Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Leçon judiciaire [Empowered]

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White Rabbit

E.S.P.er

Leçon judiciaire [Empowered]

dimanche 03 novembre 2013, 03:11:11

Officiellement, Daiku Suchuzu était l’honorable propriétaire d’une bijouterie de luxe située dans le centre-ville de Seikusu, dans l’un des quartiers les plus huppés, un endroit où les voyous de la Toussaint n’osaient pas s’approcher. Daiky était un individu assez apprécié de la communauté, qui se rendait tous les soirs à un temple bouddhiste dans la forêt entourant Seikusu, y louant la sagesse ancestrale du grand Bouddha. C’était aussi un fervent adepte du confucianisme, et sa bijouterie employait une trentaine de salariés. L’établissement était respectable, propre, faisant la fortune et la fierté de Daiku. La réalité, bien sûr, était toujours plus sinistre.

« Arrêtez-là ! hurla l’un des gardes.
 -  Elle est trop rapide ! »

Les tirs des agents de sécurité filaient dans la pièce, et l’une des balles, loupant la silhouette féminine, explosa la devanture de la bijouterie, faisant furieusement résonner l’alarme. Les trois agents de sécurité ne s’attendaient pas spécialement à se faire braquer. Daiku était certes un commerçant, mais il était aussi connu des services de police pour être un kyodai d’un clan de Yakuzas implantés à Seikusu, les Suchuzu. Daiku était l’un des fils de l’Oyabun, et la bijouterie servait en réalité de plaque tournante à un trafic de diamants clandestins que les Yakuzas obtenaient en Afrique, et revendaient au Japon. Ils les obtenaient à bas prix, de la part de dictateurs locaux, de seigneurs de guerre, qui asservissaient des populations entières dans d’infernales mines de diamants d’États du centre de l’Afrique où les seules personnes à s’intéresser à leurs activités étaient quelques ONG et de jeunes inspecteurs de l’ONU rendant des rapports qui finissaient engloutis dans l’immense structure internationale. C’était Eirin Suchuzu, la sœur aînée de Daiku, qui avait lancé ce trafic. Elle travaillait en collaboration avec des Chinois qui étaient venus en Afrique pour investir, officiellement dans des usines de gaz et de construction d’infrastructures, comme des autoroutes, officieusement pour s’allier avec les seigneurs de guerre en vue d’obtenir des profits juteux. Chacun y trouvait son compte : les Asiatiques fournissaient aux seigneurs de guerre des armes, et les Africains leur envoyaient des minerais. Par la suite, les minerais étaient taillés dans des usines clandestines gérés par des Triades en Chine, puis revendus par les Suchuzu dans des bijouteries japonaises.

Ce trafic international, comme l’avait progressivement appris la joyeuse femme qui attaquait la bijouterie, avait réellement commencé à éclore en 2008, date à laquelle les investissements chinois en Afrique avaient atteint un pic culminant. Eirin était le membre le plus intelligent de la fratrie : elle avait brillamment réussi ses études à l’université de Tokyo, décrochant un doctorat en économie qui lui avait permis de devenir professeur d’université. Elle bénéficiait en ce sens d’une large indépendance, et d’horaires libres et flexibles. Eirin n’avait toutefois jamais oublié, en bonne Japonaise, l’importance de la famille, et avait participé à une réunion de famille. Bien que les femmes ne soient pas censées parler « business » à table, leur père avait décidé de revenir sur cette règle. Les Suchuzu étaient une famille sur le déclin, un clan qui avait beaucoup souffert de la loi Antigang, et qui n’avait pas passé les bonnes alliances avec les bons clans. Hostile à l’idée de s’associer avec des gaijins, surtout des Chinois, les Suchuzu avaient fini par se rallier au projet d’Eirin.

Depuis maintenant trois ans, les Suchuzu s’étaient joyeusement enrichis. Les armes fournies aux Africains venaient des Chinois, qui réussissaient à en avoir beaucoup, en détournant une partie des armes fabriquées par l’industrie chinoise pour le compte de l’armée. Concrètement, ce petit trafic était lucratif, et, si la bijouterie n’exerçait aucune activité illégale, elle était le dernier filon d’un vaste trafic international criminel, contre lequel Interpol n’avait quasiment aucun moyen d’action.

*BAM ! BAM !*

Les deux balles sifflèrent près de White Rabbit, qui tendit sa main, et envoya une onde d’Air. Le choc frappa l’agent de sécurité, qui poussa un hurlement en s’envolant, avant de terminer sa course dans une vitrine, renversant une série de précieux bijoux en s’étalant sur le sol. Un autre agent, armé d’un fusil à pompe, chercha à attaquer la Lapine sur le flanc, mais cette dernière attaqua la plus vite, tendant ses doigts. Des arcs électriques en jaillirent, et frappèrent l’homme, qui poussa un hurlement de douleur en sentant des électrochocs le frapper, tendant ses muscles. Il partit en arrière, heurta un meuble, et s’affala sur le sol.

« Tu sais à qui tu t’attaques, la bunny girl ? On va t’attraper, salope, te ramoner le cul comme si on t’enfonçait un tractopelle entre les fesses, te faire bouffer tes oreilles de lapins de merde, et te buter, salope !
 -  Toi, tu sais parler aux filles ! »

La Lapine se mit à nouveau à courir, et arriva dans le viseur du Glock d’un agent. Il se tenait sur les marches menant à la mezzanine, où se trouvait son collègue, armé d’une mitraillette. L’agent sourit, et fit feu sur la femme... Pour voir que les balles passèrent au travers de la silhouette magnifique de la Lapine, qui se brouilla avant de disparaître, flottant dans les images.

« Je suis là ! »

L’agent dans les marches n’eut pas le temps de réagir que la Lapine débarqua devant lui, et envoya son pied se loger dans son crâne. Il s’écroula sur les marches, et la Lapine se posa à califourchon sur lui, posant un doigt sur ses lèvres, comme pour lui intimer de se taire. Étant plus énervé qu’autre chose, l’homme se débattit, et repoussa la femme. White Rabbit recula, et l’homme leva à nouveau son arme. La Lapine soupira, et lui souffla un baiser... Envoyant une langue de feu. L’homme poussa un hurlement de surprise, avant que les flammes ne l’atteignent au bras. La chemise qu’il portait était un très bon combustible, et il se mit à courir rapidement en hurlant, se transformant en torchère humaine. Les flammes déclenchèrent l’alarme anti-incendie, et de l’eau se mit à tomber, tandis que l’homme enflammé sortait de la bijouterie, se roulant dans la rue.

« Oh merde, elle l’a cramé, putain ! »

Le second homme se retourna, essayant de s’enfuir... Mais White Rabbit était juste devant lui. Il sursauta, et la vit se rapprocher, ce qui l’amena à reculer. Son corps heurta le garde-fou, et la femme tendit l’une de ses mains gantées, le touchant au torse.

« Quand on vole un voleur... Je dirais qu’on permet à la justice de se retrouver. »

Elle lui fit un clin d’œil, et envoya une onde d’Air qui souffla l’homme. Il poussa un hurlement, et s’envola par-dessus la mezzanine, avant de s’écraser au milieu du sol, son dos émettant quelques craquements. L’homme gémit faiblement, se tortillant lamentablement par terre, mais White Rabbit ne s’y intéressait plus. Ayant fait apparaître un grand sac, elle s’amusait à empiler tous les bijoux qui s’y trouvaient.

Son prochain objectif était tout simplement de les balancer dans la rue.
DC d’Alice Korvander.

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Empowered

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 1 dimanche 03 novembre 2013, 13:03:47

Encore une belle journée dans la ville de Seikusu. Elissa se baladait tranquillement dans le centre ville, explorant cette cité qui serait désormais la sienne. Après la perte du Sbire, son amant, l'amour de sa vie, la pauvre blonde ne parvenait plus à supporter les railleries de ses enfoirés de collègues. Beaucoup idéalisaient les super héros, les voyant comme des symboles de vertu et de droiture. En réalité, s'ils œuvraient effectivement pour le bien de tous en arrêtant les criminels, ces soit disant héros se révélaient être des connards monumentaux. Dans toutes les strates de la société, il existait des cons... mais donnez à des cons quelques super pouvoirs et vous vous retrouvez avec des super über cons ! Sans le soutient moral de Sbire, supporter de telles personnes se révélait trop difficile. Mais curieusement, le déménagement, le changement total de société, n'étaient pas des choses si anodines. Mais, fidèle à elle même, EMP avançait dans sa vie, surmontant les difficultés pour mieux s'intégrer. Elle avait déjà trouvé un petit boulot en tant que serveuse dans un bar huppé du centre ville. Sa beauté occidentale était exotique pour ce pays d'Asie et, il fallait bien le dire, le patron avait flashé sur son divin postérieur. Miss Powers avait bien remarqué les regards du bonhomme sur son arrière train, ce reluquage intensif l'ayant mise très mal à l'aise. après tout, Elissa avait toujours eu des complexes vis à vis de ses fesses, les trouvant beaucoup trop grosses alors qu'elles étaient, en réalité, parfaites.

Ainsi, la jeune fille se baladait dans les rues, s'appropriant la géographie de la ville. Après tout, si la demoiselle (souvent) en détresse voulait opérer en tant que justicière à Seikusu, elle se devait d'être capable d'intervenir rapidement. Mais son naturel frivole rendait l'exercice plutôt difficile. Après tout, EMP était une jeune fille qui rêvait de vie facile et de journées shopping et, dans le centre, il était difficile de ne pas s'arrêter devant les nombreuses vitrines qui bordaient les rues. Jusqu'à ce qu'un alarme se mette à retentir. Après quelques instants d'hésitation, miss Powers s'engouffra dans une ruelle, se cachant derrière un conteneur à ordures pour commencer à se déshabiller. Son maudit costume était certes détenteurs de merveilleux pouvoirs, mais il se révélait aussi étonnement capricieux... Très vite, Elissa se retrouva intégralement nue dans la ruelle, ses affaires s'entassant dans son petit sac à dos. Puis, avec une rapidité née de l'expérience, la justicière se vêtit de l'hypermembrane. Empowered était prête à combattre le crime !

Laissant son sac là, caché entre deux sac poubelles, la jeune femme se dirigeait en courant vers le lieux du crime. C'était la première fois qu'EMP réutilisait son costume depuis son départ de la ligue des Superhomeys. A chacun de ses pas, la jeune femme sentait ses seins nus sous l'hypermembrane balloter de haut en bas. Les quelques badauds attirés par la sonnerie retentissante du système d'alarme furent bien vite plus intéressés par ces délicieux ballotement que par un quelconque crime. Elissa le savait et ses joues rosissaient de honte. Elle se voyait déjà aux mains d'une bande de braqueurs, attachée et bâillonnée, comme cela lui était déjà arrivée tant de fois. Déglutissant, elle chassait ces mauvaises pensées : Empowered était une putain de super héroïne, pas quelqu'un qui abandonné à la simple idée d'être vaincue. Cependant, tandis que les images de son propre corps, moulé dans une hypermembrane déchirée, immobilisé par des réseaux de cordes ou de bande adhésive, faisaient naître une certaine excitation chez la ravissante blonde. Ses mamelons commençaient à durcir et, vu la finesse de la combinaison sensée les cacher, leur relief devenait parfaitement visible. Intérieurement, Elissa priait pour que personne ne le remarque.

Luttant contre ses démons intérieurs, qu'ils fussent la peur ou l'excitation, la honte ou le désir, Empowered arriva finalement devant la bijouterie. La jeune fille n'avait aucune idée de la nature réelle de cet établissement. Après tout, peu de gens étaient réellement au courant, même parmis les habitants de longue date de Seikusu, alors en quoi une étrangère nouvellement arrivée pourrait l'être davantage ? Tout ce qu'elle voyait, c'était une boutique de luxe aux vitrines défoncées, avec des gardes qui jonchaient le sol visiblement dans de sales états, tandis qu'une fille sculpturale déguisée en lapine sexy remplissait un sac de de bijoux. Aucun doute, cette fille devait être une super villaine, EMP aurait pu le parier même sans avoir fait d'études sur les super humains. Après tout, une femme seule et sans armes - c'était d'autant plus vrai qu'avec sa tenue, il n'y avait pas beaucoup d'endroit où la lapine aurait pu en cacher - qui avait mis à bas tout un groupe de gardes plutôt bien armés seule ne pouvait être qu'exceptionnelle.

Prenant son courage à deux mains, la jeune justicière s'engouffra dans la boutique. Elle résista à l'envie de faire une entrée fracassante en passant au travers de la vitrine pour impressionner son adversaire. La dernière fois qu'elle avait tenté ça, EMP avait juste réussi à déchirer son costume sur les bouts de verre, se retrouvant alors à la mercie d'un homme qui deviendrait, plus tard, son amant. Mais l'éventualité de criser l'amour de sa vie en de telles circonstances étaient trop infimes pour tenter le coup une seconde fois. Aussi, c'est tout simplement en poussant la porte que la jolie blonde fit face à White Rabbit.


- Arrête toi tout de suite, lapine, tes crimes s'arrêtent ici !

Prononçant ces paroles, Empowered pointait sa main en direction de sa vis à vis, prête à lui décocher une puissante rafale d'énergie. Malgré son passé pavé d'échecs, la jeune fille n'était plus vraiment une héroïne débutante, elle avait quelques notions et n'hésiterait pas à tirer si son adversaire faisait le moindre geste suspect. Il n'y avait plus qu'à espérer que la bunny girl ne se révèlerait pas trop coriace.

La posture d'Empowered et le timbre de sa voix faussement assuré trahissaient son manque de confiance. La pauvrette s'attendait davantage à se faire battre lamentablement qu'à réussir à vaincre son adversaire.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 2 mardi 05 novembre 2013, 03:06:54

La curiosité était une chose magnifique chez les Terriens. La Lapine en connaissait suffisamment sur les sociétés modernes, notamment par le biais de Jaina, pour savoir que les Terriens étaient par nature voyeurs et inquisiteurs. L’explosion sur Internet des réseaux sociaux, comme Twitter, Facebook, illustraient la volonté paradoxale, voire même schizophrénique, des gens à, tout en se houspillant avec virulence contre les atteintes à leur vie privée, à diffuser eux-mêmes des éléments de leur vie privée dans le domaine public. Jaina savait par exemple qu’une technique très en vogue par les stars people sur le déclin, les personnalités has been, était de se débrouiller pour se faire prendre en photographie dans des positions indécentes par des paparazzis, pour ensuite réclamer des dommages-intérêts devant le tribunal civil. Une manière comme une autre de gagner de l’argent sur le dos du contribuable... Et on osait ensuite dire que White Rabbit était une voleuse ! À sa manière, elle ne faisait que rééquilibrer les choses.

Les bijoux volaient dans son sac, et la Lapine entendait du bruit derrière elle. Des badauds s’étaient rapprochés, attirés par la sonnerie de la bijouterie, ainsi que par l’homme immolé qui se tortillait sur le sol. Ils louchèrent sur le postérieur de la Lapine, et sortirent leurs appareils portables. Si White Rabbit avait été un peu plus télépathe, elle savait très bien ce qu’elle lirait dans leurs esprits : « voilà une vidéo à poster sur YouTube ! » ; « matez ce cul ! » ; « pourquoi je l’ai pas vu enflammer ce type ? ». Prudents, ils évitaient d’entrer dans la bijouterie, en attendant que la police arrive... La Lapine se demandait qui arriverait en premier : les policiers, ou les Suchuzu ? Pour elle, il n’y avait qu’une différence statutaire entre la police et les Yakuzas. Chacun voulait commander les autres, diriger et organiser les rapports sociaux. C’était un phénomène particulièrement notable au Japon, où, suite à la Seconde Guerre Mondiale, les Yakuzas avaient effectivement été considérés comme une autorité de régulation, notamment pour empêcher l’arrivée d’espions chinois au Japon, et pour éviter que le communisme ne se répande. En somme, pour la Lapiune, la différence entre la police et les Yakuzas était purement factuelle. Du point de vue de beaucoup de citoyens, la loi votée par les parlementaires était avant toute faite pour soutenir les intérêts catégoriels des groupes de pression et des riches. La loi était défendue par la police, et, par conséquent, la police servait aussi des intérêts privés, qui se substituaient à l’intérêt public, tout en prétendant agir au nom du bien commun... À la manière des Yakuzas. Pour la belle Lapine, tous ces gens étaient des bonimenteurs, des escrocs et des arnaqueurs, à l’image de la nature humaine.

Elle se retourna vers les badauds qui l’observaient.

« Qui veut un collier de perles pour sa petite amie ? Profitez-en, mes choux, il y a des promotions exceptionnelles ! »

Ils avaient peur d’entrer, peur d’être tués par la femme, ou d’être arrêtés par la police. La Lapine continuait à récupérer les objets brillants, quand quelqu’un finit malgré tout par entrer. La Lapine, heureuse d’avoir une connaissance, tourna la tête... Pour voir une belle blonde dans une combinaison bleue moulante épousant à la perfection ses formes. Elle était nue, sous cette combinaison, ce que la Lapine nota rapidement. La combinaison recouvrait presque intégralement la femme, étouffant presque son corps. Elle pouvait voir ses tétons, ainsi que la forme de son intimité, tant la tenue était serrée. Que cette femme parvienne à se déplacer sans être étouffée tenait assurément du miracle.

La Lapine vit alors la femme tendre la main vers elle.

« Arrête toi tout de suite, lapine, tes crimes s'arrêtent ici ! »

Cette dernière esquissa une petite moue.

« Mes crimes ? »

Elle n’eut pas le temps de poursuivre que la main gantée de la femme se mit à luire, envoyant sur le corps de la Lapine une décharge d’énergie. Cette dernière eut juste le temps de former un bouclier magique devant elle. Il absorba la puissance du choc... Partiellement. Le choc souffla la Lapine, qui décolla du sol, tandis que plusieurs vitres explosèrent. Soulevée comme un fétu de paille, White Rabbit fila vers le mur de la mezzanine, à une vitesse telle qu’elle se serait brisée les os. Réactive, elle se retourna dans les airs, et ses jambes heurtèrent le mur, lui permettant de rebondir. Elle atterrit ainsi sur le sol, roula par terre, et se releva élégamment.

« Toi, tu as envie de jouer. Je t’aurais bien proposé un collier en or, mais je ne suis pas sûre qu’il rentrerait dans un costume aussi étroit... »

Elle tendit sa main, et, depuis ses doigts, envoya des arcs électriques vers la femme. Sans réelle surprise, elle put les esquiver, et la Lapine se déplaça à nouveau, atterrissant devant la femme.

« Rapide... »

Elle envoya une décharge d’Air, qui souleva la femme, la faisant voltiger dans les airs, l’envoyant vers un mur.

Les badauds, eux, se régalaient. La Lapine, elle, comprenait qu’elle était tombée sur l’un de ces justiciers qui pullulaient à Seikusu. Voilà qui lui rappelait l’époque où elle était à Gotham City, et où elle avait, de la même manière, joué avec Batman.

*Mais celle-ci est nettement plus sexy que le soi-disant plus grand détective du monde...*
DC d’Alice Korvander.

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Empowered

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 3 mercredi 06 novembre 2013, 19:09:01

Comme on pouvait s'y attendre, cette lapine sexy possédait effectivement quelques capacités surhumaines. Pour preuve, la rafale d'énergie ne lui avait même pas fait une égratignure. Quand à savoir si la donzelle avait simplement profité d'une résistance surhumaine pour encaisser le choc ou si elle avait fait quelque chose afin de dévier l'attaque, c'était encore un mystère pour Empowered. Après s'être réceptionné avec élégance, White Rabbit pointa les doigts en direction de la justicière préparent évidemment quelque chose. Par pure réflexe - comme quoi, les entrainements pratiqués avec Ninjette avaient portés leurs fruits - la blonde en costume moulant avait réussi à esquiver les arcs électriques, qui allèrent faire fondre la porte vitrée située dans son dos, pendant qu'EMP faisait une roulade dans les bris de verre.
Shrrrrrip.
Toujours aussi fragile, son costume se déchira au niveau de l'épaule, dénudant cette dernière jusqu'à l'omoplate. Ce son caractéristique, qu'Elissa connaissait bien, provoqua une vague de panique chez la belle blonde, détournant son attention une seconde de trop. Seconde que la cambrioleuse mit à profit pour envoyer un second sort, créant une vague aérienne qui propulsa la justicière contre une paroi. Le choc fut rude et aurait probablement assommé un humain normalement constitué. Mais miss Powers avait beau être normalement constituée, son hypermembrane lui offrait une résistance surhumaine, tant et si bien qu'elle n'en ressentit pas la moindre douleur. Certes, son costume avait subit quelques dommages, mais il n'y avait pas encore assez de sa peau nue pour que la blonde se retrouve sans défenses. A vrai dire, Elissa n'avait toujours pas déchiffré le schéma de la perte de ses pouvoirs, la moindre déchirure suffisant parfois à la couper de sa puissance, tandis que cette même perte pouvait parfois se révéler progressive en fonction de l'étendue de sa nudité.

Empowered réalisa rapidement qu'elle était toujours en pleine possession de ses moyens lorsqu'elle se rendit compte qu'elle ne tombait pas au sol. Un des dons offerts par l'hypermembrane était une capacité d'adhésion aux parois... don que la justicière mettait à profit pour rester "allongée" contre le mur. Se remettant de ses émotions, la blonde envoya une rafale d'énergie en direction de la provocante cambrioleuse et, sans même attendre de voir si elle avait fait mouche, se remit "debout" pour courir le long de la cloison, avant de se jeter à quatre pattes contre le plafond de la mezzanine. Se saisissant deux des barres de la rambarde de cette même mezzanine, la justicière l'arracha sans difficultés, pour les envoyer en direction de la lapine.


- BOO - YA !

Espérant profiter du fait que les projectiles détourneraient l'attention de son adversaire, EMP prit appuis sur ses jambes, avant de se propulser en direction du sac de bijoux. Son but était simple, mettre le butin de la criminelle sexy hors de portée, au cas où cette dernière voudrait s'enfuir avant la fin de cet affrontement. Car après tout, malgré ses insécurités psychologiques, Elissa Megan Powers n'était pas idiote.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 4 jeudi 07 novembre 2013, 23:38:33

Son costume n’était visiblement pas très résistant. Observatrice, la Lapine nota qu’il était déchiré, avant que la petite femme bleue ne lui envoie une décharge d’énergie. Plusieurs devantures et autres vitres explosèrent dans des myriades de bris de verre autour de la Lapine, qui se protégea du mieux qu’elle put, alors que son adversaire, bondissant sur le toit de la boutique, rebondit sur la mezzanine. Agile et rapide, la jeune femme avait visiblement quelques tours supplémentaires dans son sac. Elle fit preuve d’une force herculéenne en arrachant le garde-fou de la mezzanine, et la balança vers la Lapine. La Lapine l’évita en bondissant sur le côté, et vit alors la femme en bleue foncer sur le sac de bijoux.

*Mauvais choix tactique...*

Elle aurait pu en profiter pour l’attaquer, mais, au lieu de ça, elle préférait s’attaquer aux bijoux. À vrai dire, cette décision surprit un peu la Lapine. Pourquoi vouloir sécuriser des objets ? Ce n’était pas comme si la Lapine avait pris des gens en otage, et que leurs vies étaient en danger. La femme se privait d’une chance d’affronter la Lapine. White Rabbit tendit sa main, et envoya une nouvelle onde de choc, frappant la femme sur le côté, alors qu’elle s’emparait du sac de bijoux. La jeune femme aux belles formes heurta un présentoir en bois, faisant tomber sur elle quelques bris de verre, ainsi que des objets que la Lapine n’avait pas encore eu le temps de prendre, comme de luxueuses montres en or.

« Ça, ma choupette, c’est mon butin. »

White Rabbit savait que cette femme ne travaillait pas pour les Yakuzas. Elle prenait la Lapine pour une voleuse... Et elle n’avait pas tort. Cependant, la femme en bleue devait certainement ignorer que la bijouterie servait de couverture légal à un trafic international de diamants, d’esclavage, et de trafic d’armes. Comme la plupart des super-héros que White Rabbit avait pu rencontrer, la jeune femme en bleue agissait en se fondant sur les apparences des choses, plutôt que de réellement réfléchir. D’un autre côté, la Lapine pouvait la comprendre. Elle avait tué plusieurs personnes dans cette bijouterie, et elle savait que les super-héros, traditionnellement, se refusaient à infliger la mort, sauf s’ils n’en avaient vraiment pas le choix. Une ligne morale que White Rabbit avait toujours trouvée un peu absurde.

Les bris de verre avaient légèrement continué à déchirer la combinaison. Cette dernière était suffisamment résistante pour ne pas se déchirer quand White Rabbit l’avait balancé contre le mur, mais elle était bien trop serrée. Elle était déjà tendue à l’extrême. Un simple ongle aurait été suffisant pour la déchirer.

« Tu devrais songer à prendre le modèle à la taille supérieure... Comment tu fais pour respirer ? Même mon corset est moins serré que tes fringues ! »

Elle restait face à la femme, une main sur la hanche, guère inquiète. Si elle avait été un peu moins insouciante, un peu moins joueuse, si elle tenait un peu plus de Jaina, la Lapine aurait sans doute décampé sans demander son reste... Mais le jeu était une chose qui passionnait White Rabbit... Ainsi que le sexe. Et, pour être honnête, elle avait toujours trouvé que les combinaisons moulantes étaient l’avenir du sexe. De plus, cette petite femme l’intriguait. La Lapine ne l’avait jamais vu avant, et supposait donc que c’était une nouvelle.

*Une chance que ce soit moi qui se charge de son initiation...*
DC d’Alice Korvander.

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Empowered

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 5 samedi 16 novembre 2013, 14:36:18

Décidément, cette lapine n'était pas quelqu'un qu'il fallait sous-estimer. Malgré son costume ouvertement provocateur - pour rester dans l'euphémisme - cette femme se révélait redoutable. Peut être que la tenue à donner le barreau à un gay était justement un dangereux outil conçu spécialement pour endormir l'adversaire : Non seulement l'excitation troublait l'esprit et compliquait la concentration, mais en plus on ne pouvait pas raisonnablement prendre au sérieux quelqu'un comme ça. Heureusement, Empowered n'était pas du genre à sous-estimer ceux qu'elle affrontait... d'une part, parce qu'elle n'était pas idiote et, d'autre part, parce que le manque de fiabilité de son hypermembrane pouvait rendre même le plus faible des ennemis. Et cette ennemie là n'était pas faible. Heurtant le présentoir de bois, EMP laissa échapper un petit glapissement. Non pas que le choc lui fut douloureux d'une quelconque façon, mais lla chute des bris de verre sur ses épaules agrandit les déchirures déjà ouvertes pas sa précédente roulade. A chaque fois que le "shrip" caractéristique tintait à ses oreilles, Elissa se voyait déjà capturée, attachée et bâillonnée. Mais une rapide analyse permit à la jolie blonde de se rendre compte qu'elle n'avait pas encore perdu l'usage de ses pouvoirs : De son point de vue, White Rabbit pouvait croire que cette justicière venue l'arrêter avait été sonnée par le choc, mais il n'en était rien. Si la jeune femme ne bougeait plus, c'est parce qu'elle avait fixé son dos au présentoir grâce à ses pouvoirs d'adhésion aux parois.

Réfléchissant à toute allure, Empowered essayait de trouver un plan pour affronter cette ennemie. Mais, à mesure qu'elle réfléchissait, la plantureuse blonde sentait son courage l'abandonner. Après tout, elle avait un diplôme dans la reconnaissance et l'étude des super humains, il ne lui fut donc pas difficile de comprendre que les capacités de la cambrioleuse étaient de nature magique. Or, une des rares personnes qu'EMP connaissait et qui pratiquait la magie était Sistah Spooky, une ancienne collègue qui faisait partie des membres les plus puissants des Superhomeys, son ancienne ligue. Si les dons de la lapine étaient au même niveau, alors la pauvre Elissa avait bien du soucis à se faire. Mais, toute terrifiée qu'elle était, la jeune femme refusait d'abandonner : Elle était une super héroïne, elle se devait d'être un modèle pour la société et, même si elle était surtout le ravissant modèle de l'échec et de l'art de faire des nœuds, elle était Empowered, celle qui avait vaincu le Deathmonger là où toute une ligue de justiciers s'y était cassé les dents. Alors oui, il y avait toutes les chances qu'EMP finisse encore vaincue et humiliée, mais la seule alternative possible était la victoire et non la fuite.

Levant la tête vers White Rabbit, miss Powers lança d'une voix qui tremblait sous le stress et la peur, mais dans laquelle on percevait une pointe de détermination :


- S-si je pouvais choisir, j'aurais pris un costume avec une cape et sous lequel on peut mettre des sous-vêtements... heu... Le peu du visage visible sous la cagoule se mit à rosir, prouvant la gêne d'une fille qui a parlé un peu trop vite. Je... heu... bref, j'ai pas choisis l'costume ok ? Mange plutôt ça au lieu de dire des conneries !

Ponctuant sa phrase, elle se remit sur ses pieds en grognant. Pourquoi ce grognement ? Simple : Le promontoire de bois était toujours accroché à son dos et la jeune justicière le soulevait, avant de pivoter sur elle même. EMP désactiva son pouvoir d'adhérence, laissant le meuble filer en direction de la cambrioleuse. Sans attendre, la justicière pointa son bras vers le meuble, avant de le pulvériser d'une rafale d'énergie. Espérant que la nuée d'éclats de bois désorienterait White Rabbit, Empowered fonça dans le tas, prête à décocher un violent crochet du droit sur la lapine. Le seul problème, c'était qu'en s’engouffrant dans le nuage d'échardes, son costume subissait des petites coupures un peu partout... et il n'était dès lors plus certain que sa frappe garde assez de puissance pour mettre l'ennemie au tapis.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 6 dimanche 17 novembre 2013, 03:07:47

Il y avait bien longtemps que White Rabbit ne s’était pas autant amusée. Généralement, elle jouait à se faire courser, comme elle l’avait fait à Gotham avec Batman. Elle se battait assez rarement, car elle tombait assez souvent sur de simples mortels, des individus qui ne pouvaient donc rien faire contre ses pouvoirs magiques. La Lapine était insaisissable, et, par conséquent, elle préférait jouer à se faire courser, à créer des défis, des challenges... Ici, les choses étaient différentes. Cette petite boule de nerfs blonde dans une tenue extrêmement serrée voulait jouer avec elle, l’affronter, et la défier. Elle n’avait concrètement aucune chance. À moins de prendre White Rabbit par surprise, ou de l’attaquer avec des cristaux annihilant les pouvoirs magiques, quelqu’un qui n’avait aucune capacité en magie ne pouvait tout simplement rien faire contre elle. White Rabbit aurait aimé continuer à jouer, mais le temps lui manquait. La police ne tarderait pas, et elle voulait éviter de faire un esclandre. Arrogante, la Lapine savait pour autant qu’il existait à Seikusu des forces avec lesquelles il était difficile de jouer... De plus, elle ne voulait pas que ses escapades nocturnes perturbent la vie de Jaina. Sa sœur pouvait être tellement rasoir, parfois...

Elle vit la femme blonde à la tenue bleue serrée se déplacer avec un présentoir dans son dos, et cligna des yeux.

*C’est... Original...*

La femme attaqua alors en lui balançant l’objet, et entreprit de le faire exploser, envoyant une pluie d’échardes, tandis qu’elle filait à travers les débris. L’attaque prit en tout moins de quelques secondes, le temps que la femme s’envole à travers les débris pour fondre sur White Rabbit... Mais ce fut amplement suffisant pour elle. La femme avait le poing tendu, tandis que son costume heurtait les échardes, mais son attaque heurta alors un mur invisible se situant entre elle et White Rabbit. La Lapine avait juste eu à former un bouclier magique. Il avait une forme légèrement arrondie, et les écharpes de bois s’y heurtèrent. White Rabbit leva alors sa main, et envoya une onde magique qui frappa la femme blonde, et l’envoya s’écraser contre le mur en face, avant que, par le biais de la télékinésie, White Rabbit ne soulève plusieurs des échardes de bois, et ne les envoie sur la femme.

Les échardes heurtèrent son torse, et entaillèrent sans aucune difficulté son costume, tandis que les bras et les jambes de la femme étaient en forme de croix, comme si des liens invisibles les entravaient contre le mur.

« Ton costume se découpe comme du beurre, ma pauvre ! s’exclama la femme. Ce n’est pas prudent de s’attaquer ainsi au crime, quand on a un costume aussi... Peu résistant... »

Les échardes formaient comme des stylets, qui déchiquetèrent un peu plus le costume, creusant des entailles, sans toutefois sérieusement entailler la peau. Au loin, la Lapine pouvait entendre les sirènes de voitures de police. Les badauds continuaient à filmer la scène, indécis. Les échardes arrêtèrent leur office après avoir glissé le long des bras et des jambes de la femme, dessinant des espèces de zigzags en entaillant sa combinaison moulante.

La Lapine s’arrêta donc, et balança les échardes au loin, avant de lentement s’avancer. Ses yeux pétillaient d’une lueur sournoise. Elle s’avança, et tendit sa main, venant caresser l’une des jambes de la femme. Elle était surélevée par rapport au sol, et White Rabbit la fit redescendre, afin que son visage soit à hauteur du sien.

« Et bien, pourquoi cacher un aussi joli corps ? Tu as de la chance d’être tombée sur moi, tu sais... »

Chacune des mains gantées se posa alors sur les joues de la femme, et elle alla l’embrasser, se pressant contre son corps, l’embrassant assez longuement. Elle commença par poser ses lèvres sur les siennes, attendant tout simplement que la police arrive. Progressivement, très progressivement, elle mordillait les lèvres de la femme, tirant sur sa langue inférieure, l’avalant entre les siennes, avant de remonter sa lèvre supérieure, pour heurter celle de la femme, et tirer ensuite sur celle-là. Elle continua ainsi, puis entreprit ensuite de glisser sa langue dans sa bouche, soupirant de plaisir. Lentement, de la même manière, ses mains s’écartaient des joues de la femme pour caresser son corps, heurtant cette tenue moulante.

Le contact était relativement doux, une peau glissante et confortable... Elle s’était imaginée à une tenue brillante en latex, mais c’était plutôt le contraire... Si proche, White Rabbit acquit la conviction que ce costume, quel qu’il soit, n’avait rien d’un simple artifice. Difficile d’expliquer en quoi, pour l’heure.

Les voitures de police étaient finalement arrivées, mais, quand les policiers rentrèrent, c’était pour constater que la bijouterie était inexplicablement vide. Plus aucune trace de deux femmes en train de se rouler des pelles contre le mur, simplement un magasin dévasté, et quelques cadavres.

« Mais... Où est-ce qu’elles sont passées ? »



White Rabbit rompit le baiser, et, quand ce fut fait, la jeune femme blonde put retrouver ses mouvements... En s’affalant sur le sol. Un vent particulièrement frais les secouait, et pour cause : la Lapine avait téléporté les deux femmes sur le toit d’un des plus grands gratte-ciel de la ville ! Près d’elles, il y avait une impressionnante antenne de communication. Bras croisés, White Rabbit observait la femme.

« J’embrasse bien, tu ne trouves pas ? »
DC d’Alice Korvander.

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Empowered

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 7 lundi 25 novembre 2013, 21:59:50

Lorsque son poing percuta un mur invisible, Empowered savait déjà qu'elle avait perdu ce combat. Que ce fut de par la faiblesse induite par les multiples déchirures de son costume ou parce que la lapine était une sorcière assez puissante pour stopper ses coups à pleine puissance par la force de sa volonté, EMP n'avait plus aucun moyen de vaincre. Et au cas où la blonde aurait eu quelques derniers espoirs, les échardes crées par la destruction du comptoirs se mirent à voler dans sa direction, découpant consciencieusement ce qu'il restait de son costume, vidant la justicière des dernières forces surhumaines qu'il lui restait. Elissa réalisait qu'à chaque seconde qui passait, de plus en plus de peau se révélait et, intérieurement, elle priait pour que White Rabbit ne décide pas de la dénuder totalement. Ce ne fut pas le cas et, même si techniquement le peu de sa tenue encore présente aurait du tomber au sol, l'Hypermembrane collait à l'épiderme de miss Powers comme une seconde peau, couvrant encore ce que la décence exigeait. Empowered savait très bien quel spectacle elle donnait cependant, son costume moulant déjà fort suggestif s'érotisait davantage à mesure que les morceaux de bois le déchiraient. EMP avait honte et, malgré elle, cette situation l'excitait.

La provocante criminelle semblait jouer avec sa proie, n'ayant aucune intention de lui faire du mal : Les débris du comptoirs ne se pressaient pas réellement contre la peau veloutée de la blonde, comme si celle qui les contrôlait ne voulait pas la blesser. De par sa remarque sur la fragilité du costume, il semblait évident que White Rabbit n'avait pas encore deviné la nature de l'hypermembrane : Même si elle lui avait tiré une balle à bout portant contre une zone non couverte par cette tenue capricieuse, la cambrioleuse n'aurait même pas pu lui causer un hématome. Cette tenue avait beau mettre constamment Elissa dans des situations embarrassantes, elle mettait toujours un point d'honneur à protéger la vie de sa porteuse. Cela dit, l'ignorance de la femme aux cheveux blancs révélait également autre chose : Si elle continuait à la dénuder de la sorte, ce n'était pas pour neutraliser les pouvoirs de la justicière, mais bel et bien par perversion. Aussi, quand la magicienne évoqua la chance qu'avait EMP d'être tombé dessus, la belle blonde avait quelques doutes.

White Rabbit confirma les soupçons d'Empowered en venant se lover contre elle, caressant sa joue, avant de mordiller les lèvres de sa captive. Miss Powers ne put s'empêcher de rougir, gênée, excitée. Elle ne répondit pas à ce baiser, au début, l'idée de s'abandonner à une criminelle... une criminelle qui la maintenait captive grâce à ses pouvoirs, la révoltait. EMP était une super héroïne, luttant contre le crime, travaillant à un monde meilleurs. Il était déjà assez gênant d'être constamment vaincue et ficelée par ses divers adversaires, alors il était hors de question de devenir le genre de salope qui mouillait sa culotte sous les caresses de ses bourreaux ! Sauf que... Elissa mouillait effectivement. Ce n'était pas visible sur l'Hypermembrane qui, d'une certaine manière, se nourrissait des fluides de sa porteuse, mais la justicière sentait son entre-jambes fondre. Malgré elle, malgré ses convictions, Empowered ne parvenait pas à empêcher son désir de monter, à être excitée par sa situation. Et puis ce corps chaud, divinement bien taillé collé à elle n'arrangeait pas la situation. Fermant les yeux, le rose de ses joues devenant carrément rouge, EMP entre-ouvrit ses lèvres pulpeuses. L'accès ainsi ouvert, Elissa donna sa langue à White Rabbit, aspirant la sienne, jouant avec dans un ballet timide. Les caresses de la cambrioleuse sur son corps aux trois quarts nus ajoutaient à son trouble, lui arrachant quelques petits gémissements fiévreux.

Lorsque, enfin, le baiser fut rompu et qu'Empowered regagna la maitrise de son corps, s'affalant sur le sol, elle se recroquevilla un peu sur elle même. Elle avait honte. Elle avait froid. Evitant soigneusement de croiser le regard de White Rabbit - qui ne l'aurait de toute façon pas su, vu l'opacité des yeux de son costume - EMP n'osait pas répondre à la question. Elle voulait dire non, elle voulait rejeter cette femme, mais la justicière avait trop peur de dire oui. Car oui, la magicienne embrassait bien.


- J-je... l-laissez moi p-partir...

Empowered était tiraillée. Elle voulait s'échapper, partir loin de cette tentatrice, étouffer cette honte qui lui serrait la gorge... mais elle voulait également que cela continue.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 8 mercredi 27 novembre 2013, 02:09:01

Sans avoir les capacités olfactives des vampires, qui leur permettaient de percevoir les ondulations sanguines de leurs victimes, et ainsi pouvoir déterminer si elles étaient excitées ou non, White Rabbit avait des yeux, et avait suffisamment embrassé de femmes pour percevoir certaines choses... Comme le rougissement des joues de la femme, ou son absence de réelle volonté de se battre, comme si, dans le fond, l’idée de partir, de se débarrasser de cette séduisante Lapine, ne la tentait pas trop. Elles étaient sur lez toit d’un des plus grands immeubles de la ville, leur offrant une vue magnifique sur toute la région, un spectacle lumineux et féérique d’immeubles, de rues de lumières différentes. Les sons de la ville remontaient à leurs oreilles en formant une pépinière explosive, on pouvait voir les montagnes et la mer au loin, et, pourtant, White Rabbit savait qu’il n’y avait rien de plus beau, aux yeux d’Empowered, que son sublime fessier, et sa silhouette, aux formes parfaites, méticuleusement moulée dans une tenue provocante des plus érotiques. Sa tenue était toujours moins moulante que celle d’Empowered, et, si la Lapine avait découpé un peu cette tenue bleue ultraserrée, c’était bien pour laisser la pauvre femme respirer un peu.

Affalée sur le sol, presque à quatre pattes, la jeune femme se mit à supplier White Rabbit de la laisser partir, d’une voix molle. Trahissait-elle sa peur ? Ou cette excitation qu’elle essayait de réprimer en elle ? La Lapine esquissa un sourire amusé, et se retourna lentement. Bras croisés, elle marcha vers Empowered, et fléchit les genoux devant elle.

« Partir ? Vraiment ? »

La Lapine soupira.

« Et bien, tu n’as qu’à partir... Vois-tu des barreaux autour de toi ? Tu es libre de partir ! »

Naturellement, Empowered ne pouvait pas le faire. La Lapine ignorait le lien unissant la femme à sa combinaison, mais elle avait clairement senti que la jeune femme était moins énergique qu’auparavant... Sans doute une amatrice, qui avait gaspillé toute son énergie en essayant de la comprendre. White Rabbit se releva donc, et décida de passer à la suite des évènements. Elle avait encore sur les lèvres le goût de la femme, et se mit à marcher, lentement, remuant légèrement des hanches, comme toujours.

« Je t’autoriserais à partir, ma jolie... Mais pas avant de t’avoir donné une bonne leçon... Quand on s‘attaque à des gens comme moi, il faut avoir les moyens de le faire. À cause de toi, je n’ai pas pu aller jusqu’au bout de ce que je voulais faire, je n’ai pas pu offrir aux citoyens ces bijoux obtenus de la plus sinistre des manières. Tu mérites donc une petite correction. »

Elle termina de faire les cent pas en se replaçant devant Empowered, et tendit soudain un doigt. Autour du cou de la femme, un collier magique, noir, se forma alors, et une laisse apparut également, comme par magie, avant de se planter dans le sol, s’y accrochant comme une espèce de ventouse. La laisse était noire, sombre, et immobilisait la femme. Elle était désormais à quatre pattes, en position de chienne, et la Lapine se glissa dans le dos de la femme, où elle posa une main sur sa croupe, éprouvant cette dernière. Fondamentalement, la Lapine savait que cette histoire n’était qu’un malentendu. Empowered était une justicière, mais elle ne pouvait pas savoir que la bijouterie que la Lapine avait attaquée s’inscrivait dans un processus sinistre, un trafic de diamants reposant sur la traite et l’esclavage. Les bijoux étaient tachés de sang, mais Empowered l’avait attaqué... Et, de toute manière, White Rabbit n’était pas du genre à réfléchir trop longtemps. Elle s’était attaquée à une bijouterie illégale pour que Jaina ne la gronde pas dessus, mais son objectif premier avait été d’offrir des bijoux aux passants, de se délecter des conséquences qu’une telle action engendrerait. Maintenant, elle avait tout simplement un autre jouet.

Après avoir palpé les belles fesses de la femme, White Rabbit leva sa main, bien haut, et la gifla. Une belle claque, qui résonna autour d’elle.

« T’as vraiment un joli cul, ma belle... »

D’autres fessées s’abattirent sur sa croupe, toujours un peu plus fortes.
DC d’Alice Korvander.

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Empowered

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 9 samedi 07 décembre 2013, 17:31:01

(Après avoir perdu ma réponse, j'ai du retaper un truc de moins bonne qualité, désolée ^^')

- Eeeek !

Le petit cri s'était échappé de la gorge féminine lorsque le collier était apparut autour et que la laisse, planté au sol, l'empêchait de se redresser convenablement. La justicière tira un peu sur cette longe en sentant la main fuselée de la lapine glisser sur ses fesses. La pauvrette était si gênée qu'elle se serait cachée dans un trou, si elle avait pu. Mais, comme d'habitude, Empowered était sans défense face à son adversaire. Adversaire qui, loin de se contenter de l'attacher, semblait prendre un malin plaisir à la mettre dans une position pour le moins suggestive. Mais sa honte grimpa encore de quelques échelons lorsque cette main auparavant caressante s'abattit sur ses fesses, en une claque sèche.

- Aaah ! Non !

Peine perdue, White Rabbit commença à fesser impitoyablement EMP. La cambrioleuse ventait la beauté du popotin de la blonde, ne faisant qu'enfoncer le clou de la honte sur la planche de son âme. Le claquement retentit dans l'air, se perdant dans les courants aériens. Chaque coup donné au succulent postérieur féminin faisait rougir la peau douce d'Elissa. Cette hypermembrane était une chose étrange, protégeant sa propriétaire des blessures tout en la laissant à la mercie de ses ennemis, empêchant les pointes et les lames d'endommager sa porteuse sans pour autant prémunir ses jolies fesses d'arborer les marques rougies imposées par les mains de White Rabbit.

Ce traitement mortifiait EMP, la rendant muette. Oh, bien sûr, chaque claquement s'accompagnait d'un petit hoquet de douleur, de surprise et de détresse, mais aucun mot ne sortait de sa bouche pulpeuse. Pourtant, en même temps que cette honte, une excitation grandissante s'emparait du corps féminin. Ses mamelons étaient déjà durs, mais le jus qui s'échappait de son intimité n'était plus absorbé par la combinaison, s'écoulant par les zones déchirées les plus proches, s'écoulant sur ses cuisses. Quelques gouttes venaient mouiller le sol tendis qu'Empowered, tendue comme un arc, subissait son humiliation. Au fond d'elle, Miss Powers savait que cette fessée n'était qu'un avant goût de ce que la magicienne lui ferait subir... et cette perspective la terrifiait autant qu'elle l'enfiévrait.

Quand le déluge de claques cessèrent de s'abattre sur les fesses féminines, la justicière avait toujours le cul relevé, le dos cambré. Son corps tremblait, de peur autant que d'excitation. Elle était dans l'attente de la suite. Tournant cependant la tête, pour regarder par dessus son épaule, EMP souffla :


- V-vous n-n-n'allez p-pas me l-laisser p-partir. Je... Je suis désolée... Je ne voulais pas v-vous déranger...

Son timbre suppliant était teinté par la chaleur qui lui dévorait l'entre-jambes. Empowered ne pouvait concevoir qu'on puisse en réclamer plus. Elle en avait envie, mais sa fierté, autant que sa conscience, l'en empêchaient.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 10 lundi 09 décembre 2013, 03:07:44

Et les claques se répandirent. Le cul d’Empowered avait pour lui d’être très bien emballé dans cette combinaison bleue ultraserrée. Il répondait donc plutôt bien aux fessées de la Lapine, qui ne se gêna nullement pour en dispenser généreusement. Pendant plusieurs minutes, le toit du building résonna ainsi des coups sonores sur les belles fesses de la femme blonde, et des petits cris que cette dernière poussait. Un sourire amusé sur les lèvres, la Lapine se délectait de ce sentiment de honte qui inondait le corps d’Empowered, en désaccord avec ce que son corps ressentait, et avec la fuite qui s’opérait à hauteur de son intimité. Joueuse, la Lapine s’était toujours amusée de la totale opposition entre des sociétés se voulant libres, et cette espèce de honte primitive à l’idée de se faire plaisir. Il était amusant, pour elle, de voir combien le sexe, chose pourtant si naturelle, et au cœur de l’espèce humaine, était considéré comme mauvais aux yeux des contemporains. Rien à voir avec le passé, avant l’ère judéo-chrétienne, où les Antiques se livraient joyeusement à des orgies magnifiques, les fameuses Bacchanales grecques. La sphère asiatique n’était pas en reste non plus, à cette époque. Voir comment les choses avaient évolué permettait de constater la grande ironie que constituait l’humanité, se prétendant plus libre qu’auparavant, tout en ayant renoncé, à bien des points, sur des éléments que les Antiques auraient considéré comme inacceptables. Ce plaisir coupable, cette rougeur sur les joues d’Empowered, en était l’illustration. Et, pour quelqu’un comme White Rabbit, qui n’était qu’une ode dédiée à la liberté, cette honte avait quelque chose d’incompréhensible.

La Lapine cessa de la claquer au bout d’un certain temps. Ses doigts commençaient à siffler, et les fesses d’Empowered étaient bien rouges. Son costume recouvrait encore, très partiellement, certaines parties de ses fesses, et elle en déchira encore un bout, afin de pouvoir avoir accès à sa croupe, cette délicate petite raie, si belle, si attirante. Elle avait un joli petit cul. Empowered avait décidément bien de la chance d’être tombée sur White Rabbit. Les Yakuzas auraient été bien moins magnanimes qu’elle. La jeune fmeme tourna alors la tête vers la Lapine, afin de la supplier :

« V-vous n-n-n'allez p-pas me l-laisser p-partir. Je... Je suis désolée... Je ne voulais pas v-vous déranger... »

La Lapine, qui en était à inspecter le postérieur de sa proie, se redressa soudain, un léger sourire amusé. Comment interpréter cette phrase ? Voulait-elle partir ? Ou voulait-elle rester ? La Lapine s’avança le long du corps de la femme, traînant ses doigts le long de son dos, jusqu’à caresser ses cheveux, remontant jusqu’à sa tête. Elle se planta alors devant la femme, ses deux mains jouant sur sa tête, venant frotter ses oreilles. La Lapine savait, pour connaître le corps humain, que les oreilles étaient aussi des zones érogènes, et elle s’amusa donc à les frictionner.

« Oh, ma petite, mais qui a bien pu faire croire que tu me dérangeais ? »

Elle libéra ses oreilles, et rapprocha un peu son bassin, sa culotte se rapprochant de la bouche de la femme.

« Je te laisserais partir, rassure-toi, car je suis une femme qui n’aime pas avoir de la compagnie... Mais pas avant de m’être convenablement occupée de toi. »

Le bassin de White Rabbit se rapprochait, jusqu’à venir taper contre la face de la femme. Cette dernière se mit à poursuivre, tout en retournant caresser les cheveux de la femme.

« Je vais faire de toi ma petite salope pour cette nuit. Montre-moi ta docilité, et lèche ma culotte. Allez, dépêche-toi ! »

White Rabbit fit à nouveau usage de sa magie, et un fouet se forma dans les airs, se matérialisant dans le dos d’Empowered. De sa main libre, la Lapine le dirigeait, et, comme pour motiver Empwoered, le fouet se dressa, et claqua sur ses fesses, laissant une belle ligne rouge. Il n’était pas suffisamment effilé pour marquer sa chair, contrairement aux fouets classiques, mais il l’était tout de même suffisamment pour la faire souffrir.

Il fallait bien la motiver un peu, après tout.
DC d’Alice Korvander.

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Empowered

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 11 samedi 21 décembre 2013, 18:22:56

La pauvre Elissa était totalement à la mercie de White Rabbit. Elle aurait aimé pouvoir se rebeller, pouvoir lutter. Mais, comme d'habitude, elle était sans défenses. La principale différence avec sa carrière aux Etats Unis, cependant, c'était que la jeune femme n'était plus affiliée à une ligue de super héros et ne jouissait plus donc de la protection que cela impliquait. Beaucoup de criminels avaient peur des risques qu'ils couraient à être trop cruels avec les héros vaincus. De ce fait, EMP n'avait jamais eu à craindre la mort ou le viol. Ici, c'était différent et, si Empowered n'avait rien à craindre pour sa vie, son cul était, quand à lui, sérieusement en danger. En effet, non content de la fesser - avec davantage de sensualité que nécessaire - la cambrioleuse avait prit soin d'arracher les derniers fragments de costumes qui dissimulaient encore son intimité. A quatre pattes, bien cambrée par la laisse fixée au sol, Miss Powers savait que ses ses fesses s'écartaient faiblement, laissant à la vue son petit trou mignon autant que son intimité luisante.

EMP avait honte. Elle avait honte et elle était incroyablement excitée. Pourtant, sa raison lui permettait de tenir le coup, de ne pas se laisser aller à céder aux exigences de la lapine. Peu importait ce qu'elle désirait, la justicière se refusait à abandonner face à l'ennemi. Aussi, lorsque White Rabbit réclama à sa proie que cette dernière lui lèche la culotte, la pauvre blonde serrait les dents, s'apprêtant à répondre une insulte bien sentie. Mais ses lèvres pulpeuses étaient à peine écartées, sa voix n'avait pas encore sortit de sa gorge qu'un fouet lui traçait un trait de feu sur la fesse.


- Aïe !

Ce glapissement n'était pas ce qu'Empowered avait voulu répondre. Ce glapissement fut comme la fissure qui fragilisait sa détermination. Elissa ne voulait pas céder aux désirs de la lapine, à ses propres désirs... Mais à quoi bon ? De toute évidence, White Rabbit ne reculerait devant rien pour la forcer à se soumettre et, sans ses pouvoirs, quelles chances la justicière avait elle de résister ? Le feu dans son ventre n'aidait pas EMP à se concentrer. Et ce string rose était là, tout près de son visage, de ses lèvres charnues. Les joues aussi rouges que ses fesses, miss Powers tremblait.

- D'a... d'accord...

Ca y était : Elissa Powers, plus connue sous le surnom d'Empowered, elle même surnommée Captain Kidnapped, venait de s'avouer vaincue. White Rabbit n'avait peut être pas conscience de la lutte interne de la justicière, ni de sa victoire réelle. Pour elle, peut être que cette héroïne blonde n'était qu'une trainée de plus qui se soumettait à sa volonté... Quoi qu'il en fut, EMP approcha sa tête de l'entre-cuisses féminin, déposant un petit baiser sur la toile rose du sous vêtement. Son acte était timide, preuve évidente que la jeune femme était encore en proie au doute, à un conflit intérieur qui ne la quittait pas. La pauvrette était aussi satisfaite qu'elle était révoltée. Une part d'elle même était pressée de devenir cette petite salope que lui promettait White Rabbit, l'autre demeurait toujours fermement opposée à cette reddition.

Peu à peu, cependant, l'esprit chamboulé d'Elissa redevint sûr. Peut être que si elle satisfaisait rapidement son bourreau, la justicière pourrait partir plus vite ? Les lèvres pulpeuses se collèrent plus franchement au string, s'écartant doucement. La langue féminine pointait hors de sa bouche, tandis qu'Empowered obéissait finalement à l'ordre donné. Instinctivement, ce muscle chaud et agile glissa contre les reliefs du sexe de la lapine, cherchant à lui titiller le bouton de chair au travers de son sous-vêtement. EMP n'avait jamais eu de rapport homosexuel avant, mais elle s'était masturbée assez de fois pour savoir comment un sexe de femme fonctionnait. Même si elle ne doutait pas que chacun avait ses propres particularités, tous devaient avoir quelques points communs.

Elle était belle, la grande Empowered. Constamment humiliée et tournée en ridicule aux USA, elle avait espérer reconquérir une forme de gloire au japon... Mais c'était encore pire : Sa première action de Justice se transformait en l'une des fan-fictions qu'écrivaient les gens là d'où elles venait. Combien de récit dépeignant très exactement ce qu'elle vivait ici avait elle lu ? Finalement, la réalité dépassait la fiction... si ses anciens collègues savaient qu'Empowered était actuellement à quatre pattes, le cul nu bien relevé, à la mercie de toutes les perversions, le visage enfouis entre les cuisses d'une criminelle non moins séduisante. Le coeur au bord des lèvres, Elissa continuait sa besogne, léchant cette fois ci l'intimité de la lapine avec davantage d'entrain, au travers de sa culotte. Elle léchait sans s'arrêter, à s'en assécher la langue, jusqu'à ce que White Rabbit lui ordonne autre chose.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Leçon judiciaire [Empowered]

Réponse 12 lundi 23 décembre 2013, 02:53:13

Si la Lapine avait été un peu moins joueuse, elle aurait sans doute dit la vérité à Empowered. Elle lui aurait expliqué qu’elle n’avait agi que dans des intentions purement nobles, afin de rétablir une sorte d’équité. Elle aurait théoriquement du le faire, mais la Lapine, en réalité, faisait assez rarement ce qu’elle devait faire. Elle laissait ce soin à Jaina. Elle ne dirait rien à Empowered, simplement pour mieux la torturer, afin qu’elle ait l’impression de s’abandonner entre les mains d’une criminelle (ce que, de toute façon, elle était quand même), une femme qui avait attaqué une innocente bijouterie pour un quelconque forfait. Elle trouvait ça plus excitant. Son fouet claqua donc, comme pour mieux inciter la belle petite blonde, dans sa tenue moulante, à agir. Empowered s’avança lentement, très lentement, et sa langue vint glisser sur sa culotte. La Lapine glissa l’une de ses mains gantées pour lui caresser les cheveux, esquissant, sur ses lèvres, un sourire victorieux.

Oh, elle se doutait bien que la jeune femme ne faisait pas ça de bonté de cœur, et qu’elle était forcée, mais c’était précisément ce que White Rabbit voulait développer. Ça l’excitait encore plus, et elle sentit tout le manque d’engouement dans les agissements d’Empowered... Ainsi qu’une sorte de désir naissant, qu’elle avait cru percevoir. La super-héroïne continua à embrasser, délicatement, le bout de vêtement qui s’offrait à elle, avant de commencer à le lécher. Elle avait alors tout de la belle petite chienne, avec White Rabbit qui lui caressait la tête, comme pour la féliciter de son accomplissement, comme pour lui prouver qu’elle était une belle bête, docile, agréable, et soumise. Sa langue glissait sur sa culotte, à l’emplacement de son sexe, et, plus le temps passait, plus la jeune blonde était motivée, rapide, et s’activait.

« Hum... C’est très bien, ma petite chérie. Très, très bien. Tu es une belle petite pute. »

Proférer des insultes faisait partie des armes que la Lapine était susceptible de déployer en couchant avec d’autres personnes. Parfois, il fallait forcer les gens pour qu’ils se laissent aller, et les jurons, clairement, y contribuaient. Cependant, avec cette belle blonde, il y avait autre chose qui semblait marcher... Et, comme pour agir dans le prolongement de ce que la Lapine pensait, le fouet se mit à claquer à nouveau. Il heurta la fesse gauche de la femme, puis la droite, revenant en arrière, amorçant ensuite un arc de cercle replié, le bout du fouet atteignant la manche, avant de se déployer d’un coup. En fendant l’air, le fouet laissa s’échapper un son, comme s’il déchirait l’air, et claqua à nouveau en heurtant la peau d’Empowered, envoyant dans tout son être une onde de douleur qui la traversa, et qui fit frissonner la Lapine.

Un sourire amusé éclaira ses lèvres, et, alors qu’Empowered n’avait guère d’autres choix que de continuer à lécher, White Rabbit commençait lentement à mouiller, sa culotte s’humidifiant progressivement, sous les coups de langue de la femme. L’une de ses mains restait en appui sur sa nuque, et l’autre frottait ses joues, glissant sur sa peau. Le fouet, lui, fut doublé par un second fouet, et les deux s’abattirent sur le cul de la blonde, en alternance, claquant chacune de ses fesses, comme pour l’encourager, et, surtout, l’habituer à ça : obtenir le plaisir par la voie de la douleur, l’humilier, la dégrader, la souiller, faire d’elle une véritable traînée.

« Ton cul est fait pour se faire fouetter... Comme toutes les salopes dignes de ce nom. La manière dont tu me lèches... Huhu, on croirait que tu as fait ça toute ta vie. »

La Lapine finit par s’abaisser, et posa chacune de ses mains sur les deux joues de la femme, croisant ainsi son regard. Elle lui sourit, et alla tendrement l’embrasser sur les lèvres, sans vraiment daigner lui laisser le temps de réagir. Leurs lèvres se pressèrent tendrement, et la langue de la Lapine fila dans la bouche de sa partenaire, la titillant, la caressant, jouant avec elle. Elle prolongea le baiser en soupirant, gémissant légèrement... Et les fouets s’abattirent à nouveau, provoquant cet irrésistible claquement.

White Rabbit rompit ensuite le baiser, et s’écarta un peu. Elle offrit la vue de son dos à la femme, observant la ville, sur el rebord. La laisse magique immobilisait toujours la jeune femme à hauteur de son cou, avant de lentement commencer à s’effriter.

« Reste à quatre pattes. »

Les fouets disparurent également, et la Lapine se retourna. Elle avait une main posée sur la hanche.

« Je sais où aller, toi et moi. »

Elle se téléporta alors, et arriva sur le dos d’Empowered, s’asseyant dessus, comme si la jeune femme était un cheval, et elle posa ses mains sur sa nuque, glissant sur sa peau chaude.

« Un endroit qui plaira à la petite chienne que tu es. »

White Rabbit l’éperonna alors, et claqua des doigts. Des ombres semblèrent alors les envelopper, et, quelques instants après, les deux femmes quittèrent le toit du gratte-ciel pour se retrouver dans une pièce sombre, où il faisait légèrement plus chaud. La pièce était cependant assez fraîche, et de l’écho semblait résonner, trahissant un faible mobilier. Il y baignait une obscurité forte. La Lapine libéra le dos de la femme, et frappa dans ses mains.

Comme par enchantement, des bougies s’allumèrent dans les coins, permettant ainsi de voir une antre sadomasochiste. Chaînes suspendues au plafond, chevalet, croix, roues, fouets, cravaches, gag balls suspendus à des reposoirs, vibromasseurs, ceintures de chasteté, chat à neuf queues... Il y avait tout un assortiment. Les murs étaient froids, noirs, nus, et White Rabbit se mit à marcher, avant de s’asseoir sur le rebord d’un grand lit rouge, avec des couvertures en soie, et des sangles. Elle croisa élégamment les jambes.

« Voici notre nouveau terrain de jeu, esclave. Celui où je vais te soumettre. Lèche-moi les pieds, maintenant, chienne. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.



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