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Une danse dans la loge privée du Trap's Day

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Theorem:
A Jûichigai, il y e a tant de choses à faire le soir. Une poignée de pétale de rose descend lentement le cours d'eau à travers la ville, portant le message qu'après 22h, le quartier de la Lanterne Rouge s'ouvre. La cité de la Pagode s'éclaire, ses lanternes sont allumée et la pluie tombe tout doucement. Les rues du quartier de la lanterne rouge sont pour la plupart couvertes et donc les prostitués sont de sortit. Il y en a pour absolument tout les goûts ! De la grosse femme aux hommes musclés, en passant par sa loge zoophile ou encore sa maison des horreurs. Tout est survolé et on peut papilloner d'une ruelle à une autre, d'un établissement à un autre, pour satisfaire tout ses vices. Parmi les établissements ouverts ce soir là, le Trap's Day ouvre ses portes. Ce soir, la thématique a été mise en avant :  soirée Bunny Suit. Car tout les soirs au Trap's Day, un thème est abordé. Cela demande beaucoup de déguisements et de tenues mais la magie rose et les nombreux artistes de la ville savent répondre à la demande. Tout les garçons à l'allure juvénile et efféminé parades donc dans ce bar à strip tease en un maillot une pièce ou deux, un serre tête de lapin sur la tête et une petite queue touffue apposée sur la tenue en question quand une queue animale ne la remplace pas déjà. Les serveurs vont bon train mais les plus intéressants clients ont accès à la loge privée. Cette pièce avec son canapé, son lit dans le fond et sa scène privée avec salle de bain annexe est l'endroit le plus cher du Trap's Day. Pour 150 Ke d'argent la nuit, on peut voir le plus doué des trap ou celui que la clientèle choisit se trémousser, s'offrir et vous offrir la nuit de vos rêves.

"Konbawa. Je me nomme Tasha Spasiba. Vous vouliez le trap le plus mignon et le plus cher de ce bar, me voila..."

Cette voix sensuelle et androgyne, roulant fort ses R et mêlant les tons suaves et doux, provenaient de la bouche entourée de gloss rose de Theorem. Il avait un maillot deux pièces, un bikini fort sexy en latex noir et brillant. Ses fausses oreilles de lapin retombaient sensuellement à mi-hauteur et ses cheveux en deux longues couettes d'un rouge ardent retombaient dans son dos. Ses yeux vers émeraudes chatoyaient du regard sa cliente elfe en cuir. Il portait de magnifiques bas noirs brillants ainsi que des gants recouvrant ses bras. Même sa main gauche se terminant pourtant en une patte douce était partiellement recouverte par le gant, le latex ne passant que sur le dessus de sa main et se finissait en un anneau passant sur son majeur. Il commença sa langoureuse danse devant l'elfe, bougeant son corps huilé avec grâce, ondulant autour de la barre centrale et verticale. Le piercing à son nombril donnait sur une chaîne faisant le tour de son corps, ondulant elle aussi au rythme de ses mouvements de danse.

"Vous m'avez dit que vous recherchiez du SM... Cela tombe bien c'est ma spécialité... Je saurais faire un soumis des plus exemplaire pour vous et les meilleures maîtresses m'ont formées... Votre plaisir sera sans limite..."

Dit-il avant de frotter son petit cul moulé par le latex de sa culotte sur la barre centrale. Il s'approcha ensuite à quatre pattes, tirant doucement sur son haut de bikini pour montrer ses deux tétons percés d'un anneau d'argent chacun. Il souria perversement, son regard entouré d'un maquillage noir très sexy avant de se caresser sur scène, à genoux.

"Venez... Je suis tout à vous, maîtresse... J'ai une carotte sur moi, la trouverez-vous ?..."

Arillé:
Les rayons du soleil commençaient à mourir petit à petit. Dans ce décor tout droit sorti d’un conte  sino-nippon médiéval, une touriste faisait tache. Une elfe qui regrettait amèrement de ne pas porter une tenue plus légère. Elle portait un bustier en cuir décoré par de la dentelle bordeaux, un mini short noir qui ne laissait qu’apercevoir les cuisses de l’elfe, aussitôt couvertes par des bas en latex noir, auxquels on pouvait aisément apercevoir le holster de sa cuisse droite. Aux extrémités de ses membres, des bottes à lacets noirs montantes jusqu’aux genoux et des mitaines en cuir s’arrêtant jusqu’aux avant-bras. Elle suffoquait dans cette tenue qui ne laissait pas respirer la peau et maudissait l’humidité ambiante. Le hasard la mena vers une banque, où par miracle, elle pouvait communiquer, bien que non sans difficultés, dans sa langue maternelle. Arillë échangea ses pièces contre des barettes métallique. Elle profita d’avoir un autochtone sous la main pour avoir quelques phrases toutes faites sur un papier tels que : " Je veux boire "  " Je viens de Terra et je ne parle pas votre langue " " Je veux manger " " Je veux dormir " et, " Je veux votre meilleure fille " que l’autochtone traduit par " garçon " pensant corriger l’elfe. Elle reprit donc sa route, en quête de nourriture, ce ne fut pas bien difficile à trouver, mais, manger avec des baguettes la perturbait et décida de plutôt manger avec ses doigts, n’utilisant les bâtonnets qu’à la manière d’une fourchette quand cela lui était permit.

Son estomac calmé, elle se remit en route, léchant ses doigts et visitant les quartiers relativement vide de la ville. Les lampions éclairant les rues donnaient un charme, mais lassa la demoiselle. Elle voulait de l’action, et elle entendait au loin de l’agitation. Le bruit la mena vers un quartier qui l’intéressa grandement. Une forte odeur régnait, une odeur familière et délicieuse qu’était celle de la courtisanerie. Elle fut étonnée des nombreux choix qui s’offraient à elle. Des personnes de tout sexe et de tout âge, de toutes races et de toutes orientations sexuelles s’offraient à elle. Arillë faillit jeter son dévolu sur un établissement qui proposait de nombreux demoiselles et damoiseaux enchainés aux murs et libre d’utilisation. Mais à la place elle pénétra dans une boîte qui proposait des soirées à thème et le thème de ce soir c’était oreilles longues et petite queue touffue. L’Elfe se débarrassa de ses armes et équipement au vestiaire, profitant par la même occasion pour montrer sur son papier qu’elle ne parlait pas la langue locale, et qu’elle souhaitait visiblement le meilleur travestit disponible. Arillë prouva qu’elle pouvait payer et on la mena dans une salle annexe avec toutes sortes de commodités. Assise sur le canapé en cuir, elle attendait que sa commande arrive. Elle fut presque déçu de voir que ce n’était pas le serveur efféminé qui lui apporta son apéritif, le temps de patienter. Le verre à la main, elle essayait de se familiariser avec la salle dont le silence n’était troublé que par le claquement de ses talons. Elle se réinstalla sur le canapé en cuir, prenant une pose lascive,  songeuse quand à ce qui allait franchir. Elle ne fut pas déçue de voir Theorem entrer dans sa bunny suit. Elle le regarda, prenant un air faussement intéressé. Du moins, elle se donnait cette air, luttant au plus profond d’elle pour ne pas lui sauter dessus.

"Konbawa. Je me nomme Tasha Spasiba. Vous vouliez le trap le plus mignon et le plus cher de ce bar, me voila..."

Arillë sourit, pour elle cette « Tasha » était une Terranide aillant apprit la langue d’Arillë et qui avait un peu de mal entre les genres. Elle trouvait ça mignon, et s’imaginait déjà la faire hurler pendant ses jeux vicieux. Pour le moment, Tasha dansait pour Arillë, et cette dernière n’en perdait pas une miette, elle dégustait l’alcool de riz qu’on venait de lui servir tout en s’imaginant infliger de nombreux sévices au Terranide. Pour le moment, elle ne se doutait pas que Tasha était un travesti.

" Dis moi Tasha… Y a-t-il ici de quoi jouer ? J’aurais bien envie de dresser une vilaine lapine comme toi… "

Elle parlait lascivement, et croisa ses jambes, assise face à la scène privée, ne pouvant se retenir d’afficher un léger rictus.

" Du SM... Cela tombe bien c'est ma spécialité... Je saurais faire un soumis des plus exemplaire pour vous et les meilleures maîtresses m'ont formées... Votre plaisir sera sans limite...

Je ne savais pas que je t’avais déjà dressé auparavant…"

Répondit-elle ironiquement. L’ Haiena se mit à quatre pattes, continuant de se caresser. Il montra ce que cachait le haut de son bikini et tout en se caressant ce qui eut pour effet d’attiser l’envie de lui sauter dessus et de le sodomiser à l’aide d’un gode-ceinture.

"Venez... Je suis tout à vous, maîtresse... J'ai une carotte sur moi, la trouverez-vous ?..."

Arillë fronça les sourcils, et décroisa ses jambes. Elle venait de poser le bout de sa botte sur les lèvres roses de Theorem comme s’il ne méritait pas qu’elle pose son index pour lui dire de se taire. Elle caressait maintenant le menton de Theorem. Elle était complètement avachi sur le canapé. Son autre pied prenait appuit sur le rebord de la scène. Pratiquement allongée sur le canapé, seule sa tête prenait appuie sur le dossier du canapé en cuir. Et pour compléter cette pose de dominatrice, elle avait croisé les bras sous sa poitrine comprimée par le bustier trop petit afin de faire gonfler ses seins.

" C’est vilain… Très vilain… Une petite salope comme toi n’a pas à donner d’ordre à sa maîtresse. En à peine cinq minutes et tu me montre l’étendue de ton incompétence.  Si c’est là tout ce que tu sais faire je vais devoir refaire ton éducation. Vas me chercher de quoi te punir si tu ne veux pas finir en terrine sale chienne ! Mais avant,  tu vas nettoyer ta langue avec la semelle de ma botte. "

Entre deux, le pied de l’elfe avait remonté le visage de Theorem, passant par son nez et était sur son front. Face à ses lèvres roses, le talon, prêt à forcer le passage pour être dans sa bouche. Il restait à voir si Theorem voulait être sage, ou non.

Theorem:
Toutes les maîtresses et maîtres veulent marquer leur territoire immédiatement à leur début. Il n'y a rien à dire là dessus, c'est assez normal en fait. Dans son cas, Theorem est de ces soumis sans lendemain qui ne s'offre que le temps d'une soirée ou d'une nuit à une maîtresse ou un maître. Finalement ils se ressemblent tous à un certain moment, se disait Theorem. Cette jeune elfe en cuir voulait s'imposer tout de suite et aurait trouvé des défauts à sa conduite peu importe ce qu'il aurait dit ou fait. Le reproche sur sa conduite ne l'atteignait donc pas réellement, c'était juste un "stratagème" employé par Arillë pour arriver à ce qu'elle voulait: se faire lécher les bottes.

"Bien Maîtresse..."

Il prit délicatement la botte se présentant à lui et lécha alors le cuir de la botte avec sa langue rose et habile. Elle avait bien précisé "semelle" et non pas "botte". Le goût ne fut donc pas du tout au rendez-vous et il lécha sans trop le vouloir. C'était franchement infâme et il n'en tira aucune satisfaction ni aucun plaisir. Ce fut juste dégueulasse. Cependant son visage ne trahissait pas de dégoût particulier, il obéissait voila tout. Pour le reste, il y prendrait peut être plus de plaisir. Obéissant à ses ordres, il alla prendre de quoi le punir... Il récupéra donc cravache, planche à fessée, et divers jouets sexuels dans une mallette très bien équipée. Arillë avait l'embarras du choix mais c'était à se demander sur l'excroissance dans la culotte en latex de Tasha ne l'avait pas... trahis d'avance. Certes, cette maîtresse devait s'attendre à une fille, mais quand on va au Trap's Day, on attend des Traps, et donc des travestits très efféminés. Il se plaça devant elle et tira sur l'élastique entre ses bonnets de soutient gorge, ce qui décrocha le haut de bikini. Sa poitrine plate apparue et doucement, il tira l'élastique de sa culotte, sur le côté. Le noeud en latex lâcha et comme il tournait le dos à l'elfe, elle put voir ses petites fesses et son tatouage dans son dos. Une tête de hyène en tribal, une ligne torsadée en tribal la soulignant sur ses reins et un coeur en tribal entourant la naissance de sa queue de hyène. Il se retourna calmement, montrant ainsi sa cage de chasteté angélique. Il s'agissait d'un anneau en métal faisant le tour de son sexe et d'une petite cage en forme de pénis faisant le tour de son sexe, les deux partit tenues l'une à l'autre par une sorte de cadena mais sans trou de serrure, en forme de coeur ailé.

"Mon sexe en chasteté vous plait, Maîtresse ?"

Arillé:
[HJ]Oui, pour une fois j'étais inspirée![/HJ]

« Brave petite pute. »

Arillë observait attentivement Tasha passer sa langue sur la semelle de sa botte. Cet ordre avait pour but de tester Theorem, du moins, sa réaction inexistante. Un ordre qui, bien que fétichiste des chaussures et bottes,  aurait écœuré rapidement Arillë, mais ce n’était pas le cas du travesti. Une fois sa semelle humide, elle autorisa d’un coup de tête et d’un claquement de doigt à ce que le Terranide parte chercher de quoi s’amuser. Dans la tête d’Arillë, ça cogitait, elle cherchait des moyens de tourmenter Tasha. Theorem revint rapidement avec ce qu’avait ordonné Arillë.

« Bien, maintenant, remonte sur scène. Et tu vas très lentement te déshabiller devant moi… Compris ? Maintenant au travail. »

Pour Arillë c’était noël avant l’heure. Elle hésita un long moment avant de mettre Tasha sur ses cuisses pour la fesser avec la planche ou lui tourner autour pour le fouetter aléatoirement à l’aide de la cravache. Elle examina le contenu de la mallette et observa son contenu. Pour tout dire, elle était plus passionnée par la mallette que le strip-tease de Theorem ce qui explique que dans son esprit, Tasha n’était qu’une jeune Terranide, une adolescente qui devait faire plaisir aux pédophiles, si elle savait… Theorem devait se douter de ce que l’elfe lui préparait quand elle prit en main le lubrifiant et le gode-ceinture. Elle posa enfin les yeux sur Theorem, qui était dos à elle. Il fallait faire un choix et vite ; une sodomie sans ménagement ou une fessée sur ses genoux ? La balance penchait plus sur la saillit, et elle s’imaginait déjà griffer le tatouage de Tasha. Puis Theorem se retourna lentement vers elle, montrant au grand jour sa condition de travesti. Il exhibait son sexe prisonnier fièrement, ce qui agaça Arillë. Elle avait commandé une fille, pas un travelo ! Mais peu importe, elle n’allait pas faire un scandale. Et puis, Theorem lui appartenait pour la nuit, alors autant s’amuser !

« Mon sexe en chasteté vous plait, Maitresse ?

J’ai… Clairement exigé que l’on me donne une fille, une femelle… Tu comprends donc que ta petite queue d’impuissant me répugne, et si je m’écoutais, j’aurai arraché ton membre pour te sodomiser avec. Mais à la place, je vais prendre le plus grand plaisir à te tourmenter… »

Arillë parlait doucement, avec une légère note énervement dans la voix et rangea donc le lubrifiant et le gode ceinture ; pour le moment. A la place, elle sorti deux bandeaux, l’un pour les yeux avec une fermeture éclair pour chaque œil, et l’autre pour la bouche. Ce dernier possédait un anneau forçant le porteur à garder la bouche grande ouverte, et que l’on pouvait boucher à loisir avec un bouchon semblable à une douche. Elle s’approcha doucement de lui et lui agrippa les testicules avec sa main libre plantant doucement ses ongles dans ses bourses. Elle lui murmura sensuellement dans le creux de son oreille poilue.

« Regarde bien mon beau visage, car ce sera la dernière fois que tu le verras avant un long… long… long moment… Et à partir de ce moment… Je t’interdis de parler à la première personne…  Tu ne te désigneras que par « Votre esclave impuissant »… Et ce, jusqu’à ce que je te baptise... Est-ce bien compris ? Dis-le… »

Pendant qu’il obéit, elle remua doucement ses doigts de droite à gauche et passa sa langue lentement sur sa joue avant de l’embrasser sur le front. Elle relâcha son scrotum et s’éloigna de son oreille, parlant d’une manière toujours sensuelle.

« Bien… Ouvre grand la bouche… »

Elle plaça en premier le bandeau-bâillon, et essaya de refermer sans violence la mâchoire grande ouverte du terranide. Puis elle posa son index et son majeur dont seules les dernières phalanges s’échappaient des mitaines de l’elfe. Elle caressa doucement sa langue.

« Tu as du en sucer des queues… Des grosses bites… Je le sens à ton haleine… Un véritable sac à foutre
vivant… Ça a quel goût le sperme ? Tu as du en boire des litres…  Tu remercies tes violeurs quand ils éjaculent dans ta bouche ? »

Elle fit ce petit jeu de longues minutes, passant lentement sa langue sur ses lèvres ou mordillant sa lèvre inférieur. Puis, elle s’en lassa, et retira ses doigts avant de cracher sur Theorem. La salive de l’elfe arriva sur le coin de l’œil du soumis, elle recadra son tir au deuxième essai et cette fois ci, le cracha atterrit dans la bouche de Theorem et le gifla

« Tu apprécies le cadeau de ta maîtresse j’espère ? Pardon ? Je ne comprends pas. »

Elle le gifla à nouveau tout en ricanant perversement. Arillë mit le bandeau sur les yeux de Theorem, les fermetures éclair étaient encore ouvertes. L’elfe lui souriait de la manière la plus douce possible afin de lui laisser le souvenir de son angélique visage. Elle déposa un baiser sur son front, comme pour lui souhaiter une bonne nuit et ferma doucement les fermetures éclair, le plongeant dans le noir. Arillë se pencha vers la mallette pour récupérer deux paires de menottes. Avec, elle attacha les poignets de Theorem à ses chevilles et le poussa violement pour le faire tomber sur le ventre. Allongé sur la scène privée, elle le traina pour mettre ses fesses face à elle. Arillë récupéra le kit de piercing et caressa l’espace entre le scrotum et l’anus de Theorem du bout des ongles.

« Tu as du avoir de nombreux maîtres et maîtresses… Mais je vais te laisser un souvenir de ma personne. Je vois que tu aimes les piercings et les tatouages… Ça te dirait d’avoir un piercing là où sont mes doigts ? Ou plusieurs… Derrière tes petites couilles de tante ? Ça ne te dérange pas ? Et bien d’accord ! »

Arillë avait répondu à la place de Theorem et prit une aiguille. Elle tira la peau à l’aide de ses ongles et approcha l’aiguille. Elle essayait d’aligner le plus possible la trajectoire de cette dernière afin de faire un piercing perpendiculaire à cette bande de chair, reliant son sexe à son anus. Arillë, bien que ne ressentant aucuns plaisir particulier, se forçait à gémir quand l’aiguille perça la peau de Theorem. Elle ne cherchait pas à le massacrer, mais, elle ne souhaitait pas que ce soit indolore pour autant. Quand l’aiguille ressorti, Arillë la fit remuer afin d’élargir les trous et les deux centimètres de peau qui séparaient l’entrée et la sortie de l’aiguille. Un peu de sang s’échappait et elle n’essuya le sang que dans le but de repérer les nouveaux orifices qu’elle venait de créer. L’elfe fit passer un piercing à l’image de ceux qui passaient par ses tétons, une tige en métal avec deux boules dévissable aux extrémités. Arillë installa ce nouveau bijou à Theorem et non sans ménagement. Une fois que tout ceci fut terminé, elle caressa les cheveux de Theorem, avant d’agripper une de ses couettes et de la tirer vers le haut.

« Je crois que tu as oublié de remercier ta maîtresse… Sale chienne ! » Elle le fessa et le questionna.

« Tu es un terranide chien… Mais es-tu tout bonnement laid ou es-tu le fruit du mélange de deux races ? En gros, si ton cerveau limité ne comprend pas, je te demande si tu es un sale bâtard ou juste un cleps dégueulasse ? Dans tous les cas, tu es à l’image de tes parents, une pute bonne qu’à uniquement vendre son cul»

Theorem:
Le pauvre travestit commençait à prendre cher. Arillë avait été une maîtresse implacable, sadique et adepte de la souffrance. Elle maltraita Theorem et brisa son spectacle de strip tease de travestit pour offrir à la place une pathétique soumission alors qu'elle commençait à transformer le scène en show sado maso. Elle avait peut être trop espéré un spectacle de fille et se retrouvait avec un travelo. Le pauvre Haiena suivit donc la tourmente sans protester, gémissant juste et serrant les dents à plusieurs reprises. Les yeux bandés, insulté jusque dans sa famille, le sexe endolori et bardé de piercings frais encore un peu sanguinolents, Theorem pleurait presque sous son bandeau. Il avait rarement subit pire traitement et avait atteint sa limite en quelques minutes. Comme si quelqu'un l'avait entendu, la porte s'ouvrit en silence et les pas lourds d'épaisses bottes métalliques suivirent. Une dragonne noire en uniforme de cuir noir apparue. Vu sa stature, elle devait être carrément imposante, d'un statut supérieur à ce que pouvait espérer l'elfe.

"Bonsoir, bonsoir... Je crois qu'abuser à ce point de la marchandise n'est pas très légal... On traite mon soumis d'incapable et de cerveau limité... Mais si c'est effectivement le cas, alors on doit aussi être capable de faire plus que le soumis. Vous entrez dans un strip bar nommé le Trap's Day et vous vous demandez si vous allez avoir une fille ? Ne seriez-vous pas un peu limitée vous aussi ? Oreilles pointues et air niais... aucun doute, vous êtes une elfe."

Ishtar attrapa vivement la queue de cheval d'Arillë, la tirant de manière à la mettre sur ses genoux de force. La violence de la surprise mit immédiatement l'elfe en position de soumission avant que la dragonne ne regarde les piercings qu'elle venait de faire subir à Theorem. Le pauvre se ramassa piteusement, le souffle très court, épuisé par un tel supplice aussi soudain. La dragonne coucha alors avec son pied l'elfe sur le dos avant qu'elle ne s'asseoit sur son torse en bloquant ses bras avec sa main gauche, les croisant. Ishtar garda une main libre pour tapotter de l'index le nez de l'elfe.

"Ces piercings sont un travail d'amateur... Ma propre mère aurait put faire mieux. Vous voulez que je vous montre comment on fait de véritable piercings ?"

Ishtar ne laissa pas le temps à l'elfe de répondre et prit un bâillon boule, lui mettant dans la bouche. Une fois fois serré, elle passa des menottes à Arillë pour lui attacher les bras à la bar de strip. Ishtar ouvrit le top d'Arillë et sortit une trousse comportant tout ses attirails de piercings. Elle attrapa son sein droit et tira un peu son téton. Utilisant le bon outil, elle traversa son sein et plaça l'anneau à une vitesse incroyable, mettant un bijou quasi permanent à l'elfe. Puis elle s'occupa de son autre sein, lui plaçant un autre. Pas de sang, bien fait, symétrique... On reconnaissait sans mal le travail de pro. Elle jeta les clés des menottes dans les mains attachées d'Arillë avant qu'Ishtar se s'installe dans un fauteuil.

"Ton travail de dominatrice est encore bien amateur... Trop vite, trop brouillon, trop fort... La domination ne se fait pas à coup de marteau. Non, la domination est un travail souple, lent, qui découle d'une maîtrise innée de soit. Il faut savoir se dominer si on veut dominer les autres."

Theorem remonta un peu pour arriver proche d'Ishtar et commença doucement à lécher sa chatte rendue humide par tout ça. La dragonne soupira de plaisir en caressant les cheveux de Theo qui reprenait doucement de ses forces, ayant retiré les anneaux que l'elfe avait laissé derrière elle. Pendant son intense cunnilingus, Ishtar regarda l'elfe se libérer.

"Le cours n'est pas terminé... Je te laisserait imposer ta marque sur mon soumis mais... avant cela tu dois apprendre. Pour dominer il faut savoir ce que le soumis veut. Je sens au fond de toi un masochisme évident. Alors TU vas me faire une danse pour me faire plaisir et soit convaincante..."

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