Charis se mit à écouter la réponse de sa tortionnaire, la chevalière continuait de trembler de peur, ses mains tremblantes, les larmes continuant de chercher une issue de secoure, s'infiltrant où elles pouvaient passer. La prisonnière se mit à frémir en entendant que cette dernière arpentait le chemin de la perversion, ne pouvant contredire par crainte d'être sanctionner, elle resta prostrée au sol serrant, avec une certaine forme de violence, ses mains. Lors de son nettoyage ses ongles avaient été coupé comme il faut, cette initiative évita à Charis de se blesser, les phalanges blanchissant sous la pression qu'elle exerçait sur ses doigts. Elle sentit deux formes s'approcher de son corps et la soulever, mettant cette dernière dans une posture similaire aux crucifiés, seulement ce ne fut pas une lance qui transperça son cœur, mais des lèvres saupoudrées par le fruit de la tentation qui caressa les siennes, comme pour fusionner leurs empreintes.
La chevalière n'offrit aucune résistance quand la dragonne vint à retirer ce qui cachait ses yeux, laissant voir une sublime trace rouge là où la matière avait étouffé la peau. Elle ne réagit pas plus quand Ishtar mit la cagoule. Charis n’aimait pas vraiment la matière, mais ne s'en plaignait pas, à présent qu'elle ne possédait plus aucun droit sur sa personne, elle se devait de s'adapter pour éviter de retourner sur le mur des cochons. Cependant on voyait bien une légère peur à l'instant où la cagoule passa sur ses yeux, les paupière tressaillant légèrement, la chevalière eut un instant d'hésitation entre garder ses yeux ouvert et les ouvrir, sachant pertinemment que toute trace de luminosité allait l'éblouir. Charis fut troublée de n'avoir que son nez pour respirer, sa bouche étant bloquée par un objet dont elle ignorait l'existence, après tout le sexe n'est pas une matière bien connu chef cette femme droite. La prisonnière put sentir ses cheveux saisit pour en faire une queue de cheval, la cagoule semblant adapté. Sa gorge fut un peu serrer, rendant tout déglutisse ment un peu plus dure, sans parler du bruit distinctif du cadenas. Charis tentait de cacher sa peur, elle avait peur que la dragonne joue avec pour le terroriser davantage. Des pensée négatives se mirent à investir son esprit, Ishtar allait-elle réellement la rendre aveugle ? Allait-elle la transformer en un simple jouet. Charis se rendit vite compte que sous la peur elle avait agit bêtement, elle voulait revenir sur sa parole, ce que l'ancienne Charis n'aurait pas fait sans se châtier.
La chevalière ne put savoir quel genre de vêtement on la forçait à porter, ne connaissant pas vraiment la cérémonie catholique du mariage. Car après tout les légende arthurienne sont pour la plupart d'origine celtique, rien qui ne ressemble vraiment au catholicisme. En effet Merlin l'enchanteur aurait été traité de sorcier sous cette religion idiote. En disant que Charis ne sera plus apte à se marier, la dragonne avait enfoncer une autre dague dans le cœur de la prisonnière. Cette dernière se rendait compte que sa tortionnaire s'amusait avec elle, comme l'on s'amuse à tendre un bout de viande à une clébard sans pour autant le lui donner. Trahir sa patrie faisait mal, mais la peur de savoir ce qu'Ishtar serait capable de la faire la rendit plus apte à accepter d’appartenir à Inferis.
Elle ne se rendit pas compte de ce qui se passait, pensant que le fait de l'agenouiller consistait à cette cérémonie. Mais très vite elle se rendit compte que cette dernière n'était pas normal, son corps réagissait bizarrement, elle se sentait chaude à l'intérieur, sans parler d'idée obscène qui se mirent à apparaître de ci de là pour qu'au final se fut la jouissance de la dragonne qui la fasse comprendre ce qui se passait. Charis pouvait sentir la cyprine couler le long de la cagoule, imbibant son cou, passant sur les extrémité comme entre ses seins. Oui la tenue mettait clairement sa poitrine en évidence les comprimant l'une contre l'autre. C'est ainsi que l'on put voir un petit lac se former entre ses seins, le liquide se déversant sous le vêtement, longeant son corps, créant des sensation déroutante. Elle se sentait bizarre, ayant un frisson visible quand la cyprine se mit à frôler son clitoris ou encore se glisser entre ses fesses. C'était humiliant et pourtant son corps semblait apprécier. Charis ne comprenait pas, ou plutôt, ne voulait pas comprendre. Mais plus elle y pensait, plus son corps semblait se réchauffer, déstabilisant encore plus la chevalière, cette dernière se demandait si elle n'était pas corrompus par le Mal, si elle n'avait pas choppé une maladie. Son ignorance créait la peur. Charis sentait un envie naître, mais elle ne pouvait y placer des mots, cela était trop vague, trop … inconnu.