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Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

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Bellephia

Dieu

Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

samedi 16 novembre 2013, 12:19:07

Ashnard, ses partisans l'appelle l'Empire Eternelle, ses opposants l'Empire Sauvage. Il ne s'agissait là que de petit surnom, n'ayant pas encore eu le temps de mettre un pied sur le territoire de Nexus. Mes rencontre précédentes m'avaient mise en garde sur cet Empire, mais pas uniquement. On y racontait bon nombre de chose, comme par exemple la domination d'un empereur qui se voulait immortel. Ma mère aurait été bien triste de savoir qu'un être aussi abjecte pouvait régner sur autant de vie et décider de les réduire à néants pas simple fantaisie. Ne croyez pas pour autant que je face une ovation à nexus, même si leurs systèmes semblent plus "civilisé", il n'en reste pas moins que tout esclave était considéré comme un simple objet de décoration, une honte, une horreur. En écoutant les rumeurs et les explications de mes rencontres, je ne pouvais que contrôler cette rage en moi. Ma mère et mon père étaient des sages, car il était certains qu'une petite nation comme le notre ne pourrait supporter l'assaut de ses deux pays unis, même si cette opportunité semblait peu probable. Je ne pouvais que souhaiter que ses deux nations viennent à s'auto-détruire, ainsi cela mettrait fin à l'esclavage. Mais trêve de rêverie et de fausse joie.

Cela fait une semaine que j'ai franchi la porte, fortement gardée, de l'Empire sanguinaire. Mon passage ne fut pas sans accroc, tout d'abord le fait que je sois marqué comme originaire d'un secteur neutre à la bordure des deux nations posait un léger problème, sans doute s'imaginait-il que j'étais un espion. Ensuite il y avait ma race, un sorcier et mon titre, chevalier, bon nombre de soldats me portèrent un regard des plus méprisant,que je répondit par une expression neutre, mais suffisant pour qu'ils ne sortent pas leurs armes. Le douanier voulu m'imposer une pierre absorbant mes capacités, chose que je dus refuser exprimant clairement que la nation d'Ashnard était réputé pour leur coupes-gorges et que ma rapière serait de peu d'utilité sans ma magie. Vint la première altercation, heureusement un général me fis passer en échange de quelques pièces. Cela m'a dégoutté de devoir payer pour passer, mais c'était un mal nécessaire. Demandant conseil pour savoir où je pourrais dormir, une charmante demoiselle vint à me proposer sa taverne, il m'avait tout de suite paru évidant qu'il s'agissait d'une esclave, son regard, ses gestes transcendant sa nature, si j'avais fini par accepter cela était pas simple pitiés, qui sait ce que le tavernier aurait fait si elle était revenue bredouille.

Le tavernier avait essayé de me rouler dans la farine, comme tout arnaqueur de bas étages, seulement il se ravisa rapidement quand il sut que j'avais un passé martial et des capacités magiques qui pourrait, à défaut de le tuer, lui causer de grave blessures, ce qui serait altérer son travail. Le soir même de mon arrivé un homme vint à se montrer trop entreprenant avec l'esclave, ayant visiblement bu plus qu'il ne pouvait le supporter. Mon impulsivité m'a poussé à agir rapidement et lui demander de quitter les lieux pour décuver et que s'il voulait une femme il n'avait qu'à aller voir une fille de joie. Le pauvre homme ivre n'eus pas le temps de sortir son arme que déjà avais-je lancé mon sort pour l'éjecter de la taverne. Cette épisode me valut de l'estime auprès du tavernier qui me proposa un marché correct, en échange de dégager les trouble-fête il m'offrait le logis et le couvert. L'échange était rentable pour le marchand, il faisait de grands économie et moi je pouvais loger et manger comme bon me semblait.

C'est ainsi que le troisième jours j'ouïe dire des ragots qui m'interpellèrent. On parlait d'une créature, une vampire, qui faisait a collection d'esclave, rien que le terme "collection" me faisait bouillir de rage, comment des êtres pouvaient comparer la vie d'une personne à celui d'un meuble ou d'une tasse de thé. Mais je n'interrompis pas les conversations, cette personne semblait clairement mauvaise et ils me fallait des informations pour savoir comment m'y prendre pour l'approcher. J'appris donc par ses interminables discutions que cette vampire se nommait Mélinda Warren. Elle avait un pénis, cette information ne me rebuta nullement, il était courant dans notre pays d'avoir des hermaphrodites, la magie et les sciences pouvant permettre aux personnes d'avoir le sexe de l'autres en complément ou en remplacement. Peut-être était-ce ce membre en plus qui lui donnait son caractère dominateur, si elle n'était pas une esclave je compatirais à cette douce illusion, mais elle avait un harem d'esclaves, ce qui ne pouvait que s'attirer ma soif de jugement. La preuve de sa puissance était sans doute ses horribles banderoles publicitaires, comment une personne pouvait avoir aussi mauvais goût en terme d'image sociale. Le point le plus positif était que la vampire ne pouvait pas pratiquer la magie, il fallait cependant se méfier de ses capacités, sans parler de la bonne protection qu'elle avait autour d'elle. Les chiffres étaient tellement différents que faire un comptage des unités chargés de la protéger se trouvait difficile, sans parler de sa demeure qui devait être chargé de sortilège pour détecter l'intrusion ou l'espionnage. De nombreux notables ashnardiens avaient visiblement des liens avec cette vampire, sans doute le fait de pouvoir profiter du harem, qui sait ce que ses sauvages sont capable de donner en échange de protection. Quoi qu'll en soit cette surprotection me donnait presque des scrupule à m'attaquer à une personne qui semblait plus faible que ce qu'elle semblait vouloir montrer, mais les vampires sont réputés pour leurs intelligences et leurs grand âge, la méfiance était donc de rigueur.

Aujourd'hui est pourtant le grand jour, je prend un bon repas, me lave, tout en demandant au tavernier des sels pour que ma peau soit saine. J'allais faire face à Mélinda, il me fallait donc être le plus propre possible pour ne pas déroger à mon statut de chevalier et aussi de prince. Il y avait peu de chance qu'elle soit au courant de mon investigation sur elle, je n'avais abordé personne pour demander des informations sur elle, j'ai simplement tendu l'oreille pour écouter les ragots. Une fois propre je m'habille, laissant ma rapière sur ma hanche pour être crédible. J'informe le tavernier que notre contrat se fini ici même et en cet instant, bien sûr il voulut que je continu de protéger son lieu de travail, mais ma réponse fut catégorique, j'étais un chevalier errant et comme le nom l'indique, je ne pouvais rester trop longtemps dans un même lieu sans que cela ne soit suspect. Le tavernier fini pas céder, j'aurais put lui donner ma pièce de platine pour racheter l'esclave, mais cela aurait été compromettre ma mission, j'irais la rechercher plus tard et offrir à cette femme l’opportunité de vivre dans une nation plus humaine.

Trente-six minutes de marche furent nécessaire pour arriver devant la demeure de la vampire, où était aussi logé le harem. Les gardes stoppèrent mon avancé, comme tout bon garde qui se réspecte ils contrôlèrent mon identité, le but de ma visite et la dangerosité de mes objets.

Je répondis aimablement tout en présentant ma fiche d'identité, que je venais pour chercher auprès de cette Dame une possible quête à initier en son nom, que n'étant qu'un chevalier errant je souhaitais accomplir des prouesses et qu'une femme aussi renommée et puissante pouvait m'apporter que de bonne chose. Les gardes semblèrent dubitatifs, mais très vite un valet fut envoyé auprès de la vampire, elle devait savoir que les chevalier errants ne cours par les rues et que ses derniers ne cherchaient bien souvent que de la richesse pour s'installer paisiblement dans un coin paumé. Pour moi la raison était tout autre, il fallait que je m'approche d'elle, que je passe tout les sortilèges par la voie de l'invitation de la maîtresse de maison. Les sort de protections marchent généralement tous de la même manière, sans invitation volontaire de la personne le sort est actif, une fois l'invitation formulée je n'aurais plus de soucis à me faire sur ça.

J'attendis un long moment, sans doute était-ce simplement mon attention qui était à son comble, mais le temps me paraissait excessivement long, elle ne pouvait pas remettre en doute les papiers, si les informations étaient factices, le papier, la signature et le tampons étaient  tous véridique. Je ne fis aucun geste, devenant presque une statue, voulant démontrer mon entrainement militaire de cette manière, dans le cas où la vampire me fixait d'une des nombreuses fenêtres. Finalement une servante se mit à donner un message aux gardes qui retirèrent leurs haches de batailles de mon chemin. La demoiselle vint à me demander de la suivre, disant que sa maîtresse souhaitait accéder à ma demander et désirait s'entretenir avec moi. Je ne fis nullement attention aux murs et leurs décorations, pas besoin d'en savoir plus sur les goûts d'une esclavagiste, rien que le fait de savoir qu'elle parcourt ses couloir et que je respire son air me donne un profond dégoût, seulement pour le bien de ma mission je dois rester stoïque.

La servante ouvrit deux grande porte et je vis la fameuse Mélinda, accompagné d'un homme qui devait être son frère Bran, une personne qui semblait être fin combattant au vue de son regard sur moi et à sa posture en apparence décontracté mais prête à agir en cas d'agression.  Je n'avais pas prévu que cet homme soit là, le plan allait devoir quelque peu changer.

Je m'avance de quelque pas et pose mon genoux droit à terre, saluant les deux personnes.

- C'est un honneur pour moi de pouvoir rencontre Dame Mélinda et messire Bran.

Présenter mes intentions officielles était une faute à ne pas faire, il était de coutume de laisser la personne quémandé, dans ce cas là la vampire, poser les question et y répondre sagement. Aucune agressivité ne pouvait être perçu par ma posture ou mes mots, cela était dur pour moi de ne pas plonger sur elle et planter mon arme, seulement il y avait son frère qui pouvait ruiner mon plan. Mon coeur battait vite, me posant tout de même la question de la raison d'une telle attente à la grille. Qui sait les ashnardiens avaient peut-être des moyens de confondre les gens sans pour autant les avoir en face.
Jeune prince errant en tant que chevalier sur des terres hostiles.

Mélinda Warren

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 1 dimanche 17 novembre 2013, 03:09:58

« Apporte-moi mon verre ! »

La démarche d’Aiko, dans sa belle tenue de maid, était légèrement gauche, mais elle s’en sortait de mieux en mieux. Répondant du mieux qu’elle pouvait à l’ordre de Mélinda, Aiko s’avança lentement. Ses collants moulaient parfaitement ses formes, mais quiconque l’aurait vu aurait eu cette impression qu’elle marchait difficilement, que son équilibre était hasardeux. Ses pas étaient lourds, et ne faisaient pas naturels. Pour autant, sans la gag ball, Mélinda trouvait qu’AIko se débrouillait bien. Ses yeux étaient cachés par un bandeau noir, mais elle se dirigea naturellement vers sa Maîtresse. Mémorisant les lieux, elle marcha prudemment à hauteur des petites marches menant à l’estrade où, assise dans un confortable fauteuil, Mélinda dominait sa « salle du trône ».

Les deux mains d’Aiko tenaient un plateau comprenait une bouteille d’un liquide écarlate, ainsi qu’un verre à pied, rempli de ce nectar rouge sang. Il s’agissait bel et bien de sang, et Mélinda prit le verre, ainsi que la bouteille, déposant cette dernière sur une petite table à côté.

« C’est bien, Aiko.
 -  Me… Merci, Maîtresse. »

En contrôlant sa respiration, Aiko parvenait à ne pas gémir de manière trop auditive. Sa formation de serveuse était sur le point de s’achever, et Mélinda en profita pour couler un regard autour d’elle.

Sa « salle du trône » n’était rien de plus qu’une sorte de salle d’audience, de salon privé, où Mélinda recevait généralement les clients et les invités qu’elle ne connaissait pas. Ce n’était pas son bureau, simplement un lieu de détente, où elle administrait la politique interne de son harem : nominations, promotions, punitions... Le harem fonctionnait comme un microcosme totalitaire, dirigé et gouverné intégralement par Mélinda Warren. Le règlement intérieur du harem faisait office de Constitution, et comprenait les obligations respectives des esclaves, les sanctions, et la hiérarchie interne du harem. Aucune partie n’était consacrée à leurs droits, ces derniers se déduisant en réalité de l’échelle des sanctions, permettant d’établir une certaine forme de protection. Officiellement, cette pièce était donc une salle d’audience ; en interne, on l’appelait la « salle du trône ».

Plutôt grande, elle avait une forme circulaire avec, en centre, une estrade sur laquelle trônait le fauteuil de la Maîtresse arrogante des lieux. Dans sa belle robe dorée, Mélinda avait les jambes légèrement écartées, facilitant ainsi l’accès de son divin sexe à une neko. Avec un collier autour du cou, cette dernière léchait avidement le sexe de sa Maîtresse, recueillant sa cyprine, ce nectar magique, à chaque fois que cette dernière s’échappait des lèvres roses intimes de cette femme. Les murs étaient généralement rouges et chaudes, et, le long des murs, on pouvait voir de curieuses grilles, montrant un conduit aquatique. Il abritait les couloirs aquatiques de la sirène de Mélinda, Ligie. Elle tenait compte de la proximité entre le harem de Mélinda et le Palais Impérial pour se rapprocher des douves, si grandes qu’elles formaient un lac autour du château. Mélinda autorisait Ligie à de tels déplacements, car les sirènes supportaient très mal la captivité.

Plusieurs tapisseries étaient peintes le long des murs. De nombreux tableaux du harem étaient des portraits de la propriétaire des lieux, mais les tapisseries figurant dans cette salle représentaient des scènes de sexe, avec de belles femmes, de beaux hommes, du cuir, du latex, des chaînes, des fouets, des orgies. La lumière émanait de grandes fenêtres aux rideaux partiellement tirés, donnant ainsi à l’ensemble une atmosphère tamisée.

Outre les tapisseries, les murs étaient également décorés par quatre « œuvres » atypiques : des femmes. Elles étaient attachées contre le mur, retenues par des chaînes aux bras et aux jambes. Des bandeaux recouvraient leurs yeux, et desgag ball se situaient sur chacune de leurs bouches, les empêchant ainsi de parler. Elles avaient de longs collants et des gants en latex, généralement de couleurs noirs, même si l’une d’entre elles avait une couleur rouge, bordeaux. Attachées en croix, elles étaient perpétuellement pénétrées par un appareil fixé à un corset sanglé en latex sur leur corps, qui dissimulait leur poitrine. L’appareil comprenait deux godes qui s’enfonçaient dans leurs corps, vibrant lentement. Elles se tortillaient contre le mur, certaines depuis plusieurs jours.

D’autres esclaves étaient justement en train de les nourrir quand l’invité de Mélinda entra. Elles enlevaient le gag ball, couvert de salive, et donnaient à l’esclave, par le biais d’une paille, de l’eau, et une sorte de soupe nutritive, avant de remettre le gag ball. Ce genre de décorations ornaient également certains couloirs du harem, et les clients avaient le droit de toucher, de lécher, d’embrasser, et, naturellement, de jouir sur le corps de ces femmes. Les pénétrer, en revanche, était interdit.

On lui avait annoncé un courageux chevalier voulant accomplir une quête en son nom. Mélinda, amusée, avait accepté l’offre. Plusieurs chasseurs se présentaient parfois devant elle, afin d’apporter leur assistance. Ils étaient des indépendants, ou venaient de guildes. Les esclavagistes les utilisaient souvent pour retrouver d’anciens esclaves qui s’étaient évadés.

Elle vit ainsi un bel homme entrer. Son corps était tout de courbe, une carrure très féminine. À dire vrai, s’il ne s’était pas lui-même présenté comme un chevalier, elle aurait cru à une femme. Rapidement, elle sentit le cœur de l’homme battre dans sa poitrine. Excitation ? Peur ? Impossible de le dire, mais son sang... Son sang était treès appétissant. Cet homme n’était pas un simple humain, et Mélinda but un peu de sang.

« C'est un honneur pour moi de pouvoir rencontre Dame Mélinda et messire Bran. »

Mélinda s’esclaffa, et reposa son verre à côté d’elle, tout en tendant l’une de ses mains pour caresser la tête de sa neko, une belle petite créature blonde, qui poussa un petit couinement.

« Dame Mélinda ?! plaisanta cette dernière. Il n’y a qu’un pieux chevalier pour appeler ‘‘Dame’’ une roturière... Mon statut de noble m’a été retiré le jour où mon père m’a vendu comme esclave... Et le jour où les Ashnardiens ont, au nom du tribut versé par les traîtres, spolié l’ensemble des terres des Warren. »

Pendant longtemps, les Warren avaient été une puissante famille ashnardienne, un clan fermement implanté dans l’Empire, qui avait rejoint la cause de l’Empereur Fou lors de la Guerre Civile. Les Warren avaient beaucoup perdu.

« Ainsi donc, vous désireriez travailler pour moi ? Mais qui êtes-vous donc ? Présentez-vous à moi, bel homme, peut-être trouverais-je quelque chose à vous donner à grignoter. »

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Bellephia

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 2 dimanche 17 novembre 2013, 09:52:46

Je ne portait aucun regard vers la vampire, devant attendre les question pour le faire, mais contre toute attente elle se mit à rire, démontant d'une simple phrase la mienne, aurais-je été imprudent ? Cela semblait le cas, j'avais tout de suit sauté sur es conclusion en pensant que pour être esclavagiste il fallait impérativement de l'argent et du pouvoir, tout ce qu'un noble a besoin pour survivre dans cette nation impitoyable. Aussi mon regard fit une légère remonté, accompagnant mon visage et une chose vint agresser mon nez, il y avait une odeur qui m'insupportait, celui du sang, je me mis à chercher furtivement l'endroit d'où pouvait émaner cette odeur, découvrant toute les horreur que cette femme faisait subir à ses esclaves, des bibelot vivants, voilà ce qu'elle faisait d'être pensant. Finalement je vis le verre de "vin", le nectar vermeille ne pouvait qu'y être, sans doute cette créature l'avait prit sur une de ses victimes, elle aurait bien put tuer une de ses pauvres femmes pour assouvir sa soif de sang. Cela ne fit que contenir ma rage qui était proche d'exploser, heureusement la vampire se mit à me poser une série de question, même si le terme "grignoter" n'était pas des plus fameux à mes oreilles. Il était temps pour moi de  m'exposer davantage à son jugement pour me permettre de m'approcher progressivement de cette vampire et gagner sa confiance, même si j'eus  un profond doute sur le fait qu'une esclavagiste est ce genre de sentiment.

- Avant de répondre à vos interrogations je souhaiterais revenir sur ce que vous avez dit précédemment, sans vouloir vous froisser bien sûr. Etant un chevalier errant il m'est parmi d'appeler Dame toute femme que je sert, qu'elle soit une une simple paysanne ou une Reine, je n'avais cependant pas entendu dire que votre statut de noble vous avait été retiré, n'étant pas du genre à trop regarder le passé des femmes ou des hommes que je sers.

Je me devais de faire attention à mes dires et puis elle avait soulignée qu'elle avait été une esclave ... si elle l'avait été elle n'aurait pas prit la place de son bourreau, mais plutôt celle du défenseur, ainsi ses paroles me semblaient si peu convaincante pour que je puisse y apporter une quelconque attention. De plus elle n'irait pas à exhiber ses pauvres femmes dans des situation aussi honteuse et embarrassante.  Je ne pouvais décidément pas comprendre la manière de penser des esclavagistes. Mais il me fallait à présent la prendre avec des pincettes en formulant de réponses crédibles, mais surtout ne pas perdre son sang-froid, qui était en vérité aussi chaud qu'un volcan sur le point d'entrer en éruption.

- Mon nom est Bellephia, Bellephia Endorphine. Je suis né sur une contrée qui se trouve à la frontière entre Ashnard et Nexus. Mon pays natal à depuis toujours émit sa neutralité envers les deux nation et sert bien souvent de point relais. J'ai fêté il y a peu mon dix-huitième année et mon père a souhaité que j'explore le monde pour le découvrir et servir des personnes pour me construire une opinion et un réseau quand il me jugera digne de le succéder. Au fil des ans ma mère m'a initié à la création de bouclier magique, elle n'est pas une puissante sorcière, mais a gagné l'estime de son peuple par une élocution respectable et charmeuse. Comme vous pouvez le voir ...

Je saisi en douceur ma rapière, ne faisant pas de geste brusques, son frère semblait être assez tendu comme garde du corps, puis je dépose mon arme devant moi. J’espérais qu'ainsi elle pourrait me croire sans défense. S'il advenait que Bran utilise ma rapière pour me planter où qu'il active la capacité de mon arme sur moi, il aura une belle surprise en voyant un bouclier apparaître et me protéger.

- ... je manipule la rapière, certes ce n'est pas aussi puissant qu'une épée longue, mais permet de faire des exécutions propres tout en convenant à la chevalerie de mon pays. Pour ce qui est du travail je peux, si vous le souhaitez, être un simple serviteur ... Je ne vais pas offenser Messire Bran en me proposant comme garde du corps, car visiblement il tient beaucoup à votre protection et cela serait blesser sa fierté que de lui soustraire à ses obligations d'ainés. Excusez ma méprise Dame Mélinda il se trouve que j'ai oublié un élément dans ma descritpion et je prie messire Bran de ne pas prendre l'action qui va suivre pour une agression, il ne s'agit là que d'une preuve de ce que je vais dire par la suite.

Je me mis à contracter doucement mes ailes, qui les sortir de mon dos, passant par de petite ouverture faites sur ma tenue, la Fine-Toison s'adapta d'elle-même, étant porté en général par les ange-déchus elle savait comment se comporter quand son maître voulait sortir et rentrer ses ailes. Ainsi cette vampire put admirer mon aile noire et l'autre blanche.

- Il se trouve que je suis un ange-déchu, non pas que j'ai été ange un jour, mais l'union de mon père et de ma mère a donné un mélange assez  ... spectaculaire dirons-nous. Je ne possède pas les capacités magique de cette race, mais je peux vous servir d'éclaireur en survolant des zones, de plus j'ai reçu une formation dans le cas où il y aurait des combat aériens. Je crois vous avoir tout dit Dame Mélinda.
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Mélinda Warren

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 3 lundi 18 novembre 2013, 03:27:50

Ses divines jambes fuselées croisées, Mélinda buvait le contenu de son verre, par intermittence, tout en oscillant son attention entre Bellephia et Aiko. Sa brave maid marchait assez difficilement, se rapprochant de Bellephia, probablement pour prendre sa commande. Ses joues restaient légèrement rouges, et elle se forçait tout simplement à marcher, comme on le lui avait enseigné, afin de s’habituer à ce qu’elle avait sous sa belle robe de maid. Entre-temps, Bellephia se présenta, et Mélinda sut dès le début qu’il lui mentait. En réalité, elle aurait été vexée qu’il lui dise immédiatement tout ce qu’il voulait. Venir ici pour demander un emploi n’était pas très cohérent. Les harems de luxe n’embauchaient pas à la tête des clients, mais sur dossiers, et presque toujours auprès d’anciens gardes impériaux ou de guildes réputées, que ce soit pour leurs gardes personnels, ou pour les chasseurs d’esclaves. Ce qui mit la puce à l’oreille de Mélinda, ce fut la référence à ce pays « neutre », à la frontière entre Nexus et Ashnard. Cet argument ne tenait tout simplement pas debout, car il n’existait aucun État neutre qui oserait officiellement se déclarer politiquement neutre en se situant entre les deux. Les Nexusiens le verraient comme une puissance alliée aux Ashnardiens, et il en serait de même pour les Ashnardiens, qui l’auraient déjà envahi en envoyant leurs Légions, afin d’avoir une colonie avancée pour continuer leur lente marche vers Nexus.

Bellephia observait distraitement la scène, et Mélinda le trouvait... Plutôt beau. Ses doigts titillaient ses lèvres, alors qu’elle réfléchissait, tandis que sa neko sentit le taux de cyprine augmenter, ce qui accentua ses mouvements buccaux. Si ce Bellephia n’avait pas été si beau, il aurait été recalé d’entrée. Les gardes connaissaient les critères d’admission pour Mélinda. Son harem avait une certaine respectabilité à défendre, et les gueux et les miséreux n’étaient pas admis. Bellephia leur remit son épée, une belle rapière, et continua à parler. Il rejetait l’idée de se proposer comme « garde du corps », ce qui fit doucement sourire Mélinda... Avant de montrer deux ailes pointant dans son dos.

Des ailes d’Ange ! Mélinda cligna des yeux, remuant un peu sur place, et sentit sa gorge s’assécher, alors que Bellephia, sachant très certainement qu’il avait capté l’attention de Mélinda, précisa sa nature :

« Il se trouve que je suis un ange-déchu, non pas que j'ai été ange un jour, mais l'union de mon père et de ma mère a donné un mélange assez  ... spectaculaire dirons-nous. Je ne possède pas les capacités magique de cette race, mais je peux vous servir d'éclaireur en survolant des zones, de plus j'ai reçu une formation dans le cas où il y aurait des combat aériens. Je crois vous avoir tout dit Dame Mélinda. »

Elle claqua des lèvres. Sa nature d’hybride faisait sans doute qu’elle n’avait pas reconnu d’entrée ce sang d’essence divine. Parmi tous les sangs qui existent en ce bas-monde, il était communément admis qu’il n’y avait pas de sang plus pur que celui des Anges, plus juteux et plus délicieux que ceux façonnés par les Dieux pour être des égéries, des exemples de perfection, un Idéal à atteindre. Bellephia se définissait comme un Ange déchu, ce qui, aux oreilles de Mélinda, n’était pas totalement vrai. Il ressemblait plutôt à cette catégorie intermédiaire, hybride, qu’on appelait les Nephalem. Cependant, connaissant les Anges, qui étaient très absolus, elle se doutait bien qu’il y avait peu de différences, à leurs yeux, entre un Nephalem et un Déchu.

« Voilà qui est... Intéressant... », finit par dire Mélinda après quelques secondes.

La petite vampire continuait à réfléchir. Un Ange qui viendrait de lui-même proposer ses services ? Impensable, compte tenu de leur arrogance... Et de leur aberration pour le sexe. Réfléchissant donc un peu, Mélinda décida de soumettre ce Bellephia à une légère expérience.

« Ta capacité à voler pourrait être d’une certaine utilité pour récupérer des esclaves... J’en ai malheureusement assez peu qui s’échappent. Ils aiment se faire torturer et violer par moi, semblerait-il... »

Elle cherchait à le provoquer, et elle décida d’enfoncer le clou.

« Tu pourrais protéger des femmes comme Aiko quand elles sont demandées par des clients... Aiko ! Montre donc à notre invité ce que tu caches dans ton attirail.
 -  O-Oui, Maîtresse… »

Docilement, Aiko se rapprocha de Bellephia, et, devant lui, ôta son uniforme de maid. Sous ce dernier, il y avait une machinerie complexe, une sorte de vêtement en latex sanglée recouvrant son corps. La fermeture Éclair à hauteur de la culotte dissimulait la présence d’un vibromasseur, tandis que la jeune femme avait perpétuellement deux épingles pressées sur ses tétons. Elle joignit ses mains dans son dos, en position de soumise, face à l’homme, ses mains tendus vers lui.

« Caressez-là, Bellephia... Montrez-moi donc à quel point vous êtes prêt soutenir ma cause et ma petite entreprise... Montrez-moi l’étendue de vos compétences... »

DC d’Alice Korvander.

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Bellephia

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 4 mardi 19 novembre 2013, 00:23:38

Je vis que les commentaires sur ma race avait pour le moins attiré l'attention de la vampire, je ne pouvais savoir si cela aurait de bonne ou de mauvaise conséquence quand à la suite des événements. Cependant je pus constater une certaine expression qui dévoilait l'esprit dubitatif sur ma "nation", avais-je commit des erreurs sur mon élocution ? Non le ton était clairement contrôlé, cela ne pouvait pas venir de là. Sans doute m'étais-je trop avancer sur mes faibles connaissances des différentes nations, leurs frontières était si proche l'une de l'autre ? Dans ce cas comment pouvaient-ils se supporter sans avoir clairement des envie d'invasions. A ce que je savais leurs mode de vie, politique et gestion des ressources avaient des divergences. Ma silencieuse réflexion fut subitement interrompue, la vampire semblait clairement ravie que je sois une créature si rare. Mon honneur fut une première fois bafoué par les propos de cette esclavagiste, pour elle je ne serais bon qu'à rabattre les brebis qui se seraient écartés du troupeau, je commençais à comprendre pourquoi mon père ne pouvait supporter la présence des esclavagistes, s'ils agissaient tous ainsi ... mais ce n'était pas fini, loin de là. Mélinda ne semblait pas être du genre à dissimuler sa pensée, traitant les esclaves comme des jouets alors qu'elle serait une petite fille, pouvant briser et profiter sans l'avis de ses sujets.

Dans la nation de mes parents, tout ancien esclave ne pouvant oublier des années d’endoctrinement pouvait continuer à être des esclave, à ceci près que les maîtres et les maîtresses devait les considérer comme des serviteur, des êtres pensant ayant des aspirations, même modeste, des êtres qui peuvent avoir des sentiments. Ashnard et Nexus étaient vraiment des pays de sauvage. Ce n'était plus du sang qui coulait dans mes veine mais de la lave, prendre aussi peu de considération pour ses serviteurs, surtout que la servante ici présente semblait bizarre, je ne pouvais pas dire de quoi il s'agissait, si ce n'est qu'elle semblait éprouver des frissons, peur ? Autre chose ? Je ne pouvais le dire précisément, mais mon intuition me disait que la vérité serait encore plus terrible. Il était clair que la vampire cherchait à me provoquer, chose qui malheureusement risquait de marcher, après tout on touche à une corde sensible qu'est la condition humaine.

Mélinda se mit à parler d'un poste de gardien, protégeant les personne comme cette servante, qui portait un beau prénom, des clients, ce terme me donnais l'envie de planter ma lame entre ses deux yeux, les esclaves ne sont pas de la marchandise, mais peut-être que dans ses nations primaires cela était une vision trop novateur. Je vis la servante se rapprocher de moi et faire un petit strip-tease, je ne fus pas tellement intrigué, j'avais apprit aussi un peu à jouer avec mon corps pour le sublimer dans l'érotisme, seulement d'un regard respectueux s'en suivit un regard peiné, je ne connaissait pas cet outils de torture, mais rien que son apparence grotesque montrait l'étendu de la cruauté. Cela ne semblait pas magique et donc je me posais un peu la question sur son fonctionnement. En toute logique si on suit le raisonnement d'un mécanisme hydraulique, l'énergie devait provenir des petites poches. Le plus horrible fut certainement de la voir obéir aveuglément, cela fut la goutte qui allait inonder la vampire d'une raz de marée nommée justice.

Doucement je m'approche de la servante, faisant glisser mes doigts sur son corps, cela restait érotique, cela pouvait sans doute exciter Aiko, mais le but premier était de sentir tout les fils. une fois ceci fait j'utilise ma magie pour former de tout petit bouclier, qui bloquent la source d'énergie, cela semblait marcher vu que ses petite choses ovale n'émettaient aucun bruit, je repousse doucement la servante, retirant au passage les pinces.

- Cela suffit pour aujourd'hui mademoiselle Aiko.

Je sortie de mon voile semi-transparent une longue cape chaude, que j'utilise pour recouvrir le corps de cette servante.  Elle semblait aller un peu mieux, même s'il devait rester encore quelques un de ses mystérieux mécanisme, cette femme continuait d'éprouver du plaisir, mais dans des mesures moindres.  Cela était suffisant pour moi. Je pose ma main sur l'épaule de la servante et use de mes mots pour la convier à rester hors de la pièce, devant "m'entretenir de chose importante avec la maîtresse de maison". Aiko était visiblement manipulable, chose que je ne pouvais que reprocher aux traitements inhumains des esclavagistes. Une fois partie et seul avec Mélinda et Bran, je me mit à soupirer bruyamment.

- Et si nous arrêtions cette farce de très mauvais goût. Peut-être voyez-vous dans le sexe une forme de loyauté, il ne sera donné de moi que de l'érotisme et non davantage. De plus je dois avouer que vos "outils" sont pour le moins étrange, pas de magie, une nouvelle source d'énergie sans doute, mais je présume qu'il s'agit là d'un secret jalousement gardé.


Je fis un rapide analyse de la situation, les vampires sont réputés pour leurs puissances et leurs vitesses, en outre ils ont aussi une grande capacité régénératrice. Son frère devait être lui aussi un vampire, cette race préférant se regrouper pour être plus fort et s'organiser. User une de mes bottes pourraient certainement les déstabiliser, mais cela ne marchera qu'une fois et il fout être certain de toucher, peut-être faire exploser la salle ... non c'est trop dangereux pour l'instant, de plus il y a encore une personne innocente, laissons les avancer leurs pièces et voir comment la situation tourne.

- Comme je vous l'ai dit Dame Mélinda, je suis un chevalier, comprenez donc qu'il y ai des choses que je me refuse à faire, il va sans dire que si vous ne m'etimez pas à la hauteur de vos attentes je partirais de ce pas.

La vérité dans tout cela ? S'ils se doutaient de quelque chose ou encore venait à me renvoyer, alors j'agirais pour la faire tomber. Le soucis principal étant la servante occupée à lécher l'esclavagiste, je ne pouvais pas agir aussi librement que je le désirais, n'étant pas aussi cruel que ses sauvages au point de la blesser. La vampire ne le savait sans doute pas mais la présence de la servante faisait office de protection contre les attaques les plus meurtrières que j'avais en réserve.
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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 5 mardi 19 novembre 2013, 23:51:12

Assise sur son trône, Mélinda attendait. Les mains du mystérieux chevalier angélique caressèrent le corps d’Aiko, explorant ses formes, et il choisit d’essayer, dans la mesure du possible, de désactiver le fonctionnement de la combinaison, notamment en retirant les épingles, et en utilisant sa magie pour bloquer le fonctionnement des vibromasseurs qui pénétraient Aiko. Cette dernière entrouvrit les lèvres, troublée, et regarda nerveusement autour d’elle, s’écartant un peu, tandis que Bellephia retourna s’adresser à une Mélinda qui souriait de moins en moins. Cette « farce de très mauvais goût » était effectivement en train de l’impatienter, de l’agacer au plus haut point. Pour qui se prenait donc cet homme, à recouvrir ainsi Aiko d’une cape, agissant comme si cette dernière devait avoir honte de quelque chose ?

« Comme je vous l'ai dit Dame Mélinda, je suis un chevalier, comprenez donc qu'il y ait des choses que je me refuse à faire, il va sans dire que si vous ne m'estimez pas à la hauteur de vos attentes je partirais de ce pas. »

Mélinda ne dit rien, et observa Aiko. Les jambes tremblantes, elle regardait nerveusement autour d’elle. Bien sûr, on ne pouvait pas voir ses yeux, à cause du bandeau, mais Mélinda percevait son trouble, non seulement à travers ses oscillations sanguines, mais aussi, tout simplement, à travers la manière dont son corps remuait de gauche à droite. La cape qui la recouvrait faussement ne resta guère que quelques secondes avant de tomber sur le sol, et Mélinda, pour éviter une crise, haussa la voix.

« Aiko ! Viens me voir ! »

La jeune femme tourna la tête vers la voix reconnaissante de sa Maîtresse, cette voix empreinte de douceur et d’autorité, et elle la rejoignit rapidement, manquant trébucher sur le sol. Les vibromasseurs étaient retirés, déformant sa culotte. Elle atterrit aux pieds de Mélinda, qui en profita pour écarter la neko, tandis qu’Aiko, en train de pleurer, attrapait l’une de ses mains.

« Maîtresse, je suis désolée, désolée, désolée ! »

Elle embrassait ses doigts, comme un serf venant réclamer la clémence de son seigneur. Mélinda s’humecta les lèvres, et remua les doigts.

« Désolée ? De quoi donc, Aiko ? »

Elle baissa encore la tête, blême, avant de la relever. Sous son bandeau, des sillons de larmes apparaissaient.

« J’ai échoué, je vous ai déçue ! »

Mélinda pencha la tête sur le côté. Elle savait très bien ce qui agitait Aiko, naturellement. En la repoussant, et en la retirant de cette espèce de bain sexuel dans lequel Aiko baignait, Bellephia l’avait tiré de sa douce rêverie, de ce rêve érotique qu’elle était en train de faire. Autrement dit, elle avait le sentiment d’avoir commis une erreur, d’avoir trompé la confiance de sa Maîtresse.

« Allons, Aiko... »

Mélinda posa chacune de ses mains sur les joues de la femme, et se laissa alors descendre de son fauteuil, atterrissant sur le sol, devant elle, assise sur ses genoux. Elle se pencha alors, et embrassa la jeune femme sur les lèvres. Aiko émit un soupir silencieux, tandis que Mélinda prolongea le baiser pendant quelques secondes.

« Tu t’en es très bien sortie, Aiko, tu n’as pas à rougir de ta performance... »

Mélinda se redressa, et fit signe à quelqu’un de venir chercher Aiko. Mélinda aurait bien aimé s’occuper en personne du cas de la jeune femme, dont la tenue érotico-sanglée l’excitait énormément, mais elle devait s’occuper d’un invité, qui apparaissait de plus en plus comme quelqu’un d’indésirable. Mélinda s’étira un peu, et retourna s’asseoir, laissant s’écouler quelques secondes. Elle but ensuite un peu de son verre de sang, et reprit :

« Permettez-moi de vous éclairer de quelques points de droit, ‘‘chevalier’’. Un homme prétendant servir la justice devrait se tenir au courant des lois en vigueur dans les endroits où il se rend. »

Mélinda laissa planer une petite pause théâtrale, avant de reprendre :

« Vous avez commis une infraction susceptible, non seulement d’un bannissement à vie de mon établissement, mais aussi de dommages-intérêts, et éventuellement d’une condamnation pénale. En vous en prenant au corps d’Aiko, et en modifiant son dispositif, vous avez désorganisé le fonctionnement de mon harem, justifiant le bannissement, mais vous avez également commis une infraction pénale, consistant à porter atteinte aux biens d’un esclavagiste. Nous allons donc arrêter cette ‘‘farce’’, comme vous le dites. »

Le ton n’était guère amusé, plutôt sec. Mélinda n’aimait pas qu’on se paie sa tête, encore moins qu’on perturbe le fonctionnement de ses esclaves. Pendant toute la journée, Aiko sera troublée, ce qui nécessitera certainement de la part de Mélinda une rééducation intense, d’où une perte de temps substantielle.

« Votre histoire farfelue de chevalier angélique voulant aider une esclavagiste me semble aussi logique que d’imaginer une Celkhane donner le fouet à une neko. Vos jolies courbes efféminées transpirent de mépris à mon égard, vos yeux sont remplis de cette arrogance angélique si commune à nos chers oiseaux... M’appeler ‘‘Dame Mélinda’’ ne fait que renforcer ce mépris que vous utilisez à mon encontre. Aussi, si vous ne voulez pas que je vous envoie manu militari dans les prisons, où votre joli cul risque fort d’être souillé par des geôliers bedonnants et scarifiés, je vous conseille vivement d’arrêter vos conneries, et de me dire ce que vous me voulez. »

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 6 mercredi 20 novembre 2013, 14:34:32

La pauvre servante se mit à réagir quand la vampire prononça son prénom, Aiko vint rejoindre sa maîtresse, manquant de s'étaler sur le sol,un petit bouclier magique permettant à l'esclave de ne pas trébucher. Je pouvais en vouloir aux esclavagistes, mais pas aux êtres ayant été manipulés par ses êtres abjects. Ce qui vint à me poser plus problème est la fait qu'à présent Mélinda possédait deux personnes pour la protéger d'une attaque directe. L'humaine vint à demander des excuses auprès de Mélinda, ce genre d’attitude ne me faisait qu'haïr encore plus les esclavagistes. On ne pouvait pas blâmer les esclaves, qui avaient bien souvent l'esprit formée pour se dévouer aux maîtres et maîtresses comme s'ils étaient des divinités, hors ils ne sont pas d'essence divine, pour avoir été formée en tant que prêtresse dans un temple. La vampire vint à la complimenter, l'art de créer des liens employé ainsi, cela me donnait presque envie de vomir. 

C'est alors qu'elle reprit son attention sur moi, allait-elle une fois de plus me donner des ordres ? non, elle se permit de me faire la morale, des notions de droit ... il était vraiq ue je n'avais pas encore prit le temps d'étudier les lois sur cette nation, d'une autre côté je m'attendais à des propos à l'image de cette nation de barbares. Le mot "justice" passa très mal dans la bouche de cette esclavagiste, nul doute que dans cette nation ce genre de personne devait être protégé par la loi. Il y eu un léger temps de silence, cela pour sans doute mettre l'accent sur la suite des événements, Elle ouvrit la bouche et je me mis à portée attention sur ses dires.

Elle usa de terme comme par exemple infractions, qui m'aurait pu donner lieu à une exclusion, de toute manière ma motivation réelle allait enfreindre beaucoup de règle, aussi j'enregistre les règles qu'elle vint proférer, avec un ton qui m'irritais, elle me disait être arrogant, mais elle n'était pas dans une position plus enviable par sa position dominante, cherchait-elle à soumettre son autorité par le simple fait qu'elle soit chez elle ? Ridicule. M'en prendre au corps de cette servante ? Je n'ai fait que la vêtir, en quoi éviter qu'elle n'attrape froids faisait de moi un criminel ? Toucher au dispositif était considérer comme une atteinte aux biens de l'esclavagiste ? Elle n'avait u'à s'en prendre à elle-même de rendre ses outils aussi fragile à la manipulation magique, je n'avais aucun regret sur mon action, si ce n'est qu'Aiko y soit dépendante, au vue de sa réaction, une raison de plus de détester les esclavagiste par leurs méthodes qui impose des choix en limitant ceux des esclaves.

La vampire se mit à user d'un ton sec, qui ne me fit rien, elle semblait aussi s'énerver et usa de terme que je ne pouvais comprendre, Celkhane ? Manu milirai ? Faisait-elle exprès d'utiliser des mots que je ne savais pas ? Sans doute, mais le fait de me menacer d'aller en prison me fit légèrement rire, tout comme le fait qu'elle voulait que l'on arrête de se mentir.

Usant d'un bouclier magique que je met autour de ma rapière, je la ramène à portée de bras, saisissant mon arme. Je n'avais plus beaucoup de corde à mon arc, mais mieux valait éviter de toute les utiliser contre un seul adversaire. Aussi je regarde la vampire droit dans les yeux.

- Soit, vous voulez savoir ma véritable raison. Le fait est que je souhaite simplement que vous arrêtiez d'avoir des esclaves, vous n'êtes pas aussi réputé que certain, mais vous avez toute de même un certain poids dans cette cité de sauvage. Je préférerais éviter au possible de devoir user de la violence, sans parler que si je ne vous ai pas agresser jusqu'à maintenant c'est simplement par la présence des deux servantes présentent ici-même à vos pieds.

Je pointe le bout de ma rapière vers la maîtresse des lieux.

- Je ne sais pas qui sont vos Celkhane, cependant au vue de vos propos elles ont des idéaux beaucoup plus sains que vous. Je vous laisse donc le choix entre trois possibilité, me promettre d'arrêter, mais je surveillerais vos agissements dans l'ombre pour m'assurer votre sincérité, refuser, dans ce cas je devrais vous faire changer d'avis par la force s'il le faut. La troisième est nous réglions cela dans un défi qui n'a aucun rapport avec le sexe ou le savoir brut, sachant pertinemment que votre âge vous offre un avantage inégal. Si vous optez pour la troisième solution et que je gagne vous devrez abandonner tout vos biens et me confier tout vos esclaves, libre à vous de me faire part de votre gage en cas de défaite de ma part.

Proposer une méthode diplomatique en troisième solution me faisait un peu mal au coeur, mais si je n'avais pas fait cela elle m'aurait certainement imposé une troisième solution,  ce qui m'aurait mené à ma perte. Les vampire peuvent être vicieux par leur âge avancé. Il ne faisait aucun doute sur le prix à payer en cas 'échec. J'avais bafoué plus d'une fois son autorité, pire si ses fameuses Celkhane étaient des libératrices d'esclave. La vampire allait certainement vouloir prendre ma liberté pour m'être dressé devant elle.
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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 7 vendredi 22 novembre 2013, 01:49:56

Jambes croisées, tête posée sur ses doigts, son bras faisant office d’accoudoir, Mélinda suçotait tendrement et évasivement l’un de ses doigts. Bellephia avait, par magie, repris son arme, et la pointait face à Mélinda, en lui proposant trois options qui la firent délicieusement glousser. Ses yeux pétillèrent d’amusement. Cet homme devait probablement être suicidaire, mais la détermination qu’elle lisait dans ses yeux laissait entendre que l’homme, en réalité, ne plaisantait pas du tout. Mélinda attendit donc quelques secondes, avant de se redresser un peu. Sa langue claqua sur ses lèvres, et elle entremêla ses mains, avant de lentement répondre :

« Si je comprends bien, je devrais remettre un bâtiment que j’ai mis des siècles à reconstruire, des centaines et des centaines de femmes qui voient en moi la mère dont elles ont été privées, ainsi qu’une fortune patrimoniale considérable, pour les beaux yeux d’un petit homme efféminé avec des ailes d’ange qui me menace avec une rapière ? »

Dans le dos de Bellephia, des gardes se rapprochaient. Ils portaient des vêtements noirs, avec des masques recouvrant leurs visages. On ne pouvait voir que leurs yeux, ce qui leur donnait un charme relativement mystérieux, qui plaisait généralement aux servantes de Mélinda quand elles se faisaient prendre par eux contre les murs du harem. Il y en avait une demi-douzaine, qui formèrent progressivement un demi-cercle dans le dos de l’homme. Mélinda poursuivit, en posant chacune de ses mains sur les accoudoirs, tandis, que, lentement, un système de sécurité se mettait en place. Le long des murs, des panneaux se soulevaient progressivement, révélant, derrière, les cristaux des esclavagistes : de belles pierres précieuses en obsidienne, incrustées dans les murs, qui avaient pour effet d’empêcher toute activité magique à proximité. Il y en avait suffisamment pour protéger toute la zone.

« J’ai une autre proposition à faire, Sieur Bellephia » glissa-t-il, l’apostrophe utilisée ayant tout d’une insulte délibérée, Mélinda y mettant tout le mépris dont elle était capable.

Elle esquissa un léger sourire, tandis que les gardes portaient la main à leurs ceintures, en sortant des armes de combat à une main. Dagues, ou encore des matraques électriques qui semblaient issues toutes droits de Tekhos.

« Je vais te sodomiser le cul, et, si tu couines suffisamment fort, je ne laisserais pas tous mes gardes te passer dessus. Ensuite, je t’attacherais, je te sanglerais, et je ne te donne pas plus d’un mois pour finir dans un état encore pire que ma petite Aiko... Car je ne supporte pas, vois-tu, ceux qui prétendent venir chez moi en se pensant supérieurs à moi. Crois-tu donc que j’ai forcé ces femmes ? Qu’elles accepteraient d’être ‘‘libres’’ si tu leur proposais la liberté ? Elles ne sauraient pas quoi en faire. Je leur offre tout ce qu’un être humain normalement constitué désire : un lit confortable, un repas chaud, une bonne hygiène... Et tellement de plaisir qu’ils n’ont aucune envie raisonnable de vouloir partir. Seule, libre, Aiko mourrait au bout de quelques jours. Elle s’est structurée autour de moi, je lui suis indispensable... Quel genre de créature odieuse et égoïste es-tu donc, petit homme aux ailes d’albâtres, pour vouloir priver une femme de son amour naturel ? »

Le ton était légèrement ironique et moqueur, mais il transmettait tout de même une certaine réalité, que quelqu’un comme Bellephia ne pouvait légitimement admettre. Le lien que Mélinda développait avec ses esclaves ne reposait pas sur la terreur et la répulsion, mais sur une sorte de lien complice allant jusqu’à une espèce de dévotion fidèle et fanatique. C’était un lien amoureux, dans tout ce que l’amour avait d’aliénateur. Il était trop facile d’aller voir les esclaves de Mélinda et de les forcer à partir, elles ne pourraient pas l’accepter, et chercheraient à revenir vers elle.

Les gardes, quant à eux, se rapprochaient désormais. La rapière ne les inquiétait pas. Ils savaient se battre, ils avaient reçu des formations militaires précises, et certains étaient même d’anciens militaires reconvertis dans la protection de propriétés privées, un métier très lucratif... Et, dans les harems de luxe, on trouvait parfois des gardiens d’élite, car les avantages naturels que ce genre de poste offrait n’étaient pas négligeables.

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 8 samedi 23 novembre 2013, 23:54:58

J'attendis la réponse de l'esclavagiste, ne pouvant guère savoir qu'elle option elle allait prendre, dans le meilleur des cas j'aurais préféré ne pas avoir à user de es capacité. La phrase qu'elle formula n'avait pas besoinde réponse, mais je fis un hochement de la tête pour confirmer qu'elle avait bien comprit et que son patrimoine acquit par des moyens sans doute frauduleuse n'était qu'un détail pour moi. Cependant des gardes mirent à venir, ne quittant pas la vampire des yeux, j'use de la lame de ma rapière pour admirer derrière moins, un, deux ... six gardes, cela est encore acceptable. Mais l'apparition des fameuses pierre d'obsidiennes me firent frémir, je voulut créer un bouclier et malgré une léger bruit de claquement magique, montrant que l'entrave magique se jouait à peu, aucun bouclier n'apparut. J'opte pour la pire des situation, celle où ma botte magique ne fonctionne pas.

Continuant à faire attention aux dire de la vampire, je fixe les armes des gardes, des dagues et des bâtons de foudre, sans doute la même technologie que les petit objet sur Aiko. Elle se mit à me parler de sodomie, la fille de joie m'avait un peu parlé de cette pratique, mais je n'étais pas disposé à permettre à cette esclavagiste d'essayer sur moi, quand à couiner il était hors de question, elle pensait que j'allais me laisser faire ? En rêve certainement, mais ici c'était la réalité, hors la chance peu sourire à celui qui est défavoriser. Quand elle vint à parler d'un amour, cela me fit tirer une grimace, je ne pouvais pas refouler le sentiment de l'amour, mais je ne pouvais pas accepter les méthodes qu'employait cette vampire. Le bruit des pas des gardes me rappelait que je devait choisir, soit leurs tourner le dos, soit tourner le dos à la vampire et son frère. Une troisième solution me vint à l'esprit.

Je pris mon envol et voltigea au plafond, les garde ne pouvant m'atteindre j'étais à l'abri, le temps d'élaborer une stratégie. La vampire ne pourrait pas m'avoir car une impulsion ne pourrait la permettre d'être aussi vive que moi et puis je pouvais bouger dans les airs, pas elle. Je pus examiner mes adversaires, peu voire aucune faille, les combattre tous serait de la pure folie. Aussi je me mis à user de mes leçon de combat aérien, voltigeant près des gardes pour partir en chandelle et décrocher tout en plantant ma rapière dans un des points faible de l'armure. Cette action put mettre un hors de combat, étant blessé au genou. Je fis exprès de les attirer dans un coin, pour filer à tire d'aile vers la porte de sortie, me posant pour pouvoir la pousser. Je savais que j'allais être vulnérable pendant l'action, mais rester dans cette pièce était encore plus dangereux, faire des acrobaties épuisait.

J'ouvris la porte, c'est alors qu'une présence se fit sentir dans mon dos, avec un esprit visiblement meurtrier au vu de la pression que je ressentais.
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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 9 lundi 25 novembre 2013, 02:16:32

Elle ne s’attendait pas vraiment à ce que le jeune chevalier se rende sans combattre. Les anges avaient pour eux d’être d’une suprême arrogance, et de refuser d’admettre l’évidence. Comment diable avait-il pu croire que Mélinda Warren, une esclavagiste riche, puisse être aussi facile à tuer ? Son trône était solidement défendu, car, quand on avait sa fortune, son influence, et son joli corps, il allait de soi que les convoitises allaient bon train sur vous. Elle avait donc suffisamment investi pour pouvoir se défendre de ce genre de désagréments, et, outre les obsidiennes, ses gardes, et Bran, Mélinda avait également d’autres petites surprises en stock. Bellephia, comprenant sans doute que ses chances étaient plus que réduites, choisit de s’envoler en hauteur, et s’accrocha au plafond. Mléinda leva la tête en clignant des yeux. Pensait-il donc pouvoir échapper à ses gardes depuis cette position ? Nerveusement, à la recherche d’une sortie, ses yeux regardaient tout autour de lui. Il n’y avait qu’une seule porte de sortie : par où on entrait.

« Allons, petit ange, pensais-tu vraiment avoir la moindre chance en venant te jeter de toi-même dans la gueule du loup ? Seuls les niais attaquent de front les gens comme moi... »

Bellephia ne lui répondit pas, et essaya d’user de sa vitesse pour piéger les gardes de Mélinda. Il alla dans un coin, blessant un garde au genou, et s’envola vers la porte. À aucun moment, Mélinda ne chercha pas à bouger. En arrivant dans le couloir, Bellephia allait techniquement échapper à la sphère d’influence de l’obsidienne, et donc pouvoir user de sa magie... Lorsqu’une trombe d’eau le frappa de plein fouet, le renvoyant sèchement, et sans prévenir, dans le trône. Il rebondit sur le sol, roula par terre, avant que son gracieux dos ne heurte l’escalier du trône menant aux jambes divines de Mélinda.

La femme qui avait balancé la trombe d’eau s’avança lentement, sa silhouette frêle se découpant dans le couloir, tandis que les gardes de Mélinda venaient immobiliser Bellephia, plaquant sa tête contre le sol. C’était une jeune femme avec une longue chevelure bleue, timide et effacée, à la personnalité très soumise, qui portait un séduisant maillot de bain moulant son corps, à défaut de la tenue en latex qu’elle devait souvent mettre. Ayumi Nasegawa* était l’une des esclaves de Mélinda, l’une de ses servantes, récupérée à Seikusu. Cette championne en natation était aussi, par ailleurs, une grande perverse, une nymphomane délurée qui adorait l’idée de se faire prendre par des femmes membrées, et qui avait donc, sans trop de difficulté, accepté de devenir l’une des esclaves sexuelles de Mélinda. La « Sirène de Mishima », comme on la surnommait, était aussi unes ESPer ayant des affinités avec l’Eau, capable d’utiliser des sorts magiques liés à l’Eau, comme créer une puissante vague d’eau.

Elle venait tout simplement voir sa Maîtresse quand elle avait surpris cette altercation, et, comprenant que Bellephia, malgré sa beauté, constituait une menace pour sa Maîtresse, elle avait réagi en conséquence. Le bel ange aux ailes déployées était maintenant immobilisé contre le sol, sa rapière au loin, et Mélinda se mit à marcher, lentement, descendant les marches, sa longue robe dorée glissant derrière elle. Elle se plaça devant Bellephia, que plusieurs gardes immobilisaient.

« Il me semblait te l’avoir dit, bel Ange, mes esclaves me sont dévouées... La seule idée qu’on puisse m’arracher à elles suffit à les rendre extrêmement violentes. »

Elle s’écarta de Bellephia, et rejoignit Ayumi, lui caressant tendrement une joue. Ayumi se mit à rougir, et fléchit lentement les genoux, finissant devant sa Maîtresse, lui léchant les doigts que Mélinda lui tentait. La vampire la laissa faire pendant quelques secondes, avant de lui tapoter la tête.

« C’est très bien, Ayumi. Tu pourras aller jouer avec tes copines ce soir... »

Cette perspective excita instantanément Ayumi, et Mélinda s’écarta d’elle, revenant vers Bellephia. Elle fléchit les genoux devant lui.

« À nous, maintenant, petit ange... Rassure-toi, je ne vais pas te tuer, les anges beaux comme toi sont bien trop rares pour que je puisse me permettre de perdre une telle marchandise... »

Sa main se tendit, et caressa un peu les cheveux de l’homme.

« Je pense plutôt que je vais faire de toi ma chose... Voyons voir si tu as retenu la leçon... Dis que je suis ta Maîtresse, et que tu as envie de me servir... Et je ne te sodomiserai pas tout de suite. »

Le jeu pouvait commencer.



* : J’ai reçu l’autorisation (et même la demande) d’incarner Ayumi Nasegawa dans ce RP... D’où son intervention.

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 10 lundi 25 novembre 2013, 10:11:33

J'avais été trop attentif à une menace dans le dos et ne vis qu'au dernier moment une autre demoiselle en face, enfin une demoiselle, après un rapide coup d'oeil je pouvais voir que elle aussi avait un oiseau entre les jambes. J'eus un instant d'hésitation, mais l'hydromancienne, elle, n'en eut aucune, manipulant avec une grande aisance l'eau environnante. Par instinct je voulus user de ma magie, mais visiblement la porté des pierres étaient suffisante pour toujours me bloquer, bien que cette fois une apparence éthérée de bouclier fit son apparition, mais n'eus aucun effet sur la vague que cette hermaphrodite m'envoya en plein visage. Le manque de retenue de sa part me fit penser à mon père pendant les combat aériens. Une fois projetée dans les airs, j'enroule mes ailes autour de mon corps, pour amortir les chocs, non sans grimacer quand je vint frapper là où était la vampire. Je voulais me relever et tenter ma chance une nouvelle fois, connaissant à présent la nature de cette manipulatrice aquatique.  Seulement les gardes se mirent à user de leurs forces pour me plaquer au sol, je me mis à serrer des dents quand quelques un n'hésitèrent pas à mettre un pied sur mes ailes, ils sont con où ils ne savent pas que ça fait mal ce genre de chose.  Pour couronner le tout la vampire se mit à me faire la morale comme quoi ses esclaves pouvaient être violente, comme si la démonstration ici présente n'avait pas confirmé la dépendance des esclave sur elle.

Je ne vis pas ce qui se passait avec cette dénommée Ayumi, mais je me rendis compte d'une chose les prénoms avaient des origines bizarre, la façon de prononcer les lettres m'avait frappé, la vampire était-elle originaire d'une nation particulière ? Si tel était le cas la pire des situation serait qu'elle soit représentative de sa société, même si à mon sens Ashnard gagnait la première place en terme de cruauté humaine. La vampire revint vers moins prenant le soin de s'agenouiller, en me disant que j'étais une marchandise rare et précieuse, ue de compliment qui au lieu de le flatter ne faisais qu'augmenter ma rage de ne pas bouger, aussi avec un ton désinvolte je me permis de répondre.

- C'est trop aimable de ta part.

Un méchant rictus se dessina sur mon visage quand la vampire se permit de me toucher, que des mains chargée d'aussi vilaine action me touche était comme se faire toucher par un monstre indescriptible et hideux. La vampire se mit à faire ses demandes, comme si elle espérait que je sois aussi enclin à accepter ce genre de chose, l'idée de me faire prendre n'était pas radieuse, mais devoir obéir à elle et l'appeler maîtresse était sans doute pire, aussi je voulus de nouveau battre des ailes, mais les gardes les tenaient fermement, dommage j'aurais put espérer la faire un peu peur. Je n'avais aucune raison de me laisser faire et je pris la parole pour formuler ma réponse de façon claire.

- Ho oui, être ta chose ? Faire partie de ton harem ? Désolé mais j'ai toujours eu des soucis pour assimiler les cours des personnes que je ne pouvais en aucun cas supporter, tu en fait partie, vampire.

Je doutait que l'hydromancienne ne face quoi que se soit, sa vague était assez puissante et puis cela prenait le risque de blesser la vampire, si elle était aussi dévouée que l'esclavagiste le disait avec une telle assurance, elle n'utilisera pas sa magie. Quand à la vampire, elle avait de la chance que je ne puisse bouger, sinon je me serais battu comme un chiffonnier, c'est à dire avec mes poings et mes dents, c'est barbare, peu digne, mais efficace.









HJ- D'accord, j'avais cru au départ que c'était une doublette que tu insérais dans le rp-HJ
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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 11 mardi 26 novembre 2013, 02:49:40

Si ce petit ange insolent n’était pas aussi beau, et n’avait pas un sang aussi juteux, Mélinda l’aurait sûrement corrigé, et envoyé en prison. Là, il aurait été battu sévèrement par les démons, qui étaient toujours friands de torturer leurs ennemis héréditaires. Alors, en un sens, Mélinda lui faisait une fleur. Elle disposait d’une sorte d’autorité morale et conventionnelle reconnue dans son harem, dans la mesure où elle était citoyenne impériale. Elle comptait donc exercer cette prérogative en faisant de Bellephia son esclave, et en laissant ses conseillers et ses experts se charger de la paperasse.

« Ho oui, être ta chose ? Faire partie de ton harem ? Désolé mais j'ai toujours eu des soucis pour assimiler les cours des personnes que je ne pouvais en aucun cas supporter, tu en fais partie, vampire. »

Mélinda sourit, amusée devant cette impolitesse, et lui ébouriffa tendrement les cheveux.

« Rassure-toi, tu apprendras à me supporter, petit ange. Tu apprendras même à m’aimer, et à chérir ma présence. Après tout, si même Lucifer a déchu de son trône pour butiner les culs des succubes, toi aussi, tu aimeras ça... Et tu me lècheras les pieds avec la plus profonde des dévotions, mon beau petit ange efféminé. »

Ses doigts glissaient sur ses cheveux, et elle fit signe de la tête, pour qu’on commence les choses. L’une de ses esclaves, dans une tenue en latex, s’avança lentement, tenant entre ses gants les lanières d’un gag ball, et el mit autour de la bouche de l’homme, avant de refermer l’outil de l’autre côté. Ainsi, elle ne l’entendrait plus l’invectiver. De même, on continua à l’immobiliser, à entraver ses mouvements, en attachant ses mains dans son dos, à de solides chaînes. Ce faisant, les gardes relâchèrent l’homme, qui se vautra sur le sol. Sans pouvoir parler, ni utiliser ses bras, voler lui serait d’autant plus difficile que, à chaque fois qu’il faisait mine d’essayer de flotter, un pied s’écrasait sur son dos, le plaquant sur le sol. Ses yeux semblaient luire de colère, ses beaux yeux bleus, tandis que Mélinda avait, sur les lèvres un sourire de gamine.

Elle hésita un peu, puis ordonna finalement à ses gardes de lui entraver aussi les jambes. Comme Bellephia ne comptait manifestement pas leur rendre la tâche difficile, ils durent s’y prendre à plusieurs reprises, mais réussirent à lui mettre autour des poignets des chaînes. Mélinda se rapprocha alors de l’homme, posa une main sur son épaule, et le poussa, l’envoyant se coucher sur le dos, avant de se mettre lentement à califourchon sur lui, ses deux mains caressant son torse.

« Toi et moi, mon chéri, nous allons bien nous amuser... Ensemble. »

Elle lui fit un sourire amusé en plissant des yeux et en penchant la tête sur le côté, un sourire craquant, un sourire qui, end ‘autres circonstances, aurait pu la faire passer pour une adorable jeune fille. Mélinda se pencha alors, et finit par avoir ses lèvres à portée du visage de Bellephia. Elle ne chercha pas à l’embrasser, mais glissa le long de sa nuque, tout en s’allongeant progressivement de tout son long sur lui, et lécha son cou, glissant sur sa peau douce. Ses doigts, quant à eux, remuaient sur sa torse, glissant sur sa fine tunique, et caressèrent ses hanches, tandis qu’elle s’approchait de son cou, déposant de petits baisers.

« Hum... Ça manque de pectoraux, tout ça... Tu as vraiment le corps d’une fille, toi, mon ange... Est-ce que ton sang est aussi sucré que celui des jeunes vierges ? Il y a toujours comme un petit quelque chose en plus sur elles... Surtout les religieuses, les belles nonnes qu’on arrache de leurs couvents, et qui finissent entre mes bras... Elles, ce sont mes préférées... Si jeunes, si sensibles, si innocentes, si tendres... »

Mélinda sourit à nouveau, et continua à faire descendre ses mains, tandis que son bassin se positionnait de manière à venir titiller son sexe. Elle caressait tendrement l’homme, tandis que ses canines se mirent à pointer.

« On dit que la morsure d’un vampire est aphrodisiaque pour celui qui perd son sang... Pour l’heure, je n’ai jamais rencontré une seule personne qui ne soit pas excitée quand je lui prenais son sang... Rassurez-toi, je ne t’en prendrais pas beaucoup... Après tout, il faut bien que ta virilité te serve à quelque chose, mon doux... »

Elle ignorait s’il allait avoir une érection... Mais elle, elle savait que ça allait l’exciter. Le sang d’un ange... Rien qu’à ça, elle en frétillait, et il n’y avait personne pour l’en empêcher ! Ses mains remontèrent, se posant sur les épaules de Bellephia, le griffant légèrement. Avec ses membres entravés, et Mélinda écrasée sur lui, il était incapable de voler, de remuer ses ailes pour amorcer un mouvement de décollage. Mélinda fit pointer ses belles canines, et dans un gémissement de plaisir volontairement exagéré, mordit dans son cou, afin de boire son sang.

DC d’Alice Korvander.

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Bellephia

Dieu

Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 12 mercredi 27 novembre 2013, 14:18:50

Sentir sa mains se mettre à bouger dans ma chevelure fut frustrant, je ne pouvais pas bouger et la vampire en profitait pleinement, ce fut un moment très frustrant, comment pouvais-je rester là à ne rien faire ? Question idiote, il y aviat ses gardes qui me maîtrisait, les pierres qui absorberaient une quelconque utilisation de la magie et puis mon arme qui était hors de portée. La vampire se mit à me dire que je finirais à ses pieds, si elle croit une seule seconde que je me soumettrais à son autorité comme ça, elle se met le doigt dans l'oeil. Je ne pouvais supporter qu'elle puisse se permettre de me traiter d'ange efféminé. Je n'eus pas le temps de formuler la réponse que je vis le drôle d'objet, voyant que l'on tentait de me le mettre au niveau de la bouche, je referme la bouche, serrant des dents, mais les servantes semblèrent avoir le coup de main, le mettant finalement en place. Je voulut protester, mais aucun mot ne put sortir de ma bouche, la boule ne faisant qu'étouffer tout son identifiable. Elle alla jusqu'à m'attacher les bras derrière mon dos, heureusement les chaines ne soulevaient pas trop mes bras, ce qui aurait été douloureux. Sentant un léger relâchement de la part des gardes, je tente de nouveau de m'envoler, mais à peine ai-je battu l'air qu'un coup dans le dos vint me clouer à terre. Je compris qu'ils ne me laisseraient pas le temps de m'envoler. La vampire lança de nouvel ordre, celui de m'attacher les jambes, ripostant vigoureusement à chaque inattentions des garde.Je comprenais maintenant pourquoi les esclaves ne pouvaient fuir e courant, la longueur de la chaîne à mes pieds me permettait à peine de marcher, alors courir était impossible.

il ne fut donc pas étonnant de me voir trébucher et tomber, quand la vampire se mit à saisir mes épaules et me pousser en arrière, comme on rejetterait une personne un peu trop proche. Je retins un réflexe, celui d'user de mes ailes pour amortir le choc, cela aurait engendré une possible blessure, hors je souhaitais conserver un minimum de déplacement dès que je serais libre. La vampire prit ses aise se plaçant sur moi dans une position qui me fit légèrement rougir. Si elle semblait s'amuser de cette situation, ce n'était pas le cas pour moi.

Elle se mit à tâter mon poitrail, nul doute qu'elle ferait une remarque sur le manque de forme, il n'y avait pas beaucoup d'abdos non plus, son sourire aurait été charmeur si elle n'était pas une esclavagiste. La créature se mit à étaler son corps sur le mien, je savais que le corps des hommes réagissaient facilement aux stimulus procurés par les femmes, aussi concentrais-jev mon esprit pour ne pas penser à ce que la vampire faisait, nul intérêt d'apporter satisfaction à cette créature perverse.

Quand elle se mit à parler de la saveur supposé de mon sang et aussi une allusion aux nonnes, je voulut répondre mais il n'y eut que des ''hm'' qui sortirent, cette boule était vraiment chiante. Elle vint à se positionner de telle manière à ce que son corps frotte contre mon membre, elle voulait clairement essayer de m'exciter. Aussi je fixais avec colère la vampire, tentant de rester concentrer pour ne pas que les gestes de cette femme de petite vertus. La vampire se mit à montrer finalement ses crocs, ce qui annonçait sans doute la fin de ce petit jeu, on m'avait dit que la morsure ramollissait le corps et l'esprit.

Elle laissa sous-entendre la suite des événements, me faisant davantage rougir, autant de gêne que de rage, vis-à-vis de la vampire. C'est alors que les deux canines déchirèrent la chair pour percer un flux sanguin, immédiatement mon esprit se mit à subir l'assaut d'un sentiment inconnu. Mon esprit ne fut pas suffisant pour retenir cette sensation de chaleurs qui me prenait.
Jeune prince errant en tant que chevalier sur des terres hostiles.

Mélinda Warren

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Re : Qui veut faire la peau de Mélinda Warren ?

Réponse 13 jeudi 28 novembre 2013, 01:12:23

Le corps efféminé de Bellephia avait indiscutablement un certain charme, donnant l’impression d’avoir affaire à une fragile petite poupée, un être sensible et doux, qu’il ne fallait pas violenter... Ce qui, paradoxalement, renforçait l’envie de Mélinda de le battre, de l’humilier, et de le pervertir. Elle savait que l’homme allait lui résister, et ce serait tout simplement encore délicieux. Ses seins s’enfonçaient contre son torse, et elle se mit à mordre, gémissant pue à peu de plaisir .Deux canines filèrent dans la peau de l’homme, perforant son tendre cou pour atteindre la veine. Les deux canines l’effleurèrent très légèrement, et, en retirant les canines, elle se mit à aspirer, suçant ainsi le sang, qui fila à travers les deux petites entrailles pour se perdre dans sa bouche.

Pour la plupart des espèces vivantes, le sang n’avait aucun goût particulier, aucune texture, aucune forme, aucune particularité quelconque. Il était tout juste amer... Mais, pour les vampires, c’était infiniment différent. Le sang était le nectar de la vie, le liquide par lequel la vie circulait. Sans sang pour alimenter un corps, ce dernier dépérissait progressivement. Le sang était donc indispensable à la survie des espèces, et, selon la qualité des espèces en question, le sang avait une importance particulière, un goût différent. Celui des anges était naturellement bon et divin, et Bellephia, fort heureusement, ne faisait pas exception.

Dès que les premières gouttes atteignirent le palais de Mélinda, et se faufilèrent dans son corps, cette dernière soupira, sentant tout son corps trembler, sous l’effet d’une forte excitation. Son propre sang se mit à s’enflammer, et elle se retrouva, en somme, très rapidement, à bander, alors qu’elle absorbait le sang de Bellephia. Avec sa main libre, Mélinda la glissa pour caresser le sexe de l’homme, à travers sa tunique, le masturbant tendrement, avant de progressivement envoyer sa main sous les vêtements de l’homme, afin d’attraper directement sa verge, et de la frotter entre ses doigts, qui devenaient de plus en plus chauds. Elle continua ainsi à le masturber, tout en buvant son sang, lentement, savourant ce repas. Inlassablement, ses doigts continuaient à jouer sur son sexe, et elle continuait à boire son sang. Concrètement, elle n’en buvait pas beaucoup, car elle y allait par très petites gorgées, afin de ne pas en boire trop.

*Mon Dieu, ce sang... Oh, ce sang, ce sang, ce sang !!*

Il était tout simplement DI-VIN ! Par tous les vampires, Mélinda était en train de JOUIR sur place ! Sa culotte se remplissait, et elle avait les joues rouges, alors que le sang filait dans sa bouche ! Cet homme était un vrai festin ! Ses doigts se crispaient sur le sexe de Bellephia, continuant à le masturber, avec une vigueur développée, accrue. Ses doigts glissaient sur sa hampe de chair, et elle continua ainsi ce traitement pendant cinq minutes, continuant à longuement le sucer. Sa mouille débordait de sa culotte, formant peu à peu des tâches sur le corps de l’homme. Mélinda finit lentement par se retirer, dans un état proche de l’érection.

« Aaaah... Bellephia, mon beau petit Ange, je ne veux plus jamais que tu me quittes ! Ce sang délicieux doit rester mien ! »

Mélinda lécha ses deux plaies, essuyant les quelques traces de sang qui venaient encore parsemer son cou, et se remit à califourchon sur lui, en esquissant un sourire.

« Je crois que j’ai une grosse envie de me faire baiser par toi... Ma belle. Qu’en dis-tu ? »

Mélinda se pencha alors vers Bellephia, son visage près du sien, et entreprit de lui détacher son gag ball, afin d’avoir ses impressions.

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