Plan de Terra > Ville-Etat de Nexus
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Echo / Yue:
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Silence:
Silence avala doucement le contenu de sa gourde, prenant soin de ne pas en verser trop à côté, car il n'avait pas envie de devoir se ravitailler sous peu. Il se désaltéra donc avec le strict minimum d'eau avant de se diriger vers la place publique de Nexus. Il avait dans l'idée d'acheter une ou deux nouvelles esclaves. Car son dernier jouet , Pipa, la Terranide-harpie, qu'il avait ramené chez lui après avoir assassiné son ancien maître, le satisfaisait pleinement – pour l'instant, du moins – mais devait aussi pouvoir se reposer pour être efficace. Il l'avait donc laissée seule dans la chambre qu'il lui avait gentiment offerte, et avait décidé d'ajouter une nouvelle membre du véritable petit harem qu'il était en train de se former. En effet, les Griffes d'Ammoth, si elles oeuvraient dans la discrétion, étaient extrêmement efficaces, et leurs tarifs pour le moins élevés leur permettait d'être totalement à l'abri du moindre problème financier, même en se permettant autant d'excès que le faisait Silence. Mais ça ne le gênait pas. Il était le fondateur et le commandant de la Guilde, les autres devaient se plier à ses ordres.
Il marchait donc vers la place publique, des idées et des fantasmes encore plein la tête. Une fois arrivé sur la place, il se fondit dans le décor, ne donnant pas du tout l'impression d'être un riche acheteur, mais plutôt un passant sans-domicile-fixe venu là pour mendier quelques pièces que lui offrirait un généreux badaud. Le soleil était bas en cette fin de journée, et la chaleur qui avait été étouffante quelques heures auparavant était maintenant plus supportable, même dans les amples vêtements que portait le mercenaire. Pendant quelques temps, il regarda défiler les esclaves sans vraiment trouver son bonheur, bien qu'il ait hésité un long moment sur une Terranide usagi, dont l'opulente poitrine attirait sans arrêt le regard de Silence. Mais en matière de poitrines, il n'avait pas encore tout vu. Aux environs de vingt heures, le clou du spectacle, l'enchère la plus attendue allait débuter. Le mercenaire ne savait pas de quoi il s'agirait, mais c'était généralement à cette heure que prenaient place les investissements les plus intéressants.
Deux jeunes filles montèrent alors sur l'estrade, emmitouflées dans d'épais manteaux de fourrure. Si la quasi-entièreté de leur corps était dissimulé par ces vêtements, il était difficile de ne pas remarquer leurs oreilles de chat, ne laissant aucun doute quant à leur espèce. De nombreuses voix s'élevèrent, mécontentes ou déçues par rapport à l'accoutrement de ces deux neko. Ignorant leurs plaintes, le marchand s'empara d'un petit instrument amplifiant la voix, certainement dérobé à Tekhos, et ses paroles, raisonnant dans toute la place, ne parvinrent pas à l'oreille d'un sourd.
- Bonjour à vous ! J’espère que vous allez bien ! Pour le début des enchères, je vous propose deux sœurs aux attributs de chat ! Mais tout d’abord j’aimerais vous montrer quelque chose...
Silence releva un sourcil. Avaient-elles des pouvoirs spéciaux, quelque chose qui les rendraient plus exceptionnelles que deux autres neko ? Il ne tarda pas à obtenir une réponse à sa question. Le vendeur tapa dans ses mains et les esclaves disparurent subitement, provoquant des cris de surprise parmi la foule. Deux petites formes poilues surgirent alors des vêtements qui étaient tombés sur le sol, firent quelques pas en direction du marchand pour venir se frotter lentement à ses jambes.
- Voilà qui est bien, mes petites ! Echo et Yue ont la particularité de se transformer seulement en chat ! Ce qui peut être bien pratique par moment.
Silence ricana. "Seulement" en chat ? C'était déjà pas mal. Si le mercenaire possédait des capacités physiques hors du commun, elles résultaient d'un entraînement sérieux et acharné, pas d'une quelconque prédisposition mystique, et il n'était doté d'aucune faculté polymorphique, ou même magique. Cette offre était en effet bien plus intéressante que toutes celles de la journée réunies. Un second claquement des mains, et les deux esclaves reprirent leur forme originelle, à ceci près qu'elles ne portaient plus le moindre vêtement. Enlacées, leurs imposantes poitrines pressées l'une contre l'autre, les deux neko étaient totalement nues, offrant la vue de leur superbes corps à l'assemblée. Silence ouvrit grand les yeux, ravi. Il avait trouvé ce qu'il cherchait.
- Maintenant que vous voyez ce que vous voulez voir !! Que les enchères commencent !
Il attendit un moment, regardant successivement un homme obèse, un petit bonhomme avec une tête rappelant celle d'un rat et une femme complètement plate recherchant un alter ego faire monter les enchères, il se prononça d'une voix forte et grave, ce qui eut surement pour effet d'en décourager plus d'un de surenchérir, de peur de déplaire au géant mystérieux. Des surenchères, il y en eut tout de même. Car une offre comme ça était plutôt inhabituelle, et chacun voulait l'obtenir. Un homme passa lentement derrière lui et lui chuchota d'abandonner si il tenait à la vie. L'homme n'ajouta rien, la poitrine percée de façon presque imperceptible par la dague de Silence, il s'effondra en douceur, comme s'il s'était subitement endormi. De son côté, le mercenaire l'avait déjà oublié, jouant habilement sur les offres pour faire se décourager un à un ses rivaux.
Finalement, après de longues minutes de négociations, c'est un gnome du nom de Snorri Janek qui remporta l'enchère, et avec un éclat de rire tonitruant assez inattendu étant donné la taille de l'individu, il rit bien fort de l'échec de Silence et évoqua son intention de revendre ces deux merveilles au prix fort, dans une autre contrée. L'assemblée se retira alors, toutes les ventes du jour s'étaient déroulées, et les marchands étaient fort satisfaits de leurs recettes. Silence, lui, savait évidemment ce qu'il allait faire...
Car ne croyez pas qu'il a été battu aux enchères par un misérable petit gnome. C'est plutôt que de cette façon, il ne paye pas les neko. En effet, il suivit le petit groupe composé de Snorri, ses trois gardes du corps et une dizaine de jeunes esclaves à bonne distance, attendant qu'ils s'arrêtent pour bivouaquer. Lorsque ce moment arriva, il fit jouer ses talents pour le meurtre silencieux et élimina sans pitié les gardes, avant de décapiter le gnome avec un sourire radieux. Il décida alors d'emmener tous les esclaves, même si il n'avait d'yeux que pour les deux neko.
- Dorénavant, vous êtes tous ma propriété. Suivez-moi tous en silence, et le premier qui tente quoi que ce soir peut dire adieu à la vie. En avant !
Silence:
Silence menait la marche d'un pas rapide et assuré, conduisant la petite troupe vers le Quartier Général de la Guilde. Il était satisfait de lui, ce n'était pas tous les jours qu'on pouvait ramener une dizaine d'esclaves à la maison, de bonne qualité, et tout ceci tout à fait gratuitement. Les premières esclaves à lui donner signe d'obéissance furent les deux jeunes neko pour lesquelles il s'était risqué à ce périlleux assaut en solo. Toutefois, cela s'était fort bien passé à son goût. Ensuite, d'autres esclaves s'agenouillèrent devant lui, lui montrant bien qu'ils n'avaient pas très envie de se faire trancher la tête à leur tour, même si certaines d'entre elles avaient encore le visage baigné de larmes.
Ce fut à ce moment-là que deux d'entre elles prirent la décision de prendre la fuite. Elles se levèrent doucement, pour ne pas trop rapidement attirer l'attention du mercenaire, puis détalèrent à toute vitesse vers la forêt, quittant le sentier qu'ils suivaient. C'était une mauvaise idée. En soi, cela ne le dérangeait pas de les laisser s'échapper, car elles n'étaient pas indispensables, ces deux-là. En revanche, si elles parvenaient à s'enfuir, cela provoquerait la fuite des autres aussi. Il devait faire un exemple, pour leur montrer à toutes qui était le maître. Sans sourciller, il lança une dague en direction des deux fugitives et en atteignit une à la jambe. Celle-ci s'effondra avec un cri de douleur. Solidaire, l'autre s'arrêta pour l'aider à se relever. Noble, certes, mais vain. En une seconde, Silence avait fondit sur elle, saisit son crâne entre ses doigts et l'avait envoyé percuter un solide chêne. Le son qui avait alors retenti était explicite : le crâne de l'esclave avait littéralement explosé sous le choc, et ça n'était pas beau à voir.
Il tâta son pouls. Heureusement, elle était morte sur le coup. Il n'avait pas très envie de devoir l'achever. Il s'éloigna du corps sans vie, puis vint auprès de l'autre fuyard. Il s'assit devant l'esclave – une Terranide inu – et lui sourit.
- Alors, tu as toujours envie de fuir, petite catin ?
Le visage noyé sous les larmes, la jambe ensanglantée, elle ne parvint même pas à lui répondre. Sans pitié, il arracha l'arme de la blessure et s'exclama :
- Je ne t'achève pas. Tu peux nous suivre. Si tu arrives jusqu'au QG, alors je te soignerai, mais si tu ne survis pas jusque là, c'est que tu n'en valais pas la peine.
Évidemment, vu sa plaie, elle ne pouvait se déplacer autrement qu'en rampant. Il ne lui facilitait donc pas la tâche. Mais il n'avait pas le choix. Ses esclaves n'avaient pas à se rebeller. Et là, le message était clair. Toute tentative d'évasion se solderait par un échec. Et surtout, par un bain de sang. Il revint vers le groupe d'esclaves et sourit aux deux jumelles lorsqu'il passa devant elle. Il fit signe au groupe d'avancer, et la marche reprit, la rescapée rampant péniblement derrière eux, la voix brisée par les sanglots. Ils marchèrent ainsi pendant de longues minutes. À un moment, Silence se retourna pour voir si tout le monde suivait et remarqua la démarche étrange des deux neko. Il ordonna à la troupe de faire une halte et isola les jumelles du groupe.
Il leur demanda pourquoi elles marchaient de cette manière, puis crut soudainement comprendre. Leur accoutrement, une sorte d'ensemble de cuir ultra-léger, laissait apercevoir entre leurs cuisses un petit jouet enfoncé dans leur intimités respectives. Le mercenaire sourit d'un air pervers. C'était bien le genre de corvée qu'il aurait pu infliger à ses esclaves. Mais le fait que cela ait été ordonné par un autre rendait la chose beaucoup moins amusante.
- Retirez-moi ces jouets, mes jolies. Vous marcherez beaucoup mieux, ainsi.
L'idée était de paraître bien plus aimable avec elles, maintenant qu'elles avaient vu de quoi il était capable, pour ne pas qu'elles soient complètement traumatisées par leur nouveau maître...
Silence:
- Notre ancien Maître… Nous avait demandé de porter ces…
Plus tard, les jeux. Pour l'instant, il fallait s'attirer leur sympathie, pour les rendre plus dociles par après. D'ailleurs, vu le regard terrifié qu'elles lui avait lancé, il avait bien fait d'être gentil avec elle. D'ailleurs, elle le remercièrent bien vite.
« Merci beaucoup maître. Ça fait vraiment du bien ! »
Et sur ce, elles s'inclinèrent devant lui, lui offrant une jolie vue sur leur décolleté. De toute façon, vu la taille de leur poitrine et l'étroitesse de la lanière de cuir qui les retenait, il en voyait déjà la plus grande partie. La petite troupe poursuivit donc son chemin à travers la forêt, les jumelles pouvant maintenant marcher plus librement, à l'inverse de l'esclave qui rampait péniblement en cherchant désespérément à rattraper le groupe.
Enfin, ils atteignirent le but de leur voyage. La Vieille Bâtisse. Le Quartier Général de la Guilde des Griffes d'Ammoth. Là où les esclaves s'accumulaient, ces temps-ci. Ils pénétrèrent donc dans le grand bâtiment. Il donna quelques directives à plusieurs de ses hommes, qui furent charger d'amener les esclaves dans la chambre de Silence et de peur préparer une tenue appropriée, veillant entretemps à ce qu'elles ne manquent de rien. Bien sûr, il ne mentionna pas les jumelles. Elles étaient son petit coup de coeur, et allaient donc avoir droit à un petit bonus. Une chambre rien qu'à elles ! Avec une salle de bain, aussi, comme celle de Pipa, en fait. Et de plus, si il leur offrait une chambre, elles seraient forcément... Reconnaissantes...
Il les conduisit donc dans leur nouvelle demeure, souriant d'un air qui ne lui appartenait pas : un air joyeux. Et pour une fois, il n'avait absolument rien d'effrayant. Son comportement était même plutôt amusant.
- Dorénavant, vous vivrez ici. Cette pièce vous appartient, vous pouvez y mettre tout ce qui sera à vous, comme d'éventuels cadeaux... Des posters, ce que vous voulez. Bien entendu, je vous donnerais un double de la clé, et je serais le seul à posséder un autre exemplaire. Aucun de mes amis ne vous ennuiera ou ne vous fera du mal. Demain, j'irais vous acheter des vêtements propres. En attendant, gardez ces petits bouts de cuir.
Parfait. Le décor était planté, tout était parfait. À présent, elles lui appartenaient, et il pouvait commencer à s'amuser. La chambre était assez dépourvue de décoration, et il n'y avait presque pas de meuble. Un lit deux places, une chaise en bois, un fauteuil, et une armoire. Dans l'armoire se trouvaient de nombreux jouets qui seraient bien sûr utilisés en temps voulu. Mais pour l'heure, il n'avait pas besoin de cela. Les deux adorables neko étaient déjà suffisantes, et c'était probablement de formidables jouets. S'asseyant dans le fauteuil, il parla d'une voix qu'il voulut calme, pas effrayante, ou menaçante. Il voulait les mettre à l'aise. Il se tourna donc vers Echo et dit :
- J'aimerais avant tout que tu embrasses ta soeur. D'abord sur la poitrine, puis sur la bouche. Embrasses-la. Montres-moi à quel point tu aimes ta soeur...
Silence:
- Merci Maître c’est très gentil de votre part de nous prêter autant d’attention.
- C’est vrai ! Vous êtes vraiment charmant avec nous Maître !
Évidemment, Silence ne put empêcher son regard de s'attarder sur la lourde poitrine des jumelles, qui, pour son plus grand plaisir, adoptait des proportions pratiquement parfaites. Ensuite, Yue alla s'installer sur le lit. Taquine, Echo s'approcha d'elle, faisant agréablement rouler son popotin, donnant encore un peu plus d'ampleur à la bosse qui apparaissait dans son pantalon. Il regarda alors avec satisfaction l'hybride retirer la lanière de cuir qui couvrait une partie de la poitrine et commencer à lécher avec gourmandise les imposants seins de Yue. Elle prit son téton entre ses lèvres et se mit à le sucer tendrement, caressant doucement son autre sein. Un spectacle qui plaisait beaucoup au mercenaire, et plus précisément à une certaine partie de son anatomie.
Ensuite, Echo, suivant ses ordres au pied de la lettre, remonta lentement pour venir embrasser sa soeur, leurs salives se mélangeant sous le regard scrutateur de leur nouveau propriétaire. Au plus près l'une de l'autre, elles se caressaient mutuellement et arboraient des sourires joyeux. Une fois ce langoureux baiser rompu, elles se retournèrent vers le mercenaire en souriant. Pour qu'elles continuent à penser qu'il était un gentil maître, et s'approcha d'elles et leur caressa la joue, souriant.
- C'est bien, Echo. Tu es très obéissante. J'aime beaucoup. Si vous continuez à vous comporter comme des anges, je ne devrais jamais vous faire de mal !
À la vue des deux nekos à moitié nues, sa bosse commença à le faire,souffrir, et il retira son pantalon, dévoilant son imposant membre tendu. Il allait encore faire durer le plaisir, il voulait juste se mettre plus à l'aise. Il descendit son visage jusqu'à la poitrine de Yue et imita Echo, venant sucer le téton de la neko, goûtant à sa nouvelle esclave. Ensuite, il s'éloigna à nouveau, satisfait.
- Tu as vraiment bon goût, Yue. Je suis ravi.
Il ne cessait de les féliciter et de les flatter. Il avait compris que, lorsqu'elles étaient en confiance, elles se révélaient bien plus douées, et bien plus zélées. Silence contempla les jumelles un long moment, cherchant ce qu'il allait leur faire faire. Histoire de gagner du temps, il décida de commencer par les déshabiller. En joignant l'utile à l'agréable, bien sûr.
- Maintenant, vous allez vous déshabiller l'une l'autre. En vous servant uniquement de votre bouche. Il n'y a plus grand chose à enlever, mais c'est comme ça. Et quand vous avez terminé, écartez bien les cuisses vers moi, que je vois si votre minou est bien propre...
Rien d'insurmontable, jusque là.
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