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Un objet de convoitise [Calista Candidia]

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Calista Candidia

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 15 dimanche 12 mai 2013, 11:47:31

Le groupe mire environ un quart d'heure pour se soignait et se préparait, pendant ce temps l'amie de Nariko était arrivée sur terre ferme contre un arbre. Les deux femmes qui étaient collées alors se séparèrent et la belle sauvage partit voir son amie pour pensa-t-elle la félicité. Puis tout le monde remonta sur leur cheval à part la partenaire de Nariko celle-ci préférant sauter d'arbre en arbre, mais quand ils quittèrent la forêt elle se mit quand même sur un cheval. Pendant le long trajet vers la capital, Calista se demanda si son plan pouvait marcher, elle voulait pas trahir la confiance que Nariko lui avait donnée donc pendant le déplacement elle réfléchissait à un plan de secours. La nuit était bien avancée avant qu'il voit les lumière de la ville, la guerrière avait trouvée un issue de secours au cas où que le premier ne marche pas, mais pour ça elle avait besoin de l'amie de Nariko.

Enfin après un long galop dans la nuit ils arrivèrent devant la porte, il y avait deux gardes devant la porte qui avait l'air d'être bien renseigner peut être des soldats du Lord Régent, heureusement que la colonel avait repris l'épée de Nariko avant d'arrivée en ville :

" Halte Colonel Candidia, c'est la prisonnière, nous avons l'ordre de Lord Régent de l'emmener nous-même aux geôles. "

"  Si le Lord Régent voulait avoir tout de suite la prisonnière, il aurait dû venir lui-même. C'est moi qui est capturer la cible donc c'est à moi de gérer cette personne, alors laissez-moi passer si vous voulez pas avoir affaire à moi. "

Les deux gardes avaient pour ordre de l'arrêter si nécessaire, mais qu'est ce qui pourrait faire à deux contre elle, donc il n'eut le choix de la laisser passer. Le groupe rentra en ville et arriva rapidement devant chez elle, tout le monde descendit de cheval :

" Soldats ramenez les chevaux à la caserne et dite aux gardes sous mon commandement qui gardent ma maison et qui fasse une ronde toutes les vingt minutes, je veux que personne s'approche de chez moi jusqu'à demain matin. "


Une partie des soldats partirent à la caserne pendant que le reste se mettaient en position de garde autour de la maison, Calista fit rentrer Nariko et son amie chez elle et ferma la porte après :

"Tiens Nariko reprend de nouveau ton arme...... Tu peut être tranquille maintenant, on va pas rentrer dans ma maison aussi facilement que dans l'auberge, tu veux manger quelques choses ? prendre un bain ? ou peut-être autres choses ? "

Nariko

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 16 jeudi 16 mai 2013, 19:16:20

Se rapprocher de Nexus était dangereux, et Nariko sentait comme une espèce de boule se creuser dans son ventre. C’était de l’angoisse, naturellement. Elle retournait dans un endroit où elle avait eu bien du mal à s’échapper, où elle avait affronté quantité d’adversaires décidés à s’emparer de son épée. Y retourner, c’était clairement une preuve de stupidité. Errare humanum est, disait-on... Persevare diabolicum, disait ensuite cette maxime. L’erreur de Nariko avait été d’entrer dans Nexus une fois... Mais y retourner ? Elle répétait la même erreur une seconde fois. Soit elle était idiote, soit masochiste... Les portes de la ville se rapprochaient, et Calista reprit l’épée, tandis que Nariko glissa ses mains dans son dos, afin d’avoir l’apparence d’une prisonnière. Les cavaliers se rapprochèrent du corps de garde, avec deux soldats postés devant, et d’autres dans les tours. Des torches étaient allumées le long des murs, afin de fournir un éclairage nocturne. Les gardes semblèrent hésiter, arguant que Nariko devait rejoindre les cachots, mais Calista insista, faisant part de son autorité, et la porte finit par s’ouvrir Les cavaliers s’enfoncèrent alors dans une ville qui semblait endormie... Mais Nariko était bien placée pour savoir que Nexus ne dormait jamais vraiment totalement, et ce même à une heure aussi avancée de la nuit. Les ombres, silencieuses et mortelles, rôdaient le long des murs. C’était une ville qui ne dormait jamais, et, la nuit, comme dans la forêt, les grands prédateurs sortaient leurs griffes.

Calista ne partit pas vers les bas-fonds, ces endroits sinistres que Nariko avait bien trop vu. La guerrière récupéra son épée, et descendit devant une belle maison. La colonelle avait de quoi avoir une bonne maison, et ce dans l’un des quartiers les plus onéreux de la ville. La colonelle dispersa ses hommes, en renvoyant une partie à la caserne, en laissant une autre défendre la maison. Silencieuse, la guerrière suivit Calista dans le hall d’entrée de la maison.

« Tiens Nariko reprend de nouveau ton arme...... Tu peut être tranquille maintenant, on va pas rentrer dans ma maison aussi facilement que dans l'auberge, tu veux manger quelques choses ? prendre un bain ? ou peut-être autres choses ? »

Nariko récupéra Heavenly Sword, et commença par la glisser derrière son dos.

« Merci. »

Elle se sentait toujours mieux avec le poids de son épée dans le dos, comme si il lui manquait une partie de son corps. Elle regarda ensuite Calista en penchant la tête, tandis que Kaï regardait autour d’elle, tout en reniflant l’air... Elle fronça les sourcils, suspicieuse, puis commença à s’avancer. Visiblement, il devait sentir bon dans cette maison. Nariko tapota la tête de Kaï, lui caressant les cheveux.

« Tu devrais aller te reposer, Kaï...
 -  Kaï a besoin de repos », confirma cette dernière.

Elle s’écarta, et Nariko tourna sa tête vers Calista... Avant de se rapprocher d’elle, et de glisser ses mains sur ses hanches, leurs seins venant se caresser.

« J’ai eu une longue journée, se confessa Nariko, en frottant son nez contre celui de Calista. Un bain pourrait être une option, oui, mais, en réalité, je crois que, ce dont j’ai besoin avant tout, c’est... »

Nariko maintint sa phrase en suspens, afin de l’embrasser sur la bouche. Elle pressa encore ses lèvres contre les siennes.

« ...D’un gros câlin. »
DC d’Alice Korvander.

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Calista Candidia

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 17 mercredi 22 mai 2013, 14:54:29

Enfin dans un coin tranquille, c'est ce que se dit Calista quand elle rentra dans sa maison, la femme savait qu'ici personne n'allait la dérangée. La colonel laissa visitée ses invitées, c'était surtout l'amie de Nariko qui regarder la demeure alors que la belle sauvage était restée à côté d'elle. Puis la fausse prisonnière partit voir son amie pour lui dire qu'elle devrait aller se reposer, c'est vrai que ça devait faire un moment que les deux étrangères n'avaient pas dormi surtout tranquillement, mais ici c'est un endroit sûr donc elle pourrait bien dormir.

Nariko revint vers la guerrière pour se coller à elle tel que leurs poitrines se caresser l'un l'autre, cela ne déranger pas du tout Calista au contraire elle voulait aller plus loin, mais la colonel préférait que son invitée lui propose car dans la question qu'elle avait posée, il y avait bien sur un sous-entendu pour cette proposition. nariko commença à lui répondre mais au moment de dire sa fin de phrase elle s'arrêta pour l'embrasser sur ses lèvres et un grand sourire de plaisir sortit de ses lèvres quand elle entendit la fin de réponse :

" On est vraiment sur la même longueur d'onde ou c'est totalement une coïncidence, car c'est ce que je voulais entendre sortir de ses douces lèvres. "

Calista repartit à l'embrasser avec plus de passion, ses mains caressant le dos de la belle sauvage, cette séance de plaisir allait être intense et dura toute la nuit. La colonel resta longtemps collait aux lèvres de Nariko, les deux femmes étaient au milieu du salon il y avait pas de meuble dans les environ pour les gêner, mais le sol était fait de bois et le faire ici ne serait pas plaisant, alors Calista décida de se déplacer.

Tout en continuant de l'embrasser la guerrière descendit ses mains jusqu'aux fesses tout en la caressant, puis la souleva facilement la belle sauvage était très légère. Maintenant que sa compagne d'une ne toucher plus le sol, la colonel s'avança vers sa chambre en donnant des baisers dans le cou et léchant le lobe de l'oreille. Elle ouvrit la porte de sa chambre et rentra tapant du pied pour refermer la porte, puis Calista s'avança vers le lit tombant dessus la guerrière étant au-dessus de nariko. La colonel chevaucha la femme et d'un geste rapide enleva un à un les morceaux de son armure laissant juste ses vêtements léger et sexy sur elle :

" Alors tu es prête pour une nuit torride ma belle. "

Nariko

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 18 samedi 25 mai 2013, 14:07:53

Calista avait vraiment des lèvres magnifiques... Conformément au reste de son corps. Elle était d’une grande beauté, et, fort heureusement, elle ressentait aussi du désir pour Nariko. Le contraire aurait tué la guerrière, pour être honnête. Calista répondit donc à son baiser, et Nariko sentit d’heureux frissons remonter le long de son corps. L’amour... Pour être honnête, il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas forniqué... Et, pour continuer dans ce rayon-là, Nariko n’était pas contre le sexe, et considérait même que le sexe était nécessaire à sa vie de guerrière, afin d’équilibrer ses humeurs, de ne pas faire n’importe quoi. Nariko se connaissait. Elle savait que la colère était sa plus grande force dans un combat, une rage dévastatrice qui s’exprimait dans la manière dont elle se battait, et qui faisait écho à la fureur intrinsèque d’Heavenly Sword... Mais la colère pouvait mener à la fureur, et la rage à la démence. Il fallait trouver un subtil équilibre, et Nariko était comme une funambule, suspendue au-dessus du vide.

Les mains de Calista vinrent se poser sur ses fesses, se cramponnant dessus, faisant frissonner Nariko, qui sentit alors Calista user de sa force pour la soulever. Nariko posa ses mains sur la nuque de Calista, et releva ses jambes, les enroulant autour du bassin de la femme, qui lui embrassa alors le cou, tout en s’avançant. Elle devait être musclée pour réussir un tel tour de force, et, bon gré mal gré, Nariko se retrouva dans la chambre de Calista. Cette dernière ferma la porte, et posa la guerrière sur le lit. Elle s’étala en plein milieu d’un grand lit souple, doux, et rembourré. Étalée en plein milieu, Nariko sentit de nouveaux frissons la traverser quand Calista se mit à califourchon sur elle, défaisant lentement ses pièces d’armure, qui tombèrent en cliquetant sur le lit, avant d’être poussées sur le sol. Son armure était en soi terriblement sexy sur elle, mais, même sans cette dernière, elle était toujours aussi belle, toujours aussi ravissante. Que ce soit son corps harmonieux, ses courbes sensuelles, ou sa poitrine confortable, cette femme était un appel au désir sauvage. Dieu, ce qu’elle était belle ! Nariko se mettait à trembler de plaisir, sentant ses mains vibrer sur le lit. Calista resta en sous-vêtements, avec ses collants, dominant la guerrière.

« Alors tu es prête pour une nuit torride ma belle ? » demanda-t-elle d’une voix suave.

Les mains de Nariko glissaient le long des collants de la colonelle, se crispant dessus. Ce qu’elle pouvait aimer cette texture, aussi ! Elle n’avait jamais vraiment flashé sur les collants, mais, maintenant qu’elle en avait sous le nez, il fallait bien admettre que les sentir contre ses doigts procurait un plaisir assez grisant. De manière générale, Nariko ne savait pas où donner de la tête, tant la beauté l’enveloppait et l’enivrait autour d’elle. Elle en avait presque la gorge sèche, et grogna légèrement, avant de regarder Calista, et de se relever lentement.

« Plus que prête... Si toutes les Nexusiennes étaient comme toi, je me laisserais capturer bien plus souvent... »

Tout en parlant, elle releva lentement ses mains, posant ces dernières sur ses fesses, s’en servant comme appui, tout en allant enfoncer l’un des seins de la femme dans sa bouche. Sa langue remua autour de son téton, et elle se mit à sucer avec envie, en fermant les yeux, sentant des frissons la traverser.

« Humm-hmmmm... »
DC d’Alice Korvander.

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Calista Candidia

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 19 vendredi 31 mai 2013, 10:04:32

Calista était vraiment bien excitée cette nuit et comment ne pourrait-elle pas être avec une telle beauté devant elle qui est autant que la guerrière. La colonel se sentait plus en sécurité avec son armure, mais cela ne serait pas pratique avec ce qui allait se passer dans peu de temps. Dans la position où est mit Calista elle pouvait bien voir le corps de son amante d'un soir, voyant cette belle poitrine la guerrière voulait jouer avec, mais elle résista à la tentation il fallait y aller en douceur. La colonel sentait les mains de Nariko passait sur ses collants, ce n'était pas la première qu'elle les toucher peut-être que son amante aimait les collants ou alors la texture ou encore elle veut plutôt ce qui a dessous la guerrière ne savait pas trop ce que pensait la belle femme.

Calista contempla la silhouette de nariko cherchant avec qu'elle partit de son corps elle allait jouée en premier, mais la surprise fut sentit sur ses fesses quand les mains de la beauté sauvage les agrippèrent, la guerrière tourna sa tête pour voir toute exciter et cela devait se voir avec ses tétons qui pointaient, car son amante prit l'un des seins de la colonel dans sa bouche pour commençait à le lécher à travers le faible tissu qui le recouvrer. Calista fut surprise par la geste et sortit un petit gémissement qui suivit par des envies plus forte :

" Aaaah Nariko, tu es douée dans ce domaine en plus. Continue c'est super bon. "

La colonel aimait recevoir mais elle aimait aussi donner, alors doucement pour pas déranger sa compagne elle descendit son corps pour que de nouveau la tête de Nariko touche le lit et sa poitrine juste au dessus du visage. puis continua ses mouvements en levant une des jambes de la beauté sauvage la posant sur son dos comme ça la guerrière pouvait plus facilement caresser la cuisse de cette jambe la griffant légèrement sans laisser de trace. La peau de son amante était si douce qu'elle continuerait éternellement si elle le pouvait, la deuxième main qui était encore libre glissa sur le ventre de la belle remontant jusqu'à sa poitrine pour la caresser à travers le vêtement ses doigts passant souvent sur le téton :

" J'aime ton corps il est....si parfait que je pourrais jamais m'en lasser, faisant-le encore et encore jusqu'à total épuisement ma belle amante d'un soir. "

Nariko

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 20 dimanche 02 juin 2013, 11:21:55

Des femmes comme Calista, on en faisait peu... Et c’était une bonne chose. S’il y en avait eu trop, Calista aurait perdu de sa superbe. Dans sa belle maison, probablement l’une des maisons les plus cossues où Nariko dormirait jamais, la guerrière se sentait étrangement détendue et excitée. C’était cette excitation qu’elle ressentait avant chaque combat, mais, généralement, elle s’accompagnait d’une certaine dose de nervosité, à l’idée de devoir se battre, à l’idée d’affronter un nouvel adversaire, de risquer sa vie. Mais, ici, il n’y avait pas de boules dans son ventre, pas de nœuds dans l’estomac à dénouer par une forte dose d’adrénaline, rien d’autre qu’un plaisir vif et certain. Calista l’attirait fortement, Nariko se devait bien de l’admettre. Elle suçait son sein, entendant la Nexusienne gémir.

Lentement, la colonelle se déplaça, et amena Nariko à retourner s’allonger sur le lit. Elle ressentait aussi de délicieux frissons dans le dos. La guerrière avait l’habitude de dormir, soit directement sur le sol, soit sur des matelas ancestraux, qui n’étaient pas aussi épais et doux que le lit de Calista. Son corps appréciait, tout comme ses doigts appréciaient les fesses de Calista, et ses jambes le frottement des collants de la femme. Écrasée sous elle, Nariko se concentrait sur son sein, le titillant à travers le bonnet, sa langue s’aventurant à hauteur de son téton, qu’elle percevait, comme une espèce de délicate bosse. Elle sentait les mains de Calista remuer sur son corps, provoquant de nouveaux frissons. Contrairement à Calista, Nariko n’avait encore retiré aucun vêtement. Elle préférait en effet laisser le soin à la Nexusienne de le faire, afin de sentir ses doigts sur son corps... Pour être honnête, Nariko ne faisait pas fréquemment l’amour, et, pour une fois qu’elle avait l’occasion de satisfaire ses penchants, elle comptait bien prendre son temps. Sous l’effet du plaisir et de l’excitation, elle se voyait bien tenir toute la nuit avec cette belle femme. Dans les faits, ce serait sûrement différent.

« Hummmm... »

La porteuse d’Heaveny Sword finit par relever ses mains, et retourna Calista, envoyant cette dernière s’allonger sur le lit, tandis que Nariko, inversant les rôles, se mettait au-dessus d’elle. Les seins de la guerrière pointaient sous l’effet de l’excitation, et elle se mordilla les lèvres, avant d’embrasser à nouveau la belle, en plein sur les lèvres, gémissant dans sa bouche, tout en lui offrant un magnifique baiser, long et collant, leurs seins se frottant, tandis qu’elle laissait des frissons traverser tout son corps.

« Oh, c’est si bon... »

En rompant le baiser, elle frotta lentement son nez contre celui de la Nexusienne, et aventura l’une de ses mains entre les cuisses de la femme, frottant sa culotte avec deux doigts, en esquissant un léger sourire.

« Je n’aurais jamais cru être si enjouée à l’idée de revenir dans cette ville... » lui avoua-t-elle.

Elle l’embrassa à nouveau, envoyant sa langue dans la bouche de Calista, et entreprit de la délester de son soutien-gorge, l’envoyant au loin. Nariko n’avait pas à rougir de sa poitrine, qui était belle, confortable, témoignant de la beauté de son corps, de la perfection de ses formes.

Calista non plus.
DC d’Alice Korvander.

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Calista Candidia

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 21 jeudi 20 juin 2013, 14:43:49

Le plaisir que Calista ressentait été intense mais en même temps doux, ses mains se baladaient sur le corps restant plus longtemps sur certaines parties les plus attirants de la belle sauvage qui étaient ses cuisses et sa poitrine. La langue de Nariko était un délice sur sa poitrine et à force de léchait le téton, le sous-vêtement devenait de plus en plus transparent faisant apparaître la couleur de la peau. Concentrer par les caresses de ses mains et le plaisir que lui procurer son amante, la colonel fut surprise par le retournement voyant maintenant Nariko la chevauchait, la regardant dans cette position Calista pensa à plein de choses qu'elle pourrait faire avec sa fausse prisonnière, mais pour le moment la guerrière allait laisser le début à la magnifique femme qui était sur elle.

Nariko commença par l'embrasser sentant une légère vibration sur ses lèvres, ce baiser était doux et savoureux leur bouche étant pratiquement coller entre elle et leur poitrine se frottait rendant ses tétons encore plus dur. Pendant ce baiser les mains de la colonel étaient arrivées dans le dos glissant sensuellement sur la peau et l'une de ses mains partit furtivement sous les vêtements caressant directement les fesses. Après ce baiser Nariko se releva passant sa main sur la culotte de la colonel, deux doigts frottant dessus le sous-vêtement n'était pas encore très humide, mais cela ne serais se tarder répondant à ces paroles :

" Et moi je n'aurais jamais pensée que ma mission me ferais découvrir une si belle "prisonnière"."

Puis le baiser recommença de nouveau encore plus intense que le premier leur langue dansant dans leur bouche, la belle sauvage entreprit même d'enlever le dernier vêtement du haut de la colonel volant au loin. Sa poitrine était maintenant à l'air, les tétons en érection bien visible, mais ce n'était pas juste que ce soit juste ses habits qui partent, alors Calista passa ses mains sur les attaches des vêtements pour les enlevaient laissant juste le tissu sur le corps. Maintenant que la poitrine de Nariko était plus facile à toucher, la guerrière glissa ses mains sous le haut de la belle sauvage passant sur les tétons pour les pincer légèrement, pendant un court instant le baiser s'interrompue :

" Ta poitrine est si douce, moelleuse et pure comme si personne à par toi ne l'avait toucher, est ce qu'elle est aussi sensible. "


Calista continua ses petits pincements d'amour pourvoir les réactions qu'à Nariko.

Nariko

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 22 jeudi 20 juin 2013, 22:16:27

La colonelle était une femme assez perverse, mais, en toute honnêteté, ça ne dérangeait pas vraiment Nariko. Sentir les mains de cette dernière parcourir ses fesses était un régal. En d’autres circonstances, elle aurait pu se sentir énervée, mais elle savait que Calista était une femme talentueuse et courageuse. Elle avait vu cette dernière se battre avec un certain talent, et pour Nariko, ça valait tous les bouquets de fleurs du monde. Elle était une guerrière dans l’âme, une tueuse, une meurtrière. Elle le savait, et l’admettait sans ombrages. Elle descendait d’un clan de guerriers, et, si elle n’avait toujours tué que des soldats, il n’en restait pas moins que son corps, son beau corps aux formes si parfaites, avait arraché bien des vies. Mais, parfois, ses mêmes mains pouvaient aussi s’orienter vers la tendresse, la douceur, et honorer la vie... Car, après tout, le sexe n’était rien d’autre que ça : la célébration de la vie, dans tout ce qu’elle avait d’intense, de basique, et de simple. Elle sentait les mains de Calista se glisser sur ses fesses, les pressant, tandis que les deux femmes reprenaient leur baiser.

C’était assez enfantin à dire, mais Nariko aimait bien les baisers. Peut-être bien que, sous cette carcasse cruelle et violente, il y avait un petit cœur qui battait ? Quoiqu’il en soit, les lèvres de Calista avaient un petit goût entraînant, une sorte d’appel, qui faisait que, quand elle rompait son baiser, elle n’avait envie que d’une chose : le reprendre. Elle reprenait alors son souffle, avant de sentir, sur ses lèvres, le souffle de Calista. Ce faisant, elle l’embrassait alors, filant à l’assaut de ses lèvres, en sentant des frissons et des tremblements de plaisir dans tout son corps. Sa langue filait dans cette bouche chaude et humide, et elle titillait ensuite ses lèvres douces. Elle gobait une lèvre entre les siennes, la mordillant en tirant dessus. Nariko savait y faire, et elle sentit les mains de Calista remonter sur son dos, défaisant sa longue et fine tunique blanche. Elle poussa quelques discrets soupirs, étouffés par la bouche de la Nexusienne. Les deux femmes se comprenaient très bien. Chacune avait pour charge de déshabiller l’autre, et, si les lèvres de Nariko harcelaient la bouche de Calista, presque avec l’énergie d’une désespérée, ses mains, elles, commençaient à s’amuser sur les lourds seins de Calista, tendus et pointus, exprimant tout le plaisir que la soldate était en train de recevoir.

Nariko n’aurait jamais cru qu’il pouvait exister de si belles perles au sein de cet État qui, de prime abord, lui était apparu comme un regroupement de corrompus et de couards, de bourgeois s’intéressant plus à leurs privilèges et à leurs manoirs qu’à la survie du royaume. Elle avait le sentiment que Calista était différente... À moins que ce ne soit sa plastique, ses collants irrésistibles, et sa bouche magnifique, qui l’induisaient en erreur ? Dans tous les cas, Calista découvrit également les seins de sa partenaire. Nariko délaissa alors les seins de Calista, posant pour l’heure ses mains sur les couvertures, et laissa ainsi le soin à la militaire de jouer avec sa propre poitrine.

Leur baiser se rompit, et Nariko se mit à faiblement soupirer. Ses seins s’étaient également durcis, alors qu’elle sentait dans tout le corps une sorte de tension en train de croître, de s’accumuler, comme si sa chaleur corporelle était en inflation. Cette femme était vraiment superbe ! Elle rappelait cruellement à Nariko qu’elle ne prenait pas assez soin de certains besoins naturels de son corps, et le fait que Nariko était déjà en train de mouiller en était l’indice le plus criant.

« Ta poitrine est si douce, moelleuse et pure comme si personne à par toi ne l'avait toucher, est ce qu'elle est aussi sensible ? » s’enquit Calista d’une voix douce et sensuelle.

Ce compliment, qui sentait très bon l’eau-de-rose, eut toutefois le mérite de faire sourire Nariko. Calista cherchait-elle à la séduire, ou était-elle sérieuse dans ce qu’elle disait ?

« Hmmm... Comme... Comme tout le reste de mon corps, ma belle... » répliqua Nariko.

Elle avança l’une de ses mains, et la posa sur l’épaule de la femme, tandis que l’autre vint tendrement caresser la joue droite de Calista, glissant quelques mèches de cheveux derrière son oreille. Les deux femmes se câlinaient avec douceur et tendresse, une expérience assez différente du sexe avec un homme... Du moins, pour ceux avec qui Nariko avait fait l’amour. Elle ne pouvait pas dire qu’elle n’aimait pas ça. En réalité, elle trouvait ça assez excitant, assez... Glamour. Les deux femmes se découvraient mutuellement, en prenant leur temps, explorant à fond le concept de beauté féminine.

La guerrière rougissait et gémissait, se tortillant faiblement sur le corps solide de Calista, quand cette dernière la pinçait. Elle soupirait, et retourna l’embrasser, encore une fois, tout en caressant les hanches de la Nexusienne, les griffant à moitié, en gémissant de plaisir, continuant de plus belle à mouiller.

« Mais je te retourne le compliment, Calista... »

Elle se rapprocha alors de son oreille, afin de se faire un peu plus taquine :

« Je vais adorer te faire l’amour, ma belle petite poupée... »

Elle lui mordilla le lobe de l’oreille, avant de l’embrasser dans le creux du cou, tout en continuant à descendre ses mains, venant les glisser sous sa culotte, ses pouces venant caresser son bassin, près de son sexe, mais sans le caresser. Elle voulait la frustrer un peu, ça ne rendrait la chose qu’encore meilleure.
DC d’Alice Korvander.

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Calista Candidia

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 23 samedi 13 juillet 2013, 19:50:56

Le baiser des amantes étaient si intense que aucunes des deux voulaient lâchées la bouche de l’autre, les langues s’entremêlant et les lèvres scellaient l'une à l'autre. Calista aimait ce que faisait la belle sauvage, elle connaissait bien le corps des femmes car ces mains passaient dans certains coins sensibles de la colonel. La guerrière avait rarement des relations avec des femmes et surtout des femmes de la même trempe qu'elle, Calista avait plus l'habitude avec les hommes ou encore des femmes du genre faible et fragile. C'est un peu pour ça que Calista va doucement avec la belle Nariko tout ça à cause d'une habitude, alors qu'elle sait bien que sa fausse prisonnière et tout sauf faible et fragile.

Les paroles de Calista était là pour pimenter un peu la relation, mais aussi à séduire la belle sauvage elle sait qu'elle ne tombera pas de nouveau avec une femme qui serait capable de résisté à sa force physique et sa force de caractère. Après les mots de Nariko, la colonel voulait voir si ce qu'elle disait était vrai alors ses mains qui étaient encore sur sa poitrine glissèrent le long de son ventre pour arriver sur ses hanches  en passant par les fesses pour finir en bas des jambes. Le corps de son amante était doux c'était un véritable plaisir de parcourir son corps dans tous les sens leurs tétons se frottant ensemble. Jusqu'à que Nariko pose sa main sur l'épaule de la guerrière, la colonel était plongeait dans les yeux de cette beauté l'une de ses mains remonta sensuellement sur le corps pour arriver sur le visage de la belle sauvage, la main glissa dans les longs cheveux de Nariko et d'un geste délicat souleva les cheveux pour les mettre du même :

" Ça va être difficile de ne pas te sauter dessus, avant un corps comme le tien " puis après que celle-ci lui parla " merci beaucoup, ce n'est pas facile d'avoir un corps d'une femme normal avec tous les dangers que celui-ci reçoit "

Calista ressentit le souffle de la beauté tout comme ces dents sur son lobe, Nariko avait l'air de bien aimée taquiner pendant  l'acte et la colonel même si les caresses sur son bassin qui était proche de son sexe la frustrer légèrement,  après ces longs préliminaires la guerrière en voulait plus. Alors Calista voulait lui rendre cette frustration pour déclencher la prochaine partit, mais ses doigts n'arrivaient pas à atteindre l'entre-jambe de la belle sauvage donc elle décida de l'embêter par le haut. Les mains de la colonel caressaient le corps de la beauté pour arriver sur ses fesses, elle caressa, malaxa et griffa celle-ci tout en passant sur l'anus sans y rentrer rien, Calista ne savait pas si cela allait la frustrer mais elle tenta sa chance :

" Moi aussi je vais prendre plaisir à te faire l'amour ma belle  petite prisonnière. "

Nariko

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 24 dimanche 14 juillet 2013, 18:23:41

Nariko était une femme qui aimait les parties de sexe, et qui savait être une bonne amante. Et puis, elle se devait de l’être, avec une partenaire aussi sexy et attirante que la Nexusienne. Calista était une véritable beauté, pure, au corps doux et ferme. Elle avait réellement tout pour plaire, car, en-dehors de sa plastique, de ses longues jambes fuselées, de ce corps tendre avec sa chevelure de petite poupée, elle était aussi une redoutable guerrière. Nariko l’avait vu à l’œuvre, contre les bandits. Sa lame était mortelle, tranchante et aiguisée. Elle avait tout ce qui plaisait à Nariko : une beauté parfaite renfermant un côté meurtrier particulièrement prononcé. Nariko ne pouvait qu’avoir profondément envie de lui faire l’amour, et c’est ce qu’elle s’appliquait à faire, prenant son temps, savourant le spectacle. Elles avaient toute la nuit, après tout, et elle devait bien admettre qu’elle aimait bien troubler Calista, l’embêter. Le long de ses doigts, près de l’intimité de la jeune femme, elle pouvait sentir les tremblements d’impatience qui remontaient le long du corps de la jeune femme. Ils étaient de très bons indices sur ce que Calista ressentait en ce moment précis. Une envie que seule Nariko pouvait, en ce moment précis, assouvir. Le ferait-elle ? Bien sûr. Mais, plus l’impatience était forte, et plus la libération était jouissive.

Les mains de Calista se glissaient sur le corps de Nariko, filant près de ses fesses, les pressant, ses doigts se rapprochant de son fondement. Nariko se mit à soupirer de bonheur, et enfouit sa tête contre le cou de Calista, mordillant sa peau, la léchant et l’embrassant, fourrant son nez, le remuant de haut en bas. Elle s’y frottait, tout simplement, avec la douceur typique des jeunes femmes. Calista le méritait. Sa beauté était presque sainte. Elle sentait ses mains s’attarder sur son postérieur, sans que cela ne dérange Nariko, qui, pour être honnête, aimait plutôt bien qu’on s’y attaque. Elle sentait les doigts de la femme jouer avec cette masse de chair, attisant le feu qui brûlait dans les entrailles du corps de la guerrière, l’exploitant, le ravivant. Elle était indéniablement très douée, et Nariko appréciait beaucoup ce moment.

« Hann... soupirait-elle. Ce que tu es belle, Calista... »

Elle l’embrassa sur la joue, léchant sa peau, et consentit alors enfin à la doigter. Elle le méritait bien, après tout. Calista était en train de faire changer l’avis de Nariko sur Nexus, en lui montrant qu’il existait toujours, au sein de l’armée, des individus droits, qui suivaient leurs serments et leurs engagements. Elle était presque une exception dans cette ville gangrénée par une corruption rampante, presque institutionnelle. Son doigt se glissa sous la culotte de Calista, et s’enfonça joyeusement dans sa fente humide, remuant, jusqu’à titiller son bouton de plaisir, ce beau clitoris qui ne demandait qu’à se faire aplatir.

« Hum... Là, profite, ma chérie, savoure ce moment... »

Nariko était rarement aussi coquine avec ses partenaires, mais Calista le méritait. Et, de plus, elle avait besoin de se soulager, après tout ce qu’elle avait vécu ces dernières semaines. Kaï était comme sa petite sœur. Jamais elle ne ferait l’amour avec elle, car elle n’arrivait pas à ressentir de telles attirances pour elle. Calista, en revanche, était différente. Comme elle, c’était une femme mâture, forte et développée. Elles pouvaient donc librement coucher ensemble.

Et Nariko ne comptait pas se priver.
DC d’Alice Korvander.

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Calista Candidia

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 25 mardi 30 juillet 2013, 15:48:17

Voilà tout le plaisir que Calista aimait quand elle avait une relation avec une femme, la sensualité, les caresses, le long échange corporel et cette légère frustration et de taquinerie qu'il y a que quand on est avec femme. c'est un telle plaisir de le faire du fait qu'on ne peut le faire tout le temps, car trouver une partenaire pour ces jeux sexuelles n'est pas une chose facile surtout quand ton corps est fait pour le combat mais pas celui de la compagne, donc tu fait encore plus attention pour ne pas la blesser par accident. Avec Nariko ceci n'était pas un problème même si pour le moment le couple n'était qu'à la première partie, la nuit ne vient que de se coucher.

La frustration montait peu à peu jusqu'à en devenir difficilement supportable, mais bien sur même si cela devait se voir sur son visage et sur son corps la colonel se retenait un peu pour durer encore ce plaisir. Le visage de son amante dans sa poitrine était une chose qu'elle appréciait, elle aime qu'on s'occupe de sa poitrine qui pour le moment tout le monde à apprécier :

" Nariko...humm... j'aime le tien aussi. "

Calista sortit un léger cri aiguë qui se différencier de sa voix habituelle quand Nariko enfonça pour la première son doigt dans la fente humide de la colonel ce qui fit crisper légèrement ses doigts sur les fesses de son amante la tenant bien fermement. Elle se sentit soulager toute cette frustration partit d'un coup pour laisser place à un plaisir immense :

" Tout ce plaisir d'un coup, c'est si bon tu devrais y gouter aussi. "


Les mains de Calista relâcha les fesses de Nariko, l'une glissant sur le dos pour la tenir ou plutôt la retenir, car l'autre main recommença à titiller l'anus de la belle sauvage et avec son plus long doigt y fit rentrer d'un coup, si elle pouvait pas donner du plaisir au sexe de sa partenaire alors elle prendrait l'autre trou pour le faire :

" J’espère que tu apprécie aussi ma mignonne amante. "

Nariko

Humain(e)

Re : Un objet de convoitise [Calista Candidia]

Réponse 26 mardi 30 juillet 2013, 19:11:57

Cette petite fleur nexusienne était une vraie perle. Qui aurait cru que Nariko aurait pu passé une aussi agréable nuit à Nexus ? Dans ce trou à rats, il existait encore des roses, et la chance avait voulu que Nariko en croise une. Le serpent se mordait la queue. Elle était revenue à Nexus, et n’avait plus autant envie d’en partir... Il lui avait fallu sortir de la ville pour commencer à l’apprécier. Les mains de la Nexusienne sur son corps étaient un délice, et elle soupirait, rapprochant son visage d sien, frottant son nez contre sa peau, tout en remuant ses doigts en elle. Un seul, pour le moment, mais les autres étaient à l’affût, prêts à bondir dans ce petit gouffre qui ne demandait qu’à se faire explorer. Calista, de son côté, continuait à se cramponner sur les fesses de Nariko. Elle n’était pas hostile à la sodomie, bien au contraire. On l’avait déjà sodomisé, et elle devait bien admettre que c’était une expérience douloureuse, mais aussi très agréable. En tant que guerrière, Nariko devait apprendre à affronter sa souffrance, à l’éduquer et à la soumettre à sa propre volonté. C’était tout simplement ce qu’elle avait fait toute sa vie, et continuait à faire maintenant.

Le plaisir de Calista faisait plaisir à voir et à sentir. Sa belle fleur se laissait aller, se laissait guider dans les voies du plaisir, par les mains expertes et talentueuses de la porteuse d’Heavenly Sword, qui la guidait évidemment sciemment vers l’osmose. Elle savait y faire, enfonçant ses doigts, sans aller trop vite, ni trop lentement, cherchant le clitoris, appuyant dessus, sentant cette surface visqueuse, gluante, et arrondie. Elle la pressait entre deux de ses doigts, ses ongles la titillant, faisant exploser le plaisir par vagues dans tout le corps de sa partenaire.

« Tout ce plaisir d'un coup, soupirait sa partenaire, c'est si bon tu devrais y gouter aussi. »

Nariko ne demandait que ça. Elle embrassait la joue de Calista, quand elle sentit les mains de cette dernière remuer à nouveau. L’une d’entre elles remonta le long de son dos, la faisant délicieusement frissonner, tandis que l’autre, plus coquine, fila entre ses fesses, dans sa croupe. Un doigt s’enfonça dans son fondement, et Nariko poussa un silencieux gémissement, un petit cri en sentant son corps se tendre sous l’effet d’un plaisir vif et intense.

« Haaaaaaaaaaaa... !! »

Ce cri s’échappa de ses lèvres, alors qu’elle allait presque mordre le cou de Calista, sentant une vague de douleur et de plaisir l’envahir. Ses joues virèrent au rouge, et elle se mit à remuer son corps, frottant ses cuisses contre la hanche de sa partenaire, tout en remuant ses deux doigts sus sa culotte. Ses lèvres remontèrent, alors que Calista lui demandait si elle appréciait ça.

« Haaaaannn... B-Bien sûr ! »

Quelle question, vraiment ! Évidemment qu’elle aimait ça ! Elle adorait, même ! Nariko se laissait aller, remuant son corps, se mettant aussi à mouiller sur elle, frottant ainsi son sexe contre sa jambe fraîche et douce. Sa bouche se déplaça pour l’embrasser sur les lèvres. Un baiser mal assuré, qui gagna assez rapidement en intensité. Tandis que l’une de ses mains jouait avec son intimité, ses doigts devenant de plus en plus rapides et impatients, son autre main vint se glisser sur la nuque de la femme, la serrant, avant d’agripper l’un de ses oreilles, sous l’effet du plaisir. Elle serrait les dents, rompant le baiser en grognant, le visage tiraillé par une expression mélangée de plaisir, de douleur, et d’un effort physique intense. Ses doigts lui faisaient mal, son poignet souffrait, mais son cul était en feu, et cette douleur-ci s’imposait sur les autres.

Elle voulait offrir à son hôte un orgasme, et remuait donc ses doigts de plus en plus vite, s’acharnant autour de son clitoris, avec pour seul objectif de conduire sa belle Nexusienne vers les cieux.

« Haaaaan... Haaaaannnn putain, j’aime... Là, oui, Calista, haaa, continue... Continue à me défoncer le cul, haaaaaaaaaaaannn !! »
DC d’Alice Korvander.

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