face de son confrère, soupirant en se passant la main droite sur le front.

« Lord Belmont… » Souffla le Marquis. « Je ne saurais appuyer une demande si conséquente d’argent, si votre requête est évidemment toujours aussi… » Il se retint de prononcer des paroles fâcheuses. « Hors de propos. »

Stephen grogna, se levant. Il s’approcha de la porte en bois, se saisissant alors de la poignée. Poussant celle-ci, le démon l’entrouvrit.

« Peut-être pourrais-je alors confier à ce couloir si surveillé les montants des  versements gracieusement offerts à votre Marquisat par la cour des fonds, que vous gérez ? N’est-il pas suspect que vous aillez d’ailleurs reçu, il y a deux ans de cela, une coquette somme pour la rénovation de vos ponts, qui n’ont pas été touchés depuis? » Interrogea Stephen, les sourcils froncés. « J’espère alors que l’écho n’irait pas colporter ces tristes constatations jusqu’aux oreilles d’un noble trop fidèle à la couronne. Un Marquis volant des fonds à la couronne, voilà qui serait fâcheux et confus. Confus à vous en faire perdre la tête. »

Edmund déglutit. Il fixait le sol à travers la table, le regard vide, les poings serrés. Stephen lui avait demandé d’appuyer une aide monétaire tout simplement colossale, de quoi éveiller bien des soupçons. Avec tant d’argent, il y aurait de quoi monter une armée régulière gigantesque pour le duché de Northcliff. Mais il semblait évident que personne ne cautionnerait le don de tant de fonds à une région qui ne prenait jamais part aux combats.

« L… Lord Belmont ! Cette demande est folle ! Même si je vous appuie, nul n’y consentira jamais. Il faudrait une preuve tangible qu’Ashnard menace de vous attaquer sous peu. La somme que vous me demandez permettrait de financer toute une armée de vingt légions sur deux ans ! Essayez de vous montrer convaincant… » Supplia Edmund. « Peut… Peut-être que vous pouvez demander l’appui de Winterfell ? S’ils confirmaient une recrudescence de navires Ashnardiens dans leurs eaux, alors peut-être pourraient-ils témoigner en votre faveur. Cela aiderait grandement votre cause ! » Poursuivit le noble.

Stephen hocha la tête, lentement, l’air pensif. Le Lord van Aarden n’avait pas tort. Obtenir le soutien de Winterfell permettrait au démon de se crédibiliser. Il avait énormément de fonds à obtenir, pour réaliser quelque chose, un plan qui devait rester secret, encore quelques temps. Le beau diable ne dit alors pas un mot de plus, quittant rapidement la pièce. Edmund observa la porte entrouverte et poussa un long soupir.

Le Lord Belmont savait que deux jeunes royaux de l’Archipel Mélisien étaient actuellement en visite au Palais d’Ivoire. Il ne serait pas facile de les convaincre de rendre service à un parfait inconnu, mais Stephen n’avait pas vraiment le choix. Si le soutien de Winterfell, même au travers de bref témoignages, pouvait aider sa cause, alors le beau diable ne laisserait pas passer l’occasion.

S’aventurant à travers les couloirs, le Lord Belmont finit par arriver jusque dans une grande salle. C’était la pièce du banquet, où se réunissaient les nobles pour manger. La reine n’était pas là, sans doute était-elle en voyage, peut-être viendrait-elle plus tard, cela importait peu, en réalité. Stephen connaissait le visage des deux jeunes gens, sans vraiment en savoir beaucoup plus. En raison de la proximité de Northcliff avec Winterfell, le beau diable avait parfois salué Hamalcar, le suzerain des îles, en présence de sa famille, lorsqu’il venait sur le continent, ou que lui-même partait en mer.

Ayant finalement repéré une belle blonde en compagnie d’un jeune homme aux longs cheveux foncés, Stephen s’approcha. La table, colossale de par sa taille (elle s’étendait sur dix mètres minimum) et la diversité de ses plats, était parsemée de places vides, peinant à se trouver remplie en tous temps. C’est donc sans mal que le démon s’installa à la gauche d’Astrid, saisissant un plat qui trainait et le remplissant de quelques cuisses de poulet caramélisé, de pomme de terre cuites et accompagnant le tout d’un ballon de vin rouge.

« Dame Astrid, ai-je raison ? » Demanda le démon. « Lord Belmont. Je suis Duc de Northcliff, je vous ai reconnue car il m’a déjà été donné de vous apercevoir et de m’enquérir de votre santé avec votre père. » Expliqua-t-il brièvement.

Il n’osa nommer l’homme aux cotés d’Astrid. La famille de Winterfell comprenait bien plus d’hommes que de femmes, et Stephen était presque sûr de se tromper de nom. Ôtant ses gants, tant pour manger que pour tendre une poignée de main aux deux jeunes gens, le démon sourit doucement. Il salua finalement les deux Winterfell de sa franche poigne. Vêtu de sa tenue de noble bordeaux, brodée de fils d’or, le Lord ne se différenciait pas foncièrement de la masse des invités. Mais son air charmeur et insondable, ainsi que sa carrure colossale, faisaient de lui une pièce… Etrange et étrangère à la composition du tableau qu’était ce banquet royal.

« Comment vous portez-vous ? Et Sire Hamalcar ? » S’enquit le Duc.
« Modifié: mercredi 22 janvier 2014, 22:48:18 par Stephen Connor »

Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 1 mercredi 22 janvier 2014, 17:55:06

Lorsqu'elle était enfant, Astrid prenait beaucoup part aux jeux guerriers en compagnie des petits garçons du domaine ou de ses frères. Et elle avait une prédisposition certaine et une belle aisance au combat. Ses parents, ne disaient trop rien, bien qu'ils pensaient certainement que leur 3ème fille aurait mieux fait de suivre le modèle des deux aînées.
Elle prit conscience de la nécessité de savoir se battre, en assistant très jeune et donc impuissante, au pillage de l'un des navires de son père, et diverses attaques de pirates. C'est là que pour la première fois, elle vit ses frères aînés et leurs hommes combattre, et se rendit compte que ses compétences guerrières étaient très limitées et franchement brutales. En fait, elle ignorait tout des techniques du combat.
Elle entendait encore son père lui dire vers ses 10 ans : "Astrid, la guerre n'est pas un ensemble de combattants se jetant en mêlées furieuses, s’étripant sauvagement les uns les autres comme des brutes violentes ! C'est un savoir et un ensemble de techniques dont la tradition est ancestrale. La rigueur de la voie martiale est une vraie discipline ! Ma fille, n'oublie pas, lorsqu'il s'agit de se défendre contre un adversaire et de le vaincre, lorsqu'il faut sauver sa propre vie, le hasard n'a pas sa place."

C'est à partir de cet âge, grâce à son frère Edouard, qui était commandant de la garde de Winterfell, qu'elle passait tout son temps libre au centre d'entraînement avec Jubal. Elle y fut acceptée, et put commencer son apprentissage. Elle se rendait compte aujourd'hui de sa chance, son père ayant vu plus clair en elle, qu'elle ne pouvait le faire à l'époque. Dès lors, elle comprit que derrière la violence inhérente au combat, il y a avait aussi un art, nécessitant un investissement personnel majeur : elle avait trouvé sa voie !

Aujourd'hui, elle partait à l'aventure aux cotés de Jubal, son jeune frère. Elle voulait découvrir le monde, braver les dangers, bref, prendre de l'expérience et vivre une véritable vie de guerrière et non de jeune noble prude et bien élevée. Si elle ne s'était pas prise en main aussi jeune et n'avait pas bravé l'autorité de sa mère, elle serait aujourd'hui obligé de se marier avec un quelconque individu qu'elle n'aurait pas choisit, soit pour une histoire d'honneur ou pour renforcer des liens commerciaux ou militaires avec d'autres royaumes. Alors que là, elle était libre comme l'air !

Installée dans un des appartements du palais d'Ivoire, elle essayait depuis près d'un quart d'heure à trouver une tenue qui lui convienne. Astrid n'était pas du genre à mettre des jolies robes, elle préférait les cuirasses et les armures légères de combat. Mais ce soir, ils devaient dîner parmi des hommes importants et Jubal avait insisté pour qu'elle se montre présentable. Pff...
Finalement, après une heure à se battre avec un ensemble interminable de tenue, elle rejoignit son frère dans le couloir... qui resta sans voix pendant une minute. Par présentable, il avait sous entendu "plus habillé que d'habitude, et plus discret". Mais il fallait croire que la jeune femme était plutôt du genre à laisser la plus grande partie de son corps prendre l'air. Elle avait laissé ses cheveux blonds lâche, comme d'habitude, portait un collier très près du cou et des boules d'oreilles en or, et une robe noire des plus... provocante. Non seulement le décolleté était important, mais c'était une robe à dos nu. On pouvait voir la peau délicate de la jeune femme de la nuque jusqu'au bas du dos, juste à la naissance des fesses. Il n'y avait que la longueur, jusqu'au bas de ses chevilles, qui était raisonnable. Jubal soupira, retrouvant ses esprits :

- Astrid... j'avais dit présentable !
- Et bien quoi ? Il faut bien que notre présence soit remarquée, non ? Et puis il faut bien mettre un peu de piment dans la vie de tous ces bourges gros et gras dont la vie doit être si ennuyeuse !

Le jeune homme préféra ne pas insister, sa sœur était une vraie tête de mule de toute façon.
Bras dessus, bras dessous, ils se rendirent dans la salle du banquet et s'installèrent à la table, légèrement éloigné des autres. Il n'y avait pas beaucoup de monde, mais le peu de personnes présentes lorgnèrent pendant un bon moment sur la jolie blonde avant de reprendre le cours de leur repas à peu près normalement.
Quelques minutes s'écoulèrent et soudain, la demoiselle vit un nouvel arrivant s'installer à ses cotés et la saluer après s'être servit. Cet homme était Lord Belmont, Duc de Northcliff. Astrid esquissa un large sourire. Le duc en personne ! Son père lui en avait en effet parlé il n'y avait pas si longtemps. Elle ne s'était pas attendue à le voir ici. Son frère et elle lui serrèrent tour à tour la main, mais la demoiselle se permit de faire légèrement durer le contact plus longtemps que nécessaire, ses yeux azur plongés profondément dans ceux de l'homme. Les personnages importants tels que le duc avaient toujours su attirer son attention... Elle se permit de répondre :

- Mon cher Duc, c'est un honneur de vous rencontrer enfin. Nous allons fort bien, même si notre arrivée dans la cité fut quelque peu... houleuse. Quant à mon père, il vieillit, mais il se porte à merveille, je vous remercie de vous en inquiétez. Permettez-moi de vous présenter Jubal, mon frère et le plus jeune fils de feu mon père.
- Enchanté de faire votre connaissance, Sir Belmont. Notre père sera ravi de savoir que vous vous portez également comme un charme, c'est le cas n'est-ce pas ?
- En parlant de père, il m'avait dit que vous étiez un grand homme, mais il avait oublié de souligner que vous étiez également bel homme...

Jubal faillit s'étrangler avec la gorgée de vin qu'il s’apprêtait à avaler. Astrid, elle, loin d'être une jeune femme ayant la langue dans sa poche, souriait avec innocence, fixant le Duc avec un regard bourré de charme et de sensualité.



Pour un RP ou autre, contactez Louane Fox !

Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 2 jeudi 29 janvier 2015, 00:48:22

Jubal ne savait plus vraiment où se mettre. Entre les regards lubriques fixés sur sa sœur, et celle-ci même qui dévorait le Duc du regard sans aucune retenu, il se sentait perdu. Il connaissait le goût prononcé d'Astrid envers les hommes intelligents et forts, mais de là à ce qu'elle fasse du charme au premier venu. Il avala de nouveau un verre de vin pour détendre sa gorge serrée. Il ne se l'avouerait sans doute jamais..., mais il était jaloux. Excessivement jaloux. Peu importe que cela relève de l'inceste, il avait toujours été amoureux de sa sœur. L'un et l'autre avaient perdu leur virginité ensemble alors qu'il venait d'avoir 18 ans, et elle seulement 16. Depuis, aucun d'eux n'avait eu d'aventure. Ils n'avaient pas recommencé non plus, de peur que cela se sache. En tous les cas, il s'était bêtement imaginé qu'elle éprouvait les même sentiments envers lui. Visiblement... ce n'était pas le cas. Tant pis. Tant mieux.
Il fit de son mieux pour se sortir de ses pensées et faire comme si de rien n'était, suivant sagement la conversation.

Astrid buvait les paroles du Duc, son petit menton adorable posé dans le creux de sa main, alors que son coude s'appuyait sur la table. Celui-ci s'inquiétait du traitement peu acceptable que la garde avait eu envers eux. A ce souvenir, la jeune femme rit intérieurement. Elle leur avait fichu une bonne leçon à ces idiots ! Enfin, jusqu'à ce qu'ils parviennent à les maitriser. Il étaient nombreux il faut dire. Elle préféra ne pas revenir sur le sujet, de peur de froisser les invités qui se trouvaient là. Pas besoin de s'attirer d'avantage d'ennemis, Jubal et son père seraient furieux.
L'homme les rassura quant à lui, sur sa personne. La vie de Duc n'avait pas l'air aussi rose que pouvaient se l'imaginer certain. Il y avait la richesse, peut-être, mais les responsabilités et les ennuis qui allaient avec, bien entendu. La jeune femme fut piqué lorsque l'homme parla de la Reine comme d'une "adolescente". Ce n'était pas faux en soi, mais Astrid admirait cette dernière. Elle-même aurait été incapable de supporter une telle responsabilité ! Cependant, elle ne chercha pas à couper le Duc.

La situation à Nexus était extrêmement tendu, notamment à cause des Ashnardiens et des révoltes qui prospéraient un peu partout. Un vrai bordel ! La jeune femme savait ce qu'il y avait à savoir sur leurs ennemis. Ils n'étaient pas à sous-estimer, loin de là. Le Duc n'en dit pas plus, préférant profiter du repas plutôt que de gâcher celui-ci avec ces histoires. Astrid prenait tout cela au sérieux, mais elle n'aimait pas la politique. Ça l'ennuyait. Elle préférait se contenter de leur taper dessus, et puis c'est tout. La diplomatie et autres conneries, elle s'en foutait.
Elle continua de fixer l'homme avec envie, mordillant parfois sa lèvre inférieure. Oh, elle ne cachait pas son manège, bien au contraire ! Et elle savait que cet homme n'avait pu que le remarquer. Cependant, intelligent et respectueux comme il semblait l'être, il n'en montrait rien. Presque rien. Elle pouvait tout de même deviner qu'il 'était pas insensible à ses charmes, il suffisait de bien lire son regard.

Astrid sourit au compliment du Duc et se redressa pour donner un coup de coude à son frère qui semblait renfrogné et peu loquace.

- Tu as entendu, Jubal ? Je suis ravissante ! Le taquina t-elle.

Son frère esquissa un sourire crispé qui se voulait amusé. Peut-être n'était-il pas très à l'aise parmi tous ces nobles. Lord Belmont s'inquiéta alors de savoir comment ils occupaient leur journée. L'intrépide jeune femme fit une petite moue.

- Personnellement, je me fait royalement ch...
- Parfait, la coupa son frère. Tout est parfait Lord Belmont. Pour tout vous dire, nous cherchons simplement à savoir de quelle manière nous pourrions nous rendre utile pour le Royaume. Notre père s’inquiète beaucoup pour la Cité. Il y a des amis très chers, et notre commerce est de moins en moins florissant à cause de cette guerre incessante.

Astrid hocha la tête. Pour résumer, elle avait hâte de partir à l'aventure, de découvrir ce monde, et de mettre une branlée à quelques ashnardiens ! Rester enfermée entre les murs du Palais n'était pas pour elle ! Mais elle avait une petite idée sur la façon dont elle pourrait faire passer le temps...
Son pied délicat se délogea de sa chaussure pour venir sensuellement caresser la jambe du Duc. Il était possible qu'il s'offusque, mais elle ne s'en inquiétait guère. Cet homme était attirant, et elle avait une furieuse envie de jouer avec lui. 2 ans d'abstinence, tout de même, ça commençait à être long !



Pour un RP ou autre, contactez Louane Fox !

Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 3 lundi 02 février 2015, 14:35:21

Astrid adorait ça presque autant que de combattre. Charmer et faire perdre la tête aux hommes, les voir saliver devant ses courbes, les laisser imaginer des tas de choses dégueulasses qu'ils pourraient faire avec elle. Le plus souvent, comme ces types de l'intéressait pas, elle les laissait mariner, jouait avec eux, puis disparaissait sans le moindre petit cadeau, les laissant noyé dans leur frustration, le sexe presque au garde à vous. Ah ah ! Oui, elle aimait jouer à ça. En revanche, avec le Duc, elle avait bien envie d'aller plus loin, de croquer ces lèvres charnues et pénétrer son sexe qu'elle devinait de belle taille dans sa bouche... grrr... mieux valait qu'elle cesse d'imaginer tout cela, pour son bien ! Ce serait bête de se retrouver déçue !
Elle devinait l'envie de l'homme également et ne s'en régalait que davantage. Tous d'eux ne semblaient plus qu'avoir une chose en tête : faire des cochonneries. Jubal, quant à lui, ne pouvait que supporter ce spectacle sans dire un mot. Plus sage et réservé que sa sœur, il préférait faire comme si de rien était plutôt que de provoquer un esclandre au palais. Ce n'était franchement pas le moment, il y avait bien plus important à s'occuper !

Mais Astrid semblait se foutre royalement du reste ! Elle dévorait le duc du regard, l'aguichant sans aucune pudeur. Jubal, jusqu'à présent, s'était forcé à ne pas observer le corps de sa sœur. Il savait à quel point les courbes d'une femmes pouvaient être traitres. Il n'y résistait pas lui-même. Il se forçait à manger et boire, écoutant d'une oreille les conversations. Le Duc, cachant bien son jeu, en venait à parler des financements et, désirant prendre tout cela au sérieux, le jeune homme l'écouta attentivement et hocha la tête.

- Vous avez raison, Lord Belmont. Et notre barrage se fragilise de jour en jour, je ne vous le cache pas. Heureusement, les Ashnardiens dont de piètres marins, tandis que nos ancêtres eux-même ont inventé la navigation. Nous allons faire tout notre possible pour changer tout cela. Je pense que nous pourrions nous faire entendre, nous sommes les plus fidèles et les plus vieux alliés de Nexus, après tout.

Voilà ce qui était bien de rappeler. Astrid jeta un coup d’œil à son frère. Il voulait manifestement que leur père soit fier de lui. Étant le plus jeune fils, il n'avait pas encore eu l'occasion de faire ses preuves, mais le moment était venu. Faire office d'ambassadeur lui allait plutôt bien, même s'il restait un homme d'action. Elle se détourna ensuite, retournant à ses petites provocations lubriques avec le Duc. Il lança un sous-entendu qui lui arracha un sourire charmeur et sensuel. Elle sentit soudain la jambe du bel homme s'attarder sur sa cuisse. Elle frissonna alors qu'il proposait de leur montrer quelques merveilleuses choses à faire au Palais. Étais-ce une invitation à s'envoyer en l'air ? Astrid voulait y croire et rugit intérieurement, souriant de plus belle au Duc tandis qu'il caressait son dos nu. Elle avait bien fait de mettre cette robe !

Jubal ne put s'empêcher de froncer légèrement les sourcils en voyant la main un peu baladeuse de l'homme envers sa sœur, qui, pour son plus grand malheur, semblait apprécier. Il savait comment tout cela allait finir par se terminer. Et il n'était pas certain d'apprécier. Il voulu refuser l'offre de Lord Belmont et emmener sa sœur loin d'ici, mais elle le devança !

- J'en serais ravie, Lord Belmont, susurra t-elle. Tu nous accompagne, Jubal ?

Le garçon serra les dents.

- Non, je crois qu'il vaut mieux que je rejoigne nos frères. J'espère ne pas vous froisser en refusant votre invitation, Duc.

Il avait désormais un regard beaucoup plus froid et sévère qu'au début du repas. Pas besoin d'être devin pour deviner que quelque chose l'agaçait. Astrid savait très bien ce que c'était, mais s'en fichait. Il pouvait bien bouder, elle, elle avait une folle envie de s'amuser ! Ils s'expliqueraient une autre fois ! Elle se leva donc, prenant la main de l'homme dans la sienne.

- Allons-y !

Elle était excitée comme une enfant.


Pour un RP ou autre, contactez Louane Fox !

Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 4 lundi 02 février 2015, 21:33:52

Jubal, le visage fermé, salua respectueusement, mais un peu sèchement le duc avant de quitter la salle d'un pas agacé. En le regardant s'éloigner, Astrid eut presque des remords de l'avoir laissé de côté ainsi. Mais elle balaya toutes ces pensées pour se concentrer sur ce qu'elle avait envie de faire avec cet homme. Après tout, elle avait bien e droit de s'amuser et de se détendre ! Elle ne faisait rien de mal. Le duc aussi eut presque l'air déçu que le jeune homme les quitte, mais la demoiselle savait bien qu'il n'en était rien. Sans doute préférait-il un tête à tête avec elle pour se laisser aller à ses envies les plus torrides !
Astrid eut un sourire amusé, et finit par suivre son chez Lord sans les couloirs. Elle ne pouvait s'empêcher de rire, comme ces filles qui savent ce qui les attendent et qui ne s'en montrent que plus enthousiastes !

Une fois Jubal éloigné et nos deux individus laissés seuls, le duc changea tout à faire de discours et de comportement, pour le plus grand plaisir de la belle. Il la tutoyait, se demandant si elle pouvait tenir le rythme. Oui, il avait visiblement hâte de lui bondir dessus et de jouer avec elle. Astrid se mordilla la lèvre inférieure sous l'excitation, d'autant plus lorsque la main imposante et chaude de l'homme commença à se balader de ses jolies fesses et qu'il emprisonna son oreille entre ses lèvres.
Chaque coin de son corps disait-il ? Astrid n'en sourit que davantage, alléchée par ces suggestions.

- Ne vous gênez pas, cher Duc, mon corps n'attend plus que le votre...

Son ton était aguicheur, sensuel. Dans les couloirs, il la tripotait, faisant grimper la température chez la jeune femme qui se serait bien débarrassé de sa robe sur le champs ! Elle aimait ses gestes sauvages et pressés. C'est ainsi qu'elle préférait les hommes. Forts, puissants et audacieux. De ceux qui prennent des initiatives et s'adonnent au plaisir de la chair avec conviction et gourmandise. Astrid était de plus en plus excitée avec cet homme-là. Elle pouvait sentir sa puissance et elle adorait ça !
Il la plaqua soudain contre la porte qui devait être celle d'une chambre. Cela amusa la demoiselle qui pénétra son regard bleu pétillant dans celui de son vis à vis. Il lui agrippa la mâchoire, lui disant désirer sa bouche. La jeune femme entrouvrit ses lèvres dans un sourire provoquant, mais il ne fit qu'embrasser son cou. La jolie blonde soupira de plaisir alors qu'un frisson envahit son corps tout entier. Ses mains remontèrent le long du dos de l'homme, avides. Elle pouvait sentit le poids et la force de l'individu qui la maintenait contre la porte avec une facilité déconcertante. Et si cela avait du l'effrayer, elle n'en était que plus émoustillée.  

Le Duc la provoqua alors, lui rappelant ce qu'elle désirait et qu'elle devait venir chercher. Pour appuyer ses propos, il pressa son sexe qu'elle devina impressionnant contre son intimité. Elle avait soudain très chaud et soupira, riant doucement, aimant de plus en plus ce petit jeu. Ne le lâchant pas du regard, l'une de ses mains se glissa sur le poignée pour ouvrir la porte. De son autre main, elle agrippa le col du Duc pour l'entraîner à l'intérieur. Elle referma la porte d'un coup de talon. Tout en elle semblait l'inviter à la perversion. Son regard, la façon dont elle mouvait son corps, le parfum de sa peau...
Elle s'approcha de nouveau de lui, le débarassant de sa veste qui tomba à terre, puis enlevant elle même sa robe. Celle-ci glissa le long de ses courbes avant d'atteindre ses chevilles. Enjambant le tissus, et portant toujours ses hauts talons, l'homme put rapidement se rendre compte qu'elle ne portait plus que cela, et une petite culotte noire en dentelle. Sa poitrine, sous l'excitation, se dressait fièrement vers son amant du jour.

Alors, ses mains délicates commencèrent à défaire le pantalon du noble sire.

- J'espère que vous avez de l'énergie à revendre vous aussi, mon Seigneur. Parce que je compte bien en profiter jusqu'au petit matin...

Si elle s'était douté une seule seconde de la véritable nature de cet homme, peut-être se serait-elle montrée moins ambitieuse. Mais peu importe. Le pantalon vint rejoindre les autres vêtements au sol, alors qu'elle sortait enfin le sexe impressionnant de son amant à l'air libre. Voilà qui valait le coup ! Excitée, elle le prit en main et commença à le caresser doucement avant de murmurer au Duc, son souffle venant caresser ses lèvres.

- Et vous mon cher... qu'attendez-vous ? Je doute qu'il n'y ait pas quelque chose en moi, là, maintenant, que vous ne désiriez ardemment ?

Elle sourit, amusée, attendant de voir ce qui allait se passer. Elle s'occupait de son sexe avec ses mains, pour l'instant, mais ne comptait pas en rester là. Ce sexe avait l'air bien trop alléchant pour qu'elle ne s'en occupe pas très bientôt.


Pour un RP ou autre, contactez Louane Fox !

Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 5 mardi 03 février 2015, 14:26:45

Astrid aimait les hommes entreprenants, ceux qui prenaient en effet les choses en mains et qui ne se contentait pas de jouer avec des minauderies. Elle aimait ceux qui désiraient la posséder, ceux qui était capables de se battre pour ça. Malgré tout, la jeune demoiselle n'était pas entièrement une femme soumise. Elle aimait aussi prendre les choses en mains et jouer avec son amant. Celui d'aujourd'hui était particulièrement intéressant et elle n'en était que plus excitée !

Ses charmes et sa tenue avaient suffis à réveiller les désirs animales du Duc pour sa plus grande joie ! Mais il n'était pas au bout de ses peines, elle comptait bien faire durer ce plaisir jusqu'à grimper au septième ciel ! Peu importe le temps que cela prendrait et la manière dont elle allait devoir s'y prendre.

Petit à petit, des vêtements tombèrent. Le corps gracieux et bien fait de la princesse eu tôt fait d'apparaître aux yeux du démon, aussi pur qu'il pouvait l'être. Sa peau était aussi douce et délicate que de la soie ou les pétales d'une fleur, blanche et gourmande, ses lèvres pulpeuses et roses, ses cheveux blonds comme les blés et ses ses seins ronds et fermes comme ceux d'une déesse. Elle avait confiance en son corps et savait qu'elle était belle, n'hésitant pas à en jouer. Elle soupira d'aise lorsqu'il joua avec son seins, l'émoustillant encore un peu plus.

L'idée d’engouffrer son sexe dans sa bouche semblait exciter le démon, et heureusement pour lui, elle adorait ça. Et il le lui rappela dans un grognement avide qu'il voulait sentir ses lèvres sur sa queue. Astrid sourit, satisfaite, et passa sa langue sur ses lèvres délicates. Nous y voilà. Il n'y aura pas de baiser, mais quelque chose de bien plus pervers. Parfait.

Sans quitter le regard du démon pour l'instant, la jeune femme descendit lentement, très lentement vers le membre imposant du Duc. Ce ne fut qu'une fois à genoux, le sexe à hauteur de son visage, qu'elle regarda cette queue délicieusement grosse. Parviendrait-elle à tout prendre dans sa bouche ? Le meilleur moyen de le savoir était de le tenter.

Elle commença à donner quelques coups de langue de bas en haut, recouvrant le sexe du démon de sa salive, de plus en plus. Elle y allait volontairement lentement, faisant durer le suspens. Elle fit danser le bout de sa langue sur le gland, attrapant sa base avec sa main fine. Enfin, elle commença à entrer le sexe entre ses lèvres et à le sucer avec gourmandise. Elle poussa un petit gémissement de plaisir, de ceux qu'on laisse échapper lorsque l'on tombe sur un met particulièrement bon.

On pouvait entendre les petits bruits de sucions alors qu'elle faisait entrer le sexe de plus en plus profondément dans sa gorge au fur à mesure qu'elle le suçait, caressant en même temps les bourses de l'homme avec ses doigts délicats. Ses mouvements restaient volontairement lents, comme si elle désirait titiller et agacer son amant. Peut-être étais-ce en effet le but...


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Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 6 mardi 03 mars 2015, 08:42:11

Sucer et avaler un sexe de cette taille était un délice pour la jeune femme. Le membre gonflé palpitait d'impatience, bouillant, bien au chaud dans la gorge humide de la blonde qui s'en donnait à cœur joie, infligeant le délicieux traitement de sa bouche et de sa langue au duc qui l'avait tant désiré. Oui, elle s'était jouée de lui, l'avait poussé à lui en demander. C'était un petit jeu auquel elle aimait jouer, et où elle n'était pas mauvaise. Les râles et les soupirs de son impressionnant amant ne faisaient aucun doute, il appréciait la chose.
Astrid n'était pas une prude, et sucer une queue ne lui avait jamais posé problème, bien au contraire ! Elle aimait ça. Tenir la plus grande fierté de l'homme entre se boucher ou entre ses mains avait de quoi faire frissonner d'envie, n'est-ce pas ? Tout comme l'homme aime posséder l'intimité de la femme jusqu'à la faire couiner, même contre son gré parfois. Cela donnait un sentiment de puissance, et les hommes comme les femmes adorent ça !

Le sexe imposant du Duc s'empalait doucement, mais sûrement, jusqu'à ce que le démon perde en effet quelque peu patience. Oui, son petit jeu avait fonctionné, il devait le savoir, mais n'en prenait pas ombrage. Il voulait sa bite plus profond et plus vite, elle pouvait le sentir. Mais elle profita encore un peu, l'engouffrant encore goulument dans sa gorge. Ce sexe était vraiment gros ! La jolie blonde avait presque peine à l'avaler. Mais le Duc lui vient bien vite en aide. Impatient, il finit par vouloir jouer aussi et donna un coup de bassin, enfonçant du même coup sa queue dans la bouche délicate de la princesse jusqu'à la garde. Astrid faillit bien étouffer sur le coup, mais tint bon. En fait, cette impatience et ce petit trait de caractère l'excitaient. L'homme recommença, et la jeune femme émit un petit son étouffé, appréciant pourtant toujours le traitement infligé. Ce n'était que justice après tout, elle l'avait bien mérité. Tenant son visage entre ses doigts, il commença finalement par lui baiser la bouche, plus fort et plus rapidement bien sûr qu'elle n'avait commencé.

Le sexe gonflé forçait le passage de sa gorge humide, s'enfonçant encore et encore au plus profondément. Astrid plaqua doucement ses mains contre les cuisses de Stephen et le laissa faire, soupirant ou gémissement doucement parfois. Oui, elle aimait ça, et son intimité de plus en plus humide en étaient une preuve indéniable. Subitement, le démon cessa et se retira, la laissant du même coup reprendre un peu son souffle, lui demandant alors si cela lui plaisait.
Souriante, Astrid passa sa langue sur ses lèvres, avalant la salive qui s'était accumulée un peu dans sa bouche et leva un regard amusé et aguicheur au Duc.

- Vous avez une queue délicieuse, Lord Belmont. Et votre engouement me régale !

Misant sur l'effet de surprise, elle se redressa légèrement, enveloppant soudainement l'énorme membre entre ses seins chauds. Elle effectua ainsi quelques petits vas et viens, sans quitter son amant du regard, puis, continuant, ouvra la bouche pour accueillir le sommet de sa queue lorsque celle-ci arrivait à hauteur de ses lèvres.

- Mmmmh...

Oui c'était bon ! Et elle n'en avait pas fini avec lui, bien au contraire ! Cela ne faisait que commencer et la suite allait certainement l'exciter tout autant si ce n'est plus... qui sait ?


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Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 7 jeudi 05 mars 2015, 00:57:06

La caresses de ses seins semblait lui plaire, vraiment, et elle en était fière. Il n'y avait rien de plus satisfaisant que de voir ses efforts payer, et voir ou entendre ainsi son amant excité. Astrid pensait savoir ce que les hommes aimaient et visiblement, elle ne se trompait pas. Ses seins étaient suffisamment gros pour jouer leur rôle correctement, et leur douceur et leur chaleur étaient un bonus.
Elle repensa aux paroles du beau mâle, confiant, qui imaginait bien à quel point elle aimerait davantage cette queue lorsque celle-ci se logera dans son intimité. Rien qu'à cette idée, elle frissonna de plaisir et sentit son ventre se serrer sous l'excitation. D'ailleurs, elle était déjà bien humide, et son corps ne demandait pas mieux qu'à sentir comme il se devait ce membre imposant. Oui, elle avait hâte qu'il la baise, qu'il lui montre comment il s'y prenait. Elle était certaine de ne pas être déçue cela dit !

Encore et encore, le chibre du Duc allait et venait entre ses seins, s'enfonçant légèrement dans la bouche de la demoiselle. Il était brûlant et palpitant. Impatient. Elle pouvait entendre ses râles de plaisir et d'excitation alors qu'il forçait ses coups de reins pour qu'elle prenne mieux sa bite en bouche, ce qu'elle approuva. Son rythme s'accéléra un peu, avant de décélérer lorsque le démon jugea qu'il était plus sage de ne pas pousser son membre à jouir immédiatement. Oui, sage décision en effet, cela aurait été dommage. Ils étaient loin d'avoir terminé ! Ce n'était là qu'un amuse-bouche, pour ainsi dire.

Le Duc lui se demanda alors si elle avait bien autre chose pour lui. Astrid sourit d'un air mystérieux et provocateur. Étais-ce bien raisonnable ? Hum... après tout, c'est lui qui voyait ! Mais s'il venait à jouir, il avait intérêt à pouvoir repartir rapidement. Elle n'allait quand même pas le laisser s'en tirer avant qu'elle n'ait pu y prendre son plaisir aussi. Elle donna un petit coup de langue sur son gland et répondit :

- Ça se pourrait...

Elle se releva, et poussa l'homme jusqu'au lit, forçant un peu pour qu'il s'y allonge. Féline et sensuelle, elle se glissa au-dessus de lui, ondulant son corps. Elle effleura ses lèvres avec les siennes, mais ne lui offrit pas de baiser. Elle préféra descendre jusqu'à son cou pour y déposer des baisers chauds, comme du velours. Plus elle embrassait sa peau, plus elle descendait sur son torse, lentement, laissant ses cheveux caresser également sa peau. Enfin, elle parvint à hauteur de son sexe. Elle commença par embrasser la peau juste au-dessus, puis à l'intérieure des cuisses, avec une lenteur provocante, comme toujours. Soudain, elle souffla sur le membre dur et sensible du bout des lèvres, histoire de terminer de l'émoustiller. Puis, elle se redressa, et les yeux plantés dans ceux de l'homme, elle commença à se caresser. D'abord, les seins, avec volupté, puis sa main droite descendit le long de ses courbes, pour terminer entre ses lèvres intimes qu'elle caressa doucement. Elle ne s'y attarda pas trop longtemps, glissant alors délicatement ses doigts humides dans la bouche de l'homme pour lui faire goûter sa mouille.
Enfin, son autre main vint titiller une dernière fois le sexe de son partenaire, appuyant légèrement au niveau du frein, zone qu'elle savait très sensible, puis caressa ses testicules.

- Hum... alors, cher Duc ? Suis-je à la hauteur de vos espérances ?

Bien sûr, ce n'était pas terminé, elle avait d'ailleurs hâte que les choses sérieuses arrivent. Mais si elle en croyait l'excitation qu'elle pouvait lire dans les yeux du démon, elle n'allait pas tarder à gémir de plaisir.


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Astrid de Winterfell

Humain(e)

Re : Don't Talk To Strangers [Astrid]

Réponse 8 dimanche 08 mars 2015, 20:57:48

Astrid aimait prendre son temps, attendre que le désir grimper encore et encore , lentement, jusqu'à ce que l'appel du sexe soit trop fort pour résister une seconde plus, lorsque les corps s'embrasent et n'en éprouvent que plus de délice encore à se trouver. Une explosion, semblable à un feu d'artifice, qu'elle affectionnait tout particulièrement, sans pour autant atteindre l'orgasme sur le champ ! Heureusement non. Elle avait tout de même assez d’endurance pour baiser toute la nuit si elle voulait. Sans doute l'entraînement avait-il renforcé son corps au combat, mais avait eu également certains avantages pour ses parties de jambes en l'air !

Le Duc semblait satisfait en tous cas, et il en était de même pour elle. L'excitation était à son comble, et elle ne cachait pas son envie pressente qu'il la prenne  sur le champs et enfonce sa queue en elle. Heureusement, ce moment ne tarda pas trop. L'homme s'offrit tout de même le plaisir de lui rendre la frustration, plaçant son membre contre son intimité, caressant lentement ce dernier de toute sa longueur. Astrid se mordilla la lèvre inférieure, frémissant à ce contact.
Si elle aimait ça ? Elle sourit et répondit, les yeux brillants :

- Oui... c'est fou ce que tu m'excites !

Elle avait le souffle brûlant. Il se redressa alors un petit peu pour approcher son gland de l'entrée de son intimité, la faisant languir et frémir d'envie, avant qu'il ne prenne l'un de ses seins entre ses lèvres chaudes et charnues. Elle gémit doucement, renversant sa tête un peu en arrière sous le plaisir.
Enfin, soudainement, il l'empala d'un coup sur sa queue, redressant son bassin alors qu'il l'attirait à lui du même coup. La jeune femme se cambra sous le plaisir mordant qui l'envahit, retenant à grande peine un cri de plaisir qui resta dans le fond de sa gorge.

Son membre était délicieusement gros, et la jeune femme n'en éprouvait que plus de sensations, évidemment ! Il allait et venait dans son intimité humide et serrée. Astrid soupirait à chaque coup de rein, suivant le rythme en déhanchant son bassin. Le rythme était plutôt lent pour le moment, mais cela ne la gênait pas, au contraire. Il ne fallait pas brusquer les choses tout de suite... mais faire durer le plaisir. Malgré son envie, elle ne chercha donc pas à accélérer, laissant pour une fois le Duc prendre le contrôle de la situation.

Stimulée et enchantée, la Princesse savait d'avance que cette nuit allait être torride et sensationnelle...                             


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