Ne sachant vraiment pas quoi faire, elle décida de se rendre dans la salle de repos des prostituer. Ce n'était pas vraiment un endroit pour elle, mais elle espérait arriver à faire plus connaissance avec les filles du harem. En rentrant elle ne fut donc pas surprise de voir que beaucoup était très dénudé voir complètement. Regardant tout le monde elle reconnut certaine qui avait assisté à la frayeur de la sirène. Déjà elle entendait des rumeurs à son sujet. Limma s'avança et se posa sur un banc préférant laisser approcher celles qui voudront bien tenter le contact. Elle ne voulait pas causer de conflit. Finalement elle se demanda si c'était une bonne idée d'être venu ici, personne ne semblait l'approcher et en plus elle était la plus habillée. Pourtant, elle ne portait qu'une petite robe blanche, ses gants longs et ses grandes bottes.
Après une petite attente l'ambiance lui était dérangeante, elle se sentait de trop ici. Alors qu'elle allait partir, elle senti quelqu'un arrivé derrière elle. Cette personne alla même jusqu'à l'aborder sans hésitation. Surprise Limma se tourna pour regarder qui lui parlait. C'était la première fois qu'elle le voyait. En faite elle n'arrivé pas à déterminer ce qu'il était. Que ce soit espèce au sexe. Déjà sans qu'il le sache son corps était scanner pour l'étudier, toute donné qui s'affichait était pour l'instant inconnue. De la façon qu'elle c'était faite abordé il devait la prendre pour une nouvelle prostituer. Un cas qu'elle aurait dû prévoir. Du coup l'esclave ne savait comment réagir.
-Euh, je suis Limma. M'abandonner ? Je ne saisi pas trop ce que tu veux dire...
Des fois quand on lui posait des questions simples, Limma se sentait idiote. Se n'est pas vraiment qu'elle l'est, c'est juste qu'elle n'est pas habitué à la communication. Que ce soit dans sa vie d'esclave ou de démone destructrice, la communication n'était pas utile. On ne lui demandait pas son avis.
Pour le cas, elle ne comprenait pas le sens d'abandonner. Pour elle il n'y avait pas de définition du mot qui correspondait à la situation, c'était donc une façon de l'employait qu'elle ne connaissait pas.