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La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

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La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

mercredi 24 avril 2013, 11:48:15

Papillon. Le nom de l’une des plus grosse entreprise dont le cerveau se trouve au japon et qui cache de nombreuses choses. Choses pouvant se trouver être autant artistique que malfaisante mais jamais dévoilées au grand public du petit peuple, tout comme l’identité de sa présidente. Aujourd’hui, elle se dévoilait à un groupe américain non pas pour des activités cosmétiques, mais plutôt pour une transaction qui avait l’air importante. Un lot de sabre qui aurait apparemment fait leurs temps dans une époque très lointaine de cette ère moderne et crasseuse se trouvait entre Kichô "Nô" Hime et Nick Tucker, son adversaire du jour pour une transaction douteuse. Douteuse ? Oui. Ces katanas ne semblaient pas plus ancien que l’Empoisonneuse sens la merde à plein. Tous, sauf un apparemment. Une lame qui luisait de toute sa beauté contrairement à l’acier de ses consœurs ternies par l’appât du gain de ce blond américain qui semblait bien pressé. Et comme pour prouver qu’il s’agissait bien de camelote, elle cassa de façon habile cette pauvre arme au destin cruel devant les yeux ébahis de son concurrent :

- Vous avez une nouvelle fois osé vous moquer de moi, Tucker. Je pense que le temps que vous nous avez fait perdre se répercutera sur les fonds de vos "activités". En guise de punition, je prends le seul bien sortant du lot sans verser la moindre somme. Ne comptez même pas refuser, il serait triste de Nick S. Tucker finisse carbonisé dans un four de crémation, n’est-ce pas ?

Puis elle posa le katana détruit sur la même table où étaient posées les autres fausses reliques, tout en fixant le blond d’un sourire satisfait. Bien entendu, elle ne l’était pas car ce n’est pas la première fois que l’américain dissimule un bien véritable au milieu de copies trop mal faites pour les yeux experts de la belle vampire. Rageant intérieurement mais ne tentant rien, malgré ses deux gardes du corps pouvant à peine passer la porte ayant mis la main au colt, il se leva pour quitter la pièce avec précipitation, abandonnant toute tentative de négociation. Se retrouvant désormais seule dans la pièce avec ce miroir sans teint cachant ses acolytes, Nô sortit à son tour pour rejoindre sa seconde, Kiyuri Nobukini, avec le présentoir au complet, l’arme brisée remise dessus par soucis de propreté et de pitié pour elle.

En silence, elle tendit ceci à un garde et marcha vers la sortie, légèrement agacée par un comportement aussi immature que celui de son négociant et partenaires de temps à autres, si on peut dire. Lâchant une insulte dans son japonais natal, et non pas l’anglais usé lors de son entretient, elle sortit la première de ce bâtiment pour ne laisser aucun soupçons sur sa présence, allant s’accoler au mur du magasin juste à coté, patientant jusqu’à ce que la fourgonnette camouflée et/ou sa seconde sorte de la ruelle. La journée n’avait pas été totalement perdue, mais également pas de tout repos :


- Quelle dommage que mon confrère ne soit pas aussi franc qu’il sais où trouver de belles choses

Des mots pouvant sortir de leurs contextes, volontairement cachés sous un voile de mystère pour les gens passant mais que n’importe qui travaillant pour elle aujourd’hui connaisse le sens.
« Modifié: lundi 13 mai 2013, 12:05:45 par Nô »

Kiyuri Nobukuni

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Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

Réponse 1 lundi 29 avril 2013, 13:04:10

L'ombre du papillon n'était pas du genre sociable, il fallait l'avouer : rencontrer des inconnus n'était pas une partie de plaisir pour elle. C'est pour cela que ceux qui passaient par elle n'atteignaient Nô-hime que pour de bonnes raisons. C'était le cas de Nick Tucker, cet arriviste orgueilleux, prétentieux et plein de défauts. Mais il fallait lui reconnaître une qualité, il avait un certain goût pour les lames des temps anciens. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle il était venu voir le Papillon : elle recherchait, pour Kiyuri, les lames de l'école Nobukuni, lui permettant d'agrandir nettement sa collection. Autant dire que lorsqu'elle entendit que l'américain possédait une de ces lames, elle s'empressa d'en parler à la chef d'entreprise pour lui permettre de lui prendre l'objet tant désiré.

Il était ainsi venu au bureau avec un présentoir de plusieurs lames. Seule l'une d'entre elles était une lame Nobukuni, les autres étaient des répliques totalement grossières, sans aucune comparaison avec les originaux, loin de là même. À l'oeil nu, c'était visible, même sans voir la lame de ces katana. Aussi, lorsqu'elle entendit dans le bureau le bruit d'un fer brisé, Kiyuri ne bougea pas d'un pouce, comparé aux gardes qui sursautèrent. Elle en sourit même, en entendant la femme d'affaires critiquer et punir l'arrivisme de l'américain. Après quelques secondes suivant la fin de la morale, des pas se dirigèrent vers la sortie du bureau de Nô, les portes s'ouvrant en grand pour laisser sortir l'américain qui fulminait. Il tourna la tête vers la petite asiatique qui le fixait en retour, impassible. La demoiselle était habillée comme à l'ordinaire au bureau : un tailleur noir, les cheveux lâchés et une paire de lunettes sur le visage, uniquement esthétique. Maquillage sommaire, rouges à lèvres écarlates et du far à paupière.

L'homme resta quelques secondes à la regarder, avant de partir suivi par ses gardes. Quelques secondes après, Nô sortit, tenant en main le présentoir complet avec une arme brisée posée dessus. Elle donna ce présentoir à un des gardes et s'en alla vers la sortie. Kiyuri se tourna vers le garde et dit, tranquillement :

« Emmenez cela à mes appartements. Déposez-les sur le bureau et sortez immédiatement. »

Le garde s'inclina respectueusement et se dirigea vers les appartements, suivis par les autres qui semblaient tout aussi imperturbables que Kiyuri. Cette dernière se dépêcha de rejoindre sa supérieure, restant derrière elle, suivant son rythme de pas. Plusieurs personnes, en voyant les deux femmes arriver, s'écartèrent sur leur passage en s'inclinant. Kiyuri réajusta ses lunettes qui, avec le rythme des pas, tombaient de son nez fin d'Asiatique pure souche. Arrivée à l'extérieur du bâtiment, les deux vampires se placèrent proches du petit magasin à côté du siège de l'entreprise Papillon. Kiyrui surveillait les environs, cherchant un signe d'agression quelconque, surtout après ce qu'avait subi l'américain qui n'allait peut-être pas en rester là. La remarque de Nô au sujet de son confrère fit légèrement sourire sa seconde qui retira ses lunettes, étant hors du bureau et du cadre du travail.

« Soyons franc également, Nô-hime : s'il n'était justement l'un des meilleurs moyens d'obtenir toute sorte de trésors inaccessibles en temps normal, les relations entre vous et cet homme ne serait ce qu'ils seraient aujourd'hui. Et il doit certainement le savoir, la raison pour laquelle il ne s'inquiète pas tellement des répercussions de son attitude durant la négociation. »

Elle passa brièvement la main dans ses cheveux pour leur donner un air moins strict et professionnel, plus libéré. Elle soupira doucement, en regardant vers l'autre côté de la rue, toujours en surveillant les alentours.

« Cependant, je m'inquiète que ce cow-boy n'ait pas apprécié ce conflit et qu'il souhaite nous imposer une "politique" agressive. Les Américains comme lui ont cette fâcheuse tendance à l'oblitération constante de ce qui ne leur appartient pas forcément, et il déteste singulièrement se séparer de ces biens. »

Elle regarda la vampire. Une sorte de regard d'admiration traversa ses yeux quelques secondes à la vue de la belle vampire, sa chef, son amie et bien plus encore. Elle rougit un peu, réajustant son tailleur rapidement, avant de dire, doucement :

« Dois-je prévoir une équipe de nuit pour éviter tout incident, hime-sama ? »

Non loin, la fourgonnette arrivait depuis le croisement de la rue. Kiyrui se tourna vers celle-ci et l'observa quelques instants, avant de regarder à nouveau sa supérieure attendant sa réponse.
« Modifié: lundi 13 mai 2013, 11:47:04 par Kiyuri Nobukuni »
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Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

Réponse 2 vendredi 03 mai 2013, 19:41:11

Franchise. Voilà quelque chose qui manque de nos jours et qui est irrémédiablement en train de disparaître. Cette qualité souvent vue comme un défaut parmi les gens communs et même pire dans le milieu du travail, surtout quand il s’agît d’affaires pas très honnêtes comme le trafic d’armes anciennes entre deux mafieux de pays différents. Sincèrement. Comment être totalement honnête avec quelqu’un qui ne veux que vous arnaquer pour se faire un maximum d’argent en en dépensant le moins possible, tout en vous refilant de la camelote par la même occasion. Bien sûr, Nô n’est pas honnête à cent pour cent non plus vu ce qu’elle manigance pour avoir ce qu’elle veut. Mais comment oser se prétendre passionné quand on est un enfoiré de première dans ce qui se représente comme une passion dévorante ? Impossible. C’est pourquoi le Papillon voue autant de confiance et d’effort à maintenir cette relation complice avec Kiyuri, sa seconde dont la franchise de ses propos ne peut blesser

En parlant de propos, cette dernière mis à plat ce qu’elle pense de Tucker et des relations crées entre les deux trafiquants. Il est clair que si jamais il se passerait quelque chose de mal aux "marchandises", les affaires auraient été rompue depuis belles lurettes et il est également fort possible que même son cadavre n’existe plus. Et puis la PDG soupçonne quelque peu d’attirer suffisamment cet homme pour qu’elle l’a au minimum à sa botte, ce dernier cherchant à l’impressionner. Qui plus est, il prend des risques que Nô peut donc éviter pour se concentrer sur autre chose, activité illégale ou non. Tournant la tête vers son Ombre, c’est là qu’elle la vit sans ses verres, en train de caresser sa chevelure interdite sous d’autres recommandations, croisant son regard à un moment de gêne :


- Nul besoin de nous protéger cette nuit. Déjà parce que des agents à nous surveilles ses hommes à l’hôtel et que je n’ai aucune nouvelle négatives d’elles, mais surtout parce qu’il ne ferait que s’accorder un suicide gratuit

Il est possible qu’il agisse juste après son arrivée à l’hôtel, ou bien qu’il ne se rende pas à ce dernier pour se rendre dans un endroit inconnu par la société. Mais dans tout les cas, il serait perdant. Un attenta de jour ne ferais que baisser sa réputation et augmenter les chances de se faire avoir. Et de nuit, sa vie pourrait se terminer dans l’indifférence la plus totale dans le sens où presque tous les hommes de main sont des vampires aux capacités accrue hors du soleil. Quant à leurs PDG, c’est bien pire encore. Un bataillon d’hommes entrainés avec des mitrailleuses lui ferait à peine faire des efforts pour se défendre. Alors imaginez seulement les deux plus fortes créatures de la nuit de l’entreprise qui affrontent des humains :

- De toute façon, je suis trop lasse de devoir me battre verbalement en ce moment. Et je n’ai pas envie de créer une effusion de sang sans importance

Elle tourne la tête, remarquant du vide de vivant. L’heure tourne et fait que les gens bien intentionnés retournent chez eux pour se reposer après une dure journée de labeur. Elle se décolla du mur, jugeant la distance entre elles et la fourgonnette respectable. Ses yeux se posèrent sur les pommettes de sa seconde, croisant en même temps ses bras sous son opulente poitrine. Sa journée terminée, il ne lui restait plus qu’à faire ses comptes et mettre à jour ses rendez-vous. Mais pour la route, autant rester avec la personne pour laquelle elle accorde plus d’importance que beaucoup de ses biens matériels :

- Je te proposerais de s’arrêter en route dans notre petit bar. Histoire de se pauser. Tu es partante ?

Pas n’importe quel bar. Un bar légèrement chic qui n’accepte presque que des gens comme elles, c'est-à-dire des vampires ayant faits leurs preuves. Le bas pour les humains, l’étage pour les buveurs de sang. Qui à parlé de discrimination ?
« Modifié: lundi 13 mai 2013, 12:05:22 par Nô »

Kiyuri Nobukuni

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Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

Réponse 3 mercredi 15 mai 2013, 13:37:18

La sécurité de Nô passait en priorité pour la vampire asiatique. Elle souhaitait avant tout la protéger, et l'attitude de l'américain était clairement agressive. Peut-être était-il attiré par la princesse du Papillon, mais autant Kiyuri voulait qu'elle prenne plaisir avec certaines personnes, autant elle était rebutée à l'idée de voir ce cow-boy toucher à la femme. De ce fait, se débarrasser de lui était, pour elle, une option à ne pas écarter. Mais sa supérieure en avait décidé autrement, et bien que ça seconde, elle n'allait pas passer par dessus ses ordres. Une fois qu'elle l'eut répondu, elle acquiesça doucement.

Nô se décolla du mur, alors que la fourgonnette arriva non loin d'elles. Elle se tourna vers sa seconde, ce qui fit rougir cette dernière. Elle lui proposa d'aller à leur bar pour se poser. Un petit sourire de bonheur passa sur le visage de la seconde qui répondit timidement :


« Ce serait avec le plus grand des plaisirs, Nô hime. »

Lorsque la fourgonnette arriva devant elles, Kiyuri s'avança vers celle-ci et ouvrit la porte pour laisser sa supérieure passer devant et s'installer. L'immense fourgonnette, aux allures de limousine une fois à l'intérieur, laissait la possibilité à plusieurs personnes de se faire face. Seul le siège conducteur, derrière une vitre teintée la séparant des sièges passagers, ne faisait face à aucun siège. Kiyrui s'installa dos à la vitre teintée séparant la zone passager de la zone conducteur et toqua à la vitre :

« A l'Éclipse, et évitez les embouteillages.

- Bien, madame. »


À cette heure-ci, les gens rentrez chez eux, ce qui posait problème parfois, car la demoiselle n'était pas très patiente envers ses subalternes. Le conducteur commença le trajet, alors que Kiyuri observait la princesse. Elle semblait épuisée. Aussitôt, l'Ombre du Papillon demanda :

« Laissez-moi vous massez, hime-sama. »

Elle se leva dans la fourgonnette en allant s'installer aux côtés de sa supérieure. Elle attendit qu'elle lui tourne le dos et commença son massage, celui qu'elle avait appris à lui faire, visant les points qu'elle savait être capable de la détendre et lui retirer toute pression dans le corps. Elle aimait aussi l'entendre prendre plaisir durant ses massages, aussi visait-elle les "points de plaisir" qui avait pour habitude de donner quelques sensations, malgré le manque de sensibilité de la vampire. Après quelques secondes de massage, elle déclara doucement :

« Je voulais encore vous remercier, hime-sama. Vous vous donnez tant de mal pour m'aider dans ma recherche. Je ne saurai où j'en serai aujourd'hui sans votre aide. Je n'aurai peut-être même pas la moitié de ces lames. »

Elle lui disait souvent cela. En général, après qu'ils aient obtenu une nouvelle lame de l'école Nobukuni. Ce n'était peut-être pas assez pour agacer Nô, juste assez pour qu'elle sache à quel point elle lui était reconnaissante. C'était au départ la raison de son admiration et de sa loyauté. Et puis, au fur et à mesure qu'elle était sous ses ordres, quelque chose de plus intime, de plus proche et de plus sincère que la simple admiration et la simple loyauté s'était formé entre elles. Mais elle gardait tout de même cette reconnaissance envers celle qui l'aidait à traquer les lames de l'école de son père.

Cependant, quelque chose la déranger vraiment dans l'attitude de l'américain. Elle se retint de tout commentaire, mais une chose était certaine : la lame présente dans le fourgon ne la quittera pas de la soirée. Dans son étui de cuir, elle passerait inaperçue aux yeux de tous, mais sa priorité était d'éviter qu'il n'arrive quoique ce soit à sa bienfaitrice. Ou dans le cas présent, contre des humains, qu'elle n'ait pas à se tracasser de les tuer. Son Ombre était là pour cela, après tout.
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Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

Réponse 4 vendredi 17 mai 2013, 12:26:57

Sécurité. On n’est jamais vraiment dans cet état montrant que l’on ne craint rien, n’est-ce pas ? Quand l’on a de nombreux ennemis et rivaux, en plus de toutes les contraintes climatiques courantes pouvant entraîner de lourds dégâts, on ne l’est jamais vraiment. De plus, quelqu’un dans son entourage pourrait éventuellement la trahir. Encore heureux, les quelques humains qu’elle a vampirisé pour les sauver d’un danger de mort imminent sont loyaux à vouloir crever pour elle. Et même si ce n’était pas le cas, elle pourrait user de la mainmise sur leur sang pour contrôler leurs idées, ou s’ils sont trop résistant, les tuer purement et simplement. Ça lui ferait mal, certes, mais quand on a vécu au milieu de guerriers et multiples conquérants, on a l’habitude de constamment surveiller ses arrières pour assurer sa sécurité, même entouré de loyaux soldats qui ne le sont pas forcément. César à bien périt pour moins que ça bien que c’est son entière faute contrairement à Nô qui sais mieux juger ses actes et le choix de ceux et celles qui l’entoure, comme Kiyuri.

En rentrant dans la fourgonnette banalisée mais hautement confortable une fois dedans, le Papillon pourpre s’assied à l’arrière, face à sa seconde. Sans plus de temps perdu, la demoiselle ordonna à ce que le duo arrive bien vite au bar précédemment nommé, ce qui n’étonna en rien la PDG. En revanche s’il y eut de la surprise, ce fut quand elle voulut lui faire plaisir en la massant sans même lui demander son accord. Mais en y réfléchissant, il est vrai que cette journée à été relativement rude et ça ne serait pas un mal de détendre ces boules de nerf éventuellement formées. Le temps que la vampire ancienne arrive, Nô se tourna en baissant son yukata de façon à avoir le dos nu. Enfin presque nu car il reste toujours les bandages lui servant de soutien-gorge, bien que contrairement à ces dernier, les bandages restent toujours visibles plus ou moins partiellement :


- Tu n’a pas à me remercier allons. Entre amies c’est tout à notre honneur de prendre soin l’une de l’autre

Ce qui n’était pas forcément le cas au tout début. Imaginez que quelqu’un accepte de se mettre à vos ordres juste parce que c’était la condition sine qua non  pour que l’autre partit obtient ce qu’il veut. Est-ce que vous lui faite entièrement confiance ou pas ? Cette relation à bien évolué depuis que les années passent entre elles. La preuve en est ce massage aucunement forcé et même parfaitement innocent de loyauté. L’Empoisonneuse sentait rapidement ses bienfait, sa seconde et amie appuyant à des endroits stratégiques qui lui procurait beaucoup de bien. Preuve en est, elle commença à gémir doucement sous ses "caresses" manuelles à la fois ordonnées et placée aux bons endroits. Le genre qui ferait tourner la situation dans des proportions douteuses bien que restant douces et féminines :

- Hmmmm… Dis-moi un peu. Est-ce que l’entrainement à la lame que j’ai dût reporter pourrait être revu ? Toi qui est… hmmmmmmeilleure escrimeuse que moi, j’ai besoin de ton avis.

Les deux vampires avait également une relation élève et professeur dans le sens où c’est Kiyuri qui avait appris les arts du daï-katana à sa supérieure, et ce à sa demande. Son potentiel s’était révélé bon mais pas exceptionnel. Cela restera un domaine où elle ne battra pas son ombre mais quoi de mieux qu’apprendre à danser avec un katana pour mieux connaître ces dernier ? Une forme de symbiose arme/escrimeur qui l’aide à mieux reconnaitre le vrai du faux dans la recherche de ces armes. Mais ça, elle ne le sait pas.

Kiyuri Nobukuni

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Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

Réponse 5 mardi 25 juin 2013, 14:29:19

Ravis de constater que le lien qui les unissait dépassait plus que la simple relation d'employeur/employée, Kiyuri continuait son massage, un sourire léger sur les lèvres et des petites joues rouges de joie et de gêne. Certes, c'était, pour certains autres vampires, clair que la relation unissant les deux femmes, bien qu'elle ne fut pas du même sang (ce qui, chez les vampires, prenait un sens tout nouveau), était plus fort qu'avec n'importe quel autre. Le Papillon avait toujours eu une attention particulière à son Ombre, plus qu'avec les membres de son clan. Peut-être était-ce justement le fais que, de part la différence de sang, elle ne puisse la contrôler qu'elle lui donnait ces faveurs, mêlé à la capacité à Kiyuri de répondre aux besoins de son amie avant qu'elle n'en déclare le désir.

Le fait est qu'elles étaient bien plus que de simples amies et que leur relation changeaient parfois du tout au tout : employée au bureau, Kiyuri devenait ensuite une garde du corps, puis une confidente, puis un professeur d'escrime, et, parfois, une amante dévoué. Un jeu de yoyo que Kiyuri interprêtait à la perfection, pour le plus grand plaisir des deux femmes, à n'en point douter. La vampire du clan Nobukuni admirait le dos de sa maîtresse, s'imaginant caresser sa peau pendant plusieurs heures. Une grande douceur se mêlait à la fermeté des gestes de la demoiselle tandis que ses mains dénouaient les points douloureux qu'elle sentait sous ses doigts. Entre ses gémissements de plaisir, la chef de la mafia demanda si elles pouvaient revoir la date de l'entraînement reporté, justement à cause de ce rendez-vous. Bien entendu, Kiyuri était ravie d'enseigner à la femme de l'ancien guerrier qu'était Nobunaga des passes d'armes et divers kata au sabre.


« Bien entendu, Hime-sama. Je serai également heureuse de voir vos progrés au cours d'un match amical, si vous n'y voyez pas d'inconvénients. »

Les échanges entre les deux femmes, aussi bien avec une lame qu'avec la langue, étaient toujours amicaux. Kiyuri la battait souvent durant ces échanges, malgré des défaites parfois cuisantes pour l'Ombre, mais cela ne changeait rien à leur relation par la suite. Donc, Kiyuri profitait toujours au maximum de ces moments partagées entre elles uniquement, comme tout autre moment même.

La fourgonnette arriva rapidement à leur lieu de rendez-vous. L'Eclipse était un lieu à l'apparence extérieur discret, la devanture n'affichant que très peu son statut de bar. Pour autant, chaque vampire suffisamment important connaissait ce bar, de par la facilité qu'ils avaient à obtenir du sang et les savoureux mélangent qu'ils faisaient avec pour plaire aux grands de la ville. Le véhicule se gara, Kiyuri remonta délicatement le yukata de sa patronne, comme si elle craignait de la voir prise de rougeur par des mouvements trop brusques. Elle prit son étui en cuir, ouvrit la porte et faufilla à l'extérieur, inspectant les environs. Pas de signe de danger, le sixième sens de la vampire était en paix. Elle s'écarta de la porte pour laisser Nô sortir, la précédent en direction du bar.
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Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)

Réponse 6 mardi 08 octobre 2013, 20:25:45

Relation. Parfois tendue, parfois très souple ou amicale, tout le monde tisse sa toile à travers le monde pour finalement se joindre à celle des autres, et du coup former un réseau social gigantesque. C'est un peu comme quelqu'un ayant un bon leadership. Une personne suffisamment charismatique changera la vie de plusieurs dizaines, voire même centaines de milliers de vie sur cette planète. Une simple rencontre, une simple discussion, un simple échange de coordonné,... Tout peut amener à tisser une partie de cette toile relationnelle ou de l'abîmer encore plus pour ensuite complètement détruire le pont qui faisait l'union entre ces deux personnes. De bonnes relations sont, hélas, obligatoires pour progresser confortablement dans une seule vie humaine. Qui est-ce qui a parlé d'ermites ?

D'ermite, on passe à la Nô made in Japon et à sa seconde qui s'entendent dans un parfais concert harmonieux et travaillé. Les multiples casquettes qu'enfilent les deux vampires ne ruinent pas leurs vie de tout les jours et cela se voit encore aujourd'hui. L'ombre accepta de revoir la date de cet entraînement tant repoussé qui les avaient un peu éloignées du but qu'elles s’étaient fixées au départ. En parlant de départ, les voici arrivées à l’Éclipse, le tant aimé établissement des buveurs de sang vivant la nuit et abhorrant le jour. A peine Nô eut le temps de remarquer l'arrêt de la fourgonnette que sa seconde remis bien place ses vêtements et lui ouvrit la porte pour la laisser sortir. Dans sa grâce féminine et droite habituelle, elle sortit donc :


- L'extérieur aurait bien besoin d'une remise à neuf. Depuis le temps que je le répète au gérant.

Le dit gérant est un vampire également assez ancien allié avec un humain. Autrefois, c'était un des ancêtre de ce même humain qui le tenait et depuis, c'est une affaire de famille pour ces hommes alliés à ce vampire anoblit. En pénétrant dans cet endroit, Nô ressentit ce vieux sentiment de nostalgie s'emparer d'elle. En écoutant les quelques humains qui parlait de leurs affaires ou de leurs familles habitant dans un autre pays, on pourrait limite se croire dans un autre temps oublié. Autant l'aspect extérieur blase l'Empoisonneuse, autant l'intérieur ne changerais pas qu'elle n'en serait que plus heureuse.

Aujourd'hui, le bar n'était pas très remplit par rapport à d'habitude. Sûrement le créneau horaire qui veut ça, beaucoup de vampires craignant trop le jour pour sortir et les humains travaillant d’arrache-pied. Qu'importe, l'ambiance était déjà là, dans un mélange sobre de noir et de couleurs adapté à la fois pour des humains aimant ce qui est serein et des vampires "mordu" de la nuit et l'obscurité. Se tournant vers Kiyuri, Nô proposa quelque chose qui pourraient leurs plaire, histoire de changer leurs manières de parler dans cet endroit :


- Est-ce que cela te plairait d'aller dans une pièce plus intime cette fois ? Manger dans l'obscurité totale sans aucune autre lumière que celle de nos yeux

Aucun humain aurait put l'entendre en vue du bruit environnant, mixé entre les paroles des gens et de la musique de fond. Bon timing, un des serveurs connaissant bien les deux vampire s’approchât.


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